Trump to call Putin in push for Ukraine ceasefire

Donald Trump will speak by phone Monday with Russia’s Vladimir Putin as part of the US leader’s effort to end the grinding war set off by Moscow’s 2022 invasion of Ukraine.Trump had vowed during his US election campaign to halt the conflict within a day of taking office, but his diplomatic efforts have so far yielded little progress.Despite Ukraine saying Russia launched a “record” drone attack at the weekend, Moscow said Monday it would prefer to end the conflict through diplomacy and described the upcoming call as “important”.”It is preferable to achieve our goals through political and diplomatic means, of course,” Kremlin spokesman Dmitry Peskov told state media, adding that Russia “highly valued” Washington’s attempts to end the fighting. Ukrainian President Volodymyr Zelensky refreshed his push for a “full and unconditional ceasefire” ahead of the call.  Delegations from Russia and Ukraine held direct negotiations in Istanbul last week for the first time in three years, but the talks ended without a commitment to a ceasefire.Both sides traded insults, with Ukraine accusing Moscow of sending a “dummy” delegation of low-ranking officials.  After the negotiations, Trump announced that he would speak by phone with the Russian president in a bid to end the “BLOODBATH” in Ukraine, which has destroyed large swathes of the country and displaced millions of people.Trump also said he would speak to Zelensky and NATO officials, expressing hope that a “ceasefire will take place, and this very violent war… will end”.Trump has directed much of his frustration towards Ukraine while abstaining from extensively criticising Putin.The US president has also argued that “nothing’s going to happen” on the conflict until he meets Putin face-to-face.   – Push for sanctions -At the talks in Istanbul, which were also attended by US officials, Russia and Ukraine agreed to exchange 1,000 prisoners each and trade ideas on a possible truce, but with no concrete commitment.Zelensky said Monday that Russia has issued threats during the talks, without elaborating.”Ukraine insists on the need for a full and unconditional ceasefire in order to save human lives and to establish the necessary foundation for diplomacy,” he said in a post on social media.Ukraine’s Western allies have since accused Putin of deliberately ignoring calls for a truce and pushed for fresh sanctions against Russia.The leaders of Britain, France, Germany and Italy also held a phone call with Trump on Sunday.”The leaders discussed the need for an unconditional ceasefire and for President Putin to take peace talks seriously,” said a spokesman for British Prime Minister Keir Starmer.”They also discussed the use of sanctions if Russia failed to engage seriously in a ceasefire and peace talks,” the spokesman said.”Putin must agree to a ceasefire and peace talks,” German Chancellor Friedrich Merz, who also took part in the call, wrote on X, adding that the European leaders aimed to talk to the US president once again on Monday.Zelensky also discussed possible sanctions with US Vice President JD Vance when they met after Pope Leo’s inaugural mass at the Vatican on Sunday.A senior Ukrainian official from the president’s office, who spoke on condition of anonymity, told AFP that they had also discussed preparations for Monday’s telephone conversation between Trump and Putin.- ‘Root causes’ -On the ground, the Russian army continued its attacks.Moscow claimed its forces had captured two villages in Ukraine’s eastern Sumy and Donetsk regions.Russia also fired 112 drones on Ukraine overnight, 76 of which were repelled, the Ukrainian air force said.In an interview with Russian state TV broadcast on Sunday, Putin said that Moscow’s aim was to “eliminate the causes that triggered this crisis, create the conditions for a lasting peace and guarantee Russia’s security”, without elaborating.Russia’s references to the “root causes” of the conflict typically refer to grievances with Kyiv and the West that Moscow has put forward as justification for launching the invasion in February 2022.They include pledges to “de-Nazify” and demilitarise Ukraine, protect Russian speakers in the country’s east, push back against NATO expansion and stop Ukraine’s westward geopolitical drift.Kyiv and the West deny Moscow’s claims and say that Russia’s invasion is an imperial-style land grab.

