Asian markets retreat ahead of US jobs as tech worries weigh

Asian markets extended losses with Wall Street on Tuesday as investors prepared for key US jobs and inflation data, while sentiment remains subdued by worries over a possible tech bubble.After a healthy tech-led run this year, traders appeared to be seeing it out on a tepid note amid questions over the huge sums pumped into artificial intelligence and indications the Federal Reserve will pause cutting interest rates.All eyes are on the release later in the day of US November jobs data and the delayed reading for October, which will be followed on Thursday by consumer price index figures.The readings will be pored over for some idea about the Fed’s plans for borrowing costs as officials debate whether or not to continue lowering them in January.Comments from decision-makers show the policy board split, with recent reductions coming on the back of worries about the weakening labour market but concern now turning to stubbornly high inflation.Governor Stephen Miran — an appointee of Donald Trump — warned that rates are still too high, while New York Fed boss John Williams said they were at about the right place and Boston president Susan Collins called the decision a “close call”.”After essentially missing the October jobs report due to a lack of survey data, the Fed will closely scrutinise the November figures when setting out the path of monetary policy through early 2026,” Matt Weller, head of market research at City Index, said.”That said, traders are currently pricing in only a one-in-four chance of another rate cut in January, meaning that the market reaction to the release may be more limited unless it shows a large deterioration in the labour market.”With the chances of a cut appearing limited for now — with some putting them at about 25 percent for next month — equity traders were turned sellers for now.Seoul lost more than two percent, while Tokyo, Hong Kong, Shanghai and Taipei were all more than one percent lower. Sydney, Singapore, Manila, Mumbai, Bangkok and Jakarta also fell. London, Frankfurt and Paris opened lower.Worries over the tech sector were also weighing on sentiment, with recent warnings about an AI-fuelled bubble compounded by weak disappointing earnings last week from Oracle and Broadcom.Speculation that the hundreds of billions of AI investments will take some time to make returns, if at all, has also acted as a drag.”Jitters over the AI theme have resurfaced in recent sessions, not helped by Broadcom’s failure to provide concrete guidance for the quarter ahead, nor by reports that Oracle’s data centre construction may be delayed,” wrote Pepperstone’s Michael Brown.”Concern also lingers over the increase in debt-financed capex, especially from the likes of Oracle, though those concerns seem more likely to linger in the background into next year, as opposed to sparking significant fear in the now.”The downbeat mood on equity markets has filtered into the crypto sphere, with bitcoin briefly falling to as low as $85,171, while gold — a go-to asset in times of uncertainty — hovered around $4,300 and close to a new record high.The yen held gains against the dollar ahead of an expected rate hike by the Bank of Japan on Friday.- Key figures at around 0815 GMT -Tokyo – Nikkei 225: DOWN 1.6 percent at 49,383.29 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 1.5 percent at 25,235.41 (close)Shanghai – Composite: DOWN 1.1 percent at 3,824.81 (close)London – FTSE 100: DOWN 0.1 percent at 9,737.79Euro/dollar: UP at $1.1751 from $1.1750 on MondayDollar/yen: DOWN at 154.90 yen from 155.25Pound/dollar: DOWN at $1.3375 from $1.3372Euro/pound: DOWN at 87.85 pence from 87.87West Texas Intermediate: DOWN 0.6 percent at $56.50 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 0.5 percent at $60.26 per barrelNew York – Dow: DOWN 0.1 percent at 48,416.56 points (close)

Former adviser to stand against Djibouti’s strongman leaderTue, 16 Dec 2025 08:15:52 GMT

A former adviser to Djibouti President Ismail Omar Guelleh said Tuesday he will run against him in April elections, denouncing “democratic backsliding” in the small but highly strategic Horn of Africa nation.Djibouti has been ruled with an iron fist since 1999 by 77-year-old Guelleh, known as “IOG”, with the removal of a constitutional age limit …

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Macron de retour à Marseille en pleine “guerre” contre le narcotrafic

