Gabon’s new president faces tough economic challengesTue, 06 May 2025 06:29:09 GMT

Big challenges await Gabon’s new president Brice Clotaire Oligui Nguema as he takes the reins of a country rich in oil but struggling with debt.The general was sworn in on Saturday after winning 94.85 percent in the April 12 vote in which international observers signalled no major irregularities.His victory followed a 19-month transition after he …

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Niveau de vie, santé: le rebond post-Covid s’essouffle déjà, s’inquiète l’ONU

Après le rebond post-Covid, l’humanité a enregistré en 2024 un ralentissement “inattendu” et “troublant” de son développement, et ce avant même les coupes drastiques dans l’aide internationale, s’inquiète l’ONU dans un rapport publié mardi.Avant l'”anomalie” de la pandémie qui a entrainé en 2020 et 2021 un recul sans précédent de l’Indice de développement humain (HDI) prenant en compte niveau de vie, santé et éducation, le monde était sur une trajectoire ascendante qui aurait permis d’atteindre un haut niveau de développement humain en 2030.Mais le rebond qui avait permis de retrouver en 2023 le niveau pré-covid “semble perdre de la vitesse”, et le fossé entre pays riches et pauvres s’est encore creusé, selon le rapport annuel du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD).Alors “si la lenteur des progrès enregistrés en 2024 devient +la nouvelle norme+”, atteindre ce niveau de développement élevé espéré “pourrait prendre plusieurs décennies supplémentaires, ce qui rendrait notre monde moins sûr, plus divisé et plus vulnérable aux chocs économiques et écologiques”, met en garde le patron du PNUD, Achim Steiner.D’autant plus que ce ralentissement a commencé avant même les récentes coupes sombres dans l’aide internationale annoncées par plusieurs pays, en particulier les Etats-Unis.Si les pays riches “cessent de financer le développement”, “cela aura un impact sur les économies, les sociétés, et oui, ça se répercutera peut-être dans un an ou deux sur l’Indice de développement humain: espérance de vie raccourcie, revenus en déclin, plus de conflits”, s’inquiète Achim Steiner lors d’un entretien avec l’AFP.Si les experts du PNUD ne sont pas encore certains des causes profondes du ralentissement observé en 2024, ils ont identifié comme l’un des moteurs une relâche des progrès de l’espérance de vie, peut-être liée à des effets secondaires du Covid, ou aux guerres qui se multiplient dans le monde. – “Relancer” grâce à l’IA -Dans ce contexte, le PNUD espère que l’intelligence artificielle pourra “relancer le développement”.Le rapport fait une place importante aux défis et risques des outils de l’IA, dévoilant un sondage réalisé auprès de 21.000 personnes dans 21 pays entre novembre 2024 et janvier 2025.Les résultats montrent qu’environ une personne sur cinq utilise déjà l’IA, et que deux tiers des personnes interrogées pensent l’utiliser dans l’année qui vient pour l’éducation, la santé et le travail.L’IA “va changer pratiquement tous les aspects de notre vie”, note Achim Steiner, estimant que l’opportunité qu’elle représente pour le développement humain est désormais “une question de choix”.”L’avenir est entre nos mains. La technologie concerne les gens, pas seulement des choses. En dessous du côté tape-à-l’oeil des inventions se cachent des choix importants, par des individus ou des groupes, dont les conséquences se répercuteront à travers les générations”, souligne le rapport.Choisir notamment entre construire une économie “collaborative” avec l’IA ou en compétition avec elle.Si environ la moitié des personnes interrogées s’attendent à ce qu’au moins une partie de leur travail soit remplacée par l’IA, ils semblent aussi prêts à saisir cette opportunité: 60% des sondés espèrent ainsi l’apparition d’emplois qui n’existent pas.Le PNUD pointe d’autre part du doigt les risques liés à l’AI, notamment les inégalités d’accès entre pays riches et pauvres, et les “préjugés culturels” liés à des données partielles et aux pays où les outils sont développés et les chatbots entrainés.Une récente étude de chercheurs de l’université d’Harvard citée par le rapport montre ainsi que les réponses de ChatGPT sont plus proches de celle d’un humain vivant dans un pays riche anglophone que d’une personne vivant dans un pays pauvre.Mais “nous pouvons concevoir des solutions pour réduire ce risque”, assure Achim Steiner, plaidant pour ne pas utiliser ce prétexte pour rejeter l’opportunité de l’IA, par exemple pour la recherche médicale.

