School kidnapping evokes anger, prayers in religiously mixed NigeriaMon, 01 Dec 2025 14:41:02 GMT

More than a week after the mass kidnapping of hundreds of children from a Catholic school, emotions remain raw in the religiously mixed Niger state in central Nigeria.Predominantly Muslim, Niger state has a significant Christian population and followers of the two faiths live side-by-side in harmony. But the November 21 kidnapping of more than 300 schoolchildren …

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Guerre en Ukraine : Zelensky à Paris en plein va-et-vient diplomatique orchestré par Trump

Volodymyr Zelensky, sous forte pression politique et diplomatique, est arrivé lundi à Paris pour rencontrer Emmanuel Macron et consolider ses soutiens européens, à la veille d’une rencontre entre l’envoyé américain Steve Witkoff et le président russe Vladimir Poutine.Cette visite intervient alors que les forces russes ont réalisé en novembre leur plus grosse progression sur le front en Ukraine depuis un an, selon l’analyse par l’AFP des données fournies par l’Institut américain pour l’étude de la guerre (ISW), qui travaille avec le Critical Threats Project (CTP).En un mois, la Russie a pris 701 km2 aux Ukrainiens, la deuxième avancée la plus importante après celle de novembre 2024 (725 km2), en dehors des premiers mois de guerre au printemps 2022, quand la ligne de front était très mobile.Volodymyr Zelensky, incarnation depuis bientôt quatre ans de la résistance ukrainienne à l’invasion russe, doit en outre faire face dans son pays à un important scandale de corruption éclaboussant le gouvernement, qui a contraint à la démission le puissant chef de cabinet du président, Andriï Iermak.Le contexte diplomatique est également tendu pour Kiev, qui tente de préserver ses intérêts tandis que les Etats-Unis négocient séparément avec les Russes et les Ukrainiens pour trouver une issue à la guerre.Lundi en fin de matinée, le président français a chaleureusement accueilli son homologue ukrainien, descendant les marches du palais de l’Elysée pour lui adresser une franche accolade, avant d’entamer avec lui des discussions bilatérales.Volodymyr Zelensky et Emmanuel Macron ont ensuite échangé avec les néagociateurs américain Steve Witkoff et ukrainien Roustem Oumerov qui mènent des discussions en Floride.- Semaine “cruciale” pour l’Ukraine -MM. Zelensky et Macron se sont également entretenus avec le Premier ministre britannique Keir Starmer et plusieurs dirigeants européens (Allemagne, Pologne, Italie, Norvège, Finlande, Danemark, Pays-Bas), ainsi qu’avec les présidents des institutions européennes Antonio Costa et Ursula von der Leyen, et le secrétaire général de l’Otan Mark Rutte, a indiqué l’Elysée.Volodymyr Zelensky se rendra ensuite mardi en Irlande pour sa première visite dans ce pays neutre.La semaine qui s’ouvre s’annonce “cruciale” pour l’Ukraine, a affirmé lundi la cheffe de la diplomatie de l’Union européenne Kaja Kallas, avant une réunion des ministres de la Défense de l’UE à Bruxelles. Les Européens espèrent que l’administration Trump, qu’ils soupçonnent de complaisance vis-à-vis de Vladimir Poutine, ne sacrifiera pas l’Ukraine, considérée comme un rempart face aux ambitions russes.Les Etats-Unis ont présenté il y a dix jours un premier projet en 28 points très favorable à Moscou, rédigé sans les alliés européens de Kiev, censé mettre fin au conflit déclenché par l’offensive russe contre l’Ukraine en février 2022.Washington a ensuite amendé ce projet avec les Ukrainiens et les Européens à Genève, avant de retravailler dessus en bilatéral avec les Ukrainiens dimanche en Floride.Dimanche, les discussions américano-ukrainiennes en Floride ont été jugées “productives” par les deux parties, mais le secrétaire d’Etat Marco Rubio a prévenu qu'”il restait encore du travail”.”Il reste quelques points épineux à régler”, a renchéri lundi sur X Volodymyr Zelensky. – “Bring kids back” -Le président Donald Trump a, lui, affiché son optimisme, estimant que Russie et Ukraine souhaitaient mettre fin au conflit, tout en soulignant que Kiev n’était pas en position de force en raison du scandale de corruption qui secoue le gouvernement.En dépit des négociations menées par les Américains dans un effort pour mettre fin à la guerre, la Russie multiplie ses frappes de drones et de missiles sur l’Ukraine.Au moins quatre personnes ont été tuées et 22 autres blessées lundi dans une frappe de missile russe sur Dnipro, grande ville du centre-est du pays, selon un nouveau bilan officiel. L’Ukraine, elle, a revendiqué samedi l’attaque par des drones navals de deux pétroliers de la flotte fantôme russe en mer Noire. Ces engins ont également été lancés contre un terminal pétrolier dans le port russe de Novorossiïsk.En France, M. Zelensky est accompagné par son épouse Olena Zelenska pour un événement autour de l’initiative “Bring kids back” (“Ramenez les enfants”), dont elle est la marraine.Cette initiative “a permis de ramener près de 2.000 enfants ukrainiens arrachés à leur famille par la Russie”, a souligné le ministre français des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot, en rappelant que “ce crime de guerre odieux vaut à Vladimir Poutine son mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale”.

