Le second quinquennat Macron est “un naufrage”, selon Valls

Le second quinquennat d’Emmanuel Macron est un “naufrage”, a fustigé dimanche l’ex-Premier ministre Manuel Valls, qui s’inquiète d’une “crise de régime” et a répété sa “colère” après son départ du ministère des Outre-mer lors du dernier remaniement.”Ce deuxième quinquennat est difficile, c’est le moins qu’on puisse dire. C’est même un naufrage”, a estimé l’ancien chef du gouvernement sous François Hollande, sur Radio J.La réélection du président de la République en 2022 “était quand même incroyable” a-t-il ajouté, “mais elle n’a pas permis de donner sens au deuxième quinquennat”. “La dissolution est une erreur que lui paye, mais que nous payons, que les institutions, la démocratie payent et on voit bien que ça, ça crée des conditions d’instabilité”, a-t-il poursuivi, évoquant une “crise de régime, une crise démocratique”.Ecarté du ministère des Outre-mer au profit de la députée Horizons Naïma Moutchou après moins d’un an en poste, Manuel Valls a affirmé que ce n’était “pas un drame”, tout en faisant part de sa “colère”.”Je suis en colère, je suis indigné. Le travail était fait et reconnu (…) Donc c’est difficile de comprendre”, a-t-il expliqué, avançant plusieurs hypothèses sur sa non reconduction dans le gouvernement de Sébastien Lecornu, après avoir été rappelé par François Bayrou.”Peut-être qu’Emmanuel Macron et Sébastien Lecornu n’ont pas apprécié que je réussisse là – en Nouvelle-Calédonie, mais pas seulement – où ils avaient échoué”, a-t-il indiqué, alors que l’accord de Bougival, signé en juillet avec toutes les forces politiques calédoniennes – mais fragilisé depuis – a été conclu sous son égide.”Peut-être que le président de la République n’a pas apprécié que j’intervienne au sein du Conseil des ministres au mois de juillet (…) sur la reconnaissance de l’Etat palestinien”, lorsqu’il avait critiqué les conditions de la reconnaissance par la France, a-t-il encore dit.

Samsung plans $310 bn investment to power AI expansion

South Korean conglomerate Samsung unveiled on Sunday a plan to invest $310 billion over the next five years mostly in technology powering artificial intelligence, aiming to meet growing demand driven by a global boom.The business group’s flagship Samsung Electronics is already one of the world’s top memory-chip makers, providing crucial components for the AI industry and the infrastructure it relies on.South Korea is also home to SK hynix, another key player in the global semiconductor market.The five-year investment package includes plans to build a new semiconductor facility, Pyeongtaek Plant 5, designed “to meet the needs of memory-chip demands”, Samsung said in a statement.Once in full operation, “the Pyeongtaek plant is expected to play an even greater strategic role in both the global semiconductor supply chain and South Korea’s domestic chip ecosystem,” it said.The new line is scheduled to begin operations in 2028.Samsung SDS, the group’s IT and logistics arm, will establish two AI data centres in South Jeolla and Gumi, the company said, without providing further details.Samsung Group is a network of affiliated companies with complex cross-shareholdings under the Samsung brand, rather than a single legal holding company.It is South Korea’s largest chaebol, the family-run conglomerates that dominate the country’s economy.The $310-billion plan also includes some projects unrelated to AI.Under the investment package, the company said that Samsung SDI, its electric-vehicle battery affiliate, was exploring the creation of a domestic production line “for next-generation batteries, including all-solid-state batteries”.The AI boom has delivered a major tailwind for Samsung Electronics and SK hynix, whose high-performance memory chips have become indispensable for AI computing.Samsung Electronics has reported that its profit increased more than 30 percent year-on-year in the third quarter, driven by AI-fuelled demand.AI-related spending is soaring worldwide and sky-high tech share valuations have fed concerns of an AI market bubble that could eventually burst, like the dot-com boom that imploded at the turn of the millennium.The investment package announced on Sunday comes after the South Korean government had pledged to triple spending on artificial intelligence next year.President Lee Jae Myung has vowed to “usher in the AI era” and make the country one of the world’s top three AI powers, behind the United States and China.

