Le consulat de Russie à Marseille pris pour cible, Moscou dénonce une “attaque terroriste”

Le consulat général de Russie à Marseille, deuxième ville de France, a été visé lundi matin par des jets de bouteilles suivis de “détonations” qui n’ont fait ni dégât ni blessé, un acte qualifié d'”attaque terroriste” par Moscou, au troisième anniversaire du début du conflit en Ukraine.Selon la préfecture de police, “trois bouteilles de soda en plastique 50 cl ont été envoyées ce matin dans les jardins du consulat. Deux d’entre elles ont éclaté et généré des détonations”. “L’analyse des résidus de produits contenus dans ces bouteilles est en cours”, a précisé la préfecture de police, soulignant que la police judiciaire a été chargée de l’enquête.Une source policière avait initialement fait état de “trois engins explosifs de fabrication artisanale” lancés vers 08h00 “sur la façade du consulat”, précisant que deux engins sur les trois avaient explosé.Lundi matin, le périmètre entourant le consulat, situé dans le très cossu 8e arrondissement de Marseille, était entièrement bouclé par les forces de l’ordre, ont constaté des journalistes de l’AFP sur place. Le parquet de Marseille a annoncé “l’ouverture d’une enquête en flagrance pour dégradation par substances explosives ou incendiaires”, enquête confiée à la division de la criminalité organisée et spécialisée (DCOS). L’incident n’a fait “aucun blessé ou dégât”, a souligné le parquet.- “Manifestation antirusse” -“Les explosions survenues sur le territoire du consulat général de Russie à Marseille présentent tous les signes d’une attaque terroriste”, a aussitôt réagi le ministère russe des Affaires étrangères.”Nous exigeons que le pays hôte prenne rapidement des mesures d’enquête complètes, ainsi que des mesures visant à renforcer la sécurité des établissements du ministère des Affaires étrangères”, a déclaré la porte-parole du ministère, Maria Zakharova, citée par l’agence RIA Novosti.De son côté, l’ambassade de Russie en France a affirmé, sur son site Telegram, qu’elle “avait bien lancé un appel anticipé aux autorités françaises en exigeant d’augmenter le niveau de sécurité de toutes les institutions russes en France, compte tenu des éventuelles provocations ces jours-ci”. L’ambassade souligne qu'”une petite manifestation antirusse” avait eu lieu dimanche près du consulat à Marseille, comme dans plusieurs autres villes françaises à la veille du troisième anniversaire de l’invasion de l’Ukraine par la Russie.”La France condamne toute atteinte à la sécurité des emprises diplomatiques”, a réagi dans un communiqué le ministère français des Affaires étrangères, rappelant que “l’inviolabilité, la protection et l’intégrité des emprises diplomatiques et consulaires, ainsi que de leur personnel, sont des principes fondamentaux du droit international”.Dans le quartier, aucun des riverains interrogés par l’AFP n’a entendu d’explosion. Un témoin, cité par BFMTV, a lui affirmé avoir entendu “comme un bruit de pétard, de ballon qui explose”.Les marins-pompiers de Marseille, appelés sur place peu avant 08h00, ont indiqué à l’AFP avoir dépêché “une trentaine d’éléments”. Des forces de police nationale et municipale ainsi que des démineurs étaient également présents.En milieu de matinée, les journalistes de l’AFP ont entendu deux détonations provoquées par un robot démineur. Les opérations de déminage se sont terminées à 11h30, a annoncé un des membres de l’équipe technique, et le dispositif commençait à être allégé.Selon un représentant policier sur place, le dispositif de bouclage du quartier devait être levé vers 14h00. Le consulat général de Russie est situé dans un quartier résidentiel, où sont installées plusieurs autres représentations étrangères dans la deuxième ville de France.mca-dt-meg-alc/ol/hj 

L1: Longoria “regrette” et admet qu’il n’y a “pas de corruption dans le foot français”

