US Supreme Court ending term with birthright, porn, voting rights
As the US Supreme Court winds down its term ahead of the summer break, there are a number of cases still to be decided.The court is scheduled to issue opinions on Thursday and these are the major outstanding cases:- Birthright citizenship -The case is ostensibly about Donald Trump’s bid to scrap birthright citizenship but it actually turns on whether federal judges have the right to issue nationwide blocks to presidential decrees.It is perhaps the most significant of the remaining cases since it could have far-reaching ramifications for the ability of the judiciary to rein in Trump or future US presidents.Trump’s executive order ending automatic citizenship for children born on American soil has been paused by district courts in Maryland, Massachusetts and Washington that deemed it unconstitutional.But the question before the Supreme Court is whether a single district court can freeze an executive branch move with a universal injunction.The Trump administration is asking the Supreme Court to restrict the application of a district court’s injunction solely to the parties who brought the case and the district where the judge presides.Whatever the nine justices decide, the actual question of whether Trump can legally end birthright citizenship is expected to be back in front of the top court before long.- Porn site age verification -The case — Free Speech Coalition vs Paxton — involves a Texas law requiring pornographic websites to verify visitors’ ages, part of a growing effort to limit access by minors to online sexual content.Texas is one of nearly 20 states to institute such a requirement, which critics argue violates First Amendment free speech rights.A district court sided with a challenge by an adult entertainment industry trade group, the Free Speech Coalition, saying the law restricted access by adults to constitutionally protected content.But a conservative-dominated appeals court upheld the age verification requirement, prompting the trade group to take its case to the Supreme Court, where conservatives have a 6-3 supermajority.- Students and LGBTQ-themed content -This religious rights case examines whether parents have the right to pull their children from public school classes when books containing LGBTQ-related content are read or discussed.The schools, in a Maryland county, had offered parents the chance to opt out of classes featuring books aimed at combating prejudice and discussing gender identity and homosexuality, but later retracted the option.Parents are suing because the opt-outs were canceled. They say the schools’ inclusive curriculum choices infringe on their Christian and Muslim faiths and First Amendment rights. Court precedent has generally established that exposing students to ideas contrary to religion does not constitute coercion.- Planned Parenthood funding -South Carolina’s Republican governor, Henry McMaster, issued an executive order in 2018 cutting off reimbursements to the two Planned Parenthood clinics in the state for services the reproductive health organization provided to low-income Americans under the government Medicaid program.The Medicaid reimbursements were not for abortion-related services, but McMaster said providing any funding to Planned Parenthood amounts to a taxpayer “subsidy of abortion,” which is banned in South Carolina for women who are more than six weeks pregnant.Planned Parenthood, which provides a range of health services, filed suit against the state arguing that Medicaid patients have the right to receive care from any qualified provider.An appeals court ruled that Planned Parenthood cannot be excluded from the state’s Medicaid program and South Carolina appealed to the Supreme Court.- Voting rights -This case is a challenge by a group of white voters to a congressional map adopted last year by the state legislature of Louisiana creating a second Black majority district.Black people make up one-third of the population of Louisiana, which has six congressional districts, and generally vote Democratic.Opponents of the redrawn map argue that using race to design congressional maps is racial gerrymandering prohibited by the Constitution.The eventual Supreme Court ruling could have an impact on whether Democrats or Republicans control the House of Representatives in the 2026 midterm elections.
