Sex-tainted veteran and upstart socialist vye for NY mayor

New York Democrats were choosing Tuesday between an upstart 33-year-old Muslim socialist and a political veteran vying to come back from a sex harassment scandal as mayoral candidate to lead the left-leaning city.The party’s primary contest has featured a cast of a dozen seeking to lead the biggest US city, where registered Democrats outnumber Republicans three to one.As voters cast ballots in a smothering heatwave, polls showed surprise challenger Zohran Mamdani and former state governor Andrew Cuomo, 67, at the top of the heap.With the Democrats reeling nationally from Donald Trump’s election last year, the high-profile city race has done little to calm party nerves.Cuomo stepped down as New York governor four years ago after multiple women accused him of sexual harassment. He has also been accused of mismanaging the state’s response to the Covid pandemic.Staunchly pro-Israel Cuomo has led for most of the race, with massive name recognition as the son of another New York governor, as well as backing from powerful centrist figures including former president Bill Clinton.Mamdani, meanwhile, is backed by the Democratic Socialists of America — the kind of niche, leftist affiliation that might work in the Big Apple but many analysts say the Democratic Party needs to discard to come back from the broader political wilderness.The fact that Mamdani speaks out for Palestinians and has accused Israel of “genocide” also makes him a prime target for Trump. His supporters include two other favorite Trump foils — fiery leftist Senator Bernie Sanders and congresswoman Alexandria Ocasio-Cortez.”I see it as a referendum of the Democratic Party, whether we lean more towards the centrist candidate, who’s maybe from a different generation of politicians and people in society, or a younger, left-leaning, more ambitious, idealistic party,” voter Nicholas Zantal, 31, said.- Big ideas, low experience -Currently a New York state assemblyman representing the borough of Queens, Mamdani stands out for his energetic campaigning style and eye-catching policy proposals that include freezing rent for many New Yorkers, providing free bus service, and universal childcare.And in a wildly expensive city, where a three-bedroom apartment can easily cost $6,000 a month, he has surged from behind.”Tomorrow is ours if we want it,” Mamdani, who was born in Uganda and is of Indian descent, said late Monday in a social media post. “We are on the cusp of toppling a political dynasty, and delivering a New York everyone can afford.”Voter Eamon Harkin, 48, said prices were his “number one issue.””What’s at stake is primarily the affordability of New York,” he said.But Sheryl Stein, who works in tourism marketing, was skeptical.”I like youth,” she said. But Mamdani having “no experience and no proven track record to run the largest city in this country and one of the largest in the world, is pretty scary.”Cuomo is trying to capitalize on those concerns, telling supporters Monday that “this is not a job for a novice.””We need someone who knows what they’re doing on day one, because your lives depend on it.”Results from the primary may take time to finalize.The contest is ranked-choice, with voters asked to select five candidates in order of preference, and potentially neither Cuomo nor Mamdani getting the required more than 50 percent of the vote to avoid elimination rounds.Whoever gets the Democratic Party nomination will face several contenders in November — including the current, scandal-plagued mayor, Eric Adams, who is a Democrat but will run again as an independent.

La Bourse de Paris termine en hausse, soulagée par le cessez-le-feu entre l’Iran et Israël

