Trump agenda faces reality check in Congress vote
US President Donald Trump’s hardline agenda on everything from immigration to tax reform faced a key reality test in Congress on Tuesday, where Republicans have an ultra-thin majority and are struggling to agree on a budget.Members of the House of Representatives are to vote on a resolution that would set the blueprint for the 2025 federal government budget, with more than $1.5 trillion in spending reductions and $4.5 trillion in extended tax cuts over a decade on the docket.Republican Speaker Mike Johnson, a key Trump ally, has been working to corral his party’s lawmakers to back the bill, which Democrats say will result in deep cuts to the Medicaid program that many lower-income US families rely on.Johnson has been pressured by his own party, too, and on Tuesday hinted that the vote may get pushed back.The speaker said Republicans were “very, very close” to a deal.Lawmakers have opened the debate on the resolution, which those in favor argue is needed to fund Trump’s agenda.Some Republicans suggest the proposed cuts do not go deep enough, while others are focused on stopping the ever-growing US national debt or worried about Medicaid cuts.Republicans across the country faced opposition to the resolution in their constituencies last week, US media reported, with most protests focusing on cuts to social welfare programs.Trump’s party has only a 218-215 cushion over the Democrats in the House, meaning it can afford only one defection, assuming all the opposition members vote against.On Monday, Johnson conceded that he would likely need to find help from across the aisle.- ‘Not one’ vote -Looming over Tuesday’s debate is the March 14 deadline for Congress to agree a budget proposal outline or face a US government shutdown.For Democrats, this is a test of their willingness to play hardball. “Let me be clear, House Democrats will not provide a single vote to this reckless Republican budget. Not one,” said House Minority Leader Hakeem Jeffries. One of the Democratic demands is an assurance that funding approved by Congress is actually spent — rather than being chopped by Trump’s billionaire adviser Elon Musk, whose so-called Department of Government Efficiency is seeking to slash the entire US budget.Republicans have shown no willingness to limit Trump’s power, with some even seeking to codify Musk’s cuts.On Tuesday, Senate majority leader John Thune addressed the possibility the impasse could lead to another government shutdown.”We’re keeping all options on the table,” he said. “But we are running out of time.”- ‘Big beautiful bill’ -Ultimately, the debate boils down to where the more than $1.5 trillion in spending cuts that will fund Trump’s extended tax credits — which he put in place in his first term, and which expire at the end of the year — and programs will come from.With the resolution in its current form, Republicans appear set to make huge cuts to Medicaid and other social safety net programs, including food stamps, if they want to extend the tax cuts. Such a move would weaken Republican lawmakers in politically vulnerable districts for the midterm elections, due in two years. Johnson has suggested factoring Musk’s spending cuts and revenue earned from Trump’s rash of trade tariffs into the budget to address the deficit.”We have new revenue inputs that really ought to be factored into this,” he said at a forum on Monday.Last week, the Senate — where Republicans hold a slim majority — passed a competing budget blueprint that does not include tax cuts, with leaders saying they would vote on those separately.Trump, however, has pushed for “one big beautiful bill” to come from the House.On Tuesday, he appeared to soften that stance, saying he was “not involved” in the effort to wrangle votes for the House resolution.”The house has a bill and the Senate has a bill, and I’m looking at them both, and I’ll make decisions, but I don’t know where they are in the vote,” said Trump.