Mondial des clubs: Manchester City se teste contre la Juventus, avec la première place en jeu
Manchester City et la Juventus Turin, en phase de reconstruction après une saison décevante sans titre, se sont promenés jusqu’à présent dans le groupe G du Mondial des clubs et vont en découdre jeudi à Orlando pour le gain de la première place.L’affiche a de quoi faire saliver sur le papier entre deux géants du foot européen pour finir la phase de groupes de la compétition, même si l’hégémonie des Mancuniens est bien plus récente que celle des Turinois.Vainqueurs de la Ligue des champions en 2023, point d’orgue d’une ère glorieuse, également marquée par une domination sans partage en Premier League (2018, 2019, 2021, 2022, 2023, 2024), les Citizens veulent prouver que le gros passage à vide vécu ces derniers mois ne préfigure pas la fin de l’ère Pep Guardiola, à la tête de l’équipe depuis neuf ans. Pour cela, ils ont recruté trois jeunes joueurs prometteurs, le défenseur algérien Rayan Aït-Nouri (24 ans), le milieu néerlandais Tijjani Reijnders (26 ans) et surtout l’attaquant français Rayan Cherki (21 ans), chargé d’éclairer l’attaque, après le départ du Belge Kevin De Bruyne à Naples.Après des débuts timides contre le Wydad Casablanca (2-0), L’ancien lyonnais a montré un aperçu de son talent en étant buteur contre Al Ain (6-0). De quoi récolter quelques louanges de Guardiola: “on connaît le potentiel de Rayan. Je vois beaucoup de choses à l’entraînement et je me dis +quel joueur !+”.- Eviter le Real -Les “Blue skies” n’en restaient pas moins sur leur faim après la correction infligée à l’équipe émiratie, car ils s’étaient fixés l’objectif de marquer sept buts.Pourquoi tant de gourmandise ? Parce que si leur différence de buts est la même (+8), la Juventus se retrouve devant au classement pour en avoir marqué un de plus (9 et 1 encaissé). Ce qui suffirait à Turin pour finir premier, en cas de nul jeudi entre les deux équipes. Or l’enjeu est de taille car le 2e risque fort d’affronter en 8e de finale le Real Madrid, favori pour terminer en tête du groupe H.De fait, ce City-Juve doit aussi permettre à chacune des deux équipes de se tester vraiment face à un adversaire d’un tout autre calibre que leurs deux précédents sparring-partners.Pour Turin, lauréat de deux C1 (1985, 1996) et dont le dernier scudetto, le 36e, remonte à 2020, les heures de gloire commencent à dater, malgré une 15e coupe d’Italie en 2024. Aussi, la formation transalpine compte sur le coach croate Igor Tudor, arrivé fin mars en remplacement de Thiago Motta, pour renouer avec elle.La Juventus a montré des signes encourageants aux Etats-Unis – certes à relativiser étant donné la faiblesse des victimes Al Ain (5-0) et Wydad (4-1) – où le jeune ailier turc Kenan Yildiz s’est distingué en inscrivant trois buts et le Français Randal Kolo Muani deux.- “Match difficile” -C’est toutefois l’arrière-garde, largement remodelée à l’intersaison, avec les arrivées du gardien Michele Di Gregorio et des défenseurs Pierre Kalulu et Lloyd Kelly, qui sera scrutée contre l’armada de City menée par Erling Haaland et Bernardo Silva, le nouveau capitaine.”Tout le monde sait le type d’équipe qu’est Man City, ce qu’elle essaie de faire subir à l’adversaire”, a prévenu Kelly, ancien joueur de Bournemouth et de Newcastle. “Nous savons que ce sera un match difficile.”D’autant que du côté de Manchester, l’ambition affichée est de remporter ce premier Mondial des clubs à 32 équipes. “C’est pour cela que nous sommes ici, nous ne sommes pas en vacances, nous voulons gagner ce tournoi”, a martelé le gardien Stefan Ortega.Quant à Pep Guardiola, pour qui “rien n’effacera” vraiment la mauvaise saison écoulée, il sait qu’un parcours gagnant permettrait au moins de lancer la suivante sur les meilleures bases possibles. “Je veux faire de mon mieux. Je veux profiter de ce moment car on est là qu’une fois tous les quatre ans… Et je veux aller le plus loin possible”, a-t-il assuré.
