Les Bourses européennes finissent en nette hausse

Les marchés boursiers européens ont terminé la séance en forte augmentation vendredi, dans l’attente de l’investiture de Donald Trump, sur un marché optimiste quant à la poursuite de l’assouplissement monétaire de la Réserve fédérale (Fed).Paris a gagné 0,98%, Francfort 1,20% et Londres 1,35%. Milan a pris 1,25%.

La Russie et l’Iran renforcent leur alliance avec un nouveau pacte stratégique

Le président russe Vladimir Poutine et son homologue Massoud Pezeshkian ont signé vendredi au Kremlin un accord de partenariat stratégique renforçant notamment leur “coopération militaire”, dans le cadre de leur alliance voulue comme un contrepoids à tout “diktat” de l’Occident.Soumis à de lourdes sanctions internationales qui affectent leurs économies, la Russie et l’Iran ont opéré un rapprochement accéléré ces dernières années, en particulier depuis l’assaut contre l’Ukraine.Les deux pays ont également essuyé, en décembre, un échec commun et une perte d’influence avec la fuite de Syrie de leur allié Bachar al-Assad.Vendredi, Vladimir Poutine et Massoud Pezeshkian ont signé un “accord de partenariat stratégique global”, un pacte couvrant de multiples domaines.Il s’agit d’un texte “aux objectifs ambitieux”, a vanté Vladimir Poutine, en affirmant que Moscou et Téhéran s’opposaient ensemble “à tout diktat venu de l’extérieur”.Massoud Pezeshkian s’est lui satisfait d’un accord qui ouvrira des “horizons” entre les deux pays.  – “Menaces sécuritaires” -L’accord prévoit notamment de “développer la coopération militaire” et de se soutenir face à des “menaces sécuritaires”, selon le contenu de l’accord en 47 articles publié par le Kremlin après la signature.D’après le document, si la Russie ou l’Iran faisait face à une “agression”, l’autre pays ne fournirait aucune “aide” au pays agresseur. Ce point ne prévoit toutefois pas que les pays signataires s’apporteraient une assistance militaire dans ce cas de figure.Moscou a conclu un texte portant le même nom avec la Corée du Nord l’an dernier. Un article de ce document prévoit lui “une aide militaire immédiate” en cas d’agression armée d’un pays tiers. Mais le chef de la diplomatie iranienne, Abbas Araghchi, cité par des médias russes, avait affirmé cette semaine que le traité avec Téhéran ne visait pas à “créer une alliance militaire” similaire à celle scellée entre Moscou et Pyongyang.La Corée du Nord est accusée par Kiev et les Occidentaux d’avoir envoyé combattre des soldats avec l’armée russe contre les forces ukrainiennes. Moscou et Pyongyang n’ont ni confirmé, ni démenti.Téhéran est pour sa part accusé par les Occidentaux de fournir des drones explosifs et des missiles de courte portée à la Russie, aidant ainsi l’armée russe en Ukraine. Des accusations rejetées par l’Iran.L’accord signé vendredi prévoit aussi des échanges “dans le domaine des utilisations pacifiques de l’énergie atomique”, notamment “la construction d’installations d’énergie nucléaire”.- Ukraine et Gaza -Téhéran et Moscou se veulent des contrepoids, avec Pékin et Pyongyang, à l’influence américaine. Ils ont tissé des liens étroits et se soutiennent dans de nombreux dossiers internationaux, du Moyen-Orient au conflit en Ukraine.Cette signature intervient quelques jours avant le retour au pouvoir à Washington de Donald Trump, artisan d’une politique dite de “pression maximale” envers l’Iran durant son premier mandat (2017-2021).Le président élu américain a aussi promis de rapidement mettre un terme au conflit en Ukraine, sans préciser comment.Vendredi, Massoud Pezeshkian a lui appelé durant sa conférence de presse commune avec Vladimir Poutine à “des négociations et la paix” entre Moscou et Kiev, trois ans après le début de l’assaut lancé par le Kremlin.Une précédente traduction en russe de ses propos évoquait un “règlement politique” de ce conflit.Les deux dirigeants ont dit avoir évoqué l’accord de trêve entre Israël et le Hamas, Vladimir Poutine disant espérer une “stabilisation à long terme”.”Nous espérons qu’un cessez-le-feu permanent sera établi à Gaza et que les agressions sur cette terre cesseront”, a dit Massoud Pezeshkian.- “Hégémonie” -“L’Iran et la Russie, conscients de leur responsabilité historique, construisent un nouvel ordre”, a écrit Abbas Araghchi, le chef de la diplomatie iranienne, dans un article publié cette semaine par l’agence de presse russe Ria Novosti.Il a affirmé qu’il s’agissait de remplacer “l’hégémonie” – sous-entendue occidentale – par la “coopération”.Massoud Pezeshkian, arrivé vendredi matin à Moscou, avait plus tôt déposé une gerbe de fleurs devant la tombe du Soldat inconnu et a rencontré le Premier ministre russe Mikhaïl Michoustine.La dernière rencontre entre MM. Pezeshkian et Poutine remontait à octobre, lors du sommet des BRICS en Russie. Vladimir Poutine avait alors appelé à consolider la “dynamique positive” concernant leur coopération économique.La Russie souhaite notamment développer un projet de corridor logistique – rail et maritime – entre Moscou, Bakou et Téhéran, sur un axe nord-sud.

