TikTok plans total US shutdown as ban deadline looms: report

Social media giant TikTok plans to completely shut down its operations in the United States this Sunday if a ban ordered by legislators goes through as planned, a report said.The platform, which counts over 170 million American users, will implement an immediate blackout rather than allowing existing users continued access as had been expected, according to sources who spoke to The Information.The apparent shutdown comes as TikTok faces a January 19 legislative deadline to sever ties with its Chinese parent company ByteDance or cease US operations. While the law only requires app stores to remove TikTok and cloud providers to stop hosting US user data, the company will opt for a full suspension of service, The Information said.Users attempting to open the app after the deadline will encounter a message redirecting them to a statement about the federally mandated ban, along with options to download their personal data, the report said.TikTok’s reported plan would follow skeptical questioning from Supreme Court justices during oral arguments last Friday, suggesting they would uphold the ban. The company has challenged the law on First Amendment grounds, which protect freedom of speech.The shutdown would coincide with the US presidential transition, as Donald Trump, who has expressed opposition to the ban, takes office Monday. ByteDance has so far refused to sell TikTok’s US operations, though analysts say this position could shift as the reality of a forced market exit looms.In an internal email obtained by The Verge on Tuesday, TikTok assured its US employees that their “employment, pay, and benefits are secure” and offices will remain open even if the situation remains unresolved by Sunday’s deadline. The company told staff it was “planning for various scenarios.”TikTok declined to comment when contacted by AFP.

TikTok plans total US shutdown as ban deadline looms: report

Social media giant TikTok plans to completely shut down its operations in the United States this Sunday if a ban ordered by legislators goes through as planned, a report said.The platform, which counts over 170 million American users, will implement an immediate blackout rather than allowing existing users continued access as had been expected, according to sources who spoke to The Information.The apparent shutdown comes as TikTok faces a January 19 legislative deadline to sever ties with its Chinese parent company ByteDance or cease US operations. While the law only requires app stores to remove TikTok and cloud providers to stop hosting US user data, the company will opt for a full suspension of service, The Information said.Users attempting to open the app after the deadline will encounter a message redirecting them to a statement about the federally mandated ban, along with options to download their personal data, the report said.TikTok’s reported plan would follow skeptical questioning from Supreme Court justices during oral arguments last Friday, suggesting they would uphold the ban. The company has challenged the law on First Amendment grounds, which protect freedom of speech.The shutdown would coincide with the US presidential transition, as Donald Trump, who has expressed opposition to the ban, takes office Monday. ByteDance has so far refused to sell TikTok’s US operations, though analysts say this position could shift as the reality of a forced market exit looms.In an internal email obtained by The Verge on Tuesday, TikTok assured its US employees that their “employment, pay, and benefits are secure” and offices will remain open even if the situation remains unresolved by Sunday’s deadline. The company told staff it was “planning for various scenarios.”TikTok declined to comment when contacted by AFP.

Ghana to probe former president’s huge cathedral projectWed, 15 Jan 2025 14:56:23 GMT

Ghana’s newly elected President John Mahama has announced plans to investigate his predecessor’s contested $400 million National Cathedral project, a stalled religious landmark that for critics become a symbol of fiscal irresponsibility.Mahama and his National Democratic Congress or NDC party easily won the December election after voters punished President Nana Akufo-Addo and his ruling New …

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Commission d’enquête sur le dérapage budgétaire: Alexis Kohler sera convoqué à l’Assemblée

