Décès de l’architecte Denis Valode, l’un des plus influents de France

L’architecte Denis Valode, qui a réalisé de nombreux projets en France et dans le monde, dont l’extension en mer de Monaco ou la tour Saint-Gobain à La Défense, est décédé mardi, a annoncé jeudi son agence.Denis Valode, mort à 79 ans des suites d’une longue maladie, était le co-fondateur, avec Jean Pistre, de Valode & Pistre, l’une des plus grandes agences d’architecture et d’urbanisme en France. Implantée à Paris et Pékin, elle a été fréquemment récompensée par des prix architecturaux, dont l’Équerre d’Argent, depuis sa création en 1980. Denis Valode était “un architecte de grand talent et un dessinateur hors pair”, a souligné son agence dans un communiqué.Parmi les réalisations les plus notables de Valode & Pistre, figurent le Grand Stade Pierre Mauroy à Lille, les Tours T1 et Saint-Gobain à la Défense, l’extension en mer de Monaco sur six hectares, le parc des expositions de Shenzhen en Chine, plusieurs gares du Grand Paris Express, le Musée d’art contemporain de Bordeaux ou encore le centre commercial Beaugrenelle à Paris.Moins célèbres que les architectes stars comme Jean Nouvel ou Dominique Perrault, Denis Valode et Jean Pistre avaient pris publiquement position contre les projets de moderniser l’apparence de Notre-Dame de Paris après l’incendie de 2019. La cathédrale “doit être reconstruite exactement à l’identique”, avaient-ils demandé. 

Avenir du chantier de l’A69: décision le 30 décembre, les opposants pessimistes

La cour administrative d’appel de Toulouse doit rendre le 30 décembre son arrêt sur la validité de l’autorisation environnementale de l’autoroute A69, les opposants ne cachant pas leur pessimisme après une audience où le rapporteur public a recommandé la poursuite des travaux.Etant donné la “taille critique” du bassin de population et d’emploi des villes de Castres et de Mazamet, dans le sud du Tarn, il est, selon le rapporteur Frédéric Diard, “difficile de lui dénier la nécessité d’une liaison autoroutière” avec la métropole toulousaine.Dans ce dossier, devenu depuis deux ans un symbole des luttes écologiques, ce magistrat, dont la fonction est d’éclairer les juridictions administratives et dont l’avis est en général suivi, estime en outre que l’autoroute A69 fait partie “des conditions favorables” au développement de cette zone et lui permettra d’être reliée aux “grands équipements régionaux” présents à Toulouse (aéroport, universités, hôpitaux, etc.).”Si vous nous suivez dans nos conclusions, vous annulerez le jugement du tribunal administratif de Toulouse”, a conclu M. Diard, soutenant que l’autorisation environnementale de ce chantier, accordée par l’Etat, mais invalidée par cette première juridiction, était bien conforme au droit.Le tribunal toulousain avait à l’époque considéré que la future liaison de 53 km ne présentait pas de Raison impérative d’intérêt public majeur (RIIPM), une condition juridique nécessaire pour autoriser les atteintes à l’environnement liées à des projets d’infrastructure comme l’A69.