US Supreme Court looks set to approve expansion of presidential powers

The US Supreme Court appeared likely on Monday to back a bid by Donald Trump to expand presidential powers and curtail the independence of federal agencies.The case before the top court stems from the Republican president’s firing of Rebecca Slaughter, a Democratic member of the regulatory Federal Trade Commission (FTC).Slaughter was dismissed without cause and lower courts upheld her claim that the move violated rules Congress put in place to protect the members of independent government agencies.The Trump Justice Department appealed to the conservative-dominated Supreme Court and a majority of the justices appeared to side with the administration during oral arguments on Monday.Solicitor General John Sauer, representing the administration, urged the justices to overturn a landmark 1935 ruling known as “Humphrey’s Executor” that prevented then president Franklin Roosevelt from dismissing a member of the FTC.Chief Justice John Roberts, a conservative, referred to “Humphrey’s Executor” as a “dried husk” during two-and-a-half hours of oral arguments and said the FTC today is significantly more powerful than it was in the 1930s.Sauer said the current situation amounts to a “power vacuum” and the president as chief executive should have the authority to remove members of the FTC and the two dozen other similarly structured independent agencies at will.”The real world consequences here are human beings exercising enormous governmental authority with a great deal of control over individuals and businesses… who ultimately do not answer to the president,” Sauer said.”We think the text of the Constitution confers the executive power, all of it, on the president.”- ‘Uncontrolled power’ -The three liberal justices on the nine-member court expressed concerns that a ruling in the president’s favor would vastly increase the powers of the executive and strip independent agencies of protections from political influence.”The result of what you want is that the president is going to have massive, unchecked, uncontrolled power,” Justice Elena Kagan told the solicitor general.”If there’s one thing we know about the founders, it’s that they wanted powers separated,” Kagan said.Justice Sonia Sotomayor, another liberal, questioned the solicitor general along the same lines.”You’re asking us to destroy the structure of government and to take away from Congress its ability to protect its idea that the government is better structured with some agencies that are independent,” Sotomayor said.The FTC’s primary function is to protect the American public against deceptive or unfair business practices and it has taken on Apple, Amazon, Google, and Facebook parent Meta over how they wield market power.The FTC consists of five commissioners, typically representing both major political parties, with a chair nominated by the president.- ‘Not in the best interests’ -Trump fired Slaughter and the other Democrat on the FTC in March, opening the door for the Republican to appoint loyalists at the agency.Justice Ketanji Brown Jackson, a liberal, said it would be a mistake for the court to allow this.”Independent agencies exist because Congress has decided that some issues, some matters, some areas, should be handled in this way by non-partisan experts,” Jackson said.”Having a president come in and fire all the scientists and the doctors and the economists and the PhDs and replacing them with loyalists and people who don’t know anything is actually not in the best interests of the United States.”The Supreme Court has overwhelmingly sided with Trump since he returned to office, allowing mass firing of federal workers, the withholding of funds appropriated by Congress and racial profiling in his sweeping immigration crackdown.The court is to hear arguments next month over Trump’s bid to fire another senior official — Federal Reserve Board Governor Lisa Cook.The justices blocked Trump in October from firing Cook until they could hear her case contesting her dismissal.The Supreme Court is expected to give its decision in the FTC case by the end of June.

Brigitte Macron qualifie de “sale connes” des militantes qui ont interrompu un spectacle d’Ary Abittan

Brigitte Macron a qualifié de “sales connes” des militantes féministes qui ont interrompu samedi un spectacle de l’humoriste Ary Abittan, selon une vidéo publiée lundi, l’entourage de l’épouse du chef de l’Etat évoquant “une critique de la méthode radicale employée” par ce collectif.Samedi soir, quatre militantes du collectif féministe #NousToutes, portant des masques à l’effigie de l’acteur avec la mention “violeur”, ont interrompu son spectacle dans la salle parisienne des Folies Bergère, scandant “Abittan violeur”, a rapporté cette organisation dans un communiqué.Fin 2021, l’humoriste a été accusé de viol par une jeune femme qu’il fréquentait depuis quelques semaines. Après trois ans d’enquête, l’instruction a abouti à un non-lieu confirmé en appel en janvier, mais son retour sur scène est depuis contesté par des féministes protestant régulièrement aux abords des salles où il se produit.Le lendemain de cette interruption, dimanche, Brigitte Macron est allée voir sa représentation parisienne, accompagnée de sa fille Tiphaine Auzière.Sur une vidéo publiée lundi par le site de l’hebdomadaire Public, on voit la Première dame apporter son soutien à Ary Abittan en coulisses avant le spectacle.”J’ai peur”, lui dit-il. “S’il y a des sales connes on va les foutre dehors”, lui répond Brigitte Macron, en riant. “Surtout des bandits masqués”, ajoute-t-elle.Le collectif #NousToutes a relayé cette vidéo sur son compte Instagram ainsi que des messages de soutien à son action de samedi soir. Sur le réseau Bluesky, le collectif a repris sur fond noir le mot-clé #salesconnes. “Nous sommes profondément choquées et scandalisées. Les mots utilisés en disent long sur sa vision des choses, le message politique est extrêmement choquant”, a réagi auprès de l’AFP une militante de #NousToutes Paris Nord ayant participé à l’action et se présentant sous le pseudonyme de Gwen. “C’est un crachat de plus sur les victimes et les associations féministes”. Interrogé par l’AFP, l’entourage de l’épouse d’Emmanuel Macron a assuré qu’il ne fallait “voir dans cet échange qu’une critique de la méthode radicale employée par ceux qui ont perturbé, masqués, le spectacle d’Ary Abittan samedi soir pour empêcher que l’artiste se produise sur scène”. “Brigitte Macron n’approuve pas cette méthode radicale”, a-t-on ajouté de même source.Mais les critiques sont nombreuses.Sur Instagram, Judith Godrèche a apporté son soutien au collectif avec ce message sur fond noir: “Moi aussi je suis une sale conne. Et je soutiens tous.tes les autres”, a écrit la comédienne. “Ces propos sont gravissimes”, “une première dame ne devrait pas dire ça”, a dénoncé sur BFMTV la patronne des écologistes, Marine Tondelier. Au vu du non-lieu, Ary Abittan “peut remonter sur scène” et “les féministes ont le droit de donner leur avis là-dessus aussi”, a-t-elle estimé.”On a commencé par les droits des femmes +grande cause du quinquennat+, ça termine en les insultant”, a fustigé sur X l’eurodéputée LFI Manon Aubry. “Il est temps que le couple Macron s’en aille”.

