US announces deal for Qatar air force facility in Idaho

US Defense Secretary Pete Hegseth announced Friday that Qatar will be allowed to build an air force facility at Mountain Home Air Base in Idaho that will house F-15 fighter jets and pilots.The announcement comes soon after President Donald Trump signed an executive order vowing to defend the Gulf Arab state against attacks, following Israeli air strikes targeting Hamas leaders in the Qatari capital Doha.”We’re signing a letter of acceptance to build a Qatari Emiri Air Force facility at the Mountain Home Air Base in Idaho,” Hegseth said at the Pentagon, with Qatari Defense Minister Sheikh Saoud bin Abdulrahman Al-Thani at his side.”The location will host a contingent of Qatari F-15s and pilots to enhance our combined training” as well as “increase lethality, interoperability,” he said.”It’s just another example of our partnership. And I hope you know, your excellency, that you can count on us.”The Idaho base currently also hosts a fighter jet squadron from Singapore, according to its website.Hegseth also thanked Qatar for its “substantial role” as a mediator in the talks that led to a truce and hostage-prisoner swap deal between Israel and Hamas, and its assistance in securing the release of a US citizen from Afghanistan.The Qatari minister hailed the “strong, enduring partnership” and “deep defense relationship” shared by the two countries. The Al Udeid Air Base in Qatar is Washington’s largest military facility in the Middle East.Trump’s close relationship with the leaders of Qatar has raised eyebrows, especially over its gift to the US president of a Boeing 747 to be used as Air Force One.Though the Idaho facility for Qatar had apparently been in the works since the last administration of Democrat Joe Biden, the deal prompted some hand-wringing on social media, including from far-right activist Laura Loomer, usually a Trump ally.”Never thought I’d see Republicans give terror financing Muslims from Qatar a MILITARY BASE on US soil so they can murder Americans,” Loomer wrote on X.Hegseth, who never said it was a base, later wrote on the platform: “Qatar will not have their own base in the United States — nor anything like a base. We control the existing base, like we do with all partners.”

Défilé militaire à Pyongyang pour le 80e anniversaire du parti unique

La Corée du Nord a organisé vendredi soir un défilé militaire à Pyongyang, exhibant ses missiles intercontinentaux en présence de dignitaires étrangers pour célébrer les 80 ans du Parti des travailleurs au pouvoir, ont rapporté samedi les médias d’Etat.”Une grande parade militaire célébrant le 80ème anniversaire de la fondation du Parti des travailleurs de Corée a eu lieu sur la place Kim Il Sung le 10 octobre”, a indiqué l’agence de presse officielle KCNA. Parmi les armes exhibées lors de ce défilé figuraient le nouveau missile balistique intercontinental (ICBM) Hwasong-21, décrit par KCNA comme “le système d’arme nucléaire stratégique le plus puissant”, d’autres missiles en tout genre ou encore des véhicules lanceurs de drones.Des images diffusées par KCNA ont montré une série de longs missiles défiler à bord de véhicules, de nuit et sous une légère pluie, face à une foule nombreuse agitant des drapeaux nord-coréens.L'”invincible” armée nord-coréenne “a toujours redoublé d’efforts pour aider notre parti à surmonter les difficultés et à hâter l’avènement d’un avenir radieux”, a dit dans son discours le dirigeant Kim Jong Un, qui a assisté au défilé en compagnie du Premier ministre chinois Li Qiang et de l’ancien président russe Dmitri Medvedev, actuel vice-président du conseil de sécurité de son pays.”Il est crucial de voir ce défilé non comme un événement isolé, mais comme le point culminant d’un virage délibéré, structurel dans la géopolitique régionale”, a expliqué à l’AFP Seong-Hyon Lee, chercheur à l’Université de Harvard, aux Etats-Unis. “Elle constitue un avertissement clair que le renforcement de l’alliance entre Séoul et Washington se heurtera à un bloc trilatéral consolidé et puissant à ses portes”, a-t-il ajouté.Le chef du Parti communiste vietnamien, To Lam, figurait également parmi les invités.- “Perfection idéologique” -Dans son discours, Kim Jong Un a rendu hommage aux troupes nord-coréennes qui combattent aux côtés des forces russes dans leur guerre contre l’Ukraine.Selon Séoul, environ 600 soldats nord-coréens ont été tués et des milliers d’autres blessés depuis qu’ils ont été envoyés au combat, notamment pour reprendre la région russe de Koursk conquise par l’Ukraine durant l’été 2024. Pyongyang fournit également la Russie en armes et en munitions, selon la Corée du Sud, qui soupçonne Moscou de transférer en échange des technologies militaires sensibles à son allié.”L’esprit combatif héroïque dont ont fait preuve nos forces armées révolutionnaires sur les champs de bataille étrangers pour la justice internationale, ainsi que la victoire qu’elles ont remportée, ont démontré leur perfection idéologique et spirituelle”, a affirmé le dirigeant nord-coréen.Kim Jong Un avait lui-même assisté le 3 septembre, aux côtés des présidents chinois Xi Jinping et russe Vladimir Poutine à une gigantesque parade militaire célébrant à Pékin la victoire contre le Japon et la fin de la Seconde guerre mondiale il y a 80 ans.La Russie et la Corée du Nord ont resserré leurs liens depuis le début de la guerre en Ukraine, et signé un pacte de défense mutuelle. La Chine reste quant à elle la principale alliée de la Corée du Nord, sanctionnée par les Nations Unies pour son programme d’armement nucléaire et de missiles balistiques.

