Saudi Arabia opens Mecca, Medina to foreign investors

Saudi Arabia on Monday said foreigners are from now on allowed to invest in Saudi-listed companies that own property in Mecca and Medina, Islam’s two holiest cities.The decision “aims to stimulate investment, enhance the attractiveness and efficiency of the capital market, and strengthen its regional and international competitiveness while supporting the local economy,” the kingdom’s Capital Market Authority said in a statement.It said foreign investment “in companies owning real estate within the boundaries of Mecca and Madinah will be limited to shares of these Saudi companies listed on the Saudi capital market, convertible debt instruments, or both.”However, non-Saudi ownership cannot exceed 49 percent, the authority said.Saudi Arabia is the Middle East’s largest economy and the world’s biggest exporter of crude oil.It has for years been engaged in a vast reform agenda aimed at diversifying the economy with tourism and investment.Mecca already receives millions of Muslim pilgrims each year but the city is undergoing massive development aimed at drawing 30 million faithful by 2030.A project dubbed Masar, financed by the kingdom’s Public Investment Fund, foresees 40,000 new hotel rooms in Mecca.The annual hajj and umrah pilgrimages brought in an estimated $12 million in revenue in 2019.Non-Muslims are not permitted to enter the holy cities.

Restructurations et fermeture d’un studio anglais, Ubisoft licencie 185 employés

Après San Francisco et Osaka, le géant français des jeux vidéo Ubisoft, dans une mauvaise passe financière, a annoncé lundi la fermeture de son studio à Leamington, au Royaume-Uni, et plusieurs restructurations en Europe menant au départ de 185 employés.”Dans le cadre de nos efforts continus pour prioriser les projets et réduire les coûts afin d’assurer la stabilité à long terme d’Ubisoft, nous avons annoncé des restructurations ciblées” au sein des studios de Düsseldorf (Allemagne), Stockholm (Suède) et Ubisoft Reflections (Angleterre), “ainsi que la fermeture définitive du site d’Ubisoft Leamington”, a indiqué le groupe à l’AFP.”Malheureusement, cela devrait affecter 185 employés” parmi les quelque 18.000 salariés que compte l’entreprise dans le monde, a-t-il ajouté.Ces nouveaux départs s’ajoutent aux 277 postes supprimés après l’annonce en décembre de l’arrêt du jeu de tir en ligne “XDefiant”, faute d’avoir trouvé son public.La fin de “XDefiant” avait entraîné la fermeture des studios d’Ubisoft à San Francisco (Etats-Unis) et Osaka (Japon), et la “réduction progressive” de celui de Sydney (Australie).Cette annonce intervient alors que le géant français a de nouveau reporté début janvier la sortie de son jeu phare “Assassin’s Creed Shadows”, désormais prévue pour le 20 mars. Ce qui l’a contraint à abaisser ses objectifs financiers pour l’année.En 2024, Ubisoft a connu plusieurs lancements de jeux en demi-teinte, comme “Star Wars Outlaws” dont les ventes ont été plus faibles que prévu.Alors que l’action du groupe a baissé de plus de 40% sur un an, Ubisoft a indiqué début janvier réfléchir à plusieurs options “stratégiques et capitalistiques” pour son avenir, alors que des rumeurs de rachat et de sortie de bourse se font de plus en plus insistantes.

