La Colombie propose au Venezuela d’affronter “ensemble” la guérilla de l’ELN
Le président de la Colombie, Gustavo Petro, a proposé samedi au Venezuela d’affronter “ensemble” la guérilla de l’ELN, contre laquelle Bogota vient de lancer une offensive militaire à la frontière après des affrontements qui ont fait au moins 80 morts et 38.000 déplacés depuis une semaine.M. Petro réagissait à une déclaration du ministre vénézuélien de la défense, Vladimir Padrino, qui a exprimé son intention de “collaborer” avec son voisin pour “consolider la paix”.”Il suffit de passer à la pratique ensemble. Le marteau et l’enclume” contre l’Armée de libération nationale (ELN), la dernière guérilla constituée comme telle en Colombie, a déclaré le président colombien sur X.Bogota a annoncé vendredi avoir lancé une offensive militaire à la frontière avec le Venezuela contre les guérilleros d’extrême gauche de l’ELN, qui tente d’affirmer son contrôle sur une partie de la région frontalière du Catatumbo.Depuis le 16 janvier, l’ELN a pris pour cible des dissidents des Forces armées révolutionnaires de Colombie (FARC) non signataires de l’accord de paix en 2016, ainsi que des civils. Plus de 80 personnes ont été tuées et au moins 38.000 déplacées par ces violences.L’armée colombienne a diffusé des images de tirs d’artillerie lourde et de l’arrivée à Catatumbo d’une douzaine de véhicules blindés. Elle dit avoir déployé plus de 9.000 soldats dans cette région qui abrite des routes du trafic de drogue et des plantations de coca, l’ingrédient principal de la cocaïne, dont la Colombie est le premier producteur mondial.Son commandant, le général Luis Emilio Cardozo, a annoncé samedi qu’au moins 104 dissidents des FARC avaient remis leurs armes à l’armée, dont 65 au cours des dernières 24 heures. Dans ce groupe, 54 sont colombiens et 11 vénézuéliens, a-t-il précisé, ajoutant que ses soldats avaient à cette occasion saisi des dizaines d’armes, d’explosifs et des milliers de munitions.L’armée colombienne a indiqué avoir mené dès vendredi de premiers combats dans cette zone montagneuse où des journalistes de l’AFP ont pu observer le régime de terreur imposé par les guérilleros.La Colombie replonge ainsi dans l’une des pires crises sécuritaires de ces dernières années, anéantissant les espoirs du gouvernement de désarmer l’ELN avec laquelle il avait relancé des pourparlers de paix en 2022.- Soupçons mutuels  -Depuis le 16 janvier, plusieurs dizaines de milliers de personnes ont fuit les combats. Selon le bureau du médiateur des droits de l’homme, les déplacements de population actuels sont les plus importants depuis 1997, quand ces données ont commencé à être recueillies.Une partie a franchi la frontière pour passer côté vénézuélien, où le gouvernement du président Nicolas Maduro a mis en place un plan d’aide pour ces déplacés.Vendredi, le ministre vénézuélien de la défense avait rencontré son homologue colombien, Ivan Velásquez, dans la ville frontalière de San Cristóbal, pour parler des solutions à la crise humanitaire que traverse la Colombie à la suite de l’attaque de l’ELN dans le Catatumbo.La Colombie tente toujours de comprendre comment l’ELN a pu mobiliser des troupes depuis le département voisin d’Arauca, son principal bastion à la frontière, sans que les autorités ne le découvrent.Certains organisation pointent du doigt un soutien du régime vénézuélien à l’ELN, qui opère selon des experts des deux côtés de la frontière. L’ONG Human Rights Watch affirme par exemple que les forces de sécurité vénézuéliennes ont “mené des opérations” main dans la main avec la guérilla.M. Padrino, qui dément que le Venezuela serve de base arrière aux groupes armés, comme l’en soupçonnent depuis des années les services de renseignement colombiens, a indiqué avoir mobilisé des soldats le long de la frontière et qu’il ne permettrait pas “l’action d’un groupe armé quel qu’il soit”.Les attaques de l’ELN mettent à rude épreuve les relations entre Petro, premier président de gauche en Colombie, et le Venezuela, qui se sont détériorées après la réélection contestée de M. Maduro à la présidence en 2024.Le président colombien n’a pas assisté à son investiture, le 10 janvier, et se réfère désormais à lui comme “la personne qui exerce la présidence” du Venezuela. Le Venezuela accuse pour sa part la Colombie de fournir un “abri” aux chefs du Tren de Aragua, un des plus grands gangs vénézuéliens.
