Elon Musk says has no plans to acquire TikTok’s US operations

Elon Musk, the world’s richest person and a top advisor to US President Donald Trump, said he has no interest in acquiring social media platform TikTok’s operations in the United States, in comments released Saturday.”I’ve not put in a bid for TikTok and I don’t have any plans for what I would do if I had TikTok,” said Musk in comments made via videolink at a German forum in late January that were released on the weekend.TikTok is facing down a US law that ordered the company broken off from its Chinese owner ByteDance or otherwise be banned in the United States over national security concerns regarding the data it gathers on users.In one of his first acts in office, Trump ordered a pause on enforcing the law that should have seen TikTok effectively made illegal in the country a day before he took office for a second term.Soon after, Trump said he would be open to Musk — the owner of social media platform X, Tesla and a slew of other companies — buying the platform.Musk, however, said he did not wish to acquire the company.”I don’t use TikTok personally, so, you know, I’m not that familiar with it,” he said. “I’m not chomping at the bit to acquire TikTok.”Musk bought social media giant Twitter, which he renamed X, for $44 billion in 2022, insisting he was doing so in order to safeguard “free speech.”Since his takeover, rights campaigners warn there has been a spike in hate speech and disinformation on the platform.Musk was one of Trump’s main financial backers in his presidential campaign, and is heading the US president’s budget-slashing initiatives.His so-called “Department of Government Efficiency” (DOGE) has targeted a range of federal government agencies and regulators, with the apparent intent of shutting them down and firing staff, especially those not in line with Trump’s political agenda.On Saturday, a US judge issued an emergency order blocking Musk’s government reform team from accessing personal and financial data for millions of Americans stored at the Treasury Department, court documents showed.In the comments at the forum in Germany, Musk also took aim at Diversity, Equity and Inclusion (DEI) initiatives, which are meant to support historically oppressed and disenfranchised communities.”DEI is simply racism rebranded,” he said. “I’m against racism and sexism no matter who it’s directed against.”US officials have been racing to enact Trump’s war on DEI across the federal bureaucracy — dismantling training initiatives, scrapping grants and sidelining hundreds of workers.In Germany, Musk has voiced firm support for the far-right anti-immigration AfD party — a political taboo in a country whose Nazi past remains a sensitive subject.