Le secrétaire général de l’Elysée, Alexis Kohler, sera convoqué pour être auditionné à l’Assemblée dans le cadre de la commission d’enquête sur le dérapage des finances publiques, dont les auditions devraient s’achever “d’ici mi-février”.A l’issue d’un vote à huis clos en commission des finances, 37 députés ont voté pour cette audition et 18 contre (issus de LR, et des trois groupes macronistes), selon ces sources. Présidée par Eric Coquerel (LFI), la commission des finances a obtenu pour six mois les pouvoirs d’une commission d’enquête (convocations avec obligation pour la personne de l’honorer, pouvoirs d’investigation, auditions sous serment, etc…), et lancé ses travaux début décembre pour enquêter sur “les causes” de “la variation” et des “écarts des prévisions fiscales et budgétaires” constatés sur les années 2023 et 2024.Ces erreurs prévisionnelles avaient eu pour conséquence une mauvaise anticipation du dérapage du déficit public, plus important qu’escompté à 6,1% du PIB attendu en 2024, un chiffre très éloigné des 4,4% prévus à l’automne 2023, et des 5,1% prévus au printemps après réévaluation.Plusieurs auditions doivent se tenir dans les prochaines semaines, notamment celle de l’ancien Premier ministre Gabriel Attal, de représentants de la Banque de France, de la Cour des comptes, et d’économistes, a précisé Eric Coquerel lors d’une conférence de presse mercredi, ajoutant espérer que les auditions s’achèvent “mi-février”Mais la convocation d’Alexis Kohler “est contraire à l’indépendance des pouvoirs et à l’article 67 de la Constitution”, a réagi le député Renaissance Mathieu Lefèvre après le vote, dénonçant un “détournement de procédure”. Il a regretté qu’il n’y ait “pas eu de débat”, accusant le président de la commission des finances d’avoir voulu l'”étouffer”.L’article 67 de la Constitution “concerne la responsabilité du chef de l’Etat et n’inclut pas ses collaborateurs”, a répondu Eric Coquerel, joint par l’AFP, ajoutant que des collaborateurs du chef de l’Etat avaient déjà répondu à des convocations analogues.Lors des auditions, des personnes ont évoqué “des réunions organisées à l’Elysée, et dans ce contexte c’est normal de pouvoir interroger les collaborateurs” du président de la République, a-t-il poursuivi.Une position partagée par le groupe Rassemblement national (RN), qui a jugé dans un communiqué “indispensable d’auditionner un responsable de l’Elysée”, et accusé les députés macronistes qui s’y opposent de chercher “à saboter les travaux de cette commission”.L’irresponsabilité constitutionnelle du chef de l’Etat “s’attache au président de la République mais pas aux actes pris par ses collaborateurs, même dans l’exercice de compétences qui relèvent de l’arbitrage présidentiel”, estime Mathieu Carpentier, professeur de droit public à l’université Toulouse-Capitole, joint par l’AFP. Il rappelle notamment qu’Alexis Kohler avait déjà été entendu par une commission d’enquête parlementaire, au Sénat en juillet 2018, dans l’affaire Alexandre Benalla. – “Hypocrisie” -Après les premières auditions, “il y a bien des moments où les ministres ont eu des chiffres de leur administration qui ne correspondaient pas aux chiffres qu’au même moment ils annonçaient”, a indiqué Eric Coquerel mercredi, ajoutant: “on a l’impression que les gens ne nous disent pas tout”.La commission a multiplié les auditions, parfois techniques, de responsables d’administrations (Direction générale du Trésor, Direction du Budget, Direction générale des Finances publiques, Direction de la Sécurité sociale et Direction générale des collectivités locales), ainsi que de personnalités politiques, avec à la clé quelques passe d’armes.Le 12 décembre 2024, Bruno Le Maire, qui a piloté Bercy pendant sept ans de 2017 à l’été 2024, avait lancé une charge virulente contre les députés, les accusant “d’hypocrisie” et dénonçant une assemblée qui “taxe, dépense, censure”, suscitant la consternation de nombreux députés présents dans la salle.Quelques jours plus tard, Thomas Cazenave, ministre chargé des Comptes publics entre juillet 2023 et septembre 2024, avait mis le dérapage du déficit pour 2024 sur le compte d’estimations de recettes erronées de la part des modèles de calcul de Bercy, et d’une hausse plus forte qu’attendu des dépenses des collectivités locales. “C’est la politique économique et ses résultats largement vantés qui ont aveuglé au fur et à mesure les prises de décisions”, a estimé pour sa part Eric Coquerel mercredi. 

