Namibia deploys hundreds of soldiers to fight Etosha fireSun, 28 Sep 2025 11:52:18 GMT

Namibia began deploying hundreds of soldiers on Sunday to fight a fire that has burned through a third of the vast Etosha National Park, one of Africa’s largest game reserves, officials said.The park in the north of the largely desert nation is home to 114 species of mammals, notably the critically endangered black rhinoceros, and …

Namibia deploys hundreds of soldiers to fight Etosha fireSun, 28 Sep 2025 11:52:18 GMT Read More »

Canteloup arrive sur RMC: “Rires” ou “gros malaise”, ce sont “des moments de radio”

Quatre ans après son éviction d’Europe 1, l’humoriste et imitateur Nicolas Canteloup revient lundi à la radio, sur RMC: “gourmand” avant ce retour sur les ondes, il se réjouit de faire “du trapèze sans filet” en improvisant des imitations de politiques, confie-t-il à l’AFP.R: “Gourmand! Je ne pensais pas revenir à la radio, j’avais tourné la page. Mais ces quatre ans d’arrêt ont finalement été assez positifs : cette petite jachère a entraîné beaucoup d’envie. Quand mon producteur (Jean-Marc Dumontet, ndlr) m’a appelé pour me dire que RMC avait envie que je vienne, je l’ai rappelé au bout de 48h pour lui dire que cette idée me plaisait bien.”R: “L’idée, c’est de faire une chronique de 7 minutes avec les voix des gens qui sont dans l’actualité. Mais le petit plus, c’est d’essayer de pasticher, de parodier l’interview menée par Apolline de Malherbe, qui se sera déroulée juste avant. Je l’ai déjà fait sur Europe 1, et c’est du trapèze sans filet: il y aura trois minutes de pub entre la fin de l’interview et mon intervention, et c’est le temps que j’aurai pour trouver un angle, une parodie.”R: “Pour moi, c’est du sans filet, et pour l’auditeur, c’est du produit extra-frais, non formaté, parce qu’on ne sait pas ce qui va se passer. L’invité peut se crisper, ça peut être glacial, mais ça fait des moments de radio, de vérité, et c’est ça qui est intéressant. Quand il y a des rires, c’est évidemment mieux, mais même quand il y a un gros malaise, il se passe quelque chose. C’est très casse-gueule pour moi, et j’espère que cette prise de risques sera appréciée par l’auditeur. Avec l’indulgence qui va avec, parce que ce sera imparfait, mais c’est le jeu.”R: “C’est la raison de ma venue. RMC voulait marquer le coup dans cette année pré-électorale. On a beau dire que les gens s’éloignent de la politique, ça les passionne quand même. C’est sûr que c’est un terrain de jeu sur lequel la matière première va être très forte.”R: “Je suis en plein dedans, avec des voix comme François Ruffin (député ex-LFI, ndlr), Olivier Faure (premier secrétaire du Parti socialiste, ndlr). Là, je travaille vraiment Jordan Bardella (président du RN, ndlr). Certaines voix sont plus compliquées que d’autres.”R: “Avec une moto-taxi, ça va être mon outil! Il va falloir jongler, car dès que j’aurai fini à la radio, il faudra que je parte à TF1 pour tourner l’émission. Donc ça va être un peu sportif, d’autant que j’arriverai très tôt à la radio pour écouter toute la matinale.”R: “C’était une décision du nouveau propriétaire, c’était effectivement Vincent Bolloré, le nouvel actionnaire. Mais si on est honnête, c’est une décision légitime: il achète un média, il y met ce qu’il veut. Il ne souhaitait pas avoir d’humoriste parce qu’il voulait changer de ligne éditoriale et ne pas avoir un trublion qui dit un peu ce qu’il veut. C’est respectable. La seule frustration, c’est qu’avec mon équipe, on était prêt pour la présidentielle (de 2022, ndlr) et qu’on s’est arrêté avant.”

Sarkozy: pour Bayrou, si l’exécution provisoire est généralisée, “il n’y a plus d’appel possible”

