Ligue des champions: Lille en 8e, Paris sans soucis en barrages

La France a fait un carton plein mercredi en Ligue des champions, plaçant Lille en 8e de finale et ses trois autres représentants en barrages (PSG, Monaco, Brest), alors que Manchester City a eu chaud mais s’en est également bien sorti en battant Bruges 3-1. La 8e et dernière journée de la phase de ligue, avec ses 18 rencontres disputées au même moment, a confirmé la belle dynamique du football tricolore sur la scène européenne cette saison.La meilleure performance a été réalisée par Lille qui, en écrasant le Feyenoord Rotterdam à domicile 6-1, s’est invité directement au prochain tour sans passer par la case play-offs (7e). Malgré une cascade de blessés dont son meilleur élément Edon Zhegrova, le Losc n’a pas flanché et peut déjà se projeter tranquillement sur les 8e de finale prévus les 4-5 et 11-12 mars. La plus grosse incertitude concernait surtout le PSG mais le tenant et leader de la Ligue 1 n’a pas fait trop longtemps durer le suspense à Stuttgart. Une semaine après son succès d’anthologie face à City au Parc des Princes (4-2), le club de la capitale a largement dominé son adversaire allemand (4-1) grâce notamment à un triplé d’Ousmane Dembélé, devenu le véritable patron de l’attaque. Les troupes de Luis Enrique, qui ont ainsi enchaîné une troisième victoire d’affilée en C1, sont même parvenues à décrocher in extremis une 15e place qui leur promet une confrontation franco-française contre soit Monaco (17e) soit Brest (18e) avec l’assurance de recevoir au match retour. La venue du Real Madrid, géant mondial, à Guingamp pour y défier Brest a crée l’effervescence dans la petite ville des Côtes d’Armor. Mais il n’y a pas eu de miracle pour les Bretons, largement battus avec deux buts de Rodrygo (3-0), même si Kylian Mbappé, de retour en forme après des mois de déboires sportifs et extrasportifs, a été assez inoffensif. Monaco a de son côté totalement sombré sur la pelouse de l’Inter Milan (3-0). Rapidement réduits à dix après l’exclusion de Christian Mawissa dès la 12e minute, les joueurs de la Principauté, guère fringants depuis plusieurs semaines, ont fait les frais de la redoutable efficacité du champion d’Italie, incarnée par Lautaro Martinez, héros de la partie avec trois buts.L’ultime tour de piste de cette phase de ligue n’a en tout cas mis aucun cador sur le bord de la route et ils seront tous au rendez-vous au moins des barrages (11-12 février, 18-19 février), à l’image de Manchester City. L’équipe de Pep Guardiola a tremblé en étant menée par Bruges mais l’a tout de même emporté pour se positionner à la 22e place. Ce qui leur promet un incroyable choc en barrages face au Real Madrid (11e) ou le Bayern Munich (12e), vainqueur du Slovan Bratislava (3-1).Liverpool, qui a concédé son premier revers cette saison en Ligue des champions à Eindhoven (3-2) après sept succès en autant de matches, reste au sommet devant le FC Barcelone, tenu en échec par l’Atalanta Bergame (2-2).   kn/cpb/         