Commission d’enquête sur le dérapage budgétaire: Alexis Kohler sera convoqué à l’Assemblée

Le secrétaire général de l’Elysée, Alexis Kohler, sera convoqué pour être auditionné à l’Assemblée dans le cadre de la commission d’enquête sur le dérapage des finances publiques, dont les auditions devraient s’achever “d’ici mi-février”.A l’issue d’un vote à huis clos en commission des finances, 37 députés ont voté pour cette audition et 18 contre (issus de LR, et des trois groupes macronistes), selon ces sources. Présidée par Eric Coquerel (LFI), la commission des finances a obtenu pour six mois les pouvoirs d’une commission d’enquête (convocations avec obligation pour la personne de l’honorer, pouvoirs d’investigation, auditions sous serment, etc…), et lancé ses travaux début décembre pour enquêter sur “les causes” de “la variation” et des “écarts des prévisions fiscales et budgétaires” constatés sur les années 2023 et 2024.Ces erreurs prévisionnelles avaient eu pour conséquence une mauvaise anticipation du dérapage du déficit public, plus important qu’escompté à 6,1% du PIB attendu en 2024, un chiffre très éloigné des 4,4% prévus à l’automne 2023, et des 5,1% prévus au printemps après réévaluation.Plusieurs auditions doivent se tenir dans les prochaines semaines, notamment celle de l’ancien Premier ministre Gabriel Attal, de représentants de la Banque de France, de la Cour des comptes, et d’économistes, a précisé Eric Coquerel lors d’une conférence de presse mercredi, ajoutant espérer que les auditions s’achèvent “mi-février”Mais la convocation d’Alexis Kohler “est contraire à l’indépendance des pouvoirs et à l’article 67 de la Constitution”, a réagi le député Renaissance Mathieu Lefèvre après le vote, dénonçant un “détournement de procédure”. Il a regretté qu’il n’y ait “pas eu de débat”, accusant le président de la commission des finances d’avoir voulu l'”étouffer”.L’article 67 de la Constitution “concerne la responsabilité du chef de l’Etat et n’inclut pas ses collaborateurs”, a répondu Eric Coquerel, joint par l’AFP, ajoutant que des collaborateurs du chef de l’Etat avaient déjà répondu à des convocations analogues.Lors des auditions, des personnes ont évoqué “des réunions organisées à l’Elysée, et dans ce contexte c’est normal de pouvoir interroger les collaborateurs” du président de la République, a-t-il poursuivi.Une position partagée par le groupe Rassemblement national (RN), qui a jugé dans un communiqué “indispensable d’auditionner un responsable de l’Elysée”, et accusé les députés macronistes qui s’y opposent de chercher “à saboter les travaux de cette commission”.L’irresponsabilité constitutionnelle du chef de l’Etat “s’attache au président de la République mais pas aux actes pris par ses collaborateurs, même dans l’exercice de compétences qui relèvent de l’arbitrage présidentiel”, estime Mathieu Carpentier, professeur de droit public à l’université Toulouse-Capitole, joint par l’AFP. Il rappelle notamment qu’Alexis Kohler avait déjà été entendu par une commission d’enquête parlementaire, au Sénat en juillet 2018, dans l’affaire Alexandre Benalla. – “Hypocrisie” -Après les premières auditions, “il y a bien des moments où les ministres ont eu des chiffres de leur administration qui ne correspondaient pas aux chiffres qu’au même moment ils annonçaient”, a indiqué Eric Coquerel mercredi, ajoutant: “on a l’impression que les gens ne nous disent pas tout”.La commission a multiplié les auditions, parfois techniques, de responsables d’administrations (Direction générale du Trésor, Direction du Budget, Direction générale des Finances publiques, Direction de la Sécurité sociale et Direction générale des collectivités locales), ainsi que de personnalités politiques, avec à la clé quelques passe d’armes.Le 12 décembre 2024, Bruno Le Maire, qui a piloté Bercy pendant sept ans de 2017 à l’été 2024, avait lancé une charge virulente contre les députés, les accusant “d’hypocrisie” et dénonçant une assemblée qui “taxe, dépense, censure”, suscitant la consternation de nombreux députés présents dans la salle.Quelques jours plus tard, Thomas Cazenave, ministre chargé des Comptes publics entre juillet 2023 et septembre 2024, avait mis le dérapage du déficit pour 2024 sur le compte d’estimations de recettes erronées de la part des modèles de calcul de Bercy, et d’une hausse plus forte qu’attendu des dépenses des collectivités locales. “C’est la politique économique et ses résultats largement vantés qui ont aveuglé au fur et à mesure les prises de décisions”, a estimé pour sa part Eric Coquerel mercredi. 