UK withdraws loan for Mozambique gas projectMon, 01 Dec 2025 14:11:16 GMT

Britain’s government said Monday it would withdraw its financial support for TotalEnergies’ gas project in Mozambique, which the French group aims to resume after halting it over a jihadist attack.It said it would withhold up to $1.15 billion of funding for the liquified natural gas project (LNG) in the country’s restive northeastern Cabo Delgado province, …

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Après sa condamnation pénale, Cédric Jubillar perd son autorité parentale

Cédric Jubillar, condamné en octobre pour le meurtre de sa femme Delphine, a été déchu de son autorité parentale lundi par la cour d’assises du Tarn, “une décision logique” pour les avocats de ses deux enfants.Selon l’arrêt civil rendu lundi et consulté par l’AFP, la cour d’assises a ordonné “le retrait total de l’autorité parentale” de Cédric Jubillar sur les deux enfants du couple, Louis et Elyah. Âgés aujourd’hui respectivement de 11 et 6 ans, ils ont été placés sous la tutelle de leur tante maternelle après la disparition de leur mère, dans la nuit du 15 au 16 décembre 2020. Le 17 octobre, le peintre-plaquiste de 38 ans a été reconnu coupable d’avoir tué son épouse, dont le corps n’a jamais été retrouvé. Le prisonnier, incarcéré à Toulouse-Seysses, a toujours clamé son innocence et a fait appel du verdict.Les deux enfants n’ont pas assisté à ce procès hors normes de quatre semaines à Albi, mais ils étaient omniprésents dans les débats. Au-delà du témoignage de Louis, qui dit avoir vu ses parents se disputer le soir de la disparition de Delphine, de nombreux témoins ont attesté à la barre des violences physiques et psychologiques – gifles, mise au coin à genoux sur des Lego, insultes… – commises par Cédric Jubillar contre son fils.- “Ne plus interférer” -“C’est important qu’il ne puisse plus interférer dans la vie des enfants”, a réagi auprès de l’AFP Me Malika Chmani, selon qui l’aîné, Louis, “a toujours peur que son père vienne le récupérer”. La décision “empêchera des droits de visite et d’hébergement”, a précisé l’avocate représentant les deux enfants du couple au côté de Me Laurent Boguet.Cédric Jubillar a également été condamné à verser 50.000 euros pour chacun des enfants à l’administratrice en charge des intérêts des deux mineurs “à titre de provision concernant leurs différents préjudices”, est-il mentionné dans l’arrêt. “Seulement une provision en attendant que la totalité du préjudice soit chiffré”, a précisé Me Chmani.Avant le rendu de la décision, Me Emmanuelle Franck, l’une des avocates du prisonnier, avait annoncé que son client ferait appel aussi de cette décision civile.Le 17 octobre, lors de l’audience civile qui a suivi le délibéré pénal, Mes Chmani et Boguet avaient demandé à ce que Cédric Jubillar soit déchu de son autorité parentale, “la suite logique” selon Me Chmani.Selon l’article 378 du Code civil, un parent condamné pour un crime contre l’autre parent sera déchu de son autorité parentale, sauf décision contraire spécialement motivée. La privation des droits parentaux retire tout droit de décision relatif à l’enfant, concernant par exemple son éducation ou sa santé.”C’est une décision logique” pour “un père qui a tué leur mère (…), qui a exercé des violences physiques sur Louis, des violences psychologiques sur Elyah, qui n’a fait aucun effort pour avoir des liens réguliers avec ses enfants et qui ne s’est surtout jamais remis en question”, a ajouté Me Chmani.- “Pas un bon père” -Depuis le verdict pénal, Louis, qui a demandé à prendre le nom de sa mère, “ne veut plus de contact avec son père” et a vécu la condamnation en première instance comme un “soulagement”, avait raconté Me Chmani à l’AFP avant le verdict.”J’étais pas un bon père, j’en ai conscience”, avait reconnu lors du procès Cédric Jubillar, qui porte le nom de son fils tatoué dans le cou, mais avait expliqué avoir “reproduit le schéma” subi auprès de son beau-père, pendant son enfance.Louis, est “convaincu que son père est responsable” de la disparition de sa maman et demande un lieu sur lequel il pourrait se recueillir, avait déclaré l’administratrice en charge des intérêts de ses enfants au début du procès.Le jeune garçon obtiendra peut-être des réponses lors du procès en appel qui pourrait se tenir à l’automne 2026.