Restructurations et fermeture d’un studio anglais, Ubisoft licencie 185 employés

Après San Francisco et Osaka, le géant français des jeux vidéo Ubisoft, dans une mauvaise passe financière, a annoncé lundi la fermeture de son studio à Leamington, au Royaume-Uni, et plusieurs restructurations en Europe menant au départ de 185 employés.”Dans le cadre de nos efforts continus pour prioriser les projets et réduire les coûts afin d’assurer la stabilité à long terme d’Ubisoft, nous avons annoncé des restructurations ciblées” au sein des studios de Düsseldorf (Allemagne), Stockholm (Suède) et Ubisoft Reflections (Angleterre), “ainsi que la fermeture définitive du site d’Ubisoft Leamington”, a indiqué le groupe à l’AFP.”Malheureusement, cela devrait affecter 185 employés” parmi les quelque 18.000 salariés que compte l’entreprise dans le monde, a-t-il ajouté.Ces nouveaux départs s’ajoutent aux 277 postes supprimés après l’annonce en décembre de l’arrêt du jeu de tir en ligne “XDefiant”, faute d’avoir trouvé son public.La fin de “XDefiant” avait entraîné la fermeture des studios d’Ubisoft à San Francisco (Etats-Unis) et Osaka (Japon), et la “réduction progressive” de celui de Sydney (Australie).Cette annonce intervient alors que le géant français a de nouveau reporté début janvier la sortie de son jeu phare “Assassin’s Creed Shadows”, désormais prévue pour le 20 mars. Ce qui l’a contraint à abaisser ses objectifs financiers pour l’année.En 2024, Ubisoft a connu plusieurs lancements de jeux en demi-teinte, comme “Star Wars Outlaws” dont les ventes ont été plus faibles que prévu.Alors que l’action du groupe a baissé de plus de 40% sur un an, Ubisoft a indiqué début janvier réfléchir à plusieurs options “stratégiques et capitalistiques” pour son avenir, alors que des rumeurs de rachat et de sortie de bourse se font de plus en plus insistantes.

80e anniversaire de la libération d’Auschwitz: les survivants dénoncent l’antisémitisme