Ligue des champions: Lille en 8e, Paris sans soucis en barrages

La France a fait un carton plein mercredi en Ligue des champions, plaçant Lille en 8e de finale et ses trois autres représentants en barrages (PSG, Monaco, Brest), alors que Manchester City a eu chaud mais s’en est également bien sorti en battant Bruges 3-1. La 8e et dernière journée de la phase de ligue, avec ses 18 rencontres disputées au même moment, a confirmé la belle dynamique du football tricolore sur la scène européenne cette saison.La meilleure performance a été réalisée par Lille qui, en écrasant le Feyenoord Rotterdam à domicile 6-1, s’est invité directement au prochain tour sans passer par la case play-offs (7e). Malgré une cascade de blessés dont son meilleur élément Edon Zhegrova, le Losc n’a pas flanché et peut déjà se projeter tranquillement sur les 8e de finale prévus les 4-5 et 11-12 mars. La plus grosse incertitude concernait surtout le PSG mais le tenant et leader de la Ligue 1 n’a pas fait trop longtemps durer le suspense à Stuttgart. Une semaine après son succès d’anthologie face à City au Parc des Princes (4-2), le club de la capitale a largement dominé son adversaire allemand (4-1) grâce notamment à un triplé d’Ousmane Dembélé, devenu le véritable patron de l’attaque. Les troupes de Luis Enrique, qui ont ainsi enchaîné une troisième victoire d’affilée en C1, sont même parvenues à décrocher in extremis une 15e place qui leur promet une confrontation franco-française contre soit Monaco (17e) soit Brest (18e) avec l’assurance de recevoir au match retour. La venue du Real Madrid, géant mondial, à Guingamp pour y défier Brest a crée l’effervescence dans la petite ville des Côtes d’Armor. Mais il n’y a pas eu de miracle pour les Bretons, largement battus avec deux buts de Rodrygo (3-0), même si Kylian Mbappé, de retour en forme après des mois de déboires sportifs et extrasportifs, a été assez inoffensif. Monaco a de son côté totalement sombré sur la pelouse de l’Inter Milan (3-0). Rapidement réduits à dix après l’exclusion de Christian Mawissa dès la 12e minute, les joueurs de la Principauté, guère fringants depuis plusieurs semaines, ont fait les frais de la redoutable efficacité du champion d’Italie, incarnée par Lautaro Martinez, héros de la partie avec trois buts.L’ultime tour de piste de cette phase de ligue n’a en tout cas mis aucun cador sur le bord de la route et ils seront tous au rendez-vous au moins des barrages (11-12 février, 18-19 février), à l’image de Manchester City. L’équipe de Pep Guardiola a tremblé en étant menée par Bruges mais l’a tout de même emporté pour se positionner à la 22e place. Ce qui leur promet un incroyable choc en barrages face au Real Madrid (11e) ou le Bayern Munich (12e), vainqueur du Slovan Bratislava (3-1).Liverpool, qui a concédé son premier revers cette saison en Ligue des champions à Eindhoven (3-2) après sept succès en autant de matches, reste au sommet devant le FC Barcelone, tenu en échec par l’Atalanta Bergame (2-2).   kn/cpb/         

Meta posts big profit, plans massive AI investment

Social media giant Meta on Wednesday reported surging profits and revenue for 2024, announcing ambitious plans to expand its artificial intelligence infrastructure in the year ahead.The parent company of Facebook, Instagram, and WhatsApp saw its net income soar 59 percent to $62.36 billion for the full year, while fourth-quarter profits jumped 49 percent to $20.84 billion.Revenue reached $164.5 billion, up 22 percent from 2023, boosted by stronger advertising performance as ad prices rose 10 percent and impressions increased 11 percent across its platforms.”We continue to make good progress on AI, glasses, and the future of social media,” CEO Mark Zuckerberg said, expressing optimism about scaling these initiatives in 2025.The solid performance comes amid significant shifts in Meta’s content policies intended to endear the company to US President Donald Trump.The company recently announced the end of its US fact-checking program aimed at combating misinformation, a move that followed criticism from conservative voices who viewed such efforts as censorship.”We now have a US administration that is proud of our leading companies, prioritizes American technology winning, and that will defend our values and interests abroad,” Zuckerberg told anlayats.Meta has also scaled back diversity initiatives and relaxed content moderation rules on its platforms, particularly regarding certain forms of speech — changes that could potentially concern major advertisers who are wary of having their ads appear alongside divisive content.- User growth -The company’s user base continued to grow, reaching 3.35 billion daily active users across its platforms in December 2024, a 5 percent increase year-over-year.Looking ahead, Meta plans massive infrastructure investments, with expected capital expenditures of $60-65 billion for 2025, primarily supporting AI initiatives. Total expenses are projected to reach $114-119 billion.”In AI, I expect this is going to be the year when a highly intelligent and personalized AI assistant reaches more than 1 billion people, and I expect Meta AI to be that leading Assistant,” Zuckerberg said.The company expanded its workforce by 10 percent to 74,067 employees in 2024, with plans for further growth in technical roles focused on AI development and infrastructure.Meta last month said it will dismiss 3,600 employees (5 percent of its workforce) identified as low performers, with the intention to bring in new talent to strengthen the company.While Meta’s stock has performed strongly, the company faces both regulatory challenges and emerging competition.The rise of Chinese startup DeepSeek’s more economical AI model has reportedly prompted Meta to establish war rooms to study and potentially adapt the innovations for its own Llama AI models.The company projects first-quarter 2025 revenue between $39.5-41.8 billion, representing growth of 8-15 percent year-over-year.