- “Saga juridictionnelle” -En appui du rapporteur public pour l’Etat, Eric Sacher, sous-directeur des affaires juridiques au ministère de la Transition écologique, a estimé que la décision du tribunal constituait une “anomalie” que la cour devait désormais corriger.Du côté des collectivités locales favorables au projet, l’avocate Catherine Schlegel a mis en avant le principe d’égalité territoriale dont l’agglomération de Castres-Mazamet “n’a pas à être privée”.En réponse, l’avocate des associations opposées à l’A69, Julie Rover, a d’abord rappelé que la cour administrative d’appel de Toulouse se trouvait dans la position de clore l'”exceptionnelle saga juridictionnelle” qui a entouré le chantier de l’autoroute. Celle-ci comprend “53.000 pages de procédure”, avait rappelé le président de la cour, Denis Chabert, en ouverture des débats.”Le droit et les avis techniques plaident pour la confirmation de la décision de première instance”, a soutenu Me Rover pour qui “l’anomalie juridique” serait un arrêt de la cour conforme à la position du rapporteur public.- “Espoir trop mince” -Marine Yzquierdo, autre avocate des opposants, est de son côté revenue sur le rejet de la demande de récusation que les anti-A69 et leurs conseils avaient déposée il y a quelques jours.Elle visait plusieurs magistrats siégeant jeudi, dont M. Chabert, au motif qu’ils avaient déjà participé à une première décision sur l’autoroute A69, autorisant en mai une reprise des travaux dans l’attente de l’audience d’appel.Elle a confié n’avoir “plus le cœur à plaider”, ayant “l’impression que les dés sont jetés”. Pour autant, affirmant “croire encore à la justice”, elle a appelé les cinq magistrats de la composition élargie de la cour à ne pas participer à une “politique de démolition massive du droit de l’environnement”.”La juridiction essaie de faire ce qu’elle doit faire”, a déclaré en clôture de l’audience M. Chabert, reconnaissant que l’A69 constituait un dossier “hors normes”. “Hors normes dans sa dimension mais pas hors du droit”, a-t-il souligné, avant d’annoncer la date du 30 décembre.A l’issue des débats, la défense des anti-A69 ne cachait pas son pessimisme. “L’espoir est mince, trop mince (…). Je pense que la décision sera négative et nous porterons l’affaire devant le Conseil d’Etat, évidemment”, a déclaré à l’AFP Alice Terrasse, avocate de collectifs opposés à l’A69.Parallèlement, les anti-A69 ont ouvert un autre front juridique. Dénonçant un chantier qui s’est étendu sur des “emprises hors autorisation”, ils ont saisi mardi le procureur de la République “afin qu’il puisse obtenir la suspension du chantier, c’est une autre voie qui est mobilisée, à défaut d’avoir pu obtenir la suspension devant le juge administratif”, a ajouté l’avocate.

