‘Daddy’s home’: Trump gets rock star welcome at conservative convention

Greeted by wild applause and chants of “USA! USA!” from a packed hall, US President Donald Trump received a triumphant welcome on Saturday at the annual conservative convention near Washington. In his uniform blue suit, the US leader took the stage facing a sea of red hats bearing the slogan of his “Make America Great Again” (MAGA) movement at the Conservative Political Action Conference (CPAC), a yearly assembly of top Republicans in suburban Maryland. From the outset of his nearly 1.5 hour-long speech, the Republican launched into attacks on the “globalists” and “a sinister group of radical left Marxists, warmongers and corrupt special interests,” who, according to him, governed the country before his return to power.The wide-ranging address was punctuated by shouts of “J-6! J-6!” from a small group of supporters in the back of the room thanking the president for pardoning on the first day of his second term those charged with attacking the US Capitol on January 6, 2021. Mocking the age of his predecessor Joe Biden, 82, the 78-year-old billionaire leader said of the Democrat “every single thing he touched turned to shit,” to raucous cheers and laughter. – ‘Not a phony’ -Trump fans praised the speech and the man himself. Retiree Martha Weaver said she’d seen the president speak eight times, calling him “genuine.” He’s “a billionaire, but a normal person, you could probably have a normal conversation with him, as opposed to people who are just blowing smoke,” the 73-year-old told AFP. Fellow retiree Theresa Menz said: “He’s not a phony. He loves America, he loves people, he loves life.”People don’t get it. He’s putting us first,” said the 74-year-old, sporting a MAGA sweater. The CPAC convention has been around for decades, but has become a celebration of Trump, even more so this year with his victorious return to the White House. In the corridors of the sprawling National Harbor convention center, Trump’s image and name were omnipresent. Attendees could take selfies with a life-sized cardboard likeness, purchase sequined vests bearing the words “Trump: The Golden Era” or wear T-shirts showing Trump defiant with a bloodied ear after last July’s assassination attempt.Wearing a “Trump Was Right” T-shirt and a “Make America Great Again” cap, Carol Newton said the first month since his return to the White House has been a “whirlwind.” And after four years under Biden, “That’s what we needed,” said the 63-year-old retiree.Hailing from northwestern Washington state, Newton said she had seen the Republican billionaire “a half-dozen times.”And every time, she added, “You come away feeling good and, you know, enlightened and hopeful and enriched.”- ‘Golden Era’ -One woman donned a “Daddy’s Home” T-shirt bearing a picture of the Republican leader outside the White House, while another proudly displayed red, white and blue fingernails with “TRUMP” spelled out on one hand and “VANCE,” the US vice president, on the other.”People are happy that Trump is president, you know, and last year we were all hoping he would be,” said Clark Page, a 70-year-old retiree from Alabama, referring to the previous CPAC confab. Page, a former medical equipment salesman, said Trump’s first month back in office had been “fantastic.””Reagan was fantastic, too,” he added, referring to the conservative president from the 1980s, “but I’ve never seen a president as effective as Donald Trump.”While the CPAC attendees interviewed expressed universal excitement about Trump, some said this year’s convention was a bit disappointing.”It’s not as crowded as it has been,” said 39-year-old Rex Clark, who works for a military contractor. “I hope everybody’s not being complacent.”James Ong, a student at Catholic University in Washington, agreed. “There’s like, less enthusiasm here compared to past CPACs,” said Ong, who campaigned for Trump last year and is attending his third meeting of the group.The young people he saw at previous CPAC conventions, the 21-year-old Ong added, seem to have given way to “Baby Boomers” and older Americans. 

