Paris says Algeria ‘seeking to humiliate France’Fri, 10 Jan 2025 15:10:25 GMT

Algeria is trying to humiliate France, France’s interior minister said on Friday, after several Algerian influencers were arrested for inciting violence in a growing crisis between Paris and its former colony.Four influencers supportive of Algerian authorities have been arrested in recent days over videos that are suspected of calling for violent acts in France.Algeria meanwhile …

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Quand Emmanuel Macron déplore “l’ingratitude” à son égard

“Extrêmement blessé”, voire “meurtri”. Emmanuel Macron laisse filtrer en ce début d’année son sentiment d’être l’objet d’une certaine “ingratitude”, alors même qu’il semble déterminé à se faire entendre à nouveau après six mois en sourdine.Cet état d’esprit chagrin, c’est son épouse qui l’a dépeint cette semaine, interviewée à l’occasion du lancement annuel de l’opération “Pièces jaunes” pour les enfants et adolescents hospitalisés.”Parfois, ce qu’il entend, ça le meurtrit”, a dit Brigitte Macron sur TF1. “Je le sens extrêmement blessé”, a-t-elle renchéri sur RTL.En cause, la “violence” des critiques, nombreuses, contre son action, notamment sur les réseaux sociaux. “Comment peut-on assassiner verbalement des gens comme ça?”, a-t-elle lancé.Or, pour la Première dame, “s’il y a une chose qu’Emmanuel mérite, c’est le respect”, car “il travaille tout le temps” et “il met toute son intelligence, tout son cÅ“ur au service des Français”.Dans son discours devant les ambassadeurs de France lundi, Emmanuel Macron a lui-même déploré d’être parfois maltraité.”On a oublié de nous dire merci”: la phrase, qui a fait polémique, visait les pays sahéliens où la France est intervenue militairement “contre le terrorisme”. Mais le chef de l’État a ajouté une pique contre “l’ingratitude” par trop répandue à son goût, avant de compléter: “je suis bien placé pour le savoir”.”C’est de lui dont il parlait”, “c’est lui qu’il fallait remercier”, a raillé vendredi sur BFMTV le député du Rassemblement national Jean-Philippe Tanguy.”Moi, ce qui m’a meurtri”, a-t-il ajouté, c’est que Brigitte Macron “utilise l’opération des Pièces jaunes” pour “venir pleurnicher sur le sort d’Emmanuel Macron” qui “a multiplié les outrances contre les Français”.Selon plusieurs de ses interlocuteurs, le président a été affecté par une série d’articles du journal Le Monde publiés avant Noël et lui attribuant, ainsi qu’à son entourage, des propos controversés, aussitôt qualifiés de racistes, sexistes ou homophobes par ses opposants. L’Élysée a démenti en bloc.Selon un de ses proches, le locataire de l’Élysée a aussi été “sonné” par la “méchanceté” de François Bayrou, qui l’a menacé de rupture s’il ne le nommait pas à Matignon. Et qui a fini par obtenir le poste.- Impopularité record -Et puis, il y a la dissolution de l’Assemblée nationale, qui lui vaut des critiques jusque dans son camp.Sa popularité est au plus bas. Selon le dernier baromètre Elabe pour Les Échos, seuls 18% des Français interrogés lui font confiance “pour affronter efficacement les problèmes qui se posent au pays”, le plus mauvais chiffre depuis son accession au pouvoir.”C’est surprenant de le voir baisser alors qu’il n’est plus totalement aux commandes”, dit à l’AFP Bernard Sananès, président de l’institut de sondages. “Mais plus l’instabilité politique persiste, plus le reproche de la dissolution lui est fait”.Après avoir longtemps défendu sa décision de dissoudre, Emmanuel Macron a fini par faire son mea culpa lors de ses vÅ“ux aux Français pour 2025.Avec une nuance: “pour le moment”, “à cette heure”, la dissolution a eu plus d’effets négatifs que de bénéfices, a-t-il expliqué.Les stratèges élyséens expliquent à qui veut l’entendre que le bilan devra se faire dans dix ans. Ils assurent qu’ils sont “en train de réécrire la politique des dix, quinze prochaines années”, rapporte une députée macroniste.Brigitte Macron ne dit pas autre chose lorsqu’elle glisse que “c’est l’Histoire qui donnera en fin de compte le sens de cette dissolution, s’il fallait la faire ou ne pas la faire”.Paradoxalement, ces états d’âme présidentiels filtrent à un moment où Emmanuel Macron semble vouloir revenir, autant que possible, en première ligne, après avoir été contraint à une posture plus en retrait par la défaite de son camp aux législatives anticipées.”Il a un état d’esprit combatif mais avec des leviers qui ne sont plus les mêmes”, en se concentrant sur l’Europe et l’international, dit un de ses ministres.Dans ses vÅ“ux, il a même fait des incursions sur la politique intérieure, faisant mine de fixer sa ligne économique au gouvernement ou laissant miroiter un ou des référendums en 2025.Les appels à la démission “lui donnent plus envie de tenir qu’autre chose”, sourit un ex-ministre.

