L1: Lepaul et Rennes chassent les nuages contre Strasbourg

Rennes a peut-être enfin lancé sa saison, et sauvé la place de son entraîneur Habib Beye, en écrasant Strasbourg (4-1), avec un triplé d’Esteban Lepaul, dimanche, pour le compte de la 11e journée de Ligue 1.Si ces trois points, qui portent à 15 unités leur total, ne laissent les Bretons qu’à la 9e place, ils les rapprochent tout de même à 4 longueurs de leurs adversaires du jour, qui ont manqué une occasion de monter sur le podium mais pointent encore au 4e rang.S’il faudra évidemment confirmer, si possible dès samedi prochain sur le terrain du Paris FC, Beye tient peut-être enfin son match-référence que n’avaient pas été la victoire à 10 contre Marseille (1-0) lors de la première journée, ou celle, renversante (3-1), contre Lyon, mi-septembre.Personne ne pourra en tout cas nier que cette victoire est en grande partie la sienne.Non, le groupe ne l’a pas lâché et non, laisser Ludovic Blas et Seko Fofana hors du groupe à Toulouse -Fofana n’a même pas joué sur ce match- n’était ni suicidaire, ni un caprice.En lâchant aussi la bride sur le cou de ses jeunes pépites, comme Djaoui Cissé ou Kader Meïté, Habib Beye a insufflé de la vie et une saine dose de désordre dans un ensemble qui avait souvent semblé engoncé offensivement.Et si le réalisme d’Esteban Lepaul ne s’est jamais démenti depuis son premier match et son premier but à Angers (1-1), il a cette fois illuminé le match.- Solidité défensive -L’avant-centre a ouvert le score en se jetant au premier poteau sur un centre sans contrôle de Moussa Al Tamari, dès la 9e minute (1-0).Après avoir vu Mike Penders lui refuser un doublé d’une parade incroyable sur une tête où le gardien était pris à contre-pied (38e), Lepaul a profité d’un excellent travail dos au but dans la surface de Meïté, qui est parvenu à se retourner pour le servir pour le 3-0 trois minutes après le retour des vestiaires.Un but libérateur pour les Rennais qui ont laissé filer à cinq reprises un avantage au score cette saison, dont trois fois après avoir mené 2-0.Enfin, dans son plus pur style de neuf à l’ancienne, il a catapulté une passe millimétrée au ras du sol de Valentin Rongier dans la lucarne de Penders pour le 4-0 (60e).Entretemps, Meïté y était aussi allé de sa réalisation, convertissant d’une reprise en pivot une remise en retrait de la tête d’Abdelhamid Aït Boudlal (2-0, 35e).Au-delà de cette réussite offensive, Rennes a aussi et surtout réussi à se montrer solide défensivement quasiment sans aucun de ces trous d’air qui l’ont tant pénalisé jusqu’ici.En première période, Samuel Amo-Ameyaw (8e) et Julio Enciso (24e) avaient gâché deux bonnes opportunités, alors que Valentin Barco a buté sur Brice Samba (57e) avant de rater le cadre du gauche (58e).C’est finalement le Suédois Sebastian Nanasi, entré à la 51e minute, qui a sauvé l’honneur d’un Strasbourg beaucoup trop stérile malgré sa qualité technique.Bien lancé par Barco, il a trompé Samba d’une petite balle à ras de terre qui a pris le gardien à contre-pied pour entrer dans le but avec l’aide du poteau (4-1, 77e).Liam Rosenior va sans doute bien secouer ses troupes qui vont enchaîner un déplacement européen en Suède jeudi et la réception du rival direct Lille dimanche avant la trêve.

