Fonction publique: plusieurs syndicats appellent à la grève et à la mobilisation après leur réunion avec Kasbarian

Deux des principaux syndicats de fonctionnaires, FO et la CGT, ont appelé jeudi à la “grève” après l’échec d’une réunion avec le ministre de la Fonction publique, Guillaume Kasbarian, et une semaine de tensions consécutive aux annonces du gouvernement de nouvelles économies pour la fonction publique, à hauteur de 1,2 milliard d’euros.”On va prendre le jeu du ministre au mot: trois jours de carence, trois jours de grève”, a lancé Christian Grolier, secrétaire général de l’UIAFP-FO tandis que Sylviane Brousse, la coordinatrice de la CGT Fonction publique, a affirmé que “la CGT va s’inscrire dans un mouvement de grève”.Une semaine après des annonces qui ont mis le feu aux poudres, cette réunion avec les huit syndicats représentatifs qui étaient reçus collectivement pour la première fois par le ministre n’a manifestement pas permis de sortir de l’impasse. Plusieurs représentants ont quitté le ministère avant la fin de la réunion, et la moitié des organisations ont appelé à construire des “mobilisations” dont les modalités devraient figurer au menu d’une nouvelle réunion de l’intersyndicale mardi à 16h. Les deux principales organisations, la CGT et FO, ont même appelé à des mouvements de “grèves” évoquant l’hypothèse de mobilisations début décembre. De son côté, Guillaume Kasbarian a insisté auprès de l’AFP sur sa “volonté de maintenir un dialogue constant et franc avec les organisations syndicales” afin “d’avancer de manière constructive sur des sujets essentiels pour les agents et l’avenir de la fonction publique”.   Les économies de 1,2 milliard d’euros font partie d’un plan d’économies additionnelles d’un total de 5 milliards d’euros dévoilées le 27 octobre par le gouvernement dans le cadre d’un budget en cours d’examen à l’Assemblée. Un premier débat est prévu mardi en commission des Finances, où les députés macronistes, de droite et du Rassemblement national (RN), ont déposé des amendements pour réduire la prise en charge des arrêts maladie des fonctionnaires.Elles ont été annoncées dans un contexte budgétaire tendu, alors que le déficit public de la France va déraper à 6,1% du PIB en 2024, selon le projet de loi de finances de fin de gestion présenté en Conseil des ministres mercredi. Guillaume Kasbarian avait défendu les deux mesures sur l’allongement du délai de carence et la réduction de l’indemnisation des congés maladies par sa volonté d’un “alignement” entre secteurs public et privé. “Difficiles mais assumées”, selon son entourage, ces mesures ont “matérialisé le mépris que ressentent les agents publiques”, a jugé le secrétaire général de la FSU Benoît Teste, à la sortie de la réunion jeudi, estimant que le ministre allait “au devant d’un conflit d’un très lourd”.  – “Douche froide” -Interrogé sur sa participation à la mobilisation annoncée: “La CFDT va mettre les choses dans l’ordre, (…)”, a tempéré Mylène Jacquot, secrétaire générale de l’UFFA-CFDT jeudi.”On va attendre que le ministre nous transmette, comme il en a pris l’engagement des éléments de réponse écrits” dans les 24 heures, “et puis on écoutera nos équipes” pour trancher une éventuelle participation a-t-elle poursuivi. Les syndicats ont également regretté en chÅ“ur la “confirmation” du gel du point d’indice pour 2025. L’une des seules notes positives est que “le ministre renonce complètement à la suppression des catégories”, a assuré la secrétaire générale de l’UFFA-CFDT Mylène Jacquot, tout comme d’autres représentants syndicaux. Cette disposition figurait dans le projet de loi Guerini – qui n’avait pas pu être présenté au Parlement avant la dissolution de l’Assemblée nationale le 9 juin. Si celui-ci contient “des mesures parfois éruptives”, a estimé récemment son successeur, il avait toutefois dit vouloir poursuivre cette “ambition réformatrice”.Certaines mesures envisageaient notamment de développer la rémunération au mérite, de faciliter les licenciements dans certains cas, et donc de supprimer les catégories historiques de fonctionnaires (A, B et C). La réunion au ministère se tient alors que le gouvernement envisage de supprimer quelque 2.200 postes de fonctionnaires dans son projet de budget, actuellement examiné par l’Assemblée nationale, afin de réduire le déficit public à 5% en 2025. 