Un mort dans un attentat à Mulhouse, Retailleau incrimine l’Algérie

Un homme de 37 ans est soupçonné d’avoir tué à l’arme blanche une personne et d’avoir grièvement blessé au moins trois policiers municipaux samedi à Mulhouse (Haut-Rhin), un “acte de terrorisme” selon Emmanuel Macron, tandis que Bruno Retailleau a mis en cause l’Algérie. Le précédent attentat mortel en France était celui de la tour Eiffel, qui avait fait un mort et deux blessés en décembre 2023 à Paris.Selon des témoignages concordants obtenus par l’AFP, l’assaillant a crié “Allah u akbar” (“Dieu est le plus grand” en arabe) à plusieurs reprises, lors de l’attaque qui a tué un Portugais de 69 ans, et lors de son interpellation par les forces de l’ordre.En déplacement au salon de l’agriculture à Paris, le président de la République Emmanuel Macron a évoqué un “acte de terrorisme”, “islamiste”, “qui ne fait pas de doute”.- Suspect fiché -Le suspect “est fiché au FSPRT”, le fichier de traitement des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste, a déclaré à l’AFP le procureur de Mulhouse Nicolas Heitz, qui s’est rendu sur place. Le parquet national antiterroriste (Pnat) a annoncé se saisir de l’enquête, ouverte pour assassinat en relation avec une entreprise terroriste et tentative d’assassinats sur personnes dépositaires de l’autorité publique, en relation avec une entreprise terroriste.”Une personne civile qui s’est interposée est décédée. Trois policiers municipaux seraient blessés”, a précisé le Pnat dans un communiqué, indiquant que l’assaillant est actuellement en garde à vue.Deux policiers municipaux ont été grièvement blessés, pour l’un “à la carotide”, pour l’autre “au thorax”, a pour sa part affirmé Nicolas Heitz. Si le second a pu sortir de l’hôpital, le premier doit être transféré dimanche au centre hospitalier de Colmar. Trois autres policiers municipaux auraient été plus légèrement atteints, a précisé le procureur de Mulhouse.Interrogé sur TF1, le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a indiqué que le suspect faisait l’objet d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF) et a accusé l’Algérie de l’avoir refusé à 10 reprises.”Une fois de plus, c’est le terrorisme islamiste qui a frappé. Et, une fois de plus, j’ajoute que ce sont les désordres migratoires qui sont aussi à l’origine de cet acte terroriste”, a-t-il lancé.Devant l’Hôtel de police de Mulhouse, où il a rendu hommage au sang froid des policiers, M. Retailleau a précisé que le suspect avait aussi “un profil schizophrène” et son acte “une dimension psychiatrique”.- Une dizaine de minutes -Les faits se sont déroulés “en une dizaine de minutes” entre 15h40 et 15h50, a rapporté le ministre. L’homme a d’abord blessé grièvement des agents du stationnement avant de s’en prendre à un sexagénaire portugais qui tentait de s’interposer, et qui a été mortellement blessé d’un coup de couteau.L’homme a ensuite été poursuivi par des policiers municipaux qui sont parvenus à le maîtriser sans faire usage d’armes à feu.Le drame s’est déroulé à proximité du marché du canal couvert, dans un quartier populaire très animé en ce samedi après-midi.A la nuit tombée, plusieurs membres de la police scientifique s’affairaient encore à la lueur d’un projecteur sur la dalle située à l’extérieur du marché couvert, alors que épluchures de légumes jonchaient le sol. Le périmètre était gardé par des militaires. “C’est un quartier pas très calme, il y a beaucoup de squats, et au marché il y a toujours beaucoup de monde, beaucoup de personnes âgées”, a déclaré à l’AFP Amina, une riveraine âgée de 23 ans, sans vouloir donner son nom de famille.”La personne qui a fait ça, elle savait qu’en venant ici il y aurait beaucoup de monde, et puis des personnes faibles. Heureusement qu’elle a été attrapée, sinon je ne serai pas sortie de chez moi”, a-t-elle confié.- “En deuil” -“Le fanatisme a encore frappé et nous sommes en deuil”, a réagi le Premier ministre, François Bayrou, qui a adressé ses “félicitations aux forces de l’ordre pour leur intervention rapide”.”L’horreur vient de saisir notre ville”, a déploré sur Facebook la maire de la ville, Michèle Lutz. Le précédent attentat signalé en France remontait au mois dernier, lorsqu’un homme de 32 ans avait blessé au couteau une personne en criant “Allah Akbar” dans un supermarché d’Apt (Vaucluse). Fin janvier, le procureur antiterroriste, Olivier Christen, avait souligné que “l’absence de décès des suites d’une action terroriste en 2024 en France ne (reflétait) pas une diminution du risque terroriste”, rappelant que neuf attentats avaient été déjoués l’an dernier.En 2024, 85 enquêtes préliminaires ont été ouvertes par le Pnat, dont 66 “pour le seul contentieux jihadiste, en augmentation de 70% par rapport à 2023”, avait relevé M. Christen.apz/bar/dch   

