Ghana deports at least six US-expelled west Africans to TogoTue, 23 Sep 2025 14:50:31 GMT

Ghana has deported at least six west Africans to Togo after they were expelled to Accra as part of an immigration crackdown by US President Donald Trump, their lawyers said Tuesday.Eleven deportees in total had sued the Ghanaian government to stop their further deportation, but one of their lawyers, Oliver Barker-Vormawor, told a judge at …

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Loi contre la déforestation: Bruxelles veut un nouveau report

Au grand dam des organisations environnementales, la Commission européenne a proposé mardi de reporter d’un an supplémentaire, de fin 2025 à fin 2026, l’entrée en vigueur de sa loi contre la déforestation, que les Etats-Unis, le Brésil ou l’Indonésie ne cessent de critiquer.Devant la presse, la commissaire européenne en charge de l’Environnement, Jessika Roswall, a justifié ce délai par les difficultés opérationnelles du “système informatique” qui collecte les données des entreprises sur la traçabilité de leurs produits.Cette loi vise à interdire la commercialisation en Europe de produits comme l’huile de palme, le cacao, le café, le soja et le bois quand ils proviennent de terres déboisées après décembre 2020.L’annonce de Bruxelles suit de quelques heures la conclusion d’un accord de libre-échange avec l’Indonésie, très critique envers cette législation européenne anti-déforestation.Cette loi était également dénoncée par les Etats-Unis de Donald Trump, qui ont scellé un accord commercial avec l’UE fin juillet.La proposition de report va être soumise aux Etats membres et au Parlement européen, où elle pourrait obtenir le soutien de la droite et de l’extrême droite.Elle est perçue par les organisations environnementales comme un nouveau “coup de tronçonneuse” dans les forêts.”C’est une très mauvaise surprise”, a réagi auprès de l’AFP Anke Schulmeister – Oldenhove de l’ONG Fonds mondial pour la nature (WWF). “C’est le deuxième report” et l’argument technique invoqué “pose question”.Au Parlement européen, l’eurodéputé centriste, Pascal Canfin, est lui aussi “très loin d’être convaincu qu’il y a un problème technique”.Si ce possible report “n’est pas lié à la technique alors il est lié aux accords commerciaux”, et en particulier celui avec les Etats-Unis, avance-t-il, avant de dénoncer une “soumission européenne” aux volontés de Donald Trump.- “Très engagés” -En 2024, l’UE avait déjà reporté d’un an l’entrée en vigueur de cette loi qui suscite une levée de boucliers des milieux d’affaires de l’agrobusiness et de nombreux Etats africains, asiatiques et américains.Au sein des 27, plusieurs pays européens poussaient aussi pour réviser ou reporter cette législation, dont l’Italie et l’Autriche, critiquant les “exigences imposées aux agriculteurs et sylviculteurs élevées voire impossibles à mettre en oeuvre”.Ces Etats plaident pour créer une catégorie de pays à risque nul en matière de déforestation et qui pourraient être exemptés d’obligations et de contrôles. Le ministre allemand de l’Agriculture, Alois Rainer, leur avait apporté son soutien en mai dernier.Avec cette loi, les entreprises importatrices devront prouver que les produits ne proviennent pas de terres déboisées récemment, via des données de géolocalisation fournies par les agriculteurs, associées à des photos satellitaires, une “usine à gaz” selon ses détracteurs.Mardi, la commissaire européenne Jessika Roswall a évoqué des difficultés informatiques “étant donné la quantité d’informations que nous mettons dans le système”, avec des centaines de millions de déclarations d’entreprises attendues chaque année.Mais elle a assuré que Bruxelles continuerait à défendre cette loi.”Nous avons travaillé dur pendant de nombreuses années” sur ce texte, “une initiative clé”, et “nous restons très engagés à continuer à lutter contre la déforestation”, a-t-elle affirmé.Confrontée à la concurrence chinoise et à la hausse des droits de douane aux Etats-Unis, l’Union européenne a entamé un virage pro-business ces derniers mois.Et les ONG s’alarment d’un détricotage en règle du Pacte vert, le “Green Deal”, une série de lois environnementales adoptées pendant le précédent mandat.Le contexte politique a changé depuis les élections européennes de juin 2024 avec le renforcement de la droite et la poussée de l’extrême droite au Parlement européen.La gauche et les écologistes redoutent notamment que l’Union européenne revienne sur l’une des mesures emblématiques du précédent mandat: l’interdiction à la vente des voitures thermiques neuves en 2035.

