La revanche d’Athènes: le Grec Pierrakakis élu à la tête de l’Eurogroupe

Dix ans après avoir manqué de se faire éjecter de la zone euro, la Grèce tient sa revanche: son ministre des Finances Kyriakos Pierrakakis a été élu jeudi par ses pairs à la tête de l’instance qui la gouverne, l’Eurogroupe.”C’est la reconnaissance la plus éclatante de la trajectoire positive de notre patrie”, s’est félicité le …

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Pluies diluviennes et vents puissants ajoutent au chaos qui frappe Gaza

Pelle à la main, des Palestiniens portant des sandales en plastique et des pulls fins creusent des tranchées autour de leurs tentes dans le quartier de Zeitoun, à Gaza-ville, rempart dérisoire face aux pluies torrentielles qui s’abattent depuis des heures.Dès mercredi soir, la tempête Byron a balayé le territoire palestinien, bordé par la mer Méditerranée, …

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Protection de l’enfance: le Conseil national des barreaux réclame un “plan Marshall”

Le Conseil national des barreaux plaide pour “un plan Marshall de la protection de l’enfance”, qui doit être “une priorité pour la France”, a estimé vendredi Me Arnaud de Saint-Rémy, quelques jours après un nouveau scandale dans un foyer de l’aide sociale à l’enfance.”Nous pensons au Conseil national des barreaux qu’il faut un plan Marshall de la protection de l’enfance” et celui-ci “doit être aujourd’hui une priorité pour la France”, a jugé l’avocat chargé des droits des enfants au Conseil, sur Sud Radio.”Il faut que l’année 2026 soit une année pour la protection de l’enfance et la lutte contre la traite des êtres humains”, a estimé Me Saint Rémy.Il a rappelé que des mineurs “se livrent à la prostitution” et que “des majeurs, des adultes (…) font des actes de prostitution avec des mineurs”.Le secteur de la protection de l’enfance est secoué par un nouveau scandale depuis la diffusion cette semaine d’une vidéo réalisée dans un foyer parisien et montrant un enfant de huit ans tondu de force, en guise de “punition”, par ses éducateurs.Jeudi, l’Assemblée nationale a adopté deux propositions de loi du groupe socialiste visant à mieux protéger les mineurs, dont l’une, votée à l’unanimité, pour garantir un avocat à chaque enfant placé ou suivi dans sa famille par des services sociaux.Environ 380.000 jeunes sont concernés par des mesures d’assistance éducative en France. Ces enfants sont, sur décision d’un juge le plus souvent, placés en famille d’accueil ou en foyer, ou bien suivis directement dans leur famille.Le plus souvent ces enfants ne sont pas assistés d’un avocat, même s’ils peuvent en faire la demande ou s’en voir désigner un par un juge, lorsqu’ils sont capables de discernement.Dans un rapport rendu public en avril, une commission d’enquête de l’Assemblée nationale avait jugé que la protection de l’enfance “qui hier était à bout de souffle” est “aujourd’hui dans le gouffre”.Quelques mois plus tôt, Lily, une adolescente de 15 ans placée dans un hôtel, avait mis fin à ses jours.

Les violences sexuelles sur nourrissons, un tabou “insoutenable” qui peine à être pris en compte