Une poignée de survivants d’Auschwitz sont retournés lundi dans le camp de la mort nazi, dénonçant la “montée énorme” de l’antisémitisme, à l’occasion du 80e anniversaire de la libération de ce symbole de l’Holocauste, dans lequel six millions de Juifs européens ont péri.Auschwitz était le plus grand des camps d’extermination construits par l’Allemagne nazie. Un million de Juifs et plus de 100.000 non-Juifs y sont morts entre 1940 et 1945.Une cinquantaine de survivants étaient lundi devant l’entrée du camps d’Auschwitz-Birkenau, aux côtés du roi Charles III, du président français Emmanuel Macron et de dizaines d’autres dirigeants.La parole a été réservée aux survivants, Marian Turski, Tova Friedman, Leon Weintraub et Janina Iwanska.”Nous assistons aujourd’hui à une montée énorme de l’antisémitisme, or c’est précisément l’antisémitisme qui a conduit à l’Holocauste”, a averti M. Turski, âgé de 98 ans, en ouvrant les cérémonies, devant un des wagons à bestiaux ayant servi à transporter les victimes vers Auschwitz. Tova Friedman, 86 ans, a dénoncé une réalité où “nos valeurs judéo-chrétiennes ont été éclipsées dans le monde entier par les préjugés, la peur, la suspicion et l’extrémisme, et l’antisémitisme rampant qui se répand parmi les nations”.- Ne jamais se taire -M. Weintraub, un médecin suédois de 99 ans, né en Pologne, a condamné la prolifération des mouvements d’inspiration nazie en Europe. Le président du Congrès juif mondial, Ronald Lauder, a souligné que les horreurs d’Auschwitz et l’attaque du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023 étaient toutes deux inspirées par “la haine ancestrale des Juifs”. “Le 27 janvier 1945, lorsque l’Armée rouge a franchi ces portes, le monde a enfin vu où mène la progression graduelle de l’antisémitisme. Il mène ici même”, a-t-il insisté. “Aujourd’hui, nous devons tous nous engager à ne jamais nous taire face à l’antisémitisme ou à toute autre forme de haine”, a déclaré M. Lauder.Certains survivants portaient des casquettes et des écharpes à rayures bleues et blanches symbolisant leurs anciens uniformes de prisonniers.Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui faisait partie des dirigeants présents à la cérémonie, a déclaré dans un communiqué que le monde devait s’unir “pour empêcher le mal de gagner”. Lundi, le président russe Vladimir Poutine a rendu hommage aux soldats soviétiques qui ont vaincu un “mal terrible et total” en libérant le camp, dans un message publié par le Kremlin.Jusqu’à l’invasion de l’Ukraine en 2022, une délégation russe avait toujours assisté aux cérémonies anniversaires, mais depuis trois ans elle n’y est plus invitée, décision des organisateurs vivement critiquée par Moscou.Les organisateurs ont souligné qu’il pourrait s’agir du dernier grand anniversaire réunissant un groupe aussi important de survivants.”Nous savons tous que dans dix ans, il ne sera plus possible d’avoir un groupe aussi important pour le 90e anniversaire”, a déclaré Pawel Sawicki, porte-parole du musée d’Auschwitz. “Avec la diminution du nombre de survivants de l’Holocauste, la responsabilité de la mémoire repose beaucoup plus lourdement sur nos épaules et sur celles des générations à venir”, a déclaré le roi Charles III lors d’une visite au centre communautaire juif de Cracovie lundi. – “Voudra-t-on nous croire?” -Le camp a été créé en 1940 dans des baraquements d’Oswiecim, dans le sud de la Pologne occupée, dont le nom a été germanisé en Auschwitz par les nazis. Les 728 premiers prisonniers politiques polonais y sont arrivés le 14 juin de cette année-là.Du 21 au 26 janvier 1945, les Allemands font sauter les chambres à gaz et les fours crématoires de Birkenau et se retirent. Le 27 janvier, les troupes soviétiques arrivent et retrouvent 7.000 survivants.Le jour de la libération du camp a été proclamé par les Nations unies Journée de commémoration de l’Holocauste.Avant ce 80e anniversaire de la libération d’Auschwitz-Birkenau, une quarantaine de survivants des camps nazis ont accepté de parler à l’AFP.Dans 15 pays, d’Israël à la Pologne, de la Russie à l’Argentine, du Canada à l’Afrique du Sud, ils ont raconté leur histoire et posé pour une photo, seuls ou entourés de leurs enfants, petits-enfants et arrière-petits-enfants, preuve de leur victoire sur le mal absolu.Ils ont mis en garde contre la montée de la haine et de l’antisémitisme dans le monde et partagé leurs craintes de voir l’Histoire se répéter.Julia Wallach, une Parisienne presque centenaire, qui a survécu deux ans à Birkenau où un nazi l’a fait descendre in extremis d’un camion à destination d’une chambre à gaz continue à témoigner. “Tant que je pourrai le faire, je le ferai”, insiste-t-elle. A ses côtés, sa petite-fille Frankie se demande: “Quand elle ne sera plus là, est-ce qu’on voudra nous croire, nous, quand on en parlera?”.C’est pourquoi Esther Senot, 97 ans, s’est rendue à Birkenau le mois dernier accompagnant des lycéens français. C’est une promesse qu’elle a faite en 1944 à sa sÅ“ur Fanny, mourante, qui, allongée sur la paille et crachant du sang, lui avait demandé dans son dernier souffle de raconter ce qui est arrivé “pour que l’Histoire ne nous oublie pas”.

80e anniversaire de la libération d’Auschwitz: les survivants dénoncent l’antisémitisme

