Ramaphosa labels US attacks on S.Africa ‘misinformation’Sun, 30 Nov 2025 19:20:21 GMT

South African President Cyril Ramaphosa accused the United States late on Sunday of peddling “blatant misinformation” by claiming his country was killing white people.US President Donald Trump has repeatedly attacked South Africa since returning to the White House earlier this year, pointing to false claims of “white genocide” of Afrikaners, a minority population descended from …

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En Floride, des discussions “pas faciles” entre Américains et Ukrainiens

Les discussions entre négociateurs ukrainiens et hauts responsables américains ne sont “pas faciles”, a déclaré une source proche de la délégation ukrainienne à l’AFP, après le début de la réunion dimanche en Floride visant à parler du plan américain pour mettre fin à la guerre avec la Russie.”Le processus n’est pas facile, car la recherche de formulation et de solutions se poursuit”, a déclaré cette source, précisant toutefois que la discussion était “constructive” et que “tout le monde souhait(ait) un résultat concret afin d’avoir un sujet de négociations ultérieures entre les Etats-Unis et la Russie”.Une autre source haut placée, informée sur les négociations en cours, a déclaré à l’AFP que les Américains, lors de ces discussions, voulaient que “les points finaux (du plan) soient convenus et qu’ils puissent aller à Moscou”.Les négociateurs ukrainiens, dirigés par Roustem Oumerov, et le secrétaire d’Etat américain, Marco Rubio, accompagné par l’envoyé spécial de Donald Trump, Steve Witkoff, ainsi que le gendre du président américain, Jared Kushner, ont débuté la réunion aux environs de 10H10 locales (15H10 GMT).”Il ne s’agit pas simplement de mettre fin à la guerre (…). Il s’agit d’ouvrir une voie pour permettre à l’Ukraine de rester souveraine, indépendante et prospère”, a déclaré le chef de la diplomatie américaine au début de la réunion.Le chef de la délégation ukrainienne, Roustem Oumerov, a affirmé de son côté qu’il voulait discuter avec les Américains de la sécurité de l’Ukraine et la reconstruction du pays. Dans un message sur X, il a affirmé que sa délégation avait pour mission de “garantir les intérêts de l’Ukraine”, ajoutant qu’elle “rendra(it) compte des discussions au président ukrainien (Volodymyr Zelensky), une fois les réunions d’aujourd’hui terminées”.Ces discussions se déroulent dans un contexte militaire tendu. Alors que l’armée russe progresse dans l’est du pays, une attaque de drones a fait au moins un mort et 11 blessés dans la nuit de samedi à dimanche près de Kiev. Les pourparlers dimanche devraient reprendre sur la base d’amendements du plan américain négociés il y a une semaine à Genève entre Américains, Ukrainiens et Européens, a souligné M. Zelensky.- “Dignité” -Les Etats-Unis ont présenté il y a dix jours un projet en 28 points censé mettre fin au conflit déclenché par l’offensive russe contre l’Ukraine en février 2022. Accusé d’être très favorable à Moscou, ce plan a été amendé et doit être finalisé avec l’approbation des belligérants et des Européens, même si Kiev craint de devoir faire d’importantes concessions.”La partie américaine est constructive et dans les jours à venir, il sera possible de préciser les étapes à suivre pour déterminer comment mettre fin à la guerre dans la dignité”, a réaffirmé samedi le président ukrainien.Son homologue français, Emmanuel Macron, le recevra de nouveau lundi à Paris, quelques jours après le limogeage de son bras droit extrêmement influent Andrïi Iermak, à la suite d’une vaste enquête anticorruption dans le secteur de l’énergie.Par ailleurs, Marco Rubio ne se rendra pas à la réunion des ministres des Affaires étrangères des pays de l’Otan la semaine prochaine, malgré les inquiétudes des alliés concernant le plan américain pour l’Ukraine. Steve Witkoff est quant à lui attendu à Moscou. – Drones navals -Samedi, des drones navals ont été lancés contre un terminal pétrolier majeur dans le port russe de Novorossiïsk.Ce terminal permet d’exporter le pétrole acheminé par l’un des oléoducs les plus importants au monde, qui part de champs pétrolifères du Kazakhstan au bord de la mer Caspienne et traverse la Russie vers la mer Noire. Le Caspian Pipeline Consortium, qui exploite cet oléoduc, a affirmé qu’une “attaque terroriste” de drones navals avait mis hors d’usage l’une des trois bouées d’amarrage du terminal permettant le chargement en mer des pétroliers.Les autorités du Kazakhstan ont accusé l’Ukraine d’être à l’origine de l’attaque, l’appelant à cesser ses frappes.Kiev n’a de son côté pas réagi. Ces derniers mois, l’armée ukrainienne vise régulièrement des sites pétroliers et des raffineries en Russie pour tenter de perturber la rente des hydrocarbures permettant à Moscou de financer son effort de guerre. De son côté, Moscou poursuit ses attaques nocturnes massives sur l’Ukraine.burs-eml/cyb