Trente-six heures après la défaite de Marseille à Auxerre (3-0) et son spectaculaire coup de colère, le président de l’OM Pablo Longoria a admis lundi dans une interview à l’AFP qu’il n’y avait “pas de corruption dans le foot français” et a assuré “regretter” d’avoir utilisé ce terme.Q: Deux jours après le match à Auxerre, quel est votre état d’esprit ?R: “Je suis toujours très auto-critique et je ne peux pas accepter de donner ce type d’image. Un président de club ne peut pas se comporter comme ça. Rien ne justifie la forme et je ne suis pas content de moi.”Q: Un mot a particulièrement choqué, celui de +corruption+. Le regrettez-vous ?R: “La forme n’était pas appropriée et ce mot, oui, je le regrette. Tout le monde m’a bien expliqué sa signification en français parce qu’en espagnol, ça a un sens plus large. Attention, ça ne justifie rien. Mais je n’ai jamais de la vie pensé à quelque chose comme des échanges d’argent ou des transactions financières, jamais. Je tiens à dire qu’il n’y a pas de corruption dans le foot français. Mais qu’il y ait des choses qui ne sont pas claires et qu’il faut améliorer, pour tout le monde, oui.”Q: La saison de l’OM a été marquée par de nombreuses polémiques autour de l’arbitrage…R: “Même si rien ne la justifie, il faut comprendre comment on arrive à cette colère. Ma première responsabilité, c’est défendre mon club. Il y a eu cette saison beaucoup de décisions arbitrales sur lesquelles je considère que l’OM a été défavorisé. Une chose m’a particulièrement touché, c’est la situation avec Medhi Benatia et la sanction qu’il a subie (trois mois de suspension ferme après OM-Lille en Coupe de France, ndlr). Et avec mes collaborateurs, je suis à la vie à la mort. Depuis deux ans, je pose dans les instances la question de l’utilisation de la VAR. En début de semaine dernière, on a encore envoyé un courrier, sans réponse. Il y a trop de choses anormales qui ont été considérées comme normales. Et puis il y a la désignation de Jérémy Stinat (Quatrième arbitre lors de l’incident avec Medhi Benatia, ndlr). Ca n’est pas à moi de décider qui arbitre les matchs, ça serait aller contre ce que je défends. Mais il faut un peu d’intelligence émotionnelle. Quel que soit le scénario du match, sa désignation allait poser des questions. Toutes ces choses montrent un manque de transparence et de clarté. Et c’est ça qui m’a fait monter, avec l’adrénaline du moment.”Q: Quel regard portez-vous sur l’arbitrage français ?R: “Je l’ai dit dix fois: en Coupe d’Europe, les arbitres français sont bons. Mais aujourd’hui en L1, il y a un manque de cohérence totale d’un match à l’autre. Mais plus on dit les choses, plus on a l’impression que rien n’avance. C’est frustrant et à un moment, tu perds patience.”Q: Longtemps, vous avez estimé que ce n’était pas votre rôle de parler d’arbitrage. Aujourd’hui, vous le faites régulièrement…R: “Je m’en souviens. Je disais que je ne voulais pas être un président des années 1990, cette période du football espagnol où tout le monde s’insultait, tout le monde criait plus fort l’un que l’autre et toutes les réunions de Ligue finissaient en disputes. Mais j’ai été très vexé pendant la saison 2022-2023 où je voulais porter une position de dialogue et d’ouverture vis-à-vis de l’arbitrage, une position un peu différente, qui n’était pas forcément appréciée par les supporters et mes collaborateurs. Mais tout ce que j’ai gagné, c’est que les arbitres refusaient de me parler. Aujourd’hui, je préfère dire librement les choses. C’est mieux que de voir qu’on me refuse la parole.”Q: Mais l’OM est deuxième. Est-ce pertinent de parasiter cette saison avec des questions d’arbitrage ?R: “Si dans la vie on décide de tout laisser passer, alors c’est un monde sans conviction. Et autant je ne me retrouve pas dans le type de réaction que j’ai eue, autant je ne me reconnaitrai jamais dans une personne qui ne défend pas ses convictions.”Q: Redoutez-vous une sanction lourde ?R: “Je me dois d’assumer ce que j’ai fait. Ne pas le faire serait hypocrite. Je pense que le niveau de sévérité envers l’OM a été excessivement haut, surtout par rapport à d’autres clubs. Mais ces situations ne doivent pas cacher une prestation sportive qui n’a pas été à la hauteur et personne ne doit utiliser cela comme un alibi ou une excuse. Je répète que je ne me sens pas représenté par ma réaction à Auxerre, mais je demande aussi pourquoi on en est arrivé là.”Propos recueillis par Stanislas TOUCHOT

