Ivory Coast’s ex-first lady to run for president in 2025Sat, 30 Nov 2024 21:53:34 GMT

Ivory Coast’s former first lady Simone Gbagbo on Saturday announced she would run for president in 2025, vowing to build a new and improved version of the west African nation.Nicknamed the “Iron Lady”, Gbagbo is the ex-wife of former Ivorian President Laurent Gbagbo, the first former head of state to face trial for crimes against humanity …

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Budget: le ministre de l’Économie appelle à la “responsabilité”

Le ministre de l’Économie Antoine Armand a appelé “chacun à ses responsabilités” samedi, alors que le gouvernement est en pleine crise politique sur son projet de budget, actuellement examiné par le Sénat.”L’absence de budget, l’instabilité politique entraînerait une augmentation soudaine et substantielle des coûts de financement de la dette française”, a fait valoir le ministre lors d’un point presse au lendemain du maintien de la note de la France par l’agence S&P.”Dans ce moment crucial, au-delà des clivages partisans, dans l’intérêt général, notre pays a besoin d’un budget et j’appelle chacun à ses responsabilités”, a-t-il plaidé. Minoritaire, le gouvernement multiplie les compromis pour tenter d’échapper à une motion de censure. Celle-ci pourrait intervenir dès la semaine prochaine sur le budget de la Sécurité sociale, dans l’hypothèse où il aurait recours au 49.3 pour le faire adopter sans vote.Après un recul sur les retraites ou les cotisations patronales, le gouvernement a accepté de ne pas augmenter une taxe sur l’électricité au-delà de son niveau d’avant le bouclier tarifaire afin de satisfaire le Rassemblement national, qui menace de s’allier à la gauche pour le renverser.  Malgré tout, la cheffe de file du parti, Marine Le Pen, ne semblait pas disposée à renoncer à une censure du gouvernement. Vendredi, Mme Le Pen a exigé des réponses avant lundi, date après laquelle le gouvernement ne pourra plus amender son projet de budget de la Sécurité sociale. Les exigences du RN en matière d'”économies structurelles” risquent de faire tousser à Matignon dans la mesure où ces annonces — notamment celle sur l’électricité qui représentent un manque à gagner de 3,4 milliards d’euros — ont été faites pour répondre en partie aux “lignes rouges” du parti d’extrême droite. Ces lignes rouges comprennent aussi l’annulation de la désindexation partielle des retraites sur l’inflation — représentant trois milliards d’économies — au 1er janvier et du déremboursement des médicaments.”Au fond, on peut se poser une question quand celles et ceux qui avaient certaines lignes rouges en annoncent d’autres au fur et à mesure”, a commenté Antoine Armand samedi.”Nous avons encore quelques jours (…) de débat démocratique. Que ce débat se tienne avec, au centre du jeu, le fait de ramener la France à un déficit sous les 5%, bien loin des postures”, a encore appelé le ministre.”L’absence de budget, c’est du perdant, perdant, perdant”, a réagi de son côté le ministre des Comptes publics, Laurent Saint-Martin, dans un entretien au Parisien.”J’alerte sur la facture de la censure”, a-t-il poursuivi. “Si on reconduit le budget 2024, on fait rentrer mécaniquement 380.000 foyers français supplémentaires dans l’impôt sur le revenu parce que le barème n’aura pas suivi l’inflation et 17 millions de foyers paieront plus également”, a-t-il détaillé, précisant que l’Etat devrait en outre “faire une croix sur les nouvelles mesures fiscales: taxation des rachats d’actions, contribution des grandes entreprises, contribution sur les très hauts revenus”.

Defiant Adani says committed to compliance after US indictment

Indian billionaire Gautam Adani on Saturday said “attacks” on his company made it “stronger”, days after US prosecutors accused him and other officials of fraud.The November 20 bombshell indictment in New York accused the industrialist and multiple subordinates of deliberately misleading international investors as part of a multi-million-dollar bribery scheme. Addressing the allegations for the first time, the 62-year-old tycoon said his conglomerate was committed to “world-class regulatory compliance”. “What I can tell you is that every attack makes us stronger and every obstacle becomes a stepping stone for a more resilient Adani Group,” he said at an awards ceremony in the northern Indian city of Jaipur.  Adani is suspected of having participated in a $250 million scheme to bribe Indian officials for lucrative solar energy supply contracts.The billionaire, however, said nobody from his company had been charged with any violation of corruption laws or “any conspiracy to obstruct justice”. The US Justice Department said Adani, his nephew Sagar Adani, and one other official were charged “with conspiracies to commit securities and wire fraud and substantive securities fraud”. Five others were charged “with conspiracy to violate the Foreign Corrupt Practices Act,” the department said.On Thursday, Adani’s company said it had suffered a loss of nearly $55 billion in market capitalisation across its 11 listed companies since the US indictment was filed. With a business empire spanning coal, airports, cement and media, Adani Group has weathered previous corporate fraud allegations, suffering a similar stock rout last year.The conglomerate saw $150 billion wiped from its market value in 2023 after a report by short-seller Hindenburg Research accused it of “brazen” corporate fraud.Adani is a close ally of Hindu nationalist Prime Minister Narendra Modi and was at one point the world’s second-richest man, and critics have long accused him of improperly benefitting from their relationship.

