Angleterre: City met la pression sur Arsenal, Chelsea décroche un point à Newcastle

Alors que les rumeurs sur le possible départ de Pep Guardiola en fin de saison ont pris de l’ampleur ces derniers jours, Manchester City reste imperturbable, avec une nouvelle victoire obtenue samedi contre West Ham (3-0) lors de la 17e journée du Championnat d’Angleterre.Les Citizens alignent leur septième succès de rang, ce qu’ils n’avaient plus réalisé depuis avril-mai 2024, lors de la course finale vers leur dernier titre de champion d’Angleterre.Ils passent provisoirement devant Arsenal en tête du championnat, avec un point d’avance, en attendant le déplacement des Gunners à Everton dans la soirée (21h00).Erling Haaland a été impliqué sur les trois buts, avec une ouverture du score dès le début du match (5e), une passe pour Tijani Reijnders à la conclusion d’un mouvement collectif initié par Rayan Cherki (38e) puis un but de rôdeur des surfaces (69e). Avec 19 buts en 17 rencontres, le Norvégien reste loin devant Igor Thiago, 11 buts, au classement des buteurs.De son côté, Chelsea avait auparavant obtenu un nul plutôt heureux à Newcastle (2-2), après une belle réaction en seconde période. Celle-ci n’a toutefois pas fait oublier une entame de rencontre calamiteuse (les Magpies menaient 2-0 à la 20e minute, doublé de l’Allemand Nick Woltemade), ni l’incapacité des joueurs d’Enzo Maresca, très critiqué depuis quelques semaines, à développer un jeu collectif cohérent. – Répit pour Maresca -Ce bon résultat sur le papier éloigne un peu plus Chelsea de la course au titre (huit points de retard sur le leader provisoire Manchester City, peut-être dix en fin de soirée si Arsenal l’emporte à Everton). Ce n’est pas non plus une bonne affaire pour Newcastle, qui reste dans la deuxième partie de tableau (11e à six points de la première place qualificative pour la prochaine Ligue des champions).Porté par un duo offensif Anthony Gordon-Nick Woltemade intenable dans les 20 premières minutes, Newcastle a cru s’être mis à l’abri avec deux buts de l’avant-centre allemand (4e, 20e), qui a raté de peu la balle du 3-0 avant la pause.Alors que Reece James avait réduit le score d’un coup franc parfait (2-1, 49e), Chelsea a remis de l’intensité et profité d’une glissade de Malick Thiaw pour égaliser assez miraculeusement par Joao Pedro (66e), alors qu’une faute grossière de Trevoh Chalobah sur Anthony Gordon dans la surface n’avait pas été sanctionnée quelques minutes plus tôt.Les Magpies ont également raté une balle de match, une reprise de volée d’Harvey Barnes passant de peu à côté (85e).Sunderland, privé de six joueurs partis à la Coupe d’Afrique des nations pour plusieurs semaines – dont Noah Sadiki et Reinildo Mandava -, n’a quant à lui pu faire mieux qu’un match nul sur le terrain de Brighton (0-0). Un résultat honorable pour le promu, actuellement cinquième, mais qui le met sous la menace directe de Crystal Palace, Manchester United et Liverpool, qui ont tous un match à disputer d’ici dimanche.cor/bdx 