Une poignée de survivants d’Auschwitz sont retournés lundi dans le camp de la mort nazi, dénonçant la “montée énorme” de l’antisémitisme, à l’occasion du 80e anniversaire de la libération de ce symbole de l’Holocauste, dans lequel six millions de Juifs européens ont péri.Auschwitz était le plus grand des camps d’extermination construits par l’Allemagne nazie. Un million de Juifs et plus de 100.000 non-Juifs y sont morts entre 1940 et 1945.Une cinquantaine de survivants étaient lundi devant l’entrée du camps d’Auschwitz-Birkenau, aux côtés du roi Charles III, du président français Emmanuel Macron et de dizaines d’autres dirigeants.La parole a été réservée aux survivants, Marian Turski, Tova Friedman, Leon Weintraub et Janina Iwanska.”Nous assistons aujourd’hui à une montée énorme de l’antisémitisme, or c’est précisément l’antisémitisme qui a conduit à l’Holocauste”, a averti M. Turski, âgé de 98 ans, en ouvrant les cérémonies, devant un des wagons à bestiaux ayant servi à transporter les victimes vers Auschwitz. Tova Friedman, 86 ans, a dénoncé une réalité où “nos valeurs judéo-chrétiennes ont été éclipsées dans le monde entier par les préjugés, la peur, la suspicion et l’extrémisme, et l’antisémitisme rampant qui se répand parmi les nations”.- Ne jamais se taire -M. Weintraub, un médecin suédois de 99 ans, né en Pologne, a condamné la prolifération des mouvements d’inspiration nazie en Europe. Le président du Congrès juif mondial, Ronald Lauder, a souligné que les horreurs d’Auschwitz et l’attaque du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023 étaient toutes deux inspirées par “la haine ancestrale des Juifs”. “Le 27 janvier 1945, lorsque l’Armée rouge a franchi ces portes, le monde a enfin vu où mène la progression graduelle de l’antisémitisme. Il mène ici même”, a-t-il insisté. “Aujourd’hui, nous devons tous nous engager à ne jamais nous taire face à l’antisémitisme ou à toute autre forme de haine”, a déclaré M. Lauder.Certains survivants portaient des casquettes et des écharpes à rayures bleues et blanches symbolisant leurs anciens uniformes de prisonniers.Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui faisait partie des dirigeants présents à la cérémonie, a déclaré dans un communiqué que le monde devait s’unir “pour empêcher le mal de gagner”. Lundi, le président russe Vladimir Poutine a rendu hommage aux soldats soviétiques qui ont vaincu un “mal terrible et total” en libérant le camp, dans un message publié par le Kremlin.Jusqu’à l’invasion de l’Ukraine en 2022, une délégation russe avait toujours assisté aux cérémonies anniversaires, mais depuis trois ans elle n’y est plus invitée, décision des organisateurs vivement critiquée par Moscou.Les organisateurs ont souligné qu’il pourrait s’agir du dernier grand anniversaire réunissant un groupe aussi important de survivants.”Nous savons tous que dans dix ans, il ne sera plus possible d’avoir un groupe aussi important pour le 90e anniversaire”, a déclaré Pawel Sawicki, porte-parole du musée d’Auschwitz. “Avec la diminution du nombre de survivants de l’Holocauste, la responsabilité de la mémoire repose beaucoup plus lourdement sur nos épaules et sur celles des générations à venir”, a déclaré le roi Charles III lors d’une visite au centre communautaire juif de Cracovie lundi. – “Voudra-t-on nous croire?” -Le camp a été créé en 1940 dans des baraquements d’Oswiecim, dans le sud de la Pologne occupée, dont le nom a été germanisé en Auschwitz par les nazis. Les 728 premiers prisonniers politiques polonais y sont arrivés le 14 juin de cette année-là.Du 21 au 26 janvier 1945, les Allemands font sauter les chambres à gaz et les fours crématoires de Birkenau et se retirent. Le 27 janvier, les troupes soviétiques arrivent et retrouvent 7.000 survivants.Le jour de la libération du camp a été proclamé par les Nations unies Journée de commémoration de l’Holocauste.Avant ce 80e anniversaire de la libération d’Auschwitz-Birkenau, une quarantaine de survivants des camps nazis ont accepté de parler à l’AFP.Dans 15 pays, d’Israël à la Pologne, de la Russie à l’Argentine, du Canada à l’Afrique du Sud, ils ont raconté leur histoire et posé pour une photo, seuls ou entourés de leurs enfants, petits-enfants et arrière-petits-enfants, preuve de leur victoire sur le mal absolu.Ils ont mis en garde contre la montée de la haine et de l’antisémitisme dans le monde et partagé leurs craintes de voir l’Histoire se répéter.Julia Wallach, une Parisienne presque centenaire, qui a survécu deux ans à Birkenau où un nazi l’a fait descendre in extremis d’un camion à destination d’une chambre à gaz continue à témoigner. “Tant que je pourrai le faire, je le ferai”, insiste-t-elle. A ses côtés, sa petite-fille Frankie se demande: “Quand elle ne sera plus là, est-ce qu’on voudra nous croire, nous, quand on en parlera?”.C’est pourquoi Esther Senot, 97 ans, s’est rendue à Birkenau le mois dernier accompagnant des lycéens français. C’est une promesse qu’elle a faite en 1944 à sa sÅ“ur Fanny, mourante, qui, allongée sur la paille et crachant du sang, lui avait demandé dans son dernier souffle de raconter ce qui est arrivé “pour que l’Histoire ne nous oublie pas”.

