Victims win reparations over abduction by colonial-era BelgiumMon, 02 Dec 2024 16:39:36 GMT

The Belgian state was ordered Monday to pay reparations to five mixed-race women who were forcibly placed in an orphanage 70 years ago under a colonial-era practice that judges said constituted a crime against humanity.Reversing an earlier ruling that found too much time had passed since the alleged wrongdoing, the Brussels appeals court said the women, …

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Barnier actionne le 49.3, mais devrait tomber cette semaine

Le Premier ministre Michel Barnier a engagé lundi la responsabilité du gouvernement sur le projet de loi de financement de la Sécurité sociale, un premier 49.3 qui devrait le conduire à chuter dès cette semaine, le Rassemblement national ayant annoncé qu’il voterait la censure du gouvernement à l’unisson de la gauche.L’adoption d’une motion de censure serait une première depuis la chute du gouvernement de Georges Pompidou en 1962. Le gouvernement Barnier deviendrait alors le plus court de l’histoire de la Ve République.”Nous sommes parvenus désormais à un moment de vérité qui met chacun devant ses responsabilités. C’est maintenant à vous (…) de décider si notre pays se dote de textes financiers responsables, indispensables et utiles à nos concitoyens. Ou alors si nous entrons en territoire inconnu”, a déclaré le Premier ministre devant l’Assemblée nationale, appelant à privilégier “l’avenir de la nation” par rapport aux “intérêts particuliers”.La présidente du groupe LFI Mathilde Panot a aussitôt annoncé devant la presse le dépôt d’une motion de censure, qui pourra être examinée au plus tôt mercredi. “Il aura mercredi à la fois le déshonneur et la censure”, a-t-elle fustigé, pointant les concessions du gouvernement au Rassemblement national.Et le groupe RN a fait savoir sur X qu’il la voterait.”M. Barnier n’a pas souhaité répondre à la demande des 11 millions d’électeurs du Rassemblement national”, “il a dit que chacun assume ses responsabilités, nous assumerons donc les nôtres”, a déclaré la cheffe de ce groupe, Marine Le Pen, à la presse.Le gouvernement a multiplié au cours de la dernière semaine les concessions au parti d’extrême droite, que ce soit sur les taxes sur l’électricité, ou sur l’Aide médicale d’Etat.Dans la matinée, Michel Barnier s’était entretenu au téléphone avec Marine Le Pen, puis avait annoncé dans un communiqué un nouveau geste dans sa direction, en s’engageant “à ce qu’il n’y ait pas de déremboursement des médicaments” en 2025, alors que le gouvernement avait prévu de baisser de 5% le taux de remboursement. Mais pour Mme Le Pen, le compte n’y était toujours pas. En arrivant à l’Assemblée dans l’après-midi, juste avant une séance cruciale, elle a réaffirmé qu’elle demandait au chef du gouvernement de renoncer à la désindexation partielle des retraites s’il voulait échapper à la censure.- “Tentation du pire” -Le Premier ministre a fermé la porte à de nouvelles concessions dans son discours: “J’ai été au bout du dialogue avec l’ensemble des groupes politiques”, a-t-il dit à l’Assemblée, en précisant qu’il ne reprendrait que des amendements rédactionnels dans la copie finale du gouvernement.Les députés étaient appelés à voter sur le texte issu la semaine dernière des travaux de la commission mixte paritaire, qui prévoit désormais 18,3 milliards d’euros de déficit en 2025, soit 2,3 milliards de plus que l’objectif de 16 milliards fixé au début de l’automne.”Nous nous étions engagés à protéger ce compromis (de la CMP). C’est ce qu’il vient de faire”, a défendu salle des Quatre Colonnes la ministre des Relations avec le Parlement, Nathalie Delattre.Si le gouvernement Barnier tombait, la France s’enfoncerait encore plus dans la crise politique créée par la dissolution de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron en juin, avec en outre le risque d’une crise financière liée la capacité de la France à emprunter sur les marchés à de faibles taux. “Sans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale que nous examinons aujourd’hui, le déficit des comptes sociaux atteindrait près de 30 milliards d’euros l’an prochain”, a mis en garde dans l’hémicycle le ministre du Budget Laurent Saint-Martin.Le président du groupe macroniste à l’Assemblée Gabriel Attal avait auparavant appelé les oppositions “à ne pas céder à la tentation du pire et donc à ne pas voter la censure du gouvernement”, en vain.”Si la censure est votée cette semaine, les Français devront se souvenir de cette alliance qui l’a rendue possible. Cette alliance de toute la gauche, y compris d’un Parti socialiste pour qui l’intérêt général n’est plus qu’un lointain souvenir, avec le RN”, a prévenu l’ex-Premier ministre.