Washington propose des négociations directes Ukraine-Russie, selon Zelensky

Les Etats-Unis ont proposé d’organiser les premières négociations en face-à-face entre l’Ukraine et la Russie depuis six mois, à Miami, où de nouvelles discussions en vue de mettre fin à la guerre doivent se dérouler, a assuré samedi Volodymyr Zelensky. “Les Etats-Unis doivent dire clairement : s’il n’y a pas de voie diplomatique, alors il y aura une pression totale”, a en outre lancé le président ukrainien devant la presse à Kiev, citant la possibilité par exemple de fournir plus d’armes à l’Ukraine et d’étendre les sanctions à toute l’économie russe.Vladimir “Poutine ne sent pas encore le genre de pression qui devrait être mise en oeuvre”, a-t-il poursuivi, jugeant que seuls les Américains étaient capables de persuader la Russie d’arrêter le conflit en Ukraine.”Je pense que les Etats-Unis et le président Trump ont cette force. Et je pense que nous ne devrions pas chercher d’alternatives aux Etats-Unis”, a martelé M. Zelensky.L’émissaire russe Kirill Dmitriev a dans le même temps annoncé qu’il se rendait en Floride où des équipes ukrainienne et européenne se trouvent déjà pour participer aux pourparlers menés par Steve Witkoff, l’envoyé spécial de Donald Trump, et Jared Kushner, le gendre du président américain.- Nouveau ballet diplomatique -Washington a “proposé un format, autant que je sache, Ukraine, Etats-Unis, Russie”, a dit aux journalistes M. Zelensky, évoquant en outre une possible présence de représentants européens.Il “serait logique d’avoir une telle réunion en commun” avec ces derniers, “une fois que nous aurons pris connaissance des résultats potentiels des réunions qui ont déjà eu lieu”, a en effet estimé le chef de l’Etat ukrainien.Il a par ailleurs averti que ce n’était pas au président russe de décider de l’organisation des élections en Ukraine. M. Poutine avait suggéré la veille que la Russie pourrait cesser ses frappes en profondeur le jour où un scrutin aurait lieu.MM. Witkoff et Kushner ont quant à eux rencontré vendredi près de Miami le négociateur ukrainien Roustem Oumerov et des représentants de la France, du Royaume-Uni et de l’Allemagne.L’inclusion directe des Européens constitue une nouveauté par rapport aux précédentes réunions qui ont eu lieu ces dernières semaines entre Ukrainiens et Américains à Genève, Miami et Berlin.Vendredi, alors que cette nouvelle série de discussions venait de débuter, le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio a promis qu’aucun accord ne serait imposé aux Ukrainiens.”Nous ne pouvons pas forcer l’Ukraine à conclure un accord. Nous ne pouvons pas forcer la Russie à conclure un accord. Il faut qu’elles (le) veuillent”, a-t-il insisté.Les pourparlers destinés à interrompre les combats, qui ont commencé il y a presque quatre ans, se sont accélérés ces dernières semaines.Volodymyr Zelensky a à cet égard mentionné des “progrès” dans les discussions entre Kiev et Washington sur le plan proposé il y a plus d’un mois par les Etats-Unis. Ce texte initial, perçu comme étant largement favorable au Kremlin, a depuis été remanié à la suite de consultations avec les Ukrainiens.Les détails de la nouvelle mouture ne sont pas connus mais, selon le président ukrainien, elle implique des concessions territoriales de la part de l’Ukraine en échange de garanties de sécurité occidentales.Vendredi, Vladimir Poutine a affirmé que “la balle” était “dans le camp” de Kiev et de ses alliés européens, la Russie ayant déjà accepté des “compromis” au cours de ses propres pourparlers avec les Américains.Cependant que, de plus en plus impatient, Donald Trump a pressé l’Ukraine de “bouger rapidement”.- Nouvelles frappes russes -Tandis que les tractations diplomatiques suivent leur cours, l’armée russe continue de frapper la ville d’Odessa et ses environs, dans le sud de l’Ukraine, provoquant samedi un important incendie dans le plus grand terminal d’huile végétale du pays, dont un employé a péri.Des images envoyées à l’AFP montrent des pompiers face à d’immenses flammes et une épaisse fumée noire enveloppant d’énormes citernes.Les Russes ont intensifié leurs bombardements ces dernières semaines sur cette région bordée par la mer Noire, où des dizaines de milliers de personnes étaient toujours sans électricité. Et ce notamment en représailles à la multiplication des attaques ukrainiennes contre des pétroliers de la “flotte fantôme” russe.”L’ennemi détruit délibérément les infrastructures logistiques de la région d’Odessa et terrorise les civils”, s’est emporté le vice-Premier ministre ukrainien chargé de la reconstruction, Oleksiï Kouleba.”La Russie tente à nouveau de restreindre les accès de l’Ukraine à la mer et de bloquer nos régions côtières”, a pour sa part réagi Volodymyr Zelensky.Vendredi soir déjà, un missile balistique avait fait huit morts près d’Odessa. Moscou a de son côté affirmé samedi avoir pris deux villages dans les régions de Soumy (nord) et Donetsk (est).L’Ukraine a quant à elle fait état de la destruction de deux avions de combat russes sur un aérodrome situé dans la péninsule de Crimée occupée.burx-lb/bds/ib

