Hand: les Bleues repartent en bronze du Mondial

L’équipe de France féminine de handball est parvenue à décrocher la médaille de bronze du Mondial dimanche en battant les Pays-Bas (33-31) qui, devant leur public à Rotterdam, l’ont poussée en prolongation à quatre secondes de la fin.Les championnes du monde en titre décrochent leur première médaille depuis l’arrivée de Sébastien Gardillou au poste de sélectionneur un an après s’être inclinées contre la Hongrie (25-24) dans le match pour la troisième place de l’Euro pour ses débuts sur le banc.Et six jours après leur défaite en poules contre ces mêmes Néerlandaises (26-23), qui ont retardé l’échéance grâce à Dione Housheer, à quatre secondes de la fin du temps réglementaire (26-26). Alors que la capitaine Tamara Horacek avait donné un but d’avance aux Bleues 10 secondes plus tôt.Mais elles ont su surmonter cette égalisation, dominant de bout en bout la prolongation, lors de laquelle elle se sont détachées après un but de Suzanne Wajoka à quatre minutes de la fin (30-27).Elles étaient aussi parvenu à se remettre d’un début de rencontre manqué (1-4, 5e; 8-7, 18e), où elles étaient retombées dans leurs travers du premier match face aux Pays-Bas, cherchant trop systématiquement la passe vers l’intérieur cadenassé et affichant un manque d’efficacité au tir.Le réveil est d’abord venu de la défense, des ballons récupérés notamment par Pauletta Foppa et des arrêts d’Hatadou Sako, et s’est prolongé en attaque où les Françaises sont parvenues à mieux trouver leurs pivots et leurs ailières (12-10, 30e, après deux buts de suite de Lucie Granier).Les Bleues ont aussi connu un passage à vide en début de seconde période (de 15-13 à la 34e à 17-20, 43e) qui a coïncidé avec la sortie de Sako et de nouvelles expérimentations sur la base arrière.En retard d’un but à 2 min 30 sec de la fin (24-25), elles ont égalisé sur un pénalty d’Alicia Toublanc avant, donc, le but de Horacek puis l’égalisation néerlandaise.

Budget: Lecornu doit prendre ses “responsabilités” y compris en recourant au 49.3, affirme Borne

L’ancienne Première ministre Elisabeth Borne appelle dimanche le gouvernement de Sébastien Lecornu à “prendre sa part de responsabilité” pour adopter un budget d’ici la fin de l’année y compris en recourant à l’arme constitutionnelle du 49.3, dans un entretien mis en ligne sur le site du Parisien. “Le gouvernement doit prendre sa part de responsabilité pour faire adopter un compromis global”, explique l’ex-cheffe du gouvernement qui plaide pour que le budget soit adopté avant la fin de l’année et que le déficit soit inférieur à 5%. “Il n’y a pas dans la Constitution d’articles qui traitent de la responsabilité des parlementaires, mais plusieurs articles qui permettent au gouvernement de prendre les siennes”, ajoute la députée Renaissance, en réponse à l’argument de Sébastien Lecornu qui rejette un recours au 49.3 et appelle les Parlementaires à trouver un compromis.  Aux yeux d’Elisabeth Borne, qui a eu recours à 23 reprises au 49.3 et survécu à 31 motions de censure, “on doit tout faire pour pouvoir avoir un budget avant la fin de l’année”. Il existe “différentes voies : un vote sur les conclusions de la commission mixte paritaire, un vote bloqué sur le compromis ou, effectivement, le gouvernement peut engager sa responsabilité”, précise-t-elle.Elisabeth Borne appelle à sortir “des caricatures” et considère que le recours au 49.3 “n’est pas un passage en force. C’est une façon moins engageante pour les oppositions de permettre l’adoption d’un texte, sans devoir le voter”. “Ça donne donc une autre voie pour adopter un budget sans devoir soutenir le gouvernement”, explique l’ex-Première ministre, alors que le patron du PS Olivier Faure a menacé jeudi Sébastien Lecornu de “censure immédiate” s’il utilisait cette arme “sans compromis préalable” sur le budget de l’Etat.Par ailleurs, Elisabeth Borne estime que “l’expérience de l’an passé ne doit pas banaliser le recours à une loi spéciale qui ne permet pas d’engager de nouvelles dépenses”. Une telle loi spéciale permet à l’Etat de continuer à percevoir les impôts et à faire fonctionner les administrations sur la base du budget de l’année précédente. Elle avait déjà été utilisée en 2024, le temps que le Premier ministre François Bayrou fasse voter un budget en février de cette année.