Lecornu, reconduit par Macron, dans une course contre la montre pour former un gouvernement

De nouveau sous la menace de censure après sa reconduction très critiquée, Sébastien Lecornu doit constituer, dans un délai ultra-court, son nouveau gouvernement afin de pouvoir présenter un projet de budget lundi.Emmanuel Macron a annoncé peu après 22H00 vendredi la reconduction à Matignon de Sébastien Lecornu, à l’issue d’une folle semaine entamée par sa démission et celle de son premier gouvernement, qui n’aura survécu que 14 heures.Nouvel essai, donc: le Président lui donne “carte blanche” pour proposer une nouvelle équipe gouvernementale et mener “les négociations” avec les partis politiques.Dans la foulée, le Premier ministre démissionnaire a dit accepter la mission “par devoir”, et devrait s’atteler dès samedi à la formation de son équipe.Entre les menaces de censure des oppositions et un socle commun largement mis à mal, sa tâche s’annonce éminemment difficile. Avec d’abord une première question urgente: qui asseoir à la table du Conseil des ministres lundi pour la présentation du projet de budget 2026, dont l’examen au Parlement doit démarrer au plus vite ? Le temps presse pour pouvoir laisser au Parlement les 70 jours requis par la Constitution pour l’examiner avant le 31 décembre. Sébastien Lecornu a prévenu que le futur gouvernement “devra incarner le renouvellement et la diversité des compétences”, demandant aux prochains ministres de “s’engager à se déconnecter des ambitions présidentielles pour 2027”.Ce qui semble exclure a priori plusieurs poids lourds de son ancien gouvernement, comme le garde des Sceaux Gérald Darmanin, mais surtout le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, détonateur de la chute de Lecornu I. La gauche n’y participera pas. Mais qui au sein du socle commun, qui a implosé au cours de cette séquence politique, en sera ? Les Républicains, doivent décider dans la matinée de leur participation. Les députés de son groupe lui ont toutefois déjà apporté leur soutien.Autre formation, le parti Horizons d’Edouard Philippe, qui envisage un soutien sans participation au gouvernement si celui-ci touche au “coeur” de la réforme des retraites de 2023.Or, le Premier ministre a promis que “tous les dossiers évoqués” pendant ses consultations avec les partis seraient “ouverts au débat parlementaire”. – “Une honte démocratique” -Mais pris en étau entre la gauche et l’aile droite de sa coalition, Sébastien Lecornu devrait faire preuve de doigté pour rouvrir la réforme de 2023 d’Élisabeth Borne.Pour se prononcer, le Parti socialiste attend la déclaration de politique générale du Premier ministre prévue la semaine prochaine. La date exacte n’est pas encore connue.Mais il a prévenu: sans confirmation “de l’abandon du 49-3, des mesures pour protéger et renforcer le pouvoir d’achat des français et une suspension immédiate et complète de la réforme des retraites, nous le censurerons”.Le reste des formations politiques d’opposition de gauche n’ont pas attendu longtemps. Dès l’annonce de la reconduction, La France insoumise, le Parti communiste français et les Ecologistes ont immédiatement promis de censurer. Tout comme le Rassemblement national.”Un nouveau bras d’honneur aux Français d’un irresponsable ivre de son pouvoir. La France et son peuple sont humiliés”, a écrit le coordinateur de LFI Manuel Bompard sur X, en précisant que la formation de gauche radicale déposerait “une nouvelle motion de destitution du président de la République” et censurerait “immédiatement” le prochain gouvernement.”Nous proposons dès ce soir aux parlementaires de la gauche de l’hémicycle de signer une motion de censure immédiate et une nouvelle motion de destitution du Président de la République”, a précisé le groupe insoumis à l’Assemblée nationale.Même son de cloche à l’autre bout du spectre politique, où le président du Rassemblement national Jordan Bardella a déclaré que son parti “censurera bien sûr immédiatement cet attelage sans aucun avenir”, en dénonçant “une mauvaise plaisanterie, une honte démocratique et une humiliation pour les Français”. Position également adoptée par l’allié du RN, Eric Ciotti.