Le Français Camilo Castro, détenu au Venezuela, de retour vers la France

Après les sorties de prison de Cécile Kohler et Jacques Paris en Iran et la grâce de l’écrivain Boualem Sansal en Algérie, un Français détenu au Venezuela depuis fin juin, Camilo Castro, a été libéré et est en vol vers Paris, ont annoncé dimanche matin les autorités françaises.”Camilo Castro est libre. Je partage le soulagement de ses proches et remercie tous ceux qui ont œuvré à sa libération”, a salué sur X le président Emmanuel Macron, assurant que “la France avance parfois sans bruit, mais toujours avec détermination et sang-froid”.”On ne peut pas se représenter (l’émotion que cela représente, NDLR) par rapport à toutes les joies qu’on a dans la vie, toutes les bonnes surprises, tous les soulagements”, a confié à l’AFP la mère de Camilo Castro, Hélène Boursier.Professeur de yoga de 41 ans, Camilo Castro avait disparu le 26 juin au poste-frontière de Paraguachon, séparant le Venezuela de la Colombie, où il réside. Il s’y était rendu pour renouveler son visa de séjour colombien arrivé à échéance, avait expliqué en août sa famille.Il avait alors disparu, arrêté par les autorités vénézuéliennes qui ont tardé à reconnaître le détenir.Son beau-père, Yves Guibert, qui a eu Camilo Castro au téléphone après sa libération quand il était à l’ambassade de France à Caracas, a dit qu’il “était extrêmement heureux d’être sorti, un peu surexcité et en même temps encore dans une forme d’inquiétude tant qu’il n’avait pas quitté le territoire du Venezuela”.Camilo Castro est désormais “dans l’avion qui le ramène en France”, a indiqué le ministre des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot, qui a lui aussi adressé ses “remerciements aux partenaires qui ont appuyé (les) efforts” de la France.Selon une source proche du dossier, le chef de la diplomatie française, qui s’est rendu cette semaine au Mexique et en Colombie pour un sommet régional, y a évoqué le cas de Camilo Castro avec ses homologues mexicain et brésilien, qui se sont mobilisés pour obtenir cette libération.Ce succès pour la diplomatie française survient quelques jours après la sortie de prison, le 4 novembre, de Cécile Kohler et Jacques Paris, deux Français détenus en Iran depuis trois ans et désormais hébergés à l’ambassade de France à Iran, et la grâce obtenue le 12 novembre par l’Allemagne de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, incarcéré pendant un an par les autorités algériennes et désormais soigné en Allemagne.- Tensions régionales -Le Venezuela est considéré comme un pays ayant recours à la pratique de la “diplomatie des otages”, à l’instar notamment de l’Iran, arrêtant des ressortissants étrangers utilisés ensuite comme levier de négociation. Cette libération intervient dans un contexte de vives tensions entre le Venezuela et les Etats-Unis, qui accusent le pouvoir à Caracas d’être au cœur du trafic de drogue dans la région.Washington mène depuis septembre des frappes aériennes au large de l’Amérique latine contre des navires présentés, sans preuve, comme appartenant à des trafiquants de drogue. Ces attaques ont détruit au moins 21 navires dans les eaux internationales, faisant au moins 80 morts.Le président américain Donald Trump accuse son homologue vénézuélien Nicolas Maduro d’être à la tête d’un cartel. La justice américaine offre une récompense de 50 millions de dollars pour sa capture. Selon Caracas, Washington cherche à utiliser la lutte antidrogue comme prétexte pour imposer un changement de régime et s’emparer du pétrole du pays.Dans un rapport publié mi-juillet, Amnesty International avait dénoncé la politique de “disparitions forcées” menée contre des opposants et des ressortissants étrangers depuis la réélection de Nicolas Maduro.”Les autorités vénézuéliennes semblent utiliser cette pratique pour justifier leurs récits sur les +conspirations étrangères+ et comme monnaie d’échange dans les négociations avec d’autres pays”, avait accusé l’ONG de défense des droits humains.La mère de Camilo Castro a promis de continuer à “se bagarrer pour que ça n’arrive plus”. “Ce n’est pas parce que pour nous ça se termine bien qu’on va s’arrêter là. On pense aux autres, on ne va pas les oublier”, a martelé cette militante de longue date d’Amnesty International.burs-mra/sva/er