Dermatose: la pression monte dans le Sud-Ouest, à la veille d’une visite de Genevard

Des éleveurs de bovins multiplient les actions dans tout le Sud-Ouest, avant la venue lundi en Occitanie de la ministre de l’Agriculture Annie Genevard, dont ils contestent la gestion de l’épidémie de dermatose nodulaire contagieuse (DNC).”Il y a des nouveaux blocages en cours (…) ça continue et ça se développe”, a déclaré à l’AFP Bertrand Venteau, président de la Coordination rurale, syndicat très remonté, comme la Confédération paysanne, contre l’abattage généralisé des bêtes des foyers affectés, exigeant une large vaccination du cheptel français de 16 millions de bovins contre cette maladie non transmissible à l’homme.Sur l’A64, bloquée depuis vendredi soir sur plus d’une centaine de kilomètres du Pays basque à l’est de Tarbes par des dizaines de tracteurs, des agriculteurs ont installé des sapins de Noël. “On est parti pour passer les fêtes ici”, a déclaré à l’AFP Cédric Baron, agriculteur-éleveur de bovins à Montoussin (Haute-Garonne), mobilisé à Carbonne, point de départ d’un précédent mouvement de protestation agricole en janvier 2024. “Nous sommes en guerre. Tant que l’Etat ne renoncera pas à l’abattage massif, on sera là”, prévient Cédric Nespoulos, producteur de bovins viande, dans le Tarn, où une cinquantaine d’agriculteurs bloquent la nationale N88 à l’entrée de la rocade d’Albi.A Millau, une vingtaine de tracteurs ont déversé lisier, foin, pneus et ordures devant et dans la cour de la sous-préfecture de l’Aveyron, selon un photographe de l’AFP.D’autres agriculteurs se mobilisent près de Montpellier ou à Saint-Jean-de-Luz (Pyrénées-Atlantiques), avant de nouveaux appels au blocage en soirée à Bordeaux et en Dordogne.Dans l’Hérault, le sous-préfet de Lodève Éric Suzanne évoque une manifestation “limitée” mais rapporte “beaucoup plus de difficultés en Lozère et dans l’Aveyron, sur l’A75”. – “Aucun foyer actif” -Sur les barrages, beaucoup de militants se disent “choqués” par l’utilisation de gaz lacrymogènes par les gendarmes en milieu de semaine en Ariège pour disperser les éleveurs qui bloquaient aux vétérinaires l’accès à la ferme touchée par le premier cas de DNC dans cette partie du pays.”Quand il y a une bête malade, tout le monde est d’accord pour l’abattre, mais tuer des troupeaux entiers, alors qu’il faut des années pour monter une génétique et monter un troupeau, on est totalement contre”, a déclaré à l’AFP Christophe Guénon, éleveur de vaches et maraîcher en bio, près de Bordeaux.La ministre de l’Agriculture, Annie Genevard, soutenue sur ce dossier par l’alliance syndicale majoritaire FNSEA-Jeunes Agriculteurs, défend “un protocole qui a très bien fonctionné” depuis l’apparition du premier cas en France de cette maladie, en juin, en Savoie. Elle assurait samedi au journal Sud Ouest qu’il n’y avait “aucun foyer actif de DNC sur le territoire français”.Alors que M. Venteau estime que “c’est maintenant que la vaccination doit se décréter, sinon on va avoir un drame dans moins d’un mois” et que “tout le sud de la Loire sera contaminé”, la ministre a répondu dimanche sur Europe 1 que “le virus n’est pas aux portes de chaque élevage”.- Delga interpelle Lecornu -Lundi, elle se rendra en Occitanie pour “assister aux débuts de la vaccination sur ce territoire” pour un million de bêtes mais le gouvernement reste très prudent quant à une possible généralisation de la vaccination.Celle-ci “placerait la France comme une zone à risque et donc ça ferait peser un risque économique sur toute la filière agricole”, a plaidé dimanche Sébastien Martin, ministre délégué chargé de l’Industrie.La présidente socialiste de la région Occitanie, Carole Delga, a adressé dimanche une lettre ouverte au Premier ministre Sébastien Lecornu, lui demandant “d’intervenir afin de garantir, dans les plus brefs délais, un dialogue franc et sincère avec les agriculteurs”.Le dialogue est déjà “permanent” a soutenu dimanche la porte-parole du gouvernement, Maud Bregeon, en assurant que le protocole actuel est le “plus efficace”. D’autres dossiers brûlants comme la baisse annoncée du budget de la Politique agricole commune (PAC) européenne et l’accord de libre-échange prévu entre l’UE et les États du Mercosur alimentent aussi la colère des agriculteurs.”Dans sa forme actuelle, le traité n’est pas acceptable”, a répété à ce sujet le ministre de l’Économie, Roland Lescure, dans une interview à plusieurs médias, dont Les Echos.kal-mla-gm-chv-vgr-dac-jmi/ole/apz/