Lecornu, reconduit par Macron, dans une course contre la montre pour former un gouvernement

De nouveau sous la menace de censure après sa reconduction très critiquée, Sébastien Lecornu doit constituer, dans un délai ultra-court, son nouveau gouvernement afin de pouvoir présenter un projet de budget lundi.Emmanuel Macron a annoncé peu après 22H00 vendredi la reconduction à Matignon de Sébastien Lecornu, à l’issue d’une folle semaine entamée par sa démission et celle de son premier gouvernement, qui n’aura survécu que 14 heures.Nouvel essai, donc: le Président lui donne “carte blanche” pour proposer une nouvelle équipe gouvernementale et mener “les négociations” avec les partis politiques.Dans la foulée, le Premier ministre démissionnaire a dit accepter la mission “par devoir”, et devrait s’atteler dès samedi à la formation de son équipe.Entre les menaces de censure des oppositions et un socle commun largement mis à mal, sa tâche s’annonce éminemment difficile. Avec d’abord une première question urgente: qui asseoir à la table du Conseil des ministres lundi pour la présentation du projet de budget 2026, dont l’examen au Parlement doit démarrer au plus vite ? Le temps presse pour pouvoir laisser au Parlement les 70 jours requis par la Constitution pour l’examiner avant le 31 décembre. Sébastien Lecornu a prévenu que le futur gouvernement “devra incarner le renouvellement et la diversité des compétences”, demandant aux prochains ministres de “s’engager à se déconnecter des ambitions présidentielles pour 2027”.Ce qui semble exclure a priori plusieurs poids lourds de son ancien gouvernement, comme le garde des Sceaux Gérald Darmanin, mais surtout le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, détonateur de la chute de Lecornu I. La gauche n’y participera pas. Mais qui au sein du socle commun, qui a implosé au cours de cette séquence politique, en sera ? Les Républicains, doivent décider dans la matinée de leur participation. Les députés de son groupe lui ont toutefois déjà apporté leur soutien.Autre formation, le parti Horizons d’Edouard Philippe, qui envisage un soutien sans participation au gouvernement si celui-ci touche au “coeur” de la réforme des retraites de 2023.Or, le Premier ministre a promis que “tous les dossiers évoqués” pendant ses consultations avec les partis seraient “ouverts au débat parlementaire”. – “Une honte démocratique” -Mais pris en étau entre la gauche et l’aile droite de sa coalition, Sébastien Lecornu devrait faire preuve de doigté pour rouvrir la réforme de 2023 d’Élisabeth Borne.Pour se prononcer, le Parti socialiste attend la déclaration de politique générale du Premier ministre prévue la semaine prochaine. La date exacte n’est pas encore connue.Mais il a prévenu: sans confirmation “de l’abandon du 49-3, des mesures pour protéger et renforcer le pouvoir d’achat des français et une suspension immédiate et complète de la réforme des retraites, nous le censurerons”.Le reste des formations politiques d’opposition de gauche n’ont pas attendu longtemps. Dès l’annonce de la reconduction, La France insoumise, le Parti communiste français et les Ecologistes ont immédiatement promis de censurer. Tout comme le Rassemblement national.”Un nouveau bras d’honneur aux Français d’un irresponsable ivre de son pouvoir. La France et son peuple sont humiliés”, a écrit le coordinateur de LFI Manuel Bompard sur X, en précisant que la formation de gauche radicale déposerait “une nouvelle motion de destitution du président de la République” et censurerait “immédiatement” le prochain gouvernement.”Nous proposons dès ce soir aux parlementaires de la gauche de l’hémicycle de signer une motion de censure immédiate et une nouvelle motion de destitution du Président de la République”, a précisé le groupe insoumis à l’Assemblée nationale.Même son de cloche à l’autre bout du spectre politique, où le président du Rassemblement national Jordan Bardella a déclaré que son parti “censurera bien sûr immédiatement cet attelage sans aucun avenir”, en dénonçant “une mauvaise plaisanterie, une honte démocratique et une humiliation pour les Français”. Position également adoptée par l’allié du RN, Eric Ciotti.