Angleterre: Chelsea se reprend, Aston Villa rechute
Chelsea a mis fin à une mauvaise série en disposant facilement de Southampton (4-0), se hissant à la quatrième place du championnat d’Angleterre, mardi lors de la 27e journée.Les Blues comptent deux points d’avance sur Manchester City et Newcastle (qui comptent un match de moins). Ils mettent à distance – à quatre points avec un match de moins à jouer – Aston Villa, qui a lourdement rechuté à Crystal Palace (4-1).La victoire de Chelsea à Stamford Bridge face à la lanterne rouge ne faisait guère de doute, mais les trois défaites consécutives et la baisse sensible des performances cet hiver ont fait ressortir les pancartes de protestation des supporters.Autour du stade londonien, quelques dizaines d’entre eux ont demandé le départ de Todd Boehly et de Clearlake Capital, présents depuis 2022 et qui tardent à obtenir des résultats malgré plus d’un milliard de livres dépensées (environ 1,2 milliard d’euros).Cette fébrilité a été perceptible dans les vingt premières minutes, avec notamment de longues périodes de flottement défensif autour du gardien Filip Jorgensen, sifflé par une partie du public en raison de ses hésitations balle au pied.La solution est venue sur coup de pied arrêté, avec Christopher Nkunku à la réception après une déviation de Tosin Adarabioyo (24e, 1-0), avant que Pedro Neto (36e), Levi Colwill (44e) et Marc Cucurella (78e) ne profitent des largesses défensives des Saints.L’équipe reste convalescente et en plein doute, à l’image de Cole Palmer, qui n’a pas marqué depuis six semaines et a été assez maladroit dans une rencontre qui semblait faite pour le relancer. – Villa plombé par sa défense -Si régulier la saison dernière, Aston Villa n’arrive décidément plus à aligner deux victoires de suite. Quatre jours après leur victoire contre Chelsea (2-1), les Villans ont subi leur pire défaite de la saison à Crystal Palace (4-1). Le mois de février est catastrophique sur le plan comptable, avec seulement cinq points sur quinze en championnat.Les deux prestigieuses recrues hivernales, Marcus Rashford et Marco Asensio, ne sont rentrées en jeu qu’à la 68e, alors que Jean-Philippe Mateta venait de redonner l’avantage à son équipe (59e), qui avait ouvert le score par Ismaïla Sarr (29e). L’ancien Rennais a creusé l’écart trois minutes après l’entrée de Rashford et Asensio. Eddie Nketiah a alourdi la note (90e+1).Avec 45 buts encaissés, et malgré la présence d’Emiliano Martinez dans les buts, Aston Villa glisse à la dixième place du classement.Crystal palace remporte de son côté sa première victoire à Selhurst Park en 2025, l’équipe d’Oliver Glasner ayant surtout été très à l’aise à l’extérieur ces dernières semaines, avec quatre victoires consécutives.Nouvelle déception par ailleurs pour Bournemouth, l’autre équipe surprise de la saison avec Nottingham Forest, qui a été battue à Brighton (2-1) après une défaite à domicile face à Wolverhampton (0-1). Elle rentre dans le rang, en septième position.Cette 27e journée se poursuit mercredi soir, avec les affiches Forest – Arsenal, Tottenham – City et  notamment Liverpool – Newcastle.
Tesla en difficulté à Wall Street avec le recul des ventes en Europe
Le pionnier des véhicules électriques Tesla a dévissé en Bourse mardi, laissant s’envoler 89 milliards de dollars de valorisation, après l’annonce de ventes en chute libre en Europe, à cause d’un renouvellement de gamme et possiblement des prises de position de son patron Elon Musk.Mardi, le cours de l’entreprise cotée à New York a dégringolé de 8,39% à 302,80 dollars, et sa capitalisation boursière passait en conséquence sous la barre des 1.000 milliards de dollars.Depuis mi-décembre, le constructeur a perdu un tiers de sa valorisation en Bourse et a effacé mardi 89 milliards de capitalisation boursière.Le cours de l’action Tesla avait bondi après l’élection présidentielle américaine de 2024, les investisseurs pariant que la proximité d’Elon Musk avec Donald Trump pourrait être favorable à ses entreprises.Désormais, “nous pensons que Tesla est clairement confronté à des défis en Europe et que les problèmes liés à l’image de Musk accentuent les vents contraires”, estime auprès de l’AFP Dan Ives, de Wedbush Securities.Malgré un bond des immatriculations de véhicules électriques en Europe (+34% sur un an), les ventes de Tesla ont été en chute libre en début d’année, selon des données publiées mardi par l’Association des constructeurs européens (ACEA).D’après l’ACEA, il y a eu 7.517 immatriculations de véhicules Tesla en janvier 2025 dans l’Union européenne, contre plus de 15.000 un an plus tôt.L’entreprise avait annoncé fin janvier une baisse de 1% de ses livraisons en 2024, le premier recul de son histoire, alors qu’il anticipait “une légère augmentation”.