“Insoutenables” et “impensables”, les violences sexuelles sur les nourrissons restent un phénomène tabou qui demeure largement sous les radars en France, en dépit des cris d’alerte de professionnels de terrain. Un enfant âgé de 0 à 2 ans représente, pour les pédocriminels attirés par les nourrissons, “la victime parfaite”: il ne dénoncera pas les faits et ne s’en souviendra pas, donc ils se disent “ce n’est pas si grave”, développe auprès de l’AFP Marion Pierre, pédiatre au service de médecine légale à Rennes. Pour la première fois en novembre, la Mission interministérielle pour la protection des femmes (Miprof) a publié des chiffres concernant les tout-petits: 614 bébés ont été accueillis pour des faits de violences sexuelles dans une unité médico-judiciaire (UMJ) en 2024.Ils représentent 2% des 73.992 victimes violences sexuelles et sexistes reçues dans ces unités, selon la Miprof.”Ce chiffre n’est que la part visible d’une réalité insoutenable”, estime auprès de l’AFP Sarah el Haïry, Haute Commissaire à l’Enfance. “On parle d’enfants qui ne peuvent ni parler, ni marcher, ni demander de l’aide. Des enfants incapables de dénoncer, incapables de se défendre.”Un chiffre “largement sous-évalué”, abonde Aurélie Besançon, cheffe de l’Office mineurs (Ofmin), pour qui “le chiffre noir est bien plus conséquent”.”Les nourrissons sont très observés” et pourtant “ça existe”, ajoute Christophe Molmy, qui dirige la Brigade de protection des mineurs de la police judiciaire parisienne.  – Absence de traces -L’été dernier, la mise en examen d’une infirmière et de son ex-compagnon pour des agressions sexuelles sur des nouveau-nés à la maternité de Montreuil (Seine-Saint-Denis), a mis en lumière ce phénomène, encore tabou. “Les violences sexuelles sur les nourrissons sont totalement invisibilisées parce que c’est impensable”, considère Marion Pierre. “C’est quelque chose de tabou d’un point de vue du grand public, les violences sexuelles sur un bébé, (…) c’est inimaginable”, renchérit Joëlle Sicamois, directrice de la Fondation pour l’enfance.Les agresseurs, majoritairement des hommes, se situent dans le cercle restreint qui entoure un bébé les premiers mois de sa vie – famille, entourage, professionnels de la petite enfance. Toutes les classes sociales sont concernées et aucune région n’est particulièrement épargnée, précise la cheffe de l’Ofmin. Les procédures judiciaires – aucun chiffre n’est disponible – se heurtent souvent à l’absence de marques sur le corps des tout-petits. “Une fellation avec un bébé, ça ne fera pas de traces, une introduction d’un doigt ou d’un objet fin, ça ne fait pas forcément de blessures”, relate Hélène Romano, psychologue et coautrice d’une des rares études sur “Le viol des bébés, repérage et prise en charge”, publiée en 2024. Autre difficulté rencontrée dans les procédures et pointée par Marion Pierre, le fait que les suspicions de violences sexuelles soient “dénoncées par des mères qui essayent de mettre (leur enfant) en protection”, mais qui “sont vite traitées de folles et d’aliénantes”.Au-delà des traces physiques, d’autres éléments peuvent donner l’alerte et faire l’objet d’investigations. Un nourrisson va exprimer son mal-être par son comportement: troubles du sommeil, refus d’être changé ou allongé, perturbation de la courbe de taille et/ou de poids.  “Vous avez des enfants qui restent dans le transat totalement immobiles, qui ne font pas de bruit. Ou des enfants qui sont hyper-réactifs aux bruits et qui sont hypervigilants”, détaille Marion Pierre. D’autres adoptent une “position très passive au moment du change, vont écarter les fesses”, poursuit-elle. Ils se dissocient, (…) ils font ce qu’on attend d’eux: se laisser faire”. – “Mémoire traumatique” du corps -Parfois, même “quand il y a des blessures, on va avoir des situations où des professionnels ne pensent pas que cela peut être une agression”, souligne Hélène Romano.La psychologue cite le cas de parents qui s’inquiètent à la découverte de sang dans la couche de leur fille de sept mois. Une pédiatre avance l’hypothèse hormonale, sans envisager une agression. Mais “le fils de la nounou a été surpris en train d’agresser un autre enfant, ils ont tout remonté et au final, leur fille a été violée par cet adolescent”.Quand un mis en cause conteste les accusations et que l’infraction ne peut être caractérisée faute de preuves notamment physiques, les enquêteurs parviennent parfois à l’accrocher grâce aux images pédopornographiques découvertes en perquisition.Certains signaux d’alerte peuvent, par ailleurs, ne survenir que des années plus tard, selon Hélène Romano et Marion Pierre qui alertent sur “la mémoire traumatique” du corps: les enfants, agressés sexuellement lorsqu’ils étaient bébés, peuvent manifester des troubles “à distance”, quand ils ont “3, 4 ans, 5, 6 ans” avec “des comportements sexuels très agressifs sur eux-mêmes” ou “sur les autres”. Pour les deux femmes comme pour les autres acteurs rencontrés par l’AFP, une prise en compte par la société, le monde médical et les pouvoirs publics est indispensable pour lutter contre ce phénomène et “mettre à l’abri” les petites victimes.