Commission d’enquête sur le dérapage budgétaire: Alexis Kohler sera convoqué à l’Assemblée

Le secrétaire général de l’Elysée, Alexis Kohler, sera convoqué pour être auditionné à l’Assemblée dans le cadre de la commission d’enquête sur le dérapage des finances publiques, dont les auditions devraient s’achever “d’ici mi-février”.A l’issue d’un vote à huis clos en commission des finances, 37 députés ont voté pour cette audition et 18 contre (issus de LR, et des trois groupes macronistes), selon ces sources. Présidée par Eric Coquerel (LFI), la commission des finances a obtenu pour six mois les pouvoirs d’une commission d’enquête (convocations avec obligation pour la personne de l’honorer, pouvoirs d’investigation, auditions sous serment, etc…), et lancé ses travaux début décembre pour enquêter sur “les causes” de “la variation” et des “écarts des prévisions fiscales et budgétaires” constatés sur les années 2023 et 2024.Ces erreurs prévisionnelles avaient eu pour conséquence une mauvaise anticipation du dérapage du déficit public, plus important qu’escompté à 6,1% du PIB attendu en 2024, un chiffre très éloigné des 4,4% prévus à l’automne 2023, et des 5,1% prévus au printemps après réévaluation.Plusieurs auditions doivent se tenir dans les prochaines semaines, notamment celle de l’ancien Premier ministre Gabriel Attal, de représentants de la Banque de France, de la Cour des comptes, et d’économistes, a précisé Eric Coquerel lors d’une conférence de presse mercredi, ajoutant espérer que les auditions s’achèvent “mi-février”Mais la convocation d’Alexis Kohler “est contraire à l’indépendance des pouvoirs et à l’article 67 de la Constitution”, a réagi le député Renaissance Mathieu Lefèvre après le vote, dénonçant un “détournement de procédure”. Il a regretté qu’il n’y ait “pas eu de débat”, accusant le président de la commission des finances d’avoir voulu l'”étouffer”.L’article 67 de la Constitution “concerne la responsabilité du chef de l’Etat et n’inclut pas ses collaborateurs”, a répondu Eric Coquerel, joint par l’AFP, ajoutant que des collaborateurs du chef de l’Etat avaient déjà répondu à des convocations analogues.Lors des auditions, des personnes ont évoqué “des réunions organisées à l’Elysée, et dans ce contexte c’est normal de pouvoir interroger les collaborateurs” du président de la République, a-t-il poursuivi.Une position partagée par le groupe Rassemblement national (RN), qui a jugé dans un communiqué “indispensable d’auditionner un responsable de l’Elysée”, et accusé les députés macronistes qui s’y opposent de chercher “à saboter les travaux de cette commission”.L’irresponsabilité constitutionnelle du chef de l’Etat “s’attache au président de la République mais pas aux actes pris par ses collaborateurs, même dans l’exercice de compétences qui relèvent de l’arbitrage présidentiel”, estime Mathieu Carpentier, professeur de droit public à l’université Toulouse-Capitole, joint par l’AFP. Il rappelle notamment qu’Alexis Kohler avait déjà été entendu par une commission d’enquête parlementaire, au Sénat en juillet 2018, dans l’affaire Alexandre Benalla. – “Hypocrisie” -Après les premières auditions, “il y a bien des moments où les ministres ont eu des chiffres de leur administration qui ne correspondaient pas aux chiffres qu’au même moment ils annonçaient”, a indiqué Eric Coquerel mercredi, ajoutant: “on a l’impression que les gens ne nous disent pas tout”.La commission a multiplié les auditions, parfois techniques, de responsables d’administrations (Direction générale du Trésor, Direction du Budget, Direction générale des Finances publiques, Direction de la Sécurité sociale et Direction générale des collectivités locales), ainsi que de personnalités politiques, avec à la clé quelques passe d’armes.Le 12 décembre 2024, Bruno Le Maire, qui a piloté Bercy pendant sept ans de 2017 à l’été 2024, avait lancé une charge virulente contre les députés, les accusant “d’hypocrisie” et dénonçant une assemblée qui “taxe, dépense, censure”, suscitant la consternation de nombreux députés présents dans la salle.Quelques jours plus tard, Thomas Cazenave, ministre chargé des Comptes publics entre juillet 2023 et septembre 2024, avait mis le dérapage du déficit pour 2024 sur le compte d’estimations de recettes erronées de la part des modèles de calcul de Bercy, et d’une hausse plus forte qu’attendu des dépenses des collectivités locales. “C’est la politique économique et ses résultats largement vantés qui ont aveuglé au fur et à mesure les prises de décisions”, a estimé pour sa part Eric Coquerel mercredi. 