Harmer stars as South Africa stun India in low-scoring Test

Spinner Simon Harmer claimed a match haul of eight wickets to lead South Africa to a thrilling 30-run win over India inside three days of a low-scoring opening Test on Sunday.India, without captain and leading batsman Shubman Gill who was ruled out because of a neck injury he suffered on Saturday, faltered in their chase of 124 to be bowled out for 93 in Kolkata.Harmer, who had figures of 4-30 in the first Indian innings, struck key blows in the second session including getting Rishabh Pant caught and bowled for two to dent the opposition chase.Left-arm spinner Keshav Maharaj struck twice in two balls to pack off India and trigger wild celebrations in the South African camp with the reigning world Test champions taking a 1-0 lead in the two-match series.South Africa skipper Temba Bavuma hit a defiant 55 not out to lift his team’s second innings total to 153 after they slipped to 91-7 on day two.”Very exciting, you want to be a part of those types of games and obviously be on the right side of the result,” Bavuma said.”I think we tried to hold our ground as much as we could. We knew it was going to be tough with the bat, it was tough for us, but we needed to exploit what was there.”South Africa, who beat Australia in the World Test Championship final in June at Lord’s, have lived up to their winners’ tag with a recent 1-1 draw in Pakistan and now beating India at their own game of spin.Washington Sundar attempted to anchor India’s chase but fell to Aiden Markram’s off-spin for 31.Axar Patel gave the crowd some cheer with his two sixes off Maharaj before the bowler had his revenge to send the batter caught out for 26 off 17 balls.Left-arm quick Marco Jansen ripped out the Indian openers before lunch with the hosts effectively 10-3 in the absence of Gill, who is in hospital and “under observation”, at the break and Harmer soon took charge and returned figures of 4-21.- Bavuma-Bosch frustrate India -Wickets fell in clusters as Harmer, who was named player of the match, kept up the charge to send back Dhruv Jurel, Pant and Ravindra Jadeja in quick succession.”A game like this, you can’t dwell into it too much,” said vice-captain Pant, who took charge of the team after Gill was forced out.”We should’ve been able to chase this score. The pressure built on us in the second innings and we weren’t able to capitalise.”Earlier Bavuma played a defiant knock to keep South Africa in the hunt after they resumed on 93-7 on a tough pitch with inconsistent bounce.He started the day on 29 and played with grit to complete the first half-century of a low-scoring contest.Bavuma’s 44-run eighth-wicket stand with overnight partner Corbin Bosch frustrated the Indian bowlers until pace spearhead Jasprit Bumrah broke through.Bumrah bowled Bosch for 25 before Bavuma reached his fifty in 122 balls, raising his bat to an applauding dressing room.Fast bowler Mohammed Siraj shattered Harmer’s stumps for seven and removed last man Maharaj for a duck in the space of four balls as Bavuma ran out of partners.South Africa fought back on day two after being all out for 159 on Friday after winning the toss and electing to bat.They dismissed India for 189 on Saturday to keep the deficit to 30 before again faltering in their batting.The second Test starts Saturday in Guwahati.