Clashes in Mozambique after opposition leader calls for protestThu, 07 Nov 2024 18:37:09 GMT

Police in Mozambique backed up by troops fired tear gas and used dogs to disperse protesters in the capital Maputo Thursday, after the opposition called for demonstrations against contested election results.The southern African nation has been rocked by violence since the October 9 vote won by the Frelimo party, which has been in power for …

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“C’est aberrant”: Marine Tondelier (EELV) réclame de déstocker Stocamine

La secrétaire nationale des écologistes, Marine Tondelier, a réclamé vendredi à Wittelsheim (Haut-Rhin), sur le site de Stocamine, le déstockage des 42.000 tonnes de déchets toxiques enfouies dans cette ancienne mine, alertant sur “l’inéluctable” pollution future de la nappe phréatique d’Alsace.”Stocker ces déchets ce n’est pas pareil que les enfouir. Les enfouir dans un endroit avec une faille sismique c’est encore différent. Les enfouir dans un endroit avec une faille sismique, après un incendie, et avec le risque inéluctable de contaminer la plus grande nappe phréatique d’Europe, dont dépend l’approvisionnement en eau de sept à 10 millions de personnes, ça devient complètement aberrant”, a clamé Marine Tondelier devant les chevalements de l’ancienne mine Joseph Else.Elle a été accueillie sur place par plusieurs dizaines de militants et d’habitants, et par les députés alsaciens Sandra Régol (EELV), Emmanuel Fernandes (LFI) et Hubert Ott (Modem). Tous réclament, pour certains depuis plus de 20 ans, le retrait de ces 42.000 tonnes de déchets toxiques (amiante, mercure, arsenic…) réputés ininflammables, enfouis à 550 mètres de profondeur, et qui n’ont plus bougé depuis l’incendie d’une des chambres de stockage en 2002.Fin octobre, dans le cadre du débat sur le budget 2025 de l’Etat au Parlement, ces trois députés sont parvenus à faire adopter, à la commission des Finances de l’Assemblée nationale, un amendement prévoyant de réallouer au retrait des déchets de la mine les 31 millions d’euros prévus pour faire couler une barrière de béton entre ces déchets et la nappe phréatique. Cet amendement n’entrera cependant en vigueur que s’il est adopté en séance plénière.”Le gouvernement doit entendre la volonté majoritaire”, a déclaré Emmanuel Fernandes, “celle qui s’est exprimée lors de l’enquête publique puisque 98% de la population est contre l’enfouissement, puis lors des législatives et enfin en commission des Finances.”Hubert Ott a lui appelé les autres députés alsaciens à rejoindre la mobilisation en faveur du déstockage. “Tant que la problématique n’évolue pas, il faut toujours être sur la brèche”, a-t-il insisté, rappelant que le ministre de l’Enseignement supérieur, Patrick Hetzel, s’était prononcé en faveur du déstockage avant son arrivée au gouvernement.”On sait bien que le déstockage va coûter cher”, a conclu Marine Tondelier. “Mais le coût de l’inaction est toujours beaucoup plus élevé”, a-t-elle martelé, soulignant que la pollution de la nappe “va nuire à l’attractivité du territoire, à l’agriculture, à l’économie, à la vie”.Philippe Aullen, membre de la commission de suivi du site de Stocamine, a révélé lors de cette manifestation que les agents de l’Oclaesp (Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique), chargés de l’enquête ouverte par le pole environnement du parquet de Strasbourg sur la nature des déchets stockés en profondeur, ne sont finalement jamais descendus dans la mine, pour des “raisons de sécurité”, et n’ont donc jamais été en mesure d’inspecter les déchets. L’enquête avait finalement été classée sans suite en 2023.