Le 8e sommet Choose France bat un record d’investissements et concrétise des projets dans l’IA

Le 8e sommet Choose France lundi, évènement destiné à attirer les investissements étrangers en France, va battre un nouveau record cette année avec 20 milliards d’euros de projets nouveaux annoncés et 20,8 milliards d’euros de concrétisations d’engagements sur l’intelligence artificielle (IA) pris en février.En tout, une cinquantaine de projets seront dévoilés ou confirmés. Plus de 200 patrons des cinq continents sont attendus au château de Versailles sur le thème “France, terre de créativité”, pour rencontrer les membres du gouvernement français et le président Emmanuel Macron, et discuter de futurs investissements en France ou en annoncer.Pour la 6e année consécutive, la France a été sacrée cette année premier pays européen en termes d’investissements étrangers par le baromètre EY, avec 1.025 projets, un nombre toutefois en baisse, comme pour les autres pays du podium.Après les 15 milliards d’euros de l’édition 2024, un record de 20 milliards d’euros d’investissements nouveaux sera dévoilé, a indiqué l’Elysée. “C’est un jour ensoleillé et je suis là pour de belles nouvelles”, s’est réjoui lundi Emmanuel Macron au cours d’une visite à l’usine d’autobus électriques de l’allemand Daimler à Ligny-en-Barrois dans la Meuse, au moment où le constructeur s’engage à investir plus de 92 millions d’euros notamment dans son agrandissement.Il est attendu au château de Versailles en début d’après-midi.Le sommet “participe du redéveloppement, du redéploiement d’une puissance industrielle française”, s’est félicité sur RTL le ministre de l’Economie Eric Lombard.”De la propagande”, a commenté sur X le député Insoumis Eric Coquerel, selon qui “le bilan macroniste c’est la désindustrialisation”.Parmi les projets d’ampleur annoncés lundi figurent un investissement de 6,4 milliards d’euros de l’américain Prologis, pour la construction de centres de données et d’entrepôts, et la confirmation par MSC Croisières d’une commande de deux navires aux chantiers de Saint-Nazaire pour 3,5 milliards d’euros.- Centres de données et IA à l’honneur -Des annonces bienvenues en pleines discussions sur les droits de douane américains, alors que les Etats-Unis eux-mêmes font tout pour attirer les investissements étrangers. Les patrons américains représenteront cette année 19% des dirigeants présents à Choose France et les patrons européens, 40%. Les fonds souverains du Golfe seront aussi très présents.L’autre volet des annonces attendues concerne les premières concrétisations des 109 milliards d’investissements en France dans le domaine de l’intelligence artificielle promis en février lors d’un vaste sommet sur l’IA.Ainsi, le canadien Brookfield confirmera investir 10 milliards d’euros pour un site à Cambrai (Nord). L’américain Digital Realty scellera ses engagements pour des centres de données à Marseille et Dugny (Seine-Saint-Denis), pour 2,3 milliards.Un autre projet autour de l’IA, avec le fonds d’investissement émirati MGX, sera aussi confirmé, pour l’établissement d’un campus IA en Ile-de-France, avec une première tranche de 8,5 milliards d’euros.La France, remarque l’Elysée, est grâce au nucléaire, énergie décarbonée, un “paradis énergétique” pour des structures d’IA voraces en électricité.Cette année, Choose France attirera aussi des capitaux pour l’économie circulaire, notamment le recyclage textile, la mobilité décarbonée, ou le cinéma et l’audiovisuel.Les géants mondiaux, comme Amazon, Mars, Ikéa ou Netflix, Ferrero ou GSK, lanceront tous de nouveaux investissements en France. Tandis que la fintech britannique Revolut a dévoilé lundi un milliard d’euros d’investissement avec la création son nouveau siège social pour l’Europe de l’ouest à Paris.Le judoka multimédaillé d’or Teddy Riner sera l’invité d’honneur de la séance plénière.- “Pognon de dingue” -Emmanuel Macron, pour sa part, tiendra une table ronde avec des chefs d’entreprise sud-coréens, deux autres sur l’intelligence artificielle et la transition énergétique.Il recevra le magnat mexicain Carlos Slim, Stella Li du constructeur de voitures électriques chinois BYD et le directeur général du saoudien Qiddiya, avant un “dîner de travail” sous les ors du château.Dimanche, Emmanuel Macron a posté sur X une vidéo montrant une succession de patrons de grandes entreprises étrangères – Coca Cola, Merck, Disney ou Procter & Gamble – annonçant leurs investissements à de précédentes éditions de Choose France.La vidéo est ponctuée de bruits de tiroir-caisse, et on entend Emmanuel Macron prononcer son expression “un pognon de dingue” – employée en 2018 pour parler des dépenses sociales, ce qui lui avait valu des critiques – pour qualifier ces annonces, qui ont représenté 47 milliards d’euros depuis 2017. “On continue?”, engage-t-il.