Wheelchair user flies into space, a first

A German woman engineer on Saturday became the first wheelchair user to blast into space, taking a brief ride on a Blue Origin flight.The space company owned by American multi-billionaire Jeff Bezos launched its New Shepard suborbital mission at 8:15 am (1415 GMT) from its site in Texas.Michaela Benthaus, an aerospace and mechatronics engineer at the European Space Agency, was among the passengers to cross the Karman line, the internationally recognized boundary of space, during the approximately 10-minute flight.Benthaus suffered a spinal cord injury after a mountain biking accident and now uses a wheelchair.”After my accident, I really, really figured out how inaccessible our world still is” for people with disabilities, she said in a video released by the company.”If we want to be an inclusive society, we should be inclusive in every part, and not only in the parts we like to be,” Benthaus added.The small, fully automated rocket took off vertically, and the capsule carrying the tourists then detached in flight before gently descending back to the Texas desert, slowed by parachutes.It was the 16th crewed flight for Blue Origin, which has for years offered space tourism flights — the price isn’t public — using its New Shepard rocket.”Congratulations, Michi! You just inspired millions to look up and imagine what is possible,” new NASA chief Jared Isaacman said on X.Dozens of people have traveled to space with Blue Origin, including the pop singer Katy Perry and William Shatner, who played the legendary Captain Kirk on “Star Trek.”These high-profile guests are aimed at maintaining public interest in the flights at a time when private space companies are vying for pre-eminence.Virgin Galactic offers a similar suborbital flight experience.But Blue Origin also has ambitions to compete with Elon Musk’s SpaceX in the orbital flight market.This year, the Bezos company successfully carried out two uncrewed orbital flights using its massive New Glenn rocket, which is significantly more powerful than New Shepard.

Accord UE-Mercosur: Lula en appelle au “courage” des dirigeants européens

Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva a appelé samedi les dirigeants de l’Union Européenne (UE) à faire preuve de “courage”, après le report de la signature de l’accord de libre-échange avec le Mercosur.”Sans volonté politique et sans courage de la part des dirigeants, ce ne sera pas possible de conclure une négociation qui traîne depuis 26 ans”, a déclaré Lula en ouverture du sommet du bloc sud-américain, à Foz do Iguaçu, dans le sud du Brésil.”Hier, j’ai reçu une lettre des présidents de la Commission européenne et du Conseil européen, dans laquelle tous deux expriment l’espoir de voir l’accord approuvé en janvier”, a-t-il ajouté.L’Argentine, le Brésil, le Paraguay et l’Uruguay espéraient initialement parapher le traité ce samedi, tout comme la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et la plupart des pays de l’UE.Mais cette signature a finalement été reportée, face à la colère des agriculteurs européens, notamment en France et en Italie.Vendredi, des dizaines d’agriculteurs ont manifesté devant la villa du président français Emmanuel Macron au Touquet, dans le nord de la France, déversant des tonnes de fumier, de pneus et de branchages à l’entrée de la résidence.Et samedi, des barrages sont toujours en place sur des axes routiers et autoroutiers du sud-ouest de la France, au premier jour des vacances scolaires dans le pays. M. Macron a jugé qu’il était “trop tôt” pour dire s’il acceptera la signature le mois prochain.”Nous connaissions tous la position historique de la France, ce n’était pas une nouveauté”, a déclaré Lula samedi.Au sujet de la réticence de la Première ministre italienne Giorgia Meloni, qui a jugé “prématurée” une signature de l’accord samedi, le président brésilien a affirmé qu’elle lui avait assuré lors d’une conversation téléphonique qu’elle serait “prête” à l’accepter début janvier.”Si elle est prête à signer et qu’il ne manque plus que la France, Ursula von der Leyen et António Costa (président du Conseil européen, ndlr) m’ont assuré que la France ne pourra pas, à elle seule, bloquer l’accord”, a lancé Lula.- “Défense du multilatéralisme” -L’accord UE-Mercosur permettrait aux européens d’exporter davantage de véhicules, machines, vins et spiritueux en Amérique du Sud. Dans le sens inverse, il faciliterait l’entrée en Europe de viande, sucre, riz, miel et soja sud-américains, ce qui alarme les filières concernées.Une source au sein de la Commission européenne et deux diplomates ont indiqué que la nouvelle échéance visée est désormais le 12 janvier au Paraguay, qui va succéder au Brésil à la présidence tournante du Mercosur.Mais le ministre paraguayen des Affaires étrangères, Rubén Ramírez, avait affirmé vendredi n’avoir reçu “aucune communication officielle” au sujet de cette date.Il avait également mis en garde l’UE, affirmant que la patience du Mercosur avait des limites.”Nous sommes prêts à aller de l’avant, sachant que l’Europe a ses délais à respecter pour régler les questions institutionnelles internes, mais en même temps, ces délais ne sont pas infinis”, avait-il lancé.Lula avait mis un point d’honneur à ce que le traité soit signé dans son pays, avant de transmettre la présidence du Mercosur au Paraguay.”Nous avions entre nos mains l’occasion de transmettre au monde un message important en défense du multilatéralisme et de renforcer notre position stratégique dans un contexte mondial de plus en plus compétitif. Mais, malheureusement, l’Europe ne s’est pas encore décidée”, a-t-il déploré.