Condamné dans une affaire de marchés publics, le maire de Tarbes bientôt destitué

Le maire LR de Tarbes, Gérard Trémège, va quitter ses fonctions après sa condamnation, lundi par le tribunal de Pau, à deux ans de prison avec sursis et deux ans d’inéligibilité avec application immédiate dans une affaire de marchés publics frauduleux.Cette dernière peine étant assortie d’une mesure d’exécution provisoire, le préfet des Hautes-Pyrénées prendra prochainement un arrêté actant sa démission d’office. Une amende de 75.000 euros a également été prononcée.L’élu de 81 ans, en poste depuis 2001, avait annoncé qu’il ne briguerait pas sa succession en 2026 mais il comptait figurer sur la liste conduite par Michel Garnier, un de ses proches, et semblait vouloir conserver la présidence de l’agglomération Tarbes-Lourdes-Pyrénées.”Je prends acte. Je suis surpris, déçu”, a réagi Gérard Trémège, interrogé par l’AFP après le prononcé du jugement, dont il peut faire appel. “Je vais y réfléchir”, a-t-il ajouté sur ce point.Poursuivi pour favoritisme et prise illégale d’intérêt, il avait comparu mi-novembre avec neuf autres prévenus – cinq anciens cadres administratifs de la ville de Tarbes, un architecte et trois entrepreneurs locaux.Selon l’accusation, l’édile avait mis au point un “système” pour “avantager des proches” en leur accordant des marchés publics malgré des candidatures “aux dossiers incomplets” et à des tarifs souvent supérieurs à ceux du marché, ou en leur cédant des terrains municipaux à prix réduits.Au procès, Gérard Trémège avait nié les faits, admettant avoir commis des “erreurs” mais jamais de façon délibérée, expliquant avoir privilégié “des entreprises du territoire” sans chercher “d’intérêt personnel”, et dénonçant un dossier “orchestré” contre lui.Une peine de trois ans de prison dont un ferme, aménageable sous la forme d’une détention à domicile avec bracelet électronique, assortie de cinq ans d’inéligibilité et de 75.000 euros d’amende, avait alors été requise par le procureur de Pau qui avait imputé au maire des “dysfonctionnements majeurs”.Prévu initialement lundi, un conseil municipal se tiendra le 15 décembre pour élire le nouveau maire de Tarbes.Gérard Trémège a également été conseiller régional de Midi-Pyrénées, puis d’Occitanie, de 2004 à 2021, et député des Hautes-Pyrénées de 1986 à 1988 puis de 1993 à 1995.Parmi les autres peines prononcées par le tribunal, un ancien directeur général des services de la commune a été condamné à neuf mois de prison avec sursis et 20.000 euros d’amende, un ex-chef de service municipal et un architecte à six mois de prison avec sursis et 40.000 euros d’amende, un chef d’entreprise à trois mois de prison avec sursis et 10.000 euros d’amende.Deux autres dirigeants d’entreprises ont été relaxés, tandis que trois ex-chefs de services municipaux ont bénéficié d’une dispense de peine.

100 abducted Nigerian children handed over to state officialsMon, 08 Dec 2025 19:10:01 GMT

Around 100 schoolchildren kidnapped from a Catholic school in Nigeria last month were handed over to state officials Monday, AFP reporters saw, though the fate of many others remains unknown.The children — many wearing football jerseys and girls in long robes — were driven to the Niger State Government House in white buses escorted by …

100 abducted Nigerian children handed over to state officialsMon, 08 Dec 2025 19:10:01 GMT Read More »