Le 8e sommet Choose France bat un record d’investissements et concrétise des projets dans l’IA

Le 8e sommet Choose France lundi, évènement destiné à attirer les investissements étrangers en France, va battre un nouveau record cette année avec 20 milliards d’euros de projets nouveaux annoncés et 20,8 milliards d’euros de concrétisations d’engagements sur l’intelligence artificielle (IA) pris en février.En tout, une cinquantaine de projets seront dévoilés ou confirmés. Plus de 200 patrons des cinq continents sont attendus au château de Versailles sur le thème “France, terre de créativité”, pour rencontrer les membres du gouvernement français et le président Emmanuel Macron, et discuter de futurs investissements en France ou en annoncer.Pour la 6e année consécutive, la France a été sacrée cette année premier pays européen en termes d’investissements étrangers par le baromètre EY, avec 1.025 projets, un nombre toutefois en baisse, comme pour les autres pays du podium.Après les 15 milliards d’euros de l’édition 2024, un record de 20 milliards d’euros d’investissements nouveaux sera dévoilé, a indiqué l’Elysée. “C’est un jour ensoleillé et je suis là pour de belles nouvelles”, s’est réjoui lundi Emmanuel Macron au cours d’une visite à l’usine d’autobus électriques de l’allemand Daimler à Ligny-en-Barrois dans la Meuse, au moment où le constructeur s’engage à investir plus de 92 millions d’euros notamment dans son agrandissement.Il est attendu au château de Versailles en début d’après-midi.Le sommet “participe du redéveloppement, du redéploiement d’une puissance industrielle française”, s’est félicité sur RTL le ministre de l’Economie Eric Lombard.”De la propagande”, a commenté sur X le député Insoumis Eric Coquerel, selon qui “le bilan macroniste c’est la désindustrialisation”.Parmi les projets d’ampleur annoncés lundi figurent un investissement de 6,4 milliards d’euros de l’américain Prologis, pour la construction de centres de données et d’entrepôts, et la confirmation par MSC Croisières d’une commande de deux navires aux chantiers de Saint-Nazaire pour 3,5 milliards d’euros.- Centres de données et IA à l’honneur -Des annonces bienvenues en pleines discussions sur les droits de douane américains, alors que les Etats-Unis eux-mêmes font tout pour attirer les investissements étrangers. Les patrons américains représenteront cette année 19% des dirigeants présents à Choose France et les patrons européens, 40%. Les fonds souverains du Golfe seront aussi très présents.L’autre volet des annonces attendues concerne les premières concrétisations des 109 milliards d’investissements en France dans le domaine de l’intelligence artificielle promis en février lors d’un vaste sommet sur l’IA.Ainsi, le canadien Brookfield confirmera investir 10 milliards d’euros pour un site à Cambrai (Nord). L’américain Digital Realty scellera ses engagements pour des centres de données à Marseille et Dugny (Seine-Saint-Denis), pour 2,3 milliards.Un autre projet autour de l’IA, avec le fonds d’investissement émirati MGX, sera aussi confirmé, pour l’établissement d’un campus IA en Ile-de-France, avec une première tranche de 8,5 milliards d’euros.La France, remarque l’Elysée, est grâce au nucléaire, énergie décarbonée, un “paradis énergétique” pour des structures d’IA voraces en électricité.Cette année, Choose France attirera aussi des capitaux pour l’économie circulaire, notamment le recyclage textile, la mobilité décarbonée, ou le cinéma et l’audiovisuel.Les géants mondiaux, comme Amazon, Mars, Ikéa ou Netflix, Ferrero ou GSK, lanceront tous de nouveaux investissements en France. Tandis que la fintech britannique Revolut a dévoilé lundi un milliard d’euros d’investissement avec la création son nouveau siège social pour l’Europe de l’ouest à Paris.Le judoka multimédaillé d’or Teddy Riner sera l’invité d’honneur de la séance plénière.- “Pognon de dingue” -Emmanuel Macron, pour sa part, tiendra une table ronde avec des chefs d’entreprise sud-coréens, deux autres sur l’intelligence artificielle et la transition énergétique.Il recevra le magnat mexicain Carlos Slim, Stella Li du constructeur de voitures électriques chinois BYD et le directeur général du saoudien Qiddiya, avant un “dîner de travail” sous les ors du château.Dimanche, Emmanuel Macron a posté sur X une vidéo montrant une succession de patrons de grandes entreprises étrangères – Coca Cola, Merck, Disney ou Procter & Gamble – annonçant leurs investissements à de précédentes éditions de Choose France.La vidéo est ponctuée de bruits de tiroir-caisse, et on entend Emmanuel Macron prononcer son expression “un pognon de dingue” – employée en 2018 pour parler des dépenses sociales, ce qui lui avait valu des critiques – pour qualifier ces annonces, qui ont représenté 47 milliards d’euros depuis 2017. “On continue?”, engage-t-il.