Le Hamas approuve l’accord de cessez-le-feu à Gaza, selon des sources palestiniennes

Le Hamas a approuvé mercredi l’accord sur une trêve à Gaza, ont annoncé des sources proches des discussions qui s’accélèrent au Qatar, dans le but de mettre fin à 15 mois d’une guerre meurtrière avec Israël.Le mouvement islamiste palestinien et son allié du Jihad islamique ont approuvé l’accord portant sur un cessez-le-feu ainsi qu’un échange de prisonniers contre des otages israéliens, selon deux sources proches des négociateurs réunis à Doha. A quelques jours du retour de Donald Trump à la Maison Blanche, les discussions indirectes s’étaient intensifiées en vue d’une trêve associée à une libération d’otages retenus dans le territoire palestinien depuis l’attaque sanglante du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023.Cette attaque a déclenché une guerre qui a fait des dizaines de milliers de morts et réduit en ruines une grande partie du territoire.”Les groupes de la résistance sont parvenus entre eux à un accord” et en ont “informé les médiateurs”, a déclaré mercredi une des sources jointe au téléphone par l’AFP à partir du Caire. Une autre source palestinienne proche des discussions a confirmé ces propos.Le Qatar, principal pays médiateur avec les Etats-Unis et l’Egypte, avait déclaré mardi que les négociations étaient “au stade final” et que les “principaux problèmes” avaient été réglés, espérant un accord “très bientôt”.Selon deux sources proches du Hamas, 33 otages devraient être libérés durant une première phase, en échange d’un millier de Palestiniens détenus par Israël. Les otages seraient libérés “par groupes, en commençant par les enfants et les femmes”.Le gouvernement israélien avait confirmé mardi qu’il cherchait à obtenir la libération de “33 otages” pendant la première étape et était prêt à libérer “des centaines” de prisonniers palestiniens.- “Le temps presse” -Alors qu’un accord pourrait être imminent, Israël multiplie les frappes meurtrières sur la bande de Gaza, affirmant viser des combattants du Hamas.Pendant la nuit de mardi à mercredi, 24 personnes ont été tuées, selon les secours, notamment à Deir el-Balah, dans le centre du territoire, et à Gaza-ville, dans le nord, où une frappe a touché une école abritant des déplacés.A Deir el-Balah, Nadia Madi, une déplacée, priait pour qu'”une trêve soit déclarée”.”Je suis prête à reconstruire ma vie au milieu des décombres”, a assuré cette femme qui a fui son foyer comme la quasi-totalité des 2,4 millions d’habitants du territoire assiégé, et n’a pas revu sa famille “depuis plus d’un an”.Une seule trêve d’une semaine a été observée fin novembre 2023 