Trump officials host crucial Ukraine talks in Florida

US Secretary of State Marco Rubio on Sunday hosted high stakes talks with a Ukrainian delegation on Washington’s plan to end Russia’s war with its neighbor — discussions a source close to Kyiv’s team characterized as “not easy.”The talks in Florida come as Kyiv faces mounting military and political pressure, along with the fallout from a corruption scandal. They could set the stage for next week’s visit to Moscow by President Donald Trump’s envoy Steve Witkoff, who is expected to discuss Ukraine diplomacy.”This is not just about peace deals. It’s about creating a pathway forward that leaves Ukraine sovereign, independent and prosperous,” Rubio said at the start of the negotiations.Witkoff and Trump’s son-in-law Jared Kushner were also attending the meeting in Hallandale Beach, north of Miami.Ukraine’s security council secretary Rustem Umerov led Kyiv’s delegation, which also included Andrii Hnatov, the chief of staff of Ukraine’s armed forces, and presidential adviser Oleksandr Bevz.”We are discussing about the future of Ukraine, about the security of Ukraine, about no repetition of aggression of Ukraine, about prosperity of Ukraine, about how to rebuild Ukraine,” Umerov said as the talks kicked off.A source close to the Kyiv delegation, however, cautioned that “the process is not easy because the search for formulations and solutions continues.” The exchanges had nevertheless been “constructive,” the source told AFP.The US talks come amid turbulence for Ukrainian President Volodymyr Zelensky and his government. A blockbuster corruption probe forced him to sack his chief of staff and top negotiator, Andriy Yermak, on Friday.Rubio had met with Yermak only a week ago during another round of talks in Geneva.In a separate post on the platform X, Umerov said he was in “constant contact” with Zelensky as the Florida meeting progressed. “We have clear directives and priorities: safeguarding Ukrainian interests, ensuring substantive dialogue, and advancing on the basis of the progress achieved in Geneva,” Umerov wrote.”We are working to secure real peace for Ukraine and reliable, long-term security guarantees.”- Flurry of diplomacy -Washington has put forward a plan to end the nearly four-year conflict and is seeking to finalize it with Moscow and Kyiv’s approval.An initial 28-point proposal — drafted without input from Ukraine’s European allies — would have seen Kyiv withdraw from its eastern Donetsk region and the United States de facto recognize the Donetsk, Crimea and Lugansk regions as Russian.The United States pared back the original draft following criticism from Kyiv and Europe, but the current contents remain unclear.After the Florida negotiations, French President Emmanuel Macron is set to host Zelensky for talks in Paris on Monday.Separately next week, Rubio is set to skip a meeting of NATO foreign ministers despite allies’ concerns about the US plan for Ukraine. However, Witkoff is expected in Moscow to discuss Ukraine diplomacy.The flurry of diplomacy comes as the war — which has killed tens of thousands of civilians and military personnel and displaced millions of Ukrainians — shows no sign of easing.- Russian oil terminal hit – Ahead of the Florida talks, Russia’s forces targeted Ukraine’s capital and the region for two nights in a row as they advanced on the front line. A drone attack in the outskirts of Kyiv killed one person and wounded 11 on Saturday night, the regional governor said.Hours earlier, a Ukrainian security source said Kyiv was responsible for attacks on two oil tankers in the Black Sea that it believed were covertly transporting sanctioned Russian oil.One of Russia’s largest oil terminals halted operations on Saturday following an attack by sea drones.The Caspian Pipeline Consortium (CPC), a group that includes US oil majors Chevron and ExxonMobil and which owns the terminal, called the strike a “terrorist attack”.Ukraine, which did not comment on the incident, regularly targets Russian energy facilities in a bid to sap the country’s war chest as the conflict grinds through its fourth year.The CPC pipeline, which begins in Kazakhstan and ends at the terminal, is a major conduit for Kazakh oil and one of the world’s largest by volume, handling around one percent of global supplies.burs-ac/