Pharma giant AstraZeneca says China chief detained

Pharmaceutical giant AstraZeneca said that the head of its China operations had been detained, after reports the firm was under investigation for potentially illegal data collection and drug imports.Leon Wang, president of AstraZeneca China, “has been detained”, a representative of the firm’s global media team said in an email received by AFP on Thursday.”If requested, we will fully cooperate with the Chinese authorities,” the representative had previously said on Tuesday.”We continue to deliver our life changing medicines to patients in China and our operations are ongoing.”AstraZeneca stocks in London on Tuesday fell by more than 8.0 percent and have remained down following reports from China about the investigation against the company, analysts said.Last month, the firm confirmed that Wang had been placed under investigation.China is a key market for AstraZeneca, developer of a Covid-19 jab widely administered throughout the world during the coronavirus pandemic.But in September, the firm confirmed several employees were under investigation in China after a report said they were being questioned about potentially illegal data collection and drug imports.The probes involved five current and former employees of the firm — all with Chinese citizenship — and were being led by authorities in the southern city of Shenzhen, Bloomberg said.One investigation related to the firm’s collection of patient data, which authorities suspect may have breached Chinese privacy laws, Bloomberg reported, citing people with knowledge of the situation.Another probe related to imports of a liver cancer drug that had not been approved in mainland China, according to Bloomberg.The firm, headquartered in the United Kingdom, has 90,000 employees globally.Global firms have faced an increasingly difficult business environment in China in recent years, industry groups say, citing a lack of transparency on data laws and prolonged detentions of employees in the country.

