Près de 70 morts dans les inondations au Texas, les recherches de plus en plus désespérées

Le bilan des inondations au Texas, dans le sud des Etats-Unis, avoisine désormais les 70 morts et va encore s’alourdir, ont annoncé dimanche les autorités locales, engagées dans la recherche de plus en plus désespérée d’enfants portées disparues dans la catastrophe.Pour le seul comté de Kerr, le plus touché, “nous avons recensé 59 décès”, 38 adultes et 21 enfants, a déclaré le shérif, Larry Lethia, lors d’une conférence de presse, soulignant que ce bilan devrait encore monter dans les prochaines heures.Parmi les quelque 750 enfants participant à un camp d’été chrétien pour filles sur les rives du fleuve Guadalupe, le nombre de personnes portées disparues est désormais de 11 enfants et d’un moniteur, a précisé le shérif.”Nous assistons à la découverte de corps un peu partout”, a affirmé de son côté le responsable administratif de la ville de Kerrville, Dalton Rice.Aux 59 morts dans le comté de Kerr s’ajoutent neuf décès dénombrés dans des comtés voisins.Ces crues subites ont été provoquées par des pluies diluviennes dans le centre de l’Etat très tôt vendredi, jour de la fête nationale américaine, qui ont fait monter les eaux du Guadalupe de huit mètres en seulement 45 minutes. Il est soudain tombé près de 300 millimètres/heure de pluie, soit un tiers des précipitations annuelles moyennes.A Hunt, la localité où se trouve le camp d’été, 50 bénévoles sont venus de plusieurs villes du Texas pour participer aux recherches, par petits groupes de deux ou trois.Adam Durda, 45 ans, a fait trois heures de route avec sa femme, Amber, pour tenter de retrouver quatre jeunes d’une vingtaine d’années qui logeaient dans une maison “emportée par les flots”, à la demande de la famille de l’une d’entre elles, explique-t-il à l’AFP.- “Les aider à faire leur deuil” -Un autre bénévole, Justin Morales, 36 ans, confie avoir découvert avec ses compagnons samedi les corps de “deux petites filles”, puis dimanche matin celui d’une autre “coincée dans un arbre”, soulignant qu’il s’agissait d’une des pensionnaires du camp d’été portées disparues.”Nous sommes contents de pouvoir aider les familles à faire leur deuil”, dit-il. “C’est pour cela que nous sommes ici”, ajoute-t-il.Le président Donald Trump, qui a dépêché sur place samedi sa ministre de la Sécurité intérieure, Kristi Noem, a signé une déclaration de catastrophe afin de fournir au Texas les moyens du gouvernement fédéral. “Il y a actuellement plus de 400 secouristes de plus de 20 agences déployées dans le comté”, a indiqué le shérif Lethia.Des hélicoptères et des drones sont engagés dans les recherches et la Garde nationale du Texas ainsi que les garde-côtes des Etats-Unis ont envoyé des renforts.Le pape américain Léon XIV a exprimé dimanche ses “sincères condoléances à toutes les familles qui ont perdu des êtres chers, en particulier leurs filles qui se trouvaient dans un camp d’été lors de la tragédie”, dans une déclaration en anglais au terme de la prière de l’Angélus.Les services météorologiques maintenaient dimanche leur alerte aux inondations subites jusqu’à 19H00 locales (lundi minuit GMT).”Des précipitations supplémentaires de 50 à 100 millimètres sont possibles, avec des poches isolées dans la zone approchant les 250 millimètres. Il est très difficile de prévoir exactement où se produiront les grosses pluies dans ce cas de figure”, selon le plus récent bulletin météorologique.Les crues soudaines, provoquées par des pluies torrentielles que le sol asséché ne peut pas absorber, ne sont pas rares. Mais selon la communauté scientifique, le changement climatique provoqué par l’activité humaine a rendu plus fréquents et plus intenses les événements météorologiques comme les crues, les sécheresses et les canicules.Mi-juin, 13 personnes avaient péri en raison d’inondations à San Antonio, non loin de la zone touchée vendredi, à la suite de pluies diluviennes.

