US media mogul John Malone to step down as head of business empire

Billionaire media and telecoms tycoon John Malone will step down as chairman of his multinational companies Liberty Global and Liberty Media after decades influencing the global communications landscape, the businesses announced Wednesday.The 84-year-old American, nicknamed the “Cable Cowboy,” is recognized as a pioneering force in the cable television industry who helped shape the trajectory of modern media through his aggressive dealmaking across the globe.Often compared to Rupert Murdoch or Ted Turner, Malone is renowned for highly-leveraged acquisitions and for implementing complex deal-making to consolidate media assets.Malone, who is also one of the biggest landowners in the United States, reached the height of global media business when he sold his vast TCI cable group to AT&T in 1999 in a $48 billion deal.He praised Liberty Global’s performance during his chairmanship, citing investments in cable and broadband across 50 countries and more than $200 billion in mergers and acquisitions.”The return to long-term shareholders has been outstanding — and getting there has been, like the industry itself, never dull and a lot of fun,” Malone said in a company statement.He will also step down as chairman at Liberty Media, which operates Formula 1 racing, MotoGP, and Live Nation entertainment.Malone controls approximately 49.5 percent of the voting power in the Formula 1 division through his shareholdings.Over the years, Malone through Liberty Media has had major stakes in companies like Warner Brothers Discovery, Lionsgate, QVC, SiriusXM, and the Atlanta Braves baseball team.”Founding Liberty Media and serving as its chairman has been among the most rewarding experiences of my professional life,” Malone said.Malone will remain as a large shareholder and strategic advisor to both companies while reducing his formal board commitments.

Casse du Louvre: deux mises en examen attendues, bijoux toujours dans la nature

Les bijoux sont toujours introuvables, mais deux hommes soupçonnés d’avoir participé au spectaculaire casse du Louvre, qui a fait le tour du monde, devraient être mis en examen mercredi soir à Paris et écroués, a annoncé la procureure Laure Beccuau.Ces deux trentenaires, interpellés samedi soir, ont “partiellement reconnu les faits”, a indiqué la procureure de Paris. Ils sont soupçonnés d’être ceux qui ont “pénétré dans la galerie d’Apollon pour s’emparer des bijoux”, a-t-elle précisé.”Ils sont actuellement en cours de présentation devant les magistrats” en vue de “leur mise en examen pour les infractions de vol en bande organisée, faisant encourir la peine de 15 ans de réclusion criminelle”, et pour “association de malfaiteurs”, faisant encourir la peine de 10 ans en prison, a-t-elle précisé.Ils seront ensuite présentés devant un juge des libertés et de la détention (JLD): leur placement en détention provisoire a été requis par le parquet, a-t-elle ajouté.Mme Beccuau a précisé que “rien ne permet à ce stade d’affirmer que les malfaiteurs auraient bénéficié d’une complicité quelconque au sein du musée”.En revanche, “nous n’excluons pas la possibilité” d’un groupe beaucoup plus large que les quatre malfaiteurs repérés par les caméras de surveillance, a-t-elle dit.