Rescuers race to France’s Mayotte as hundreds feared dead in cycloneMon, 16 Dec 2024 11:14:08 GMT

Rescuers raced against time Monday to reach survivors and supply urgent aid after a devastating cyclone ripped through the French Indian Ocean territory of Mayotte, destroying homes across the islands, with hundreds feared dead.Images from Mayotte, which like other French overseas territories is an integral part of France and ruled from Paris, showed scenes of …

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Jospin enjoint le PS de “rester dans l’opposition” mais de faire en sorte que Bayrou “dure”

L’ancien Premier ministre socialiste Lionel Jospin a recommandé lundi au PS, ainsi qu’aux écologistes et aux communistes de “rester dans l’opposition” mais de ne pas “se mettre dans une situation d’usage mécanique de la censure” pour que le gouvernement Bayrou “dure”.”Les socialistes, les communistes et les écologistes, considérant qu’ils n’avaient pas été appelés par le président à former le gouvernement, sont entrés dans l’opposition, ils sont dans l’opposition, il faut qu’ils y restent”, a expliqué Lionel Jospin, dont la parole est rare, à l’antenne de France Inter.Mais “en même temps, il faut qu’ils contribuent à ce que ce gouvernement, dont il ne partage pas les options, dure”, a-t-il complété.Pour ce faire, il a suggéré à la gauche non-LFI de ne pas aller vers “un maniement trop mécanique” de la menace de censure en cas d’utilisation par François Bayrou du 49.3 qui impose un texte à l’Assemblée sans vote.Rappelant ne pas être “un zélateur” de cet article de la Constitution, qu’il n’a pas utilisé pendant ses cinq ans à Matignon (1997-2002), Lionel Jospin a recommandé la “souplesse” face à une “situation complexe”.Il a même avancé que le 49.3 pouvait servir de “protection pour l’opposition” en l’empêchant de devenir “co-auteur” d’un texte qu’elle rejette et sur lequel un accord n’a pas pu être trouvé à l’Assemblée. En abandonnant cette menace systématique, la gauche pourrait, a-t-il espéré, “obtenir” des concessions de la part de François Bayrou. Il a évoqué “le partage de l’effort” pour réduire la dette, mais aussi l’éducation ou la santé.Et bien sûr, a-t-il détaillé, la question de la très controversée réforme des retraites qui a retardé l’âge de départ à 64 ans. “J’espère que François Bayrou aura la sagesse (…) de remettre l’ouvrage sur le métier”, a-t-il développé.”Mais il faut en même temps que ce gouvernement dure et que l’opposition utilise le temps qui va venir pour travailler elle-même à ses propositions et préparer l’alternance” en 2027, a-t-il insisté.

Le Pen salue chez Bayrou une “méthode plus positive”

Marine Le Pen a salué lundi à l’issue d’un entretien avec le nouveau Premier ministre François Bayrou une “méthode plus positive” que son prédécesseur Michel Barnier, qu’elle avait accusé de l’avoir reçue trop tardivement.”La méthode est plus positive que ce que j’ai pu voir jusqu’à présent”, a estimé la patronne des députés Rassemblement national, première cheffe de groupe reçue à Matignon depuis la nomination de M. Bayrou. Elle était accompagnée par le N.1 du parti Jordan Bardella.En quête d’une solution viable pour faire passer un budget dans une Assemblée sans majorité, François Bayrou a entamé lundi une consultation des groupes à l’Assemblée nationale “par leur ordre d’importance” numérique dans cette chambre. Marine Le Pen a aussi indiqué avoir “exprimé au Premier ministre les réserves” que le RN avait “sur un certain nombre de personnalités” susceptibles d’entrer au gouvernement.Elle a notamment évoqué avec lui le mode de scrutin à la proportionnelle revendiqué par le RN mais aussi le MoDem, parti de François Bayrou.”Je sais que le Premier ministre est attaché à la proportionnelle et il m’apparaît que c’est un chantier” à mettre en Å“uvre “juste après le budget”, a-t-elle plaidé. C’est “une priorité pour permettre que l’ensemble des Français puissent être représentés” et “peut-être (…) faire émerger une majorité”, a-t-elle justifié.Elle a associé la proposition de la gauche de ne pas censurer le gouvernement si celui-ci n’utilise plus le 49.3, à des “tractations indignes” qui “dévalorisent la classe politique”.”Personne ne doit renoncer à aucun des outils qui nous ont été donnés par la Constitution (…) on fait le choix de l’utiliser ou de ne pas l’utiliser”, a-t-elle développé.

Breton et Moscovici alertent sur “une France à l’arrêt” et réclament un gouvernement qui s’attaque au désendettement