Messi to unveil 21-metre statue of himself on India ‘GOAT’ tour

Lionel Messi will unveil a 21-metre (70-foot) statue of himself in India on Saturday as he embarks on a three-day tour of the country that has sparked a fan frenzy.The iron sculpture in Kolkata, which shows Messi holding aloft the World Cup, is part of a so-called GOAT Tour that will take in four Indian cities and a possible meeting with Prime Minister Narendra Modi.The 38-year-old Argentina and Inter Miami superstar will unveil the monument virtually rather than in person for security reasons.A “Hola Messi” fan zone has also been set up in Kolkata where on display is a life-sized replica of Messi sat on a throne.The hall also recreates his Miami home, complete with mannequins of his family members.Football fan Samir Nandy said it would be “a dream come true” to catch a glimpse of his idol.”Legends are not made by success alone. It is his resilience that made me believe in him,” Nandy, 64, said in Kolkata.”The statue is a fitting tribute to him.”Monti Paul, the statue’s main sculptor, told AFP the structure was built inside 40 days.”It’s a matter of pride to build the sculpture of Messi. It’s the tallest statue I have made,” he said.The eight-time Ballon d’Or winner will also meet Bollywood superstar Shah Rukh Khan and former India cricket captain Sourav Ganguly during his whirlwind trip to Kolkata.Ahead of his arrival, Messi said it was an honour to visit India and interact with the fans.”India is a very special country and I have good memories from my time there 14 years ago — the fans were fantastic,” Messi said in a statement.”India is a passionate football nation and I look forward to meeting a new generation of fans while sharing the love I have for this beautiful game.”After Kolkata, where Messi will play a short friendly match, he will head to Hyderabad, Mumbai and New Delhi.In Hyderabad he will attend a concert in his honour and play another friendly.He is reportedly scheduled to meet Modi in the capital.Messi won his second consecutive Major League Soccer Most Valuable Player award this week after propelling Inter Miami to the MLS title and leading the league in goals.The former Barcelona and Paris Saint-Germain attacker will spearhead Argentina’s defence of the World Cup in June-July in North America.