- Bijoux “invendables” -Les bijoux “ne sont pas encore en notre possession. Je veux garder l’espoir qu’ils seront retrouvés et pourront être rendus au musée du Louvre et plus largement à la nation”, a dit Mme Beccuau.”Ces joyaux sont dorénavant bien évidemment invendables. Pour rappel, (…) quiconque les achèterait se rendrait coupable à son tour de recel de ce crime”, a-t-elle souligné, avant de lancer: “il est encore temps de les restituer”.Les deux hommes vivent à Aubervilliers, en Seine-Saint-Denis.L’un des deux a été interpellé samedi soir à l’aéroport de Roissy alors qu’il s’apprêtait à embarquer pour l’Algérie “sans billet de retour pour la France”. Agé de 34 ans, il est de nationalité algérienne et vit en France depuis 2010. Il est déjà connu des services de police et de justice pour des faits relevant essentiellement de la délinquance routière, et un fait de vol, selon la procureure.Le deuxième, âgé de 39 ans, a été interpellé à proximité de son domicile. “Rien ne permet d’affirmer qu’il était en partance pour l’étranger”, a indiqué la procureure. Il est déjà connu pour des faits de vols aggravés.Mme Beccuau a souligné le travail “jour et nuit” de la centaine d’enquêteurs et magistrats impliqués sur ce dossier, évoquant une “mobilisation exceptionnelle de tous” pour “identifier au plus vite les malfaiteurs et tenter de retrouver les bijoux”.Plus de 150 analyses de prélèvements ont été réalisés “dans la plus grande urgence”, a-t-elle dit.Le butin de ce casse rocambolesque, qui a fait le tour de la planète, est estimé à 88 millions d’euros, avait indiqué Mme Beccuau.Vers 09H30 le 19 octobre, les membres du commando avaient installé un camion-élévateur au pied du musée, sur le quai François-Mitterrand, et deux d’entre eux, visages masqués, s’étaient hissés avec une nacelle jusqu’à la galerie Apollon.Après avoir brisé une fenêtre et les vitrines contenant les bijoux à l’aide de disqueuses, les voleurs étaient repartis à bord de deux scooters conduits par leurs complices.Le cambriolage a duré en tout moins de huit minutes.Dans leur fuite, les malfaiteurs ont laissé tomber la couronne de l’impératrice Eugénie, qui a été abîmée.La directrice du Louvre a fait savoir “combien il serait délicat” de la restaurer, a noté Mme Beccuau.- Sécurité en question -L’affaire a provoqué des débats-fleuves sur la sécurité du Louvre, musée le plus visité du monde.Elle a débouché sur un premier bras de fer. Le nouveau préfet de police de Paris, Patrice Faure, s’est dit mercredi “fermement opposé” à l’installation d’un commissariat au sein du Louvre, demandée par la présidente du musée, Laurence des Cars, après le cambriolage.Le président de la commission de la Culture du Sénat, Laurent Lafon, a estimé mardi, à l’issue d’une visite des installations de sûreté du Louvre, que la sécurité de l’établissement n’était “pas conforme à ce qu’on peut attendre d’un musée aujourd’hui”.La ministre de la Culture, Rachida Dati, s’est dite mercredi “dans l’attente” des conclusions de l’enquête administrative sur la sécurité du musée, qui devraient être dévoilées dans la soirée.Celles-ci permettront de “prendre toutes les mesures nécessaires, urgentes, pour remédier à cet échec sécuritaire”, a-t-elle indiqué.”Il s’agira d’identifier toutes les défaillances, mais aussi tous les manquements pour sécuriser le musée du Louvre”, a-t-elle ajouté.pgr-cco-sm-jmo/asl/vk