Budget: le Sénat pose ses exigences, avant une semaine décisive pour le gouvernement

Pilier du “barniérisme”, le Sénat termine ce week-end l’examen du volet “recettes” du budget de l’État pour 2025, affichant une attitude constructive mais exigeante vis-à-vis du gouvernement, qui retient son souffle avant une semaine où il pourrait tomber.Dernières heures apaisées avant le couperet de la censure? Plus que jamais menacé d’être renversé après un premier 49.3 probablement activé lundi à l’Assemblée nationale, Michel Barnier continue d’éprouver son budget devant la chambre haute.Dominée par une alliance droite-centristes qui soutient le gouvernement, la Haute Assemblée doit voter dimanche sur l’ensemble de la partie “recettes” du budget, un scrutin sans suspense.Elle s’attaquera ensuite aux multiples missions budgétaires thématiques, promettant de nets coups de rabot dans la dépense, sur l’Aide médicale d’État (AME) en faveur des immigrés sans papiers, la formation des enseignants, le “Pass culture” ou le Service national universel…Après une semaine de débats scrutés comme rarement au Palais du Luxembourg, les sénateurs ont globalement approuvé l’essentiel des mesures phares du gouvernement, en quête de 60 milliards d’euros d’économies pour relever des finances publiques en berne et ramener le déficit à 5% du PIB en 2025, contre 6,1% en 2024.Taxe temporaire sur les très hauts revenus, contribution exceptionnelle des grandes entreprises, malus automobile renforcé, fiscalité augmentée sur les billets d’avion et les chaudières à gaz… Ces dispositifs ont passé sans encombre ou presque le filtre sénatorial.- Taxes et collectivités -Sur l’augmentation de la taxe sur l’électricité, censée rapporter plus de trois milliards d’euros, il a même devancé l’annonce de Michel Barnier en s’opposant à son relèvement au-delà du niveau d’avant la crise énergétique.Plusieurs impôts nouveaux ou renforcés sont néanmoins venu contrecarrer les plans du gouvernement, parfois issus d’alliances de circonstance entre la gauche et le centre. Exemples parmi d’autres: le relèvement de “l’exit tax”, de la “flat tax” et de la taxe sur les rachats d’actions. Et sans surprise, celle qu’on surnomme la chambre des territoires a adressé samedi plusieurs gestes en direction des collectivités locales, pour un total de plus d’un milliard d’euros. Elle s’est notamment opposé à l’unanimité à la réduction du Fonds de compensation pour la TVA (FCTVA), un système d’accompagnement des collectivités dans leurs dépenses d’investissement.Mais les débats feutrés et courtois du Sénat ne sauraient faire oublier au gouvernement son inquiétude majeure: celle de la censure.L’étau va sérieusement se resserrer dès lundi, avec le retour à l’Assemblée nationale du projet de budget de la Sécurité sociale pour 2025, un texte truffé d’irritants pour l’opposition (allègements de cotisations patronales, désindexation partielle des retraites, déremboursements de médicaments…).- Ultimatum du RN -L’utilisation probable d’un premier “49.3” par Michel Barnier ouvrira la voie à la première motion de censure de l’automne, qui pourrait, elle, être examinée mercredi.Si la gauche et le Rassemblement national unissent leurs voix, le gouvernement tombera. Ce serait la première fois depuis la chute du gouvernement de Georges Pompidou en 1962. Et la menace du RN est toujours vive. “Nous attendons de voir le projet de budget de la Sécurité sociale lundi pour en tirer les conséquences. Si le texte n’a pas évolué et que le gouvernement décide d’un 49.3, nous voterons la censure”, a lancé le député RN Jean-Philippe Tanguy dans Les Échos samedi. En effet, même si le budget de la Sécu a fait l’objet d’un accord entre députés et sénateurs en commission mixte paritaire mercredi, le gouvernement peut encore modifier son texte jusqu’au dernier moment pour satisfaire aux exigences des oppositions.A ce stade, les concessions du Premier ministre — abandon de la hausse de la taxe sur l’électricité au-delà de son niveau d’avant-crise, promesse de réforme de l’AME… — ne suffisent pas à Marine Le Pen.Celle-ci a fixé un ultimatum à Michel Barnier, l’appelant à indexer les retraites sur l’intégralité de l’inflation dès le 1er janvier et à s’engager sur un maintien du taux de remboursement des médicaments.Plus que jamais mis sous pression, le ministre de l’Économie Antoine Armand a appelé samedi “chacun à ses responsabilités” pour doter la France d’un budget “dans l’intérêt général”, au lendemain du maintien de la note de la France par l’agence S&P.