Au Kenya, des milliers de manifestants commémorent les victimes du mouvement inédit de 2024
Des milliers de Kényans étaient de retour dans les rues mercredi, en mémoire des plus de 60 personnes tuées lors des manifestations historiques conduites un an plus tôt, malgré les craintes des violences de la police et de “voyous”. La prise du Parlement le 25 juin 2024 par des milliers de jeunes, réclamant le retrait de la loi de finances et la démission du président William Ruto, avait marqué l’apogée de protestations qui ont perduré jusqu’en juillet, durement réprimées par les forces de l’ordre.Plus de 60 personnes ont été tuées lors de ce mouvement inédit, selon les groupes de défense des droits humains. Plus de 80 personnes ont aussi été enlevées – certaines des mois après les manifestations – et des dizaines d’entre elles sont toujours portées disparues. Mercredi, les familles des victimes et les militants ont appelé à des rassemblements pacifiques, quand d’autres ont enjoint à “occuper le palais présidentiel”. Par crainte de violences, de nombreuses écoles et commerces étaient fermés, et le trafic était très fortement réduit à Nairobi. Dans la capitale, les principales rues menant au Parlement avaient été bloquées par la police et des bâtiments gouvernementaux étaient protégés par des barbelés. Dans le centre ville, des milliers de manifestants, essentiellement de jeunes hommes, scandant “Ruto doit partir” – leur cri de ralliement depuis un an -, brandissaient des drapeaux kényans, des portraits de ceux tués l’année dernière ou déposaient des fleurs devant l’hémicycle. “Je suis venu ici en tant que jeune kényan pour manifester. C’est notre droit, au nom de nos concitoyens kényans qui ont été tués l’année dernière. La police est là (…) ils sont censés nous protéger mais ils nous tuent”, a déclaré à l’AFP Eve, âgée de 24 ans et sans emploi. Anthony, 25 ans, vend des drapeaux tout en marchant, contre “les violences policières, l’oppression, les taxes élevées et tout ce qui ne va pas dans ce pays.””La marche est toujours pacifique, mais c’est quand la police (commence à envoyer) des gaz lacrymogènes que ça tourne au chaos”, ajoute-t-il. La télévision kényane diffusait également des images de rassemblements dans la grande ville côtière de Mombasa. – Colère -Le gouvernement de William Ruto s’est efforcé d’éviter toute hausse directe d’impôts dans le budget de cette année afin de limiter les troubles. Mais la récente mort en cellule d’Albert Ojwang, un enseignant de 31 ans qui avait critiqué un haut responsable de la police, a amplifié la colère d’une partie de la société, les forces de l’ordre ayant initialement tenté de camoufler son décès en suicide.Ce décès a déjà suscité ces dernières semaines des manifestations de quelques centaines de personnes contre les violences policières, qui ont engendré de nouvelles brutalités. La police a dit que les rassemblements étaient permis à condition d’être “pacifiques et non armés.” Le 17 juin à Nairobi, l’un d’eux a été marqué par des affrontements entre des manifestants, les forces de l’ordre et des “voyous” armés qui s’en sont pris aux protestataires et travaillaient en tandem avec la police, ont constaté des journalistes de l’AFP. Un policier a tiré à bout portant sur un vendeur non violent, une scène filmée devenue virale, qui a accentué la colère dans le pays. “Il est extrêmement important que les jeunes célèbrent le 25 juin parce qu’ils ont perdu des gens qui leur ressemblent, qui parlent comme eux (…) qui se battent pour la bonne gouvernance”, a souligné à l’AFP Angel Mbuthia, présidente d’un mouvement de jeunes du parti d’opposition Jubilee Party.”Il n’y a rien de bon à célébrer dans les événements de l’année dernière”, a à l’inverse estimé l’analyste et avocat Javas Bigambo, qui craint une exploitation politique de la colère populaire.- “Menace contre notre nation” -Huit diplomates occidentaux ont appelé mardi à la retenue lors des commémorations, se disant “préoccupés par le recours à des +voyous+ pour infiltrer ou perturber des rassemblements pacifiques”.”Nous appelons chacun à faciliter les manifestations pacifiques et à s’abstenir de toute violence”, ont-ils déclaré, alors que médias et réseaux sociaux font état de plans décidés au plus haut niveau de l’Etat pour réprimer fortement les protestataires mercredi.Cet appel, signé notamment par les ambassadeurs américain et britannique, est survenu peu après que William Ruto a promis aux policiers que son gouvernement les “soutiendrait”.”Personne n’est au-dessus de la loi”, a-t-il lancé, avertissant que le recours à la force, aux insultes ou aux menaces contre des policiers constituent une “menace contre notre nation”.