Casse du Louvre: deux mises en examen attendues, bijoux toujours dans la nature

Les bijoux sont toujours introuvables, mais deux hommes soupçonnés d’avoir participé au spectaculaire casse du Louvre, qui a fait le tour du monde, devraient être mis en examen mercredi soir à Paris et écroués, a annoncé la procureure Laure Beccuau.Ces deux trentenaires, interpellés samedi soir, ont “partiellement reconnu les faits”, a indiqué la procureure de Paris. Ils sont soupçonnés d’être ceux qui ont “pénétré dans la galerie d’Apollon pour s’emparer des bijoux”, a-t-elle précisé.”Ils sont actuellement en cours de présentation devant les magistrats” en vue de “leur mise en examen pour les infractions de vol en bande organisée, faisant encourir la peine de 15 ans de réclusion criminelle”, et pour “association de malfaiteurs”, faisant encourir la peine de 10 ans en prison, a-t-elle précisé.Ils seront ensuite présentés devant un juge des libertés et de la détention (JLD): leur placement en détention provisoire a été requis par le parquet, a-t-elle ajouté.Mme Beccuau a précisé que “rien ne permet à ce stade d’affirmer que les malfaiteurs auraient bénéficié d’une complicité quelconque au sein du musée”.En revanche, “nous n’excluons pas la possibilité” d’un groupe beaucoup plus large que les quatre malfaiteurs repérés par les caméras de surveillance, a-t-elle dit.- Bijoux “invendables” -Les bijoux “ne sont pas encore en notre possession. Je veux garder l’espoir qu’ils seront retrouvés et pourront être rendus au musée du Louvre et plus largement à la nation”, a dit Mme Beccuau.”Ces joyaux sont dorénavant bien évidemment invendables. Pour rappel, (…) quiconque les achèterait se rendrait coupable à son tour de recel de ce crime”, a-t-elle souligné, avant de lancer: “il est encore temps de les restituer”.Les deux hommes vivent à Aubervilliers, en Seine-Saint-Denis.L’un des deux a été interpellé samedi soir à l’aéroport de Roissy alors qu’il s’apprêtait à embarquer pour l’Algérie “sans billet de retour pour la France”. Agé de 34 ans, il est de nationalité algérienne et vit en France depuis 2010. Il est déjà connu des services de police et de justice pour des faits relevant essentiellement de la délinquance routière, et un fait de vol, selon la procureure.Le deuxième, âgé de 39 ans, a été interpellé à proximité de son domicile. “Rien ne permet d’affirmer qu’il était en partance pour l’étranger”, a indiqué la procureure. Il est déjà connu pour des faits de vols aggravés.Mme Beccuau a souligné le travail “jour et nuit” de la centaine d’enquêteurs et magistrats impliqués sur ce dossier, évoquant une “mobilisation exceptionnelle de tous” pour “identifier au plus vite les malfaiteurs et tenter de retrouver les bijoux”.Plus de 150 analyses de prélèvements ont été réalisés “dans la plus grande urgence”, a-t-elle dit.Le butin de ce casse rocambolesque, qui a fait le tour de la planète, est estimé à 88 millions d’euros, avait indiqué Mme Beccuau.Vers 09H30 le 19 octobre, les membres du commando avaient installé un camion-élévateur au pied du musée, sur le quai François-Mitterrand, et deux d’entre eux, visages masqués, s’étaient hissés avec une nacelle jusqu’à la galerie Apollon.Après avoir brisé une fenêtre et les vitrines contenant les bijoux à l’aide de disqueuses, les voleurs étaient repartis à bord de deux scooters conduits par leurs complices.Le cambriolage a duré en tout moins de huit minutes.Dans leur fuite, les malfaiteurs ont laissé tomber la couronne de l’impératrice Eugénie, qui a été abîmée.La directrice du Louvre a fait savoir “combien il serait délicat” de la restaurer, a noté Mme Beccuau.- Sécurité en question -L’affaire a provoqué des débats-fleuves sur la sécurité du Louvre, musée le plus visité du monde.Elle a débouché sur un premier bras de fer. Le nouveau préfet de police de Paris, Patrice Faure, s’est dit mercredi “fermement opposé” à l’installation d’un commissariat au sein du Louvre, demandée par la présidente du musée, Laurence des Cars, après le cambriolage.Le président de la commission de la Culture du Sénat, Laurent Lafon, a estimé mardi, à l’issue d’une visite des installations de sûreté du Louvre, que la sécurité de l’établissement n’était “pas conforme à ce qu’on peut attendre d’un musée aujourd’hui”.La ministre de la Culture, Rachida Dati, s’est dite mercredi “dans l’attente” des conclusions de l’enquête administrative sur la sécurité du musée, qui devraient être dévoilées dans la soirée.Celles-ci permettront de “prendre toutes les mesures nécessaires, urgentes, pour remédier à cet échec sécuritaire”, a-t-elle indiqué.”Il s’agira d’identifier toutes les défaillances, mais aussi tous les manquements pour sécuriser le musée du Louvre”, a-t-elle ajouté.pgr-cco-sm-jmo/asl/vk

Couvre-feu dans la plus grosse ville de Tanzanie, en proie à des troubles électoraux

