Kenyan police tear-gas peaceful anti-femicide marchTue, 10 Dec 2024 11:45:41 GMT

Kenyan police tear-gassed a peaceful march against femicide in the capital Nairobi on Tuesday, detaining a number of protesters, according to AFP reporters and rights groups.There was a strong police presence in Nairobi ahead of the march — just one of many planned across the East African country, where violence against women has been a …

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European stock markets drop but Seoul rebounds

European stock markets dropped Tuesday after Seoul rebounded as traders focused on political upheaval in France and South Korea in addition to China’s latest stimulus plans.Commodity markets were steadier after oil and gold won strong support Monday owing to an uncertain future for Syria and the wider crude-rich Middle East.The Paris stock market retreated and the euro fell versus the dollar, as French party leaders were set to gather at President Emmanuel Macron’s Elysee Palace office to chart a route towards a new government.Wall Street on Monday pulled back from all-time highs as investors awaited key US inflation data this week.Stock markets struggled “amid concerns that China’s economic stimulus measures might not have a long-lasting effect”, noted Dan Coatsworth, investment analyst at AJ Bell.Official data Tuesday showed Chinese exports rose in November at a slower rate than expected while imports shrunk further, reinforcing the need for more support a day after top officials pledged to bolster the stuttering growth.Following the data’s release, Chinese President Xi Jinping said: “China has full confidence to achieve this year’s economic growth target and will continue to play its role as the biggest engine of world economic growth.”The growth plan comes as Beijing contemplates Donald Trump’s second term in the White House.The US president-elect has indicated he will reignite his hardball trade policies, fuelling fears of another standoff between the superpowers.Leaders have battled for almost two years to kickstart China’s economy, which has been battered by weak domestic consumption and a debilitating property sector crisis.”Beijing kept its stimulus measures very modest in 2024, because the goal was to stabilise the economy and rehabilitate confidence,” said Shehzad Qazi, managing director at consultants China Beige Book.”Now, Beijing is almost singularly focused on protecting China from the onslaught of forthcoming Trump tariffs.”The Shanghai stock market ended higher and Hong Kong fell.Seoul’s Kospi index rallied more than two percent after tumbling since President Yoon Suk Yeol declared short-lived martial law on December 3.The South Korean won currency steadied against the dollar Tuesday, though it remains stuck near two-year lows as uncertainty keeps investors on edge.On the corporate front, shares in Stellantis rose slightly on the Paris index after the car giant and Chinese manufacturer CATL announced plans for a $4.3-billion factory making electric-vehicle batteries in Spain.Shares in Ashtead slumped 12 percent in London after the industrial-equipment hire group warned over profits and said it plans to switch its main stock listing to key market the United States.- Key figures around 1100 GMT -Paris – CAC 40: DOWN 0.6 percent at 7,432.92 pointsFrankfurt – DAX: DOWN 0.1 percent at 20,335.96London – FTSE 100: DOWN 0.6 percent at 8,302.48Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.5 percent at 20,311.28 (close)Shanghai – Composite: UP 0.6 percent at 3,422.66 (close)Tokyo – Nikkei 225: UP 0.5 percent at 39,367.58 (close)Seoul – Kospi: UP 2.4 percent at 2,417.84 (close)New York – Dow: DOWN 0.5 percent at 44,401.93 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.0526 from $1.0555 on MondayPound/dollar: UP at $1.2756 from $1.2746Dollar/yen: UP at 151.63 yen from 151.21 yen Euro/pound: DOWN at 82.54 from 82.78 penceWest Texas Intermediate: DOWN 0.9 percent at $67.79 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 0.8 percent at $71.59 per barrel

Réunion des partis à l’Elysée: “des agapes” pour se “partager les postes”, selon Le Pen