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Avenir du chantier de l’A69: décision le 30 décembre, les opposants pessimistes

La cour administrative d’appel de Toulouse doit rendre le 30 décembre son arrêt sur la validité de l’autorisation environnementale de l’autoroute A69, les opposants ne cachant pas leur pessimisme après une audience où le rapporteur public a recommandé la poursuite des travaux.Etant donné la “taille critique” du bassin de population et d’emploi des villes de Castres et de Mazamet, dans le sud du Tarn, il est, selon le rapporteur Frédéric Diard, “difficile de lui dénier la nécessité d’une liaison autoroutière” avec la métropole toulousaine.Dans ce dossier, devenu depuis deux ans un symbole des luttes écologiques, ce magistrat, dont la fonction est d’éclairer les juridictions administratives et dont l’avis est en général suivi, estime en outre que l’autoroute A69 fait partie “des conditions favorables” au développement de cette zone et lui permettra d’être reliée aux “grands équipements régionaux” présents à Toulouse (aéroport, universités, hôpitaux, etc.).”Si vous nous suivez dans nos conclusions, vous annulerez le jugement du tribunal administratif de Toulouse”, a conclu M. Diard, soutenant que l’autorisation environnementale de ce chantier, accordée par l’Etat, mais invalidée par cette première juridiction, était bien conforme au droit.Le tribunal toulousain avait à l’époque considéré que la future liaison de 53 km ne présentait pas de Raison impérative d’intérêt public majeur (RIIPM), une condition juridique nécessaire pour autoriser les atteintes à l’environnement liées à des projets d’infrastructure comme l’A69.- “Saga juridictionnelle” -En appui du rapporteur public pour l’Etat, Eric Sacher, sous-directeur des affaires juridiques au ministère de la Transition écologique, a estimé que la décision du tribunal constituait une “anomalie” que la cour devait désormais corriger.Du côté des collectivités locales favorables au projet, l’avocate Catherine Schlegel a mis en avant le principe d’égalité territoriale dont l’agglomération de Castres-Mazamet “n’a pas à être privée”.En réponse, l’avocate des associations opposées à l’A69, Julie Rover, a d’abord rappelé que la cour administrative d’appel de Toulouse se trouvait dans la position de clore l'”exceptionnelle saga juridictionnelle” qui a entouré le chantier de l’autoroute. Celle-ci comprend “53.000 pages de procédure”, avait rappelé le président de la cour, Denis Chabert, en ouverture des débats.”Le droit et les avis techniques plaident pour la confirmation de la décision de première instance”, a soutenu Me Rover pour qui “l’anomalie juridique” serait un arrêt de la cour conforme à la position du rapporteur public.- “Espoir trop mince” -Marine Yzquierdo, autre avocate des opposants, est de son côté revenue sur le rejet de la demande de récusation que les anti-A69 et leurs conseils avaient déposée il y a quelques jours.Elle visait plusieurs magistrats siégeant jeudi, dont M. Chabert, au motif qu’ils avaient déjà participé à une première décision sur l’autoroute A69, autorisant en mai une reprise des travaux dans l’attente de l’audience d’appel.Elle a confié n’avoir “plus le cœur à plaider”, ayant “l’impression que les dés sont jetés”. Pour autant, affirmant “croire encore à la justice”, elle a appelé les cinq magistrats de la composition élargie de la cour à ne pas participer à une “politique de démolition massive du droit de l’environnement”.”La juridiction essaie de faire ce qu’elle doit faire”, a déclaré en clôture de l’audience M. Chabert, reconnaissant que l’A69 constituait un dossier “hors normes”. “Hors normes dans sa dimension mais pas hors du droit”, a-t-il souligné, avant d’annoncer la date du 30 décembre.A l’issue des débats, la défense des anti-A69 ne cachait pas son pessimisme. “L’espoir est mince, trop mince (…). Je pense que la décision sera négative et nous porterons l’affaire devant le Conseil d’Etat, évidemment”, a déclaré à l’AFP Alice Terrasse, avocate de collectifs opposés à l’A69.Parallèlement, les anti-A69 ont ouvert un autre front juridique. Dénonçant un chantier qui s’est étendu sur des “emprises hors autorisation”, ils ont saisi mardi le procureur de la République “afin qu’il puisse obtenir la suspension du chantier, c’est une autre voie qui est mobilisée, à défaut d’avoir pu obtenir la suspension devant le juge administratif”, a ajouté l’avocate.

