Rwanda-backed group controls most of DRC city as mediator urges talksWed, 29 Jan 2025 17:02:14 GMT

Rwanda-backed fighters were in control of almost all of the DR Congo city of Goma Wednesday where residents were re-emerging after days of deadly fighting and Angola urged leaders of both countries to attend peace talks.The M23 armed group and Rwandan troops entered central Goma on Sunday night, progressively seizing the city’s airport and other …

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Stocks diverge, dollar steady before Fed rate decision

Equity markets diverged Wednesday as attention turned away from recent turbulence in tech stocks to the outlook for interest rates, with the Fed and the ECB both holding their first major meetings of the year.The Dow was little changed in late morning trading in New York, while the wider S&P and the tech-heavy Nasdaq were lower.In Europe, London and continental bourses mostly rose, with the notable exception of Paris, which was dragged down by poor results from luxury group LVMH, Europe’s largest company by market value.While the Federal Reserve is expected to keep interest rates unchanged at its Wednesday meeting, investors were awaiting Fed Chairman Jerome Powell’s post-meeting comments, given President Donald Trump’s pressure to lower rates.”The real wait-and-see item is the press conference,” said Patrick J. O’Hare, an analyst at Briefing.com. “The intrigue revolves around the press conference and how Fed Chair Powell will describe the Fed’s deliberations over the inflation data and what Powell thinks about President Trump’s view that he knows more about interest rates than the Fed Chair does.” US stocks took a hammering Monday, with chip giant and market darling Nvidia collapsing almost 17 percent, after China’s DeepSeek unveiled a chatbot that apparently matched the capacity of US artificial intelligence pace-setters for a fraction of the investments made by American companies.Tuesday saw a tech rebound, with Nvidia surging 8.8 percent, as some analysts voiced doubts over whether DeepSeek’s AI was developed as cheaply as it claims, and with others saying that more cost-effective AI applications are good for everyone.Besides the Fed, US investors are also awaiting earnings from Meta, Microsoft and Tesla after the market shuts, which should give further direction to tech sector stocks. In Paris, LVMH shares were down more than five percent after it reported late Tuesday that net profit shrank 17 percent last year, leading its chief executive Bernard Arnault to complain about the high level of taxes in France. Shares in Dutch tech giant ASML, which sells cutting-edge machines to make semiconductors, closed more than 6 percent higher on Wednesday after it reported solid orders in the fourth quarter.European stock markets have been supported by expectations that the European Central Bank will cut rates 25 basis points Thursday to revive stagnant European economies. “The ECB’s dovish stance has provided a tailwind for European equities,” said Daniela Sabin Hathorn, senior market analyst at Capital.com. “As momentum shifts from US to European markets, further upside in European stocks remains a strong possibility.”The dollar was holding on to its recent gains, driven by expectations of steady interest rates in the US and sliding rates in Europe.Trump’s plans to slash taxes, restrict immigration and impose tariffs, all of which could reignite inflation and therefore keep borrowing costs higher for longer — even if the president has told the independent Fed that he wants lower rates.Earlier in the day, Tokyo’s stock market rebounded after having taken a heavy hit over the previous two days as its chip companies tanked. There were gains also in Sydney, Wellington and Mumbai, though Bangkok dipped. Chinese indices were closed for the holidays.Oil prices fell on reports of growing US crude reserves and on expectations that Trump’s tariff policy could reduce demand.- Key figures around 1640 GMT -New York – Dow: UP LESS THAN 0.1 percent at 44,870.43 points New York – S&P 500: DOWN 0.4 percent at 6,045.31 New York – Nasdaq Composite: DOWN 0.7 percent at 19,589.65 London – FTSE 100: UP 0.3 percent at 8,557.81 (close)Paris – CAC 40: DOWN 0.3 percent at 7,872.48 (close)Frankfurt – DAX: UP 1.0 percent at 21,637.53 (close)Tokyo – Nikkei 225: UP 1.0 percent at 39,414.78 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: Closed for a holidayShanghai – Composite: Closed for a holidayEuro/dollar: DOWN at $1.0419 from $1.0433 on TuesdayPound/dollar: DOWN at $1.2432 from $1.2440Dollar/yen: DOWN at 155.04 yen from 155.53 yen Euro/pound: DOWN at 83.79 pence from 83.84 pence West Texas Intermediate: DOWN 0.6 percent at $73.33 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 0.4 percent at $77.21 per barrel