La Bourse de Paris a fini en nette hausse mardi, dans la foulée de l’annonce par Donald Trump d’un cessez-le-feu entre l’Iran et Israël.Le CAC 40 a pris 1,04% à 7.615,99 points, en hausse de 78,42 points. Lundi, l’indice vedette parisien avait perdu 0,69%.”Les investisseurs reprennent leur souffle, avec ce cessez-le-feu, c’est un risque qui disparaît du marché”, a résumé Lionel Melka, gérant de Swann Capital, interrogé par l’AFP.Le président américain Donald Trump a affirmé mardi qu’un cessez-le-feu était “désormais en vigueur”, après avoir accusé les deux pays, principalement Israël, de l’avoir violé et demandé à son allié de ne “pas lâcher” de nouvelles bombes sur l’Iran.”Les investisseurs estiment que le principal risque lié à la guerre entre les deux belligérants s’est estompé. Le retour vers les actions est ainsi motivé par l’espoir d’un cessez-le-feu durable”, a expliqué Jochen Stanzl, analyste chez CMC Markets.Autre facteur de soulagement pour la Bourse de Paris: le recul des prix du pétrole, qui avaient été sous pression ces derniers jours.Vers 15H40 GMT, le baril de Brent de la mer du Nord chutait de 4,79% à 68,05 dollars et celui de son équivalent américain, le WTI, reculait de 4,71% à 65,28 dollars.Le mouvement s’est accéléré dans l’après-midi, après que Donald Trump a affirmé que la Chine pouvait “désormais continuer à acheter du pétrole à l’Iran”, inflexion de la politique des Etats-Unis qui luttent d’ordinaire contre l’achat de pétrole en provenance de la République islamique.Dans le sillage des prix du brut, le gaz naturel européen plongeait quant à lui de 12,56% à 35,43 euros le mégawattheure (MWh).Les marchés ont aussi été attentifs à l’audition aux Etats-Unis de Jerome Powell, président de la banque centrale américaine (Fed), par la Commission bancaire de la Chambre des représentants.Sa déclaration selon laquelle “de nombreuses voies sont possibles”, après avoir été interrogé sur la possibilité d’une réduction des taux de la Fed en juillet, permet aux marchés d’espérer un assouplissement prochain de sa politique monétaire.Jerome Powell a toutefois aussi considéré que l’institution pouvait “attendre” avant d’abaisser ses taux. Le patron de la Fed fait face à un feu nourri de critiques féroces de la part de Donald Trump, qui lui reproche de ne pas baisser les taux.Côté obligataire, l’emprunt à dix ans français a atteint 3,25%, contre 3,23% la veille en clôture. Son équivalent allemand, référence en Europe, s’est élevé à 2,54%.OVHCloud déçoitLe titre d’OVHCloud, spécialiste français du cloud (informatique à distance), a dévissé de 16,29%, à 11,72 euros, après que le groupe a publié des résultats jugés décevants par les investisseurs pour le troisième trimestre de son exercice décalé 2024-2025.Le groupe a publié un chiffre d’affaires en hausse de 9,3%, à 271,9 millions d’euros, en dessous des prévisions des consensus d’analystes.

Brésil: la surface brûlée en Amazonie en 2024 deux fois supérieure à la moyenne historique

Les feux de forêt historiques qui ont touché le Brésil en 2024 ont atteint en Amazonie une surface plus de deux fois supérieure à la moyenne des quarante dernières années, selon une étude publiée mardi par le réseau de surveillance MapBiomas.Au total, ces incendies ont dévasté 30 millions d’hectares l’an dernier dans le plus grand pays d’Amérique latine, une surface plus vaste que l’Italie, soit 62% de plus que la moyenne observée depuis 1985, quand MapBiomas a commencé à compiler ces données par satellite.Il s’agit de la deuxième pire année pour le Brésil en terme de zones atteintes par des feux de forêt depuis 2007.Plus de la moitié de la zone brûlée se situe en Amazonie, qui abrite la plus grande forêt tropicale de la planète: 15,6 millions d’hectares ont été touchés, soit une augmentation de 117% par rapport à la moyenne des quatre dernières décennies.La forêt amazonienne joue un rôle crucial dans l’absorption de gaz à effet de serre responsables du réchauffement climatique.La déforestation a fortement baissé depuis le début du mandat du président de gauche Luiz Inacio Lula da Silva, il y a deux ans et demi, mais les terribles incendies de 2024 entachent son bilan environnemental. Le Brésil va accueillir en novembre la conférence de l’ONU sur le climat COP30, dans la ville amazonienne de Belem.La propagation des feux de forêt a été favorisée l’an dernier par une sécheresse historique liée selon les experts au réchauffement climatique. Mais les incendies sont pratiquement tous déclenchés par l’action humaine, souvent illégale et à des fins d’expansion agricole.”Quand la forêt brûle, elle perd de l’humidité, de la couverture végétale, et cela change tout son microclimat, la rendant plus vulnérable à de nouveaux incendies”, a expliqué en conférence de presse Felipe Martenexen, coordinateur des recherches de MapBiomas sur l’Amazonie. Selon l’étude publiée mardi, près d’un quart du territoire brésilien (24%) a déjà été touché au moins une fois par les feux de végétation depuis 1985.