Marine Le Pen a fustigé des “agapes pour se partager les postes” dans la réunion des forces politiques mardi après-midi à l’Elysée à laquelle ne participent pas le Rassemblement national et la France insoumise.”Emmanuel Macron a invité l’ensemble des partis qui pourraient potentiellement participer à un gouvernement, il nous donne en quelque sorte la médaille de l’opposition”, a déclaré la cheffe de file des députés RN à quelques journalistes dans les couloirs de l’Assemblée nationale.Rappelant que le RN ne comptait pas participer au gouvernement, elle a dénoncé “une forme de mépris” du chef de l’Etat dont elle fait “(son) miel”, réclamant un Premier ministre “qui respecte l’ensemble des forces politiques” et tienne compte “des lignes rouges” de celles “qui pèsent” à l’Assemblée nationale.Mme Le Pen a associé la réunion à l’Elysée des chefs de partis et de groupes parlementaires à des “agapes où il s’agit de se partager les postes”, et suggéré d'”attendre deux ou trois jours pour voir exploser cette belle entente”. “Je ne suis pas du tout sûre que ce gouvernement de ce parti unique arrive véritablement à se mettre sur pied”.Emmanuel Macron a invité les cadres des forces politiques, hors RN et LFI, pour essayer de défricher la route lui permettant de nommer un Premier ministre, et surtout d’éviter une censure. Avoir avoir enchaîné des réunions camp par camp, le chef de l’Etat reçoit à 14H00 les chefs de partis et présidents de groupes parlementaires de la plupart des forces politiques du pays dans une même salle du palais présidentiel.

Budget: la “loi spéciale” présentée mercredi en conseil des ministres 

Un projet de “loi spéciale” sur le budget, permettant notamment à l’Etat de lever l’impôt à partir du 1er janvier, sera présenté en conseil des ministres mercredi, a indiqué l’Elysée mardi.Cette “loi temporaire” avait été annoncée par Emmanuel Macron dans son allocution télévisée après la censure du gouvernement de Michel Barnier, afin d’assurer “la continuité des services publics et de la vie du pays”.La démission du Premier ministre et de son équipe a laissé en suspens l’examen au Parlement du projet de budget pour 2025, dont l’adoption avant la fin de l’année devient improbable en l’absence d’un nouveau gouvernement pour reprendre les débats.Comme le prévoit la Constitution en pareilles circonstances, l’exécutif peut présenter une “loi spéciale”. Le texte comprendra trois articles, selon une source ministérielle.La principale mesure consistera, comme le prévoit la loi organique relative aux lois de finances (LOLF), à autoriser le gouvernement “à continuer à percevoir les impôts existants” jusqu’au vote d’un budget en bonne et due forme.Ce cadre prévoit également la reconduction des dépenses de l’Etat à leur niveau de 2024, via “des décrets ouvrant les crédits applicables”.Les deux autres dispositions devraient permettre à l’Etat et à la Sécurité sociale d’emprunter sur les marchés financiers, via leurs agences dédiées (AFT et Acoss), afin d’éviter de se retrouver en cessation de paiements.Ce projet de loi sera examiné à l’Assemblée nationale le 16 décembre, a indiqué le ministère des Relations avec le Parlement. Le ministre démissionnaire des Comptes publics Laurent Saint-Martin sera entendu dès mercredi sur ce texte en commission des Finances, qui l’examinera jeudi, a-t-on appris de sources parlementaires. L’examen du projet de loi spéciale par le Sénat est par ailleurs envisagé le 18 décembre, selon des sources parlementaires.Son vote dans les deux chambres fait peu de doute, la plupart des forces politiques représentées au Parlement ayant déjà fait savoir qu’elles ne s’y opposeraient pas. “Il faut garantir une continuité budgétaire”, a ainsi expliqué le coordinateur de LFI, Manuel Bompard, sur France 2.Les députés Insoumis entendent toutefois déposer un amendement pour “mettre dans cette loi spéciale l’indexation du barème de l’impôt sur le revenu”, a-t-il précisé. Cette disposition technique, prévue dans le budget du gouvernement Barnier avant sa censure, éviterait à “18 millions de Français” de payer plus d’impôts l’an prochain.Mais les avis divergent sur la possibilité de la faire passer via un amendement à la loi spéciale. Le ministre démissionnaire des Comptes publics, Laurent Saint-Martin, a ainsi mis en garde lundi contre une impossibilité constitutionnelle.fff-gbh-sac-ama/hr/eb