Lecornu, reconduit par Macron, dans une course contre la montre pour former un gouvernement

De nouveau sous la menace de censure après sa reconduction très critiquée, Sébastien Lecornu doit constituer, dans un délai ultra-court, son nouveau gouvernement afin de pouvoir présenter un projet de budget lundi.Emmanuel Macron a annoncé peu après 22H00 vendredi la reconduction à Matignon de Sébastien Lecornu, à l’issue d’une folle semaine entamée par sa démission et celle de son premier gouvernement, qui n’aura survécu que 14 heures.Nouvel essai, donc: le Président lui donne “carte blanche” pour proposer une nouvelle équipe gouvernementale et mener “les négociations” avec les partis politiques.Dans la foulée, le Premier ministre démissionnaire a dit accepter la mission “par devoir”, et devrait s’atteler dès samedi à la formation de son équipe.Entre les menaces de censure des oppositions et un socle commun largement mis à mal, sa tâche s’annonce éminemment difficile. Avec d’abord une première question urgente: qui asseoir à la table du Conseil des ministres lundi pour la présentation du projet de budget 2026, dont l’examen au Parlement doit démarrer au plus vite ? Le temps presse pour pouvoir laisser au Parlement les 70 jours requis par la Constitution pour l’examiner avant le 31 décembre. Sébastien Lecornu a prévenu que le futur gouvernement “devra incarner le renouvellement et la diversité des compétences”, demandant aux prochains ministres de “s’engager à se déconnecter des ambitions présidentielles pour 2027”.Ce qui semble exclure a priori plusieurs poids lourds de son ancien gouvernement, comme le garde des Sceaux Gérald Darmanin, mais surtout le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, détonateur de la chute de Lecornu I. La gauche n’y participera pas. Mais qui au sein du socle commun, qui a implosé au cours de cette séquence politique, en sera ? Les Républicains, doivent décider dans la matinée de leur participation. Les députés de son groupe lui ont toutefois déjà apporté leur soutien.Autre formation, le parti Horizons d’Edouard Philippe, qui envisage un soutien sans participation au gouvernement si celui-ci touche au “coeur” de la réforme des retraites de 2023.Or, le Premier ministre a promis que “tous les dossiers évoqués” pendant ses consultations avec les partis seraient “ouverts au débat parlementaire”. – “Une honte démocratique” -Mais pris en étau entre la gauche et l’aile droite de sa coalition, Sébastien Lecornu devrait faire preuve de doigté pour rouvrir la réforme de 2023 d’Élisabeth Borne.Pour se prononcer, le Parti socialiste attend la déclaration de politique générale du Premier ministre prévue la semaine prochaine. La date exacte n’est pas encore connue.Mais il a prévenu: sans confirmation “de l’abandon du 49-3, des mesures pour protéger et renforcer le pouvoir d’achat des français et une suspension immédiate et complète de la réforme des retraites, nous le censurerons”.Le reste des formations politiques d’opposition de gauche n’ont pas attendu longtemps. Dès l’annonce de la reconduction, La France insoumise, le Parti communiste français et les Ecologistes ont immédiatement promis de censurer. Tout comme le Rassemblement national.”Un nouveau bras d’honneur aux Français d’un irresponsable ivre de son pouvoir. La France et son peuple sont humiliés”, a écrit le coordinateur de LFI Manuel Bompard sur X, en précisant que la formation de gauche radicale déposerait “une nouvelle motion de destitution du président de la République” et censurerait “immédiatement” le prochain gouvernement.”Nous proposons dès ce soir aux parlementaires de la gauche de l’hémicycle de signer une motion de censure immédiate et une nouvelle motion de destitution du Président de la République”, a précisé le groupe insoumis à l’Assemblée nationale.Même son de cloche à l’autre bout du spectre politique, où le président du Rassemblement national Jordan Bardella a déclaré que son parti “censurera bien sûr immédiatement cet attelage sans aucun avenir”, en dénonçant “une mauvaise plaisanterie, une honte démocratique et une humiliation pour les Français”. Position également adoptée par l’allié du RN, Eric Ciotti.