Bangladesh: foule immense aux funérailles du leader étudiant assassiné

Des dizaines de milliers de personnes ont assisté samedi à Dacca aux obsèques d’un leader étudiant assassiné, deux jours après les violentes manifestations déclenchées par l’annonce de sa mort.Une immense foule a accompagné le cortège funèbre de Sharif Osman Hadi, figure de la révolte étudiante qui a conduit à la chute de l’ex-Première ministre autocratique …

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Newly released Epstein files: what we know

The release of documents related to late sex offender Jeffrey Epstein follows months of pressure on the Trump administration for transparency about the politically explosive case.Friday’s release, to meet a deadline set by Congress, was just the first tranche of what the administration is saying will be a massive volume of information. But it is already drawing criticism as the documents are heavily redacted.They include photos of high-profile figures, including former president Bill Clinton, and quickly provoked strong reactions from across the political divide.- What has been released? -Mid-afternoon on Friday the US Department of Justice provided a link to what it calls the “Epstein Library.” It includes four groups of documents: court records, disclosures from the DOJ -– the bulk of the new documents — freedom of information requests and disclosures from a US House oversight committee.Deputy Attorney General Todd Blanche said Friday there would be several hundred thousand documents released and several hundred thousand more in coming weeks.But it appeared many of the documents had been revealed previously. DOJ posted new documents on Friday totaling about 3,900 files.The release features numerous photographs not previously made public, and politicians and celebrities among those pictured. There are also video clips from inside the correctional center in New York from the day Epstein died by suicide in 2019 while awaiting trial on sex trafficking charges.- What do the files show? -In many cases, the files show little because of heavy redactions. For example, a list of 254 masseuses is entirely blacked out.In other cases there is little context provided, making it hard to interpret the significance of the information.One file contains dozens of censored images showing naked or scantily clad figures. Others show Epstein and companions, their faces obscured, with firearms.The expectation is that the files will shed light on Epstein’s network of associates — business executives, academics, celebrities and politicians, including President Donald Trump.However, it’s unclear how much the Justice Department, which controls the release, will allow to be made public and how it is selecting documents.Trump was a friend of Epstein, although he severed ties years before the financier’s 2019 arrest.- Celebrity sightings -The documents include several of Bill Clinton, taken some years ago. In one, he is pictured reclining in a hot tub with another person whose face is blacked out.Among celebrities featured are pop stars Michael Jackson, Diana Ross and Mick Jagger — all pictured with Clinton.Others featured include the former prince Andrew, his ex-wife Sarah Ferguson, actor Kevin Spacey and British tycoon Richard Branson.- Reactions -In deeply polarized Washington, the reaction was partisan in large part.The White House jumped on the Clinton appearances.”Slick Willy! @BillClinton just chillin, without a care in the world. Little did he know…” Communications Director Steven Cheung posted on X.The White House also touted the release as a show of transparency.But the top senator from the opposition Democrats, Chuck Schumer, complained that the heavily redacted documents release on Friday was just a fraction of the whole body of evidence.”Simply releasing a mountain of blacked out pages violates the spirit of transparency and the letter of the law,” Schumer said, adding that 119 pages of one document were completely blacked out.On the Republican side, some dissent emerged. Lawmaker Thomas Massie, who co-sponsored the law forcing the release of the files with Democrat Ro Khanna, accused Attorney General Pam Bondi of “withholding specific documents.”And Marjorie Taylor Greene, a onetime Trump ally who has shifted sides and resigned from Congress, said: “The whole point was NOT to protect the ‘politically exposed individuals and government officials’.”