L1: Longoria “regrette” et admet qu’il n’y a “pas de corruption dans le foot français”

Trente-six heures après la défaite de Marseille à Auxerre (3-0) et son spectaculaire coup de colère, le président de l’OM Pablo Longoria a admis lundi dans une interview à l’AFP qu’il n’y avait “pas de corruption dans le foot français” et a assuré “regretter” d’avoir utilisé ce terme.Q: Deux jours après le match à Auxerre, quel est votre état d’esprit ?R: “Je suis toujours très auto-critique et je ne peux pas accepter de donner ce type d’image. Un président de club ne peut pas se comporter comme ça. Rien ne justifie la forme et je ne suis pas content de moi.”Q: Un mot a particulièrement choqué, celui de +corruption+. Le regrettez-vous ?R: “La forme n’était pas appropriée et ce mot, oui, je le regrette. Tout le monde m’a bien expliqué sa signification en français parce qu’en espagnol, ça a un sens plus large. Attention, ça ne justifie rien. Mais je n’ai jamais de la vie pensé à quelque chose comme des échanges d’argent ou des transactions financières, jamais. Je tiens à dire qu’il n’y a pas de corruption dans le foot français. Mais qu’il y ait des choses qui ne sont pas claires et qu’il faut améliorer, pour tout le monde, oui.”Q: La saison de l’OM a été marquée par de nombreuses polémiques autour de l’arbitrage…R: “Même si rien ne la justifie, il faut comprendre comment on arrive à cette colère. Ma première responsabilité, c’est défendre mon club. Il y a eu cette saison beaucoup de décisions arbitrales sur lesquelles je considère que l’OM a été défavorisé. Une chose m’a particulièrement touché, c’est la situation avec Medhi Benatia et la sanction qu’il a subie (trois mois de suspension ferme après OM-Lille en Coupe de France, ndlr). Et avec mes collaborateurs, je suis à la vie à la mort. Depuis deux ans, je pose dans les instances la question de l’utilisation de la VAR. En début de semaine dernière, on a encore envoyé un courrier, sans réponse. Il y a trop de choses anormales qui ont été considérées comme normales. Et puis il y a la désignation de Jérémy Stinat (Quatrième arbitre lors de l’incident avec Medhi Benatia, ndlr). Ca n’est pas à moi de décider qui arbitre les matchs, ça serait aller contre ce que je défends. Mais il faut un peu d’intelligence émotionnelle. Quel que soit le scénario du match, sa désignation allait poser des questions. Toutes ces choses montrent un manque de transparence et de clarté. Et c’est ça qui m’a fait monter, avec l’adrénaline du moment.”Q: Quel regard portez-vous sur l’arbitrage français ?R: “Je l’ai dit dix fois: en Coupe d’Europe, les arbitres français sont bons. Mais aujourd’hui en L1, il y a un manque de cohérence totale d’un match à l’autre. Mais plus on dit les choses, plus on a l’impression que rien n’avance. C’est frustrant et à un moment, tu perds patience.”Q: Longtemps, vous avez estimé que ce n’était pas votre rôle de parler d’arbitrage. Aujourd’hui, vous le faites régulièrement…R: “Je m’en souviens. Je disais que je ne voulais pas être un président des années 1990, cette période du football espagnol où tout le monde s’insultait, tout le monde criait plus fort l’un que l’autre et toutes les réunions de Ligue finissaient en disputes. Mais j’ai été très vexé pendant la saison 2022-2023 où je voulais porter une position de dialogue et d’ouverture vis-à-vis de l’arbitrage, une position un peu différente, qui n’était pas forcément appréciée par les supporters et mes collaborateurs. Mais tout ce que j’ai gagné, c’est que les arbitres refusaient de me parler. Aujourd’hui, je préfère dire librement les choses. C’est mieux que de voir qu’on me refuse la parole.”Q: Mais l’OM est deuxième. Est-ce pertinent de parasiter cette saison avec des questions d’arbitrage ?R: “Si dans la vie on décide de tout laisser passer, alors c’est un monde sans conviction. Et autant je ne me retrouve pas dans le type de réaction que j’ai eue, autant je ne me reconnaitrai jamais dans une personne qui ne défend pas ses convictions.”Q: Redoutez-vous une sanction lourde ?R: “Je me dois d’assumer ce que j’ai fait. Ne pas le faire serait hypocrite. Je pense que le niveau de sévérité envers l’OM a été excessivement haut, surtout par rapport à d’autres clubs. Mais ces situations ne doivent pas cacher une prestation sportive qui n’a pas été à la hauteur et personne ne doit utiliser cela comme un alibi ou une excuse. Je répète que je ne me sens pas représenté par ma réaction à Auxerre, mais je demande aussi pourquoi on en est arrivé là.”Propos recueillis par Stanislas TOUCHOT