Quintessentially American, drive-in theaters are going dark

Film buffs sit snugly in cars watching a drive-in movie, munching popcorn on a lovely recent fall night.Michelle Hutson, 52, has been coming to the Family Drive-In since childhood, enjoying what is now a dying form of quintessentially American entertainment.With a sigh, she notes she might soon see the last picture show as the nearly 70-year-old outdoor theater — one of the few remaining drive-ins in the Washington area — is on its way out, too.”I’m about to be a grandma again for the second time. And it’s heartbreaking to know that she may not be able to experience that,” Hutson said.The owners of the land under the Family Drive-In announced a few months ago they want to sell it, asking $1.5 million, said theater owner Andrew Thomas.If he bought the land at that price, it would mean a mortgage payment three times what he pays now in rent, Thomas told AFP.”It’s just not feasible for the business.”He launched a crowd-funding drive last month to save the theater and so far has raised around $30,000.”It’s overwhelming, in such a good way, that people care that much. Even in times of economic uncertainty, it means that this is a thing for them that’s worth saving, and I agree with them,” he said.”We have an opportunity to preserve a piece of history,” said the 40-year-old.- Attendance down -Drive-in theaters are a throwback to another era in a country where cars are king. In their heyday in the 1950s there were more than 4,000 in America — but now only 300 or so remain, said Gary Rhodes, a movie historian.They have died off because more people watch television at home and urban development has made the land needed for a drive-in theater very expensive, Rhodes said.Drive-ins enjoyed a spike in popularity during the Covid pandemic, as people avoided crowded places like indoor movie theaters, but now “attendance is still going down,” Rhodes said.”I would say the majority of the drive-ins that are left in the world are there because the owner keeps it there. It’s for the love of the business that they’re there,” said D. Edward Vogel, co-owner of a drive-in and vice president of the United Drive-In Theatre Owners Association.”Unfortunately, we are reaching a point where a lot of them want to retire,” he said.Because of TV streaming platforms and other factors, he said, “in my take of things, it’s going to be a very rough road to hoe now.”To try to keep drive-in theaters alive, his association created a web site that seeks to match drive-in owners who want out with potential buyers who want in.  “We’ve been inspired by some brand new owners that understood the risk and came up to the challenge, and are determined to maintain a drive-in theater business,” said Vogel.”That’s really what’s breathing faith into the fact that this can continue.”Mike White and Melissa Sims are examples of these new entrepreneurs. They invested $500,000 to open a brand new drive-in in Louisiana and it is scheduled to open this autumn.They have had to postpone the big day several times because of delays getting permits and other problems.”We quizzed a lot of people before we started, and 99 percent of the people that we talked to said sure, they’d be glad to go,” White said.”For me, drive-ins represent a time that my family was was brought together and was doing things together,” said Sims.”That’s what it would bring back to this community.”

