Le titre de la firme chinoise CATL s’envole lors de son introduction à Hong Kong

Le titre du géant chinois des batteries pour véhicules électriques CATL s’est envolé lors de son introduction à la Bourse de Hong Kong, considérée comme la plus grosse opération de ce type cette année dans le monde.Dans les heures qui ont suivi l’ouverture du marché à 09H30 (01H30 GMT), le titre a atteint 311.40 dollars de Hong Kong (35,4 euros), soit une hausse de 18,4% par rapport à son prix d’introduction de 263 dollars de Hong Kong. Le titre de l’entreprise a clôturé à 306,20 dollars de Hong Kong (34,69 euros), en hausse de 16%.”Cette cotation signifie notre intégration plus profonde dans les marchés financiers mondiaux et marque une nouvelle étape dans notre mission, qui est de mener l’économie mondiale sans carbone”, a déclaré Robin Zeng, fondateur et président de CATL, lors de la cérémonie de cotation de l’entreprise, mardi.Leader mondial avec plus d’un tiers du marché, CATL fournit des grandes marques comme Tesla, Mercedes-Benz, BMW et Volkswagen.Le fabricant de batteries est déjà coté à la Bourse de Shenzhen. Son projet de cotation secondaire à Hong Kong avait été annoncé en décembre.Selon un prospectus déposé la semaine dernière, le groupe a introduit sur le marché quelque 117,9 millions d’actions, ce qui chiffre le montant de l’opération à plus de 31 milliards de dollars de Hong Kong (3,5 milliards d’euros).Fondée en 2011 dans la ville de Ningde, dans l’Est de la Chine, CATL, de son nom complet Contemporary Amperex Technology Co. Limited, bénéficie de l’engouement croissant pour les véhicules électriques en Chine, premier marché automobile mondial.L’entreprise profite aussi d’un solide soutien financier de Pékin, qui donne la priorité au développement des industries nationales de haute technologie considérées comme stratégiques.- Expansion internationale -CATL a annoncé en décembre la création en Espagne avec Stellantis, pour 4,1 milliards d’euros, d’une vaste usine de batteries dont la production devrait démarrer d’ici fin 2026.Le groupe chinois construit une deuxième usine en Europe, en Hongrie, après avoir ouvert son premier site de production en Allemagne en janvier 2023.A l’heure où les ventes automobiles s’essoufflent, CATL continue d’afficher de solides performances. Son bénéfice net a bondi de 32,9% au premier trimestre pour atteindre près de 14 milliards de yuans (1,68 milliards d’euros).Dans une liste publiée en janvier par le ministère américain de la Défense, CATL a été désignée comme une “entreprise militaire chinoise”.La commission d’enquête de la Chambre des représentants américaine sur le Parti communiste chinois a souligné l’inclusion de CATL dans des lettres adressées à deux banques américaines en avril, les exhortant à se retirer de l’opération d’introduction en Bourse d’une “société chinoise liée à l’armée”.Mais les deux banques en question, JPMorgan et Bank of America, ont maintenu leur participation.Le gouvernement chinois a qualifié la liste du ministère américain de “persécution”, et CATL a nié être impliquée “dans des activités liées à l’armée”.CATL a également déclaré, dans des documents déposés en mai, que l’entreprise “s’engageait de manière proactive” avec le ministère américain de la Défense pour “remédier à la fausse désignation”.- Bourse pour les entreprises chinoises-La Bourse de Hong Kong attend avec impatience le retour des grandes sociétés de Chine continentale dans l’espoir de retrouver son statut de première place mondiale pour les introductions boursières.Hong Kong a connu une baisse constante des nouvelles introductions après un tour de vis réglementaire de Pékin à partir de 2020, qui a conduit plusieurs méga-entreprises de Chine continentale à suspendre leurs projets.Les données de la Bourse de Hong Kong montrent qu’elle traite cette année des dizaines de demandes émanant d’entreprises chinoises. Pour les experts, l’introduction en Bourse de mardi illustre le rôle de Hong Kong comme place où les entreprises chinoises peuvent lever des capitaux.”Nous constatons également une demande croissante de diversification des portefeuilles par rapport aux actifs libellés en dollars américains, soulignée par la récente force du dollar de Hong Kong”, indique à l’AFP Jason Lui, responsable de la stratégie des actions et des produits dérivés pour l’Asie-Pacifique chez BNP Paribas.