Grande pompe et militaires pour la troisième investiture de Maduro

Le président vénézuélien sortant Nicolas Maduro, fort du soutien de l’armée et d’une administration aux ordres, doit prêter serment vendredi pour un troisième mandat de six ans malgré les accusations de l’opposition de fraudes électorales, un isolement sur la scène internationale et une situation économique épineuse.La zone autour de l’Assemblée nationale où doit avoir lieu la cérémonie à midi (16h00 GMT) est quadrillée par les forces de l’ordre, massivement déployées. Les autorités ont aussi installé plusieurs podiums et tentes qui doivent servir à faire la fête après l’investiture.Signe d’une certaine fébrilité du pouvoir, ce dernier a fait fermer vendredi à l’aube la frontière avec la Colombie, invoquant un “complot international visant à troubler la paix des Vénézuéliens”.Cette annonce intervient au lendemain de manifestations de l’opposition qui conteste la victoire du chef de l’Etat socialiste de 62 ans à l’élection du 28 juillet, dont la proclamation a été suivie de troubles meurtriers et de milliers d’arrestations.Le candidat de l’opposition Edmundo Gonzalez Urrutia assure avoir remporté ce scrutin et a répété jeudi, en République dominicaine, à une heure d’avion de Caracas, qu’il était le “président élu”. Sans faire plier celui qui a succédé en 2013 à Hugo Chavez et dirige depuis le Venezuela d’une main de fer.”El 10, juro con Maduro por el futuro” (le 10, je prête serment avec Maduro pour l’avenir) : le slogan en rimes faciles à retenir a été placardé sur de nombreux murs pendant des semaines. Jeudi, le pouvoir a enfoncé le clou, avec une marche de soutien au président sortant qui a traversé une partie de la capitale.- “Enlèvement” ? -La manifestation de l’opposition a réuni des milliers de personnes qui criaient “nous n’avons pas peur !” ou tenant des pancartes sur lesquelles on pouvait lire “la liberté ne se mendie pas, elle se conquiert”.Elle a donné lieu à une certaine confusion en fin de journée quand l’opposition a annoncé la “violente” arrestation de sa cheffe Maria Corina Machado. Quelques dizaines de minutes plus tard, l’équipe de l’opposante annonçait sa libération : “En quittant le rassemblement, Maria Corina Machado (…) a été emmenée de force. Pendant son enlèvement, elle a été forcée d’enregistrer plusieurs vidéos et a été relâchée par la suite”.Le pouvoir a démenti cette version des faits, le procureur général Tarek William Saab dénonçant “une opération psychologique en vue de déclencher la violence au Venezuela”.La cheffe de l’opposition vivait dans la clandestinité depuis la présidentielle à laquelle elle n’avait pas pu se présenter parce que déclarée inéligible. Elle a soutenu la candidature de M. Gonzalez Urrutia, qui s’est quant à lui exilé en septembre.Le Conseil national électoral (CNE) a proclamé M. Maduro vainqueur avec 52% des voix mais sans publier les procès-verbaux, se disant victime d’un piratage informatique, une hypothèse jugée peu crédible par de nombreux observateurs.L’annonce du CNE avait provoqué dans tout le Venezuela des manifestations, durement réprimées. Bilan des troubles post-électoraux : 28 morts, plus de 200 blessés et 2.400 personnes arrêtées pour “terrorisme”.Une vague d’arrestations a également eu lieu dans les jours qui ont précédé l’investiture du chef de l’Etat.- L’armée, pilier du pouvoir -Comme pendant les manifestations de 2014, 2017 et 2019, qui ont fait plus de 200 morts, M. Maduro a pu compter sur le soutien de l’armée, un pilier de son pouvoir, ainsi que sur une justice aux ordres.Il avait même activé un plan national sécuritaire comprenant toutes les forces de sécurité (armée, police, milices, paramilitaires, etc.) après avoir dit être la cible de nouveaux complots.”Le secteur militaire est encore plus crucial qu’il ne l’était avant l’élection (…). Sans le contrôle des institutions militaires, le gouvernement se retrouverait avec un pouvoir extrêmement précaire”, explique Mariano de Alba, un analyste spécialiste des relations internationales travaillant à Londres.Le président socialiste, qui a promis au cours de sa campagne électorale une amélioration de la situation économique, devra trouver des solutions pour renouer avec la croissance, le Venezuela ayant enregistré une contraction de son PIB de 80% entre 2013 et 2023.Isolé sur le plan international, il lui sera difficile de faire lever les sanctions qu’il devra donc tenter de contourner afin que son pays puisse exploiter ses immenses réserves pétrolières sans avoir à les brader en raison de l’embargo.Réagissant à la brève interpellation de Mme Machado, la Première ministre italienne, Giorgia Meloni, a déploré jeudi “un nouvel acte inacceptable de répression”, estimant que “les aspiration légitimes à la liberté et à la démocratie du peuple vénézuélien doivent finalement devenir réalité”.Promettant d’agir dès le lendemain de son investiture, le chef de l’Etat vénézuélien a promis ces dernières semaines des révisions constitutionnelles qui comportent des dispositions que de nombreuses ONG jugent liberticides et à même de fragiliser la démocratie.