Over 7,000 people killed in eastern DR Congo since January: PMMon, 24 Feb 2025 12:30:15 GMT

Violence raging in eastern Democratic Republic of Congo has killed “more than 7,000 compatriots”, many of them civilians, since last month, the Congolese premier said Monday.The Rwanda-backed M23 armed group has seized large swathes of the mineral-rich eastern DRC — including the main cities of Goma and Bukavu — in the face of limited resistance …

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African players in Europe: Salah drives Liverpool closer to titleMon, 24 Feb 2025 12:13:21 GMT

Egypt star Mohamed Salah scored one goal and created the other as Liverpool beat Manchester City 2-0 at the weekend, a win that pushed the Reds ever closer to the Premier League title.Salah has scored 30 goals in all competitions this season, including nine in his last eight matches for leaders Liverpool.Here, AFP Sport highlights …

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Apple promet 500 milliards de dollars d’investissement aux États-Unis sur quatre ans

Apple a annoncé lundi vouloir investir plus de 500 milliards de dollars aux États-Unis durant les quatre prochaines années et promis 20.000 embauches, au moment où le président américain Donald Trump pousse les entreprises du pays à rapatrier leur production sur le sol américain.”Apple a annoncé aujourd’hui son plus important engagement de dépenses jamais réalisé, avec des plans pour dépenser et investir plus de 500 milliards de dollars aux États-Unis au cours des quatre prochaines années”, a déclaré le géant californien dans un communiqué.Le groupe de Cupertino précise vouloir financer des projets dans les domaines de l’intelligence artificielle, l’ingénierie ou encore la formation. Il prévoit par ailleurs d’augmenter les capacités de ses sites de production américains existants ainsi que la construction d’ici 2026 d’une nouvelle usine à Houston, dans l’État du Texas, pour produire des serveurs qui étaient jusqu’à présent fabriqués “en dehors des États-Unis”, détaille le communiqué, précisant que ce nouveau site va “créer des milliers d’emplois”.Au total, l’ensemble de ces projets devrait permettre d’embaucher 20.000 collaborateurs supplémentaires au cours des quatre prochaines années, affirme Apple.Cette annonce survient après des annonces du président américain Donald Trump, visant à imposer de nouveaux droits de douanes sur une vaste gamme de produits étrangers et plus particulièrement chinois, allant des semi-conducteurs aux voitures en passant par les produits pharmaceutiques. Ceci afin – entre autres – d’inciter les entreprises américaines à relocaliser leur production aux États-Unis.