Ligue des champions: bouquet final à Lille, qui va en 8e en écrasant Feyenoord (6-1)

Lille a conclu en beauté sa magnifique phase de ligue en obtenant un billet direct pour les huitièmes de finale de la Ligue des champions grâce à une démonstration contre Feyenoord (6-1) mercredi au Stade Pierre-Mauroy.Cette victoire, combinée à une série de résultats favorables au bout d’une ultime journée pleine de rebondissements – notamment la défaite de Milan à Zagreb (2-1) -, permet au Losc de terminer septième et d’éviter de périlleux barrages.La douce folie des soirées européennes s’est emparée de l’enceinte de Villeneuve-d’Ascq à mesure que les supporters du Losc, seuls dans leur antre puisque ceux de Rotterdam étaient interdits de déplacements, comprenaient que le “rêve” dont parlait Thomas Meunier la veille allait se concrétiser.Le bouquet final d’un feu d’artifice lillois sur la scène européenne: après les exploits contre le Real Madrid (1-0) sur cette même pelouse puis face à l’Atlético (3-1) dans la capitale madrilène, il y eut le match nul solide face à la Juventus, un autre grand d’Europe, puis les succès probants à Bologne (2-1) et contre Sturm Graz (3-2).Seul un accroc initial à Lisbonne contre le Sporting (2-0) et une défaite sans rougir à Liverpool (2-1), meilleure équipe de cette première phase, ont écorné un parcours sinon sublime et inespéré.- La victoire de tout un groupe -Symbole d’un groupe qui a su s’adapter à tous les scénarios, le onze de départ lillois a encore une fois surpris jusqu’aux observateurs les plus assidus du club. Comme à Madrid, l’entraîneur Bruno Genesio a bouleversé son équipe titulaire pour mettre sur le banc ses deux meilleures cartes offensives: Jonathan David, au profit de Mohamed Bayo, et Hakon Haraldsson.Qu’importe, si proche des huitièmes, les Dogues ne pouvaient pas laisser leur objectif filer sous leurs pattes. Alors ils ont tenu les Néerlandais dans leurs crocs presque tout le match.En l’absence de David, d’Haraldsson et aussi du latéral Gabriel Gudmundsson au coup d’envoi, Rémy Cabella, Osame Sahraoui et Mitchel Bakker ont été étincelants.D’entrée, Cabella a magnifiquement lancé dans la profondeur Sahraoui, qui a conclu d’une frappe croisée (4e).Au cours d’une première période très emballante, les Nordistes n’ont tremblé que lors de l’égalisation de Santiago Gimenez, après une combinaison qui a totalement pris de court leur défense sur corner (14e).Après un léger temps faible, ils ont repris la main sur le match, reprenant l’avantage grâce à un but contre son camp de Gernot Trauner avec encore Osame Sahraoui à l’origine.En deuxième période, les planètes ont continué à être alignées en faveur de Lille dans les autres matchs de la soirée, quand le Losc se baladait chez lui.Angel Gomes a assommé le suspense après un nouveau cafouillage de la défense de Rotterdam (57e), puis le score a pris une ampleur de match de tennis quand David et Haraldsson sont entrés en jeu (63e).Le Canadien s’est invité à la fête en héritant d’une frappe totalement ratée d’Ayyoub Bouaddi avant de feinter plusieurs défenseurs néerlandais puis d’ajuster du pied gauche (74e). Ce fut ensuite au tour d’Haraldsson de provoquer un but contre son camp (76e), et enfin à Cabella d’alourdir le score (80e), récompensé de sa performance idéale dans l’engagement, la précision et la conduite des siens.La fête est totale. Lille a réussi ce que peu de gens imaginaient lors du tirage au sort: se qualifier directement en huitièmes de finale et terminer premier des clubs français. Le rêve se poursuit.