Elon Musk appelle à être “fier d’être Allemand” lors d’un meeting de l’AfD
Le milliardaire américain Elon Musk a appelé samedi les partisans de l’extrême droite allemande réunis à un meeting électoral à être “fiers d’être allemands”, en pleine polémique après son salut controversé considéré comme nazi par certains.”C’est OK d’être fier d’être allemand. Battez vous pour un avenir radieux pour l’Allemagne”, a déclaré l’homme le plus riche de la planète en intervenant en direct par vidéoconférence devant quelque 4.500 sympathisants de l’Alternative pour l’Allemagne (AfD) réunis à la Foire de Halle (est).Il a réitéré son soutien à ce parti qui incarne selon lui “le meilleur espoir pour l’Allemagne”, recueillant des applaudissements nourris du public réuni à ce grand meeting devant lancer la campagne de l’AfD pour les législatives du 23 février.Son intervention inédite intervient à un moment où l’homme d’affaires américain fait l’objet de nombreuses critiques après avoir effectué à deux reprises un salut, décrit par certains comme “fasciste” ou “nazi”, tandis que d’autres défendent “un geste maladroit” lors d’un meeting de Donald Trump lundi soir. – “Se battre, se battre, se battre” – Lors de son intervention très décousue samedi, Musk a loué la “nation allemande” qui remonte à “des milliers d’années”. Il a dit avoir lu aussi que l’empereur romain Jules César avait déjà été “impressionné” par la combativité des tribus germaniques. Enfin il a repris sa diatribe habituelle contre l’actuel gouvernement du chancelier Olaf Scholz, qui, affirme-t-il, “réprime agressivement la liberté d’expression”. Elon Musk avait par le passé qualifié le dirigeant social-démocrate de “fou” et “d’imbécile incompétent”.L’AfD doit donc “se battre, se battre, se battre”, notamment pour “plus d’autodétermination pour l’Allemagne et pour les pays d’Europe et moins de Bruxelles”, a-t-il dit. Le patron de SpaceX et Tesla, devenu allié et appui financier de Donald Trump lors de la campagne présidentielle en 2024, a multiplié récemment les déclarations tonitruantes de soutien aux partis d’extrême droite en Europe, utilisant souvent X comme porte-voix.Son ingérence dans les affaires européennes a été décriée par de nombreux dirigeants du Vieux Continent, à l’exception notable de la Première ministre italienne d’extrême droite Giorgia Meloni.Le 21 décembre 2024, Elon Musk avait officiellement déclaré sur X son soutien à la formation d’extrême droite allemande en écrivant : “seule l’AfD peut sauver l’Allemagne”.Début janvier, il avait organisé un échange sur sa plateforme avec la coprésidente de ce parti Alice Weidel pour réitérer son soutien.Samedi, elle a chaleureusement remercié le milliardaire. “Nous vous souhaitons à vous, au président Donald Trump et au vice-président JD Vance, le meilleur pour rendre sa grandeur à l’Amérique”, a-t-elle lancé.- Manifestations contre l’Afd -L’AfD pointe actuellement en deuxième position des sondages pour les législatives du 23 février avec 20%, derrière les conservateurs de la CDU/CSU avec 30% des intentions de vote.Le parti hostile aux migrants profite d’une série d’agressions sanglantes qui ont ébranlé le pays ces derniers mois et dont les auteurs étaient étrangers, qui ont enflammé le débat sur la politique migratoire.Mercredi, une nouvelle attaque au couteau dans la ville bavaroise d’Aschaffenbourg (sud), commise par un Afghan en situation illégale et souffrant de troubles psychiatriques, a coûté la vie à un petit garçon de 2 ans et à un homme de 41 ans qui s’était interposé. Samedi a aussi été une journée de mobilisation contre l’AfD: des dizaines de milliers de personnes sont descendues dans les rues pour “faire barrage” à l’extrême droite, notamment à Cologne à l’ouest (40.000 selon la police) et Berlin (35.000).Les protestataires ont défilé pacifiquement, portant des pancartes où figuraient “Les nazis dehors” ou “l’AfD n’est pas une alternative”.A Berlin, devant l’emblématique porte de Brandebourg, ils ont formé la nuit venue “une mer de lumière pour la démocratie”, avec leurs téléphones portables, brandissant des lettres formant le mot “Résistance”, ont constaté des journalistes de l’AFP.Environ 9.100 personnes ont aussi protesté contre l’AfD à Halle, où quelques incidents ont eu lieu, selon la police locale qui a annoncé l’ouverture de treize enquêtes pénales, notamment pour coups et blessures et insultes.