La Russie et l’Iran renforcent leur alliance avec un nouveau pacte stratégique

Le président russe Vladimir Poutine et son homologue Massoud Pezeshkian ont signé vendredi au Kremlin un accord de partenariat stratégique renforçant notamment leur “coopération militaire”, dans le cadre de leur alliance voulue comme un contrepoids à tout “diktat” de l’Occident.Soumis à de lourdes sanctions internationales qui affectent leurs économies, la Russie et l’Iran ont opéré un rapprochement accéléré ces dernières années, en particulier depuis l’assaut contre l’Ukraine.Les deux pays ont également essuyé, en décembre, un échec commun et une perte d’influence avec la fuite de Syrie de leur allié Bachar al-Assad.Vendredi, Vladimir Poutine et Massoud Pezeshkian ont signé un “accord de partenariat stratégique global”, un pacte couvrant de multiples domaines.Il s’agit d’un texte “aux objectifs ambitieux”, a vanté Vladimir Poutine, en affirmant que Moscou et Téhéran s’opposaient ensemble “à tout diktat venu de l’extérieur”.Massoud Pezeshkian s’est lui satisfait d’un accord qui ouvrira des “horizons” entre les deux pays.  – “Menaces sécuritaires” -L’accord prévoit notamment de “développer la coopération militaire” et de se soutenir face à des “menaces sécuritaires”, selon le contenu de l’accord en 47 articles publié par le Kremlin après la signature.D’après le document, si la Russie ou l’Iran faisait face à une “agression”, l’autre pays ne fournirait aucune “aide” au pays agresseur. Ce point ne prévoit toutefois pas que les pays signataires s’apporteraient une assistance militaire dans ce cas de figure.Moscou a conclu un texte portant le même nom avec la Corée du Nord l’an dernier. Un article de ce document prévoit lui “une aide militaire immédiate” en cas d’agression armée d’un pays tiers. Mais le chef de la diplomatie iranienne, Abbas Araghchi, cité par des médias russes, avait affirmé cette semaine que le traité avec Téhéran ne visait pas à “créer une alliance militaire” similaire à celle scellée entre Moscou et Pyongyang.La Corée du Nord est accusée par Kiev et les Occidentaux d’avoir envoyé combattre des soldats avec l’armée russe contre les forces ukrainiennes. Moscou et Pyongyang n’ont ni confirmé, ni démenti.Téhéran est pour sa part accusé par les Occidentaux de fournir des drones explosifs et des missiles de courte portée à la Russie, aidant ainsi l’armée russe en Ukraine. Des accusations rejetées par l’Iran.L’accord signé vendredi prévoit aussi des échanges “dans le domaine des utilisations pacifiques de l’énergie atomique”, notamment “la construction d’installations d’énergie nucléaire”.- Ukraine et Gaza -Téhéran et Moscou se veulent des contrepoids, avec Pékin et Pyongyang, à l’influence américaine. Ils ont tissé des liens étroits et se soutiennent dans de nombreux dossiers internationaux, du Moyen-Orient au conflit en Ukraine.Cette signature intervient quelques jours avant le retour au pouvoir à Washington de Donald Trump, artisan d’une politique dite de “pression maximale” envers l’Iran durant son premier mandat (2017-2021).Le président élu américain a aussi promis de rapidement mettre un terme au conflit en Ukraine, sans préciser comment.Vendredi, Massoud Pezeshkian a lui appelé durant sa conférence de presse commune avec Vladimir Poutine à “des négociations et la paix” entre Moscou et Kiev, trois ans après le début de l’assaut lancé par le Kremlin.Une précédente traduction en russe de ses propos évoquait un “règlement politique” de ce conflit.Les deux dirigeants ont dit avoir évoqué l’accord de trêve entre Israël et le Hamas, Vladimir Poutine disant espérer une “stabilisation à long terme”.”Nous espérons qu’un cessez-le-feu permanent sera établi à Gaza et que les agressions sur cette terre cesseront”, a dit Massoud Pezeshkian.- “Hégémonie” -“L’Iran et la Russie, conscients de leur responsabilité historique, construisent un nouvel ordre”, a écrit Abbas Araghchi, le chef de la diplomatie iranienne, dans un article publié cette semaine par l’agence de presse russe Ria Novosti.Il a affirmé qu’il s’agissait de remplacer “l’hégémonie” – sous-entendue occidentale – par la “coopération”.Massoud Pezeshkian, arrivé vendredi matin à Moscou, avait plus tôt déposé une gerbe de fleurs devant la tombe du Soldat inconnu et a rencontré le Premier ministre russe Mikhaïl Michoustine.La dernière rencontre entre MM. Pezeshkian et Poutine remontait à octobre, lors du sommet des BRICS en Russie. Vladimir Poutine avait alors appelé à consolider la “dynamique positive” concernant leur coopération économique.La Russie souhaite notamment développer un projet de corridor logistique – rail et maritime – entre Moscou, Bakou et Téhéran, sur un axe nord-sud.