Rwanda’s Kagame reappears after health rumours deniedTue, 24 Jun 2025 15:51:46 GMT

Rwandan President Paul Kagame met a former Nigerian leader on Tuesday as his office denied rumours that he was sick following a prolonged absence from public appearances. Kagame, 67, had not been seen in public since June 6, as evidenced by his X account, generating rumours online and in the country given his usual energetic and omnipresent …

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Death Row inmates to be executed in Florida, Mississippi

A Mississippi man who has been on Death Row for 49 years is to be executed by lethal injection on Wednesday, one of two executions scheduled in the United States this week.Richard Jordan, 79, was convicted and sentenced to death in 1976 for the murder of Edwina Marter, the wife of a bank executive in the town of Gulfport.Jordan, a shipyard worker, kidnapped Marter from her home and demanded a $25,000 ransom.He was apprehended when he went to pick up the money.Jordan confessed to murdering Marter and led the authorities to her body, which had been hidden in a forest. She had been shot.Jordan is to be executed at 6:00 pm Central Time (2300 GMT) at the Mississippi State Penitentiary in Parchman.One other execution is scheduled to be carried out in the United States this week.Thomas Gudinas, 51, is to be put to death by lethal injection at 6:00 pm (2200 GMT) on Tuesday at the Florida State Prison in Raiford.Gudinas was sentenced to death in 1995 for the murder of Michelle McGrath, who was last seen leaving a bar in the city of Orlando in the early hours.McGrath’s battered body was found the next day and Gudinas was arrested shortly afterwards.Florida has carried out more executions — six — than any other US state so far this year.The execution in Mississippi will be the first in the southern state since December 2022.There have been 23 executions in the United States this year: 18 by lethal injection, two by firing squad and three by nitrogen hypoxia, which involves pumping nitrogen gas into a facemask, causing the prisoner to suffocate.The use of nitrogen gas as an execution method has been denounced by UN experts as cruel and inhumane.The death penalty has been abolished in 23 of the 50 US states, while three others — California, Oregon and Pennsylvania — have moratoriums in place.President Donald Trump is a proponent of capital punishment and called on his first day in office for an expansion of its use “for the vilest crimes.”

How Iran’s ‘telegraphed’ strikes on Qatari soil paved way to Israel truce

Iran’s unprecedented strikes on a US base in Qatar were carefully calculated to provide an exit from hostilities with Washington and set up a truce with Israel, according to analysts and an official.Monday’s missile launches were signalled well in advance, minimising the risk of injury and giving every opportunity to shoot down the projectiles — resulting in a fireworks display of booms and flashes above Doha.They followed heavy US strikes on Iranian nuclear facilities at the weekend, a sudden escalation that raised concerns about how Tehran, after more than a week of exchanges with Israel, would respond.In the event, gas-rich Qatar, 190 kilometres (120 miles) south of Iran across the Gulf, held the answer in the form of Al Udeid, the Middle East’s biggest US base and headquarters of its regional command.Targeting a United States base, rather than inciting fury, triggered a calm reaction from President Donald Trump, who thanked Iran for giving “early notice”.Qatar condemned the strikes — Iran’s first on a Gulf country’s territory — but its prime minister said the response would be diplomatic and legal, rather than military.Hours after the attack, Trump announced a ceasefire that both Israel and Iran later said they would accept. A source with knowledge of the talks said Doha had spoken to Tehran and “persuaded” it to stop fighting.- ‘Off ramp’ -Chatham House geopolitics specialist Neil Quilliam said the attack was “clearly limited” and “intended to satisfy Iran’s population that its leadership responded forcibly to the US air strikes on Saturday”.Iran had promised to inflict “serious, unpredictable consequences” on the US for joining its ally Israel’s campaign against the Islamic republic with strikes on three nuclear sites.The wealthy Gulf states, which host a number of US military sites, had been preparing for days for a possible strike by Iran. A week before Qatar was targeted, Bahrain, home to the US Navy’s Fifth Fleet, tested its civil defence sirens.Also last week, dozens of US military aircraft disappeared from the tarmac at Al Udeid, according to satellite images published by Planet Labs PBC and analysed by AFP.In the hours before the attack, the US embassy in Qatar advised Americans there not to go out, with some other Western embassies echoing the warning.Shortly before the strikes, air traffic was suspended over Qatar “as part of a set of precautionary measures”, the country’s foreign ministry said.Ali Vaez, senior advisor at the International Crisis Group said Iran’s action against Qatar was “symbolic” and “calibrated and telegraphed in a way that would not result in any American casualties, so that there is an off-ramp for both sides”.- ‘Taken this punch’ -According to the source with knowledge of the talks, Qatari Prime Minister Sheikh Mohammed bin Abdulrahman Al-Thani spoke to the Iranians at Washington’s request after the strikes.Trump told Qatar’s emir that Israel had agreed to a ceasefire, before US Vice President JD Vance spoke to the prime minister “who persuaded Iran to agree to the proposal in a call with the Iranians”, the source said.Vaez said the “good relationship between Iran and Qatar is the reason that Iran opted to strike… the Al Udeid base in Qatar”.Before the attack, there had been speculation that Iran could target US forces based in Iraq or elsewhere in the region.”I see this as a continuation of Qatar’s mediation between Iran and the United States, that it has taken this punch as a means of trying to prevent further escalation,” Vaez added.Quilliam said: “While Qatar’s official responses to the attacks condemned Iran, it also pushed forward a deeper message about ending conflict in the region.”