Nigerian state launches mass evacuation of street childrenFri, 10 Jan 2025 13:26:48 GMT

Authorities in northern Nigeria’s largest city have begun evacuating more than 5,000 street children seen as a “security threat” and a growing concern as an economic crisis forces more to fend for themselves.Sharia police, the Hisbah, have carried out midnight raids on motor parks, markets and street corners in the regional capital, Kano, since the …

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UN says 3 million Sudan children facing acute malnutritionFri, 10 Jan 2025 12:47:46 GMT

An estimated 3.2 million children under the age of five are expected to face acute malnutrition this year in war-torn Sudan, according to the United Nations Children’s Fund (UNICEF).”Of this number, around 772,000 children are expected to suffer from severe acute malnutrition,” Eva Hinds, UNICEF Sudan’s Head of Advocacy and Communication, told AFP late on …

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Paris says Algeria ‘seeking to humiliate France’Fri, 10 Jan 2025 12:06:02 GMT

Algeria is trying to humiliate France, France’s interior minister said on Friday, after several Algerian influencers were arrested for inciting violence in a growing crisis between Paris and its former colony.Four Algerian influencers supportive of Algerian authorities have been arrested in recent days over videos that are suspected of calling for violent acts in France.Meanwhile, …

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Global stocks mostly fall before US jobs data