Asian markets track Wall St record after Fed cut

Asian equities rose Friday as investors tracked a record day on Wall Street in the wake of the Federal Reserve’s latest interest rate cut.The gains came despite renewed concerns about tech valuations after disappointing earnings from sector giants Oracle and Broadcom.Markets ended a mixed week on a strong note, with eyes now on the release of delayed US jobs data next week, which could provide an insight into the central bank’s plans for next year.Figures released Thursday showed initial jobless claims rose more than expected in the week ended December 6, marking their biggest increase for five and a half years and reinforcing the view of a softening labour market.Traders welcomed Fed boss Jerome Powell’s post-meeting comments Wednesday — which were seen as less hawkish than feared — but the policy board’s statement suggested it could hold off a fourth straight cut in January.And analysts said the fact that three decision-makers unusually dissented complicated the policy outlook.Still, investors in New York continued to look at the positives, pencilling in more cuts next year and pushing the S&P 500 and Dow to fresh records.Asia followed suit, with Tokyo, Hong Kong, Sydney, Singapore and Seoul up more than one percent, while Shanghai, Wellington, Taipei, Mumbai and Manila also rose.London edged up at the open even as data showed the UK economy unexpectedly shrunk in October. Paris and Frankfurt also rose.Jakarta slipped, while Bangkok was barely moved as investors brushed off news that Thailand’s prime minister had dissolved parliament, paving the way for general elections early next year.”So, (the Fed being) not as hawkish as it could have been and despite only one cut next year pencilled in, a new Fed chair and cooling jobs market means markets think there is more to come,” said Neil Wilson at Saxo Markets. The gains came despite worries about an AI-led tech rally that has seen many firms chalk up eye-watering gains, with chip giant Nvidia becoming the first to break a $5 trillion valuation in October.With warnings that the hundreds of billions of dollars pumped into AI may have been overdone — and investors might have to wait some time before seeing any returns — analysts say valuations could be overstretched and a bubble forming.Those worries were compounded Thursday as earnings from chip titan Broadcom failed to meet investors’ lofty expectations and its outlook for AI sales disappointed. Its shares fell more than four percent in after-hours trade.The news came a day after software firm Oracle reported quarterly revenue had fallen short of forecasts and revealed a surge in spending on data centers to boost AI capacity.Shares in Oracle ended down 10.8 percent in New York.In corporate news, tech investment giant SoftBank jumped 3.9 percent as Bloomberg reported that the firm is looking a more acquisitions including data centre operator Switch as it looks to build its influence in the AI sector.- Key figures at around 0815 GMT -Tokyo – Nikkei 225: UP 1.4 percent at 50,836.55 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 1.8 percent at 25,976.79 (close)Shanghai – Composite: UP 0.4 percent at 3,889.35 (close)London – FTSE 100: UP 0.2 percent at 9,726.26Dollar/yen: UP at 155.69 yen from 155.58 yen on ThursdayEuro/dollar: DOWN at $1.1737 from $1.1741Pound/dollar: DOWN at $1.3383 from $1.3394Euro/pound: UP at 87.70 pence from 87.65 penceWest Texas Intermediate: UP 0.6 percent at $57.95 per barrelBrent North Sea Crude: UP 0.5 percent at $61.61 per barrelNew York – Dow: UP 1.3 percent at 48,704.01 (close)

Brandt: le gouvernement “ne laisse pas tomber” et veut “un nouveau projet”

Le ministre délégué à l’Industrie, Sébastien Martin, affirme vendredi qu’il “ne laisse pas tomber” Brandt et estime qu’il est possible “d’imaginer un nouveau projet”, au lendemain d’une décision de justice ordonnant la liquidation judiciaire du groupe d’électroménager.”Je ne laisse pas tomber le sujet Brandt”, a déclaré le ministre, soulignant qu'”il y a un site industriel qui est présent, il y a des savoirs-faire qui sont présents et donc la capacité d’imaginer un nouveau projet industriel sur ce site”, vendredi sur TF1.Le tribunal des activités économiques de Nanterre a prononcé jeudi la liquidation judiciaire du groupe centenaire d’électroménager Brandt, qui employait quelque 700 personnes, notamment près d’Orléans, où se trouve le principal site industriel du groupe, avec 350 salariés.La justice a ainsi rejeté un projet de Scop (société coopérative et participative), soutenu par le groupe Revive, qui devait permettre de sauver au moins 370 emplois.”D’ici la fin de l’année, on va se revoir avec les acteurs locaux pour essayer de rebâtir un projet. Un autre projet peut-être, un projet sérieux, tout aussi sérieux que celui-ci, avec plus d’investisseurs privés sans doute aussi”, a ajouté M. Martin. Il n’a cependant pas écarté, dans un premier temps, l’échéance du plan social: “on accompagnera les salariés pour faire en sorte que ce plan social soit bien construit”, a-t-il assuré, ajoutant compter sur les entreprises “dynamiques” du bassin d’emploi d’Orléans, pour permettre à des salariés de Brandt de retrouver un emploi.  A l’annonce de la décision du tribunal, jeudi, le ministre de l’Economie et des Finances, Roland Lescure, et Sébastien Martin, ont rappelé que l’Etat et les collectivités avaient mobilisé une vingtaine de millions d’euros, et déploré que “les autres acteurs indispensables” n’aient “pas souhaité se positionner pour sauver Brandt”, désignant, sans les nommer, les banques.”Il y a eu peu de partenaires bancaires, c’est vrai”, a déclaré vendredi Sébastien Martin, qui aurait souhaité que, “face à l’urgence de la situation, on se dise que les procédures habituelles, on pouvait faire un peu mieux, un peu plus vite”.”Je suis prudent, mais il reste encore une possibilité après la liquidation judiciaire”, a renchéri Serge Papin, ministre des Petites et Moyennes entreprises, du Commerce, de l’Artisanat, du Tourisme et du Pouvoir d’achat, dans le même temps vendredi, sur Europe 1. “Les banques qui font défaut actuellement, (…) en voyant le sérieux et la robustesse d’un projet alternatif pourraient peut-être s’engager”, a-t-il ajouté. 