Saint Laurent et Louis Vuitton lancent la Fashion Week de Paris

Les ténors du luxe français Louis Vuitton et Saint Laurent ouvrent le bal de la Fashion Week masculine de Paris mardi, une nouvelle édition toujours agitée par la valse des directeurs artistiques et qui verra les premiers pas de Jonathan Anderson chez Dior.Saint Laurent signe à cette occasion son retour au calendrier officiel de la Semaine de la mode masculine, déserté depuis janvier 2023.Cette réintégration “est plutôt une bonne chose pour reprendre une parole forte sur l’Homme Saint Laurent”, a estimé auprès de l’AFP Alice Feillard, directrice des achats de l’Homme aux Galeries Lafayette. La nouvelle collection d’Anthony Vaccarello sera dévoilée quelques heures avant celle de Pharrell Williams pour Louis Vuitton.Après un show en janvier au Louvre, l’artiste touche-à-tout, célèbre pour ses tubes “Happy” ou “Get Lucky” aux côtés de Daft Punk, pose cette fois ses mallettes sur le parvis du Centre Pompidou et a soigné ses invitations. Après l’harmonica et la carte métallique dans une pochette en cuir, elles prennent cette fois la forme de quatre dés, rangés dans un porte-clés en cuir, indiquant l’heure et le lieu de rendez-vous.L’événement devrait attirer une nouvelle fois un parterre de stars du rap, du cinéma et du sport, les basketteurs américain LeBron James et français Victor Wembanyama ou encore le nageur star des JO de Paris Léon Marchand étant égéries de la marque. En attendant, Pharrell Williams a dévoilé dimanche sur Instagram un aperçu de sa prochaine collection: un jean et une veste droite, en “denim brun grain de café tissé – non teinté -“, sur une chemise blanche et un t-shirt rayé en maille.- “Besoin d’être surpris” – La Fashion Week masculine, qui présente les tendances de l’été prochain, a été formellement lancée en début d’après-midi par le défilé des élèves de l’Institut français de la mode.Trente étudiants ont présenté leurs collections de fin d’étude, des créations hautes en couleur avec d’imposants manteaux ornées de fleurs, des robes à larges épaulettes mais aussi de nombreuses pièces upcyclées et des tenues plus politiques comme une robe en keffieh, la coiffe traditionnelle moyen-orientale portée notamment dans les Territoires palestiniens.Cette première journée sera également marquée par les défilés de la marque parisienne Etudes Studio et de la maison japonaise Auralee.Contrairement à Londres, qui a annulé l’événement, et Milan, qui a proposé une version allégée, l’édition parisienne va dérouler un “calendrier assez dense, avec des têtes d’affiche importantes, comme Jonathan Anderson chez Dior”, souligne Adrien Communier, chef de rubrique mode pour GQ France.De mardi à dimanche, pas moins de 70 maisons vont dévoiler leur collection à travers 30 présentations et 40 défilés. Le plus attendu est celui de Dior Homme vendredi, pour la première de Jonathan Anderson.Le Nord-Irlandais, nommé début juin à la tête des collections Femme quelques semaines après son arrivée chez l’Homme, est ainsi devenu le premier styliste depuis Christian Dior à superviser les deux lignes de la maison phare de LVMH, ainsi que la haute couture. Le premier défilé masculin de Julian Klausner chez Dries Van Noten, mercredi midi, devrait lui aussi susciter de l’intérêt. Les maisons historiques, comme Hermès, Kenzo et Issey Miyake, seront également de la partie, aux côtés des griffes AMI, Comme des Garçons, Egonlab., Rick Owens ou encore Willy Chavarria, de retour à Paris après un premier défilé en janvier.La maison Jacquemus clora l’événement.Côté vestiaire, à quoi faut-il s’attendre ? Alice Feillard prédit un style qui “reste casual mais très élégant”, dans la continuité des dernières années, en “un peu plus formel et +preppy+ (BCBG, NDLR)”, le tout dans des matières très légères et techniques comme le nylon.”À Milan, on a vu beaucoup de rayures et je pense que ça va continuer”, avance Adrien Communier. Mais face à une “mode un peu terne” ces dernières années, “ce dont on a besoin, c’est d’être vraiment surpris, d’en avoir plein les yeux”, ajoute-t-il.