Le 8e sommet Choose France bat un record d’investissements et concrétise des projets dans l’IA

Le 8e sommet Choose France lundi, évènement destiné à attirer les investissements étrangers en France, va battre un nouveau record cette année avec 20 milliards d’euros de projets nouveaux annoncés et 20,8 milliards d’euros de concrétisations d’engagements sur l’intelligence artificielle (IA) pris en février.En tout, une cinquantaine de projets seront dévoilés ou confirmés. Plus de 200 patrons des cinq continents sont attendus au château de Versailles sur le thème “France, terre de créativité”, pour rencontrer les membres du gouvernement français et le président Emmanuel Macron, et discuter de futurs investissements en France ou en annoncer.Pour la 6e année consécutive, la France a été sacrée cette année premier pays européen en termes d’investissements étrangers par le baromètre EY, avec 1.025 projets, un nombre toutefois en baisse, comme pour les autres pays du podium.Après les 15 milliards d’euros de l’édition 2024, un record de 20 milliards d’euros d’investissements nouveaux sera dévoilé, a indiqué l’Elysée. “C’est un jour ensoleillé et je suis là pour de belles nouvelles”, s’est réjoui lundi Emmanuel Macron au cours d’une visite à l’usine d’autobus électriques de l’allemand Daimler à Ligny-en-Barrois dans la Meuse, au moment où le constructeur s’engage à investir plus de 92 millions d’euros notamment dans son agrandissement.Il est attendu au château de Versailles en début d’après-midi.Le sommet “participe du redéveloppement, du redéploiement d’une puissance industrielle française”, s’est félicité sur RTL le ministre de l’Economie Eric Lombard.”De la propagande”, a commenté sur X le député Insoumis Eric Coquerel, selon qui “le bilan macroniste c’est la désindustrialisation”.Parmi les projets d’ampleur annoncés lundi figurent un investissement de 6,4 milliards d’euros de l’américain Prologis, pour la construction de centres de données et d’entrepôts, et la confirmation par MSC Croisières d’une commande de deux navires aux chantiers de Saint-Nazaire pour 3,5 milliards d’euros.- Centres de données et IA à l’honneur -Des annonces bienvenues en pleines discussions sur les droits de douane américains, alors que les Etats-Unis eux-mêmes font tout pour attirer les investissements étrangers. Les patrons américains représenteront cette année 19% des dirigeants présents à Choose France et les patrons européens, 40%. Les fonds souverains du Golfe seront aussi très présents.L’autre volet des annonces attendues concerne les premières concrétisations des 109 milliards d’investissements en France dans le domaine de l’intelligence artificielle promis en février lors d’un vaste sommet sur l’IA.Ainsi, le canadien Brookfield confirmera investir 10 milliards d’euros pour un site à Cambrai (Nord). L’américain Digital Realty scellera ses engagements pour des centres de données à Marseille et Dugny (Seine-Saint-Denis), pour 2,3 milliards.Un autre projet autour de l’IA, avec le fonds d’investissement émirati MGX, sera aussi confirmé, pour l’établissement d’un campus IA en Ile-de-France, avec une première tranche de 8,5 milliards d’euros.La France, remarque l’Elysée, est grâce au nucléaire, énergie décarbonée, un “paradis énergétique” pour des structures d’IA voraces en électricité.Cette année, Choose France attirera aussi des capitaux pour l’économie circulaire, notamment le recyclage textile, la mobilité décarbonée, ou le cinéma et l’audiovisuel.Les géants mondiaux, comme Amazon, Mars, Ikéa ou Netflix, Ferrero ou GSK, lanceront tous de nouveaux investissements en France. Tandis que la fintech britannique Revolut a dévoilé lundi un milliard d’euros d’investissement avec la création son nouveau siège social pour l’Europe de l’ouest à Paris.Le judoka multimédaillé d’or Teddy Riner sera l’invité d’honneur de la séance plénière.- “Pognon de dingue” -Emmanuel Macron, pour sa part, tiendra une table ronde avec des chefs d’entreprise sud-coréens, deux autres sur l’intelligence artificielle et la transition énergétique.Il recevra le magnat mexicain Carlos Slim, Stella Li du constructeur de voitures électriques chinois BYD et le directeur général du saoudien Qiddiya, avant un “dîner de travail” sous les ors du château.Dimanche, Emmanuel Macron a posté sur X une vidéo montrant une succession de patrons de grandes entreprises étrangères – Coca Cola, Merck, Disney ou Procter & Gamble – annonçant leurs investissements à de précédentes éditions de Choose France.La vidéo est ponctuée de bruits de tiroir-caisse, et on entend Emmanuel Macron prononcer son expression “un pognon de dingue” – employée en 2018 pour parler des dépenses sociales, ce qui lui avait valu des critiques – pour qualifier ces annonces, qui ont représenté 47 milliards d’euros depuis 2017. “On continue?”, engage-t-il.