‘Rounded up’: survivors say Sudan’s RSF detains hundreds near El-Fasher

A young man from one of the towns outlying the western Sudanese city of El-Fasher, Hussein was one of hundreds of men and boys captured and held by paramilitary forces that have overrun the area. “We were rounded up and taken,” he told AFP on Sunday, explaining how he and roughly 200 other young men were detained for days by Rapid Support Forces (RSF) fighters in Garni, 25 kilometres northwest of El-Fasher, after they tried to flee. “They hit us with sticks and called us ‘slaves’,” said Hussein, who asked to be identified only by his first name for fear of reprisal.  The RSF, at war with Sudan’s army since April 2023, seized the strategic city of El-Fasher one week ago, pushing the military out of its last stronghold in the region after an 18-month siege marked by starvation and bombardment. Since the takeover, reports have emerged of executions, sexual violence, looting, attacks on aid workers and abductions in and around El-Fasher, where communications remain largely cut off.Hussein said as well as being beaten and insulted, he and his fellow detainees were given only one meal a day. “They locked us inside a school building. After four days, they released some of us, but every day they brought in new people,” he said.  Darfur is home to several non-Arab ethnic groups, who form the majority of the population and have long been targeted by Arab militias. The RSF traces its origins to the Janjaweed, a predominantly Arab militia accused of genocide in Darfur two decades ago. Reports since El-Fasher’s fall have raised fears of a return to similar atrocities.- ‘Alive or dead’ -The UN said more than 65,000 people have fled El-Fasher, including around 5,000 to nearby Tawila, but tens of thousands remain trapped. Before the final assault, roughly 260,000 people lived in the city. “Where are all the missing people who have already survived months of famine and violence in El-Fasher?” asked Michel Olivier Lacharité, head of emergencies for Doctors Without Borders (MSF). The numbers of new arrivals “don’t add up”, he said, while accounts of large-scale atrocities are mounting. Satellite imagery analysed by Yale University’s Humanitarian Research Lab on Friday showed activity consistent with displaced people in RSF-controlled Garni. The lab identified “multiple objects that measure approximately 2 metres x 3 metres” at a separate facility that may have been used as a school. Among those detained was Abbas al-Sadek, a lecturer at El-Fasher University. One of his relatives, who asked not to be identified for fear of reprisal, said that before his disappearance, the lecturer sent a short video pleading with a colleague to transfer $900 to a bank account.In a video, seen by AFP, Sadek is heard to say: “This money is worth my life and they gave me a short time — just 10 minutes.” The money is believed to have been a ransom payment, the relative said. Sadek was later released and is now on his way to Tawila.Many others remain unaccounted for. Zahra, a mother of five who is sheltering in Tawila and also asked to be identified by her first name, told AFP that RSF fighters took her two sons, aged 16 and 20. “They finally let the younger one go, but I don’t know if Mohammed is alive or dead,” she said, referring to her oldest son. – ‘Everyone is looking for someone’ -On the road to Garni, Mohamed, a father of four, described seeing “dead bodies and wounded people left behind because their families couldn’t carry them”. “The RSF robbed us and stopped the young men travelling with us. We don’t know what happened to them.”Another survivor, Adam, said RSF fighters detained him in Garni, accusing him of being a soldier after seeing the blood of his two sons, aged 17 and 21, on his clothes. “They killed my sons in front of my eyes,” he said. Adam was released after hours of interrogation, but he said many others remain in captivity. Witnesses told MSF that detainees were separated by gender, age, and ethnic identity, with many still held for ransom. One described “horrific scenes” in which prisoners were crushed under vehicles.In Tawila, MSF coordinator Sylvain Penicaud said many are traumatised and searching for missing relatives. “Everyone is looking for someone,” he told AFP. He added that many who fled said they were targeted because of the colour of their skin. “For me, the most terrifying part,” he said, “was hearing how people were hunted while running for their lives; attacked simply for being black.”Both the RSF and the army have faced war crimes accusations during the conflict. The United States has previously determined that the RSF committed genocide in Darfur. 

Israël menace d’intensifier les attaques contre le Hezbollah dans le sud du Liban

