600 police on duty for Israeli club’s ‘high-risk’ Paris basketball clash

Hundreds of Paris police officers were deployed on Thursday for a basketball match classified as “high-risk” due to the participation of an Israeli team.The game between Paris and Maccabi Tel Aviv attracted around 5,000 spectators, 1,000 of whom were backing the visiting team with 600 police on duty in order to quell potential protests.Around 400 fans sported T-shirts in the colours of the Tel Aviv side.Thursday’s Euroleague match was held just a day after Israel and Hamas reached a ceasefire and hostage-release deal aimed at ending the war in Gaza.Despite the tight security, there were no reports of trouble at the match played at l’Arena Porte de la Chapelle in the north of the French capital.On Wednesday, Paris police had indicated that Thursday’s match was “likely to constitute a symbolic target for acts of a terrorist nature” in a “current context of very high threat”.”We felt the atmosphere,” said Paris player Yakuba Ouattara. “But we are professionals so we manage to focus on the objective.”The game came two months after 40 arrests were made at a tense Nations League football match between France and Israel at the city’s Stade de France when 4,000 police were on duty.Security for that match had been intensified after fans of Maccabi Tel Aviv’s football team were attacked in Amsterdam the previous week.

Foot: la Fifa suspend le président de la fédération du Panama pour avoir traité une joueuse de “grosse”

La Fifa a suspendu pour six mois le président de la Fédération panaméenne de football Manuel Arias pour avoir traité de “grosse” la joueuse du club turc Fenerbahçe et de l’équipe nationale du Panama, Marta Cox.La Fédération panaméenne a indiqué jeudi dans un communiqué avoir “été informée d’une sanction imposée à M. Manuel Arias” par le comité d’éthique de la Fédération internationale de football (Fifa) pour “langage inapproprié envers une joueuse de l’équipe féminine du Panama”.En mars 2023, M. Arias avait traité Marta Cox de “grosse” après que la footballeuse eut critiqué la ligue féminine panaméenne à la suite de l’élimination de l’équipe en Gold Cup, tournoi qui réunit les meilleures sélections de la Concacaf (Amérique du Nord, centrale et Caraïbes.”Marta Cox (…) est grosse, elle ne pouvait pas bouger sur le terrain”, avait déclaré Manuel Arias à un média local.Mme Cox, l’une des principales joueuses de l’équipe nationale du Panama, avait alors menacé de quitter l’équipe, ce qui avait conduit le dirigeant à présenter des excuses publiques.Après l’annonce de la sanction, Manuel Arias a reconnu avoir commis une “grave erreur” et qualifié de “très regrettable” le langage utilisé envers la footballeuse de 27 ans.

L’Ukraine et le Royaume Uni concluent un partenariat sécuritaire “historique” sur 100 ans