Trump accueilli en rock star à la grand-messe des conservateurs

Dans une salle pleine à craquer, la foule applaudit à tout rompre et scande “U-S-A! U-S-A!”: Donald Trump a reçu samedi un accueil triomphal lors de la convention CPAC, le grand rassemblement annuel de la droite américaine près de Washington.Costume bleu et cravate rose, le président américain a avancé en terrain conquis, devant un parterre de casquettes rouges “Make America Great Again”.Dès le début de son discours, le républicain ne perd pas de temps pour s’attaquer aux “mondialistes” et au “funeste groupe de marxistes de gauche extrême va-t-en-guerre” qui selon lui gouvernait le pays avant son retour au pouvoir.Son intervention de près d’une heure et demie, balaie comme à son habitude de nombreux sujets, et est ponctuée par les cris de “J-6! J-6!” venant d’un petit groupe de ses partisans dans le fond de la salle. Ils remercient ainsi le président d’avoir gracié, dès le premier jour de son second mandat, les assaillants du Capitole le 6 janvier 2021.Se moquant de l’âge de Joe Biden, 82 ans, le milliardaire républicain de 78 ans martèle aussi à propos de son prédécesseur démocrate que “tout ce à quoi il a touché s’est transformé en merde”, devant une audience hilare.- “Authentique” -Theresa Menz, une retraitée de 74 ans, est ressortie ravie de l’allocution du président.”C’est pas un hypocrite”, estime-t-elle. “Il aime l’Amérique, il aime les gens, il aime la vie.”A côté d’elle, Martha Weaver abonde dans son sens: “On a adoré”.”C’est une personne authentique, un milliardaire, mais une personne normale”, estime-t-elle.Pour Richard McCarty, le discours de Donald Trump a été “génial”.”J’adore ce qu’il fait” en ce début de second mandat, notamment  “les coupes dans les dépenses” publiques et “l’abrogation des trucs stupides que l’administration Biden faisait”, estime le spectateur de 48 ans, qui travaille pour une association.La convention CPAC existe depuis plusieurs décennies, mais est devenue récemment l’occasion de célébrer Donald Trump. D’autant plus cette année avec son retour victorieux à la Maison Blanche.Dans les allées de la convention, l’image et le nom du milliardaire sont partout. Les participants peuvent prendre une photo avec une silhouette en carton grandeur nature du président républicain, pouce levé. Des vestes à paillettes “TRUMP – L’Age d’Or” sont en vente. Et beaucoup portent des t-shirts le représentant juste après la tentative d’assassinat à son encontre en juillet dernier, l’oreille ensanglantée.Une femme arbore un t-shirt “Papa est à la maison”, avec le milliardaire républicain devant la Maison Blanche, tandis qu’une autre montre avec plaisir ses ongles vernis bleu blanc rouge, avec “TRUMP” sur une main et “VANCE” sur l’autre, du nom du vice-président.- “Enrichi” -Un mois après son retour à la Maison Blanche, Donald Trump “est un tourbillon”, assure à l’AFP Carol Newton, 63 ans, vêtue d’un t-shirt “Trump avait raison”. Et “c’est ce dont nous avions besoin” après quatre ans de Joe Biden, ajoute celle qui dit avoir déjà vu le milliardaire républicain “une demi-douzaine de fois”.Chaque fois, “vous en ressortez en vous sentant bien, et éclairé, et plein d’espoir, et enrichi”, décrit-elle aux côtés de son jeune petit-fils, venu avec elle pour la première fois à la CPAC.Clark Page, participe lui pour la sixième fois à la convention conservatrice. La principale différence avec l’édition 2024? “Les gens sont contents que Donald Trump soit président, l’an dernier on espérait tous qu’il le serait.”Cet ancien commercial de 70 ans explique avoir vu Donald Trump la première fois lors d’un rassemblement en 2015, dans son Etat d’origine de l’Alabama (sud).”Après l’avoir vu je me suis dit: +Oh, il va être président+”, raconte-t-il.Selon lui, le premier mois du second mandat de Donald Trump à la Maison Blanche a été “fantastique”.”Reagan était fantastique aussi”, dit-il à propos de l’ancien chef d’Etat républicain (de 1981 à 1989), “mais je n’ai jamais vu un président aussi efficace que Donald Trump”.