Apple promet 500 milliards de dollars d’investissement aux États-Unis sur quatre ans

Apple a annoncé lundi vouloir investir plus de 500 milliards de dollars aux États-Unis durant les quatre prochaines années et promis 20.000 embauches, au moment où le président américain Donald Trump pousse les entreprises du pays à rapatrier leur production sur le sol américain.”Apple a annoncé aujourd’hui son plus important engagement de dépenses jamais réalisé, avec des plans pour dépenser et investir plus de 500 milliards de dollars aux États-Unis au cours des quatre prochaines années”, a déclaré le géant californien dans un communiqué.Le groupe de Cupertino précise vouloir financer des projets dans les domaines de l’intelligence artificielle, l’ingénierie ou encore la formation. Il prévoit par ailleurs d’augmenter les capacités de ses sites de production américains existants ainsi que la construction d’ici 2026 d’une nouvelle usine à Houston, dans l’État du Texas, pour produire des serveurs qui étaient jusqu’à présent fabriqués “en dehors des États-Unis”, détaille le communiqué, précisant que ce nouveau site va “créer des milliers d’emplois”.Au total, l’ensemble de ces projets devrait permettre d’embaucher 20.000 collaborateurs supplémentaires au cours des quatre prochaines années, affirme Apple.Cette annonce survient après des annonces du président américain Donald Trump, visant à imposer de nouveaux droits de douanes sur une vaste gamme de produits étrangers et plus particulièrement chinois, allant des semi-conducteurs aux voitures en passant par les produits pharmaceutiques. Ceci afin – entre autres – d’inciter les entreprises américaines à relocaliser leur production aux États-Unis.

Attentat de Mulhouse: hommage à la victime lundi

Un homme “courageux”: sur sa page Facebook, une association de Mulhouse résume le sentiment qui domine au sein de la communauté portugaise dont faisait partie la victime d’une attaque mortelle au couteau samedi sur le marché de la ville.Lundi à 19H30 un hommage sera rendu à Lino Sousa Loureiro, 69 ans, touché mortellement, et aux autres victimes blessées dans l’attentat.”Ce rassemblement républicain témoignera de la nécessaire unité face au terrorisme et au fanatisme islamiste, et pour que force reste à l’ordre et à la Loi”, a indiqué la mairie dans un communiqué.Brahim A., 37 ans, est soupçonné d’avoir tué la victime à l’arme blanche et d’avoir grièvement blessé deux agents du stationnement et cinq policiers municipaux plus légèrement, un “acte de terrorisme”, selon le président Emmanuel Macron.Le principal suspect, né en Algérie, a été placé en garde à vue ainsi que trois autres personnes. Il est en situation irrégulière en France et est fiché au “FSPRT”, le fichier de traitement des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste.Une cellule de soutien psychologique a été mise en place lundi à la mairie de Mulhouse, selon un communiqué conjoint de la préfecture du Haut-Rhin et de la ville de Mulhouse.  “Elle a pour vocation d’accueillir les personnes qui (en) ressentent le besoin afin de leur apporter écoute et accompagnement afin d’éviter l’installation des troubles de stress post-traumatique”.”Nous sommes en deuil après l’attentat tragique de Mulhouse, qui a coûté la vie à l’un des nôtres, un compatriote portugais courageux, qui a sacrifié sa vie pour protéger autrui”, écrit le Groupe culturel et folklorique des Portugais de Mulhouse sur sa page Facebook.Selon des informations non confirmées officiellement, l’homme aurait été tué alors qu’il tentait de s’interposer.Selon une source proche du dossier, les investigations sont toujours en cours et il n’est pas possible à ce stade d’établir précisément l’implication de ce passant.L’association invite la communauté portugaise de l’agglomération mulhousienne à se rassembler lundi soir “avec un oeillet blanc en signe de solidarité”.”C’était un gars calme, correct, il aimait bien le foot, le samedi matin il allait en général à l’association des Portugais pour jouer au billard ou au baby foot”, raconte à l’AFP Henriques Da Silva, 75 ans, qui le croisait dans le cadre de ses activités culturelles.