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Au Sri Lanka, encore un éléphant sauvage tué par un train

Un train de passagers a déraillé mardi dans l’est du Sri Lanka après avoir percuté et tué un éléphant sauvage qui circulait sur les voies, trois mois après un accident similaire qui avait causé la mort de sept pachydermes.Le jeune éléphant tué près de Harabana, à 180 km à l’est de la capitale Colombo, a été percuté par le train qui avait été impliqué dans la collision du 20 février, ont indiqué les autorités locales.Aucun des passagers n’a été blessé dans l’accident survenu mardi avant l’aube, ont-elles précisé.Le trafic de la ligne Colombo-Batticaloa a été interrompu en attendant la remise du train accidenté sur les rails.Après la collision meurtrière de février, les chemins de fer srilankais avaient annoncé la mise en place d’une série de mesures pour tenter de prévenir ce type d’accidents.Elle avait ainsi adapté les horaires de circulation de ses trains aux mouvements des éléphants et promis des aménagements pour faciliter la détection des animaux par ses machinistes.Selon les chiffres du département de la faune sauvage du Sri Lanka, 138 éléphants ont été tués depuis dix-sept ans dans l’île à l’occasion de collisions avec des trains.De 2015 à 2024, un total de 1.195 personnes et 3.484 éléphants ont été tués dans l’île lors d’accidents impliquant humains et pachydermes, selon ces mêmes statistiques publiées en février.Au Sri Lanka, les pachydermes – environ 7.000 selon les estimations – sont protégés par la loi et considérés comme sacrés.

Trump Organization eyes new tower in Vietnam, local authorities say

US President Donald Trump’s real estate company is seeking to build a tower in Ho Chi Minh City, Vietnamese officials said on Tuesday, with his son due to scout locations this week.Authorities in Vietnam’s southern business hub said in a statement they met a representative of the Trump Organization and its local partner, the Kinhbac City Development Corporation (KBC).The statement said authorities had already conducted a field survey of two potential locations in the eastern part of the city on Monday and are scheduled to meet leaders of the Trump Organization on Thursday.The company, which builds luxury developments around the world, has come under scrutiny, with critics accusing Trump of leveraging his political position for personal financial gain.The state-controlled Tuoi Tre newspaper said the organisation’s senior vice-president Eric Trump, the US president’s second son, would lead the visit.It also said the delegation would visit a proposed location for “Trump Tower”.The Trump Organization did not respond immediately to AFP’s request for comment.Tuoi Tre said Eric Trump would also attend a ground-breaking ceremony on Wednesday for a $1.5 billion luxury resort and golf course developed by the Trump Organization and KBC.The 990-hectare golf complex in northern Hung Yen province outside Hanoi will feature a 54-hole course and residential villas, the newspaper said.Project director Charles Boyd-Bowman said in a meeting with Vietnam’s Prime Minister Pham Minh Chinh in March that his group aimed to finish the golf resort in March 2027, before Vietnam hosts the Asia-Pacific Economic Cooperation (APEC) summit.Vietnam and the United States are engaged in trade talks after President Trump threatened a 46 percent levy on Vietnamese goods as part of his global tariff blitz.Trump visited the Vietnamese capital in 2019 for his abortive second summit with North Korean leader Kim Jong Un.He described Hanoi at the time as an “incredible city”, praising Vietnam for “the job they’ve done — economic development”.