Dérapage budgétaire: Bruno Le Maire pointe du doigt le gouvernement actuel

A la tête de Bercy durant sept ans, l’ancien ministre de l’Economie et des Finances Bruno Le Maire a réfuté jeudi toute “faute” ou “dissimulation” face à l’importante dégradation des finances publiques de la France, chargeant le gouvernement actuel.Déplorant les “attaques” et “mensonges” le visant, l’ex-grand argentier a défendu sa “vérité” durant deux heures et demie devant la commission des Finances du Sénat, qui a débuté une série d’auditions dans le cadre d’une mission d’information sur la dérive des comptes publics, avant une commission d’enquête à l’Assemblée nationale.  “Quand on me dit que le déficit en 2024 sera à 6,1%, c’est le choix du gouvernement actuel”, a-t-il lancé. “Si toutes les mesures que nous avions préparées (…) avaient été mises en Å“uvre sans délai par le nouveau gouvernement, couplées aux mesures de recettes sur les rentes énergétiques et sur les rachats d’actions avec effet rétroactif, elles auraient permis de contenir le déficit pour 2024 à 5,5% sans augmentation d’impôts.” Le déficit public est attendu à 6,1% du PIB cette année, un chiffre très éloigné des 4,4% prévus à l’automne 2023 et des 5,1% prévus au printemps après réévaluation par l’exécutif précédent. Il ne passerait sous les 3% du PIB autorisés par l’UE qu’en 2029, faisant de la France un mauvais élève européen.En cause, selon l’ex-ministre parti enseigner à Lausanne (Suisse), les soutiens massifs déployés durant les crises successives, et cette année des recettes de prélèvements obligatoires inférieures de 41,5 milliards d’euros aux prévisions. – “Arbitrage” présidentiel -“Il n’y a eu ni faute, ni dissimulation, ni volonté de tromperie. Il y a eu fondamentalement une grave erreur technique d’évaluation des recettes”, sur laquelle ne se prononce pas le ministre, a-t-il souligné: il y a “une étanchéité totale” afin d’éviter un risque de “manipulation”.Le président de la commission des Finances Claude Raynal (PS) a estimé que le gouvernement disposait très tôt de notes internes qui pressentaient un dérapage plus net que prévu, et qu’il a tardé à en tenir compte.Bruno Le Maire a contesté. Face à la brusque dégradation de l’environnement économique début 2024, entraînant un abaissement de 1,4% à 1,1% de la prévision de croissance, Bercy a réagi “rapidement, avec sérieux et une pleine conscience de la gravité de la situation”, en annulant 10 milliards d’euros de crédits dès février. Durant l’été, 16,5 milliards d’euros de crédits ont été gelés. Mais l’ex-ministre a regretté d’avoir échoué à convaincre de la nécessité au printemps d’un projet de loi de finances rectificative pour 15 milliards d’euros. Si le ministre des Finances propose des économies, “l’arbitrage” revient au président Emmanuel Macron, a-t-il souligné, se disant toutefois “solidaire” des décisions prises. Ensuite, après la dissolution de l’Assemblée nationale en juin et malgré une dérive aggravée selon Bercy par les dépenses des collectivités locales, “nous ne disposions plus ni de la légitimité institutionnelle, ni des leviers administratifs pour prendre des mesures fortes”. – “Autosatisfaction” -“Je note cette espèce de feu d’artifice d’autosatisfaction collective et solidaire sur votre action qui se paie (…) au prix fort (…) d’une dette colossale et abyssale”, a taclé le rapporteur général du budget Jean-François Husson (LR). La dette avoisine 3.230 milliards (112% du PIB), alourdie d’un millier de milliards depuis 2017.Le dérapage du déficit, après celui déjà observé en 2023 à 5,5% du PIB contre 4,9% prévus, a suscité des questionnements sur la fiabilité des prévisions de la précédente majorité macroniste. Entendu par la commission, l’ex-ministre des Comptes publics Thomas Cazenave a déclaré que trois quarts de l’aggravation d’environ 50 milliards d’euros du déficit cette année provenaient d’un problème de prévision des recettes; et le reste, de “l’augmentation très rapide” des dépenses des collectivités, alors que celles de l’Etat baissent. Outre une inflation moins forte, une masse salariale moins dynamique et une croissance davantage tirée par le commerce extérieur, “est-ce l’effet des sorties de crise qui éprouvent un peu des modèles qui étaient très stables dans le temps?”, s’est-il interrogé.Pour l’actuel ministre de l’Economie, Antoine Armand, plutôt que “la recherche de responsabilités individuelles”, la mauvaise santé des finances requiert une “capacité, collectivement, à nous remettre en cause pour dépenser moins”.  Le Sénat entendra l’ancien Premier ministre Gabriel Attal vendredi et sa prédécesseure Elisabeth Borne le 15 novembre, avant l’examen prochainement du projet de budget 2025 et les “60 milliards” d’effort budgétaire qu’il prévoit. 

Ireland to join S.Africa ICJ ‘genocide’ case against IsraelThu, 07 Nov 2024 16:42:12 GMT

Ireland intends to join South Africa’s case against Israel at the International Court of Justice before the end of the year, its foreign minister said on Thursday.Micheal Martin’s comments came as the Irish parliament passed a non-binding motion agreeing that “genocide is being perpetrated before our eyes by Israel in Gaza”.South Africa in December brought a …

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Fonction publique: les syndicats reçus par Kasbarian après une semaine de tensions