‘I’m not a doctor’: Trump’s autism announcement gives Covid flashbacks

From the unproven medical claims to the self-proclaimed expertise, anyone watching Donald Trump’s autism announcements Monday could have been forgiven for having flashbacks.There were strong echoes of the US president’s pandemic performance during his first term, when he once famously mused about injecting disinfectant to counter Covid.Five years later, the Republican’s claims were almost as eye-popping.And with the health of millions at stake as he urged pregnant women not to take the painkiller Tylenol — before expounding his theories on vaccines — the stakes were just as high.”There’s a rumor — and I don’t know if it’s so or not — that Cuba, they don’t have Tylenol because they don’t have the money for Tylenol. And they have virtually no autism,” Trump said at the White House.It was perhaps the most outrageous of the claims Trump made during a more than hour-long press conference attended by an AFP reporter — but it was far from the last.”The Amish, as an example. They have essentially no autism,” Trump said of the traditionalist people, known for their horse-drawn carts and rejection of modern technology.Turning to his vaccine-skeptic Health Secretary Robert F. Kennedy Jr, as he asked whether that was actually true, Trump added: “Bobby wants to be very careful with what he says. I’m not so careful with what I say.”Time and again the 79-year-old Trump admitted that his personal theories were just that — theories — even as he cast himself in the role of America’s physician-in-chief.”This is based on what I feel,” said Trump as he repeated long debunked concerns over the MMR shot combining vaccines for measles, mumps and rubella.Trump also urged further spacing for childhood vaccines that have been the cornerstone of public health programs around the world for decades — before adding: “I’m not a doctor but I’m giving my opinion.”- ‘Tough it out’ -The billionaire former reality TV star has long made his name challenging the conventional wisdom on politics and diplomacy, and it has won him two elections.But it is on health where his views have often veered furthest from the mainstream. During the Covid pandemic Trump repeatedly resisted lockdowns and masking measures, while throwing his weight behind unproven drugs like hydroxychloroquine.He was widely mocked when, during one of his many freewheeling White House briefings on Covid in 2020, he gave some increasingly bizarre suggestions about how to treat the disease.Trump mused about bringing “light inside the body” — and disinfectant.”I see the disinfectant, it knocks it out in a minute… is there a way we can do something like that by injection inside,” he asked a bemused expert.During his second term, Trump’s pick of Kennedy as his health secretary has brought once fringe medical ideas into the heart of the government.Trump himself says he has long been preoccupied with autism, and showed supreme confidence in his views on Monday — even as he struggled to pronounce “acetaminophen,” or paracetamol, the active ingredient in Tylenol.”Don’t take it,” Trump said repeatedly.He urged pregnant women in pain to avoid the drug and “tough it out,” but had few answers for what they should do for fevers that could harm them or their babies.Veering off on the subject of vaccines, Trump also had his own theories.He insisted that children should not be vaccinated against Hepatitis B until the age of 12, versus soon after birth, saying: “Hepatitis B is sexually transmitted. There’s no reason to give a baby that’s almost just born hepatitis B.”Trump added that children were being loaded up with “too much liquid” while being innoculated against potentially fatal diseases — repeating a frequent anti-vaccine talking point.”They pump so much stuff into those beautiful little babies, it’s a disgrace,” he said. “It looks like they’re pumping into a horse.”