Ligue 1: Lens prend la tête, Nice n’en finit plus de perdre

Grâce à son succès à Angers (2-1), les Lensois, portés par Florian Thauvin, ont pris dimanche la tête de la Ligue 1, alors que Nice n’en finit pas de perdre, enregistrant son 6e revers consécutif, cette fois contre Lorient (3-1).Profitant de la défaite du PSG (30 pts) à Monaco (1-0) samedi et du match nul de l’OM (29 pts) face à Toulouse (2-2), Lens retrouve, 21 ans après l’avoir quitté, le fauteuil de leader de la L1.Sans Jonathan Gradit, gravement blessé cette semaine à l’entraînement, ils enregistrent leur 10e victoire en quatorze matches, grâce à un doublé de Florian Thauvin, en grande forme (2-1). Les joueurs de Pierre Sage, pressés par les Angevins en fin de match, ont bien résisté aux assauts angevins pour tenir ce résultat, avec quelques arrêts déterminant du gardien lensois. – Nice, la crise se poursuit-Les Lillois, eux, grimpent à la 4e place grâce à leur succès au Havre, signé en toute fin de match sur un but d’Hamza Igamane servi par Ethan Mbappé (1-0). Une victoire importante pour le Losc, acquise alors que les Lillois ont joué à dix quasiment la moitié du match après l’exclusion d’Ayyoub Bouaddi à la 51e minute. En revanche, la crise se poursuit à Nice: les hommes de Franck Haise qui pointent à la 10e place avec 17 points enchainent leur 4e défaite en Ligue 1, la 6e toutes compétitions confondues. Cette nouvelle défaite vient conclure un mois de novembre catastrophique, et complique encore un peu plus la situation du coach Franck Haise. Au Moustoir, Lorient a eu la maitrise tout au long du match et les Niçois ont manqué beaucoup de consistance dans le jeu, ne montrant aucun signe de révolte (3-1). Ils ont encaissé 11 buts cette semaine, après Marseille (5-1) et Porto (3-0). En bas de classement, Brest a fait une bonne opération dimanche en renversant Strasbourg (2-1) grâce à un magnifique but d’Hugo Magnetti, une frappe de 25 mètres en pleine lucarne. Chez eux à la Meinau, les Alsaciens enchainent leur deuxième revers consécutif et restent provisoirement à la 7e place, avant le match de l’OL contre Nantes. 

Ligue 1: Thauvin propulse Lens au sommet

Un doublé de Florian Thauvin a offert à Lens un succès (2-1) à Angers dimanche, synonyme de première place au classement de Ligue 1 au terme de la 14e journée, malgré une grosse frayeur en fin de match.Après la défaite du Paris SG à Monaco (0-1) et le nul concédé par Marseille dans le temps additionnel (2-2) contre Toulouse samedi, les Sang et Or n’ont pas laissé passer l’occasion de prendre une place de leader qu’ils n’avaient plus occupé depuis 21 ans, en août 2004.Ce quatrième succès de rang et le septième sur les huit dernières journées – série entrecoupée par l’accident contre Metz (0-2) – porte leur total à 31 points. Ils devancent le PSG d’une longueur et l’OM de deux.Angers pointe, lui, au 12e rang avec 16 unités.Longtemps dominateurs, mais sans être très réalistes, les hommes de Pierre Sage ont fait preuve de patience pour faire le break contre un SCO dénué de tout complexe face aux leaders potentiels et qui a joué sa chance jusqu’au bout.Une première frappe de Thauvin, trop molle (5e) et une autre totalement ratée de Mamadou Sangaré (40e) avaient concrétisé les bonnes intentions des Nordistes qui avaient aussi fait briller le portier angevin Melvin Zinga, sur deux têtes de Wesley Saïd (6e) et Matthieu Udol (44e).Mais Zinga, titularisé car Hervé Koffi ne pouvait pas jouer contre le club à qui il appartient, n’a rien pu faire sur le missile du gauche envoyé par Thauvin vers sa lucarne droite au tout début du temps additionnel (0-1, 45+1).- Lens tremble jusqu’au bout -Légèrement secoués par Pierre Sage à la pause pour augmenter un peu l’intensité, Lens a souvent acculé Angers sur son but en seconde période, Saïd obligeant Zinga à une nouvelle parade réflexe spectaculaire (56e), alors que Thauvin a raté le cadre depuis l’entrée de la surface (64e).Mais le champion du monde 2018 a ensuite profité d’un coup de pouce du dos de Jacques Ekomié pour doubler la mise très logiquement (0-2, 74e).L’euphorie n’a pas duré longtemps et Sage aura sans doute fort peu apprécié le relâchement qui a suivi, et qui aurait pu faire perdre la tête aux Lensois.Sur un centre parfait d’Amine Sbaï, Robin Risser a réalisé un miracle sur une tête à bout portant de Prosper Peter mais Djibirin Harouna a bien suivi et réduit le score de la tête (1-2, 76e).Dix minutes plus tard, il a fallu que l’arbitre Guillaume Paradis soit invité à aller voir les images sur le bord du terrain pour qu’un pénalty accordé aux locaux soit annulé.Dans le temps additionnel, Sidiki Cherif, qui avait filé sur la droite, a gâché une énorme opportunité en oubliant Peter en retrait dans l’axe pour tenter sa chance dans un angle bien fermé par Risser (90+3).La victoire des visiteurs n’en est pas moins assez logique et avec un déplacement chez le mal classé Nantes la semaine prochaine et la réception d’un Nice à la dérive, Lens peut rêver d’un Noël au sommet.