Elon Musk appelle à être “fier d’être Allemand” lors d’un meeting de l’AfD
Le milliardaire américain Elon Musk a appelé samedi les partisans de l’extrême droite allemande réunis à un meeting électoral à être “fiers d’être allemands”, en pleine polémique après son salut controversé considéré comme nazi par certains.”C’est OK d’être fier d’être allemand. Battez vous pour un avenir radieux pour l’Allemagne”, a déclaré l’homme le plus riche de la planète en intervenant en direct par vidéoconférence devant quelque 4.500 sympathisants de l’Alternative pour l’Allemagne (AfD) réunis à la Foire de Halle (est).Il a réitéré son soutien à ce parti qui incarne selon lui “le meilleur espoir pour l’Allemagne”, recueillant des applaudissements nourris du public réuni à ce grand meeting devant lancer la campagne de l’AfD pour les législatives du 23 février.Son intervention inédite intervient à un moment où l’homme d’affaires américain fait l’objet de nombreuses critiques après avoir effectué à deux reprises un salut, décrit par certains comme “fasciste” ou “nazi”, tandis que d’autres défendent “un geste maladroit” lors d’un meeting de Donald Trump lundi soir. – “Se battre, se battre, se battre” – Lors de son intervention très décousue samedi, Musk a loué la “nation allemande” qui remonte à “des milliers d’années”. Il a dit avoir lu aussi que l’empereur romain Jules César avait déjà été “impressionné” par la combativité des tribus germaniques. Enfin il a repris sa diatribe habituelle contre l’actuel gouvernement du chancelier Olaf Scholz, qui, affirme-t-il, “réprime agressivement la liberté d’expression”. Elon Musk avait par le passé qualifié le dirigeant social-démocrate de “fou” et “d’imbécile incompétent”.L’AfD doit donc “se battre, se battre, se battre”, notamment pour “plus d’autodétermination pour l’Allemagne et pour les pays d’Europe et moins de Bruxelles”, a-t-il dit. Le patron de SpaceX et Tesla, devenu allié et appui financier de Donald Trump lors de la campagne présidentielle en 2024, a multiplié récemment les déclarations tonitruantes de soutien aux partis d’extrême droite en Europe, utilisant souvent X comme porte-voix.Son ingérence dans les affaires européennes a été décriée par de nombreux dirigeants du Vieux Continent, à l’exception notable de la Première ministre italienne d’extrême droite Giorgia Meloni.Le 21 décembre 2024, Elon Musk avait officiellement déclaré sur X son soutien à la formation d’extrême droite allemande en écrivant : “seule l’AfD peut sauver l’Allemagne”.Début janvier, il avait organisé un échange sur sa plateforme avec la coprésidente de ce parti Alice Weidel pour réitérer son soutien.Samedi, elle a chaleureusement remercié le milliardaire. “Nous vous souhaitons à vous, au président Donald Trump et au vice-président JD Vance, le meilleur pour rendre sa grandeur à l’Amérique”, a-t-elle lancé.