Près de 70 morts dans les inondations au Texas, les recherches de plus en plus désespérées

Le bilan des inondations au Texas, dans le sud des Etats-Unis, avoisine désormais les 70 morts et va encore s’alourdir, ont annoncé dimanche les autorités locales, engagées dans la recherche de plus en plus désespérée d’enfants portées disparues dans la catastrophe.Pour le seul comté de Kerr, le plus touché, “nous avons recensé 59 décès”, 38 adultes et 21 enfants, a déclaré le shérif, Larry Lethia, lors d’une conférence de presse, soulignant que ce bilan devrait encore monter dans les prochaines heures.Parmi les quelque 750 enfants participant à un camp d’été chrétien pour filles sur les rives du fleuve Guadalupe, le nombre de personnes portées disparues est désormais de 11 enfants et d’un moniteur, a précisé le shérif.”Nous assistons à la découverte de corps un peu partout”, a affirmé de son côté le responsable administratif de la ville de Kerrville, Dalton Rice.Aux 59 morts dans le comté de Kerr s’ajoutent neuf décès dénombrés dans des comtés voisins.Ces crues subites ont été provoquées par des pluies diluviennes dans le centre de l’Etat très tôt vendredi, jour de la fête nationale américaine, qui ont fait monter les eaux du Guadalupe de huit mètres en seulement 45 minutes. Il est soudain tombé près de 300 millimètres/heure de pluie, soit un tiers des précipitations annuelles moyennes.A Hunt, la localité où se trouve le camp d’été, 50 bénévoles sont venus de plusieurs villes du Texas pour participer aux recherches, par petits groupes de deux ou trois.Adam Durda, 45 ans, a fait trois heures de route avec sa femme, Amber, pour tenter de retrouver quatre jeunes d’une vingtaine d’années qui logeaient dans une maison “emportée par les flots”, à la demande de la famille de l’une d’entre elles, explique-t-il à l’AFP.- “Les aider à faire leur deuil” -Un autre bénévole, Justin Morales, 36 ans, confie avoir découvert avec ses compagnons samedi les corps de “deux petites filles”, puis dimanche matin celui d’une autre “coincée dans un arbre”, soulignant qu’il s’agissait d’une des pensionnaires du camp d’été portées disparues.”Nous sommes contents de pouvoir aider les familles à faire leur deuil”, dit-il. “C’est pour cela que nous sommes ici”, ajoute-t-il.Le président Donald Trump, qui a dépêché sur place samedi sa ministre de la Sécurité intérieure, Kristi Noem, a signé une déclaration de catastrophe afin de fournir au Texas les moyens du gouvernement fédéral. “Il y a actuellement plus de 400 secouristes de plus de 20 agences déployées dans le comté”, a indiqué le shérif Lethia.Des hélicoptères et des drones sont engagés dans les recherches et la Garde nationale du Texas ainsi que les garde-côtes des Etats-Unis ont envoyé des renforts.Le pape américain Léon XIV a exprimé dimanche ses “sincères condoléances à toutes les familles qui ont perdu des êtres chers, en particulier leurs filles qui se trouvaient dans un camp d’été lors de la tragédie”, dans une déclaration en anglais au terme de la prière de l’Angélus.Les services météorologiques maintenaient dimanche leur alerte aux inondations subites jusqu’à 19H00 locales (lundi minuit GMT).”Des précipitations supplémentaires de 50 à 100 millimètres sont possibles, avec des poches isolées dans la zone approchant les 250 millimètres. Il est très difficile de prévoir exactement où se produiront les grosses pluies dans ce cas de figure”, selon le plus récent bulletin météorologique.Les crues soudaines, provoquées par des pluies torrentielles que le sol asséché ne peut pas absorber, ne sont pas rares. Mais selon la communauté scientifique, le changement climatique provoqué par l’activité humaine a rendu plus fréquents et plus intenses les événements météorologiques comme les crues, les sécheresses et les canicules.Mi-juin, 13 personnes avaient péri en raison d’inondations à San Antonio, non loin de la zone touchée vendredi, à la suite de pluies diluviennes.

Près de 70 morts dans les inondations au Texas, les recherches de plus en plus désespérées