Epstein files opened: famous faces, many blacked-out pages

The US Justice Department has begun releasing a long-awaited cache of records from its investigations into the politically explosive case of convicted sex offender Jeffrey Epstein — though much of the material remained heavily redacted.Among the trove released Friday are numerous photographs depicting former Democratic president Bill Clinton and other luminaries, including Mick Jagger and Michael Jackson, in Epstein’s social circle.The sweeping blackouts across many of the documents — combined with tight control over the release by officials in President Donald Trump’s administration — stoked skepticism over whether this disclosure will silence conspiracy theories of a high-level cover-up.In one example, a 119-page document labeled “Grand Jury-NY” is entirely redacted. Also, seven pages listing 254 masseuses have every name buried beneath thick black bars alongside the note, “redacted to protect potential victim information.” Even so, the files shed some light on the disgraced financier’s intimate ties to the rich, famous and powerful — Trump, once a close friend, among them.At least one file contains dozens of censored images of naked or scantily clad figures. Others show Epstein and companions, their faces obscured, posing with firearms.Previously unseen photographs include Maxwell with disgraced former prince Andrew, pictured lying across the legs of five people.Another photo shows a youthful-looking Clinton lounging in a hot tub, part of the image blacked out. In another, Clinton swims alongside a dark-haired woman who appears to be Epstein’s accomplice, Ghislaine Maxwell. – A ‘fraction’ of the evidence -The White House wasted no time seizing on Clinton’s appearances.”Slick Willy! @BillClinton just chillin, without a care in the world. Little did he know…” Communications Director Steven Cheung posted on X.Clinton’s spokesman Angel Urena responded to the newly released files by saying the country “expects answers, not scapegoats.””The White House hasn’t been hiding these files for months only to dump them late on a Friday to protect Bill Clinton. This is about shielding themselves,” Urena wrote on X.Democrats — and a handful of Republicans — voiced frustration that the release fell far short of what was mandated by the Epstein Files Transparency Act.Republican congressman Thomas Massie, who has long pushed for the release, said it “grossly fails to comply with both the spirit and the letter of the law.”That law required the government’s entire case file to be posted publicly by Friday, constrained only by legal and victim privacy concerns.Senate Minority Leader Chuck Schumer said Democrats would “pursue every option to make sure the truth comes out.”Trump spent months trying to block the disclosure of the files linked to Epstein, who died in a New York jail cell in 2019 while awaiting trial on sex-trafficking charges.The Republican president ultimately bowed to mounting pressure from Congress — including members of his own party — and last month signed the law compelling publication of the materials by Friday.Deputy Attorney General Todd Blanche acknowledged in a letter to Congress that the Friday release was incomplete, and that the Justice Department would complete production of files in the coming weeks.Prosecutors retain discretion to withhold material tied to active investigations, and Blanche said files had also been redacted to protect the identities of Epstein’s hundreds of victims.- ‘Democrat hoax’ -Trump once moved in the same Palm Beach and New York party scene as Epstein, appearing with him at events throughout the 1990s. He severed ties years before Epstein’s 2019 arrest and faces no accusations of wrongdoing in the case.But his right-wing base has long fixated on the Epstein saga and conspiracy theories alleging the financier ran a sex trafficking ring for the global elite.On the campaign trail, Trump vowed to release all the files. Yet after returning to office, he dismissed the transparency push as a “Democrat hoax.”Trump’s Justice Department ignited a political firestorm in July with a memo declaring there would be no further disclosures from the Epstein probe and his fabled “client list” did not exist before the president bowed to pressure.Maxwell, Epstein’s former girlfriend, remains the only person convicted in connection with his crimes, and is serving a 20-year sentence for recruiting underage girls for the former teacher and banker, whose death was ruled a suicide.