Espagne: Barcelone reste en tête grâce à sa victoire 2-0 à Las Palmas

Barcelone reste en tête du championnat d’Espagne grâce à sa victoire 2-0 samedi à Las Palmas et la gardera même si le Real Madrid bat Gérone dimanche lors de la 25e journée.Barcelone compte désormais 54 points, un de plus que l’Atlético, qui a battu Valence (3-0) samedi, et trois d’avance sur le Real, avec aussi une meilleure différence de buts que le champion en titre.Les Catalans ont buté devant les buts majorquins pendant la première période, s’exposant aux contres, dont une belle tentative d’Alberto Moleiro à la 25e passée à quelques centimètres des poteaux de Szczesny.Manifestant une certaine timidité devant les buts adverses, les joueurs barcelonais ne sont parvenus à se créer une belle occasion qu’à la 31e minute sur une frappe croisée de Lamine Yamal mais, là aussi, à côté des buts de Las Palmas.Les deux équipes rentraient au vestiaire à la pause sur un score nul, malgré une forte domination de Barcelone avec 8 tirs au but pour 5 à Las Palmas.Il aura fallu donc attendre la 62e pour que Dani Olmo, rentré 15 minutes plus tôt, ouvre la marque pour Barcelone avec une magnifique lucarne sur une passe de Yamal.Les Majorquins réclamaient un pénalty à la 81e sur une main de la défense catalane mais l’arbitre le refusait, avec l’aide de la VAR, pour hors-jeu d’un joueur de Las Palmas, non sans avoir distribué du jaune des deux côtés pour contestations.Las Palmas ne relâchait pas la pression mais c’est Barcelone qui s’échappait avec un but de Ferran Torres ((90+5). L’Atlético s’est pour sa part largement imposé samedi sur la pelouse de Valence (3-0).Un doublé de Julian Alvarez (12e, 30e), avec une passe décisive d’Antoine Griezmann sur le deuxième but, et une frappe précise d’Angel Correa (87e) ont illustré la redoutable efficacité des Colchoneros (trois tirs cadrés, trois buts) face à des Valenciens volontaires mais imprécis.dar-jld/

Ligue 1 : Marseille balayé à Auxerre

Après trois victoires consécutives, Marseille s’est lourdement incliné à Auxerre (3-0) au terme d’un match animé de la 23e journée de Ligue 1 terminé à dix par l’OM après l’exclusion de Derek Cornelius à l’heure de jeu. Au classement, les Marseillais, qui avaient déjà perdu à l’aller au Vélodrome (3-1), le 8 novembre, restent deuxièmes à dix longueurs du PSG qui joue dimanche à Lyon. De son côté, l’AJA, qui met fin à une série de dix matches sans victoires en Ligue 1 (six nuls, quatre défaites), est dixième avec 28 points, neuf d’avance sur Saint-Etienne (16e et barragiste).Hormis Monaco (3-0) en début de saison, aucune équipe du Top 5 actuel n’a réussi à s’imposer au stade de l’Abbé-Deschamps.Les Auxerrois ont une nouvelle fois pu compter sur Gaëtan Perrin qui a ouvert la marque pour son huitième but cette saison après un doublé le 14 février à Brest (2-2).Il a trouvé l’ouverture sur un service d’Elisha Owusu avant d’éliminer Quentin Merlin et de loger le ballon sous l’équerre (34).- Doublé pour Jubal, deux passes pour Perrin -En seconde période, Jubal a porté le score à 2-0 en transformant un penalty accordé pour une faute du gardien phocéen Geronimo Rulli sur Lassine Sinayoko, parti en contre (77) avant d’inscrire le troisième but en reprenant de la tête un corner joué par Perrin (3-0, 90).Avant d’être mené, Marseille dominait la rencontre avec 80% de possession du ballon, un taux constant jusqu’à la fin de la rencontre, mais sans jamais vraiment se montrer dangereux dans une rencontre où les occasions ont finalement été rares, néanmoins. L’OM n’a d’ailleurs cadré que deux tirs.Merlin a toutefois touché le poteau sur un centre qu’Amine Gouiri a manqué de reprendre (16) alors que le gardien auxerrois, Donovan Leon a sauvé son équipe en sortant bien devant Mason Greenwood (29).Avant la mi-temps, la vidéo-assistance a refusé un penalty à Merlin mais aussi un but à Auxerre, et à Théo Bair, inscrit sur le contre qui suivait pour un hors-jeu de Junior Traoré (45+2).Le match avait été précédé par une polémique sur la désignation de Jérémy Stinat comme arbitre, mais ce dernier a été pertinent dans ces décisions comme a pu l’être également la VAR.Après la mi-temps, Gouiri a encore manqué le cadre de justesse (49). Il a pensé égaliser sur un centre de Luiz Henrique mais ce dernier a été signalé hors-jeu, là aussi après l’intervention de la VAR (51). Peu après, Léon a encore sauvé l’AJA devant Greenwood (55) mais aussi sur une reprise de la tête de Geoffrey Kondogbia à la réception d’un corner joué par Gouiri (80) alors que l’OM évoluait à dix après l’exclusion de Derek Cornelius pour deux avertissements (63).L’avant-match a été émaillé d’incidents entre supporters: quatorze personnes ont été blessées, dont deux transportées à l’hôpital, sans donner lieu à des interpellations, selon la préfecture de l’Yonne.