Israël a menacé dimanche d’intensifier ses attaques au Liban contre le Hezbollah, que le Premier ministre Benjamin Netanyahu a accusé de tenter de se “réarmer”, exhortant Beyrouth à tenir ses engagements de le désarmer. Malgré un cessez-le-feu conclu en novembre 2024 avec le mouvement pro-iranien, Israël continue de mener des attaques régulières contre les bastions libanais du Hezbollah et d’occuper cinq positions frontalières dans le sud du Liban. Samedi, l’armée israélienne a tué quatre personnes qu’elle a présentées comme des membres d’une force d’élite du Hezbollah. “L’engagement du gouvernement libanais à désarmer le Hezbollah et le chasser du sud du Liban doit être pleinement tenu”, a d’abord déclaré dans un communiqué le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, affirmant que le groupe “joue avec le feu” et que “le président libanais traîne des pieds”. “Nous ne tolèrerons aucune menace contre les habitants du nord” d’Israël, a-t-il ajouté.A l’ouverture du conseil des ministres hebdomadaire dimanche, M. Netanyahu a ensuite affirmé que le Hezbollah tentait de se “réarmer”.”Nous attendons du gouvernement libanais qu’il fasse ce qu’il s’est engagé à faire, c’est-à-dire désarmer le Hezbollah, mais il est clair que nous exercerons notre droit à l’autodéfense comme convenu dans les termes du cessez-le-feu”, a-t-il averti. “Nous ne permettrons pas au Liban de redevenir un nouveau front contre nous et nous agirons comme il faudra”. Des milliers d’Israéliens vivant près de la frontière nord avaient dû évacuer leurs domiciles pendant des mois, après l’ouverture par le Hezbollah d’un front contre Israël à la suite de la guerre déclenchée à Gaza en octobre 2023.Les tirs de roquette du mouvement chiite avaient provoqué un conflit de plus d’un an, culminant par deux mois de guerre ouverte avant la conclusion d’un cessez-le-feu fin 2024.Le Hezbollah a été fortement affaibli par la guerre, avec notamment l’assassinat de son chef historique, Hassan Nasrallah, par une frappe israélienne en septembre 2024 à Beyrouth, mais il demeure financièrement résilient et armé.Depuis, les États-Unis ont accru la pression sur les autorités libanaises pour désarmer le groupe, un plan auquel le Hezbollah et ses alliés s’opposent, invoquant notamment la poursuite d’une présence israélienne sur le territoire libanais.- Raid meurtrier et nouvelle frappe -L’armée israélienne a intensifié ses attaques contre des cibles du Hezbollah ces derniers jours.Jeudi, elle a mené un raid meurtrier dans le sud du Liban, poussant le président libanais, Joseph Aoun, à ordonner à l’armée de faire face à de telles incursions.M. Aoun avait appelé à des négociations avec Israël à la mi-octobre, après l’entrée en vigueur d’un cessez-le-feu à Gaza, parrainé par le président américain Donald Trump.Il a accusé vendredi Israël de répondre à son offre de dialogue en intensifiant ses attaques, avant qu’une nouvelle frappe israélienne ne tue quatre personnes samedi dans le sud du pays, dans le district de Nabatiyeh. L’Agence nationale libanaise de presse a rapporté que l’armée israélienne avait touché une voiture avec un missile guidé.L’armée a confirmé la frappe, affirmant avoir visé un membre de la Force Radwan, unité d’élite du Hezbollah. “Le terroriste était impliqué dans le transfert d’armes et dans les tentatives de reconstitution des infrastructures terroristes du Hezbollah dans le sud du Liban”, a-t-elle indiqué, précisant que trois autres membres du groupe avaient été tués. “Les activités de ces terroristes constituaient une menace pour l’Etat d’Israël et ses civils, ainsi qu’une violation des accords entre Israël et le Liban”, a ajouté l’armée. La veille, elle avait annoncé avoir tué un “responsable de la maintenance du Hezbollah”, qui oeuvrait selon elle à rétablir des infrastructures du mouvement.A Nabatiyeh, des centaines de personnes se sont rassemblées dimanche pour rendre hommage aux cinq membres du Hezbollah tués, a constaté un journaliste de l’AFP. Les participants lançaient des pétales de fleurs sur les cercueils, recouverts du drapeau du Hezbollah, en scandant: “Mort à Israël, mort à l’Amérique”. “Voici le prix que le Sud (du Liban) paie chaque jour”, a déclaré à l’AFP Rana Hamed, la mère de l’un des cinq hommes tués. “Nous savons qu’Israël est notre ennemi depuis des décennies.”L’émissaire américain, Tom Barrack, a exhorté samedi le Liban à engager des pourparlers directs avec Israël, affirmant que si Beyrouth franchissait le pas, les Etats-Unis pourraient faire “pression sur Israël pour qu’il se montre raisonnable”. 

Verma, Sharma help India post 298-7 in Women’s World Cup finalSun, 02 Nov 2025 15:12:47 GMT

Half-centuries by Shafali Verma and Deepti Sharma helped India post a competitive 298-7 against South Africa in the Women’s World Cup final in Mumbai on Sunday.Put into bat in a rain-delayed match, India rode on an opening stand of 104 between Smriti Mandhana (45) and Verma, who top-scored with 87, to stay in the hunt …

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Verma, Sharma help India post 298-7 in Women’s World Cup final