Tanzania opposition leader defiant as he appears for treason trialMon, 19 May 2025 12:30:08 GMT

Tanzanian opposition leader Tundu Lissu vowed to keep fighting on Monday as he appeared in court on a treason charge that carries a potential death penalty. Activists say the case is another sign that democracy is eroding in several east African nations.An opposition leader is also on trial for treason in neighbouring Uganda, while opposition movements …

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Jihadists in Nigeria turn to TikTok to spread propagandaMon, 19 May 2025 12:21:59 GMT

Jihadists in northeastern Nigeria are surging — and using social media to spread the word of their campaigns and recruit fighters.At least 100 people were killed in the new wave of jihadist attacks in April alone, as the governor of Borno, the epicentre of the violence which has raged since 2009, said the state is …

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Ukraine: appel Trump-Poutine à venir, nouvelle tentative pour pousser à un cessez-le-feu

Donald Trump et Vladimir Poutine doivent s’entretenir au téléphone lundi à 14H00 GMT avec l’objectif de “mettre fin au bain de sang” en Ukraine, selon les mots du président américain, après des pourparlers infructueux entre Kiev et Moscou en Turquie en fin de semaine dernière.Les premiers pourparlers de paix entre Ukrainiens et Russes depuis 2022, qui se sont tenus vendredi à Istanbul, n’ont pas abouti au cessez-le-feu réclamé par l’Ukraine et ses alliés, les attaques meurtrières russes se poursuivant sur le terrain.Après cette rencontre qui a mis en exergue le gouffre qui sépare les positions de Moscou et Kiev, Donald Trump a déclaré qu’il parlerait par téléphone lundi à Vladimir Poutine. Objectif : “Mettre fin au +bain de sang+”, a-t-il martelé sur sa plateforme Truth Social.Dans son message de samedi, il avait dit espérer que ce serait “une journée productive” et “qu’un cessez-le-feu aura(it) lieu”.Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a, lui aussi, dit lundi vouloir un cessez-le-feu “complet et inconditionnel” de 30 jours, “suffisamment long” dans le temps pour permettre des discussions, et avec “la possibilité d’une prolongation”.Pourtant, le président russe a, pour sa part, repoussé jusque-là toutes les demandes de Kiev de trêve préalable à des discussions, estimant qu’une telle pause dans les combats permettrait aux forces ukrainiennes de se réarmer grâce à l’aide militaire occidentale.L’appel Trump-Poutine est “évidemment important”, a reconnu lundi le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, assurant que Moscou “apprécie beaucoup” la “médiation” américaine dans cet épineux dossier.Selon lui, Moscou souhaite, “bien sûr”, “atteindre (ses) objectifs” en Ukraine “par des moyens politiques et diplomatiques”, après plus de trois ans de son invasion qui a entraîné la mort d’au moins des dizaines de milliers de personnes, civiles et militaires confondues, et provoqué de gigantesques destructions.- Appel Trump-Zelensky aussi prévu -Dimanche à Rome, le vice-président américain JD Vance et Volodymyr Zelensky s’étaient entretenus, évoquant ensemble notamment, d’après un haut responsable ukrainien à l’AFP, “les préparatifs de la conversation” entre MM. Trump et Poutine et “un cessez-le-feu”.”Les dirigeants (…) ont fourni des informations supplémentaires sur l’état actuel des négociations en vue d’un cessez-le-feu et d’une paix durable”, a confirmé de son côté la Maison Blanche. Cette rencontre était la première entre les deux hommes depuis leur altercation dans le Bureau ovale fin février, aux côtés de Donald Trump, un événement qui avait montré le changement de ton de la Maison Blanche vis-à-vis de l’Ukraine.De leur côté, les Européens, soutiens de Kiev, tentent de faire bloc et de faire pression sur Moscou, menaçant de sanctions “massives” si le Kremlin ne finissait pas par accepter une trêve.Dimanche, les dirigeants français, britannique, allemand et italien se sont entretenus par téléphone avec Donald Trump, rappelant “la nécessité” d’une trêve “inconditionnelle” et que “le président Poutine (prenne) au sérieux les pourparlers de paix”, selon un porte-parole du Premier ministre britannique, Keir Starmer.Le chancelier allemand Friedrich Merz a souligné lundi sur X que les participants à l’appel souhaitaient “poursuivre cet échange aujourd’hui” avec M. Trump. Ce dernier a prévu d’informer Volodymyr Zelensky et plusieurs dirigeants d’Etats membres de l’Otan après son entretien téléphonique avec Vladimir Poutine.- “Demandes absurdes” -A ce stade pourtant, ses efforts n’ont pas permis d’avancée majeure dans le règlement du conflit, déclenché par l’invasion russe en février 2022. Les combats se poursuivent et Vladimir Medinski, le négociateur envoyé par Vladimir Poutine vendredi à Istanbul, avait cité Napoléon au moment d’expliquer l’approche de Moscou: “+La guerre et les négociations doivent être menées simultanément+”.Intransigeant, Vladimir Poutine a martelé dimanche vouloir “éliminer les causes” du conflit et “garantir la sécurité de l’État russe”, une référence à l’exigence de Moscou que l’Ukraine soit démilitarisée et ne rejoigne pas l’Otan, que le président russe considère comme une menace existentielle pour son pays.La Russie “tente de faire les mêmes demandes absurdes” qu’en 2022, a dénoncé lundi le chef de la diplomatie ukrainienne, Andriï Sybiga, sur les réseaux sociaux.A l’avantage sur le front face à des troupes ukrainiennes moins nombreuses, les forces russes ont revendiqué lundi la prise de deux localités, une dans la région de Soumy (nord-est) et l’autre dans celle de Donetsk (est), épicentre des combats.