Espagne: Mbappé sauve un point pour le Real face à l’Atlético

A nouveau décisif, Kylian Mbappé a permis samedi au Real Madrid de conserver la tête de la Liga en sauvant un point (1-1) face à l’Atletico dans un derby marqué par des polémiques arbitrales.Mené 1-0 à la mi-temps après l’ouverture du score de l’Argentin Julian Alvarez sur un pénalty litigieux concédé par l’international français Aurélien Tchouaméni (35e, 1-0), le géant espagnol s’est relancé grâce au premier but dans un derby madrilène de Mbappé (50e, 1-1). Mais il n’a ensuite pas su décrocher la victoire.Le Real, toujours leader avec 50 points, conserve son trône, mais n’a pas le droit à l’erreur, car il reste sous la menace de son voisin (2e, 49 points) et offre la possibilité à son grand rival, le FC Barcelone (3e, 45 points), de revenir à deux longueurs en cas de succès à Séville dimanche (21H).Au terme d’une semaine tendue, où le club merengue, s’estimant lesé dans sa défaite face à l’Espanyol Barcelone (1-0), a vivement critiqué un arbitrage “totalement discrédité” et “corrompu de l’intérieur”, ce choc au sommet a été marqué par plusieurs décisions qui risquent de faire beaucoup parler en Espagne.”Je crois que c’est la VAR qui a sifflé le pénalty. L’arbitre était proche de l’action, il avait bien vu le contact mais il n’avait pas sifflé. Ils ont sifflé un pénalty similaire à Bilbao contre Gérone, et je crois que les professionnels du football ne comprennent pas ces coups de sifflets”, a regretté l’entraîneur de la Maison Blanche Carlo Ancelotti.”Les joueurs sont déçus, car ils estiment qu’ils méritaient de gagner. Nous en étions très proches, car nous avons eu un contrôle total du jeu en deuxième mi-temps. Mais nous pouvons être satisfaits, car nous restons leaders”, a-t-il ajouté. Incapable de s’imposer face à son rival rojiblanco pour la cinquième fois consécutive en championnat, le champion d’Espagne et d’Europe en titre, peut surtout regretter une première mi-temps ratée et un manque de réussite devant le but.- Tchouaméni fautif -Sur la pelouse du Santiago-Bernabéu, où l’Atlético était déjà venu arracher le nul la saison dernière, le choc attendu a accouché d’un duel âpre, mais avec beaucoup de déchet technique, ne permettant pas à la rencontre de s’emballer réellement.La défense expérimentale des Merengues, privée de nombreux titulaires blessés (Carvajal, Militao, Rudiger, Alaba), a finalement plutôt bien résisté à la force offensive des Colchoneros, jusqu’à l’intervention de la VAR à la demi-heure de jeu pour signaler une semelle de Tchouaméni, à nouveau aligné en défense centrale, sur Lino dans la surface.Après visionnage du ralenti, l’arbitre Soto Grado a accordé le pénalty, transformé d’une panenka par l’Argentin Julian Alvarez (35e, 1-0), au gran dam des supporters du Real, fous de rage, qui ont fait résonner le chant “corruption, à la Fédération”.Rentrés au vestiaire sous les sifflets, sûrement plus destinés à l’arbitre qu’aux joueurs, les hommes de Carlo Ancelotti sont revenus forts en seconde période et ont logiquement égalisé, grâce au 23e but de la saison de Kylian Mbappé, bien placé pour rabattre du droit un ballon repoussé par Oblak (50e, 1-1).Le portier slovène, bien aidé par sa barre transversale (52e) mais impérial sur sa ligne, a été le héros de la soirée côté colchonero en mettant en échec Jude Bellingham (57e) et Mbappé (89e), préservant ainsi toutes les chances des hommes de Diego Simeone dans la course au titre.La balle est désormais dans les pieds du Barça, qui a l’occasion dimanche de venir se mêler à cette lutte des géants en tête du championnat.

Sarkozy annonce “renoncer à toute expression médiatique” et “mettre entre parenthèses” ses activités publiques d’ex-président (sur X)

“J’ai décidé de mettre entre parenthèses mes activités publiques d’ancien Président, et de renoncer à toute expression médiatique”, a indiqué samedi sur X Nicolas Sarkozy, 24 heures après s’être vu poser un bracelet électronique, une première pour un ancien chef de l’Etat.”Je continuerai à exercer ma vie professionnelle comme j’en ai reçu le droit”, a ajouté l’avocat de profession.Dans l’affaire des écoutes, l’ex-chef de l’Etat a été définitivement condamné à un an d’emprisonnement ferme aménagé sous bracelet électronique, pour corruption et trafic d’influence.Il ne peut désormais quitter son domicile qu’entre 8H00 et 20H00 – jusqu’à 21H30 les jours d’audience du procès dans l’affaire des soupçons de financement libyen de sa campagne 2007, pour lequel il est prévenu devant le tribunal correctionnel de Paris jusqu’au 10 avril.Un agent de surveillance électronique de l’administration pénitentiaire est venu vendredi à son domicile pour poser le bracelet à sa cheville, et paramétrer le dispositif.Cette procédure avait été lancée après le rejet le 18 décembre de son pourvoi en cassation, dernier recours possible devant les juridictions françaises.Dans son message sur X, l’ancien président de la République (2007-2012) indique qu’il déposera “avant la fin du mois” un recours devant la Cour européenne des droits de l’Homme, “qui dira si j’ai été victime, comme je le crois, d’une injustice et en tirera toutes les conséquences”. Celui-ci n’est toutefois pas suspensif de la peine prononcée.