Le bilan des inondations au Texas, dans le sud des Etats-Unis, avoisine désormais les 70 morts et va encore s’alourdir, ont annoncé dimanche les autorités locales, engagées dans la recherche de plus en plus désespérée d’enfants portées disparues dans la catastrophe.Pour le seul comté de Kerr, le plus touché, “nous avons recensé 59 décès”, 38 adultes et 21 enfants, a déclaré le shérif, Larry Lethia, lors d’une conférence de presse, soulignant que ce bilan devrait encore monter dans les prochaines heures.Parmi les quelque 750 enfants participant à un camp d’été chrétien pour filles sur les rives du fleuve Guadalupe, le nombre de personnes portées disparues est désormais de 11 enfants et d’un moniteur, a précisé le shérif.”Nous assistons à la découverte de corps un peu partout”, a affirmé de son côté le responsable administratif de la ville de Kerrville, Dalton Rice.Aux 59 morts dans le comté de Kerr s’ajoutent neuf décès dénombrés dans des comtés voisins.Ces crues subites ont été provoquées par des pluies diluviennes dans le centre de l’Etat très tôt vendredi, jour de la fête nationale américaine, qui ont fait monter les eaux du Guadalupe de huit mètres en seulement 45 minutes. Il est soudain tombé près de 300 millimètres/heure de pluie, soit un tiers des précipitations annuelles moyennes.A Hunt, la localité où se trouve le camp d’été, 50 bénévoles sont venus de plusieurs villes du Texas pour participer aux recherches, par petits groupes de deux ou trois.Adam Durda, 45 ans, a fait trois heures de route avec sa femme, Amber, pour tenter de retrouver quatre jeunes d’une vingtaine d’années qui logeaient dans une maison “emportée par les flots”, à la demande de la famille de l’une d’entre elles, explique-t-il à l’AFP.- “Les aider à faire leur deuil” -Un autre bénévole, Justin Morales, 36 ans, confie avoir découvert avec ses compagnons samedi les corps de “deux petites filles”, puis dimanche matin celui d’une autre “coincée dans un arbre”, soulignant qu’il s’agissait d’une des pensionnaires du camp d’été portées disparues.”Nous sommes contents de pouvoir aider les familles à faire leur deuil”, dit-il. “C’est pour cela que nous sommes ici”, ajoute-t-il.Le président Donald Trump, qui a dépêché sur place samedi sa ministre de la Sécurité intérieure, Kristi Noem, a signé une déclaration de catastrophe afin de fournir au Texas les moyens du gouvernement fédéral. “Il y a actuellement plus de 400 secouristes de plus de 20 agences déployées dans le comté”, a indiqué le shérif Lethia.Des hélicoptères et des drones sont engagés dans les recherches et la Garde nationale du Texas ainsi que les garde-côtes des Etats-Unis ont envoyé des renforts.Le pape américain Léon XIV a exprimé dimanche ses “sincères condoléances à toutes les familles qui ont perdu des êtres chers, en particulier leurs filles qui se trouvaient dans un camp d’été lors de la tragédie”, dans une déclaration en anglais au terme de la prière de l’Angélus.Les services météorologiques maintenaient dimanche leur alerte aux inondations subites jusqu’à 19H00 locales (lundi minuit GMT).”Des précipitations supplémentaires de 50 à 100 millimètres sont possibles, avec des poches isolées dans la zone approchant les 250 millimètres. Il est très difficile de prévoir exactement où se produiront les grosses pluies dans ce cas de figure”, selon le plus récent bulletin météorologique.Les crues soudaines, provoquées par des pluies torrentielles que le sol asséché ne peut pas absorber, ne sont pas rares. Mais selon la communauté scientifique, le changement climatique provoqué par l’activité humaine a rendu plus fréquents et plus intenses les événements météorologiques comme les crues, les sécheresses et les canicules.Mi-juin, 13 personnes avaient péri en raison d’inondations à San Antonio, non loin de la zone touchée vendredi, à la suite de pluies diluviennes.