Budget: l’épargne des Français, objet de convoitise

Improductive pour certains, indispensable à l’investissement et à l’économie pour d’autres, l’épargne des Français est un objet de convoitise à l’heure du débat budgétaire au Parlement. – Taux d’épargne recordLe taux d’épargne des Français a grimpé à 18,9% de leur revenu disponible au deuxième trimestre 2025 selon l’Insee, un record depuis les années 1970, hors période Covid.Cette hausse est “imputable à la montée de l’anxiété en lien avec les chocs et crises qui s’accumulent (Covid, guerre en Ukraine, inflation, guerre au Moyen Orient, tensions géopolitiques, crise politique en France)”, selon une note de Philippe Crevel, directeur du Cercle de l’épargne.Selon la Banque de France, le patrimoine financier des ménages représentait 6.430 milliards d’euros au premier semestre 2025, dont 3.870 milliards dans des produits de taux (Livret A, fonds d’assurance vie à capital garanti…) et 2.465 milliards en produits plus risqués (actions cotées et unités de comptes…). – Où est placée l’épargne des Français ?Le produit d’épargne champion des Français reste l’assurance vie, avec 2.084 milliards d’euros d’encours, selon les chiffres de France Assureurs. L’épargne réglementée vient derrière avec le livret A et le Livret de développement durable et solidaire (606,8 milliards d’encours en septembre 2025) et le Livret d’épargne populaire (80,7 milliards d’encours), selon la Caisse des dépôts (CDC).L’argent laissé sur les comptes courants, ou dépôts à vue, représentait lui 748,3 milliards d’euros au premier trimestre 2025, selon les chiffres de la Banque de France. Ces fonds ne sont pas placés et donc ne produisent pas d’intérêts.- Que finance cette épargne ?Dans l’assurance vie, 63% des encours étaient placés en titres d’entreprises à fin juin 2025. Les obligations souveraines (émises par des États) représentaient 24% des placements.Pour l’épargne réglementée, environ 60% des fonds collectés sont centralisés à la Caisse des dépôts. Une moitié des fonds est dédiée à des prêts de long terme au logement social et à destination de la politique de la ville. L’autre moitié est investie dans des titres de dette (principalement d’État) et dans des actions de sociétés cotées.Les 40% restants des sommes collectées sur les livrets A, LEP et LDDS sont conservées par les banques.Dans un contexte marqué par l’augmentation des besoins d’investissements dans la défense, le monde politique a évoqué la création d’un nouveau livret dédié, ou celui d’un emprunt national. Bpifrance a lancé en octobre un fonds spécialisé dans ce secteur, ouvert aux particuliers.- Renforcer la fiscalité ?Lors de l’examen du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) mercredi les députés ont adopté une hausse de la contribution sociale généralisée (CSG) visant spécifiquement les revenus du capital (dividendes, épargne salariale, assurance vie…) qui doit rapporter 2,8 milliards d’euros en 2026.Pendant la discussion du projet de loi de finances, ils ont également voté un “impôt sur la fortune improductive” (IFI) touchant les patrimoines de plus de 2 millions d’euros, dont l’assiette inclut notamment les produits d’assurance vie en fonds euros – dans un contrat d’assurance vie, les sommes peuvent être investies dans des fonds euros, garantis en capital, ou des unités de comptes (UC), plus risquées mais potentiellement plus rémunératrices.Le sort de ces mesures est lié à la suite du parcours parlementaire, incertain, de ces deux textes.”On est en plein délire”, avait réagi après le vote le dirigeant de la Fédération bancaire française Daniel Baal, défendant dans l’assurance vie “un placement extrêmement populaire”, qui sert “à financer des entreprises, mais aussi très largement la dette de la France et des collectivités publiques”.Taxer les assurances vie en euros des épargnants revient à leur “demander de payer une taxe sur la contribution qu’ils apportent au financement de la dette de la France”, selon lui.Le dispositif de l’IFI “ne tient pas la route”, estime aussi Cyrille Chartier-Kastler, président du cabinet Facts & Figures, puisque les fonds en euros sont investis dans des obligations, des actions, l’immobilier “exactement de la même manière que les unités de comptes”. D’autre part “il crée un risque systémique”, car si les épargnants décident basculent leurs avois vers des unités de compte, “on aura une faillite du système”, juge-t-il.