Guerre aux narcotrafiquants et régulation des réseaux sociaux: Emmanuel Macron est de retour mardi à Marseille sur ses deux grands chevaux de bataille du moment, ainsi que sur le vaste chantier de modernisation de la deuxième ville de France lancé en 2021.Le chef de l’Etat entame sa visite à 12H00 par un échange avec les lecteurs du quotidien La Provence sur la “démocratie à l’épreuve des réseaux sociaux”, qu’il veut interdire aux jeunes de moins de 15 ou 16 ans. Ce sera le cinquième du genre depuis un mois, après Toulouse, Arras, Mirecourt et Saint-Malo.Il inaugurera ensuite un commissariat ainsi que l’agrandissement de la prison des Baumettes alors que Marseille est en première ligne dans la lutte contre le narcotrafic et la violence meurtrière qui l’accompagne.L’exécutif a promis une bataille sans merci en la matière, semblable à celle menée contre le terrorisme, après l’assassinat retentissant le 13 novembre à Marseille du jeune Mehdi Kessaci, tué sans doute pour faire taire son frère Amine, militant anti-drogue.L’assassinat a tétanisé la ville, où les narchomicides s’enchaînent d’ordinaire dans une certaine indifférence, et frappé les esprits dans le reste de l’hexagone, gagné aussi peu à peu par la multiplication des faits criminels liés au narcotrafic.  “C’est une guerre que nous menons”, martèle le ministre de l’Intérieur Laurent Nuñez. “L’Etat gagnera cette nouvelle bataille”, promet Emmanuel Macron. – “Point de bascule” -En retrait des enjeux de politique intérieure depuis la dissolution ratée de 2024, le chef de l’Etat a pris les devants en revanche sur ce sujet. Il a réuni à deux reprises ministres et acteurs concernés à l’Elysée depuis l’assassinat de Mehdi Kessaci.Amine Kessaci a lui mardi sur Ici Provence lancé un “appel aux décideurs” pour que soit mise en place “une convention citoyenne de la lutte contre le narcotrafic pour justement créer un espace de parole et de donner la parole” aux habitants.Depuis janvier, 17 personnes sont mortes dans des violences liées au trafic de drogue dans les Bouches-du-Rhône, selon un décompte de l’AFP, un chiffre en baisse par rapport à 2024 (24 morts) et surtout 2023 (50 morts).Outre le travail des autorités, les observateurs relèvent la prédominance de la DZ Mafia sur Marseille, une situation qui suscite de fait moins de violences entre groupes concurrents.Face à cette situation, le maire divers gauche de Marseille Benoît Payan a redemandé sur France Inter que le futur Parquet national contre la criminalité organisée (Pnaco) soit installé à Marseille et réclamé “des effectifs stables de police judiciaire pour remonter les pistes de blanchiment”.”Le compte n’y est pas (…) Depuis un an, on a vu une doctrine du ministère de l’Intérieur qui n’a pas mis le paquet comme le paquet aurait dû être mis sur le narcotrafic”, a-t-il cinglé.- “Constance” -Emmanuel Macron fera aussi le point sur le plan “Marseille en grand”, qu’il a lancé en grande pompe en 2021 pour aider la cité phocéenne à rattraper ses retards, avec cinq milliards d’engagements de l’Etat à la clé.La Cour des comptes a dénoncé en octobre 2024 un suivi “indigent” et un “défaut de cohérence” de cette initiative, destinée à rénover les écoles insalubres, développer les transports en commun, réduire la fracture géographique et sociale entre quartiers nord et sud et renforcer les effectifs de police.”Nul ne peut nier que les choses bougent et que l’Etat est au rendez-vous avec constance et sans tergiverser”, a répliqué le chef de l’Etat à la veille de sa visite, dans La Tribune Dimanche.Les deux-tiers des crédits sont désormais engagés, assure l’Elysée, citant la livraison de 15 écoles, des projets en cours sur 86 autres ou l’arrivée de 350 policiers supplémentaires dans les Bouches-du-Rhône.Le chef de l’Etat visitera aussi le chantier d’extension de la gare Saint-Charles, un investissement de 3,6 milliards d’euros avec gare souterraine, espaces végétalisés, jardins et zones piétonnes.

Kenyan girls still afflicted by genital mutilation years after banTue, 16 Dec 2025 08:05:32 GMT

Maasai women erupted with mocking heckles as a community elder, wrapped in a traditional red blanket, claimed that female genital mutilation had all but stopped in their community in southern Kenya.The women know that mutilating young girls by removing their clitoris and inner labia — framed as a rite of passage — is still an …

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Les tarifs des mutuelles en hausse de 4,3 et 4,7% en 2026

Les complémentaires santé à statut mutualiste augmenteront leurs cotisations en moyenne de 4,3% (contrats individuels) et 4,7% (contrats d’entreprise), a annoncé mardi la Fédération nationale de la mutualité française, avertissant d’une “urgence absolue” à maîtriser les dépenses de santé.La hausse est moins forte que les années précédentes (+6% en 2025 en moyenne, +8,1% en 2024, +4,7% en 2023), mais elle reste à un niveau largement supérieure à celle observée avant le Covid (+2,6% par an en moyenne sur la décennie 2010-2020).Chaque année, l’annonce des tarifs mutualistes donne une indication des tarifs de l’ensemble du marché. Les mutuelles représentent un petit peu moins de la moitié du marché des complémentaires santé, le reste étant détenu par les assureurs privés, et par des organismes paritaires.”L’augmentation des dépenses de santé”, couvertes par la Sécurité sociale et les complémentaires santé, “s’intensifie depuis 2020, à +4,4% par an”, indique la Mutualité pour justifier la hausse de ses cotisations.Les mutuelles devront aussi absorber en 2026 de nouveaux transferts de charge depuis l’Assurance maladie, et une nouvelle taxe prévue dans le budget 2026 de la Sécu, qui leur coûtera 1 milliard d’euros, ajoute-t-elle.Dans le budget de la Sécurité sociale pour 2026 – que l’Assemblée nationale devrait, sauf surprise, adopter définitivement dans l’après-midi -, “on est arrivés à bloquer le doublement des franchises médicales, tant mieux, mais malheureusement la solution de facilité de cette TVA sur la santé, cette taxe d’un milliard, pèsera à terme sur nos concitoyens”, a déclaré le président de la Mutualité, Eric Chenut, mardi matin sur RTL.”Avec une taxe sur les contrats qui grimpe à 16%, la France est une +anomalie européenne+”, dénonce l’organisation. “Le gouvernement et les parlementaires s’apprêtent sciemment à faire payer les assurés mais sans l’assumer et en tentant de déplacer la responsabilité sur les complémentaires santé”, ajoute-t-elle.Face aux critiques selon lesquelles les mutuelles profitent largement de la situation, le patron de la Mutualité a dénoncé “une accusation absolument scandaleuse: les mutuelles sont des organismes à but non lucratif, à gouvernance démocratique”, et “quand on ajuste les cotisations, c’est au strict minimum, pour garantir l’équilibre, la pérennité de nos entreprises”.Déplorant “une forme de déni collectif” et “des politiques trop à court terme” alors que “notre population vieillit et (que) les besoins en santé augmentent”, Eric Chenut a prévenu que “notre effort, individuel et collectif, pour se soigner (…) va être de plus en plus important si l’on ne s’attaque pas à la régulation des dépenses de santé”.”Agir pour l’efficience, réduire les actes redondants, lutter contre la fraude, investir massivement dans la prévention” deviennent “une urgence absolue”, plaide la Mutualité.