Dermatose: la pression monte dans le Sud-Ouest, à la veille d’une visite de Genevard

Des éleveurs de bovins multiplient les actions dans tout le Sud-Ouest, avant la venue lundi en Occitanie de la ministre de l’Agriculture Annie Genevard, dont ils contestent la gestion de l’épidémie de dermatose nodulaire contagieuse (DNC).”Il y a des nouveaux blocages en cours (…) ça continue et ça se développe”, a déclaré à l’AFP Bertrand Venteau, président de la Coordination rurale, syndicat très remonté, comme la Confédération paysanne, contre l’abattage généralisé des bêtes des foyers affectés, exigeant une large vaccination du cheptel français de 16 millions de bovins contre cette maladie non transmissible à l’homme.Sur l’A64, bloquée depuis vendredi soir sur plus d’une centaine de kilomètres du Pays basque à l’est de Tarbes par des dizaines de tracteurs, des agriculteurs ont installé des sapins de Noël. “On est parti pour passer les fêtes ici”, a déclaré à l’AFP Cédric Baron, agriculteur-éleveur de bovins à Montoussin (Haute-Garonne), mobilisé à Carbonne, point de départ d’un précédent mouvement de protestation agricole en janvier 2024. “Nous sommes en guerre. Tant que l’Etat ne renoncera pas à l’abattage massif, on sera là”, prévient Cédric Nespoulos, producteur de bovins viande, dans le Tarn, où une cinquantaine d’agriculteurs bloquent la nationale N88 à l’entrée de la rocade d’Albi.A Millau, une vingtaine de tracteurs ont déversé lisier, foin, pneus et ordures devant et dans la cour de la sous-préfecture de l’Aveyron, selon un photographe de l’AFP.D’autres agriculteurs se mobilisent près de Montpellier ou à Saint-Jean-de-Luz (Pyrénées-Atlantiques), avant de nouveaux appels au blocage en soirée à Bordeaux et en Dordogne.Dans l’Hérault, le sous-préfet de Lodève Éric Suzanne évoque une manifestation “limitée” mais rapporte “beaucoup plus de difficultés en Lozère et dans l’Aveyron, sur l’A75”. – “Aucun foyer actif” -Sur les barrages, beaucoup de militants se disent “choqués” par l’utilisation de gaz lacrymogènes par les gendarmes en milieu de semaine en Ariège pour disperser les éleveurs qui bloquaient aux vétérinaires l’accès à la ferme touchée par le premier cas de DNC dans cette partie du pays.”Quand il y a une bête malade, tout le monde est d’accord pour l’abattre, mais tuer des troupeaux entiers, alors qu’il faut des années pour monter une génétique et monter un troupeau, on est totalement contre”, a déclaré à l’AFP Christophe Guénon, éleveur de vaches et maraîcher en bio, près de Bordeaux.La ministre de l’Agriculture, Annie Genevard, soutenue sur ce dossier par l’alliance syndicale majoritaire FNSEA-Jeunes Agriculteurs, défend “un protocole qui a très bien fonctionné” depuis l’apparition du premier cas en France de cette maladie, en juin, en Savoie. Elle assurait samedi au journal Sud Ouest qu’il n’y avait “aucun foyer actif de DNC sur le territoire français”.Alors que M. Venteau estime que “c’est maintenant que la vaccination doit se décréter, sinon on va avoir un drame dans moins d’un mois” et que “tout le sud de la Loire sera contaminé”, la ministre a répondu dimanche sur Europe 1 que “le virus n’est pas aux portes de chaque élevage”.- Delga interpelle Lecornu -Lundi, elle se rendra en Occitanie pour “assister aux débuts de la vaccination sur ce territoire” pour un million de bêtes mais le gouvernement reste très prudent quant à une possible généralisation de la vaccination.Celle-ci “placerait la France comme une zone à risque et donc ça ferait peser un risque économique sur toute la filière agricole”, a plaidé dimanche Sébastien Martin, ministre délégué chargé de l’Industrie.La présidente socialiste de la région Occitanie, Carole Delga, a adressé dimanche une lettre ouverte au Premier ministre Sébastien Lecornu, lui demandant “d’intervenir afin de garantir, dans les plus brefs délais, un dialogue franc et sincère avec les agriculteurs”.Le dialogue est déjà “permanent” a soutenu dimanche la porte-parole du gouvernement, Maud Bregeon, en assurant que le protocole actuel est le “plus efficace”. D’autres dossiers brûlants comme la baisse annoncée du budget de la Politique agricole commune (PAC) européenne et l’accord de libre-échange prévu entre l’UE et les États du Mercosur alimentent aussi la colère des agriculteurs.”Dans sa forme actuelle, le traité n’est pas acceptable”, a répété à ce sujet le ministre de l’Économie, Roland Lescure, dans une interview à plusieurs médias, dont Les Echos.kal-mla-gm-chv-vgr-dac-jmi/ole/apz/