Ukraine: appel Trump-Poutine à venir, nouvelle tentative pour pousser à un cessez-le-feu

Donald Trump et Vladimir Poutine doivent s’entretenir au téléphone lundi à 14H00 GMT avec l’objectif de “mettre fin au bain de sang” en Ukraine, selon les mots du président américain, après des pourparlers infructueux entre Kiev et Moscou en Turquie en fin de semaine dernière.Les premiers pourparlers de paix entre Ukrainiens et Russes depuis 2022, qui se sont tenus vendredi à Istanbul, n’ont pas abouti au cessez-le-feu réclamé par l’Ukraine et ses alliés, les attaques meurtrières russes se poursuivant sur le terrain.Après cette rencontre qui a mis en exergue le gouffre qui sépare les positions de Moscou et Kiev, Donald Trump a déclaré qu’il parlerait par téléphone lundi à Vladimir Poutine. Objectif : “Mettre fin au +bain de sang+”, a-t-il martelé sur sa plateforme Truth Social.Dans son message de samedi, il avait dit espérer que ce serait “une journée productive” et “qu’un cessez-le-feu aura(it) lieu”.Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a, lui aussi, dit lundi vouloir un cessez-le-feu “complet et inconditionnel” de 30 jours, “suffisamment long” dans le temps pour permettre des discussions, et avec “la possibilité d’une prolongation”.Pourtant, le président russe a, pour sa part, repoussé jusque-là toutes les demandes de Kiev de trêve préalable à des discussions, estimant qu’une telle pause dans les combats permettrait aux forces ukrainiennes de se réarmer grâce à l’aide militaire occidentale.L’appel Trump-Poutine est “évidemment important”, a reconnu lundi le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, assurant que Moscou “apprécie beaucoup” la “médiation” américaine dans cet épineux dossier.Selon lui, Moscou souhaite, “bien sûr”, “atteindre (ses) objectifs” en Ukraine “par des moyens politiques et diplomatiques”, après plus de trois ans de son invasion qui a entraîné la mort d’au moins des dizaines de milliers de personnes, civiles et militaires confondues, et provoqué de gigantesques destructions.- Appel Trump-Zelensky aussi prévu -Dimanche à Rome, le vice-président américain JD Vance et Volodymyr Zelensky s’étaient entretenus, évoquant ensemble notamment, d’après un haut responsable ukrainien à l’AFP, “les préparatifs de la conversation” entre MM. Trump et Poutine et “un cessez-le-feu”.”Les dirigeants (…) ont fourni des informations supplémentaires sur l’état actuel des négociations en vue d’un cessez-le-feu et d’une paix durable”, a confirmé de son côté la Maison Blanche. Cette rencontre était la première entre les deux hommes depuis leur altercation dans le Bureau ovale fin février, aux côtés de Donald Trump, un événement qui avait montré le changement de ton de la Maison Blanche vis-à-vis de l’Ukraine.De leur côté, les Européens, soutiens de Kiev, tentent de faire bloc et de faire pression sur Moscou, menaçant de sanctions “massives” si le Kremlin ne finissait pas par accepter une trêve.Dimanche, les dirigeants français, britannique, allemand et italien se sont entretenus par téléphone avec Donald Trump, rappelant “la nécessité” d’une trêve “inconditionnelle” et que “le président Poutine (prenne) au sérieux les pourparlers de paix”, selon un porte-parole du Premier ministre britannique, Keir Starmer.Le chancelier allemand Friedrich Merz a souligné lundi sur X que les participants à l’appel souhaitaient “poursuivre cet échange aujourd’hui” avec M. Trump. Ce dernier a prévu d’informer Volodymyr Zelensky et plusieurs dirigeants d’Etats membres de l’Otan après son entretien téléphonique avec Vladimir Poutine.- “Demandes absurdes” -A ce stade pourtant, ses efforts n’ont pas permis d’avancée majeure dans le règlement du conflit, déclenché par l’invasion russe en février 2022. Les combats se poursuivent et Vladimir Medinski, le négociateur envoyé par Vladimir Poutine vendredi à Istanbul, avait cité Napoléon au moment d’expliquer l’approche de Moscou: “+La guerre et les négociations doivent être menées simultanément+”.Intransigeant, Vladimir Poutine a martelé dimanche vouloir “éliminer les causes” du conflit et “garantir la sécurité de l’État russe”, une référence à l’exigence de Moscou que l’Ukraine soit démilitarisée et ne rejoigne pas l’Otan, que le président russe considère comme une menace existentielle pour son pays.La Russie “tente de faire les mêmes demandes absurdes” qu’en 2022, a dénoncé lundi le chef de la diplomatie ukrainienne, Andriï Sybiga, sur les réseaux sociaux.A l’avantage sur le front face à des troupes ukrainiennes moins nombreuses, les forces russes ont revendiqué lundi la prise de deux localités, une dans la région de Soumy (nord-est) et l’autre dans celle de Donetsk (est), épicentre des combats.