Foot: Luis de la Fuente prolonge jusqu’en 2028 à la tête de la sélection espagnole

Le sélectionneur de l’Espagne Luis de la Fuente a prolongé de deux ans son contrat à la tête de la “Roja”, avec laquelle il est désormais engagé jusqu’en 2028, a annoncé lundi la Fédération espagnole de football.Vainqueur de l’Euro 2024 avec l’Espagne l’été dernier, Luis de la Fuente, en poste depuis fin 2022, est désormais lié à la sélection masculine espagnole de football jusqu’à la conclusion de l’Euro 2028, qui aura lieu au Royaume-Uni et en Irlande, a précisé la fédération dans un communiqué.Agé de 63 ans, le sélectionneur dirigera avant cela la “Roja” – si elle se qualifie – lors de la prochaine Coupe du Monde, qui aura lieu à l’été 2026 aux États-Unis, au Canada et au Mexique.”J’apprécie la pression, je suis exigeant envers moi-même et je n’ai pas peur de me jeter à l’eau si je suis convaincu de quelque chose”, a commenté De la Fuente lors d’une conférence de presse. “Je continuerai sur la même voie, celle qui nous a amenés jusqu’ici, en essayant de m’améliorer et de grandir.”Avant de remporter l’Euro en 2024, Luis de la Fuente avait déjà prolongé son contrat jusqu’en 2026, mais l’un des objectifs du nouveau président de la fédération espagnole, Rafael Louzán, était de continuer à miser sur lui et de lui offrir une revalorisation salariale.”J’étais convaincu de l’endroit où je voulais être. Je suis chez moi, ici, à la Fédération, et très heureux. Nous n’avons jamais envisagé une autre option”, a-t-il poursuivi, remerciant la RFEF pour l’effort consenti. “Nous travaillons dans la stabilité.”De la Fuente, qui a commencé son périple à la fédération en 2013 lorsqu’il a pris les rênes de l’équipe des moins de 18 ans, est devenu sélectionneur le 8 décembre 2022, remplaçant Luis Enrique, aujourd’hui entraîneur du Paris Saint-Germain, après la Coupe du monde au Qatar que l’Espagne avait quittée dès les huitièmes de finale.Depuis, il a remporté la Ligue des Nations en 2023 et l’Euro en 2024.L’équipe espagnole doit prochainement disputer un quart de finale de la Ligue des Nations contre les Pays-Bas les 20 et 23 mars.Né dans la ville de Haro, dans la Rioja, De la Fuente a été joueur professionnel à Séville, Alavés et l’Athletic Bilbao, avec qui il a remporté la Liga et la Coupe du Roi.En tant qu’entraîneur dans différentes catégories de la sélection espagnole, il a remporté les championnats européens des moins de 19 ans (2015) et des moins de 21 ans (2019), ainsi que la médaille d’or aux Jeux méditerranéens (2018) et l’argent aux Jeux olympiques de Tokyo en 2021.