BRICS nations hit out at Trump tariffs

BRICS leaders descended on sunny Rio de Janeiro Sunday, but issued a dark warning that US President Donald Trump’s “indiscriminate” import tariffs risk hurting the global economy.The 11 emerging nations — including Brazil, Russia, India, China and South Africa — represent about half the world’s population and 40 percent of global economic output.The bloc is divided about much, but found common cause when it comes to the mercurial US leader and his stop-start tariff wars.The BRICS leaders voiced “serious concerns about the rise of unilateral tariff and non-tariff measures,” warning they are illegal and arbitrary, according to a final summit statement.In April, Trump threatened allies and rivals alike with a slew of punitive duties, but abruptly offered a reprieve in the face of a fierce market sell-off.Trump has warned they will again impose unilateral levies on partners unless they reach “deals” by August 1.The BRICS said such moves break world trade rules, threaten to further reduce global trade and were “affecting prospects for global economic development.”The summit declaration did not mention the United States or its president by name, but it is a clear political volley directed at the occupant of 1600 Pennsylvania Avenue.The Peterson Institute for International Economics, a Washington think tank, estimates Trump’s tariffs could trim about two points off US GDP and hit economies from Mexico to the oil-rich Arabian Gulf. – No show -Conceived two decades ago as a forum for fast-growing economies, the BRICS have come to be seen as a Chinese-driven counterbalance to Western power. But as the group has expanded to include Iran, Indonesia and others, it has struggled to reach meaningful consensus on issues ranging from the Gaza war to reforming international institutions.  The political punch of this year’s summit has been depleted by the absence of China’s Xi Jinping, who is skipping the meeting for the first time in his 12 years as president.The Chinese leader is not be the only notable absentee. Russian President Vladimir Putin, charged with war crimes in Ukraine, is also opting to stay away, but participated via video link.He told counterparts that the influence of BRICS “continues to grow” and said the bloc had become a key player in global governance.Still, Xi’s no-show is a blow to BRICS and to host President Luiz Inacio Lula da Silva, who wants Brazil to play a bigger role on the world stage.- War and peace -On Sunday he welcomed leaders to Rio’s stunning Guanabara Bay, telling them that multilateralism was under attack, while hitting out at NATO and Israel, among others.He accused the trans-Atlantic defense organization of fueling an international arms race through a pledge by members to spend five percent of GDP on defense.”It is always easier to invest in war than in peace,” he said, while accusing Israel of carrying out “genocide” in Gaza.Iran’s President Masoud Pezeshkian, whose nation is still reeling from a 12-day conflict with Israel, is also skipping the meeting, but he was represented by Foreign Minister Abbas Araghchi.Still, Iran won the diplomatic backing of its allies over Israel and the United States’ recent bombing of Iranian military, nuclear and other sites.Tehran’s allies condemned the strikes, and voiced “serious concern over deliberate attacks on civilian infrastructure and peaceful nuclear facilities.”The United States, Israel and European nations accuse Iran of using a civilian nuclear program as cover to create a nuclear bomb. The BRICS bloc did not explicitly mention Israel or the United States in the condemnation of the recent attacks, in a concession to members such as hosts Brazil who also enjoy close ties with Western nations.The 2026 BRICS summit is set to be hosted by India, Prime Minister Narendra Modi told the gathering.

BRICS nations hit out at Trump tariffs

BRICS leaders descended on sunny Rio de Janeiro Sunday, but issued a dark warning that US President Donald Trump’s “indiscriminate” import tariffs risk hurting the global economy.The 11 emerging nations — including Brazil, Russia, India, China and South Africa — represent about half the world’s population and 40 percent of global economic output.The bloc is divided about much, but found common cause when it comes to the mercurial US leader and his stop-start tariff wars.The BRICS leaders voiced “serious concerns about the rise of unilateral tariff and non-tariff measures,” warning they are illegal and arbitrary, according to a final summit statement.In April, Trump threatened allies and rivals alike with a slew of punitive duties, but abruptly offered a reprieve in the face of a fierce market sell-off.Trump has warned they will again impose unilateral levies on partners unless they reach “deals” by August 1.The BRICS said such moves break world trade rules, threaten to further reduce global trade and were “affecting prospects for global economic development.”The summit declaration did not mention the United States or its president by name, but it is a clear political volley directed at the occupant of 1600 Pennsylvania Avenue.The Peterson Institute for International Economics, a Washington think tank, estimates Trump’s tariffs could trim about two points off US GDP and hit economies from Mexico to the oil-rich Arabian Gulf. – No show -Conceived two decades ago as a forum for fast-growing economies, the BRICS have come to be seen as a Chinese-driven counterbalance to Western power. But as the group has expanded to include Iran, Indonesia and others, it has struggled to reach meaningful consensus on issues ranging from the Gaza war to reforming international institutions.  The political punch of this year’s summit has been depleted by the absence of China’s Xi Jinping, who is skipping the meeting for the first time in his 12 years as president.The Chinese leader is not be the only notable absentee. Russian President Vladimir Putin, charged with war crimes in Ukraine, is also opting to stay away, but participated via video link.He told counterparts that the influence of BRICS “continues to grow” and said the bloc had become a key player in global governance.Still, Xi’s no-show is a blow to BRICS and to host President Luiz Inacio Lula da Silva, who wants Brazil to play a bigger role on the world stage.- War and peace -On Sunday he welcomed leaders to Rio’s stunning Guanabara Bay, telling them that multilateralism was under attack, while hitting out at NATO and Israel, among others.He accused the trans-Atlantic defense organization of fueling an international arms race through a pledge by members to spend five percent of GDP on defense.”It is always easier to invest in war than in peace,” he said, while accusing Israel of carrying out “genocide” in Gaza.Iran’s President Masoud Pezeshkian, whose nation is still reeling from a 12-day conflict with Israel, is also skipping the meeting, but he was represented by Foreign Minister Abbas Araghchi.Still, Iran won the diplomatic backing of its allies over Israel and the United States’ recent bombing of Iranian military, nuclear and other sites.Tehran’s allies condemned the strikes, and voiced “serious concern over deliberate attacks on civilian infrastructure and peaceful nuclear facilities.”The United States, Israel and European nations accuse Iran of using a civilian nuclear program as cover to create a nuclear bomb. The BRICS bloc did not explicitly mention Israel or the United States in the condemnation of the recent attacks, in a concession to members such as hosts Brazil who also enjoy close ties with Western nations.The 2026 BRICS summit is set to be hosted by India, Prime Minister Narendra Modi told the gathering.