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Indonésie: nouvelle éruption du volcan Lewotobi Laki-Laki

Un volcan dans l’est de l’Indonésie est entré en éruption à deux reprises lundi provoquant un nuage de cendres d’un kilomètre de hauteur, les autorités ayant relevé le niveau d’alerte à son maximum.Le mont Lewotobi Laki-Laki sur l’île touristique de Flores est entré en éruption à 00H08 lundi (16H08 GMT), projetant d’épaisses cendres à 1,2 kilomètres au-dessus de son sommet, a indiqué l’agence de volcanologie locale dans un communiqué.Elle a été suivie d’une autre éruption à 09H36, selon la même source.Les autorités avaient déjà relevé dimanche soir le niveau d’alerte à son maximum pour ce volcan à deux pics de 1.584 mètres de haut.”Les résultats des analyses visuelles et instrumentales ont montré que les activités de Lewotobi Laki-Laki sont encore élevées”, a déclaré dimanche Muhammad Wafid, directeur de l’agence géologique indonésienne, dans un communiqué, mettant en garde contre le risque potentiel d’une “éruption encore plus grande”.Dimanche, une série d’éruptions a projeté des cendres jusqu’à six kilomètres d’altitude au-dessus du sommet du Laki-Laki, selon l’agence.Le directeur de l’agence géologique a également demandé aux résidents de porter des masques afin de se protéger des cendres volcaniques et aux touristes de ne pas s’approcher à moins de six kilomètres du cratère.Il a également mis en garde contre la risque de coulées de boue ou de débris en cas de fortes pluies, en particulier pour les communautés situées autour des rivières qui prennent leur source au sommet du volcan.Lewotobi Laki-Laki était déjà entré en éruption à plusieurs reprises en novembre, tuant neuf personnes, annulant des dizaines de vols internationaux vers Bali et entraînant l’évacuation de milliers de personnes.Le Laki-Laki, qui signifie “homme” en indonésien, est jumelé avec un volcan plus calme et dont le nom indonésien signifie “femme”.