C1: Monaco balayé par l’Inter et barragiste, peut-être contre le PSG

Finalement, pas besoin de règle à calcul pour savoir comment accrocher le top 8, Monaco termine 17e et barragiste, surclassé par l’Inter Milan (3-0), qui a assuré directement sa place en 8e de finale de Ligue des champions, mercredi.Pour poursuivre sa route, l’ASM devra battre soit le Benfica (16e), qui a gagné 3-2 à Louis II en phase de ligue, soit… le Paris Saint-Germain (15e)! Tirage au sort vendredi.Adi Hütter rêvait de montrer que l’ASM “aussi est une bonne équipe”, l’entraîneur autrichien n’en a pas eu le temps.Au bout de trois minutes les Nerazzurri menaient 1-0, et au bout de douze les Monégasques étaient réduits à dix après l’exclusion de Christian Mawissa.Les deux fois, Marcus Thuram, décidément bien plus efficace en club qu’en sélection, a été décisif. Il a obtenu un penalty pour une faute de Denis Zakaria, averti, et un rouge pour le latéral monégasque qui l’a retenu par le bassin alors qu’il filait seul au but.Au quart d’heure de jeu le doublé de Lautaro Martinez (4 s.p., 16) a plié le match. Il avait déjà transformé le penalty, où Radoslaw Majecki a pourtant touché la balle.- Triplé de Lautaro -Une fois le 2-0 validé par l’arbitre, après la vérification d’un possible hors-jeu, San Siro a eu droit à un supplément de bonheur: l’écran géant a annoncé que le Dinamo Zagreb venait d’ouvrir le score contre l’AC Milan, à quatre jours du derby.Le public intériste en a repris une louche à la mi-temps, quand a été diffusé le but du Dinamo, et encore à la 50e minute à l’annonce du 2-0 (2-1 score final).Pour faire bonne mesure, Lautaro a terminé sur un triplé (67). San Siro était en fête: Inzaghi a rempli son contrat, se qualifier pour les 8e pour éviter de jouer deux matches de plus, usants dans la course au titre avec le Napoli, qui ne dispute pas de coupe d’Europe.Le finaliste de la C1 2023, battu par Manchester City (1-0), avait choisi de ne pas économiser son groupe en alignant son onze titulaire, malgré l’approche du derby della Madonnina.Il y avait notamment les internationaux français Benjamin Pavard, irréprochable sauf sa semelle sur Aleksandr Golovin qui lui a valu un avertissement (66), et Marcus Thuram.C’était bien le Docteur Thuram, et pas le Mister Marcus des Bleus. Le N.9 a empoisonné la vie des défenseurs monégasques pendant une heure, avant d’être économisé et remplacé par Marko Arnautovic (60).- Thuram très travailleur -Après le penalty, il s’est encore deux fois fait secouer dans la surface dans les minutes suivantes, sans que l’arbitre ne bronche.Très travailleur comme à son habitude, il aurait pu marquer lui-même sur une frappe croisée sans un bel arrêt de Majecki (51).Le gardien polonais a plusieurs fois évité une addition plus corsée à son équipe, mais ne pouvait rien sur le 3-0, le capitaine de l’Inter profitant d’un ballon repoussé.A 2-0, Hütter a sorti l’élément frisson du onze princier, Maghnès Akliouche, pour un défenseur, Caio Henrique (19), et il ne s’est plus passé grand chose pour les rouges et blancs.Akliouche, auteur d’un but en retourné vertigineux en championnat samedi contre Rennes, avait allumé la seule mèche de son équipe (10).Décidément irrégulier, Monaco retombe du côté obscur de sa saison, après deux victoires de rang contre Aston Villa (1-0) et Rennes (3-2). Il devra même joueur leur barrage retour à l’extérieur.En fin de match, les écrans ont annoncé que la Juventus, l’autre grand ennemi de l’Inter, perdait 2-0 contre Benfica, la fête était décidément complète.Pour Monaco, avec la sortie de Jordan Teze sur civière (82), le cauchemar s’est terminé sur un nouveau coup dur et à neuf, puisque Hütter avait effectué ses cinq changements…