Psychiatrie sinistrée: le Comité d’éthique lance aussi l’alerte

Accès dégradé, pénurie de moyens, inégalités territoriales, droits fondamentaux bafoués: le Comité national d’éthique alerte sur la crise de la psychiatrie et appelle d’urgence à un plan d’ampleur en France, où la santé mentale est la “grande cause nationale” 2025.Comment expliquer le “paradoxe extrêmement troublant” d’une multiplication d’alarmes et “d’une forme de banalisation, voire de déni d’une situation extrêmement grave sur le terrain”, s’est demandé lundi le Pr Angèle Consoli, membre du Comité consultatif national d’éthique (CCNE), lors d’une conférence de presse.Cette psychiatre pour enfants et adolescents, en poste depuis 20 ans à l’hôpital parisien de La Pitié-Salpêtrière, est l’une des rapporteures d’un avis publié par cet organe consultatif, intitulé “Enjeux éthiques relatifs à la crise de la psychiatrie: une alerte”.Les troubles psychiatriques touchent un Français sur cinq environ au cours de leur vie. La pandémie de Covid a remis en lumière mais aussi accentué la dégradation de la santé mentale, notamment des jeunes.S’il “accueille avec satisfaction” le choix de la santé mentale comme grande cause nationale, le comité d’éthique, qui mêle médecins, scientifiques, juristes et philosophes, appelle à “un plan psychiatrie”, champ le plus sinistré.”Les populations en détresse ont besoin de réponses rapides et effectives; tout comme les professionnels de santé, fatigués et inquiets”, souligne le CCNE, qui pointe notamment “une situation catastrophique” pour la pédopsychiatrie et la psychiatrie de l’adolescent, spécialement pour les jeunes de l’Aide sociale à l’enfance.”Depuis une dizaine d’années, plus d’une vingtaine de rapports ont dénoncé les difficultés de prise en charge, d’accès aux soins, parfois les maltraitances, notamment de la contention – liées pour beaucoup à des manques de personnel”, mais sans “réponse politique forte”, a abondé Sophie Crozier, neurologue hospitalière et corapporteure.Il y a eu “des petites avancées depuis les assises de la psychiatrie en 2021, mais cela ne se traduit pas sur le terrain”, a-t-elle précisé.Encore en décembre, un rapport, copiloté par la députée macroniste Nicole Dubré-Chirat et l’écologiste Sandrine Rousseau, s’alarmait de l’état de la psychiatrie et réclamait notamment l’arrêt des fermetures de lits à l’hôpital public.  – Changer de vision -Pour le comité d’éthique, l’urgence est de “concentrer les efforts en priorité sur les infrastructures publiques, qui prennent en charge les situations de souffrance les plus graves et les plus complexes, mais demeurent confrontées aux défis financiers et organisationnels les plus critiques”.A l’hôpital, “en 40 ans, on a fermé 60% des lits” pour un virage ambulatoire non compensé par d’autres accueils, a ainsi noté le Pr Consoli.Résultat, “les urgences, saturées, sont souvent le lieu du début de la prise en charge: la première rencontre se fait parfois dans des conditions extrêmement difficiles, voire indignes… quand on reste attaché aux urgences en attendant d’être admis dans un service hospitalier”.”Garantir un accès équitable à des soins psychiatriques dignes” est dans les trois priorités, selon le CCNE.Amélioration de l’accueil dans tous les lieux de soins (prisons comprises), arrêt de l’hospitalisation de mineurs dans des services de psychiatrie adulte, renforcement des équipes de soins et meilleur aménagement des locaux pour réduire le recours à l’isolement et à la contention, ratios soignés/soignants, font partie des pistes suggérées.Autres recommandations: améliorer les conditions de travail des professionnels en psychiatrie et la coordination entre soignants.La réponse à la crise, “c’est une question de moyens, mais pas seulement”, a souligné le président du CCNE, le Pr Jean-François Delfraissy. “C’est aussi la vision des autres disciplines sur la psychiatrie et les malades, et la vision de la société qui doit changer, comme cela a été le cas pour les malades du cancer”, a-t-il ajouté.Pour “lutter contre la stigmatisation et l’exclusion des personnes vivant avec des troubles psychiatriques”, le comité invite à combattre les stéréotypes et l’assimilation de certaines pathologies à des formes de violence et de dangerosité, ou encore à soutenir certaines structures (associations de pair-aidance – entraide entre malades -, de familles…). Il appelle enfin à renforcer la formation des soignants, entre autres des généralistes et infirmiers, et la recherche dans toutes les disciplines éclairant la prise en charge psychiatrique, sans négliger celles “parfois délaissées” (épidémiologie, recherche clinique, sciences humaines et sociales).