Le président Volodymyr Zelensky et le Premier ministre britannique Keir Starmer, dont le pays est un soutien clé de l’Ukraine face à l’invasion russe, ont signé jeudi un accord “historique” sur un partenariat “sur 100 ans” entre Kiev et Londres, peu avant le retour de Donald Trump à la Maison Blanche.”Nous avons signé ensemble un accord historique, le tout premier du genre, un nouveau partenariat entre le Royaume-Uni et l’Ukraine qui reflète l’énorme affection existant entre nos deux nations”, a déclaré M. Starmer aux médias après la signature à Kiev.Le document prévoit un renforcement de la coopération en matière de défense et de sécurité maritime, mais aussi “des partenariats scientifiques et technologiques” dans la santé, l’agro-technologie, l’espace et les drones, selon le texte publié par Kiev. Le président Volodymyr Zelensky s’est félicité de relations “plus étroites que jamais” entre Londres et Kiev, alors que des explosions se faisaient entendre dans le centre de Kiev, et qu’un drone a survolé le quartier gouvernemental.- Renforcer la défense antiaérienne -“Nos discussions se sont déroulées au son des opérations de la défense antiaérienne ici à Kiev”, d’où “la tâche numéro un – accroître la coopération pour que le bouclier antiaérien ukrainien, notre armée, nos forces maritimes ukrainiennes, la cybersécurité soient suffisamment forts pour résister” à la Russie, a déclaré M. Zelensky.Keir Starmer, le dirigeant travailliste était pour la première fois en Ukraine depuis son élection en juillet et à quelques jours du retour à la Maison Blanche de Donald Trump.L’Ukraine, dont l’armée est épuisée et recule sur le front après près de trois ans d’invasion russe, et ses alliés européens craignent un éventuel désengagement américain, Donald Trump ayant déclaré à plusieurs reprises qu’il voulait mettre un terme à cette guerre rapidement.L’objectif “principal” est “de s’assurer que l’Ukraine est dans la position la plus forte possible au cours de l’année 2025”, a souligné M. Starmer devant les médias britanniques, en rendant visite à des soldats ukrainiens blessés dans un hôpital.Les deux responsables ont discuté de la possibilité de stationner des troupes occidentales en Ukraine pour superviser un éventuel accord de cessez-le-feu, une proposition initialement avancée par le président français Emmanuel Macron.M. Starmer ne s’est pas engagé à envoyer des troupes, mais il a jeudi soir déclaré à Sky News qu’il discuterait de la possibilité d’un tel déploiement avec d’autres pays. “Nous en discuterons avec un certain nombre d’alliés, dont bien sûr le président Macron et le président Zelensky ici présent, et nous jouerons pleinement notre rôle”.”Il est trop tôt pour en discuter des détails”, a dit M. Zelensky selon lequel un tel contingent ne pourrait constituer qu'”un segment des garanties de sécurité” pour son pays dont la configuration globale pourrait être déterminée après des pourparlers avec l’administration de Donald Trump.- Garanties de sécurité -“Nous n’envisageons pas de garanties de sécurité pour l’Ukraine sans les États-Unis”, a souligné le président ukrainien. “Nous n’avons pas encore eu de conversation de fond sur les garanties de sécurité avec la nouvelle administration”. Keir Starmer a de son côté promis de travailler avec Kiev et les alliés pour mettre fin à la guerre et “garantir la sécurité de l’Ukraine, garantir toute paix possible et dissuader toute agression future”.Donald Trump, qui doit être investi lundi 20 janvier, a affirmé qu’il était en train de préparer une rencontre avec Vladimir Poutine pour “en finir” avec le conflit en Ukraine.Le milliardaire républicain a clairement affiché son scepticisme sur les milliards d’aide dépensés par Washington pour soutenir Kiev face à la Russie.Lors de son audition mercredi, Marco Rubio, le secrétaire d’Etat désigné par Donald Trump, a appelé à une “diplomatie audacieuse” des Etats-Unis pour mettre un terme à la guerre. Le principal problème de l’Ukraine, a-t-il affirmé, n’est pas qu’elle se trouve “à court d’argent, mais plutôt qu’elle soit à court d’Ukrainiens”.Le Royaume-Uni est l’un des principaux soutiens militaires de Kiev depuis le début de la guerre. Il fournit notamment à l’armée ukrainienne des missiles Storm Shadow, utilisés par Kiev pour frapper des cibles militaires et énergétiques en sol russe, une ligne rouge pour Moscou.Londres a promis 12,8 milliards de livres (15,2 milliards d’euros) d’aide militaire et civile à l’Ukraine depuis le début de l’invasion russe, et a formé plus de 50.000 soldats ukrainiens sur le sol britannique, d’après des chiffres officiels. La visite de M. Starmer à Kiev intervient alors que l’armée ukrainienne est en difficulté depuis plusieurs mois dans divers secteurs du front, face à une armée russe plus nombreuse et mieux armée.Elle a cependant annoncé jeudi avoir capturé 27 soldats russes dans la région russe de Koursk, dont elle occupe une petite partie depuis une offensive surprise l’été dernier.Keir Starmer est attendu à Varsovie vendredi pour entamer des discussions sur la mise au point d’un nouvel accord de défense et de sécurité.