RDC: Goma sous la coupe du M23, Tshisekedi va s’exprimer

Le groupe armé antigouvernemental M23 et les troupes rwandaises contrôlent mercredi la quasi-totalité de Goma, grande ville de l’est de la République démocratique du Congo, alors que le président Félix Tshisekedi doit s’adresser à la nation avant la fin de la journée.Dans le centre de Goma, coincée entre le lac Kivu et la frontière du Rwanda, les habitants ont recommencé à circuler. “Aujourd’hui, on n’a pas peur. Le problème, c’est le manque d’eau, d’internet et de courant”, dit Jean de Dieu, un habitant joint par l’AFP au téléphone. “Il y a la faim à Goma. Il faut aller puiser l’eau au lac et nous sommes sans médicaments”, renchérit Kahindo Sifa. Les bombardements ont endommagé les infrastructures de la ville de plus d’un million d’habitants et presque autant de déplacés.Alors que la pression internationale s’accroît pour mettre fin à la crise, une nouvelle tentative diplomatique a échoué mercredi lorsque le président congolais Félix Tshisekedi a refusé de participer à une réunion, convoquée par le Kenya, avec son homologue rwandais Paul Kagame.Muré dans le silence depuis le début de l’offensive sur Goma, M. Tshisekedi doit s’adresser mercredi à la nation, selon la télévision nationale. Son gouvernement a dénoncé une “déclaration de guerre du Rwanda” et assuré vouloir “éviter le carnage”.- Corps gisants -Les derniers affrontements ont aggravé la crise humanitaire dans la région, convoitée pour ses ressources naturelles et secouée depuis trois décennies par les violences de groupes armés en partie soutenus par des pays voisins.Selon l’ONU, plus d’un demi-million de personnes ont été déplacées depuis début janvier par les combats. Les affrontements à Goma ont aussi fait plus de 100 morts et près d’un millier de blessés ces trois derniers jours, selon les hôpitaux. Dans les rues, beaucoup de corps gisent encore au sol, ont constaté des journalistes de l’AFP et des habitants. Des cartouches restent sur la chaussée. Une jeep des forces congolaises (FARDC) est abandonnée sur un trottoir près de ce qui était leur QG régional. L’aéroport et le siège du gouvernement provincial ont été pris. Nombre de soldats congolais ont fui ou été capturés au fil de ces deux jours de combats.Mercredi matin, une longue colonne de plusieurs centaines de soldats congolais et miliciens pro-Kinshasa, désarmés et bandeau blanc sur la tête, a été conduite vers le centre-ville, encadrée par des troupes du M23, selon une source sécuritaire.Des pillages se poursuivent, a constaté l’AFP. Seules forces désormais visibles dans les quartiers accessibles, des combattants du M23 et des soldats rwandais tirent parfois en l’air pour effrayer les foules avides.Le M23 avait affirmé dès dimanche avoir pris Goma, mais des combats se sont poursuivis jusqu’à mardi et on ignorait mercredi s’il contrôlait l’ensemble de la ville.Les cadres du M23 (“Mouvement du 23 mars”) ont convoqué un groupe de journalistes et doivent bientôt s’exprimer.   – Continuer d’avancer -Mardi, la crise a soudain atteint la capitale, Kinshasa, située à l’ouest, à l’autre bout de l’immense pays.Des manifestants en colère y ont attaqué plusieurs ambassades, dont celle du Rwanda, mais aussi de la France, de la Belgique et des États-Unis, pays critiqués pour leur inaction dans cette crise.Les États-Unis ont appelé leurs ressortissants à quitter la RDC, la Belgique a déconseillé d’y voyager et la compagnie aérienne Brussels Airlines a annulé sa desserte de Kinshasa mercredi. Dans la capitale, plus tendue qu’à l’accoutumée, les autorités ont suspendu les manifestations après de nouveaux appels à descendre dans la rue.Vincent Karega, ambassadeur itinérant du Rwanda pour la région des Grands lacs, a ajouté à la pression mercredi en déclarant que le M23 “va continuer” d’avancer dans l’est de la RDC, voire au-delà, et pourrait même aller prendre le pouvoir à Kinshasa.Le pape François a appelé mardi à tout faire pour arrêter les hostilités dans la région. Tout comme l’ONU, les États-Unis, la Chine, l’Union européenne et l’Angola, qui ont demandé au Rwanda de retirer ses troupes.Kinshasa accuse Kigali de vouloir mettre la main sur les nombreuses richesses naturelles de l’est de la RDC. Le Rwanda dément et dénonce la présence en RDC de groupes armés hostiles. La résurgence du M23 en 2021 a également été en partie nourrie par une autre rivalité stratégique, entre le Rwanda et l’Ouganda.Mi-décembre, une rencontre Tshisekedi-Kagame dans le cadre d’une médiation angolaise avait été annulée en dernière minute. M. Tshisekedi était venu mais pas M. Kagame. Le M23, qui contrôlait déjà de larges pans du Nord-Kivu, a ensuite continué d’avancer vers Goma.burx-cld/emd/mba