Budget de la Sécurité sociale: Barnier engage par le 49.3 la responsabilité du gouvernement

Michel Barnier a engagé lundi la responsabilité du gouvernement sur le projet de loi de financement de la Sécurité sociale par l’article 49.3 de la Constitution, qui permet une adoption du texte sans vote mais expose le gouvernement à une motion de censure.”Nous sommes parvenus désormais à un moment de vérité qui met chacun devant ses responsabilités. C’est maintenant à vous, députés, parlementaires de la Nation, de décider si notre pays se dote de textes financiers responsables, indispensables et utiles à nos concitoyens. Ou alors si nous entrons en territoire inconnu”, a déclaré le Premier ministre devant l’Assemblée nationale.Les députés de La France insoumise ont alors quitté le l’hémicycle. Puis ils ont annoncé déposer une motion de censure contre le gouvernement. Le groupe Rassemblement national a lui annoncé sur le réseau X qu’il “votera la censure” du gouvernement Barnier.L’ensemble des voix de la gauche et du RN peut conduire à la chute du gouvernement de Michel Barnier.”Les Français ne nous pardonneraient pas de préférer les intérêts particuliers à l’avenir de la nation”, a argumenté le Premier ministre, assurant avoir été “au bout du dialogue” avec les groupes politiques, y compris le RN. C’est la première fois que M. Barnier active le 49.3.Quelques heures auparavant, le gouvernement s’était “engagé à ce qu’il n’y ait pas de déremboursement des médicaments” en 2025, accédant à une nouvelle demande du Rassemblement national, après un abandon de la hausse de la taxation de l’électricité, selon un communiqué de Michel Barnier transmis lundi à l’AFP.Après quoi Marine Le Pen avait indiqué avoir “déposé un amendement sur le renoncement à la désindexation des retraites” dans le texte. “A charge pour le gouvernement de l’accepter ou de ne pas l’accepter”, avait affirmé la cheffe des députés d’extrême droite à l’issue d’une réunion de ses troupes, peu avant le début de l’examen du texte par l’Assemblée nationale.