La Russie et l’Iran renforcent leur alliance avec un nouveau pacte stratégique

Le président russe Vladimir Poutine et son homologue Massoud Pezeshkian ont signé vendredi au Kremlin un accord de partenariat stratégique renforçant notamment leur “coopération militaire”, dans le cadre de leur alliance voulue comme un contrepoids à tout “diktat” de l’Occident.Soumis à de lourdes sanctions internationales qui affectent leurs économies, la Russie et l’Iran ont opéré un rapprochement accéléré ces dernières années, en particulier depuis l’assaut contre l’Ukraine.Les deux pays ont également essuyé, en décembre, un échec commun et une perte d’influence avec la fuite de Syrie de leur allié Bachar al-Assad.Vendredi, Vladimir Poutine et Massoud Pezeshkian ont signé un “accord de partenariat stratégique global”, un pacte couvrant de multiples domaines.Il s’agit d’un texte “aux objectifs ambitieux”, a vanté Vladimir Poutine, en affirmant que Moscou et Téhéran s’opposaient ensemble “à tout diktat venu de l’extérieur”.Massoud Pezeshkian s’est lui satisfait d’un accord qui ouvrira des “horizons” entre les deux pays.  – “Menaces sécuritaires” -L’accord prévoit notamment de “développer la coopération militaire” et de se soutenir face à des “menaces sécuritaires”, selon le contenu de l’accord en 47 articles publié par le Kremlin après la signature.D’après le document, si la Russie ou l’Iran faisait face à une “agression”, l’autre pays ne fournirait aucune “aide” au pays agresseur. Ce point ne prévoit toutefois pas que les pays signataires s’apporteraient une assistance militaire dans ce cas de figure.Moscou a conclu un texte portant le même nom avec la Corée du Nord l’an dernier. Un article de ce document prévoit lui “une aide militaire immédiate” en cas d’agression armée d’un pays tiers. Mais le chef de la diplomatie iranienne, Abbas Araghchi, cité par des médias russes, avait affirmé cette semaine que le traité avec Téhéran ne visait pas à “créer une alliance militaire” similaire à celle scellée entre Moscou et Pyongyang.La Corée du Nord est accusée par Kiev et les Occidentaux d’avoir envoyé combattre des soldats avec l’armée russe contre les forces ukrainiennes. Moscou et Pyongyang n’ont ni confirmé, ni démenti.Téhéran est pour sa part accusé par les Occidentaux de fournir des drones explosifs et des missiles de courte portée à la Russie, aidant ainsi l’armée russe en Ukraine. Des accusations rejetées par l’Iran.L’accord signé vendredi prévoit aussi des échanges “dans le domaine des utilisations pacifiques de l’énergie atomique”, notamment “la construction d’installations d’énergie nucléaire”.