Sarkozy annonce “renoncer à toute expression médiatique” et “mettre entre parenthèses” ses activités publiques d’ex-président (sur X)

“J’ai décidé de mettre entre parenthèses mes activités publiques d’ancien Président, et de renoncer à toute expression médiatique”, a indiqué samedi sur X Nicolas Sarkozy, 24 heures après s’être vu poser un bracelet électronique, une première pour un ancien chef de l’Etat.”Je continuerai à exercer ma vie professionnelle comme j’en ai reçu le droit”, a ajouté l’avocat de profession.Dans l’affaire des écoutes, l’ex-chef de l’Etat a été définitivement condamné à un an d’emprisonnement ferme aménagé sous bracelet électronique, pour corruption et trafic d’influence.Il ne peut désormais quitter son domicile qu’entre 8H00 et 20H00 – jusqu’à 21H30 les jours d’audience du procès dans l’affaire des soupçons de financement libyen de sa campagne 2007, pour lequel il est prévenu devant le tribunal correctionnel de Paris jusqu’au 10 avril.Un agent de surveillance électronique de l’administration pénitentiaire est venu vendredi à son domicile pour poser le bracelet à sa cheville, et paramétrer le dispositif.Cette procédure avait été lancée après le rejet le 18 décembre de son pourvoi en cassation, dernier recours possible devant les juridictions françaises.Dans son message sur X, l’ancien président de la République (2007-2012) indique qu’il déposera “avant la fin du mois” un recours devant la Cour européenne des droits de l’Homme, “qui dira si j’ai été victime, comme je le crois, d’une injustice et en tirera toutes les conséquences”. Celui-ci n’est toutefois pas suspensif de la peine prononcée.

USA: un juge empêche l’équipe d’Elon Musk d’accéder à des données sensibles du Trésor

Un juge fédéral américain a décidé samedi d’empêcher les équipes d’Elon Musk d’accéder aux données personnelles de millions d’Américains conservées par le département du Trésor, nouvel obstacle judiciaire à l’offensive généralisée de Donald Trump contre l’administration fédérale.Le juge Paul Engelmayer a suspendu l’accès à ces données personnelles et financières à “toute personne nommée par le pouvoir politique, tous les agents spéciaux du gouvernement” ainsi que “tous les employés gouvernementaux détachés par une agence extérieure au Trésor”.Il également ordonné au milliardaire Elon Musk, grand allié de M. Trump, et à ses équipes de la commission à l’efficacité gouvernementale (DOGE) de “détruire immédiatement toutes les copies du matériel téléchargé”.Des décisions motivées par le risque de “préjudices irréparables” comme la “divulgation d’informations sensibles et confidentielles” et le “risque accru que les systèmes en question soient plus vulnérables qu’auparavant aux piratages”, a-t-il écrit.La suspension vaut jusqu’au 14 février, date à laquelle se tiendra une audience sur le sujet, est-il précisé dans son ordonnance.- “Plus grande menace” -Cette décision fait suite à l’action en justice intentée par les procureurs généraux de 19 Etats américains pour empêcher les équipes de l’homme le plus riche du monde d’accéder à de telles informations.Selon eux, l’administration Trump a violé la loi en élargissant l’accès aux données sensibles stockées par le Trésor aux membres de cette commission créé récemment de toutes pièces pour sabrer dans les dépenses publiques, et ne bénéficiant pas du statut de ministère.Des collaborateurs d’Elon Musk ont pris il y a quelques jours le contrôle du système de paiements du Trésor américain, une démarche vivement contestée par les élus démocrates et syndicats.Une note du Trésor américain a ainsi évoqué “la plus grande menace interne à laquelle le bureau du service fiscal ait jamais été confronté”, ont rapporté des médias américains.Le patron de Tesla et de SpaceX a justifié sur son réseau X cette intrusion comme nécessaire pour “arrêter la fraude et le gaspillage de l’argent des contribuables”.Il a condamné samedi une décision d’un juge “militant” et accusé les démocrates de chercher ainsi à “dissimuler la plus grande fraude de l’histoire de l’humanité”.Cette décision judiciaire est la dernière en date à mettre à l’épreuve l’offensive généralisée de Donald Trump et d’Elon Musk contre les institutions fédérales.Deux autres juges ont suspendu jeudi et vendredi un plan de départ de fonctionnaires à qui le gouvernement imposait un ultimatum, puis la décision de l’administration de placer une partie des employés de l’Agence pour le développement international (USAID) en congés administratifs.Malgré ces complications judiciaires, le président a réaffirmé vendredi son objectif et sa confiance en Elon Musk pour poursuivre sa charge dans les autres ministères, indiquant lui avoir donné pour instruction “d’aller voir dans l’éducation, d’aller voir au Pentagone, c’est-à-dire dans l’armée”.Donald Trump a également réclamé vendredi la suppression pure et simple de l’USAID, qui apporte son soutien à des millions de personnes dans le monde.