‘Not Test class’: Pundits tear into India after England chase 371
Former players, including Sunil Gavaskar, tore into India Wednesday, blaming lower-order batting failures, poor bowling and sloppy fielding for the chastening first Test defeat at Headingley.A young India team, under new captain Shubman Gill and without the retired Virat Kohli and Rohit Sharma, went down by five wickets as England comfortably chased what should have been a daunting 371 to win on Tuesday’s final day.Five India batsmen, including Gill, scored hundreds, but two collapses — from 430-3 to 471 all out in the first innings and 333-4 to 364 in the second — kept England in the game.India put down several catches, with Yashasvi Jaiswal dropping Ben Duckett on 97 on the final day — and the opener went on to score 149 to set up victory.”Full credit to England. Despite India having five centurions, they seemed to have that confidence,” Gavaskar said on Sony Sports.”That is what made them take the final wickets. So that is where India also missed out because those extra runs could have made the difference,” added the former captain.”As far as the fielding was concerned, it’s just not the catches, but the outfielding was pretty ordinary. Not Test class.”Hopefully, lessons have been learned.”Pace spearhead Jasprit Bumrah took 5-83 in the first innings, but was blunted by England during the winning chase and went wicketless.Veteran left-arm spinner Ravindra Jadeja was expected to be a force on a wearing fifth-day wicket, but he took just 1-104 as Duckett mercilessly reverse swept him for a series of boundaries, including one majestic six over deep cover.”I’m going to be critical of Jadeja because this is a final-day pitch,” former India batsman Sanjay Manjrekar said.”There was rough for him to play with, and in the end, I know there were a couple of chances there, but we have to expect more from Jadeja.”India head coach Gautam Gambhir defended his lower-order batsmen.”I think they were more disappointed than anyone, because they knew we had the opportunity,” said Gambhir.”Hopefully they’ll learn, and hopefully we’ll get better performances from our tail.”
Drogue: deux morts dont un policier belge tués dans une course-poursuite en Lorraine
Deux personnes, un policier belge et un occupant d’un véhicule que les autorités belges poursuivaient, sont décédées dans la nuit de mardi à mercredi sur une route à hauteur d’Angevillers (Moselle), percutés par une autre voiture, a-t-on appris auprès de la gendarmerie.Mardi soir, vers 22H45, le véhicule poursuivi par la police belge, soupçonné d’être un “go-fast”, s’est arrêté sur la route deux fois deux voies et ses deux occupants en sont sortis en courant.Des policiers belges les ont poursuivis à pied. Percutés par une voiture qui arrivait en face, l’un des occupants du véhicule poursuivi et un policier belge sont décédés.La voiture est soupçonnée d’être un “go-fast”, une méthode utilisée par les trafiquants pour le transport des stupéfiants, qui consiste à rouler à très grande vitesse pour éviter les contrôles de police. Elle était poursuivie depuis la Belgique par trois véhicules de la police belge, alors qu’elle réalisait un trajet Belgique-France, selon la gendarmerie. “Nous devons malheureusement confirmer qu’un collègue de la police de la route est décédé pendant une intervention sur la D14 juste au-delà de la frontière française. Par respect pour sa famille, ses amis et ses collègues proches, nous ne donnerons pas d’autres détails pour le moment. Nos pensées vont vers eux”, a réagi auprès de l’AFP la police fédérale belge.Les faits se sont produits en France à hauteur d’Angevillers, à une quarantaine de kilomètres de la frontière belge.Les autorités belges et françaises sont amenées à coopérer régulièrement d’un côté ou de l’autre de la frontière, qu’elles peuvent franchir dans le cadre de la poursuite de malfaiteurs.L’enquête est confiée à la brigade de recherches de Thionville.Le parquet de Thionville a annoncé une communication à venir dans la matinée.