Israel stalls Palestinians’ release after six Gaza hostages freed

Israeli authorities delayed the release of Palestinian prisoners due Saturday in exchange for six hostages freed from Gaza, prompting Hamas to accuse Israel of a “blatant violation” of the truce deal.Prime Minister Benjamin Netanyahu was due to convene a consultation on Saturday evening, two Israeli officials said.”Once the security consultation concludes, a decision will be made regarding the next steps” of the ceasefire agreement with Hamas, said one official, speaking on condition of anonymity.After the six captives were released, Netanyahu in a statement vowed to “continue acting decisively in order to bring all of our hostages back home”.From Washington, US Secretary of State Marco Rubio warned that Hamas would be “destroyed” if it did not release all the remaining hostages.”Hamas’ treatment of hostages, including its brutal murder of the Bibas family, further illustrates their savagery and is yet another reason why we are saying these terrorists must release all of the hostages immediately or be destroyed,” he wrote on X.In the Israeli-occupied West Bank and in the Gaza Strip, families waited for hours for their loved ones to be released from Israeli custody in exchange for the six Israelis taken back home.”Waiting is very difficult,” said Shireen al-Hamamreh, whose brother was due for release.”We are patient and we will remain stronger than the occupier, God willing,” she told AFP in the West Bank city of Ramallah.- A ‘blatant violation’ -The Palestinian Prisoners’ Club advocacy group said Israel would free 620 inmates on Saturday, most of them Gazans taken into custody during the war, but their release has stalled into the night.Hamas spokesman Abdel Latif al-Qanou said in a statement that Israel’s “failure to comply with the release… at the agreed-upon time constitutes a blatant violation of the agreement”.Qanou called on the truce mediators to pressure Israel to “implement its provisions without delay or obstruction”.Israeli sources did not provide a clear reason for the delay, which comes after an emotional two days in Israel, where the remains of hostage Shiri Bibas have been identified after the initial handover of a different body.Netanyahu has said Hamas will pay “the full price” for what he termed a violation of the truce deal over Bibas’s return.Bibas and her two young sons, among dozens taken captive during Hamas’s October 7, 2023 attack on Israel that triggered the war, had become symbols of the ordeal suffered by the Israeli hostages.Forensics expert Chen Kugel said an autopsy conducted on their remains had found “no evidence of injuries caused by a bombing”.Hamas militants had claimed that all three were killed in the early days of Gaza war in an Israeli air strike.- ‘Coming back home’ -Six Israelis, some of them dual nationals, were released earlier on Saturday, the last group of living hostages under the truce’s first phase.The first phase of the truce has so far enabled the release of 30 captives and is due to expire in early March.Negotiations for a second phase, which is meant to lead to a permanent end to the war, have yet to begin.At a ceremony in Nuseirat, central Gaza, Eliya Cohen, 27, Omer Shem Tov, 22, and Israeli-Argentine Omer Wenkert, 23, waved from a stage, flanked by masked Hamas militants, before their handover to the Red Cross.”I saw the look on his face, he’s calm, he knows he’s coming back home… He’s a real hero,” said Wenkert’s friend Rory Grosz.Under the cold winter rain in Rafah, southern Gaza, militants handed over Tal Shoham, 40, and Avera Mengistu, 38, who both appeared dazed.A sixth hostage, Hisham al-Sayed, 37, was later released in private and taken back to Israeli territory, the military said.Sayed, a Bedouin Muslim, and Mengistu, an Ethiopian Jew, had been held in Gaza for about a decade after they entered the territory individually.Sayed’s family called it “a long-awaited moment”.Relatives of Shoham wept and embraced as they watched his handover, video released by the Israeli government showed.”Tal seems well considering the circumstances. An enormous weight is lifted from us,” the family of the Austrian-Israeli dual national said.Hamas later published a video showing two Israelis still captive in Gaza watching one of Saturday’s ceremonies from a vehicle, pleading for Netanyahu to secure their release. AFP could not confirm the authenticity of the video.- ‘Mix-up’ -On Thursday, the first transfer of dead hostages under the truce sparked anger in Israel after analysis concluded that Shiri Bibas’s remains were not among the four bodies returned.Hamas admitted a possible “mix-up of bodies”, and late Friday handed over more human remains which the Bibas family said had been identified as Shiri’s.The family said in a statement she “was murdered in captivity and has now returned home… to rest.”Israel’s military said that, after an analysis of the remains, Palestinian militants had killed the Bibas boys, Ariel and Kfir, “with their bare hands” in November 2023.Hamas on Saturday dismissed this account as “baseless lies”.Out of 251 people taken hostage during the October 2023 attack, 62 are still in Gaza including 35 the Israeli military says are dead.The Hamas attack resulted in the deaths of 1,215 people, mostly civilians, according to an AFP tally of Israeli official figures.Israel’s retaliatory campaign has killed at least 48,319 people in Gaza, the majority of them civilians, according to figures from the health ministry in the Hamas-run territory that the United Nations considers reliable.burs-jj/bgs