Le ministre de la Fonction publique Guillaume Kasbarian a reçu jeudi les principales organisations syndicales du secteur qui se présentent en rang serré, échaudées par une semaine de tensions consécutive aux annonces du gouvernement de nouvelles économies sur la fonction publique, à hauteur de 1,2 milliard d’euros.Après la passe d’armes, le temps des explications. Une réunion entre le ministre et les huit syndicats représentatifs s’est ouverte en début d’après-midi pour tenter de sortir de l’impasse, une semaine après l’annonce par le gouvernement d’un plan visant notamment à abaisser de 100% à 90% l’indemnisation des congés maladie des fonctionnaires, et à instaurer trois jours de carence non payés, au lieu d’un actuellement, lors de ces absences – hors pathologies lourdes.Ces mesures font partie d’un total de 5 milliards d’euros d’économies additionnelles dévoilées le 27 octobre par le gouvernement dans le cadre d’un budget en cours d’examen à l’Assemblée. Un premier débat est prévu mardi en commission des Finances, où les députés macronistes, de droite et du Rassemblement national (RN), ont déposé des amendements pour réduire la prise en charge des arrêts maladie des fonctionnaires.Elles ont été annoncées dans un contexte budgétaire tendu, alors que le déficit public de la France va déraper à 6,1% du PIB en 2024, selon le projet de loi de finances de fin de gestion présenté en Conseil des ministres mercredi. La rencontre de jeudi se déroule à la demande de l’intersyndicale dans un esprit de “dialogue et d’ouverture”, a confié l’entourage de M. Kasbarian. Le ministre avait justifié les deux mesures sur l’allongement du délai de carence et la réduction de l’indemnisation des congés maladies par la volonté d’un “alignement” entre secteurs public et privé. “Difficiles mais assumées”, selon l’entourage de M. Kasbarian, ces mesures ont notamment été saluées par le ministre de l’Economie et des Finances, Antoine Armand.Des annonces qui ont suscité l’ire des responsables syndicaux du secteur. Les huit organisations, qui font front commun, sont reçues collectivement pour la première fois jeudi par le ministre, après une série de rencontres bilatérales.  – “Douche froide” -“On ne fera pas l’économie des réactions de colère” ni du sentiment de “stigmatisation” remontés du terrain, a assuré mercredi à l’AFP Mylène Jacquot, secrétaire générale de l’UFFA-CFDT, qui a qualifié de “douche froide” les récentes annonces du ministre.”Il va falloir que le ministre rétropédale”, a avertit Christian Grolier, secrétaire général de l’UIAFP-FO à la veille de la rencontre. Son organisation pose comme préalable à toute discussion le retrait des amendements gouvernementaux sur l’allongement des jours de carence et sur la réduction de l’indemnisation des arrêts maladie à 90% du salaire.Mercredi, l’intersyndicale s’était réunie en amont de la rencontre avec M. Kasbarian.Ensemble, les huit organisations professionnelles avaient pointé dans un communiqué commun la semaine dernière des “mesures stigmatisantes” et plaidé pour l’ouverture de négociations “sur les carrières et les grilles indiciaires”, ainsi que pour des “mesures ambitieuses” en matière d’égalité professionnelle et de salaires entre les hommes et les femmes.Dans le viseur également, certaines disposions du projet de loi Guerini – qui n’avait pas pu être présenté au Parlement avant la dissolution de l’Assemblée nationale le 9 juin. Celui-ci contient “des mesures parfois éruptives”, a estimé récemment son successeur, disant toutefois vouloir poursuivre cette “ambition réformatrice”.Certaines mesures envisageaient notamment de développer la rémunération au mérite, de faciliter les licenciements dans certains cas, voire de supprimer les catégories historiques de fonctionnaires (A, B et C). La réunion au ministère se tient alors que le gouvernement envisage de supprimer quelque 2.200 postes de fonctionnaires dans son projet de budget, actuellement examiné par l’Assemblée nationale, afin de réduire le déficit public à 5% en 2025. Le Premier ministre Michel Barnier a également plaidé pour la réduction du nombre d’agences et de comités de l’Etat, toujours dans le but de réaliser des économies. M. Kasbarian avait évoqué la suppression de “plusieurs dizaines” de ces comités dans les mois qui viennent. 

Kenya court throws out second case against GM cropsThu, 07 Nov 2024 15:00:12 GMT

A Kenyan court on Thursday dismissed a case challenging the government’s reversal of a ban on genetically modified crops, effectively allowing for their open cultivation. The East African nation lifted a decade-long ban on GM crops in October 2022 but the decision has been the subject of court challenges and protest from consumer and biodiversity groups. Thursday’s …

Kenya court throws out second case against GM cropsThu, 07 Nov 2024 15:00:12 GMT Read More »