Battery giant CATL ends up more than 16% on Hong Kong debut

Chinese battery giant CATL ended its first day on the Hong Kong Stock Exchange more than 16 percent higher Tuesday, having raised US$4.6 billion in the world’s biggest initial public offering this year.A global leader in the sector, CATL produces more than a third of all electric vehicle (EV) batteries sold worldwide.The firm has been buoyed by a rapid growth in China’s domestic electric vehicle sector and it now works with major brands including Tesla, Mercedes-Benz, BMW and Volkswagen.However, it has also found itself in the crossfire of a superpower clash between Washington and Beijing for tech dominance, with Washington putting it on a blacklist naming it as a military company.The firm is already traded in the southern Chinese city of Shenzhen, and its plan for a secondary listing in Hong Kong was announced in December.In morning trading its Hong Kong shares hit a high of HK$311.40 (US$39.92), up 18.4 percent from its listing price of HK$263.00.The stock closed at HK$306.20.”This listing signifies our deeper integration into the global capital markets and marks a new milestone in our mission to drive the global zero-carbon economy,” CATL’s founder and chairman Robin Zeng said at the firm’s listing ceremony on Tuesday.The raised funds could be used to accelerate its overseas expansion, including building its second European factory in Hungary after launching its first in Germany in January 2023.The strong interest in the company’s shares come even as it comes under the spotlight in the United States.In a list issued in January by the US Defense Department, CATL was designated as a “Chinese military company”.The US House Select Committee on the Chinese Communist Party highlighted this inclusion in letters to two Wall Street banks in April, urging them to withdraw from the IPO deal over its alleged links to the military.But the banks — JPMorgan and Bank of America — remain onboard.- Hong Kong IPO goal -Beijing has denounced the list as “suppression”, while CATL denied engaging “in any military related activities”.CATL also said in May filings it was “proactively engaging” with the Pentagon to “address the false designation”.Founded in 2011 in the eastern Chinese city of Ningde, the company has been given strong financial support from Beijing, which has sought in recent years to shore up domestic strength in certain strategic high-tech sectors.It has also weathered a fierce price war in China’s expansive EV sector that has put smaller firms under huge pressure to compete while remaining financially viable.Tuesday’s blockbuster listing is also a boon for Hong Kong’s stock exchange, which is eager for the return of big-name Chinese listings as it looks to regain its crown as the world’s top venue for IPOs.The Chinese finance hub saw a steady decline in new offerings after Beijing’s regulatory crackdown starting in 2020 led some mainland mega-companies to put their plans on hold, while a strict security law added to the uncertainty for companies looking to list.Data from the Hong Kong Stock Exchange shows it is processing dozens of applications from Chinese companies this year.Analysts said Tuesday’s IPO showcases Hong Kong’s role as a place for Chinese companies to raise capital.”We are also seeing a rising demand on portfolio diversification away from US dollar-denominated assets, underscored by the recent strength in the Hong Kong dollar,” Jason Lui, head of APAC equity and derivative strategy at BNP Paribas, told AFP.

La Bourse de Paris fait du surplace en l’absence de catalyseur

La Bourse de Paris est stable mardi, dans un marché sans impulsion, en attendant d’en savoir plus sur la trajectoire budgétaire des Etats-Unis et sur les évolutions des relations commerciales avec ses principaux partenaires.Vers 10H15, l’indice vedette CAC 40 faisait du surplace (+0,06%), grappillant 4,63 points à 7.888,26 points. Lundi, le CAC 40 a terminé stable (-0,04%) à l’issue d’une séance perturbée par la dégradation vendredi de la note de la dette des Etats-Unis par l’agence Moody’s.”Malgré un rebond de Wall Street lundi”, l’indice élargi américain S&P 500 ayant terminé en hausse de 0,09% après avoir ouvert en forte baisse de plus de 1%, “la prudence reste de mise, après la dégradation de la note de crédit américaine”, a souligné Susannah Streeter, analyste chez Hargreaves Lansdown.”Le début de semaine s’annonce calme, en l’absence de publications macroéconomiques majeures” prévues, ont noté les analystes de Natixis.”Les espoirs renouvelés d’un cessez-le-feu entre l’Ukraine et la Russie, combinés à une nouvelle vague de relance pour l’économie chinoise”, maintiennent les indices boursiers européens dans le calme, a ajouté Susannah Street.Le président américain Donald Trump a affirmé lundi que la Russie et l’Ukraine allaient “démarrer immédiatement des négociations en vue d’un cessez-le-feu” après son appel avec son homologue russe, Vladimir Poutine, lequel n’a cependant pas consenti à un arrêt des combats sans conditions comme réclamé par Washington et Kiev.”Je pense que des progrès ont été accomplis”, a déclaré le président américain depuis la Maison-Blanche, disant espérer avoir “accompli quelque chose” lors de cet appel qui s’est, selon lui, “très bien passé”.En Chine, la banque centrale a abaissé mardi deux taux d’intérêt clés à des niveaux historiquement bas, dernier effort des autorités chinoises pour stimuler la croissance du pays sur fond de tensions commerciales avec les Etats-Unis et de crise du secteur immobilier.Kering: nouvelle direction artistique pour BalenciagaLe groupe de luxe Kering (-0,73% à 174,38 euros vers 10H20) a annoncé lundi soir la nomination du nouveau directeur artistique de Balenciaga, l’Italien Pierpaolo Piccioli, chargé d’ouvrir un “nouveau chapitre” après la décennie chahutée avec Demna à la barre.GL Events en repliLe consortium Vinci-Bouygues, qui a perdu la concession du Stade de France au profit de GL Events pour les trente prochaines années au terme de deux ans de procédure, a déposé un nouveau recours administratif, a appris lundi l’AFP de source proche du dossier, confirmant une information des Echos. A la cote parisienne, le groupe d’événementiel GL Events, reculait de 1,46% à 23,70 euros. Depuis le 1er janvier, la valeur de son action a toutefois progressé de près de 30%.