Exhibit on Monet’s prolific Venice visit debuts at Brooklyn Museum

Claude Monet did not want to travel to Venice in 1908 — at the time, he was 68 and working on his famed water lilies paintings, and only reluctantly agreed to accompany his wife Alice Hoschede.But his time spent there became one of his most prolific, resulting in 37 paintings, many of which are being put on display at an exhibit opening Saturday at the Brooklyn Museum in New York.”He fell in love with the city, and he had a wonderful time there with Alice,” the exhibit’s co-curator Lisa Small told AFP.”They wanted to come back, but Alice became ill and died sadly” in 1911, Small explained. “So he finished these paintings at Giverny in a state of sadness and mourning.”The exhibit, which runs until February 2026, retraces the couple’s journey to Venice through masterpieces the French painter created in the city and their archives, including postcards and photos.Nineteen paintings have been compiled for the exhibit, including “The Palazzo Ducale” and “The Grand Canal, Venice.” Many showcase — in the Impressionist master’s iconic style — architecturally stunning buildings from various distances at different times of days, always highlighting water and their reflections.Venice itself is the second protagonist of the exhibit, which also features works on the city by Canaletto (1697-1768), J.M.W. Turner (1775-1851), and John Singer Sargent (1856-1925).The highlight of “Monet and Venice” is a room showcasing the French master’s paintings accompanied by music, with a symphony created for the occasion by the museum’s composer-in-residence, Niles Luther.The piece is a nod to art critics who, “especially toward the end of his career, would talk about his work in musical terms, through a musical lens,” said Small.”They would talk about the symphony of colors, the harmony of the brushstrokes, the brushstrokes being like an orchestra,” she said.”So we felt that there was a really meaningful connection between having music, a contemporary classical composer give his interpretation of that, in with the paintings.”

Trump, oldest elected US president, in ‘excellent’ health: doctor

Donald Trump is in “excellent overall health,” his physician said Friday after the 79-year-old — the oldest elected president in US history — underwent his second medical checkup of the year.Trump saw physicians at Walter Reed military hospital on the outskirts of the capital Washington earlier in the day.He gave reporters the thumbs-up on his return to the White House when they asked how the checkup had gone.”President Trump continues to demonstrate excellent overall health,” his doctor, Navy Captain Sean Barbabella, wrote in a letter released by the White House. “His cardiac age — a validated measure of cardiovascular vitality via ECG — was found to be approximately 14 years younger than his chronological age. He continues to maintain a demanding daily schedule without restriction.”A battery of routine tests was conducted, and Trump received an updated Covid booster shot and his annual flu shot, Barbabella said.The checkup comes three months after the White House announced that Trump had been diagnosed with a vein condition following speculation about frequent bruising on his hand and his swollen legs.The White House had said earlier this week that Friday’s checkup would be an “annual” one — despite the fact that Trump had already undergone one of those in April.Trump told reporters in the Oval Office on Thursday that he was “going to do a sort of semi-annual physical.””I’m in great shape, but I’ll let you know. But no, I have no difficulty thus far… Physically, I feel very good. Mentally, I feel very good.”The Republican billionaire then embarked on one of his trademark tirades comparing his health with that of former presidents, particularly his Democratic predecessor Joe Biden.Trump said that during his last checkup, “I also did a cognitive exam which is always very risky, because if I didn’t do well, you’d be the first to be blaring it, and I had a perfect score.”Trump then added: “Did Obama do it? No. Did Bush do it? No. Did Biden do it? I definitely did. Biden wouldn’t have gotten the first three questions right.”- Bruised hand -Trump has repeatedly been accused of a lack of transparency about his health despite huge interest in the well-being of the US commander-in-chief.In September, he dismissed social media rumors swirling about his health — including false posts that he had died.In July, the White House said Trump was diagnosed with a chronic but benign vein condition — chronic venous insufficiency — following speculation about his bruised hand and swollen legs.The hand issue, it said, was linked to the aspirin he takes as part of a “standard” cardiovascular health program.Trump is regularly seen at public events with heavy makeup on the back of his right hand to conceal the bruising.At his last checkup, the White House said Trump was in good health, saying he had a “normal cardiac structure and function, no signs of heart failure, renal impairment or systemic illness.”