Niveau de vie, santé: le rebond post-Covid s’essouffle déjà, s’inquiète l’ONU

Après le rebond post-Covid, l’humanité a enregistré en 2024 un ralentissement “inattendu” et “troublant” de son développement, et ce avant même les coupes drastiques dans l’aide internationale, s’inquiète l’ONU dans un rapport publié mardi.Avant l'”anomalie” de la pandémie qui a entrainé en 2020 et 2021 un recul sans précédent de l’Indice de développement humain (HDI) prenant en compte niveau de vie, santé et éducation, le monde était sur une trajectoire ascendante qui aurait permis d’atteindre un haut niveau de développement humain en 2030.Mais le rebond qui avait permis de retrouver en 2023 le niveau pré-covid “semble perdre de la vitesse”, et le fossé entre pays riches et pauvres s’est encore creusé, selon le rapport annuel du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD).Alors “si la lenteur des progrès enregistrés en 2024 devient +la nouvelle norme+”, atteindre ce niveau de développement élevé espéré “pourrait prendre plusieurs décennies supplémentaires, ce qui rendrait notre monde moins sûr, plus divisé et plus vulnérable aux chocs économiques et écologiques”, met en garde le patron du PNUD, Achim Steiner.D’autant plus que ce ralentissement a commencé avant même les récentes coupes sombres dans l’aide internationale annoncées par plusieurs pays, en particulier les Etats-Unis.Si les pays riches “cessent de financer le développement”, “cela aura un impact sur les économies, les sociétés, et oui, ça se répercutera peut-être dans un an ou deux sur l’Indice de développement humain: espérance de vie raccourcie, revenus en déclin, plus de conflits”, s’inquiète Achim Steiner lors d’un entretien avec l’AFP.Si les experts du PNUD ne sont pas encore certains des causes profondes du ralentissement observé en 2024, ils ont identifié comme l’un des moteurs une relâche des progrès de l’espérance de vie, peut-être liée à des effets secondaires du Covid, ou aux guerres qui se multiplient dans le monde. – “Relancer” grâce à l’IA -Dans ce contexte, le PNUD espère que l’intelligence artificielle pourra “relancer le développement”.Le rapport fait une place importante aux défis et risques des outils de l’IA, dévoilant un sondage réalisé auprès de 21.000 personnes dans 21 pays entre novembre 2024 et janvier 2025.Les résultats montrent qu’environ une personne sur cinq utilise déjà l’IA, et que deux tiers des personnes interrogées pensent l’utiliser dans l’année qui vient pour l’éducation, la santé et le travail.L’IA “va changer pratiquement tous les aspects de notre vie”, note Achim Steiner, estimant que l’opportunité qu’elle représente pour le développement humain est désormais “une question de choix”.”L’avenir est entre nos mains. La technologie concerne les gens, pas seulement des choses. En dessous du côté tape-à-l’oeil des inventions se cachent des choix importants, par des individus ou des groupes, dont les conséquences se répercuteront à travers les générations”, souligne le rapport.Choisir notamment entre construire une économie “collaborative” avec l’IA ou en compétition avec elle.Si environ la moitié des personnes interrogées s’attendent à ce qu’au moins une partie de leur travail soit remplacée par l’IA, ils semblent aussi prêts à saisir cette opportunité: 60% des sondés espèrent ainsi l’apparition d’emplois qui n’existent pas.Le PNUD pointe d’autre part du doigt les risques liés à l’AI, notamment les inégalités d’accès entre pays riches et pauvres, et les “préjugés culturels” liés à des données partielles et aux pays où les outils sont développés et les chatbots entrainés.Une récente étude de chercheurs de l’université d’Harvard citée par le rapport montre ainsi que les réponses de ChatGPT sont plus proches de celle d’un humain vivant dans un pays riche anglophone que d’une personne vivant dans un pays pauvre.Mais “nous pouvons concevoir des solutions pour réduire ce risque”, assure Achim Steiner, plaidant pour ne pas utiliser ce prétexte pour rejeter l’opportunité de l’IA, par exemple pour la recherche médicale.

‘I have to pray’: fear, danger for paramedics in S. Africa’s crime hotspotsTue, 06 May 2025 06:22:11 GMT

The call came in just after 7:00 pm as the paramedics began the night shift: a man had been stabbed in the head with a glass bottle and was bleeding heavily.The medical crew and their ambulance from Cape Town’s Emergency Medical Services (EMS) were only minutes away. But they could not respond until they had …

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Philips turns in a profit but China, tariffs weigh