Brandt: le gouvernement “ne laisse pas tomber” et veut “un nouveau projet”

Le ministre délégué à l’Industrie, Sébastien Martin, affirme vendredi qu’il “ne laisse pas tomber” Brandt et estime qu’il est possible “d’imaginer un nouveau projet”, au lendemain d’une décision de justice ordonnant la liquidation judiciaire du groupe d’électroménager.”Je ne laisse pas tomber le sujet Brandt”, a déclaré le ministre, soulignant qu'”il y a un site industriel qui est présent, il y a des savoirs-faire qui sont présents et donc la capacité d’imaginer un nouveau projet industriel sur ce site”, vendredi sur TF1.Le tribunal des activités économiques de Nanterre a prononcé jeudi la liquidation judiciaire du groupe centenaire d’électroménager Brandt, qui employait quelque 700 personnes, notamment près d’Orléans, où se trouve le principal site industriel du groupe, avec 350 salariés.La justice a ainsi rejeté un projet de Scop (société coopérative et participative), soutenu par le groupe Revive, qui devait permettre de sauver au moins 370 emplois.”D’ici la fin de l’année, on va se revoir avec les acteurs locaux pour essayer de rebâtir un projet. Un autre projet peut-être, un projet sérieux, tout aussi sérieux que celui-ci, avec plus d’investisseurs privés sans doute aussi”, a ajouté M. Martin. Il n’a cependant pas écarté, dans un premier temps, l’échéance du plan social: “on accompagnera les salariés pour faire en sorte que ce plan social soit bien construit”, a-t-il assuré, ajoutant compter sur les entreprises “dynamiques” du bassin d’emploi d’Orléans, pour permettre à des salariés de Brandt de retrouver un emploi.  A l’annonce de la décision du tribunal, jeudi, le ministre de l’Economie et des Finances, Roland Lescure, et Sébastien Martin, ont rappelé que l’Etat et les collectivités avaient mobilisé une vingtaine de millions d’euros, et déploré que “les autres acteurs indispensables” n’aient “pas souhaité se positionner pour sauver Brandt”, désignant, sans les nommer, les banques.”Il y a eu peu de partenaires bancaires, c’est vrai”, a déclaré vendredi Sébastien Martin, qui aurait souhaité que, “face à l’urgence de la situation, on se dise que les procédures habituelles, on pouvait faire un peu mieux, un peu plus vite”.”Je suis prudent, mais il reste encore une possibilité après la liquidation judiciaire”, a renchéri Serge Papin, ministre des Petites et Moyennes entreprises, du Commerce, de l’Artisanat, du Tourisme et du Pouvoir d’achat, dans le même temps vendredi, sur Europe 1. “Les banques qui font défaut actuellement, (…) en voyant le sérieux et la robustesse d’un projet alternatif pourraient peut-être s’engager”, a-t-il ajouté.