- Manifestations contre l’Afd -L’AfD pointe actuellement en deuxième position des sondages pour les législatives du 23 février avec 20%, derrière les conservateurs de la CDU/CSU avec 30% des intentions de vote.Le parti hostile aux migrants profite d’une série d’agressions sanglantes qui ont ébranlé le pays ces derniers mois et dont les auteurs étaient étrangers, qui ont enflammé le débat sur la politique migratoire.Mercredi, une nouvelle attaque au couteau dans la ville bavaroise d’Aschaffenbourg (sud), commise par un Afghan en situation illégale et souffrant de troubles psychiatriques, a coûté la vie à un petit garçon de 2 ans et à un homme de 41 ans qui s’était interposé. Samedi a aussi été une journée de mobilisation contre l’AfD: des dizaines de milliers de personnes sont descendues dans les rues pour “faire barrage” à l’extrême droite, notamment à Cologne à l’ouest (40.000 selon la police) et Berlin (35.000).Les protestataires ont défilé pacifiquement, portant des pancartes où figuraient “Les nazis dehors” ou “l’AfD n’est pas une alternative”.A Berlin, devant l’emblématique porte de Brandebourg, ils ont formé la nuit venue “une mer de lumière pour la démocratie”, avec leurs téléphones portables, brandissant des lettres formant le mot “Résistance”, ont constaté des journalistes de l’AFP.Environ 9.100 personnes ont aussi protesté contre l’AfD à Halle, où quelques incidents ont eu lieu, selon la police locale qui a annoncé l’ouverture de treize enquêtes pénales, notamment pour coups et blessures et insultes.
13 peacekeepers killed as fighting rages in eastern DRCongoSat, 25 Jan 2025 21:15:54 GMT
Thirteen soldiers serving with peacekeeping forces — from South Africa, Malawi and Uruguay — have been killed in recent fighting in eastern Democratic Republic of Congo, where the Congolese army is battling Rwandan-backed M23 fighters.Their governments announced the losses in statements Saturday as M23 forces tried to advance on Goma, the key city in the …
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Tearful reunions as Hamas, Israel complete second swap under Gaza truce
Applause and cheers filled a Tel Aviv square on Saturday as Gaza militants released four Israeli hostages, followed by celebrations in the occupied West Bank when Israel freed 200 Palestinian prisoners in exchange.While Israel and militant group Hamas completed their second hostage-prisoner swap under a ceasefire deal aimed at paving the way for a permanent end to their war, a last-minute dispute blocked the expected return of hundreds of thousands of displaced Palestinians to the Gaza Strip’s devastated north.The four hostages released, all women soldiers, reached a hospital on the outskirts of Israel’s commercial hub Tel Aviv after more than 15 months of captivity in Gaza.Israel’s prison service confirmed that 200 Palestinian prisoners were freed in exchange, with some of them subsequently deported.The Israeli captives, Karina Ariev, Daniella Gilboa and Naama Levy, all aged 20, and Liri Albag, 19, waved, smiled, and gave thumbs up as they were paraded on a stage in Gaza City, flanked by masked and armed militants.After their handover to the International Committee of the Red Cross, the military said the women were brought to Israel and “reunited with their parents”.In Tel Aviv, where a crowd gathered to watch their release on a large TV screen at a plaza known as Hostage Square, there were tears of joy, applause and a loud cheer as Israeli flags waved.In Ramallah, seat of the Palestinian Authority in the West Bank, crowds of Palestinians erupted in joy as dozens of freed prisoners arrived on buses from jail.One of them, Azzam al-Shallalta, dropped to his knees and wept at his mother’s feet after the teary-eyed crowd carried him on their shoulders, an AFP journalist reported.”My situation was heartbreaking, truly heartbreaking. We pray to God to free all our brothers we’ve left behind,” said Shallalta, still wearing his grey prison tracksuit.