USA: un juge empêche l’équipe d’Elon Musk d’accéder à des données sensibles du Trésor

Un juge fédéral américain a décidé samedi d’empêcher les équipes d’Elon Musk d’accéder aux données personnelles de millions d’Américains conservées par le département du Trésor, nouvel obstacle judiciaire à l’offensive généralisée de Donald Trump contre l’administration fédérale.Le juge Paul Engelmayer a suspendu l’accès à ces données personnelles et financières à “toute personne nommée par le pouvoir politique, tous les agents spéciaux du gouvernement” ainsi que “tous les employés gouvernementaux détachés par une agence extérieure au Trésor”.Il également ordonné au milliardaire Elon Musk, grand allié de M. Trump, et à ses équipes de la commission à l’efficacité gouvernementale (DOGE) de “détruire immédiatement toutes les copies du matériel téléchargé”.Des décisions motivées par le risque de “préjudices irréparables” comme la “divulgation d’informations sensibles et confidentielles” et le “risque accru que les systèmes en question soient plus vulnérables qu’auparavant aux piratages”, a-t-il écrit.La suspension vaut jusqu’au 14 février, date à laquelle se tiendra une audience sur le sujet, est-il précisé dans son ordonnance.- “Plus grande menace” -Cette décision fait suite à l’action en justice intentée par les procureurs généraux de 19 Etats américains pour empêcher les équipes de l’homme le plus riche du monde d’accéder à de telles informations.Selon eux, l’administration Trump a violé la loi en élargissant l’accès aux données sensibles stockées par le Trésor aux membres de cette commission créé récemment de toutes pièces pour sabrer dans les dépenses publiques, et ne bénéficiant pas du statut de ministère.Des collaborateurs d’Elon Musk ont pris il y a quelques jours le contrôle du système de paiements du Trésor américain, une démarche vivement contestée par les élus démocrates et syndicats.Une note du Trésor américain a ainsi évoqué “la plus grande menace interne à laquelle le bureau du service fiscal ait jamais été confronté”, ont rapporté des médias américains.Le patron de Tesla et de SpaceX a justifié sur son réseau X cette intrusion comme nécessaire pour “arrêter la fraude et le gaspillage de l’argent des contribuables”.Il a condamné samedi une décision d’un juge “militant” et accusé les démocrates de chercher ainsi à “dissimuler la plus grande fraude de l’histoire de l’humanité”.Cette décision judiciaire est la dernière en date à mettre à l’épreuve l’offensive généralisée de Donald Trump et d’Elon Musk contre les institutions fédérales.Deux autres juges ont suspendu jeudi et vendredi un plan de départ de fonctionnaires à qui le gouvernement imposait un ultimatum, puis la décision de l’administration de placer une partie des employés de l’Agence pour le développement international (USAID) en congés administratifs.Malgré ces complications judiciaires, le président a réaffirmé vendredi son objectif et sa confiance en Elon Musk pour poursuivre sa charge dans les autres ministères, indiquant lui avoir donné pour instruction “d’aller voir dans l’éducation, d’aller voir au Pentagone, c’est-à-dire dans l’armée”.Donald Trump a également réclamé vendredi la suppression pure et simple de l’USAID, qui apporte son soutien à des millions de personnes dans le monde.