Half-centuries by Shafali Verma and Deepti Sharma helped India post a competitive 298-7 against South Africa in the Women’s World Cup final in Mumbai on Sunday.Put into bat in a rain-delayed match, India rode on an opening stand of 104 between Smriti Mandhana (45) and Verma, who top-scored with 87, to stay in the hunt for their first title in front of a sell-out home crowd.Sharma hit 58 off 58 balls at the 45,000-capacity DY Patil Stadium – a venue that has produced big runs, including India’s record chase of 339 in the semi-final against Australia.The ODI World Cup is awaiting a new champion with South Africa also eyeing their first crown.Rain held up the start of the match by two hours before South Africa skipper Laura Wolvaardt won the toss in her team’s first final in the tournament.Hosts India soon took charge with the left-handed Mandhana and Verma hitting regular boundaries to take the attack to the opposition bowlers.South Africa introduced spin in the 17th over and Chloe Tyron struck in the next over with her left-arm orthodox bowling to send back in-form Mandhana, caught behind.Swashbuckling opener Verma, who came in as replacement for injured Pratika Rawal in the semi-final, reached her fifty.Verma survived a reprieve on 56 when Anneke Bosch dropped a simple catch at deep mid-wicket off spinner Sune Luus, to the delight of the Indian fans.Medium-pace bowler Ayabonga Khaka dismissed Verma when she got the batter holed out at mid-off . In the next over took down semi-final hero Jemimah Rodrigues, for 24, to check India’s surge.Sharma and skipper Harmanpreet Kaur got down to the grind to rebuild the innings, in the face of tidy South African bowling.Harmanpreet and then Amanjot Kaur departed as India seemed to fall behind on a high-scoring pitch but Sharma was joined by Richa Ghosh, who hit 34, and the two took on the bowling.India, runners-up in 2005 and 2017, are playing their in third final.

L’Inde place sur orbite avec succès un gros satellite de télécommunications

L’Inde a placé dimanche en orbite le plus lourd satellite de télécommunications jamais lancé depuis son sol, nouvelle étape de son ambitieux programme spatial, a annoncé son agence spatiale (ISRO).”L’engin (…) a été déployé avec succès sur son orbite”, a annoncé le patron de l’ISRO, V. Narayanan, sous les applaudissements des scientifiques et techniciens du …

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L’Inde a placé dimanche en orbite le plus lourd satellite de télécommunications jamais lancé depuis son sol, nouvelle étape de son ambitieux programme spatial, a annoncé son agence spatiale (ISRO).”L’engin (…) a été déployé avec succès sur son orbite”, a annoncé le patron de l’ISRO, V. Narayanan, sous les applaudissements des scientifiques et techniciens du …

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Italie: l’Inter Milan revient sur les talons de Naples

L’Inter Milan s’est imposé dans le temps additionnel à Vérone (2-1), une victoire qui lui permet de revenir à un point du leader, Naples, dimanche lors de la dixième journée de Serie A.Au lendemain du nul du Napoli à domicile face à Côme (0-0), les Nerazzurri savaient qu’ils pouvaient réaliser un bon coup.Contre l’Hellas, toujours sans victoire cette saison et coincé à la 17e place, l’Inter a parfaitement débuté la rencontre en ouvrant la marque dès la 16e minute avec un but superbe de Piotr Zielinski.Dans une combinaison travaillée “une seule fois” à l’entraînement, selon  Zielinskii, le milieu polonais a repris d’une volée limpide à l’entrée de la surface de réparation un corner tendu d’Hakan Calhanoglu.Mais les vice-champions d’Italie et d’Europe 2025, toujours privés de Marcus Thuram, se sont faits surprendre par un tir lointain de Giovane (40e).La seconde période, disputée sous la pluie, a perdu en intensité, mais l’Inter a arraché la victoire grâce à un centre de Nicolo Barella repoussé dans son propre but par Martin Frese (90e+3).”On a eu un peu de chance. Des victoires difficiles comme ça, cela arrive dans une saison, on sent qu’on monte en puissance et que le message de notre entraîneur passe”, a assuré Zielinski sur la plateforme DAZN.”C’est le genre de match qui est plus facile à perdre qu’à gagner, on s’en sort bien, cette équipe a encore montré son caractère”, a renchéri son entraîneur Cristian Chivu qui avait commencé la saison avec deux défaites lors des trois premières journées. Après cette sixième victoire lors des sept dernières journée, son équipe reste troisième, mais avec ses 21 points, elle est sur les talons de Naples (22 pts) et à égalité avec l’AS Rome (2e, 21 pts). La Roma peut toutefois passer seul en tête si elle s’impose dans la soirée à San Siro face à l’AC Milan (4e, 18 pts).