BRICS nations hit out at Trump tariffs

BRICS leaders descended on sunny Rio de Janeiro Sunday, but issued a dark warning that US President Donald Trump’s “indiscriminate” import tariffs risk hurting the global economy.The 11 emerging nations — including Brazil, Russia, India, China and South Africa — represent about half the world’s population and 40 percent of global economic output.The bloc is divided about much, but found common cause when it comes to the mercurial US leader and his stop-start tariff wars.The BRICS leaders voiced “serious concerns about the rise of unilateral tariff and non-tariff measures,” warning they are illegal and arbitrary, according to a final summit statement.In April, Trump threatened allies and rivals alike with a slew of punitive duties, but abruptly offered a reprieve in the face of a fierce market sell-off.Trump has warned they will again impose unilateral levies on partners unless they reach “deals” by August 1.The BRICS said such moves break world trade rules, threaten to further reduce global trade and were “affecting prospects for global economic development.”The summit declaration did not mention the United States or its president by name, but it is a clear political volley directed at the occupant of 1600 Pennsylvania Avenue.The Peterson Institute for International Economics, a Washington think tank, estimates Trump’s tariffs could trim about two points off US GDP and hit economies from Mexico to the oil-rich Arabian Gulf. – No show -Conceived two decades ago as a forum for fast-growing economies, the BRICS have come to be seen as a Chinese-driven counterbalance to Western power. But as the group has expanded to include Iran, Indonesia and others, it has struggled to reach meaningful consensus on issues ranging from the Gaza war to reforming international institutions.  The political punch of this year’s summit has been depleted by the absence of China’s Xi Jinping, who is skipping the meeting for the first time in his 12 years as president.The Chinese leader is not be the only notable absentee. Russian President Vladimir Putin, charged with war crimes in Ukraine, is also opting to stay away, but participated via video link.He told counterparts that the influence of BRICS “continues to grow” and said the bloc had become a key player in global governance.Still, Xi’s no-show is a blow to BRICS and to host President Luiz Inacio Lula da Silva, who wants Brazil to play a bigger role on the world stage.- War and peace -On Sunday he welcomed leaders to Rio’s stunning Guanabara Bay, telling them that multilateralism was under attack, while hitting out at NATO and Israel, among others.He accused the trans-Atlantic defense organization of fueling an international arms race through a pledge by members to spend five percent of GDP on defense.”It is always easier to invest in war than in peace,” he said, while accusing Israel of carrying out “genocide” in Gaza.Iran’s President Masoud Pezeshkian, whose nation is still reeling from a 12-day conflict with Israel, is also skipping the meeting, but he was represented by Foreign Minister Abbas Araghchi.Still, Iran won the diplomatic backing of its allies over Israel and the United States’ recent bombing of Iranian military, nuclear and other sites.Tehran’s allies condemned the strikes, and voiced “serious concern over deliberate attacks on civilian infrastructure and peaceful nuclear facilities.”The United States, Israel and European nations accuse Iran of using a civilian nuclear program as cover to create a nuclear bomb. The BRICS bloc did not explicitly mention Israel or the United States in the condemnation of the recent attacks, in a concession to members such as hosts Brazil who also enjoy close ties with Western nations.The 2026 BRICS summit is set to be hosted by India, Prime Minister Narendra Modi told the gathering.