et les négociations menées depuis se sont heurtées à l’intransigeance des deux camps.Mais les pourparlers se sont intensifiés à l’approche du retour de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis le 20 janvier, dans un climat de pression internationale accrue sur les différentes parties.Donald Trump a récemment promis “l’enfer” à la région si les otages n’étaient pas libérés avant son retour. “Le temps presse, les otages vivants finiront par mourir. Les otages morts risquent d’être perdus. Nous devons agir maintenant”, a lancé Gil Dickman, cousin de l’otage Carmel Gat, lors d’un rassemblement mardi soir à Jérusalem.Sur 251 personnes enlevées lors de l’attaque du 7 octobre 2023, 94 sont toujours retenues en otages à Gaza, dont 34 sont mortes selon l’armée israélienne.L’attaque a entraîné la mort de 1.210 personnes du côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles.Au moins 46.707 personnes, en majorité des civils, ont été tuées dans la campagne militaire israélienne de représailles dans la bande de Gaza, dont 62 en 24 heures, selon les données du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas, jugées fiables par les Nations unies.- Zone tampon -Un responsable israélien a indiqué mardi que les négociations pour la deuxième phase de l’accord commenceraient le 16ème jour après le début de la première phase. Cette deuxième phase concernera la libération des derniers otages, “soit les soldats et les hommes en âge d’être mobilisés”, ainsi que le retour des corps des otages morts, selon le Times of Israel.Mais un responsable israélien a affirmé mardi qu’Israël ne quitterait “pas Gaza tant que tous les otages ne seront pas rentrés, les vivants et les morts”.Selon des médias israéliens, Israël pourra maintenir une “zone tampon” du nord au sud de la bande de Gaza durant la première phase.Le secrétaire d’Etat américain sortant, Antony Blinken, a proposé mardi d’envoyer une force internationale de sécurité à Gaza et de placer le territoire sous la responsabilité de l’ONU.Il a estimé que l’Autorité palestinienne, qui détient une autorité administrative partielle en Cisjordanie occupée, devrait à l’avenir reprendre le contrôle de Gaza.Le Premier ministre palestinien, Mohammed Mustafa, a affirmé mercredi que la communauté internationale devra maintenir la pression sur Israël pour qu’il accepte la création d’un Etat palestinien après une trêve. Israël “doit comprendre ce qui est juste et ce qui est injuste, et que le pouvoir de veto sur la paix et l’Etat palestinien ne sera plus accepté ni toléré”, a-t-il affirmé.

Le Hamas approuve l’accord de cessez-le-feu à Gaza, selon des sources palestiniennes