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Retailleau dénonce l'”entrisme” des Frères musulmans pour “faire basculer la société dans la charia”

Bruno Retailleau a dénoncé mardi la “menace” que pose l'”entrisme” des Frères musulmans dont le but est, selon le ministre de l’Intérieur, “de faire basculer toute la société française dans la charia”.”C’est un islamisme à bas bruit qui se répand en tentant d’infiltrer les associations sportives, culturelles, sociales ou autres”, a affirmé M. Retailleau qui a annoncé la présentation mercredi, en Conseil de défense, d’un rapport sur le mouvement des Frères musulmans.Ce rapport réalisé par deux fonctionnaires “indique qu’il y a une menace très claire vis-à-vis de la République, une menace sur la cohésion nationale et une menace vraiment de submersion”, a affirmé le ministre à des journalistes.M. Retailleau s’est inquiété de la “forme très particulière qu’emploient les Frères musulmans” avec “un entrisme, un islamisme à bas bruit”. “L’objectif ultime est de faire basculer toute la société française dans la charia”, a affirmé le ministre selon qui “c’est inacceptable, puisque c’est parfaitement incompatible avec les principes de la République et les objectifs de la cohésion nationale”.En confirmant le 11 mai que ce rapport serait au cœur d’un Conseil de défense présidé par Emmanuel Macron ce mercredi, M. Retailleau avait précisé que le texte n’était pas publié parce que “classifié confidentiel défense” mais qu’une “version allégée” serait diffusée à une date encore à fixer.”Ce rapport vient corroborer des faits réels et va nous permettre d’agir”, a de son côté affirmé sur Europe 1 et CNews la porte-parole du gouvernement Sophie Primas, en parlant d'”une prise de conscience” face à “la réalité du danger”. Elle réagissait à des extraits de ce rapport publiés par le Figaro mardi matin. Le gouvernement avait confié en mai 2024 une mission à deux hauts fonctionnaires sur “l’islamisme politique et la mouvance des Frères musulmans”, chargée de rendre un rapport à l’automne 2024.

Retailleau dénonce l'”entrisme” des Frères musulmans pour “faire basculer la société dans la charia”

Bruno Retailleau a dénoncé mardi la “menace” que pose l'”entrisme” des Frères musulmans dont le but est, selon le ministre de l’Intérieur, “de faire basculer toute la société française dans la charia”.”C’est un islamisme à bas bruit qui se répand en tentant d’infiltrer les associations sportives, culturelles, sociales ou autres”, a affirmé M. Retailleau qui a annoncé la présentation mercredi, en Conseil de défense, d’un rapport sur le mouvement des Frères musulmans.Ce rapport réalisé par deux fonctionnaires “indique qu’il y a une menace très claire vis-à-vis de la République, une menace sur la cohésion nationale et une menace vraiment de submersion”, a affirmé le ministre à des journalistes.M. Retailleau s’est inquiété de la “forme très particulière qu’emploient les Frères musulmans” avec “un entrisme, un islamisme à bas bruit”. “L’objectif ultime est de faire basculer toute la société française dans la charia”, a affirmé le ministre selon qui “c’est inacceptable, puisque c’est parfaitement incompatible avec les principes de la République et les objectifs de la cohésion nationale”.En confirmant le 11 mai que ce rapport serait au cœur d’un Conseil de défense présidé par Emmanuel Macron ce mercredi, M. Retailleau avait précisé que le texte n’était pas publié parce que “classifié confidentiel défense” mais qu’une “version allégée” serait diffusée à une date encore à fixer.”Ce rapport vient corroborer des faits réels et va nous permettre d’agir”, a de son côté affirmé sur Europe 1 et CNews la porte-parole du gouvernement Sophie Primas, en parlant d'”une prise de conscience” face à “la réalité du danger”. Elle réagissait à des extraits de ce rapport publiés par le Figaro mardi matin. Le gouvernement avait confié en mai 2024 une mission à deux hauts fonctionnaires sur “l’islamisme politique et la mouvance des Frères musulmans”, chargée de rendre un rapport à l’automne 2024.