Paris stocks waver, euro falls on France budget standoff

Paris stocks wavered and the euro fell Monday as a budget standoff in France fuelled concern about the eurozone’s second-biggest economy.Positive data from China helped boost equity markets elsewhere, with Germany’s DAX index hitting a record above 19,700 points. Oil prices jumped more than one percent on hopes of higher Chinese demand.The euro sat near 14-month lows as opposition to France’s belt-tightening draft budget threatens to topple the government.Prime Minister Michel Barnier faces the risk of being deposed by a hostile National Assembly as his government presents a social security financing plan Monday that has the opposition up in arms.Lacking a majority, Barnier used executive powers to force through the legislation without a vote. The move exposes him to a possible no-confidence vote within days, with the left wing and the far-right National Rally of Marine Le Pen willing to back that motion bringing down the government.Le Pen “has the power to destroy Barnier and his mission to get France on a sustainable fiscal track”, said Kathleen Brooks, research director at traders XTB. Paris stocks, which spent much of the day lower, edged higher in afternoon trading.Paris was also weighed down by Stellantis, the multi-brand auto giant, whose shares slid more than seven percent after chief executive Carlos Tavares abruptly resigned.Wall Street stocks opened higher after the Dow and S&P 500 both ended at record highs in a holiday-shortened session Friday. Shares in Intel rose 3.6 percent after the chipmaker, which has struggled to tap into the growth of artificial intelligence that has fuelled the rise of rival Nvidia, after it announced that chief executive Pat Gelsinger has retired.Asian traders began the month on the front foot after a rollercoaster ride since Donald Trump’s re-election warning that he would hit China, Canada and Mexico with hefty tariffs on his first day in office as US president.Hong Kong and Shanghai were among the best performers after data showed that Chinese manufacturing activity expanded at a faster clip than expected in November.The purchasing managers index figures provided some hope that the world’s number-two economy was turning a corner after a long-running slowdown, with analysts pointing to a raft of support measures unveiled at the end of September.”The big unknown is whether the stimulus efforts will have a long-lasting effect or just a short-term boost,” said Dan Coatsworth, investment analyst at AJ Bell. Tokyo rose and the yen held recent gains at around 150 per dollar on increasing bets of another Bank of Japan interest-rate increase after last week’s forecast-topping Tokyo inflation report.BoJ Governor Kazuo Ueda said in an interview with the Nikkei published Sunday that increases were “nearing in the sense that economic data are on track”.- Key figures around 1430 GMT -New York – Dow: UP 0.2 percent at 44,986.75 pointsNew York – S&P 500: UP 0.2 percent at 6,045.45New York – Nasdaq Composite: UP 0.4 percent at 19,297.07 London – FTSE 100: UP 0.4 at 8,317.99 Paris – CAC 40: UP 0.2 percent at 7,250.22 Frankfurt – DAX: UP 1.3 percent at 19,886.87Tokyo – Nikkei 225: UP 0.8 percent at 38,513.02 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.7 percent at 19,550.29 (close)Shanghai – Composite: UP 1.1 percent at 3,363.98 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.0494 from $1.0580Pound/dollar: DOWN at $1.2699 from $1.2739Dollar/yen: UP at 150.09 yen from 149.60 yen on FridayEuro/pound: DOWN at 82.83 from 83.04 penceBrent North Sea Crude: UP 1.1 percent at $72.60 per barrelWest Texas Intermediate: UP 1.2 percent at $68.83 per barrelburs-rl/lth

Gouvernement: 49.3 imminent, le RN tout proche de la censure malgré les gestes de Barnier