- Anti-Musk -Les ventes du groupe patinent à cause d’un changement de gamme, avec notamment l’arrivée de modèles à bas coût, dont la production devrait commencer au premier semestre, a assuré fin janvier Tesla.Le groupe s’est aussi fait grignoter des parts de marché par des constructeurs traditionnels comme General Motors, Ford ou Toyota, et par des startups comme Rivian, désormais soutenue par le géant allemand Volkswagen.Mais selon Dan Ives, les “vents contraires” auxquels fait face Tesla sont aussi liés, de “10 à 15%”, aux comportements anti-Musk des consommateurs.Proche allié de Donald Trump, Elon Musk dirige la “commission pour l’efficacité gouvernementale” (Doge), dont les équipes vont de service en service pour tailler dans les dépenses et licencier du personnel de la bureaucratie fédérale, jugée trop lourde et coûteuse par le président américain et ses soutiens.Mardi, M. Musk a donné une nouvelle chance aux fonctionnaires fédéraux américains de justifier de leur activité professionnelle sous peine d’être renvoyés, en repoussant sine die l’échéance de son ultimatum.Le milliardaire a aussi affiché son soutien au parti d’extrême droite allemand AfD après son résultat record aux législatives.Les opinions politiques d’Elon Musk en Europe et en Allemagne ne sont “pas la meilleure chose pour les ventes de Tesla”, a déclaré l’analyste Dan Ives.
Ligue des nations féminine: les Bleues enchaînent contre l’Islande
L’équipe de France féminine a enchaîné mardi une seconde victoire en Ligue des nations, aux dépens de l’Islande (3-2), en se montrant davantage offensivement mais toujours sur un fil en défense.Elle garde la tête de son groupe avec six points devant la Norvège (3 pts).Après avoir eu du mal s’en sortir face aux Norvégiennes (16e Fifa) vendredi à Toulouse (1-0), les Bleues (11e Fifa) ont montré leur force offensive contre les Islandaises (14e Fifa), qui avaient tenu tête à la Suisse (0-0).Avec 9 tirs dont 4 cadrés et deux buts dès les première période, elles ont montré beaucoup plus de facilité à se trouver que face aux Scandinaves contre qui elles avaient attendu l’heure de jeu pour frapper au but.Devant 8.500 supporters dont François Hollande et sur une pelouse abîmée, Laurent Bonadei a décidé d’aligner la capitaine Wendie Renard, qui était restée sur le banc à Toulouse et Marie-Antoinette Katoto, déjà buteuse il y a quatre jours. Pour son retour dans le 11, la capitaine a repris sa place de leader, comme sur le tacle défensif à l’origine du 3e but qui a donné un peu d’air aux Françaises (65e). Son intervention défensive a lancé les Bleues en contre-attaque, qui ont basculé vers la gauche et Sandy Baltimore qui a inscrit son 5e but en Bleues d’une frappe croisée (3-1, 65e). Juste avant, Diani avait touché la barre transversale (61e).Grâce à un pressing haut et intense, les Bleues ont bien bloqué les relances islandaise à l’image du premier but. La milieu Grace Geyoro a intercepté un dégagement de la gardienne adverse avant de dribbler grâce à une roulette. Dans la foulée de son tir contré, Kadidiatou Diani a ouvert le score d’une frappe enroulée du gauche (23e), son 30e but en sélection.- Record de sélection pour Le Sommer -Cinq minutes plus tard, sur un beau mouvement et servie par une talonnade de Sakina Karchaoui – repositionnée au milieu -, Katoto a marqué son deuxième but en deux matches (28e), son 37e chez les Tricolores.Elle devient la 5e meilleure buteuse des Bleues, à égalité avec Camille Abily.Toujours en 4-3-3, elles ont mieux combiné entre elles notamment dans l’entrejeu où Grace Geyoro s’est illustrée. En défense, sans faire d’erreurs grossières, elles se sont faite prendre trop facilement sur coups de pied arrêté, d’abord sur un coup franc provoqué par Karchaoui frappé plein axe et dévié par Selma Bacha (2-1, 37e). Puis sur un corner, la gardienne Pauline Peyraud-Magnin et est gênée lors de sa retombée (3-2, 68e). La France a encaissé 15 buts lors de ses 10 derniers matches en compétition officielle, autant que lors des 28 précédents entre octobre 2021 et avril 2024, illustrant ses problèmes défensifs du moment. Au delà de cette victoire, le match a été marqué par le record de sélection d’Eugénie Le Sommer avec 199 sélections, rentrée à la 78e minute avec le brassard, pour remplacer Marie-Antoinette Katoto.L’attaquante de l’OL, 94 buts inscrits avec les Bleues, cumule désormais 199 sélections dont 143 titularisations, soit plus de 13.000 minutes jouées: bien loin de Lilian Thuram et ses 142 sélections, son pendant chez les Bleus.Elle a été portée en triomphe par ses coéquipières à la fin de la rencontre.