Ligue 1: le sacre de Dembélé estompe le premier accroc du PSG

La première défaite du Paris SG contre l’OM au Vélodrome depuis 14 ans, qui est aussi le premier accident de parcours des Champions d’Europe cette saison, a été quelque peu effacée lundi par le sacre individuel d’Ousmane Dembélé, élu Ballon d’Or 2025 et salué par tous.Deux salles, deux ambiances à quelques minutes d’intervalles pour le PSG, qui a vécu une drôle de soirée lundi. Ovationné à plusieurs reprises par le théâtre du Châtelet à Paris lors de la cérémonie du Ballon d’Or, le club de la capitale a été en parallèle conspué et battu dans une ambiance brûlante au Vélodrome (1-0), à guichets fermés. “Dommage que tous les joueurs du PSG, le directeur sportif n’aient pas été là. Il y avait plus important (ndlr: le match à Marseille)”, a d’ailleurs glissé “Dembouz”, sacré devant ses coéquipiers Vitinha (3e), Achraf Hakimi (6e), Nuno Mendes (10e), “Kvara” (12e) et Désiré Doué (14e).”On aurait préféré être plus nombreux”, a aussi dit Désiré Doué sur le tapis rouge au micro de la chaine l’Equipe. Lui et les autres blessés, ainsi que le président Nasser al-Khelaïfi, étaient à Paris pour assister au triomphe de l’attaquant des Bleus. Mais la majorité de l’équipe était bien sûr à Marseille pour jouer le “classique”, décalé à lundi soir en raison des violents orages la veille.Et c’est donc dans leur vestiaire et sur une télévision installée pour l’occasion que les équipiers de Dembélé ont assisté à l’annonce du lauréat par Ronaldinho, en même temps que 2,5 millions d’autres téléspectateurs.Juste avant l’ouverture de l’enveloppe, l’ambiance était beaucoup plus froide et les visages fermés. Mais les Parisiens ont vite oublié le revers subi contre l’ennemi marseillais après avoir vu leur N.10 soulever le trophée.Pourtant, cette défaite au Vélodrome, la première depuis novembre 2011, la première de Luis Enrique contre l’OM et la première de la saison lors de la 5e journée – comme en 2023 -, fait tache même si elle est passée au second plan.”Ça fait mal, on n’a pas pu gagner mais on est très contents pour Ousmane”, a ainsi résumé Willian Pacho après le match.- “Ce sera dur” -Possiblement perturbés par la reprogrammation du match et la tenue de la cérémonie à Paris, les joueurs de Luis Enrique ont parfois semblé avoir la tête place du Châtelet et ont joué un ton en-dessous de leurs standards, avec quelques imprécisions très inhabituelles.Paris a aussi clairement été handicapé par les nombreuses blessures qui touchent des éléments importants de son groupe (Dembélé, Doué, Bradley Barcola et Joao Neves). Manquant de “profondeur” lundi, les champions d’Europe ont manifestement besoin de ces quatre talents, même en Ligue 1. “On sait ce que signifie perdre ce genre de match, pour nous, pour le club, pour les supporters”, a reconnu Luis Enrique, qui a innové en alignant une défense hybride, avec Achraf Hakimi un cran plus haut que d’habitude et Marquinhos latéral droit.Les deux hommes n’ont pas été parmi les plus à l’aise, tout comme les milieux Warren Zaïre-Emery et Fabian Ruiz, mais aussi Gonçalo Ramos et surtout Lucas Chevalier, fautif lors du seul but marseillais pour son premier “classique”. Le Nordiste, qui avait hâte de jouer dans cette “atmosphère hostile”, est mal rentré dans son match, lisant mal la trajectoire du centre de Mason Greenwood pour Nayef Aguerd.”Est-ce que l’OM peut être un rival pour le titre ? On va voir, on ne peut pas savoir, je ne suis pas devin. Mais on veut être champions encore. Ca sera dur, parce qu’il y a des équipes comme l’OM et Monaco qui sont là”, a conclu l’entraîneur du PSG, toujours co-leader du championnat avec Monaco. 