RDC: Goma sous la coupe du M23, Tshisekedi va s’exprimer

Le groupe armé antigouvernemental M23 et les troupes rwandaises contrôlent mercredi la quasi-totalité de Goma, grande ville de l’est de la République démocratique du Congo, alors que le président Félix Tshisekedi doit s’adresser à la nation avant la fin de la journée.Dans le centre de Goma, coincée entre le lac Kivu et la frontière du Rwanda, les habitants ont recommencé à circuler. “Aujourd’hui, on n’a pas peur. Le problème, c’est le manque d’eau, d’internet et de courant”, dit Jean de Dieu, un habitant joint par l’AFP au téléphone. “Il y a la faim à Goma. Il faut aller puiser l’eau au lac et nous sommes sans médicaments”, renchérit Kahindo Sifa. Les bombardements ont endommagé les infrastructures de la ville de plus d’un million d’habitants et presque autant de déplacés.Alors que la pression internationale s’accroît pour mettre fin à la crise, une nouvelle tentative diplomatique a échoué mercredi lorsque le président congolais Félix Tshisekedi a refusé de participer à une réunion, convoquée par le Kenya, avec son homologue rwandais Paul Kagame.Muré dans le silence depuis le début de l’offensive sur Goma, M. Tshisekedi doit s’adresser mercredi à la nation, selon la télévision nationale. Son gouvernement a dénoncé une “déclaration de guerre du Rwanda” et assuré vouloir “éviter le carnage”.- Corps gisants -Les derniers affrontements ont aggravé la crise humanitaire dans la région, convoitée pour ses ressources naturelles et secouée depuis trois décennies par les violences de groupes armés en partie soutenus par des pays voisins.Selon l’ONU, plus d’un demi-million de personnes ont été déplacées depuis début janvier par les combats. Les affrontements à Goma ont aussi fait plus de 100 morts et près d’un millier de blessés ces trois derniers jours, selon les hôpitaux. Dans les rues, beaucoup de corps gisent encore au sol, ont constaté des journalistes de l’AFP et des habitants. Des cartouches restent sur la chaussée. Une jeep des forces congolaises (FARDC) est abandonnée sur un trottoir près de ce qui était leur QG régional. L’aéroport et le siège du gouvernement provincial ont été pris. Nombre de soldats congolais ont fui ou été capturés au fil de ces deux jours de combats.Mercredi matin, une longue colonne de plusieurs centaines de soldats congolais et miliciens pro-Kinshasa, désarmés et bandeau blanc sur la tête, a été conduite vers le centre-ville, encadrée par des troupes du M23, selon une source sécuritaire.Des pillages se poursuivent, a constaté l’AFP. Seules forces désormais visibles dans les quartiers accessibles, des combattants du M23 et des soldats rwandais tirent parfois en l’air pour effrayer les foules avides.Le M23 avait affirmé dès dimanche avoir pris Goma, mais des combats se sont poursuivis jusqu’à mardi et on ignorait mercredi s’il contrôlait l’ensemble de la ville.Les cadres du M23 (“Mouvement du 23 mars”) ont convoqué un groupe de journalistes et doivent bientôt s’exprimer.   – Continuer d’avancer -Mardi, la crise a soudain atteint la capitale, Kinshasa, située à l’ouest, à l’autre bout de l’immense pays.Des manifestants en colère y ont attaqué plusieurs ambassades, dont celle du Rwanda, mais aussi de la France, de la Belgique et des États-Unis, pays critiqués pour leur inaction dans cette crise.Les États-Unis ont appelé leurs ressortissants à quitter la RDC, la Belgique a déconseillé d’y voyager et la compagnie aérienne Brussels Airlines a annulé sa desserte de Kinshasa mercredi. Dans la capitale, plus tendue qu’à l’accoutumée, les autorités ont suspendu les manifestations après de nouveaux appels à descendre dans la rue.Vincent Karega, ambassadeur itinérant du Rwanda pour la région des Grands lacs, a ajouté à la pression mercredi en déclarant que le M23 “va continuer” d’avancer dans l’est de la RDC, voire au-delà, et pourrait même aller prendre le pouvoir à Kinshasa.Le pape François a appelé mardi à tout faire pour arrêter les hostilités dans la région. Tout comme l’ONU, les États-Unis, la Chine, l’Union européenne et l’Angola, qui ont demandé au Rwanda de retirer ses troupes.Kinshasa accuse Kigali de vouloir mettre la main sur les nombreuses richesses naturelles de l’est de la RDC. Le Rwanda dément et dénonce la présence en RDC de groupes armés hostiles. La résurgence du M23 en 2021 a également été en partie nourrie par une autre rivalité stratégique, entre le Rwanda et l’Ouganda.Mi-décembre, une rencontre Tshisekedi-Kagame dans le cadre d’une médiation angolaise avait été annulée en dernière minute. M. Tshisekedi était venu mais pas M. Kagame. Le M23, qui contrôlait déjà de larges pans du Nord-Kivu, a ensuite continué d’avancer vers Goma.burx-cld/emd/mba

