Le co-créateur du jeu vidéo “Call of Duty” Vince Zampella meurt dans un accident de la route

Le co-créateur de “Call of Duty” Vince Zampella, figure majeure du jeu vidéo, est décédé dimanche à 55 ans dans un accident de voiture en banlieue de Los Angeles, a indiqué lundi l’éditeur Electronic Arts (EA).Vince Zampella était considéré comme un pionnier des jeux de tirs à la première personne, vendus à des centaines de …

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La Thaïlande rejette la demande du Cambodge pour des pourparlers en terrain neutre

La Thaïlande a rejeté mardi la demande du Cambodge d’organiser en terrain neutre des pourparlers destinés à régler leur conflit frontalier, qui a fait plus de 40 morts et des centaines de milliers de déplacés en deux semaines.Les deux voisins d’Asie du Sud-Est avaient convenu lundi de se mettre autour de la table à partir …

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A Gaza, des Palestiniens sous les bombes du côté israélien de la “ligne jaune”

“Où pouvons-nous aller?” Quand ses enfants l’interrogent, Oum Ahmed ne sait que répondre dans son village en ruine du sud de la bande de Gaza, où des bombardements de l’armée israélienne mettent à mal le cessez-le-feu précaire.Dans la région de Khan Younès, frappes aériennes et tirs d’artillerie se poursuivent sur des secteurs à l’est de …

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Turquie: dix ans de prison pour deux jeunes “mules” françaises

Deux jeunes Françaises accusées d’avoir transporté près de 25 kilos de cannabis depuis la Thaïlande ont été condamnées à dix ans de prison chacune mardi en Turquie, a constaté l’AFP.Ibtissem B., 22 ans, et Mariam N., 23 ans avaient été arrêtées le 28 février lors d’une escale à l’aéroport d’Istanbul, en possession de deux valises de deux fois 12 kilos de drogue.Elles devront en outre s’acquitter chacune d’une amende de 100.000 livres turques (environ 1.990 euros).Le juge a retenu le “transport de drogue et non son commerce, qui les aurait exposées à une peine plus lourde”, a expliqué Me Umut Alikosifoglu, défenseur de Mariam.”L’objectif est maintenant d’obtenir leur transfert vers une prison française”, a-t-il indiqué.Le trafic de cannabis est punissable de vingt ans de détention et celui de cocaïne de trente ans au moins, ont rappelé les avocats.La Turquie, pays de transit des stupéfiants entre l’Asie, le Moyen-Orient et l’Europe, est intraitable avec le trafic de drogue comme le montrait déjà dans les années 80 le film “Midnight Express”, resté célèbre sur les risques encourus par les trafiquants dans le pays.”Espérons que les autorités françaises et turques se mettent rapidement d’accord sur leur transfèrement”, a également souhaité l’avocate française d’Ibtissem, Me Carole-Olivia Montenot, jointe par téléphone.Les deux jeunes femmes, arrêtées le 28 février lors d’une escale à Istanbul avec deux valises contenant 30 kilos de cannabis au total, dont deux fois 12 kilos de substance active, ont toujours affirmé ignorer ce qu’elles transportaient.- “deux naïves” -Lors de la première audience de leur procès en septembre, elles avaient affirmé avoir été manipulées par un de leurs amis, Taeric O., et un complice de celui-ci qui leur aurait confié à Bangkok deux valises à remettre en Belgique à la mère de Taeric O.Selon “Inès” (prénom d’emprunt), la tante d’Ibtissem B., Taeric O., “un ami d’enfance”, est en prison à Amiens (nord de la France) ce que les deux femmes ignoraient.”Ce sont deux vraies naïves, deux gamines qui se sont fait avoir”, a-t-elle affirmé à l’AFP.La mère d’Ibtissem, Sabrina (prénom d’emprunt), 54 ans, continue de clamer l’innocence de sa fille: “J’espérais un peu d’indulgence. Elle ne savait absolument pas ce qu’elle transportait sinon elle n’aurait jamais accepté, comme Mariam”, a-t-elle confié à l’AFP, effondrée, à la sortie du tribunal où elle n’a pas été autorisée à embrasser sa fille.Sabrina reconnait cependant qu’Ibtissem ne lui avait pas parlé de ce voyage en Thaïlande, pas plus qu’à sa cousine Nawel, également présente à Istanbul pour le procès.”Je lui aurais dit de se méfier”, assure cette dernière.Taeric O. leur avait fait miroiter un séjour luxueux à Bangkok, billets d’avion, hôtel et tous frais payés et devait les rejoindre – ce qu’il n’a jamais fait et pour cause.Devant le juge mardi, les jeunes femmes assistées d’un interprète ont exprimé leurs “regrets de n’avoir pas vérifié” le contenu des valises et présenté leurs excuses.”Si on avait su qu’il y avait de la marijuana à l’intérieur, jamais on n’aurait pris les valises. On n’allait pas risquer d’aller en prison. J’ai même pas regardé s’il y avait un cadenas, j’ai fait confiance à mon ami Taeric”, s’était défendu Ibtissem à la première audience.Me Carole-Olivia Montenot affirme que Taeric O. a piloté toute l’affaire depuis la prison d’Amiens (nord de la France).Rien de cela n’aurait eu lieu s’il n’avait pu se procurer un téléphone portable en détention, fait-elle valoir.Selon leurs proches, les jeunes femmes sont bien traitées.La prison de Silivri où elles sont depuis dix mois est la plus grande d’Europe où sont détenues de nombreuses personnalités politiques dont le maire d’opposition d’Istanbul, Ekrem Imamoglu.”C’est propre et très discipliné. Elles sont quatre par cellule, les portes ouvertes dans la journée. Ibtissem suit des cours de turc tous les matins” a détaillé sa tante, Inès. 