Avenir du chantier de l’A69: décision le 30 décembre, les opposants pessimistes

La cour administrative d’appel de Toulouse doit rendre le 30 décembre son arrêt sur la validité de l’autorisation environnementale de l’autoroute A69, les opposants ne cachant pas leur pessimisme après une audience où le rapporteur public a recommandé la poursuite des travaux.Etant donné la “taille critique” du bassin de population et d’emploi des villes de Castres et de Mazamet, dans le sud du Tarn, il est, selon le rapporteur Frédéric Diard, “difficile de lui dénier la nécessité d’une liaison autoroutière” avec la métropole toulousaine.Dans ce dossier, devenu depuis deux ans un symbole des luttes écologiques, ce magistrat, dont la fonction est d’éclairer les juridictions administratives et dont l’avis est en général suivi, estime en outre que l’autoroute A69 fait partie “des conditions favorables” au développement de cette zone et lui permettra d’être reliée aux “grands équipements régionaux” présents à Toulouse (aéroport, universités, hôpitaux, etc.).”Si vous nous suivez dans nos conclusions, vous annulerez le jugement du tribunal administratif de Toulouse”, a conclu M. Diard, soutenant que l’autorisation environnementale de ce chantier, accordée par l’Etat, mais invalidée par cette première juridiction, était bien conforme au droit.Le tribunal toulousain avait à l’époque considéré que la future liaison de 53 km ne présentait pas de Raison impérative d’intérêt public majeur (RIIPM), une condition juridique nécessaire pour autoriser les atteintes à l’environnement liées à des projets d’infrastructure comme l’A69.- “Saga juridictionnelle” -En appui du rapporteur public pour l’Etat, Eric Sacher, sous-directeur des affaires juridiques au ministère de la Transition écologique, a estimé que la décision du tribunal constituait une “anomalie” que la cour devait désormais corriger.Du côté des collectivités locales favorables au projet, l’avocate Catherine Schlegel a mis en avant le principe d’égalité territoriale dont l’agglomération de Castres-Mazamet “n’a pas à être privée”.En réponse, l’avocate des associations opposées à l’A69, Julie Rover, a d’abord rappelé que la cour administrative d’appel de Toulouse se trouvait dans la position de clore l'”exceptionnelle saga juridictionnelle” qui a entouré le chantier de l’autoroute. Celle-ci comprend “53.000 pages de procédure”, avait rappelé le président de la cour, Denis Chabert, en ouverture des débats.”Le droit et les avis techniques plaident pour la confirmation de la décision de première instance”, a soutenu Me Rover pour qui “l’anomalie juridique” serait un arrêt de la cour conforme à la position du rapporteur public.- “Espoir trop mince” -Marine Yzquierdo, autre avocate des opposants, est de son côté revenue sur le rejet de la demande de récusation que les anti-A69 et leurs conseils avaient déposée il y a quelques jours.Elle visait plusieurs magistrats siégeant jeudi, dont M. Chabert, au motif qu’ils avaient déjà participé à une première décision sur l’autoroute A69, autorisant en mai une reprise des travaux dans l’attente de l’audience d’appel.Elle a confié n’avoir “plus le cœur à plaider”, ayant “l’impression que les dés sont jetés”. Pour autant, affirmant “croire encore à la justice”, elle a appelé les cinq magistrats de la composition élargie de la cour à ne pas participer à une “politique de démolition massive du droit de l’environnement”.”La juridiction essaie de faire ce qu’elle doit faire”, a déclaré en clôture de l’audience M. Chabert, reconnaissant que l’A69 constituait un dossier “hors normes”. “Hors normes dans sa dimension mais pas hors du droit”, a-t-il souligné, avant d’annoncer la date du 30 décembre.A l’issue des débats, la défense des anti-A69 ne cachait pas son pessimisme. “L’espoir est mince, trop mince (…). Je pense que la décision sera négative et nous porterons l’affaire devant le Conseil d’Etat, évidemment”, a déclaré à l’AFP Alice Terrasse, avocate de collectifs opposés à l’A69.Parallèlement, les anti-A69 ont ouvert un autre front juridique. Dénonçant un chantier qui s’est étendu sur des “emprises hors autorisation”, ils ont saisi mardi le procureur de la République “afin qu’il puisse obtenir la suspension du chantier, c’est une autre voie qui est mobilisée, à défaut d’avoir pu obtenir la suspension devant le juge administratif”, a ajouté l’avocate.

Emeutes de 2024 en Nouvelle-Calédonie: l’Etat condamné à verser 28 millions d’euros à Allianz