Stocks slide as US consumer confidence tumbles, tech slumps
Global stock indices slid on Tuesday, with tech shares especially weak, after data showed US consumer confidence slumped amid unease over President Trump’s tariff plans. US consumer confidence in February saw its largest monthly decline since August 2021, according to a Conference Board survey that comes on the heels of other lackluster US reports.”Consumers’ confidence has deteriorated sharply in the face of threats to impose large tariffs and to slash federal spending and employment,” Pantheon Macroeconomics chief US economist Samuel Tombs wrote in a note to clients. The so-called Magnificent Seven stocks, which helped drive US stocks to records at the end of last year, mostly fell Tuesday, weighing especially on the Nasdaq.The worst hit among them was Tesla, which suffered an 8.4 percent drop as investors digested disappointing European sales and chief executive Elon Musk’s aggressive foray into politics.”The once mighty tech sector in the US is no more,” said Kathleen Brooks, research director at XTB.She noted that the best performing sectors in 2025 do not include tech, but rather transport, tobacco, healthcare and gold.Meanwhile shares in Nvidia, whose chips are prized for generative AI applications, fell nearly three percent ahead of it releasing quarterly results on Wednesday. Traders will be keenly awaiting its outlook on AI chip sales.It will be Nvidia’s first earnings release since DeepSeek upended the AI industry at the start of this year by unveiling a high-performing chatbot that it reportedly developed at a fraction of the cost of its Western rivals and with less powerful chips.The US consumer confidence report deepened a recent drop in optimism in Trump’s second month back in office.In recent days Trump has reiterated his intention to slap import tariffs on key US trading partners Canada and Mexico.Over the weekend he signed a memo calling for curbs on Chinese investments in industries including technology and critical infrastructure, healthcare and energy.Tariffs would likely cause a surge in inflation, slowing growth and reducing the chances of further interest rate cuts.Europe’s main indices finished mixed after having been solidly higher earlier in the session.Asian markets ended lower.Bitcoin fell back below $90,000 as the optimism over expected Trump deregulation for the crypto market ebbs away.The sector has also been hit by the recent $1.5 billion hack of Dubai-based cryptocurrency exchange Bybit, representing the biggest crypto theft in history, as well as a memecoin scandal in Argentina.- Key figures around 2140 GMT -New York – Dow: UP 0.4 percent at 43,621.16 (close)New York – S&P 500: DOWN 0.5 percent at 5,955.25 (close)New York – Nasdaq Composite: DOWN 1.4 percent at 19,026.39 (close)London – FTSE 100: UP 0.1 percent at 8,668.67 (close)Paris – CAC 40: DOWN 0.5 at 8,051.07 (close)Frankfurt – DAX: DOWN 0.1 percent at 22,410.27 (close)Tokyo – Nikkei 225: DOWN 1.4 percent at 38,237.79 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 1.3 percent at 23,034.02 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.8 percent at 3,346.04 (close)Euro/dollar: UP at $1.0517 from $1.0468 on MondayPound/dollar: UP at $1.2668 from $1.2625Dollar/yen: DOWN at 149.00 from 149.72 yenEuro/pound: UP at 83.00 pence from 82.91 pence West Texas Intermediate: DOWN 2.5 percent at $68.93 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 2.4 percent at $73.02 per barrelburs-jmb/jgc