Les Etats-Unis ont “besoin” du Groenland, martèle Trump malgré l’opposition de l’Europe

Les Etats-Unis ont “besoin” du Groenland pour assurer leur sécurité face à la Chine et à la Russie, a martelé lundi Donald Trump malgré l’opposition des pays de l’UE à toute mainmise américaine sur ce territoire danois.”Nous avons besoin du Groenland pour notre sécurité nationale”, a déclaré le président américain lors d’une intervention aux côtés du ministre de la Défense, Pete Hegseth, à Palm Beach en Floride.”Si on regarde les côtes du Groenland, il y a des bateaux russes et chinois partout. Nous en avons besoin pour notre sécurité nationale”, a-t-il insisté, soulignant que les Groenlandais “ne sont pas protégés militairement” par Copenhague.Ces propos interviennent après l’annonce par le chef d’Etat américain de la nomination d’un envoyé spécial pour ce vaste territoire autonome danois qu’il menace régulièrement d’annexer.Cette nomination a provoqué une vive réaction de Copenhague et de l’Union européenne, qui a exprimé lundi sa “pleine solidarité avec le Danemark”.Le Premier ministre du Groenland, Jens-Frederik Nielsen, et la Première ministre danoise, Mette Frederiksen, ont rappelé dans une déclaration que “les frontières nationales et la souveraineté des Etats sont fondées sur le droit international”.”On ne peut pas annexer un autre pays. Pas même en invoquant la sécurité internationale”, ont souligné les deux dirigeants, ajoutant attendre “le respect de notre intégrité territoriale commune”.Copenhague a convoqué l’ambassadeur des Etats-Unis. “Nous avons tracé très clairement une ligne rouge”, a indiqué le ministre danois des Affaires étrangères Lars Løkke Rasmussen.”Tant que nous avons un royaume au Danemark qui se compose du Danemark, des Îles Féroé et du Groenland, nous ne pouvons pas accepter que certains sapent notre souveraineté”, a-t-il prévenu à la télévision publique DR.La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et le président du Conseil européen, Antonio Costa, ont eux rappelé sur X que “l’intégrité territoriale et la souveraineté sont des principes fondamentaux du droit international”. M. Trump a annoncé dimanche la nomination du gouverneur de Louisiane, le républicain Jeff Landry, au poste d’envoyé spécial des Etats-Unis au Groenland.”Jeff comprend à quel point le Groenland est essentiel à notre sécurité nationale et il défendra avec force les intérêts de notre pays”, avait-t-il souligné sur son réseau Truth Social.Après son élection, Donald Trump avait déjà expliqué avoir “besoin” du Groenland pour la sécurité des Etats-Unis.- “Formidable” pour le Groenland -Jeff Landry a remercié M. Trump sur X pour cette mission visant à “faire du Groenland une partie des Etats-Unis”.Il avait déjà salué en début d’année l’intention du président américain d’annexer le Groenland. “Nous devons faire en sorte que le Groenland rejoigne les Etats-Unis. Ce serait formidable pour lui, formidable pour nous! Faisons-le!”, avait-il écrit sur X le 10 janvier.Le Groenland, une immense île arctique peuplée de 57.000 habitants, répète ne pas être à vendre et vouloir décider seul de son avenir.En janvier, 85% des Groenlandais s’étaient dits opposés à une future appartenance aux Etats-Unis, selon un sondage publié dans le quotidien groenlandais Sermitsiaq. Seuls 6% y étaient favorables.Fin mars, le vice-président américain, JD Vance, avait provoqué un tollé en prévoyant de se rendre sur le territoire sans y avoir été invité.Face à l’ire déclenchée au Groenland, au Danemark et à travers l’Europe, il avait limité son déplacement à la base aérienne américaine de Pituffik, la plus septentrionale des Etats-Unis.Il avait profité de son séjour pour critiquer l’inaction supposée du Danemark au Groenland.Fin août, la télévision danoise avait révélé qu’au moins trois Américains liés à Donald Trump avaient réalisé des opérations d’influence dans ce territoire polaire.