L’ex-commissaire européen Thierry Breton et le premier président de la Cour des comptes Pierre Moscovici, dont les noms circulent pour entrer dans l’exécutif, se sont tous deux inquiétés lundi “d’une France à l’arrêt” et ont réclamé un gouvernement pour s’attaquer au désendettement sans lequel “il n’y a pas d’avenir”. “La France est à l’arrêt depuis maintenant quasiment un an. On a eu quatre premiers ministres qui se sont succédé, On a les agents économiques qui sont à l’arrêt, qui attendent de savoir s’ils vont investir. On a vraisemblablement un risque de restructuration importante pour nombre d’entreprises (…) Il faut un gouvernement”, a alerté M. Breton sur BFMTV/RMC.Après la dégradation de la note souveraine de la France par l’agence de notation Moody’s vendredi, “le rôle des politiques, et en particulier dans la charge des finances du pays, est évidemment de faire mentir les agences de notation”, a-t-il jugé.”Comme la France est un grand pays membre de l’UE, membre de l’euro et disposant d’une épargne extrêmement abondante de plus de 6.000 milliards, cela nous donne un petit peu de temps pour éviter de faire des méthodes +à l’Argentine+” en termes de réduction des dépenses, a-t-il jugé.”Mais il n’y a pas une seconde à perdre, il faut se donner une trajectoire et puis surtout, s’y tenir”, a-t-il insisté, en se réjouissant que François Bayrou ait placé “la lutte contre la dette comme premier point”.De son côté, Pierre Moscovici a prévenu “qu’il n’y a pas d’avenir pour ce pays s’il ne se désendette pas”. “On ne peut rien faire avec une dette de cette ampleur. C’est 25 milliards de remboursement en 2021, 53 milliards cette année, 70 milliards dans l’année qui vient (…) Comment voulez-vous financer des politiques publiques d’avenir?”, s’est-il inquiété sur franceinfo.”Les investisseurs gardent leurs investissements parce qu’ils ne savent pas dans quel univers ils se déploient. Les consommateurs, ils diffèrent leur consommation”, a constaté M. Moscovici.”Il y a un nÅ“ud gordien entre l’incertitude économique, l’instabilité politique et la dégradation financière. Il faut trancher ce nÅ“ud et pour le trancher, il faut résoudre la question politique”, a-t-il résumé. 

Race against time for rescuers as hundreds feared dead in MayotteMon, 16 Dec 2024 08:37:17 GMT

Rescuers raced against time Monday to reach survivors after a devastating cyclone ripped through the French Indian Ocean territory of Mayotte, destroying homes across the islands, with hundreds feared dead.Images from Mayotte, which like other French overseas territories is an integral part of France and ruled from Paris, showed scenes of devastation, with homes reduced …

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Equity markets struggle after more weak China data

Most markets fell on Monday after an unexpected slowdown in retail sales reinforced worries about China’s economy, with the latest batch of weak data compounding the disappointment of Beijing’s latest stimulus pledges.The tepid start came on the year’s last full week of trading, with the focus on key monetary policy decisions by the US Federal Reserve and the Bank of Japan.Observers are also tracking developments in Seoul after South Korean lawmakers impeached President Yoon Suk Yeol at the weekend in the wake of his short-lived declaration of martial law this month.Hong Kong and Shanghai sank after figures showed that Chinese retail sales grew 3.0 percent last month, much slower than October and well off the five percent forecast.The figures highlighted the work leaders had in store as they try to kickstart consumption and reignite the world’s number two economy.Officials unveiled new promises at the weekend to boost the battered property sector and tweak monitoring of equity markets.That came after investors were left unimpressed last week with Beijing’s pledge to introduce measures aimed at “lifting consumption vigorously” as part of a stimulus drive.President Xi Jinping and other key players said at the annual Central Economic Work Conference they would implement a “moderately loose” monetary policy, increase social financing and reduce interest rates “at the right time”.Lynn Song, ING’s chief economist for Greater China, said in a commentary: “Household confidence clearly remains soft, and it remains to be seen if the ‘vigorous support’ for consumption promised next year will be effective in stimulating a recovery.”We expect the rollout of supportive policies could take some time, but overall retail sales growth should recover in 2025.”Elsewhere in Asia, there were also losses in Sydney, Mumbai, Bangkok, Manila and Jakarta, though Singapore, Wellington and Taipei rose. Tokyo was flat.London and Frankfurt opened lower, while Paris also retreated after French President Emmanuel Macron named centrist Francois Bayrou as prime minister on Friday as he looks to end months of political crisis.Seoul fluctuated after Saturday’s impeachment of Yoon, with South Korea’s Constitutional Court starting proceedings Monday to determine whether to uphold the vote.While the martial law crisis shocked markets, observers said the economic impact would likely be limited, with some suggesting a stimulus package could be implemented in the new year.The Fed is widely expected to cut interest rates again Wednesday but there are fears it will have to slow its pace of easing next year owing to sticky inflation and bets that president-elect Donald Trump’s tax cuts and tariffs will reignite prices.The gathering comes after figures last week showed the consumer price index ticked up and wholesale prices accelerated.Investors are now pricing in a more than 75 percent chance the Fed holds rates steady in January, according to the CME FedWatch tool.The Bank of Japan is due to deliver its own policy decision after that, with debate swirling on whether officials will announce a third hike of the year, having moved in March for the first time since 2007 as price pressures continue to build.”The Bank of Japan will likely tighten monetary policy on Thursday,” said economists at Moody’s Analytics, pointing to a 25 basis-point lift.”The central bank is worried that yen weakness might spur inflation, hurting real wages and consumer spending.”But Tony Sycamore, an analyst at the IG trading group, said expectations were for officials to hold rates at 0.25 percent.However, he added that “the central bank’s current inaction is unlikely to persist, with any rate hold expected to come with strong forward guidance signalling a potential January hike”.”Broadening underlying pricing pressures, such as service prices, continue to point towards a more persistent inflationary trend. This environment suggests conditions are ripe for another rate hike, reinforcing expectations for tighter policy down the line.”On currency markets, the dollar rose against the yen.- Key figures around 0810 GMT -Tokyo – Nikkei 225: FLAT at 39,457.49 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.9 percent at 19,795.49 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.2 percent at 3,386.33 (close)London – FTSE 100: DOWN 0.1 percent at 8.296,17Euro/dollar: UP at $1.0506 from $1.0504 on FridayPound/dollar: UP at $1.2634 from $1.2622Dollar/yen: DOWN at 153.54 yen from 153.60 yen Euro/pound: DOWN at 83.16 pence from 83.19 penceWest Texas Intermediate: DOWN 0.5 percent at $70.92 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 0.4 percent at $74.19 per barrelNew York – Dow: DOWN 0.2 percent at 43,828.06 (close)