Le Hamas a approuvé mercredi l’accord sur une trêve à Gaza, ont annoncé des sources proches des discussions qui s’accélèrent au Qatar, dans le but de mettre fin à 15 mois d’une guerre meurtrière avec Israël.Le mouvement islamiste palestinien et son allié du Jihad islamique ont approuvé l’accord portant sur un cessez-le-feu ainsi qu’un échange de prisonniers contre des otages israéliens, selon deux sources proches des négociateurs réunis à Doha. A quelques jours du retour de Donald Trump à la Maison Blanche, les discussions indirectes s’étaient intensifiées en vue d’une trêve associée à une libération d’otages retenus dans le territoire palestinien depuis l’attaque sanglante du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023.Cette attaque a déclenché une guerre qui a fait des dizaines de milliers de morts et réduit en ruines une grande partie du territoire.”Les groupes de la résistance sont parvenus entre eux à un accord” et en ont “informé les médiateurs”, a déclaré mercredi une des sources jointe au téléphone par l’AFP à partir du Caire. Une autre source palestinienne proche des discussions a confirmé ces propos.Le Qatar, principal pays médiateur avec les Etats-Unis et l’Egypte, avait déclaré mardi que les négociations étaient “au stade final” et que les “principaux problèmes” avaient été réglés, espérant un accord “très bientôt”.Selon deux sources proches du Hamas, 33 otages devraient être libérés durant une première phase, en échange d’un millier de Palestiniens détenus par Israël. Les otages seraient libérés “par groupes, en commençant par les enfants et les femmes”.Le gouvernement israélien avait confirmé mardi qu’il cherchait à obtenir la libération de “33 otages” pendant la première étape et était prêt à libérer “des centaines” de prisonniers palestiniens.- “Le temps presse” -Alors qu’un accord pourrait être imminent, Israël multiplie les frappes meurtrières sur la bande de Gaza, affirmant viser des combattants du Hamas.Pendant la nuit de mardi à mercredi, 24 personnes ont été tuées, selon les secours, notamment à Deir el-Balah, dans le centre du territoire, et à Gaza-ville, dans le nord, où une frappe a touché une école abritant des déplacés.A Deir el-Balah, Nadia Madi, une déplacée, priait pour qu'”une trêve soit déclarée”.”Je suis prête à reconstruire ma vie au milieu des décombres”, a assuré cette femme qui a fui son foyer comme la quasi-totalité des 2,4 millions d’habitants du territoire assiégé, et n’a pas revu sa famille “depuis plus d’un an”.Une seule trêve d’une semaine a été observée fin novembre 2023 et les négociations menées depuis se sont heurtées à l’intransigeance des deux camps.Mais les pourparlers se sont intensifiés à l’approche du retour de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis le 20 janvier, dans un climat de pression internationale accrue sur les différentes parties.Donald Trump a récemment promis “l’enfer” à la région si les otages n’étaient pas libérés avant son retour. “Le temps presse, les otages vivants finiront par mourir. Les otages morts risquent d’être perdus. Nous devons agir maintenant”, a lancé Gil Dickman, cousin de l’otage Carmel Gat, lors d’un rassemblement mardi soir à Jérusalem.Sur 251 personnes enlevées lors de l’attaque du 7 octobre 2023, 94 sont toujours retenues en otages à Gaza, dont 34 sont mortes selon l’armée israélienne.L’attaque a entraîné la mort de 1.210 personnes du côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles.Au moins 46.707 personnes, en majorité des civils, ont été tuées dans la campagne militaire israélienne de représailles dans la bande de Gaza, dont 62 en 24 heures, selon les données du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas, jugées fiables par les Nations unies.- Zone tampon -Un responsable israélien a indiqué mardi que les négociations pour la deuxième phase de l’accord commenceraient le 16ème jour après le début de la première phase. Cette deuxième phase concernera la libération des derniers otages, “soit les soldats et les hommes en âge d’être mobilisés”, ainsi que le retour des corps des otages morts, selon le Times of Israel.Mais un responsable israélien a affirmé mardi qu’Israël ne quitterait “pas Gaza tant que tous les otages ne seront pas rentrés, les vivants et les morts”.Selon des médias israéliens, Israël pourra maintenir une “zone tampon” du nord au sud de la bande de Gaza durant la première phase.Le secrétaire d’Etat américain sortant, Antony Blinken, a proposé mardi d’envoyer une force internationale de sécurité à Gaza et de placer le territoire sous la responsabilité de l’ONU.Il a estimé que l’Autorité palestinienne, qui détient une autorité administrative partielle en Cisjordanie occupée, devrait à l’avenir reprendre le contrôle de Gaza.Le Premier ministre palestinien, Mohammed Mustafa, a affirmé mercredi que la communauté internationale devra maintenir la pression sur Israël pour qu’il accepte la création d’un Etat palestinien après une trêve. Israël “doit comprendre ce qui est juste et ce qui est injuste, et que le pouvoir de veto sur la paix et l’Etat palestinien ne sera plus accepté ni toléré”, a-t-il affirmé.