La “loi spéciale” au Parlement, rendez-vous début janvier pour reparler budget

Le Parlement pose une rustine sur ses désaccords budgétaires. L’Assemblée et le Sénat devraient voter tour à tour mardi la “loi spéciale” présentée par le gouvernement pour continuer de financer provisoirement l’État avant la reprise des débats en janvier.Les votes des deux assemblées ponctuent deux mois et demi de débats budgétaires qui se soldent par un échec partiel pour Sébastien Lecornu.Le Premier ministre s’exprimera “en fin de journée”, afin de rendre compte “de l’action du gouvernement et notamment des travaux pour l’adoption d’un budget pour l’État”, a indiqué Matignon.Le dialogue privilégié engagé par M. Lecornu avec le Parti socialiste a certes permis l’adoption du budget de la Sécurité sociale pour 2026, au prix de concessions sur son financement et sur les retraites.Mais les profondes divergences entre l’Assemblée nationale et le Sénat, tenu par des partis de droite et du centre hostiles à tout prélèvement supplémentaire, ont empêché l’approbation du second texte budgétaire, celui sur le financement de l’État.Les parlementaires se retrouveront donc en début d’année pour de nouvelles joutes sur ce texte, alors que la France est confrontée à un endettement croissant et que les discussions n’ont pas permis de dessiner une trajectoire de réduction des déficits.”Nous devrons au plus vite, en janvier, donner un budget à la nation” qui “devra tenir l’objectif de 5% (de PIB) de déficit et financer nos priorités”, a déclaré Emmanuel Macron lundi soir lors du Conseil des ministres.Le gouvernement voudrait une nouvelle lecture du budget en commission à l’Assemblée dès le 5 ou 6 janvier, mais selon le président de la Commission des Finances Eric Coquerel (LFI), ce sera plutôt le 7 ou le 8 avant l’hémicycle à partir du 12.- le 49.3 dans toutes les têtes -La loi spéciale reconduit temporairement le budget de 2025, permet de lever l’impôt et de payer les fonctionnaires. Mais elle ne comprend pas de dépenses nouvelles, y compris sur la défense, érigée en priorité face à la menace russe.Adopté à l’unanimité par la Commission des finances de l’Assemblée, le texte devrait être voté mardi en toute fin d’après-midi au Palais Bourbon, puis dans la soirée par le Sénat.Déjà l’an dernier, l’exécutif avait dû y avoir recours après la chute du gouvernement de Michel Barnier. Les deux textes budgétaires 2025 avaient finalement été approuvés au mois de février.Cette loi spéciale est “instrumentalisée” par l’exécutif pour faire “pression” sur l’Assemblée afin d'”adopter au plus vite, cette fois-ci, un budget”, a jugé M. Coquerel mardi lors d’une conférence de presse.Anticipant la reprise des débats en janvier, Sébastien Lecornu a reçu dimanche et lundi les forces politiques, à l’exception de La France insoumise et du Rassemblement national, pour tenter d’avancer vers un compromis. “Nous avons du Sénat un texte qui est à 5,3% de déficit public. L’objectif partagé à gauche et à droite est de 5%, ça veut dire neuf milliards d’écart” sur lequel il faut se mettre d’accord, entre augmentation de la fiscalité et baisse des dépenses, a résumé le ministre des Relations avec le Parlement Laurent Panifous.Si le Parlement ne parvenait pas à voter un budget en janvier, alors la pression serait de plus en plus forte sur le gouvernement pour recourir au 49.3, cet outil constitutionnel permettant de faire adopter un texte sans vote, sauf motion de censure. Écarté par le Premier ministre à la demande des socialistes, il est évoqué avec insistance par des responsables de droite et du bloc central qui lui demandent de revenir sur son engagement.Il faudrait alors pour le gouvernement trouver avec les socialistes des conditions de non-censure. De fait, une motion de censure (289 voix) ne peut être adoptée sans les voix des socialistes. Pour le gouvernement, cet objectif semble plus atteignable qu’une approbation du budget, qui nécessiterait non seulement une abstention des socialistes mais aussi celle d’une partie des écologistes et des communistes pour l’emporter face au vote contre de LFI et du RN. Mais pour l’heure, Sébastien Lecornu s’y refuse, jugeant le projet de budget “encore votable sans intervention du gouvernement”.”La priorité, c’est de se mettre d’accord sur un texte”, car de toute façon, “si vous passez un 49.3 sans accord sur un texte, vous n’aurez ni budget, ni gouvernement parce que le gouvernement tombera”, a fait remarquer le ministre de l’Economie Roland Lescure sur BFMTV/RMC. bur-hr-far-bpa/sde/sla