Le tribunal administratif de Nouméa a condamné jeudi l’Etat à verser plus de 28 millions d’euros à l’assureur Allianz, jugeant sa “responsabilité” engagée dans les dégâts causés lors des émeutes de mai 2024 pour n’avoir pas mis en place “un niveau raisonnable de sécurité”.L’Etat n’a pas tiré les conséquences “des alertes et des demandes formulées par le haut-commissaire de la République et de la multiplicité des signaux significatifs et convergents témoignant de la forte probabilité d’une insurrection à venir”, a écrit le tribunal dans sa décision.Le tribunal a estimé que, dans les jours précédant les violences, “l’État disposait en amont de délais suffisants pour mettre en place les mesures appropriées pour assurer un niveau raisonnable de sécurité”.La juridiction était saisie de quatorze requêtes déposées par Allianz, assureur de plusieurs commerces de la zone commerciale de Kenu In, dans le Grand Nouméa, incendiés et pillés entre le 15 et le 17 mai 2024.Des émeutes, en lien avec la contestation par le camp indépendantiste d’une réforme électorale, avaient éclaté le 13 mai 2024 au soir dans l’archipel, provoquant les violences les plus graves depuis les années 1980. Des centaines d’entreprises et des bâtiments publics avaient été pillés et incendiés pour des dégâts estimés au total à plus de deux milliards d’euros, et quatorze personnes au total ont perdu la vie.Kenu In, ouvert en 1989, était le plus grand centre commercial de Nouvelle-Calédonie avec 12.000 m2 de surfaces commerciales et 600 personnes employées. L’enseigne Decathlon a été la première à être prise pour cible par les émeutiers, le 15 mai. Deux jours plus tard, l’ensemble des commerces avait été pillé puis incendié.Cette condamnation intervient alors que plusieurs assureurs ont annoncé, depuis fin 2024, limiter fortement leur présence ou la couverture des risques liés aux dommages aux biens dans les outre-mer, jugeant le risque d’émeutes devenu trop fréquent et trop coûteux.Les représentants patronaux alertent eux depuis des mois sur les difficultés croissantes à assurer les entreprises.

US Senate set to sink twin health plans as time bomb ticks

US senators were set to vote Thursday on dueling health care plans that are both expected to be rejected, with millions of Americans facing soaring premiums and the issue poised to be a major flashpoint in next year’s midterm elections.President Donald Trump has remained largely disengaged from Capitol Hill negotiations, according to lawmakers in both parties, reluctant to spearhead a major health care push and declining to endorse any proposal to extend expiring subsidies.Without action, insurance payments for more than 20 million low- and middle-income Americans are projected to more than double in January, raising the political stakes as Washington edges into a campaign season defined by cost-of-living pressures.Neither the Democratic nor Republican proposal has much chance of advancing, however, leaving looming uncertainty over enhanced Affordable Care Act (ACA) subsidies that expire on December 31. The vote on the Democratic plan — a three-year extension of the subsidies — was secured last month as part of the deal that ended a record 43-day government shutdown. But while Republican Majority Leader John Thune agreed to hold the vote, he has not promised its success, and Republicans appear unified in opposition.Under pressure from moderates and senators up for reelection, Thune agreed to bring forward a Republican alternative for a vote alongside the Democratic bill. This plan would replace subsidies with contributions to Health Savings Accounts to help cover out-of-pocket expenses. But it too has little hope of reaching the 60-vote threshold, with only 53 Republicans making up the majority.The average payment is expected to rise by roughly 114 percent — an extra $1,000–$1,500 in annual premiums for a typical family — according to health policy research group KFF. – ‘Half-baked ideas’ -Up to seven million ACA enrollees could lose their coverage altogether, statistical modeling indicates, and most are expected to become uninsured rather than switching to other plans. Thune, however, signaled that Thursday’s defeats might open the way for talks in 2026. “When we get through this exercise this week the question is, ‘Are there enough Democrats who want to fix the problem?'” he told reporters on Wednesday, adding that he believed there was “a path forward.””Obviously we don’t have a lot of time to do this, but I think there are ways in which you could, where there’s a will.”Republicans say they are unwilling to back a clean extension but believe the broader issue of rising health costs can be addressed early next year, potentially as part of negotiations over government funding due to expire on January 30. They are hoping to use special Senate procedures to circumvent the 60-vote rule and go it alone, arguing that Democrats have little incentive to compromise in an election year — a calculation the minority party denies.In the House, the landscape is even more fractured. Multiple Republicans — including the leadership — unveiled a plethora of ideas aimed at lowering costs, though none includes extending ACA subsidies or looks to have sufficient backing. With competing petitions, no unified House strategy, and little sign of leadership buy-in, the chances of a bipartisan compromise emerging before year’s end appear slim.Senate Minority Leader Chuck Schumer called on Republicans to abandon their “hodgepodge of half-baked ideas” in a floor speech Wednesday and back the Democratic health care effort.”What we need to do is prevent premiums from skyrocketing, and only our bill does that,” he said. “It’s the last train out of the station to avoid these sky-high premiums from going up and up and up.”