Stock markets mostly retreated and the dollar steadied Friday as traders awaited key US jobs data for signals on the health of the world’s largest economy and the outlook for interest rates.Oil prices jumped around 2.5 percent as analysts expect the United States to soon announce more sanctions against Russia, further disrupting its crude exports and therefore tightening supplies.Tokyo, Hong Kong and Shanghai stock markets closed lower Friday. London dropped nearing the halfway stage while in the eurozone, Frankfurt and Paris gained. The pound remained under pressure after Thursday hitting levels not seen since late 2023 against the dollar on worries about the UK economy.UK 10-year bond yields remained high after surging to their highest level since the 2008 global financial crisis, amid talk the government may have to make spending cuts or hike taxes to help repay state debt.”The global bond selloff showed few signs of letting up… with long-term borrowing costs continuing to move higher,” noted Jim Reid, managing director at Deutsche Bank. “Even though the UK might appear the most striking in terms of when yields last traded at these levels, other countries have experienced a similar pattern too,” he added.Friday’s US non-farm payrolls report is expected to show a slowdown in jobs creation in December, though still at a healthy enough pace to suggest the labour market remains in rude health.”Markets will be watching closely for any signs of inflationary pressures building with the wage growth figure followed closely,” said Joshua Mahony, chief market analyst at financial services firm Scope Markets. The Fed indicated last month it will cut rates just twice this year — down from the four previously flagged — owing to sticky inflation.That came as speculation began swirling that Donald Trump’s plans to slash taxes, regulations and immigration — and to impose harsh tariffs on imports — on re-entering the White House would reignite prices.On the corporate front, shares in French video game giant Ubisoft shed around six percent on the Paris stock exchange, after the company said it was exploring its options following another delay in its “Assassin’s Creed” franchise. Uniqlo owner Fast Retailing also struggled, with shares sliding in Tokyo after the company reported a weak quarterly performance in China.- Key figures around 1100 GMT -London – FTSE 100: DOWN 0.2 percent at 8,299.70Paris – CAC 40: UP 0.2 percent at 7,506.93Frankfurt – DAX: UP 0.2 percent at 20,362.05Tokyo – Nikkei 225: DOWN 1.1 percent at 39,190.40 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.9 percent at 19,064.29 (close)Shanghai – Composite: DOWN 1.3 percent at 3,168.52 (close)New York – Dow: closed on ThursdayEuro/dollar: UP at $1.0303 from $1.0296 on ThursdayPound/dollar: DOWN at $1.2292 from $1.2293Dollar/yen: UP at 158.11 yen from 157.96 yenEuro/pound: UP at 83.81 pence from 83.75 penceBrent North Sea Crude: UP 2.5 percent at $78.87 per barrelWest Texas Intermediate: UP 2.6 percent at $75.82 per barrel