Global stocks mixed as market awaits ECB decision

Equity markets were mixed Wednesday as attention turned away from tech stocks to the outlook for monetary policy, with the Federal Reserve holding steady on interest rates ahead of an ECB decision.Major US indices spent most of the session in the red before closing moderately lower. The S&P 500 shed 0.5 percent.In Europe, London and continental bourses mostly rose, with the notable exception of Paris, which was dragged down by poor results from luxury group LVMH, Europe’s largest company by market value.The Fed, as expected, left its key lending rate unchanged, resisting pressure from President Donald Trump to continue with cuts in the first rate decision since his return to office.Stocks did not move significantly after the decision or during a news conference with Fed Chair Jerome Powell.”We’re looking at a major plethora of earnings data,” Adam Sarhan of 50 Park Investments said Wednesday afternoon after the Fed decision but before earnings releases from several tech giants.US stocks took a hammering Monday, with chip giant and market darling Nvidia collapsing almost 17 percent, after China’s DeepSeek unveiled a chatbot that apparently matched the capacity of US artificial intelligence pacesetters for a fraction of the investments made by American companies.Tuesday saw a tech rebound, with Nvidia surging 8.8 percent, as some analysts voiced doubts over whether DeepSeek’s AI was developed as cheaply as it claims, and with others saying that more cost-effective AI applications are good for everyone.On Wednesday, Nvidia dropped 4.1 percent.In Paris, LVMH shares were down more than five percent after it reported late Tuesday that net profit shrank 17 percent last year, leading its chief executive Bernard Arnault to complain about the high level of taxes in France. Shares in Dutch tech giant ASML, which sells cutting-edge machines to make semiconductors, closed more than 6 percent higher on Wednesday after it reported solid orders in the fourth quarter.European stock markets have been supported by expectations that the European Central Bank will cut rates 25 basis points Thursday to revive stagnant European economies. “The ECB’s dovish stance has provided a tailwind for European equities,” said Daniela Sabin Hathorn, senior market analyst at Capital.com. “As momentum shifts from US to European markets, further upside in European stocks remains a strong possibility.”Earlier in the day, Tokyo’s stock market rebounded after having taken a heavy hit over the previous two days as its chip companies tanked. There were gains also in Sydney, Wellington and Mumbai, though Bangkok dipped. Chinese indices were closed for the holidays.But oil prices fell on reports of growing US crude reserves and on expectations that Trump’s tariff policy could reduce demand.- Key figures around 2200 GMT -New York – Dow: DOWN 0.3 percent at 44,713.52 (close)New York – S&P 500: DOWN 0.5 percent at 6,039.31 (close)New York – Nasdaq Composite: DOWN 0.5 percent at 19,963.32 (close)London – FTSE 100: UP 0.3 percent at 8,557.81 (close)Paris – CAC 40: DOWN 0.3 percent at 7,872.48 (close)Frankfurt – DAX: UP 1.0 percent at 21,637.53 (close)Tokyo – Nikkei 225: UP 1.0 percent at 39,414.78 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: Closed for a holidayShanghai – Composite: Closed for a holidayEuro/dollar: DOWN at $1.0425 from $1.0430 on TuesdayPound/dollar: UP at $1.2444 from $1.2443Dollar/yen: DOWN at 155.15 yen from 155.54 yen Euro/pound: DOWN at 83.68 pence from 83.82 pence West Texas Intermediate: DOWN 1.6 percent at $72.62 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 1.2 percent at $76.58 per barrel