Le Premier ministre Michel Barnier s’apprête à déclencher lundi l’article 49.3 sur le budget de la Sécurité sociale, au risque d’une motion de censure qui pourrait le faire tomber, à moins d’une dernière concession au Rassemblement national sur la revalorisation des retraites.Le chef du gouvernement, qui a réuni ses troupes, les chefs de groupes du “socle commun” (LR, Horizons, MoDem et macronistes) en début d’après-midi à Matignon, leur a annoncé qu’il engagerait bien la responsabilité de son équipe sur ce projet, ouvrant la voie à la motion de censure annoncée par les oppositions.La séance décisive à l’Assemblée a commencé à 15H00. Dans la matinée, Michel Barnier s’était entretenu au téléphone avec la cheffe des députés RN Marine Le Pen, puis avait annoncé dans un communiqué un nouveau (et dernier ?) geste en direction du RN, en s’engageant “à ce qu’il n’y ait pas de déremboursement des médicaments” en 2025, alors que le gouvernement avait prévu de baisser de 5% le taux de remboursement. Cette mesure faisait partie des concessions exigées par le RN. Mais pour Mme Le Pen, le compte n’y est pas: en arrivant à l’Assemblée dans l’après-midi, juste avant une séance cruciale, elle a réaffirmé qu’elle demandait au chef du gouvernement de renoncer à la désindexation des retraites s’il voulait échapper à la censure.”On attend de voir la position du gouvernement” sur ce point: “s’ils ne bougent pas, on censure”, a indiqué à l’AFP une source au RN.Dans la matinée, plusieurs cadres du RN avaient déjà laissé entendre que le parti penchait clairement pour la censure. Pour le président du RN Jordan Bardella, il faudrait “un miracle de dernière minute” pour que le gouvernement ne soit censuré. L’adoption d’une motion de censure serait une première depuis la chute du gouvernement de Georges Pompidou en 1962. Le gouvernement Barnier deviendrait alors le plus court de l’histoire de la Ve République.La France s’enfoncerait encore plus dans la crise politique créée par la dissolution de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron en juin, avec en outre le risque d’une crise financière liée la capacité de la France à emprunter sur les marchés à de faibles taux. “Nous appelons solennellement les oppositions à ne pas céder à la tentation du pire et donc à ne pas voter la censure du gouvernement”, a dit sur X lundi le président du groupe macroniste à l’Assemblée Gabriel Attal. “La France a besoin de stabilité”, a-t-il martelé en arrivant à l’Assemblée nationale.”Si la censure est votée cette semaine, les Français devront se souvenir de cette alliance qui l’a rendue possible. Cette alliance de toute la gauche, y compris d’un Parti socialiste pour qui l’intérêt général n’est plus qu’un lointain souvenir, avec le RN”, a prévenu l’ex-Premier ministre.- Concessions au RN -Mais pendant le week-end, le ministre des Comptes publics Laurent Saint-Martin, qui veut ramener le déficit autour de 5% du PIB en 2025 contre 6,1% en 2024, a soutenu le texte tel que validé par la commission mixte paritaire ayant réuni une quinzaine de sénateurs et députés.”Revenir” dessus, “serait s’asseoir sur le Parlement”, a-t-il expliqué.Un casus belli pour le RN.”Le gouvernement a exprimé son souhait de ne pas modifier le PLFSS, c’est extrêmement clair et nous avons pris acte de cela”, avait réagi dimanche Marine Le Pen.Marine Le Pen se voit en “empereur romain, qui va décider à la dernière minute s’il décide ou pas d’épargner le gladiateur”, a résumé le député macroniste Roland Lescure. Mais “Marine Le Pen n’est pas Jules César, c’est plutôt Machiavel au petit pied qui joue avec l’argent des Français”, a-t-il jugé.L’exécutif a la possibilité d’amender le texte qui sera soumis au vote jusqu’au dernier moment.La gauche, de son côté, semble spectatrice de grand marchandage. “La honte. Je n’oublierai jamais ce jour où un Premier ministre de la France, pour sauver sa peau, s’est senti obligé de passer la brosse à reluire à Marine Le Pen”, a commenté l’écologiste Marine Tondelier.Le groupe socialiste a cependant  l’intention de déposer une motion de rejet préalable au PLFSS. Si celle-ci était adoptée, le texte reprendrait sa navette entre l’Assemblée et le Sénat.Même s’il sortait indemne de cette première étape et échappait à la censure cette semaine, le Premier ministre LR doit encore faire adopter le projet de loi de fin de gestion de l’année en cours, moins emblématique, et le budget de l’Etat, actuellement en discussion. Au-dessus de l’examen de chacun d’entre eux plane un risque de censure.leo-far-lum-gbh-ab/hr/ybl

Le RN promet la censure, Barnier tente de sauver son gouvernement par un nouveau geste