Pope urges Lebanese to embrace reconciliation, stay in crisis-hit country

Visiting Pope Leo XIV urged the Lebanese people on Sunday to embrace reconciliation and remain in their crisis-hit country, while calling on its leaders to put themselves fully at the service of their citizens.The pope, bearing what he described as a message of peace, had previously visited Turkey, where he kicked off his first overseas tour since being elected leader of the world’s 1.4 billion Catholics in May.Long hailed as a model of coexistence, multi-confessional Lebanon is nonetheless plagued by sectarian and political rifts, and has seen waves of emigration.Since 2019 it has been ravaged by successive crises, from an economic collapse widely blamed on official mismanagement and corruption, to a devastating Beirut port blast in 2020, to the recent war between militant group Hezbollah and Israel — which many Lebanese fear could return.Leo told officials, diplomats and civil society representatives in a speech at the presidential palace that “there are times when it is easier to flee, or simply more convenient to move elsewhere. It takes real courage and foresight to stay or return to one’s own country.”He urged Lebanese people to take up the “path of reconciliation”, and called on the country’s leaders to place themselves “with commitment and dedication at the service of your people”.No real reconciliation process was undertaken following Lebanon’s 1975-1990 civil war, and the latest conflict between Israel and Hezbollah has deepened divisions.- ‘Promote peace’ -Lebanon rolled out the red carpet and a 21-gun salute for Leo, who was greeted at the airport by children and a brass band as ships at the port sounded their horns. Two Lebanese military aircraft escorted his plane on descent. Hundreds of people standing along the roadside braved heavy rain to greet the pope along his route to the presidential palace.”The pope is not just for Christians but for Muslims too, and we love him a lot… We want him to bless our land,” said Zahra Nahleh, 19, from Lebanon’s war-ravaged south, who was waiting to welcome the pontiff.Leo told journalists on the plane that his tour had “a special theme of… being a messenger of peace, of wanting to promote peace throughout the region”.He went on to emphasise that theme in his speech at the presidential palace, using the word “peace” more than 20 times, without mentioning any specific conflicts, including the war between Hezbollah and Israel.The two-nation trip is something of a test for the first American pope, whose understated style contrasts with that of his charismatic and impulsive predecessor, Francis.Although Leo’s four-day visit drew little attention in Turkey, a Muslim-majority nation whose Christian community numbers only around 100,000, his 48-hour stopover has been eagerly awaited in Lebanon, a religiously diverse country of around six million people.Lebanon’s last papal visitor was Benedict XVI in 2012.Youth scouting groups affiliated with Hezbollah waited to welcome the pope along the road in Beirut’s southern suburbs, where the Iran-backed militants hold sway and which Israel pounded during the war last year.Posters of the group’s slain chief Hassan Nasrallah appeared near billboards welcoming the pontiff in the area, which Israel struck again last week, killing Hezbollah’s military chief.Despite last year’s truce, Israel has kept up regular raids on Lebanon, usually saying it is striking Hezbollah targets.On Saturday, Hezbollah had urged the pope to reject Israeli “injustice and aggression” against Lebanon. – ‘Duty for humanity’ -Lebanese President Joseph Aoun said that “safeguarding Lebanon” — a unique model of coexistence among different religious communities — “is a duty for humanity”.”If this model disappears, nowhere else can replace it,” said Aoun, the only Christian head of state in the Arab world.Christians play a key political role in Lebanon, where power is shared among the country’s religious communities, but they have seen their numbers dwindle, particularly due to emigration.In Turkey, Leo’s visit focused on calls for greater unity among different branches of Christianity. On his last day there, he went to the Armenian Cathedral expressing encouragement for the largest of Turkey’s Christian communities — with some 50,000 members — and thanking God “for the courageous Christian witness of the Armenian people throughout history, often amid tragic circumstances”.It was an apparent nod to the massacres the Armenians suffered at the hands of the Ottoman troops in 1915-1916, which has been qualified as genocide by around 30 countries, although Turkey firmly rejects the term. burs-lg/smw