François Bayrou a estimé dimanche, au sujet de la récente condamnation de Nicolas Sarkozy, que “si on adopte la généralisation du principe de l’exécution provisoire, ça veut dire qu’il n’y a plus d’appel possible”.Le tribunal correctionnel de Paris a condamné jeudi Nicolas Sarkozy à cinq ans d’emprisonnement pour avoir “laissé ses plus proches” collaborateurs démarcher la Libye de Mouammar Kadhafi pour financer sa campagne présidentielle de 2007. Sa peine a été assortie d’une exécution provisoire, avec mandat de dépôt à effet différé.”Je ne crois pas qu’il y ait dans la vie politique française de responsables qui aient affronté Nicolas Sarkozy face à face et avec autant de vigueur que j’ai été amené à le faire”, a déclaré M. Bayrou lors de son discours de clôture de l’université de rentrée du MoDem.”Je trouve qu’il faut protéger les juges. (…) Je trouve qu’il faut respecter les décisions, mais qu’on a le droit de se poser des questions sur une disposition qui est l’exécution provisoire”, a ajouté l’ancien Premier ministre.”Pardon de le dire aussi franchement que je le pense. Notre système judiciaire est fondé sur un principe, c’est à dire qu’on peut faire appel des décisions quand on trouve qu’elles ne sont pas justes. Et très souvent, ce principe du double degré de juridiction change en appel la décision de première instance et assez souvent adoucit la décision de première instance”, a-t-il développé.Mais “si on adopte la généralisation du principe de l’exécution provisoire, ça veut dire qu’y a plus d’appel possible. Il y a un appel théorique, mais il n’y a pas d’appel réel. Et nous, qui sommes les défenseurs de la démocratie, nous sommes par nature les défenseurs des principes démocratiques”, a ajouté François Bayrou.Marine Le Pen a également critiqué, après cette décision de justice, “la négation du double degré de juridiction par la voie de la généralisation de l’exécution provisoire”. La leader du Rassemblement national a fait l’objet, en première instance fin mars, d’une condamnation à cinq ans d’inéligibilité avec exécution provisoire dans l’affaire des assistants parlementaires européens.L’exécution provisoire prive l’appel de son effet suspensif qui, dans le cas de Nicolas Sarkozy, lui aurait évité la prison dans l’attente d’une condamnation définitive. Dans le cas de Marine Le Pen, elle jette un doute sur sa capacité à se présenter à la prochaine présidentielle.

L1: à Lille, une infirmerie très remplie et une défense à repenser

Privé d’Alexsandro et Benjamin André, blessés, mais aussi de son gardien Berke Özer, Lille doit trouver des solutions pour rendre sa défense plus hermétique dès la réception de Lyon dimanche (17h15) lors de la sixième journée de Ligue 1.”On ne peut pas être satisfait d’avoir encaissé autant de buts (huit, NDLR) en cinq journées. On sait que c’est beaucoup trop”, a insisté Bruno Genesio, l’entraîneur du Losc, samedi, alors que son équipe va enchaîner trois chocs en sept jours avec un déplacement jeudi à l’AS Rome en Ligue Europa puis la venue du PSG, le dimanche 5 octobre.Deuxième meilleure défense de Ligue 1 la saison dernière derrière avec 36 buts encaissés (contre 35 pour le PSG), le club nordiste est en difficulté cette saison, à l’image de la déconvenue du week-end dernier à Lens (3-0).La première explication se situe dans le mercato estival qui a vu Lille vendre deux de ses joueurs les plus cotés: le gardien Lucas Chevalier au PSG et le défenseur central Bafodé Diakité à Bournemouth pour près de cent millions d’euros, bonus compris.La seconde est liée à l’infirmerie, très voire trop remplie actuellement avec les blessures d’Alexsandro, victime d’une lésion musculaire contre Toulouse (14 septembre) et absent “quelques semaines” selon le club, celle du capitaine et milieu Benjamin André (quadriceps) insuffisamment remis pour la venue de Lyon, du latéral droit Thomas Meunier (aine) et du latéral gauche Romain Perraud (cheville), notamment.À cette liste déjà longue s’est ajoutée en fin de semaine le gardien Berke Özer (25 ans), arrivé cet été pour remplacer Chevalier. “Il a ressenti une douleur hier soir (vendredi) sur le haut de la cuisse. Les examens qui ont été faits ce matin (samedi) ont montré une petite lésion au psoas”, a indiqué Bruno Genesio, l’entraîneur du Losc.- Lille sans ses “quatre postes stratégiques” -Pour affronter Lyon dimanche, c’est le Belge Arnaud Bodart (27 ans, ex-Metz) qui prendra place dans le but. Mais cette nouvelle défaillance vient fragiliser encore un peu plus ce que Bruno Genesio appelle “l’épine dorsale” de Lille et dont il a expliqué l’importance samedi.”C’est facilitant lorsque vous avez une stabilité, celle de la charnière, du gardien, du joueur qui est devant la défense, développe-t-il. Ce qui a fait notre grande force la saison dernière c’est qu’on a très peu changé ces quatre postes-là qui sont, selon moi, stratégiques pour avoir une bonne défense.”L’entraîneur nordiste a aussi rappelé les arrivées tardives de Calvin Verdonk (latéral gauche) et Chancel Mbemba (défenseur central), fin août. Nathan Ngoy, l’autre défenseur central recruté, est arrivé plus tôt dans le mercato mais lui, comme tous les autres, doit encore prendre ses marques.”Il faut qu’ils assimilent un nouveau club, pour certains, un nouveau pays, une nouvelle langue voire de nouveaux principes comme Chancel (Mbemba) par exemple qui avait beaucoup joué dans une défense à trois avec Marseille (2023-2024, NDLR)”, explique Bruno Genesio.Pour accélérer l’apprentissage, le coach des Dogues a affirmé qu’il travaillait “beaucoup à la vidéo” dans l’optique “de faire assimiler le plus vite possible” les principes.Une bonne nouvelle tout de même: le retour à la compétition du latéral droit Tiago Santos, après onze mois sans jouer à la suite d’une rupture du ligament croisé antérieur du genou gauche. Passeur décisif sur le but de la victoire d’Olivier Giroud, jeudi, contre Brann Bergen, l’international portugais (23 ans) peut servir de repère à un secteur défensif qui en manque énormément en ce moment.