Dutch medical device maker Philips reported a net profit for the first time in three quarters Tuesday despite weak sales in China but warned of “intensified” uncertainties due to tariffs.Net profits came in at 72 million euros ($82 million), compared to a net loss of 998 million euros in the same quarter last year and 333 million euros in the fourth quarter of 2024.”It’s an encouraging start to the year,” the firm’s chief executive Roy Jakobs told reporters.Jakobs predicted that the second half of the year would be stronger for the firm than the first half.”In an uncertain macro environment that has intensified due to the potential impact of tariffs, we are focused on what we can control,” he added.The company estimated a hit of between 250-300 million euros from tariffs over the year.Philips maintained its forecast for between one and three percent growth in sales for 2025, but slightly cut its projection for earnings before special items (EBITA).The firm pointed to a two-percent growth in orders globally, with China again proving a drag. Without China, the order growth would have been four percent, Philips said.However, global sales were down two percent compared to the same quarter last year due to a “double-digit decline” in China, the firm said.Philips has previous warned that a slowing Chinese economy was hurting consumer demand for products and the government’s anti-corruption drive was hitting procurement.Once famous for making lightbulbs and televisions among other products, Amsterdam-based Philips in recent years has sold off subsidiaries to focus on medical care technology.Since 2021, the company has been battling a series of crises over its DreamStation machines for sleep apnoea, a disorder in which breathing stops and starts during sleep.Millions of devices were recalled over concerns that users were at risk of inhaling pieces of noise-cancelling foams and fears it could potentially cause cancer.In April 2024, it announced it had reached a $1.1 billion deal to settle US lawsuits over the faulty machines.

Foot: décès du champion du monde argentin Luis Galvan

Luis Galvan, titulaire en défense centrale de l’équipe d’Argentine championne du monde en 1978, est décédé lundi à l’âge de 77 ans, a annoncé la Fédération argentine de football (AFA).Hospitalisé depuis plusieurs semaines à Cordoba pour une infection rénale, Galvan a succombé à des complications.Né à Fernandez (nord) en 1948, il était défenseur central de la sélection championne du monde 1978 aux côtés notamment de Daniel Passarella, ainsi que de l’attaquant Mario Kempes et du gardien Ubaldo “Pato” Fillol.

Grève: la SNCF doit affiner mardi ses prévisions pour le pont du 8 mai

La SNCF doit affiner mardi ses prévisions de trafic pour le pont du 8 mai à l’occasion d’une grève qui épargne pour l’heure les grandes lignes.Plusieurs catégories de personnel étaient appelées à faire grève à partir de lundi par la CGT-Cheminots et SUD-Rail. Les cheminots réclament une hausse des rémunérations et une meilleure anticipation des plannings, trop souvent modifiés à la dernière minute d’après eux. Pour le pont du 8-Mai, un influent collectif de contrôleurs baptisé Collectif national ASCT (CNA) s’est joint à l’appel à la mobilisation, lui donnant de l’ampleur.SNCF Voyageurs a prévu un point presse mardi à 10H30 pour actualiser les départs de train, Inoui, Ouigo et Intercités.Lundi, premier jour de grève, les grandes lignes ont été épargnées et les trains circulaient normalement dans la plupart des grandes gares. Les perturbations ont surtout concerné les trains locaux, notamment dans le Nord et le Pas-de-Calais, où un train sur trois étaient annoncés.Le trafic était également fortement perturbé sur certains lignes d’Ile-de-France, comme le RER B. Mardi, la circulation des trains et RER devrait être “perturbée dans des proportions similaires” à lundi sur ces mêmes lignes (B, C, D, H, N, V, U), a indiqué lundi soir SNCF Voyageurs.”Nous sommes loin d’une semaine noire, il n’y aura pas de semaine à l’arrêt, mais une semaine aussi normale que possible”, a indiqué dimanche lors d’un entretien avec l’AFP le PDG de SNCF Voyageurs Christophe Fanichet.”Les circulations seront normales du lundi 5 au jeudi 8 mai sur les TGV”, a-t-il précisé et pour les 9, 10 et 11 mai, la plupart des trains circuleront.Outre la promesse d’acheminer tout le monde en train, Christophe Fanichet s’est engagé à ce “que tous les clients soient prévenus avant de partir (en week-end, NDLR) concernant leur train de retour”. “C’est-à-dire être prévenus avant le début du pont mercredi pour les circulations jusqu’à dimanche 11 mai”, a-t-il détaillé.Il a également indiqué que tous les billets sont “échangeables, remboursables, sans frais”, sur les TGV Inoui comme les Ouigo, pour la semaine du 5 au 11 mai.Certains voyageurs ont déjà commencé à chercher des alternatives. Le loueur de voitures Ada a signalé lundi qu’il enregistrait une hausse de 30% des réservations pour le weekend du pont par rapport à 2024, où le 8-mai tombait un mercredi.