Italie: l’Inter déloge provisoirement Naples de la première place

La troisième tentative lors des deux dernières semaines a été la bonne: l’Inter Milan a battu difficilement le Genoa (1-0) samedi lors de la 26e journée du Championnat d’Italie, pour déloger au moins provisoirement Naples de la première place.L’équipe de Simone Inzaghi, privée pour un mois de son gardien de but Yann Sommer, blessé au pouce droit, a monopolisé le ballon mais a dû attendre la 78e minute pour prendre le dessus sur le Genoa de Patrick Vieira, solide à défaut d’être enthousiasmant.Le salut pour les champions d’Italie en titre est venu de leur capitaine argentin Lautaro Martinez qui a trompé de la tête le gardien du Genoa. Grâce à cette deuxième victoire en cinq matches, l’Inter a dépassé le Napoli, leader depuis la 19e journée, et compte un point d’avance (57 points) sur son rival (56 pts) qui vient d’enchaîner trois nuls de suite, avant son déplacement dimanche (12h30) à Côme (13e, 25 pts).Quelle que soit l’issue de ce match, le choc de la 27e journée samedi prochain entre Naples et l’Inter pourrait être décisif pour le titre 2025.Rien ne va plus pour l’AC Milan: quatre jours après son élimination de la Ligue des champions par Feyenoord, le club lombard s’est incliné 2 à 1 sur le terrain du Torino samedi.Le Milan a concédé un premier but sur une bourde de son gardien français Mike Maignan, dont le dégagement a été propulsé dans son propre but par Malick Thiaw (5).Le gardien du Torino Vanja Milinkovic-Savic a stoppé un pénalty de Christian Pulisic (32). Le Milan a fini par égaliser à la 74e minute, avant de concéder un second but, synonyme de défaite, deux minutes plus tard.Les Rossoneri restent bloqués à la 7e place avec 41 points, à six longueurs de la 4e place, la dernière qualificative pour la prochaine C1, occupée par la Lazio Rome (47 pts), neutralisée plus tôt (0-0) par Venise.Pour ses débuts sur le banc de Parme, l’ancien international roumain Cristian Chivu a vu son équipe s’imposer 2 à 0 face à Bologne et sortir de la zone dangereuse (17e), avec deux points d’avance sur Empoli (18e).