Trump returns to UN to attack ‘globalist’ agenda

US President Donald Trump will denounce “globalist institutions” in his first United Nations address since returning to the White House and also meet Ukrainian President Volodymyr Zelensky against a backdrop of mounting tension with Russia.Trump will speak from the UN General Assembly rostrum for the first time since his political comeback as he tears down decades of US participation in international organizations.Opening the annual summit, UN Secretary-General Antonio Guterres warned that aid cuts led by the United States were “wreaking havoc” in the world.”What kind of world will we choose? A world of raw power — or a world of laws?” Guterres said.White House Press Secretary Karoline Leavitt said Trump would be touting “renewal of American strength around the world” and will describe “how globalist institutions have significantly decayed the world order.”Trump’s second term has opened with a blaze of nationalist policies curbing cooperation with the rest of the world.He has moved to pull the United States out of the World Health Organization and the UN climate body, severely curtailed US development assistance and wielded sanctions against foreign judges over rulings he sees as violating sovereignty.- New talks with Zelensky -Trump will meet Zelensky for the second time since he sat down in Alaska with Russian President Vladimir Putin on August 15 — a summit that broke Moscow’s isolation in the West but yielded no breakthrough on Ukraine.Despite Trump’s insistence that he can broker a quick end to the war, Russia has not only kept up its barrage of attacks on Ukraine in the past month but rattled nerves with drone or air incursions in NATO members Poland, Estonia and Romania.Trump said last week that Putin had “really let me down.”Secretary of State Marco Rubio, in a television interview Tuesday, said that Trump was still considering imposing sanctions on Russia but also wanted Europe to take action by buying less oil.”We’re the only ones that can talk to Ukraine and Russia, and everyone’s encouraged us to play that role,” Rubio told NBC News.”At some point that role might end. As you can see, the President’s already repeatedly expressed his deep disappointment at the direction that Putin is taking this, even after Alaska,” he said.A UN report released Tuesday found that Russian authorities have tortured civilian detainees in Ukrainian areas Moscow occupies, including sexual violence, in a “widespread and systematic manner.”Zelensky will again need to tread carefully with Trump, who — along with Vice President JD Vance — berated the wartime leader in an explosive February 28 meeting at the White House, calling him ungrateful for billions of dollars in US military assistance.- New York telecoms plot -The annual UN gathering goes on all week, but Trump, who first made his name in New York real estate, is spending barely a day in the city. One of Trump’s few other one-on-one meetings will be with Argentina’s right-wing President Javier Milei, an ideological ally to whose government the United States is considering offering an economic lifeline.Ahead of his visit to the UN district, now swarming with heavily armed police and agents and crisscrossed with barricades and road closures, the US Secret Service said they had disrupted a “telecommunications-related” plot.The Secret Service said it “dismantled a network of electronic devices located throughout the New York tristate area that were used to conduct multiple telecommunications-related threats directed towards senior US government officials, which represented an imminent threat to the agency’s protective operations.”The statement said that “nation-state threat actors” were involved.Trump’s appearance comes a day after French President Emmanuel Macron led a group of Western allies of the United States in recognizing a Palestinian state, a historic but largely symbolic step strongly opposed by Israel.The United States and Israel both shunned the special session.

Nearly 100 buffaloes die in Namibia stampedeTue, 23 Sep 2025 13:35:40 GMT

At least 90 buffaloes died while fleeing lions Tuesday after trampling on each other and falling off a cliff in Namibia’s far east, wildlife officials said. The stampede happened around 5:00 am (0300 GMT) along the Chobe River, in the Zambezi conservation area, a unique wildlife-rich zone of waterfalls, forests and marshes.The lions had chased the …

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