Des astronautes hongrois, indien et polonais décollent vers l’ISS
Quatre astronautes, un Hongrois, un Indien, un Polonais et une Américaine, ont décollé mercredi de Cap Canaveral pour rallier la Station spatiale internationale (ISS), première fois qu’un Indien y entrera.Le lanceur Falcon 9 de l’entreprise américaine Space X a fait décoller les quatre astronautes installés dans la capsule Crew Dragon à 06H31 GMT, dans le cadre de la mission privée américaine Axiom 4.L’équipage devrait s’amarrer à l’ISS jeudi à environ 11H00 GMT et y rester jusqu’à 14 jours.L’astronaute indien Shubhanshu Shukla pilotera cette mission aux côtés du Polonais Slawosz Uznanski-Wisniewski, du Hongrois Tibor Kapu et de l’Américaine Peggy Whitson, une ex-astronaute de la Nasa travaillant désormais pour Axiom Space, entreprise américaine proposant entre autres des vols spatiaux privés.Au cours de ce séjour, ils réaliseront une soixantaine d’expériences, notamment sur les micro-algues et les tardigrades, des animaux microscopiques.Les derniers vols spatiaux menés par l’Inde, la Pologne ou la Hongrie remontent à plus de 40 ans. Les prédécesseurs des astronautes d’aujourd’hui étaient alors appelés “cosmonautes” car ils volaient à bord de vaisseaux soviétiques. C’était avant l’effondrement du bloc de l’Est.- Soft power -“J’emporte avec moi non seulement des instruments et des équipements, mais également les espoirs et les rêves d’un milliard de coeurs”, a récemment déclaré l’indien Shubhanshu Shukla lors d’une conférence de presse.Agé de 39 ans, le pilote doit entrer dans l’histoire de son pays le plus peuplé de la planète, en devenant le premier Indien à rejoindre l’ISS et le deuxième à aller en orbite après Rakesh Sharma, qui avait rejoint en 1984 la station spatiale soviétique Saliout 7.Sa participation à la mission d’Axiom doit constituer une étape clé en vue du premier vol habité que l’Inde prévoit de mener en 2027.Une fois dans l’ISS, M. Shukla devrait s’entretenir avec une “personnalité importante”, le Premier ministre indien Narendra Modi, selon les médias de ce pays.”Un moment de fierté pour l’Inde !” a réagi Jitendra Singh, ministre des Sciences et Technologies, saluant le capitaine Shukla et affirmant l’Inde est “une nation en première ligne dans l’exploration spatiale”.Les trois nations financent elles-mêmes l’envoi de leur astronaute. La Hongrie a annoncé en 2022 qu’elle payait son billet 100 millions de dollars tandis que l’Inde et la Pologne n’ont pas dévoilé la somme déboursée pour ce moment de fierté nationale et de soft power.Selon des médias indiens, New Delhi aurait dépensé plus de 60 millions de dollars (52 millions d’euros).Cette mission survient après la dispute spectaculaire survenue début juin entre Donald Trump et Elon Musk, au cours de laquelle le richissime entrepreneur a menacé de mettre hors service sa capsule Crew Dragon avant de rétropédaler.Utilisée par Axiom, Crew Dragon joue également un rôle crucial pour l’Agence spatiale américaine (Nasa) car c’est, à ce jour, le seul vaisseau américain habilité à acheminer des astronautes vers l’ISS.Le conflit entre les deux hommes a mis en lumière l’interdépendance du gouvernement américain et de cette société spatiale privée, la Nasa et le Pentagone ayant largement recours aux fusées et vaisseaux de SpaceX pour envoyer des équipages, cargaisons et satellites dans l’espace.