UK withdraws loan for Mozambique gas projectMon, 01 Dec 2025 12:38:47 GMT

Britain’s government said Monday it would no longer provide TotalEnergies with a loan for a gas project in Mozambique that the French group halted over a jihadist attack.Its decision to withhold up to $1.15 billion of funding for the liquified natural gas project (LNG) comes after a consortium led by TotalEnergies announced in October that …

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Salué avec ferveur au Liban, le pape appelle le pays à “continuer à espérer”

Bain de foule et youyous: Léon XIV a été salué avec ferveur par des milliers de fidèles lundi au Liban, au deuxième jour de sa visite dans le pays multiconfessionnel, où il a porté un message d’unité et de paix, l’appelant à “continuer à espérer”.Des milliers de fidèles se sont pressés sous une pluie battante, au son d’hymnes religieux, pour acclamer la “papamobile” qui emmenait le pape américain à un monastère au nord de Beyrouth, selon les photographes de l’AFP.Signe de la ferveur des nombreux chrétiens du pays, certains poussent des youyous, d’autres lancent du riz en signe de bienvenue, le long des routes bordées de panneaux à l’effigie du chef de l’Eglise catholique.Cette visite “nous a rendu le sourire (..) après toutes les difficultés que nous avons traversées”, déclare à l’AFP Yasmine Chidiac.”Tout le monde va à Rome pour voir le pape, mais il est venu chez nous, et c’est la plus grande bénédiction (..) et un espoir pour le Liban”, affirme Thérèse Darouni, 65 ans.Les cloches du monastère de Annaya, à 54 km au nord de Beyrouth, ont carilloné à son arrivée au sanctuaire où le pape s’est recueilli sur la tombe de Saint Charbel Makhlouf (1828-1898).Ce moine-ermite maronite, canonisé en 1977, est très populaire chez des Libanais de toutes les communautés dont beaucoup croient en ses miracles.- “Continuer à espérer” -La visite papale suscite un vif enthousiasme au Liban, malgré les craintes d’un retour de la guerre avec Israël.En dépit d’un cessez-le-feu intervenu il y a un an entre le Hezbollah pro-iranien et le pays voisin, l’armée israélienne a intensifié ces dernières semaines ses frappes au Liban.Les autorités ont proclamé deux jours fériés à l’occasion de la venue de Léon XIV, troisième pape à se rendre en visite officielle au Liban, après Jean-Paul II en 1997 et Benoît XVI en 2012.Le souverain pontife s’est ensuite rendu au sanctuaire de Harissa, au pied de la statue de Notre-Dame du Liban qui surplombe la baie de Jounieh, sur la Méditerranée.Il s’y est offert un bain de foule parmi des centaines d’évêques, prêtres et religieux, dans une nuée de smartphones et de “Viva il Papa”.Dans son discours prononcé en français, Léon XIV a invité les Libanais à “continuer à espérer”, “même lorsque le bruit des armes gronde aux alentours et que les exigences de la vie quotidienne deviennent un défi”.”Nous avons vécu près de deux ans et demi de guerre, mais jamais sans espoir”, confie à l’AFP le père Tony Elias, 43 ans, prêtre maronite du village de Rmeich, tout proche de la frontière israélienne.Le pape “porte en lui un véritable message de paix (..) Le Liban est las, il ne peut plus supporter 50 ans de guerre, et il aspire à la paix”, ajoute le prêtre, qui porte un foulard blanc frappé des drapeaux du Vatican et du Liban.Dans l’après-midi, deux autres moments forts sont prévus: une prière interreligieuse sur la place des Martyrs au centre de Beyrouth, un vaste espace emblématique symbole de mémoire nationale, et une rencontre avec des jeunes au patriarcat de Bkerké (nord).- “Nous devons nous unir” -“Au moment où nous sommes confrontés à de nombreux problèmes économiques, sociaux et politiques, nous avons besoin d’espoir”, déclare Elias Abou Nasr Chaalan, 44 ans.”Nous devons nous unir en tant que Libanais, comme le pape a réuni les responsables et les chefs religieux lors de son arrivée, car c’est en restant unis que nous pouvons surmonter toutes les difficultés”, ajoute ce père de deux enfants.Dimanche soir, tous les responsables politiques et religieux se sont rendus au palais présidentiel pour accueillir le souverain pontife.Ce dernier y a appelé les Libanais à “rester” dans leur pays, où l’effondrement économique depuis 2019 a aggravé l’émigration massive, et à oeuvrer pour la “réconciliation”.Devant les dirigeants, il a appelé la classe politique à “se mettre au service du peuple avec engagement et dévouement”.La crise économique inédite qui a éclaté à l’automne 2019 et ruiné les Libanais a été imputée en grande partie à la négligence de la classe politique, régulièrement accusée de clientélisme communautaire et de corruption.Le Liban est la seconde étape du premier déplacement international du pape américain, après une visite en Turquie marquée par le dialogue pour l’unité des chrétiens.