South Africa beat Sri Lanka by 233 runs in first TestSat, 30 Nov 2024 11:53:58 GMT

South Africa had to overcome determined resistance from Sri Lanka’s batsmen before winning the first Test by 233 runs at Kingsmead on Saturday.Set a massive 516 runs to win, Sri Lanka were bowled out for 282.Left-arm fast bowler Marco Jansen, the destroyer in Sri Lanka’s record-low first innings of 42, took four for 73 to …

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Le gouvernement ne semble pas “bouger”, le RN reste prêt à la censure, affirme Tanguy

Le Rassemblement national maintient sa menace de voter la censure la semaine prochaine sur le budget de la Sécurité sociale car “le gouvernement ne semble pas vouloir bouger”, a affirmé samedi aux Echos le député Jean-Philippe Tanguy, spécialiste des questions économiques du RN.”Nous attendons de voir le projet de budget de la Sécurité sociale lundi pour en tirer les conséquences. Si le texte n’a pas évolué et que le gouvernement décide d’un 49.3, nous voterons la censure”, déclare-t-il.La leader du RN Marine Le Pen a donné “jusqu’à lundi” au Premier ministre Michel Barnier pour tenir compte des “lignes rouges” de son parti sur ce budget de la Sécurité sociale, l’un des trois textes susceptibles d’entraîner la chute du gouvernement, avec le budget de l’Etat 2025 et le projet de loi de fin de gestion 2024.Le RN juge insuffisante la concession faite jeudi par Michel Barnier qui avait renoncé à augmenter les taxes sur l’électricité.Le budget de la Sécurité sociale doit revenir lundi devant l’Assemblée nationale pour adoption. Sans majorité, Michel Barnier pourrait actionner l’article 49.3 de la Constitution qui permet une approbation sans vote, mais expose le gouvernement à une motion de censure. Et si le RN votait une motion de censure de la gauche, le gouvernement tomberait.”Nos lignes rouges sont les mêmes depuis le début de la discussion budgétaire et nous ne reculerons sur aucune de nos demandes. Hors de question de transiger sur la revalorisation de toutes les retraites au 1er janvier”, a notamment déclaré Jean-Philippe Tanguy aux Echos.”C’est un casus belli. C’est un enjeu de justice sociale et un enjeu économique pour lutter contre la surépargne et relancer la consommation”, a-t-il ajouté.Pour faire des économies, le gouvernement voulait à l’origine repousser de six mois, au 1er juillet, l’indexation des retraites sur l’inflation. Mais il avait ensuite accepté que toutes les pensions soient revalorisées de la moitié de l’inflation le 1er janvier 2025, avec un second rattrapage pour les plus petites retraites six mois plus tard.

Greenpeace activists board tanker in plastic protest

Greenpeace activists boarded a tanker off South Korea on Saturday in an action intended to draw attention to calls for a treaty to curb plastic pollution, the environmental group said.Nearly 200 countries are in Busan to negotiate the deal, but there is little sign of agreement with just a day left before talks are due to end.Greenpeace said the tanker Buena Alba, anchored off the Hanwha TotalEnergies complex, was scheduled to pick up propylene, which is used to manufacture plastic.”The activists boarded the vessel peacefully and met no reaction from the vessel crew,” said Greenpeace spokeswoman Angelica Pago.”We painted ‘PLASTIC KILLS’ on the side of the vessel and the climbers successfully set up a camp,” she told AFP.”They intend to stay in order to continue putting pressure on the negotiators to resist fossil fuel and petrochemical industry interference in the talks and to deliver a treaty that firmly cuts plastic production.”A spokesman for South Korea’s coast guard said police had been “deployed on the ship, and we are making warning announcements to facilitate a safe disembarkation”.He said a “thorough investigation” would be carried out to determine if there were any “illegal elements” to the protest.Attempts to reach an agreement on curbing plastic pollution have stalled over several key sticking points, including whether to cut new plastic production.Dozens of countries, backed by environmental groups, insist a treaty without production cuts will fail to solve the problem, but a group of largely oil-producing states is fiercely opposed.”The brave activists that boarded that vessel today show the courage and should inspire governments here to hold the line and do what everyone knows is obvious,” Greenpeace delegation head Graham Forbes told reporters in Busan.The negotiations have reached a “pivotal moment”, he said, but “a handful of governments… are looking backwards and refusing to take the steps necessary for us all to advance”.”I think we are at a very risky moment right now of being sold out, and that would be an absolute catastrophe,” Forbes said.Local police and Wooil Shipping, the Korean company that manages the vessel, told AFP later on Saturday that the ship was Japanese-owned.”It is private property, but activists are occupying it without permission,” a Wooil Shipping spokesman said. “As a result, we haven’t been able to load any cargo all day.”A spokesman from Hanwha TotalEnergies Petrochemical, contacted by AFP, was not able to comment directly on the incident.