Israeli settlements close in on West Bank herding community

In the occupied West Bank’s Jordan Valley, Naef Jahaleen fears for the future as Israeli settlers come for the land home to one of the area’s last Bedouin herding communities.Life was good before in Ras Ein Al-Auja, the Bedouin herder says, but settlement outposts have grown one after the other over the past two years.Settlers’ trailers have gradually given way to houses with foundations, some built just 100 metres (109 yards) from Bedouin homes.In May, settlers diverted the village’s most precious resource — the spring after which it is named.But for the community of 130 families, the worst issue is the constant need to stand guard to avoid settlers cutting power and irrigation pipes, or bringing their own herds to graze near people’s houses.”The settlers provoke people at night, walking around the houses, disturbing the residents, making people anxious, scaring the children and the elderly,” 49-year-old Jahaleen said, adding that calling the Israeli police in the area rarely yielded results.”There’s no real protection,” he said.”A settler could come to your house — you call the police, and they don’t come. The army doesn’t come. No one helps,” Jahaleen told AFP after a meeting with other villagers trying to coordinate their response.- Land grabs -Most Palestinian Bedouins are herders, which leaves them particularly exposed to violence when Israeli settlers bring herds that compete for grazing land.It is a strategy that settlement watchdog organisations call “pastoral colonialism”.”They have started to bring in Jewish colonisers and give them some small herd or a few sheep or cows and take over a specific area. From there, this armed coloniser starts to herd,” Younes Ara, of the Palestinian Authority’s Colonization and Wall Resistance Commission, told AFP.Settlements have expanded since Israel occupied the West Bank in 1967, with more than 500,000 settlers living in the Palestinian territory, excluding Israeli-annexed east Jerusalem. Some three million Palestinians live in the territory.Jahaleen said Israeli herding, combined with repeated harassment, aimed to make Palestinians leave an area.”You never know when or how they’ll harass you. The goal is to make you leave,” Jahaleen said as he stood guard near his home one night, occasionally flashing a powerful torch up a gully near where young settlers had been bringing supplies.That night, Jahaleen was joined on his watch by Doron Meinrath, a former army officer who sometimes leads volunteers for an Israeli organisation called Looking the Occupation in the Eye.Several foreign and Israeli activists help Jahaleen by standing watch, documenting settlers’ moves, calling the Israeli police or army, and trying to deter violence with their presence, taking turns for eight-hour shifts day and night.”Let’s go after them,” Meinrath said as he saw a car drive down a hill on an illegal road finished last winter that connects the nascent Israeli outpost to a formal settlement.All Israeli settlements in the West Bank are deemed illegal by the United Nations under international law.Once caught up with the young man’s Toyota — which was missing a headlight and had a cracked windscreen — Meinrath marked down the number plate and reported it to the police as a vehicle unsafe for the road.His aim was to get the vehicle impounded, in a bid to slow further land grabs.- Changing times -Even with the inexorable growth of settler outposts, Meinrath said he felt organisations such as his posed “a problem” for the settler movement.Although he had always been left-wing, Meinrath said his opinions fortified as he saw Israel change and the settlement movement become stronger politically.Finance Minister Bezalel Smotrich and other members of Prime Minister Benjamin Netanyahu’s cabinet openly call for the West Bank’s annexation, and more specifically that of the Jordan Valley.Abu Taleb, a 75-year-old herder from Ras Ein Al-Auja, said he saw the land he was born on change, too.Nestled between rocky hills to the west and the flat Jordan Valley that climbs up the Jordanian plateau to the east, his community used to be self-sufficient.But since settlers cut off access to the spring, he and his sons must pay to refill the water tank they need to quench their sheep’s thirst every three days.After another settlement outpost sprang up a stone’s throw from his home, Taleb must now also bring his sheep into their pen when settlers arrive with their own herd, for fear of violence.”My life as a child was good. But now, their lives are not good,” he said, pointing to three of his grandchildren milling around under the shade of a lonely acacia tree.”They grew up in a bad life. These kids are afraid of the settlers everywhere.”