Real Madrid: le match de la dernière chance pour Xabi Alonso ?

Sur la sellette après deux défaites de suite au Santiago Bernabéu, l’entraîneur du Real Madrid Xabi Alonso aura une dernière chance de sauver sa peau dimanche face à Alavés, en espérant que ses joueurs confirment leur sursaut collectif.Tombé les armes à la main mercredi face au Manchester City de son mentor Pep Guardiola (2-1), le technicien basque a gagné un peu de temps avec un revers jugé encourageant dans le jeu, trois jours après une humiliation face au Celta Vigo (2-0).”La défaite d’aujourd’hui n’était pas un match où l’on peut blâmer Xabi, ni évoquer un licenciement précipité. Cette équipe est affaiblie, en difficulté, mais elle s’est inclinée avec courage face à un adversaire supérieur”, résume le quotidien Marca, qui qualifiait pourtant ce match de “finale” pour Xabi Alonso.Sans sa superstar Kylian Mbappé, touché au genou gauche, l’ex-milieu de terrain du Real, de Liverpool et du Bayern a tout tenté pour faire basculer son destin du bon côté en faisant rentrer tous ses attaquants disponibles en fin de rencontre, y compris le jeune brésilien Endrick, en vain.Malgré le meilleur visage montré par ses joueurs sur le terrain, son crédit semble aujourd’hui épuisé aux yeux des dirigeants madrilènes, pour qui une troisième défaite de suite en une semaine serait sans doute celle de trop. Et précipiterait la fin de son projet collectif, après seulement sept mois sur le banc. Une victoire, en revanche, donnerait un peu d’air à l’entraîneur merengue, qui aurait ensuite jusqu’à Noël, voire jusqu’à la Supercoupe d’Espagne début janvier, pour renverser la situation, selon la presse espagnole.- “On soutiendra le coach à mort” -“Nous avons montré que nous sommes une équipe soudée. Tout le monde ici soutiendra le coach à mort. Et c’est en gagnant dimanche (à Alavés, en championnat) que nous changerons cette dynamique”, a résumé le gardien belge Thibaut Courtois après la défaite de mercredi, prônant l’unité, comme les autres joueurs interrogés par la presse, Rodrygo, Raul Asencio et Jude Bellingham.”Je ressens le soutien et l’affection de mes joueurs. (…) Je n’ai rien à leur reprocher, ils se sont battus jusqu’à la fin et n’ont pas baissé les bras. Il faut affronter tout cela avec calme, car tout peut changer très rapidement. Le temps nous dira si ce soir était un point de bascule de notre saison”, a estimé Alonso.Du temps, justement, il n’en a plus beaucoup. Car à Madrid les résultats priment souvent sur la qualité de jeu, et un bilan de deux victoires sur ses huit derniers matchs n’est pas acceptable, ni pour les supporters merengues ni pour ses dirigeants.C’est donc chez lui, au Pays basque, à Vitoria, où joue le club d’Alavés, que Xabi Alonso jouera son avenir, sans savoir s’il pourra compter sur son meilleur buteur Kylian Mbappé, et privé de la quasi-totalité de ses défenseurs, blessés (Carvajal, Militao, Huijsen, Alexander-Arnold, Alaba Mendy) ou suspendus (Carreras, Fran Garcia).Il aura cependant une certitude: contrairement aux affirmations de la presse espagnole ces dernières semaines, il n’est pas seul.