- Ukraine et Gaza -Téhéran et Moscou se veulent des contrepoids, avec Pékin et Pyongyang, à l’influence américaine. Ils ont tissé des liens étroits et se soutiennent dans de nombreux dossiers internationaux, du Moyen-Orient au conflit en Ukraine.Cette signature intervient quelques jours avant le retour au pouvoir à Washington de Donald Trump, artisan d’une politique dite de “pression maximale” envers l’Iran durant son premier mandat (2017-2021).Le président élu américain a aussi promis de rapidement mettre un terme au conflit en Ukraine, sans préciser comment.Vendredi, Massoud Pezeshkian a lui appelé durant sa conférence de presse commune avec Vladimir Poutine à “des négociations et la paix” entre Moscou et Kiev, trois ans après le début de l’assaut lancé par le Kremlin.Une précédente traduction en russe de ses propos évoquait un “règlement politique” de ce conflit.Les deux dirigeants ont dit avoir évoqué l’accord de trêve entre Israël et le Hamas, Vladimir Poutine disant espérer une “stabilisation à long terme”.”Nous espérons qu’un cessez-le-feu permanent sera établi à Gaza et que les agressions sur cette terre cesseront”, a dit Massoud Pezeshkian.- “Hégémonie” -“L’Iran et la Russie, conscients de leur responsabilité historique, construisent un nouvel ordre”, a écrit Abbas Araghchi, le chef de la diplomatie iranienne, dans un article publié cette semaine par l’agence de presse russe Ria Novosti.Il a affirmé qu’il s’agissait de remplacer “l’hégémonie” – sous-entendue occidentale – par la “coopération”.Massoud Pezeshkian, arrivé vendredi matin à Moscou, avait plus tôt déposé une gerbe de fleurs devant la tombe du Soldat inconnu et a rencontré le Premier ministre russe Mikhaïl Michoustine.La dernière rencontre entre MM. Pezeshkian et Poutine remontait à octobre, lors du sommet des BRICS en Russie. Vladimir Poutine avait alors appelé à consolider la “dynamique positive” concernant leur coopération économique.La Russie souhaite notamment développer un projet de corridor logistique – rail et maritime – entre Moscou, Bakou et Téhéran, sur un axe nord-sud.

Foot: le PSG privé de Dembélé contre Lens à cause d’un syndrôme viral

Ousmane Dembélé manquera le déplacement du Paris SG à Lens en Ligue 1 samedi (17h00) à cause d’un virus qui l’a déjà privé de Coupe de France mercredi, à quelques jours du match crucial contre Manchester City en Ligue des champions mercredi prochain au Parc des Princes.Selon un communiqué du club, le capitaine Marquinhos ressent pour sa part toujours une “gêne aux adducteurs” et risque lui de rater une troisième rencontre d’affilée, après le match de Coupe contre Espaly (victoire 4-2) à Clermont-Ferrand et la réception de Saint-Etienne le week-end dernier (2-1).”Marquinhos va très bien mais on ne va surtout pas prendre de risque”, a déclaré l’entraîneur Luis Enrique vendredi.Quant à Dembélé, il “a un virus, donc il ne pourra pas être aligné demain” à Lens, a dit l’Espagnol. Un coup dur qui fait naître une inquiétude sur la présence du plus efficace attaquant du PSG cette saison (11 buts, 7 passes décisives) contre Manchester City.Avant la réception de City, le PSG est 25e sur 36 de la phase de ligue, une place éliminatoire.