Mondial 2026: Azerbaïdjan-France, une chance pour les remplaçants

Le match en Azerbaïdjan représente une occasion unique de se montrer pour de nombreux seconds rôles de l’équipe de France, dimanche (18h00) à Bakou, à sept mois du Mondial-2026 pour lequel les Bleus sont déjà qualifiés.Dernière grande revue d’effectif. Après cet ultime match des qualifications, les candidats à la liste du mois de mai n’auront plus que la période internationale de mars pour se montrer sous le maillot tricolore.Or au printemps, Didier Deschamps sera déjà en configuration compétition pour préparer l’équipe la plus proche possible de son onze type, si les blessures ne perturbent pas trop ses choix contrairement à cet automne.La vue sur la mer Caspienne depuis leur hôtel de Bakou peut faire songer à celle sur l’Atlantique pour les joueurs qui rêvent de traverser l’océan en juin et disputer la Coupe du monde aux Etats-Unis, Mexique et Canada (11 juin-19 juillet).En plus des absences de Kylian Mbappé, double buteur contre l’Ukraine mais victime d’une inflammation de la cheville droite, d’Eduardo Camavinga, touché à une cuisse, et de Manu Koné, suspendu, le sélectionneur va ménager de nombreux titulaires de la victoire décisive contre l’Ukraine (4-0), jeudi.Pas question de prendre le moindre risque pour un match sans enjeu, deux jours à peine après après un périple de plus de 4700 km et 5 heures d’avion. Mais pour certains, ce déplacement ne sera pas anodin et c’est peut-être déjà une place dans le groupe pour la Coupe du monde qui se joue.Deschamps a annoncé “beaucoup de changements” pour cette rencontre. “C’est le moment de le faire, notre qualification est acquise, certains joueurs n’ont pas eu beaucoup ce temps de jeu, on a joué il y a trois jours et on a fait un long déplacement”, a énuméré le sélectionneur.- Chevalier doit chasser les doutes -Le gardien N.2 Lucas Chevalier, qui va fêter sa première sélection, a confirmé samedi Deschamps, n’a pas grand chose à craindre pour la suite mais il doit absolument chasser les doutes. L’ancien Lillois traverse ses premières turbulences au PSG: il n’a pas encore convaincu qu’il avait les épaules pour un si grand club et un like – involontaire selon lui – d’un message pro-RN l’a mis en difficulté.En attaque aussi Deschamps pourrait tout changer par rapport au match contre l’Ukraine. Dans ce secteur où la France dispose d’un réservoir impressionnant, les places sont très chères pour le Mondial. Parmi les absents de Bakou, Mbappé, Ousmane Dembélé, Désiré Doué et Marcus Thuram sont sûrs de faire le voyage s’ils ne sont pas blessés, tout comme Michael Olise et Bradley Barcola, du voyage en Azerbaïdjan.Le match à Bakou offre une chance unique de se montrer aux nombreux candidats pour le peu de places qui restent à prendre, à commencer par Rayan Cherki, décevant contre l’Ukraine où il avait été positionné en N.10.Hugo Ekitike lui a réussi une entrée percutante, signant son premier but en cinq sélections. Son profil polyvalent est aussi un atout.Derrière ces deux-là, Maghnès Akliouche, Florian Thauvin, qui a retrouvé les Bleus en octobre après plus de six ans d’absence, Christopher Nkunku et Jean-Philippe Mateta espèrent briller à Bakou pour tenter de bousculer une hiérarchie qui semble bien figée.”Beaucoup de joueurs peuvent prétendre à l’équipe de France. S’ils sont tous là et disponibles, et c’est le mal que je me souhaite, cela sera difficile de choisir”, a lancé Deschamps jeudi à l’issue de la qualification.Continuer à donner des maux de tête au sélectionneur, voilà la mission de ceux qui seront sur le pont, dimanche en Azerbaïdjan.