Ligue 1 : Rennes confirme son redressement, Saint-Etienne n’avance pas

Rennes a confirmé son redressement avec une deuxième victoire consécutive (2-0) depuis la prise de fonctions de son nouvel entraîneur Habib Beye, samedi sur le terrain d’une faible équipe de Saint-Étienne.En attendant les rencontres de dimanche, l’équipe bretonne, qui restait sur un succès sur Strasbourg (1-0), se hisse provisoirement au 11e rang alors que les Verts, qui enchaînent une deuxième défaite de suite et n’ont plus gagné depuis le 4 janvier contre Reims (3-1), restent 16e et barragiste.Ils restent sous la menace du Havre vainqueur à Lille (2-1) et de Montpellier qui joue dimanche à Strasbourg.Arnaud Kalimuendo a ouvert la marque rapidement en reprenant à bout portant un centre délivré de l’aile droite par Lorenz Assignon (15). C’est son neuvième but cette saison en championnat.En fin de partie, Mahamadou Nagida, qui venait d’entrer en jeu (83), a porté le score à 2-0 en déviant, seul devant la cage mais pas hors-jeu, un tir d’Adrien Truffert à la conclusion d’une action collective développée sur l’aile gauche (2-0, 84).Après la mi-temps, les Stéphanois ont été un peu plus entreprenants. Zuriko Davitashvili a été le plus dangereux notamment sur un tir passé de peu à côté (66). C’est aussi lui a cadré le premier tir des Verts à la 57e minute.Les Rennais auraient pu ajouter un but lors de deux occasions de Mousa Al Tamari sur lesquelles le gardien Gautier Larsonneur s’est interposé (73, 74).Globalement, Rennes mérite son succès face à une équipe de Saint-Etienne trop limitée, menée à la marque pour la cinquième fois de suite depuis l’arrivée au poste d’entraîneur du Norvégien Eirik Horneland. Les Verts, sortis de la rencontre sous les sifflets du public, ont été trop inoffensifs avec seulement huit tirs (contre 20 pour Rennes) dont trois cadrés.Ils ont trop manqué d’engagement physique pour espérer faire douter leur adversaire qui aurait pu ajouter un troisième but sans l’intervention de Larsonneur devant Truffert (90+4). 

Collégienne retrouvée morte poignardée en Essonne: le couple en garde à vue relâché