En dépit de nouvelles concessions sur les médicaments, le gouvernement Barnier ne tient plus qu’à un fil après l’annonce lundi par le Rassemblement national de son intention de voter la motion de censure que la gauche pourrait déposer dès lundi après-midi sur le budget de la Sécurité sociale en cas de recours au 49.3.Moins de deux heures avant la lecture définitive du budget de la Sécurité sociale à partir de 15H00 à l’Assemblée, Michel Barnier a annoncé un nouveau (et dernier ?) geste au RN en s’engageant “à ce qu’il n’y ait pas de déremboursement des médicaments” en 2025, alors que le gouvernement avait prévu de baisser de 5% le taux de remboursement. Une annonce faite après un entretien téléphonique avec Marine Le Pen, selon le Premier ministre qui recevait parallèlement ses troupes, les chefs de groupes du “socle commun” (LR, Horizons, MoDem et macronistes) en début d’après-midi à Matignon. Après avoir obtenu que le gouvernement abandonne la hausse des taxes sur l’électricité et réduise l’aide médicale d’État (AME) pour les sans-papiers, cette mesure faisait partie des concessions exigées par le RN, à côté notamment de la revalorisation des pensions de retraite.Cela suffira-t-il à faire fléchir le RN ? Marine Le Pen réunissait ses députés à partir de 14H00 mais les expressions matinales ne laissaient pas augurer d’un changement de pied du parti d’extrême droite.Pour le président du RN Jordan Bardella, il faudrait “un miracle de dernière minute” pour que le gouvernement ne soit censuré. Et pour le vice-président du parti, Sébastien Chenu, ce miracle ne peut être une mesure isolée sur les retraites ou les médicaments qui serait “du bricolage” alors que le RN “demande une vision d’ensemble”.Faute de majorité, le gouvernement pourrait annoncer cet après-midi qu’il utilise l’article 49.3 de la Constitution pour le faire adopter sans vote son projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS), ce qui l’exposerait en retour au dépôt d’une motion de censure.L’adoption d’une motion de censure serait une première depuis la chute du gouvernement de Georges Pompidou en 1962. Le gouvernement Barnier deviendrait alors le plus court de l’histoire de la Ve République.La France s’enfoncerait encore plus dans la crise politique créée par la dissolution de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron en juin, avec en outre le risque d’une crise financière liée la capacité de la France à emprunter sur les marchés à de faibles taux. “Nous appelons solennellement les oppositions à ne pas céder à la tentation du pire et donc à ne pas voter la censure du gouvernement”, a dit sur X lundi le président du groupe macroniste à l’Assemblée Gabriel Attal.”Si la censure est votée cette semaine, les Français devront se souvenir de cette alliance qui l’a rendue possible. Cette alliance de toute la gauche, y compris d’un Parti socialiste pour qui l’intérêt général n’est plus qu’un lointain souvenir, avec le RN”, a prévenu l’ex-Premier ministre.- Concessions au RN -Mais pendant le week-end, le ministre des Comptes publics Laurent Saint-Martin, qui veut ramener le déficit autour de 5% du PIB en 2025 contre 6,1% en 2024, a soutenu le texte tel que validé par la commission mixte paritaire ayant réuni une quinzaine de sénateurs et députés.”Revenir” dessus, “serait s’asseoir sur le Parlement”, a-t-il expliqué.Un casus belli pour le RN.”Le gouvernement a exprimé son souhait de ne pas modifier le PLFSS, c’est extrêmement clair et nous avons pris acte de cela”, avait réagi dimanche Marine Le Pen.Marine Le Pen se voit en “empereur romain, qui va décider à la dernière minute s’il décide ou pas d’épargner le gladiateur”, a résumé le député macroniste Roland Lescure. Mais “Marine Le Pen n’est pas Jules César, c’est plutôt Machiavel au petit pied qui joue avec l’argent des Français”, a-t-il jugé.L’exécutif a la possibilité d’amender le texte qui sera soumis au vote jusqu’au dernier moment.La gauche, de son côté, semble spectatrice de grand marchandage. “La honte. Je n’oublierai jamais ce jour où un Premier ministre de la France, pour sauver sa peau, s’est senti obligé de passer la brosse à reluire à Marine Le Pen”, a commenté l’écologiste Marine Tondelier.- Autres scénarios -Le groupe socialiste a l’intention de déposer une motion de rejet préalable au PLFSS. Si celle-ci était adoptée, le texte reprendrait sa navette entre l’Assemblée et le Sénat.Mais le gouvernement a encore la possibilité de ne pas recourir au 49.3. Le texte serait alors simplement rejeté par les oppositions et repartirait pour un nouveau parcours parlementaire. “Michel Barnier gagnera quinze jours en réalité. Mais tout ça se terminera inévitablement par un 49.3”, a prédit lundi Sébastien Chenu.Même s’il sortait indemne de cette première étape, le Premier ministre LR doit encore faire adopter le projet de loi de fin de gestion de l’année en cours, moins emblématique, et le budget de l’Etat, actuellement en discussion. Au-dessus de l’examen de chacun d’entre eux plane un risque de censure.