DeepSeek, rivale chinoise de ChatGPT, se dit victime d’une cyberattaque à grande échelle

DeepSeek, une application d’intelligence artificielle (IA) chinoise, a fait savoir lundi qu’elle subissait une cyberattaque “malveillantes à grande échelle” et devait en conséquence limiter temporairement les inscriptions d’utilisateurs.Fondée en 2023 à Hangzhou, dans l’est de la Chine, la start-up du même nom fait désormais concurrence aux modèles américains d’IA générative qui dominent le marché, tels que ChatGPT (OpenAI) et Gemini (Google). Elle a précisé que les personnes ayant déjà un compte pourront se connecter comme d’habitude.Son service vient de détrôner ChatGPT en termes de téléchargements sur l’App Store (boutique d’applications mobiles d’Apple) après une semaine de battage médiatique autour de ses capacités jugées équivalentes à celles de ses principaux concurrents américains – pour une fraction du coût.Cet essor rapide a entraîné une chute des géants de la Silicon Valley à Wall Street.Nvidia, le fournisseur les puces de pointe nécessaires à la conception des modèles d’IA générative, voyait ainsi son action plonger de plus de 16% vers 17h45 GMT. L’entreprise a perdu plus de 500 milliards de dollars de valorisation.Alphabet (Google), Microsoft et Amazon, qui ont dépensé des sommes colossales pour dominer ce secteur en pleine expansion, reculaient aussi, tirant avec eux les marchés financiers.

DeepSeek, rivale chinoise de ChatGPT, se dit victime d’une cyberattaque à grande échelle

DeepSeek, une application d’intelligence artificielle (IA) chinoise, a fait savoir lundi qu’elle subissait une cyberattaque “malveillantes à grande échelle” et devait en conséquence limiter temporairement les inscriptions d’utilisateurs.Fondée en 2023 à Hangzhou, dans l’est de la Chine, la start-up du même nom fait désormais concurrence aux modèles américains d’IA générative qui dominent le marché, tels que ChatGPT (OpenAI) et Gemini (Google). Elle a précisé que les personnes ayant déjà un compte pourront se connecter comme d’habitude.Son service vient de détrôner ChatGPT en termes de téléchargements sur l’App Store (boutique d’applications mobiles d’Apple) après une semaine de battage médiatique autour de ses capacités jugées équivalentes à celles de ses principaux concurrents américains – pour une fraction du coût.Cet essor rapide a entraîné une chute des géants de la Silicon Valley à Wall Street.Nvidia, le fournisseur les puces de pointe nécessaires à la conception des modèles d’IA générative, voyait ainsi son action plonger de plus de 16% vers 17h45 GMT. L’entreprise a perdu plus de 500 milliards de dollars de valorisation.Alphabet (Google), Microsoft et Amazon, qui ont dépensé des sommes colossales pour dominer ce secteur en pleine expansion, reculaient aussi, tirant avec eux les marchés financiers.