La collégienne de 11 ans retrouvée morte dans un bois à Longjumeau (Essonne) dans la nuit de vendredi à samedi a été agressée “avec un objet tranchant dans les parties vitales”, a indiqué samedi soir le parquet d’Evry, qui a également annoncé qu’un couple placé en garde à vue avait été relâché.L’autopsie révèle bien la présence de “très nombreuses plaies commises avec un objet tranchant dans les parties vitales”, note le procureur de la République d’Evry Grégoire Dulin dans un communiqué, qui précise: “à ce stade aucun élément ne permet d’affirmer que des violences sexuelles ont été commises”. Une source proche du dossier avait indiqué que la collégienne avait été poignardée “à plusieurs reprises”.Une enquête pour meurtre sur mineur, “confiée à la Direction de la criminalité organisée et spécialisée des Yvelines (DCOS 78) en cosaisine avec la direction nationale de la police judiciaire”, avait été ouverte dans la matinée par le parquet d’Evry après la macabre découverte dans cette ville de banlieue d’ordinaire tranquille, située à une vingtaine de kilomètres au sud de Paris.Un couple âgé d’une vingtaine d’années avait été placé en garde à vue dans la journée mais il a été relâché sans poursuite à ce stade, indique le parquet.”Les investigations se poursuivent pour déterminer les circonstances de ces faits criminels et identifier le ou les auteurs”, conclut la même source.La jeune fille avait disparu à la sortie de son collège à Epinay-sur-Orge, une ville limitrophe, vendredi après-midi. Son corps a été retrouvé à 01H50 samedi.Samedi, le bois des Templiers, situé à quelques centaines de mètres du collège André-Maurois près d’une zone résidentielle très calme où vivait la jeune fille, est resté inaccessible au public, fermé par une rubalise par les forces de l’ordre, a constaté un journaliste de l’AFP.- “Repose en paix” – Un bouquet a été déposé à terre derrière la rubalise dans la matinée, en hommage à la victime. Beaucoup d’autres ont été déposés à l’entrée de l’établissement scolaire tout au long de la journée, dont l’un accompagné d’une photo de l’adolescente aux cheveux longs et de ces mots: “Repose en paix Louise. On ne t’oubliera pas”, a constaté le journaliste de l’AFP. Des bougies allumées ont également été apportées par des habitants venus se recueillir en famille.Jonathan Hollman, un habitant du quartier “depuis 18 ans”, est venu lui aussi déposer des fleurs devant le collège, pétri de “tristesse” et de “haine”. Le trentenaire décrit l’endroit où a été découvert le corps comme “un bois familial où se réunissent les enfants”, un endroit d’ordinaire “très calme” dans “une ville calme, un quartier calme”.Les services de police avaient été avertis vendredi vers 15H30 de la disparition de la collégienne, qui avait fini ses cours à 15H00 et n’était pas rentrée chez elle.Une jeune femme se présentant comme sa soeur aînée a twitté vendredi soir un appel à l’aide pour retrouver l’adolescente: “Elle a été vue pour la dernière fois (…) rue Lavoisier à Longjumeau”, précisait-elle, en postant la photo d’une jeune fille aux longs cheveux blonds, léger sourire aux lèvres sous son bonnet à pompon.- “Tous en deuil” -“Une enquête en disparition inquiétante” avait été ouverte dans un premier temps, selon le procureur. Dirigées vers le bois des Templiers par les premiers éléments de l’enquête et par un chien qui a marqué devant le parc, les recherches ont continué durant la nuit, notamment par hélicoptère et drone. “A 01H50, les policiers, les pompiers et les gendarmes aidés de plusieurs chiens découvraient le corps sans vie”, indique le procureur dans son communiqué.Enrique Andrade, 50 ans, est venu aux abords du bois en milieu de journée, accompagné de son fils qui connaissait la collégienne “de vue”: “C’est la demi-soeur d’une ancienne camarade”, a expliqué l’adolescent de 16 ans aux journalistes présents sur place. “On m’avait déjà parlé d’elle, quelqu’un de timide, de sérieux”, dit-il.Des habitants se sont rassemblés à la chapelle Saint Dominique Savio, à Epinay-sur-Orge, à une rue du collège de la jeune fille pour une messe à la mémoire de la jeune victime vers 17H00.- Messe et cellules psychologiques -Une centaine de personnes ont assisté dans la chapelle à la cérémonie qui lui était dédiée et autant d’habitants attendaient à l’extérieur, échangeant à demi-voix, a constaté le journaliste de l’AFP.Le maire sans étiquette d’Epinay-sur-Orge Olivier Marchau était présent à ce “moment de recueillement”. “Epinay, c’est une ville village, il y a un sentiment de solidarité, la cérémonie de ce soir (en) est une preuve”, a-t-il dit à l’AFP, avant de préciser que “des cellules psychologiques” seraient mises en place “pour les habitants” et “au collège (…) dès lundi matin”.Judith Kouagou a elle aussi assisté à l’office. Interrogée par l’AFP, cette mère de famille, dont la fille fréquente le même collège que la victime et habite le même quartier, se dit “choquée”. La jeune victime est “rentrée seule chez elle, comme ma fille qui a 14 ans”, dit-elle avec effroi. “Je viens parfois à la messe, mais aujourd’hui rien que pour ça. Ça aide de voir que toute la ville s’est mobilisée”, souffle-t-elle. 

Collégienne retrouvée morte poignardée en Essonne: le couple en garde à vue relâché