L’escroc Tony Peillon, le “Rocancourt du Tarn”, condamné pour viols à 17 ans de réclusion

L’arnaqueur en série Tony Peillon, surnommé le “Rocancourt du Tarn”, a été condamné mercredi à 17 ans de réclusion criminelle pour le viol de cinq femmes et l’agression sexuelle d’une sixième, au terme d’un procès de quatre jours à Albi, lors duquel l’accusé a maintenu ses dénégations.Une décision très légèrement inférieure aux réquisitions de 18 années du ministère public, mais les juges de la cour criminelle du Tarn ont suivi sur le reste: ils ont retenu comme circonstance aggravante la multiplicité des victimes ainsi que la vulnérabilité de trois d’entre elles, et adjoint à la peine d’emprisonnement une obligation de soins, l’interdiction d’entrer en contact avec les victimes, ainsi qu’une inscription au fichier national des auteurs d’infractions sexuelles.Tony Peillon, vêtu d’un t-shirt noir, est resté stoïque lors de la lecture du verdict, gardant ses mains tatouées jointes comme lors de la majeure partie de son interrogatoire, sous le regard des deux victimes présentes physiquement dans la salle d’audience.Me Morgane Cayéré, avocate de l’une des victimes, a salué la décision. “Aujourd’hui, elle (sa cliente, ndlr) a le sentiment d’avoir été entendue et prise au sérieux, vu la peine qui a été prise.”Tony Peillon “comprend la peine. Par contre, derrière, il ne fait pas le lien avec ses actes. Il a un sentiment d’injustice qui persévère”, a quant à lui commenté Me Kamar-Eric Hadi à propos de son client.Déjà condamné pour de nombreux faits d’escroquerie, Tony Peillon a été jugé coupable par la cour criminelle de l’intégralité des faits qui lui étaient reprochés, des viols et une agression sexuelle commis entre 2015 et 2021 à Rennes, Albi et Narbonne (Aude).- Vies inventées -Né en Thaïlande, abandonné bébé et adopté à l’âge de trois ans par un couple français, Tony Peillon s’est, à 29 ans dont trois en prison, inventé de nombreuses vies pour monter ses arnaques, s’attirant chez les médias locaux le surnom de “Rocancourt du Tarn”, allusion à Christophe Rocancourt, célèbre pour avoir arnaqué plusieurs stars françaises et américaines.Ce sont d’ailleurs ses larcins, quelques centaines d’euros à l’encontre de la plupart des parties civiles, qui ont attiré l’attention sur ses viols. Lors de l’audition d’une victime de ses escroqueries, en 2018, la justice a pour la première fois eu vent de ces accusations contre Tony Peillon.Lui n’en démord pas: tant lors de l’instruction que des débats au tribunal judiciaire d’Albi, il a maintenu la même défense, suggérant que ces femmes, furieuses qu’il les ait flouées, aient pu se liguer contre lui pour inventer de fausses accusations.Une version que les investigations n’ont pas permis de corroborer. Et que les avocats des parties civiles ont démonté, soulignant l’absence de contacts en ce sens entre les victimes, ou encore les conclusions des expertises psychiatriques. Les quatre journées d’audiences ont été marquées par l’aplomb de Tony Peillon, qui a maintenu ses dénégations, refusant d’abord de commenter les témoignages successifs, avant de se défendre au troisième jour, montrant quelques hésitations et revirements pointés du doigt par la défense et l’avocate générale, Stéphanie Bazart.Il ne s’est départi de son calme qu’à un bref moment mardi, à l’évocation de sa mère qui aurait selon lui évoqué la possibilité de mettre fin à ses jours. L’accusé a alors sangloté dans son box, avant de vite reprendre sa contenance.- “Mensonges” -“Le discours de Tony Peillon n’est que mensonges”, a déclaré mercredi l’avocate générale lors de son réquisitoire.”Vous êtes passé complètement à côté de votre procès. Vous avez manqué l’opportunité de nous montrer votre humanité”, lui a par ailleurs lancé Me Morgane Cayéré.Le tribunal a notamment été secoué, lundi, par le témoignage de Lucie* (prénom modifié), dernière victime en date, dont les déclarations en visioconférence, ponctuées de spasmes, de crises de rire et de larmes, ont marqué jusqu’à Tony Peillon. “On voit qu’elle a vécu un traumatisme”, avait-il dit le lendemain, sans pour autant avouer.Un contradiction apparente que même ses avocats ont relevée, mais il a ignoré cette “main tendue” qui aurait pu le guider vers un début de reconnaissance.”A partir du moment où je serai déclaré coupable (…), il y aura quelque chose qui va s’éteindre en moi”, avait-il lancé.