La “loi spéciale” au Parlement, rendez-vous début janvier pour reparler budget

Le Parlement pose une rustine sur ses désaccords budgétaires. L’Assemblée et le Sénat devraient voter tour à tour mardi la “loi spéciale” présentée par le gouvernement pour continuer de financer provisoirement l’État avant la reprise des débats en janvier.Les votes des deux assemblées ponctuent deux mois et demi de débats budgétaires qui se soldent par un échec partiel pour Sébastien Lecornu.Le Premier ministre s’exprimera “en fin de journée”, afin de rendre compte “de l’action du gouvernement et notamment des travaux pour l’adoption d’un budget pour l’État”, a indiqué Matignon.Le dialogue privilégié engagé par M. Lecornu avec le Parti socialiste a certes permis l’adoption du budget de la Sécurité sociale pour 2026, au prix de concessions sur son financement et sur les retraites.Mais les profondes divergences entre l’Assemblée nationale et le Sénat, tenu par des partis de droite et du centre hostiles à tout prélèvement supplémentaire, ont empêché l’approbation du second texte budgétaire, celui sur le financement de l’État.Les parlementaires se retrouveront donc en début d’année pour de nouvelles joutes sur ce texte, alors que la France est confrontée à un endettement croissant et que les discussions n’ont pas permis de dessiner une trajectoire de réduction des déficits.”Nous devrons au plus vite, en janvier, donner un budget à la nation” qui “devra tenir l’objectif de 5% (de PIB) de déficit et financer nos priorités”, a déclaré Emmanuel Macron lundi soir lors du Conseil des ministres.Le gouvernement voudrait une nouvelle lecture du budget en commission à l’Assemblée dès le 5 ou 6 janvier, mais selon le président de la Commission des Finances Eric Coquerel (LFI), ce sera plutôt le 7 ou le 8 avant l’hémicycle à partir du 12.- le 49.3 dans toutes les têtes -La loi spéciale reconduit temporairement le budget de 2025, permet de lever l’impôt et de payer les fonctionnaires. Mais elle ne comprend pas de dépenses nouvelles, y compris sur la défense, érigée en priorité face à la menace russe.Adopté à l’unanimité par la Commission des finances de l’Assemblée, le texte devrait être voté mardi en toute fin d’après-midi au Palais Bourbon, puis dans la soirée par le Sénat.Déjà l’an dernier, l’exécutif avait dû y avoir recours après la chute du gouvernement de Michel Barnier. Les deux textes budgétaires 2025 avaient finalement été approuvés au mois de février.Cette loi spéciale est “instrumentalisée” par l’exécutif pour faire “pression” sur l’Assemblée afin d'”adopter au plus vite, cette fois-ci, un budget”, a jugé M. Coquerel mardi lors d’une conférence de presse.Anticipant la reprise des débats en janvier, Sébastien Lecornu a reçu dimanche et lundi les forces politiques, à l’exception de La France insoumise et du Rassemblement national, pour tenter d’avancer vers un compromis. “Nous avons du Sénat un texte qui est à 5,3% de déficit public. L’objectif partagé à gauche et à droite est de 5%, ça veut dire neuf milliards d’écart” sur lequel il faut se mettre d’accord, entre augmentation de la fiscalité et baisse des dépenses, a résumé le ministre des Relations avec le Parlement Laurent Panifous.Si le Parlement ne parvenait pas à voter un budget en janvier, alors la pression serait de plus en plus forte sur le gouvernement pour recourir au 49.3, cet outil constitutionnel permettant de faire adopter un texte sans vote, sauf motion de censure. Écarté par le Premier ministre à la demande des socialistes, il est évoqué avec insistance par des responsables de droite et du bloc central qui lui demandent de revenir sur son engagement.Il faudrait alors pour le gouvernement trouver avec les socialistes des conditions de non-censure. De fait, une motion de censure (289 voix) ne peut être adoptée sans les voix des socialistes. Pour le gouvernement, cet objectif semble plus atteignable qu’une approbation du budget, qui nécessiterait non seulement une abstention des socialistes mais aussi celle d’une partie des écologistes et des communistes pour l’emporter face au vote contre de LFI et du RN. Mais pour l’heure, Sébastien Lecornu s’y refuse, jugeant le projet de budget “encore votable sans intervention du gouvernement”.”La priorité, c’est de se mettre d’accord sur un texte”, car de toute façon, “si vous passez un 49.3 sans accord sur un texte, vous n’aurez ni budget, ni gouvernement parce que le gouvernement tombera”, a fait remarquer le ministre de l’Economie Roland Lescure sur BFMTV/RMC. bur-hr-far-bpa/sde/sla