No contact with Iran Nobel winner since arrest: supporters

There has been no contact with Iranian Nobel peace prize winner Narges Mohammadi since her arrest at the end of last week, her supporters said Sunday, urging the Islamic republic to release the campaigner and dozens of others arrested alongside her.Mohammadi, who won the 2023 Nobel prize, was detained Friday after addressing a memorial ceremony in the eastern city of Mashhad for lawyer Khosrow Alikordi, who was found dead earlier this month.According to Mashhad prosecutor Hassan Hemmatifar, 38 people were arrested at the ceremony including Mohammadi and fellow prominent activist Sepideh Gholian. Alikordi’s brother Javad was arrested later the same day.Mohammadi, who has spent much of the last decade in-and-out of jail, had been allowed out of prison on December 2024 on medical leave. Over the last year, she carried on campaigning.No phone call has been made by been made by Mohammadi since her arrest and “only a limited number of those arrested have been able to contact their families”, her foundation said in a statement.It expressed “deep concern for the physical and psychological well-being of all detainees and calls for their immediate and unconditional release”, the statement added.It said the foundation had now learned that her case had been referred to the Mashhad revolutionary prosecutor and that she could be facing national security charges.But the foundation said it had received no information over her “whereabouts or condition”.- ‘Violently’ arrested -Images of the memorial ceremony showed Mohammadi — not wearing the headscarf that is obligatory for women in public in the Islamic republic — climbing atop a car to address crowds of people who chanted slogans against the authorities.She was then “violently” arrested, said the foundation, adding it believed that the number of people arrested alongside her may have exceeded 50. Prosecutor Hassan Hemmatifar, quoted by the IRNA news agency on Saturday, said investigations were ongoing.He accused Javad Alikordi, Gholian and Mohammadi of making “provocative speeches, inciting the people present to disrupt the public order and chant slogans that violated the norms”.Alikordi, 45, a lawyer who had defended people arrested during 2022-2023 protests, was found dead in his office on December 5.Hemmatifar said the lawyer had died of a “heart attack” and had a “natural death”, but Mohammadi’s foundation and other activists have described his death as “suspicious”.Activists say Iran remains in the throes of a deep crackdown more than five months after the end of the 12-day war against Israel, with over 1,400 people executed so far this year.