Equities rebound to track Wall St up as China cuts rates

Most markets rose Tuesday as risk appetite returned following the previous day’s US rating-fuelled losses, with sentiment also boosted after China cut interest rates to historic lows.The rally tracked advances on Wall Street, where the initial selloff sparked by Moody’s removal of Washington’s triple-A grade soon gave way to a push back into beaten-down equities amid hopes about US trade talks.After Donald Trump’s April 2 tariff blitz sowed global turmoil, the deal between China and the United States last week — which slashed eye-watering tit-for-tat levies — has re-energised dealers and pushed most markets back to levels before the US president’s “Liberation Day” duties.Trump suspended his harshest measures for 90 days until mid-July, and while few solid agreements have been reached so far there is optimism that the worst of the crisis has passed.Still, China caused a little concern after it accused Washington of violating their tariff deal in Geneva this month following a US warning that using Huawei’s AI chips anywhere in the world would break its export controls.Beijing called for a correction and warned of measures if the White House continued. Traders are also hoping the Federal Reserve will cut interest rates this year, with two reductions expected, according to Bloomberg News.However, two central bank officials remained cautious about when to resume their monetary easing, amid worries that the tariffs and possible tax cuts will reignite inflation.New York Fed boss John Williams indicated decision-makers might not be able to move before September, while the central bank’s vice chairman Philip Jefferson urged patience, adding that it was crucial to make sure any price increases do not become entrenched.Hong Kong stocks rose more than one percent, while Shanghai, Tokyo, Sydney, Singapore, Taipei, Bangkok, Wellington and Jakarta were all up.London, Paris and Frankfurt were also well up in morning exchanges.However, Neil Wilson at Saxo markets warned that traders were not yet out of the woods as US Treasury yields remain elevated.”Markets are clearly perturbed by ongoing trade uncertainty, economic policy uncertainty and the potential to lock in sweeping tax cuts in the US, undermining the fiscal position further,” he wrote in a commentary.”The question now is what policy moves can be engineered to tame yields, which could be a worry for equity markets.”- CATL’s soaring debut -The gains came as China’s central bank cut two key interest rates as officials battle to kickstart the economy, which faces persistent headwinds from a long-term domestic spending slump, a protracted debt crisis in the property sector and high youth unemployment.The People’s Bank of China lowered its one-year Loan Prime Rate, the benchmark for the most advantageous rates lenders can offer to businesses and households, to 3.0 percent from 3.1 percent.The five-year LPR, the benchmark for mortgage loans, was cut to 3.5 percent to 3.6 percent. Both rates were last cut in October to what were then record lows.”The rate cuts will reduce interest payments on existing loans, taking some pressure off indebted firms. It will also reduce the price of new loans,” Zichun Huang, China economist at Capital Economics, said in a note.However, she added that “modest rate cuts alone are unlikely to meaningfully boost loan demand or wider economic activity”.The “reductions… probably won’t be the last this year”, she said.The move came a day after data showed Chinese retail sales came in below expectations in April, highlighting a continued lack of confidence among consumers.In Hong Kong, Chinese battery giant CATL soared more than 18 percent at one point on its debut, having raised US$4.6 billion in the world’s biggest initial public offering this year.It finished 16.4 percent higher.The firm, which produces more than a third of all electric vehicle batteries sold worldwide, saw strong demand even after it was designated as a “Chinese military company” on a US list in January.The US House Select Committee on the Chinese Communist Party even highlighted this inclusion in letters to two US banks in April, urging them to withdraw from the IPO deal with the “Chinese military-linked company”.But the two banks — JPMorgan and Bank of America — are still onboard.- Key figures at around 0810 GMT -Tokyo – Nikkei 225: UP 0.1 percent at 37,529.49 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 1.5 percent at 23,681.48 (close)Shanghai – Composite: UP 0.4 percent at 3,380.48 (close)London – FTSE 100: UP 0.2 percent at 8,720.07Euro/dollar: UP at $1.1276 from $1.1244 on MondayPound/dollar: UP at $1.3393 from $1.3360Dollar/yen: DOWN at 144.14 yen from 144.87 yenEuro/pound: UP at 84.19 pence from 84.14 penceWest Texas Intermediate: DOWN 0.6 percent at $62.29 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 0.7 percent at $65.06 per barrelNew York – Dow: UP 0.3 percent at 42,792.07 (close)