La collégienne de 11 ans retrouvée morte dans un bois à Longjumeau (Essonne) dans la nuit de vendredi à samedi a été agressée “avec un objet tranchant dans les parties vitales”, a indiqué samedi soir le parquet d’Evry, qui a également annoncé qu’un couple placé en garde à vue avait été relâché.L’autopsie révèle bien la présence de “très nombreuses plaies commises avec un objet tranchant dans les parties vitales”, note le procureur de la République d’Evry Grégoire Dulin dans un communiqué, qui précise: “à ce stade aucun élément ne permet d’affirmer que des violences sexuelles ont été commises”. Une source proche du dossier avait indiqué que la collégienne avait été poignardée “à plusieurs reprises”.Une enquête pour meurtre sur mineur, “confiée à la Direction de la criminalité organisée et spécialisée des Yvelines (DCOS 78) en cosaisine avec la direction nationale de la police judiciaire”, avait été ouverte dans la matinée par le parquet d’Evry après la macabre découverte dans cette ville de banlieue d’ordinaire tranquille, située à une vingtaine de kilomètres au sud de Paris.Un couple âgé d’une vingtaine d’années avait été placé en garde à vue dans la journée mais il a été relâché sans poursuite à ce stade, indique le parquet.”Les investigations se poursuivent pour déterminer les circonstances de ces faits criminels et identifier le ou les auteurs”, conclut la même source.La jeune fille avait disparu à la sortie de son collège à Epinay-sur-Orge, une ville limitrophe, vendredi après-midi. Son corps a été retrouvé à 01H50 samedi.Samedi, le bois des Templiers, situé à quelques centaines de mètres du collège André-Maurois près d’une zone résidentielle très calme où vivait la jeune fille, est resté inaccessible au public, fermé par une rubalise par les forces de l’ordre, a constaté un journaliste de l’AFP.- “Repose en paix” – Un bouquet a été déposé à terre derrière la rubalise dans la matinée, en hommage à la victime. Beaucoup d’autres ont été déposés à l’entrée de l’établissement scolaire tout au long de la journée, dont l’un accompagné d’une photo de l’adolescente aux cheveux longs et de ces mots: “Repose en paix Louise. On ne t’oubliera pas”, a constaté le journaliste de l’AFP. Des bougies allumées ont également été apportées par des habitants venus se recueillir en famille.Jonathan Hollman, un habitant du quartier “depuis 18 ans”, est venu lui aussi déposer des fleurs devant le collège, pétri de “tristesse” et de “haine”. Le trentenaire décrit l’endroit où a été découvert le corps comme “un bois familial où se réunissent les enfants”, un endroit d’ordinaire “très calme” dans “une ville calme, un quartier calme”.Les services de police avaient été avertis vendredi vers 15H30 de la disparition de la collégienne, qui avait fini ses cours à 15H00 et n’était pas rentrée chez elle.Une jeune femme se présentant comme sa soeur aînée a twitté vendredi soir un appel à l’aide pour retrouver l’adolescente: “Elle a été vue pour la dernière fois (…) rue Lavoisier à Longjumeau”, précisait-elle, en postant la photo d’une jeune fille aux longs cheveux blonds, léger sourire aux lèvres sous son bonnet à pompon.- “Tous en deuil” -“Une enquête en disparition inquiétante” avait été ouverte dans un premier temps, selon le procureur. Dirigées vers le bois des Templiers par les premiers éléments de l’enquête et par un chien qui a marqué devant le parc, les recherches ont continué durant la nuit, notamment par hélicoptère et drone. “A 01H50, les policiers, les pompiers et les gendarmes aidés de plusieurs chiens découvraient le corps sans vie”, indique le procureur dans son communiqué.Enrique Andrade, 50 ans, est venu aux abords du bois en milieu de journée, accompagné de son fils qui connaissait la collégienne “de vue”: “C’est la demi-soeur d’une ancienne camarade”, a expliqué l’adolescent de 16 ans aux journalistes présents sur place. “On m’avait déjà parlé d’elle, quelqu’un de timide, de sérieux”, dit-il.Des habitants se sont rassemblés à la chapelle Saint Dominique Savio, à Epinay-sur-Orge, à une rue du collège de la jeune fille pour une messe à la mémoire de la jeune victime vers 17H00.- Messe et cellules psychologiques -Une centaine de personnes ont assisté dans la chapelle à la cérémonie qui lui était dédiée et autant d’habitants attendaient à l’extérieur, échangeant à demi-voix, a constaté le journaliste de l’AFP.Le maire sans étiquette d’Epinay-sur-Orge Olivier Marchau était présent à ce “moment de recueillement”. “Epinay, c’est une ville village, il y a un sentiment de solidarité, la cérémonie de ce soir (en) est une preuve”, a-t-il dit à l’AFP, avant de préciser que “des cellules psychologiques” seraient mises en place “pour les habitants” et “au collège (…) dès lundi matin”.Judith Kouagou a elle aussi assisté à l’office. Interrogée par l’AFP, cette mère de famille, dont la fille fréquente le même collège que la victime et habite le même quartier, se dit “choquée”. La jeune victime est “rentrée seule chez elle, comme ma fille qui a 14 ans”, dit-elle avec effroi. “Je viens parfois à la messe, mais aujourd’hui rien que pour ça. Ça aide de voir que toute la ville s’est mobilisée”, souffle-t-elle.Â