- ‘Relief’ – The freed Israeli hostages were taken by military helicopter to the Rabin Medical Centre, whose deputy director Lena Feldman Koren said the four were in a “stable” condition even though “the prolonged captivity in harsh conditions is evident”.Footage released by the military showed the families overcome with joy at being back together.Albag and her parents were seen screaming with happiness and laughing while her father lifted her off the ground in a bear hug.Prime Minister Benjamin Netanyahu spoke with Albag’s parents after her release, telling them that “this is a very happy moment that we have been waiting for a long time”, according to a statement from his office.Bulgaria’s foreign ministry welcomed with “great relief” the release of Gilboa, who is a dual national.The United States, which had helped secure the truce deal, said it “will continue with its great partner Israel to push for the release of all remaining hostages”.Later on Saturday, Israelis rallied in Tel Aviv to call on their government to ensure all hostages, including those not due for release during the first phase of the truce, return home.”We will do everything, we will fight until the end,” said Ifat Kalderon, whose cousin Ofer Kalderon is held in Gaza.State-linked Egyptian media said 70 freed Palestinian prisoners “deported” by Israel had arrived in Egypt by bus. They were to travel on into exile in third countries.Those expelled have been serving sentences for deadly attacks on Israelis, according to a list made public by Israeli authorities.In the south Gaza city of Rafah, a crowd gathered to welcome 14 prisoners released by Israel and sent to the territory.Majda Balousha said she had hoped her husband would return to a “prosperous and not destroyed” Gaza.”But praise be to God who liberated him,” she said.The hostage-prisoner exchange is part of a fragile ceasefire agreement between Israel and Hamas that took effect last Sunday.Hundreds of truckloads of aid have entered Gaza daily since then, but the UN says “the humanitarian situation remains dire”.And Israel’s UN ambassador has said that the United Nations agency for Palestinian refugees, Gaza’s main aid agency, must end all operations in Israel by Thursday in line with legislation passed by parliament.- ‘We miss home’ – Israel announced on Saturday that it would block the return of Palestinians displaced from northern Gaza until civilian woman hostage Arbel Yehud is released.Netanyahu’s office said she “was supposed to be released today”, but a Hamas source told AFP Yehud will be “released as part of the third swap set for next Saturday”.Palestinian police prevented hundreds of displaced people from reaching the Israeli-controlled passage to the north, where Israeli tanks and armoured vehicles were blocking the road.Rafiqa Subh, waiting to return to Beit Lahia, said: “We want to go back, even though our houses are destroyed. We miss our homes so much.”The ceasefire agreement should be implemented in three phases. The last two have not yet been finalised.The deal’s second phase is to see negotiations for a lasting end to the war, but analysts have warned it risks collapsing because of the deal’s multi-phase nature and deep distrust between Israel and Hamas.During the first, six-week phase, 33 hostages should be freed in staggered releases in exchange for around 1,900 Palestinians held in Israeli jails.Militants released three hostages on the first day of the truce in exchange for 90 Palestinians.During Hamas’s October 7, 2023 attack that began the war, militants took 251 hostages, 87 of whom remain in Gaza, including 34 the Israeli military says are dead.The attack resulted in the deaths of 1,210 people, mostly civilians, according to an AFP tally based on Israeli official figures.Israel’s retaliatory offensive has killed at least 47,283 people in Gaza, the majority civilians, according to figures from the Hamas-run territory’s health ministry which the United Nations considers reliable.burs-jd/ami/kir
Nouvelle-Calédonie: Paris dénonce de nouvelles ingérences de l’Azerbaïdjan
Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a déploré samedi que l’Azerbaidjan ait “de nouveau cherché à déstabiliser (la) politique nationale” de la France en Nouvelle-Calédonie et appelé à ce que ces ingérences cessent “immédiatement”.”Le +groupe de Bakou+ a de nouveau cherché, en Nouvelle-Calédonie, à déstabiliser notre vie politique nationale”, et “ces tentatives vaines menées par l’Azerbaïdjan dans nos territoires d’Outre-mer sont inacceptables et doivent cesser immédiatement”, a déclaré le chef de la diplomatie française sur le réseau social X, ex-Twitter.Des représentants de mouvements indépendantistes de plusieurs territoires français éloignés de métropole et de Corse se sont réunis jeudi et vendredi en Nouvelle-Calédonie (archipel d’Océanie) pour le congrès constitutif du “Front international de décolonisation”.Le Baku Initiative Group (BIG), une organisation promue par l’Etat azerbaïdjanais très impliquée dans le soutien aux mouvements indépendantistes français, a relayé sur ses réseaux sociaux l’événement organisé à Nouméa, la capitale de la Nouvelle-Calédonie.En juillet, des représentants de formations indépendantistes françaises s’étaient accordées sur la création d’un “front de libération” commun lors d’un congrès organisé en Azerbaïdjan, en pleines tensions entre Paris et ce pays du Caucase.Depuis des mois, Paris accuse Bakou d'”ingérence” et de manipulation sur la Nouvelle-Calédonie et plus généralement sur ses territoires d’Outre-mer, dans un contexte de tensions entre les deux capitales en raison du soutien de la France à l’Arménie, le rival historique de l’Azerbaïdjan.Le congrès de Nouméa a réuni la Martinique, la Guadeloupe, la Guyane, la Nouvelle-Calédonie, la Corse et la Polynésie française pour ce qui concerne la France et, côté néerlandais, Bonaire et la partie sud de l’île de Saint-Martin (Sint Maarten).
Nouvelle-Calédonie: Paris dénonce de nouvelles ingérences de l’Azerbaïdjan
Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a déploré samedi que l’Azerbaidjan ait “de nouveau cherché à déstabiliser (la) politique nationale” de la France en Nouvelle-Calédonie et appelé à ce que ces ingérences cessent “immédiatement”.”Le +groupe de Bakou+ a de nouveau cherché, en Nouvelle-Calédonie, à déstabiliser notre vie politique nationale”, et “ces tentatives vaines menées par l’Azerbaïdjan dans nos territoires d’Outre-mer sont inacceptables et doivent cesser immédiatement”, a déclaré le chef de la diplomatie française sur le réseau social X, ex-Twitter.Des représentants de mouvements indépendantistes de plusieurs territoires français éloignés de métropole et de Corse se sont réunis jeudi et vendredi en Nouvelle-Calédonie (archipel d’Océanie) pour le congrès constitutif du “Front international de décolonisation”.Le Baku Initiative Group (BIG), une organisation promue par l’Etat azerbaïdjanais très impliquée dans le soutien aux mouvements indépendantistes français, a relayé sur ses réseaux sociaux l’événement organisé à Nouméa, la capitale de la Nouvelle-Calédonie.En juillet, des représentants de formations indépendantistes françaises s’étaient accordées sur la création d’un “front de libération” commun lors d’un congrès organisé en Azerbaïdjan, en pleines tensions entre Paris et ce pays du Caucase.Depuis des mois, Paris accuse Bakou d'”ingérence” et de manipulation sur la Nouvelle-Calédonie et plus généralement sur ses territoires d’Outre-mer, dans un contexte de tensions entre les deux capitales en raison du soutien de la France à l’Arménie, le rival historique de l’Azerbaïdjan.Le congrès de Nouméa a réuni la Martinique, la Guadeloupe, la Guyane, la Nouvelle-Calédonie, la Corse et la Polynésie française pour ce qui concerne la France et, côté néerlandais, Bonaire et la partie sud de l’île de Saint-Martin (Sint Maarten).