‘Golden moment’ as Messi meets Tendulkar, Chhetri on India tour

Football icon Lionel Messi’s second day in India passed smoothly Sunday, after a chaotic opening to his three-day tour, as the World Cup winner kicked balls into the crowd and met cricket legend Sachin Tendulkar.Messi greeted excited fans decked out in Argentina football jerseys at a packed Wankhede stadium in India’s financial hub Mumbai, as supporters chanted his name.The 38-year-old Argentina and Inter Miami superstar took centre stage in the presence of India’s sporting royalty including Tendulkar and football star Sunil Chhetri.Messi along with his Inter Miami teammates Luis Suarez and Rodrigo de Paul are part of a so-called GOAT Tour of a cricket-crazy nation.Cricket great Tendulkar presented Messi with his iconic number 10 jersey from India’s 2011 World Cup triumph at the same venue.”I have spent some incredible moments here,” said batting star Tendulkar. “Mumbai is a city of dreams and number of dreams have seen the finish line here on this very venue and without your support we could never have seen those golden moments in 2011.”And today having all three greats of game here is indeed a golden moment for Mumbai, Mumbaikars and India.”Although a cricket powerhouse, the nation of 1.4 billion struggles on the football pitch and are 142nd on the FIFA rankings.”Thank you for being here and encouraging youngsters,” said Tendulkar. “I hope football here in India also reaches the heights that we all aspire.”The Mumbai event went smoothly compared to Saturday’s in the eastern city of Kolkata where heavy security left fans struggling to catch a glimpse of Messi.Frustrated fans, many having paid more than $100 for tickets, broke down barricades and stormed the pitch after the superstar abruptly left the arena.Spectators also ripped out stadium seats and hurled water bottles onto the track.  One person has been arrested for the incident. Before the chaos erupted, Messi unveiled a 21-metre (70-foot) statue which shows him holding aloft the World Cup in 2022. The footballer was in Hyderabad city later on Saturday where he addressed the crowd briefly in Spanish. Messi wraps up his India tour on Monday, with a possible meeting with Indian Prime Minister Narendra Modi. The footballer won his second consecutive Major League Soccer Most Valuable Player award this week after propelling Inter Miami to the MLS title and leading the league in goals.The former Barcelona and Paris Saint-Germain forward will spearhead Argentina’s defence of the World Cup in June-July in North America.

World leaders express horror, revulsion at Bondi beach shooting

World leaders express their horror and revulsion at Sunday’s mass shooting in which 11 people were killed at Sydney’s iconic Bondi Beach.Australian Prime Minister Anthony Albanese said the “shocking and distressing” attack, which Australian police are calling a “terrorist” incident, was “beyond comprehension” as assailants fired on a gathering celebrating the Jewish festival of Hanukkah.Israeli President Isaac Herzog condemned what he called a “very cruel attack on Jews” by “vile terrorists”.King Charles III, head of the 56 countries of the 56-nation Commonwealth, of which Australia is a member, said he was “appalled” by “most dreadful antisemitic terrorist attack on Jewish people”.US Secretary of State Marco Rubio, also on X, said: “Antisemitism has no place in this world. “Our prayers are with the victims of this horrific attack, the Jewish community, and the people of Australia.”EU chief Ursula von der Leyen said she was “shocked” at what she condemned as an “appalling act of violence”.She added in a post to X: “Europe stands with Australia and Jewish communities everywhere. We are united against violence, antisemitism and hatred.”British Prime Minister Keir Starmer lamented what he described as the “deeply distressing news from Australia.”The United Kingdom sends our thoughts and condolences to everyone affected by the appalling attack in Bondi beach,” he added.Israel’s arch-enemy Iran joined the condemnations. Posting on X, foreign ministry spokesman Esmaeil Baqaei said: “We condemn the violent attack in Sydney, Australia. Terror and killing of human beings, wherever committed, is rejected and condemned.”- ‘Entirely forseeable’ -French President Emmanuel Macron condemned the attack and vowed that France would “fight relentlessly against antisemitic hatred.”Italian Prime Minister Giorgia Meloni said on X she felt “profound grief regarding the dramatic news arriving from Sydney.”By once again firmly condemning all forms of violence and anti-semitism, Italy expresses its own condolences for the victims,” she added.German Foreign Minister Johann Wadephul, also in a post to X, said: “I am deeply shocked by the terrorist attack in Sydney –- an act of hatred directed against all Jews worldwide on the first day of Hanukkah.”My thoughts are with the families of those murdered, the injured and the Jewish community,” he added.Ukrainian President Volodymyr Zelensky posted on X that his country “stands in solidarity with Australia in the face of the brutal terrorist attack at Bondi Beach, Sydney, which targeted the Jewish community.”Terror and hatred must never prevail — they must be defeated everywhere and every time,” he said.A major Australian Muslim organisation also condemned the “horrific” shooting.”Our hearts, thoughts and prayers are with the victims, their families, and all those who witnessed or were affected by this deeply traumatic attack,” the Australian National Imams Council said, urging all Australians to stand together in unity, compassion, and solidarity.The head of Australia’s Jewish Association meanwhile said the shooting was a “tragedy but entirely foreseeable.”The Albanese government was warned so many times but failed to take adequate actions to protect the Jewish community,” Robert Gregory told AFP.