L’Ukraine et le Royaume Uni concluent un partenariat sécuritaire “historique” sur 100 ans

Le président Volodymyr Zelensky et le Premier ministre britannique Keir Starmer, dont le pays est un soutien clé de l’Ukraine face à l’invasion russe, ont signé jeudi un accord “historique” sur un partenariat “sur 100 ans” entre Kiev et Londres, peu avant le retour de Donald Trump à la Maison Blanche.”Nous avons signé ensemble un accord historique, le tout premier du genre, un nouveau partenariat entre le Royaume-Uni et l’Ukraine qui reflète l’énorme affection existant entre nos deux nations”, a déclaré M. Starmer aux médias après la signature à Kiev.Le document prévoit un renforcement de la coopération en matière de défense et de sécurité maritime, mais aussi “des partenariats scientifiques et technologiques” dans la santé, l’agro-technologie, l’espace et les drones, selon le texte publié par Kiev. Le président Volodymyr Zelensky s’est félicité de relations “plus étroites que jamais” entre Londres et Kiev, alors que des explosions se faisaient entendre dans le centre de Kiev, et qu’un drone a survolé le quartier gouvernemental.- Renforcer la défense antiaérienne -“Nos discussions se sont déroulées au son des opérations de la défense antiaérienne ici à Kiev”, d’où “la tâche numéro un – accroître la coopération pour que le bouclier antiaérien ukrainien, notre armée, nos forces maritimes ukrainiennes, la cybersécurité soient suffisamment forts pour résister” à la Russie, a déclaré M. Zelensky.Keir Starmer, le dirigeant travailliste était pour la première fois en Ukraine depuis son élection en juillet et à quelques jours du retour à la Maison Blanche de Donald Trump.L’Ukraine, dont l’armée est épuisée et recule sur le front après près de trois ans d’invasion russe, et ses alliés européens craignent un éventuel désengagement américain, Donald Trump ayant déclaré à plusieurs reprises qu’il voulait mettre un terme à cette guerre rapidement.L’objectif “principal” est “de s’assurer que l’Ukraine est dans la position la plus forte possible au cours de l’année 2025”, a souligné M. Starmer devant les médias britanniques, en rendant visite à des soldats ukrainiens blessés dans un hôpital.Les deux responsables ont discuté de la possibilité de stationner des troupes occidentales en Ukraine pour superviser un éventuel accord de cessez-le-feu, une proposition initialement avancée par le président français Emmanuel Macron.M. Starmer ne s’est pas engagé à envoyer des troupes, mais il a jeudi soir déclaré à Sky News qu’il discuterait de la possibilité d’un tel déploiement avec d’autres pays. “Nous en discuterons avec un certain nombre d’alliés, dont bien sûr le président Macron et le président Zelensky ici présent, et nous jouerons pleinement notre rôle”.”Il est trop tôt pour en discuter des détails”, a dit M. Zelensky selon lequel un tel contingent ne pourrait constituer qu'”un segment des garanties de sécurité” pour son pays dont la configuration globale pourrait être déterminée après des pourparlers avec l’administration de Donald Trump.- Garanties de sécurité -“Nous n’envisageons pas de garanties de sécurité pour l’Ukraine sans les États-Unis”, a souligné le président ukrainien. “Nous n’avons pas encore eu de conversation de fond sur les garanties de sécurité avec la nouvelle administration”. Keir Starmer a de son côté promis de travailler avec Kiev et les alliés pour mettre fin à la guerre et “garantir la sécurité de l’Ukraine, garantir toute paix possible et dissuader toute agression future”.Donald Trump, qui doit être investi lundi 20 janvier, a affirmé qu’il était en train de préparer une rencontre avec Vladimir Poutine pour “en finir” avec le conflit en Ukraine.Le milliardaire républicain a clairement affiché son scepticisme sur les milliards d’aide dépensés par Washington pour soutenir Kiev face à la Russie.Lors de son audition mercredi, Marco Rubio, le secrétaire d’Etat désigné par Donald Trump, a appelé à une “diplomatie audacieuse” des Etats-Unis pour mettre un terme à la guerre. Le principal problème de l’Ukraine, a-t-il affirmé, n’est pas qu’elle se trouve “à court d’argent, mais plutôt qu’elle soit à court d’Ukrainiens”.Le Royaume-Uni est l’un des principaux soutiens militaires de Kiev depuis le début de la guerre. Il fournit notamment à l’armée ukrainienne des missiles Storm Shadow, utilisés par Kiev pour frapper des cibles militaires et énergétiques en sol russe, une ligne rouge pour Moscou.Londres a promis 12,8 milliards de livres (15,2 milliards d’euros) d’aide militaire et civile à l’Ukraine depuis le début de l’invasion russe, et a formé plus de 50.000 soldats ukrainiens sur le sol britannique, d’après des chiffres officiels. La visite de M. Starmer à Kiev intervient alors que l’armée ukrainienne est en difficulté depuis plusieurs mois dans divers secteurs du front, face à une armée russe plus nombreuse et mieux armée.Elle a cependant annoncé jeudi avoir capturé 27 soldats russes dans la région russe de Koursk, dont elle occupe une petite partie depuis une offensive surprise l’été dernier.Keir Starmer est attendu à Varsovie vendredi pour entamer des discussions sur la mise au point d’un nouvel accord de défense et de sécurité.