UN rights chief says transitional justice ‘crucial’ in Syria

United Nations rights chief Volker Turk on Wednesday said transitional justice was “crucial” for Syria after the fall of Bashar al-Assad, during the first-ever visit by someone in his post to the country.Since Islamist-led rebels seized Damascus last month, the United Nations has called for Assad and others to be held accountable for the crimes committed during more than 13 years of civil war.”Transitional justice is crucial as Syria moves forward,” the UN high commissioner for human rights said at a press conference in Damascus.”Revenge and vengeance are never the answer.”Syria’s conflict erupted in 2011 after Assad’s brutal crackdown of anti-government protests. More than half a million people were killed and millions displaced from their homes.Tens of thousands of people have been detained and tortured in the country’s jails, while Assad has been accused of using chemical weapons including banned sarin gas against his own people.”The enforced disappearances, the torture, the use of chemical weapons, among other atrocity crimes, must be fully investigated,” Turk said.”And then justice must be served, fairly and impartially,” he added.Turk said “such acts constitute the most serious crimes under international humanitarian law”.Among them, “that banned chemicals were used against civilians… and not just once, says a lot about the extreme brutality of the tactics used by the former regime,” Turk said.- ‘Human rights for all Syrians’ -The new authorities have sought to reassure Syrians and the international community in recent weeks that they will respect the rights of minorities while rebuilding the country.Turk said during the visit that he and the country’s new leader Ahmed al-Sharaa discussed “the opportunities and challenges awaiting this new Syria”.”He acknowledged and assured me of the importance of respect for human rights for all Syrians and all different components of Syrian society,” Turk said.He said Sharaa also backed “the pursuit of healing, trust building and social cohesion and the reform of institutions”.After a war that has ravaged Syria’s economy and infrastructure, Turk also called for an easing of certain Western sanctions imposed on Syria under Assad’s rule.”I… call for an urgent reconsideration of… sanctions with a view to lifting them,” he said, adding that they had “a negative impact on the enjoyment of rights” of Syrians.Turk said he had visited the notorious Saydnaya prison and met with a former detainee, “a former soldier suspected of being a defector”.”He told me of the cruel treatment he endured. I cannot even bear to share the stories of beatings and torture that he shared with me,” he said.Thousands of detainees poured out of prisons after Assad’s fall.But many Syrians are still looking for traces of tens of thousands of loved ones still missing, with many believed to have been buried in mass graves.- ‘Peaceful and stable development’ -Families of missing persons have urged Syria’s new authorities to protect evidence of crimes under Assad, after outrage over a video appearing to show volunteers painting over prisoner etchings on walls inside a former jail.A petition appeared on Tuesday calling for the new Syrian authorities to better protect evidence of crimes, and to give investigating the fate of those forcibly disappeared under Assad “the highest priority”.With journalists and families rushing to detention centres after Assad fled the country, official documents have been left unprotected, with some even looted or destroyed.The Syrian Observatory for Human Rights, a Britain-based war monitor, says more than 100,000 people have died in detention from torture or dire health conditions across Syria since 2011.Syria has seen a flurry of diplomatic activity since Assad’s fall on December 8.Earlier on Wednesday, Germany’s Development Minister Svenja Schulze promised to support Syria’s “peaceful and stable development” as she visited Damascus to meet with the interim authorities, announcing cooperation with Syrian hospitals.Germany is home to the European Union’s largest Syrian diaspora community, having taken in nearly a million people from the war-ravaged country.