Belgium loses case against women taken from mothers in colonial eraMon, 02 Dec 2024 12:56:26 GMT

The Belgian state was ordered Monday to pay reparations to five mixed-race women who were forcibly placed in an orphanage 70 years ago under a colonial-era practice that judges said constituted a crime against humanity.Reversing an earlier ruling that found too much time had passed since the alleged wrongdoing, the Brussels appeals court said the women, …

Belgium loses case against women taken from mothers in colonial eraMon, 02 Dec 2024 12:56:26 GMT Read More »

Paris stocks, euro fall on France budget standoff

Paris stocks and the euro fell Monday as a budget standoff in France fuelled concern about the eurozone’s second-biggest economy.Positive data from China helped boost equity markets elsewhere, with Germany’s DAX index hitting a record above 19,700 points. Oil prices jumped on hopes of higher Chinese demand.That followed a strong lead from Asian markets and the United States, where the Dow and S&P 500 both ended at record highs in a holiday-shortened session Friday. The euro sat near 14-month lows as opposition to France’s belt-tightening draft budget threatens to topple the government.Prime Minister Michel Barnier faces the risk of being deposed by a hostile National Assembly as his government presents a social security financing plan Monday that has the opposition up in arms.Lacking a majority, Barnier could use executive powers to force through the legislation. Such a move would likely expose him to a no-confidence vote within days, with the left wing and the far-right National Rally of Marine Le Pen willing to back that motion bringing down the government.Le Pen “has the power to destroy Barnier and his mission to get France on a sustainable fiscal track”, said Kathleen Brooks, research director at traders XTB. Paris was weighed down also by Stellantis, the multi-brand auto giant, whose shares slid more than seven percent after chief executive Carlos Tavares abruptly resigned.Asian traders began the month on the front foot after a rollercoaster ride since Donald Trump’s re-election warning that he would hit China, Canada and Mexico with hefty tariffs on his first day in office as US president.Hong Kong and Shanghai were among the best performers after data showed that Chinese manufacturing activity expanded at a faster clip than expected in November.The purchasing managers index figures provided some hope that the world’s number-two economy was turning a corner after a long-running slowdown, with analysts pointing to a raft of support measures unveiled at the end of September.”The big unknown is whether the stimulus efforts will have a long-lasting effect or just a short-term boost,” said Dan Coatsworth, investment analyst at AJ Bell. Tokyo rose and the yen held recent gains at around 150 per dollar on increasing bets of another Bank of Japan interest-rate increase after last week’s forecast-topping Tokyo inflation report.BoJ Governor Kazuo Ueda said in an interview with the Nikkei published Sunday that increases were “nearing in the sense that economic data are on track”.- Key figures around 1050 GMT -London – FTSE 100: FLAT at 8,286.86 pointsParis – CAC 40: DOWN 0.5 percent at 7,199.79 Frankfurt – DAX: UP 0.4 percent at 19,711.63Tokyo – Nikkei 225: UP 0.8 percent at 38,513.02 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.7 percent at 19,550.29 (close)Shanghai – Composite: UP 1.1 percent at 3,363.98 (close)New York – Dow: UP 0.4 percent at 44,910.65 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.0517 from $1.0580Pound/dollar: DOWN at $1.2706 from $1.2739Dollar/yen: UP at 150.30 yen from 149.60 yen on FridayEuro/pound: DOWN at 82.80 from 83.04 penceBrent North Sea Crude: UP 0.9 percent at $72.50 per barrelWest Texas Intermediate: UP 0.9 percent at $68.61 per barrel