Thousands of new Epstein-linked documents released by US Justice Dept

Thousands of new documents linked to the case of convicted sex offender Jeffrey Epstein were made available Tuesday by the US Department of Justice (DOJ), amid mounting criticism over the pace of the publication and heavy redactions.At least 8,000 files were posted online, including hundreds of videos or audio recordings, notably surveillance footage from August 2019, the month Epstein was found dead in his jail cell while awaiting trial on sex trafficking charges.The DOJ posted around 11,000 links to new documents online, but some of them appeared to lead nowhere.The Epstein Files Transparency Act (EFTA), passed nearly unanimously by Congress and signed by President Donald Trump, mandated the complete release of the Epstein files by Friday of last week.Deputy Attorney General Todd Blanche has blamed the delay on the need to redact the identities of Epstein’s more than 1,000 victims from the hundreds of thousands of documents and photos in the government’s possession.EFTA co-sponsors Ro Khanna, a Democrat, and Thomas Massie, a Republican, threatened over the weekend to bring contempt of Congress charges against Attorney General Pam Bondi for failing to comply with the law.Democratic Senate Minority Leader Chuck Schumer introduced a resolution on Monday calling for legal action against the Trump administration for failing to release the complete Epstein files.”Instead of transparency, the Trump administration released a tiny fraction of the files and blacked out massive portions of what little they provided,” Schumer said in a statement.”This is a blatant cover-up. Pam Bondi and Todd Blanche are shielding Donald Trump from accountability, and the Senate has a duty to act.”Blanche denied on Sunday that the Justice Department was redacting the files to protect Trump, a one-time close friend of Epstein.”We are not redacting information around President Trump,” Blanche, a former personal lawyer to the president, told NBC’s “Meet the Press.”Blanche said one picture of Trump was briefly removed over concerns for victims. It was later reposted after the Justice Department determined there was “no evidence that any Epstein victims are depicted.”- ‘Need no such protection’ -Trump initially tried to block the disclosure of the files linked to Epstein, a wealthy financier with rich and powerful connections.The president, who cut ties with Epstein years before his arrest and faces no accusations of wrongdoing, finally bowed to mounting pressure from Congress and signed the law compelling publication of the files.The sweeping blackouts across many of the documents — combined with tight control over the release by officials in Trump’s administration — have stoked skepticism over whether the disclosure will silence conspiracy theories of a high-level cover-up.The tranche of materials released on Friday included photographs of former Democratic president Bill Clinton and other famous names, such as pop stars Mick Jagger and Michael Jackson, who were in Epstein’s social circle.Clinton, in a statement released by his spokesman Angel Urena, urged the Justice Department to release any materials in the files related to the former president, saying he had nothing to hide.”Someone or something is being protected. We do not know whom, what or why. But we do know this: We need no such protection,” Clinton said.”The Department of Justice’s actions to date are not about transparency, but about insinuation using selective releases to imply wrongdoing about individuals who have already been repeatedly cleared by the very same Department of Justice,” he added.Ghislaine Maxwell, Epstein’s former girlfriend, remains the only person convicted in connection with his crimes and is serving a 20-year sentence for recruiting underage girls for the former financier.