Trump unveils plan to detain 30,000 migrants at Guantanamo

US President Donald Trump unveiled a surprise plan Wednesday to detain thousands of undocumented migrants in Guantanamo Bay — distracting from spiraling confusion after the White House withdrew a shock order to freeze federal funds.Trump said he had ordered construction of a detention camp to hold up to 30,000 of what he called “criminal illegal aliens” at the notorious military facility on the eastern tip of Cuba, used for holding terrorism suspects since the 9/11 attacks.The plan intensifies the crackdown on illegal immigration that Trump has pledged in his second term, along with a parallel push to transform the US government itself in his right-wing image.That broader goal hit a road bump when the White House sparked confusion by withdrawing a memo ordering a halt on trillions of dollars in federal funds — only to insist minutes later that Trump’s plan remained in “full force.”Speaking as he signed a bill at the White House ordering the pre-trial detention of migrants charged with theft or violence, Trump said the Guantanamo plan would “bring us one step closer to eradicating the scourge of migrant crime.” “We have 30,000 beds in Guantanamo to detain the worst criminal illegal aliens threatening the American people,” said the Republican, adding that it would “double our capacity immediately” to hold undocumented migrants.- ‘Act of brutality’ -The Guantanamo Bay facility currently holds 15 detainees from the wars in Afghanistan, Iraq and other operations triggered by the September 11, 2001, attacks. At its peak around 800 people were incarcerated there, drawing widespread condemnation from human rights campaigners.Newly sworn-in Defense Secretary Pete Hegseth told Fox News that migrants would not be kept where the remaining 9/11 detainees are and that a golf course could be used to build facilities.Cuba slammed Trump’s plan as an “act of brutality.”Numbers of migrants held in US custody could rise dramatically due to the bipartisan bill that Trump signed on Wednesday, the first since his return to the White House.The Laken Riley Act is named after a 22-year-old US nursing student murdered by a Venezuelan undocumented migrant who was arrested twice before her killing but then released. “Her name will also live forever in the laws of our country,” Trump told the signing ceremony, which was attended by her parents.- Confusion -Trump’s headline-grabbing Guantanamo announcement came shortly after another White House plan descended into confusion.As part of his crusade to shrink government — and eliminate entire segments — Trump had ordered the freezing late Monday of potentially trillions of dollars in grants and loans for programs including health care for millions of low-income Americans.The move — made in an order from White House’s Office of Management and Budget — sparked instant alarm and confusion before a US judge issued a temporary injunction.Following the outcry, the White House’s Office of Management and Budget issued a terse notification Wednesday saying the freezing of aid order had been “rescinded.”Soon after, however, Press Secretary Karoline Leavitt announced that only the memo from the budget office was rescinded — not Trump’s plan. Other orders signed last week for departments to root out “woke” spending remained operative, she said.”This is NOT a rescission of the federal funding freeze” which remains in “full force,” she said on X. She said in a separate statement that it had rescinded the memo to “end any confusion” the judge blocked it.Democrats accuse Trump of constitutional overreach by seeking to stop spending already approved by Congress, which has authority over the US budget.Trump’s attempt to purge the workforce of officials deemed unsupportive saw another radical move Tuesday when he offered most federal workers the option to leave their jobs in exchange for eight months’ severance.Trump doubled down Wednesday, announcing that any government employee who fails to end work-from-home and appear in the office by February 6 “will be terminated.”The administration is also continuing to strip Trump opponents of their security details.Former top US military officer Mark Milley became the latest, having his security detail and security clearance stripped by Defense Secretary Pete Hegseth, the Pentagon said.