Russia, Iran harden military and trade ties in new pact

Russia and Iran signed a new treaty on Friday underpinning their economic and military cooperation, in what both sides cast as a major milestone in their relations.Moscow has looked to the Islamic republic as a strategic ally since sending troops into Ukraine in February 2022, worrying Western officials who see both as malign actors on the world stage.The two sides agreed to help each other counter common “security threats”, according to a copy of the text published by the Kremlin. But they stopped short of a mutual defence pact like the one signed between Russia and North Korea last year.They also agreed that if either side was subjected to aggression, the other would not provide “assistance to the aggressor”.Russian President Vladimir Putin and his Iranian counterpart Masoud Pezeshkian, who signed the agreement together at a ceremony in the Kremlin, both hailed the accord as a new chapter in their ties.”This truly breakthrough document is aimed at creating the necessary conditions for the stable and sustainable development of Russia and Iran and our entire Eurasian region,” Putin said.Pezeshkian said the pact would “open a new chapter in relations between Iran and Russia in all fields, especially in the field of economic cooperation.”- ‘All areas’ -The two sides agreed to “support trade and economic cooperation in all areas”, a key point as both sides ramp up trade in the face of heavy Western sanctions on their energy industry.They also agreed to cooperate on training military personnel, as well as to formalise the docking of warships and vessels at each others’ ports.The agreement did not explicitly reference the exchange of weapons, an area of cooperation that the West has slapped with sanctions.Iran has already supplied Russia with self-detonating “Shahed” drones that Moscow fires on Ukraine in nightly barrages, according to Ukrainian and Western officials.Sitting next to Putin in the Kremlin after signing the treaty, Pezeshkian called for a political settlement to end the nearly three-year conflict.”I would like to remind that war is not a suitable solution to solve problems and we welcome negotiations and achieving peace between the two countries of Russia and Ukraine,” he said.Moscow and Tehran had been working on a new treaty for years. Their previous relationship was governed by a 2001 document they have renewed periodically.They share a complicated history. Iran and Russia fought wars in the 18th and 19th centuries over land in the Caucasus, and the Soviet Union and Britain launched a joint invasion of Persia during World War II.- ‘Global hegemony’ -Russian President Vladimir Putin has made building ties with Iran, China and North Korea a cornerstone of his foreign policy as he seeks to challenge what he calls as a US-led “global hegemony” and amid his Ukraine offensive.Tehran has also sought closer ties with Moscow, after suffering a series of foreign policy setbacks last year.A rebel offensive overthrew Russian and Iranian-backed Syrian leader Bashar al-Assad last month, and a war between Israel and Tehran-ally Hezbollah substantially weakened the Islamist militant group.Speaking ahead of a fragile truce between Israel and the Iran-backed Hamas that was due to come into force, Pezeshkian said he hoped a “permanent ceasefire will be established in Gaza and the aggressions on this land will end”.Putin also expressed hope for a “long-term stabilisation” in Gaza and called for the world not to “weaken efforts for a comprehensive settlement of the Palestinian-Israeli conflict on the basis of international law”.Pezeshkian’s visit to Russia also comes just days before Iran-hawk Donald Trump returns to the White House.The US President-elect, who is seeking a rapid end to the conflicts in Ukraine and the Middle East, has made repeated military threats against the Islamic republic.During his first term, the Republican pulled out of a multinational deal that provided Iran sanctions relief in exchange for restrictions on its nuclear programme.In 2020, Iranian Revolutionary Guards commander Qasem Soleimani was assassinated in a US drone strike in Iraq on Trump’s orders, prompting a wave of fury in Iran.Trump last year warned the US would “wipe (Iran) off the face of the Earth” if a recent alleged Iranian plot to kill him had been succesful.