Le maire pro-européen de Varsovie remporte de justesse le premier tour de la présidentielle polonaise

Le maire pro-UE de Varsovie, Rafal Trzaskowski, a remporté de justesse le premier tour de l’élection présidentielle polonaise, mais il sera confronté à une lutte difficile après que les candidats de droite et d’extrême droite ont remporté la majorité des voix, font valoir lundi les analystes.Le scrutin peut s’avérer décisif pour la coalition gouvernementale pro-européenne du Premier ministre Donald Tusk au pouvoir depuis 2023 dans ce pays de l’UE et de l’Otan, allié fidèle de Kiev. La victoire de M. Trzaskowski lui permettrait de mettre fin à une cohabitation difficile avec le chef de l’Etat sortant Andrzej Duda alors que le succès de son adversaire nationaliste, Karol Nawrocki pourrait davantage la fragiliser et mener à terme à des élections anticipées, selon les analystes.Le chef de l’Etat polonais a des pouvoirs limités, mais il dispose d’un droit de veto sur les initiatives législatives, une prérogative fréquemment utilisée par M. Duda face à la coalition de M. Tusk. La marge infime entre les deux candidats prépare le terrain pour une campagne électorale acharnée avant le deuxième tour pour séduire les partisans des candidats tiers.La campagne sera “très polarisante et brutale – une confrontation de deux visions de la Pologne: pro-UE, libérale et progressiste contre celle nationaliste, trumpiste et conservatrice”, estime l’analyste Piotr Buras du Conseil européen des relations étrangères (ECFR).Dès lundi matin, les deux candidats se sont lancés dans la campagne.”Je suis convaincu que je gagnerai, mais on a beaucoup de travail devant nous. J’avais dit que cela se jouerait sur le fil du rasoir. Et c’est bien sur le fil du rasoir”, a commenté lundi matin Rafal Trzaskowski à Kielce (sud).M. Trzaskowski a recueilli 31,36% des suffrages contre 29,54% pour M. Nawrocki, selon les résultats officiels. “Je vais tenter de convaincre tous ceux qui ont voté autrement que cela vaut la peine de voter pour une Pologne normale, et non pour une Pologne radicale”, a encore déclaré le candidat pro-européen, ajoutant qu’il allait se concentrer sur les jeunes.C’est derniers ont ont voté soit pour l’extrême droite soit pour la gauche radicale. – Démondialisation -Karol Nawrocki a quant à lui débuté sa campagne dans la ville portuaire de Gdansk (nord) d’où il est originaire. “Je suis plein d’énergie et d’optimisme sur la voie de la victoire”, a-t-il déclaré, soulignant que l’écart entre lui et son rival était “cosmétique”. “Le soutien aux candidats de droite et conservateurs nous donne vraiment un profond optimisme avant le second tour”, a-t-il ajouté. Effectivement, les deux candidats de l’extrême droite, le député libertarien eurosceptique Slawomir Mentzen et l’eurodéputé antisémite Grzegorz Braun ont obtenu ensemble 21,15% des voix, et l’ensemble des candidats de droite 54% des voix. M. Mentzen, entrepreneur multimillionnaire, eurosceptique, fermement opposé à l’avortement et aux migrants, est arrivé en troisième position au 1er tour avec le soutien de 14,81%. En revanche, les candidats de la coalition pro-européenne en place n’ont réussi à convaincre que 40,6% des électeurs.”Nous avions d’énormes attentes après les dernières élections (législatives de 2023) et elles ont été un peu déçues. C’est un signal pour le gouvernement que la société a perdu patience”, a dit à l’AFP à Varsovie Iwona Lon, employée de banque de 47 ans.Le taux de participation a été de plus de 67%.L’élection polonaise arrive à un moment délicat pour l’Europe alors que l’invasion de l’Ukraine par la Russie se prolonge et que les relations avec Washington sont tendues.Selon Piotr Buras, “la victoire de Nawrocki minerait le projet politique de Tusk et pourrait présager du retour au pouvoir du PiS en 2027 ou même plus tôt en cas d’élections anticipées”.Pour Kacper Karwacki, la percée de l’extrême droite en Pologne est “très inquiétante” mais était prévisible. “Si vous regardez les pays voisins – l’Allemagne, la France, la Grande-Bretagne – l’extrême droite gagne du terrain partout, profitant des problèmes sociaux”, fait valoir cet étudiant de 24 ans à l’AFP.Pour l’analyste du groupe Globsec, Marcin Zaborowski, “la Pologne fait simplement partie de cette tendance”.”C’est probablement une conséquence de l’arrivée des nouvelles générations aux urnes (…) Des gens qui ne pensent pas qu’il est nécessaire de se battre pour la démocratie”, estime-t-il.Il a également attribué les gains de l’extrême droite à la démondialisation promue par le président américain Donald Trump.”L’humeur générale semble être que les coûts de la globalisation sont trop élevés. Et les gens veulent revenir à ce qui est local, à ce qui est familier”, a-t-il dit.