US Treasury nominee says Trump can usher in ‘economic golden age’

Donald Trump’s nominee for Treasury chief defended potential tax cuts and tariffs Thursday, telling lawmakers at his confirmation hearing that the president-elect could usher in “a new economic golden age.”Scott Bessent’s appearance before the Senate Finance Committee, days before Trump returns to the White House, saw him fielding questions on issues that ranged from sanctions to central bank independence and competition with China.Bessent, a hedge fund manager, faced grilling by policymakers but is expected to see smooth confirmation to the top economic post, where he would play a crucial role implementing Trump’s economic vision.Already, the president-elect has vowed tax cuts, higher tariffs and a slash in federal spending.Bessent said Thursday that Trump has a “generational opportunity to unleash a new economic golden age that will create more jobs, wealth and prosperity for all Americans.””We can usher in a new, more balanced era of prosperity that will lift up all Americans and rebuild communities and families across the country,” he added.He took aim at government spending and high budget deficits while stressing the need to secure vulnerable supply chains and deploy sanctions carefully.Bessent, 62, also raised the need to make permanent Trump’s 2017 tax law — of which some provisions are set to expire at the end of the year.”If Congress fails to act, Americans will face the largest tax increase in history, a crushing $4 trillion tax hike,” Bessent said.”If we do not renew and extend, then we will be facing an economic calamity,” he cautioned, noting the middle and working classes would be hard-hit.- Tougher sanctions -If confirmed, Bessent said he would support strengthening sanctions, “especially on the Russian oil majors,” as a means to end war in Ukraine.He suggested that constraints in American energy supplies were a reason the world’s biggest economy was reluctant to apply “muscular sanctions” on Moscow or Tehran — adding that boosting production could squeeze both countries.On other policies, he disagreed that Trump’s pledges for sweeping tariffs on imports would be paid for domestically. The president-elect sees levies as a means to raise government revenue.While the Treasury has a less direct hand in tariff policy than other agencies, Bessent is anticipated to help shape the administration’s international trade stance.He said tariffs can be used to remedy unfair trade practices or in negotiations on issues like the fentanyl crisis.- China concerns -Bessent signaled a hawkish approach on China, emphasizing that Washington should ensure its lead in areas like chips and artificial intelligence.He indicated that he would push China to boost its US agriculture purchases too, enforcing the terms of a deal struck under the first Trump administration.Bessent also took aim at trade imbalances, saying Beijing was trying to export its way out of a downturn: “We cannot allow a player like this to flood our markets.”Domestically, Bessent clarified that he backs the US central bank’s autonomy on monetary policy, telling lawmakers that the Federal Reserve’s policymaking committee “should be independent” of the president.He emphasized as well that “we must ensure that the US dollar remains the world’s reserve currency.”In November, Trump threatened a 100 percent tariff on the BRICS grouping — which includes Brazil, Russia, India, China and South Africa — if they undercut the US dollar.- No debt default -On federal spending, Bessent said: “We do not have a revenue problem in the United States of America, we have a spending problem.”But he stressed that Washington would not default on its debt if he took office.He likened removing the country’s debt ceiling — a limit on government borrowing to pay for bills already incurred — to taking out a car’s handbrake.However, he committed to working with Trump to eliminate the limit if the president wanted to do so.Trump’s selection of Bessent, who is chief executive officer of investment firm Key Square Group, has been seen as a credible and safe choice.Outgoing Treasury Secretary Janet Yellen warned Wednesday that plans to extend Trump’s earlier tax cuts, which remained in place under President Joe Biden, could worsen the country’s unsustainable fiscal path.