Le Venezuela boucle sa frontière avec la Colombie avant l’investiture de Maduro

Le Venezuela a fermé vendredi sa frontière avec la Colombie, invoquant un “complot international”, quelques heures avant l’investiture du président sortant Nicolas Maduro qui doit prêter serment pour un troisième mandat de six ans malgré les accusations portées par l’opposition de fraudes électorales.”Nous avons des informations concernant un complot international visant à troubler la paix des Vénézuéliens” et “nous allons ordonner, sur instructions du président Nicolas Maduro, la fermeture de la frontière avec la Colombie”, a déclaré Freddy Bernal, le gouverneur de l’Etat régional de Tachira, à la frontière avec ce pays.La fermeture est effective à partir de 05H00 (09H00 GMT) et jusqu’à lundi même heure, a-t-il précisé.Cette annonce intervient quelques heures avant la cérémonie d’investiture de M. Maduro, à la mi-journée, au lendemain de manifestations de l’opposition qui conteste la victoire du socialiste de 62 ans à la présidentielle du 28 juillet, dont la proclamation a été suivie de troubles meurtriers et de milliers d’arrestations.Le candidat de l’opposition Edmundo Gonzalez Urrutia assure avoir remporté ce scrutin et a répété jeudi, de la République dominicaine, à une heure d’avion de Caracas, qu’il était le “président élu”. Sans faire plier celui qui a succédé en 2013 à Hugo Chavez et dirige depuis d’une main de fer le Venezuela.”El 10, juro con Maduro por el futuro” (le 10, je prête serment avec Maduro pour l’avenir) : le slogan en rimes faciles à retenir a été placardé sur de nombreux murs pendant des semaines. Jeudi, le pouvoir a enfoncé le clou, avec une marche de soutien au président sortant qui a traversé une partie de la capitale.- “Enlèvement” ? -La manifestation de l’opposition a réuni des milliers de personnes qui criaient “nous n’avons pas peur !” ou tenant des pancartes sur lesquelles on pouvait lire “la liberté ne se mendie pas, elle se conquiert”.Elle a donné lieu à une certaine confusion en fin de journée quand l’opposition a annoncé la “violente” arrestation de sa cheffe Maria Corina Machado. Quelques dizaines de minutes plus tard, l’équipe de l’opposante annonçait sa libération : “En quittant le rassemblement, Maria Corina Machado (…) a été emmenée de force. Pendant son enlèvement, elle a été forcée d’enregistrer plusieurs vidéos et a été relâchée par la suite”.Le pouvoir a démenti cette version des faits, le procureur général Tarek William Saab dénonçant “une opération psychologique en vue de déclencher la violence au Venezuela” et rappelant que Mme Machado était visée par une enquête pénale.La cheffe de l’opposition vivait dans la clandestinité depuis la présidentielle à laquelle elle n’avait pas pu se présenter parce que déclarée inéligible. Elle a soutenu la candidature de M. Gonzalez Urrutia, qui s’est exilé en septembre.Le Conseil national électoral (CNE) a proclamé M. Maduro vainqueur avec 52% des voix mais sans publier les procès-verbaux, se disant victime d’un piratage informatique, une hypothèse jugée peu crédible par de nombreux observateurs.L’annonce du CNE avait provoqué des manifestations dans tout le Venezuela, durement réprimées. Les troubles post-électoraux se sont soldés par un bilan de 28 morts, de plus de 200 blessés et de 2.400 personnes arrêtées pour “terrorisme”.Une vague d’arrestations a également eu lieu dans les jours qui ont précédé l’investiture du chef de l’Etat.- L’armée, pilier du pouvoir -Comme pendant les manifestations de 2014, 2017 et 2019, qui ont fait plus de 200 morts, M. Maduro a pu compter sur le soutien de l’armée, un pilier de son pouvoir, ainsi que sur une justice aux ordres.Il avait même activé un plan national sécuritaire comprenant toutes les forces de sécurité (armée, police, milices, paramilitaires, etc.) après avoir dit être la cible de nouveaux complots.”Le secteur militaire est encore plus crucial qu’il ne l’était avant l’élection (…). Sans le contrôle des institutions militaires, le gouvernement se retrouverait avec un pouvoir extrêmement précaire”, explique Mariano de Alba, un analyste spécialiste des relations internationales travaillant à Londres.Le président socialiste, qui a promis au cours de sa campagne électorale une amélioration de la situation économique, devra trouver des solutions pour renouer avec la croissance, le Venezuela ayant enregistré une contraction de son PIB de 80% entre 2013 et 2023.Isolé sur le plan international, il lui sera difficile de faire lever les sanctions qu’il devra donc tenter de contourner afin d’exploiter les immenses réserves pétrolières du pays sans avoir à les brader en raison de l’embargo.La Première ministre italienne, Giorgia Meloni, a à cet égard déploré jeudi “un nouvel acte inacceptable de répression du régime” de M. Maduro, “dont nous ne reconnaissons pas la victoire électorale proclamée”, après l’interpellation la veille de Mme Machado.”Les aspiration légitimes à la liberté et à la démocratie du peuple vénézuélien doivent finalement devenir réalité”, a-t-elle encore dit.Le chef de l’Etat vénézuélien a par ailleurs promis des révisions constitutionnelles qui comportent des dispositions que de nombreuses ONG jugent liberticides et à même de fragiliser la démocratie.Â