Un couvre-feu a été décrété à partir de mercredi soir dans la capitale économique tanzanienne Dar es Salam, où des centaines de personnes ont manifesté violemment contre le régime le jour d’élections présidentielle et législatives dont l’opposition a été largement écartée.La population de la plus grosse ville du pays, forte de six à huit millions d’habitants, devra être rentrée chez elle à 18H00 (15H00 GMT) a annoncé le chef de la police tanzanienne Camillus Wambura lors d’une allocution diffusée sur la chaîne publique TBC world.”Les policiers et militaires patrouilleront dans les rues de la ville”, a-t-il averti.Des propos tenus alors qu’un commissariat a été incendié dans la principale avenue menant au port de Dar es Salam, les protestataires, surtout des jeunes hommes, criant “Rendez-nous notre pays !”, a constaté un journaliste de l’AFP. La police, qui tentait de les bloquer, a été dépassée et a dû faire demi-tour.Le journaliste de l’AFP a entendu des tirs à plusieurs reprises, notamment après le début officiel du couvre-feu, et vu des manifestants brûler des pneus, jeter des pierres et détruire des affiches de la présidente Samia Suluhu Hassan.Aucun bilan humain n’a été communiqué par les autorités.La cheffe de l’Etat, âgée de 65 ans, a été promue à la mort de son prédécesseur John Magufuli en 2021 et aspire désormais à être élue. Première présidente de Tanzanie, saluée dans un premier temps pour avoir assoupli les restrictions instaurées par son prédécesseur, elle est aujourd’hui accusée de mener une répression sévère. Alors que Mme Hassan, selon des analystes, compte sur sa victoire annoncée pour réduire au silence les critiques au sein de son propre camp, le journaliste de l’AFP a également vu des soldats en arme passer paisiblement à proximité des protestataires, semblant indiquer leur soutien implicite au mouvement.- Internet bloqué -“L’armée protège les manifestations qui se déroulent aujourd’hui en Tanzanie”, a affirmé sur X Brenda Rupia, une communicante du parti d’opposition Chadema, interdit de scrutin.Mme Rupia commentait une vidéo montrant de jeunes manifestants criant “Nous ne voulons pas du CCM (Chama Cha Mapinduzi, parti au pouvoir depuis l’indépendance), nous voulons nos droits !”, devant des militaires impassibles.Des images partagées sur les réseaux sociaux, que l’AFP n’a pu confirmer, ont montré des bureaux de vote détruits, des bus et une station-essence brûlés, et suggéré que le mouvement se propageait à d’autres villes dont Mbeya, Mbozi (sud-ouest), et Arusha (nord-est)Les bureaux de vote de Dar es Salam, généralement bondés tôt le matin lors de précédents scrutins, étaient presque déserts à 7H00 (4H00 GMT), a constaté l’AFP. Ils ont fermé à 16H00 (13H00 GMT). Chadema a été disqualifié des élections pour avoir refusé de signer le code électoral qui, selon cette formation, n’incluait pas les réformes qu’elle exigeait. Le parti a appelé au boycott du scrutin. Son chef Tundu Lissu, adversaire de M. Magufuli en 2020, a été arrêté en avril et est jugé pour trahison, des accusations passibles de la peine de mort.Le seul autre candidat sérieux d’opposition, Luhaga Mpina, de l’ACT Wazalendo, a été disqualifié pour des raisons de procédure.La plupart des médias étrangers n’ont pas obtenu d’accréditation pour couvrir le scrutin en Tanzanie continentale.- “Message clair”  -Amnesty international a dénoncé la semaine dernière une “vague de terreur” marquée par “des disparitions forcées, des arrestations arbitraires, des actes de torture et (…) des exécutions extrajudiciaires” en amont du scrutin.Le barreau du Tanganyika – nom de l’ancienne colonie britannique, avant qu’elle ne fusionne avec Zanzibar en 1964 pour devenir la Tanzanie – affirme avoir recensé 83 disparitions d’opposants en Tanzanie continentale (qui exclut Zanzibar) depuis l’accession au pouvoir de Mme Hassan en 2021.En Tanzanie continentale, “une manifestation, même minime, aurait déjà été un pas en avant”, note Hussein Khalid, directeur de l’association de défense des droits humains VOCAL Africa.  “Mais voir ce déferlement massif, en particulier de la génération Z, n’est peut-être pas surprenant”, estime-t-il. Et d’ajouter : “Le message est clair : les gens en ont assez de ce qui se passe dans le pays.” La Tanzanie, pays d’Afrique de l’Est d’environ 68 millions d’habitants, est composée de sa partie continentale ainsi que de l’archipel semi-autonome de Zanzibar.Sur celui-ci, qui élit, en plus du chef de l’État et des membres du Parlement de Tanzanie, son propre président et ses députés locaux, les élections paraissent pour l’instant plus apaisées, bien que de précédents scrutins y ont souvent été entachés de violences post-électorales et d’irrégularités. 

Stocks extend record run as trade, AI dominates

Stock markets hit record highs Wednesday thanks to optimism over US trade deals, the AI sector and an expected interest-rate cut by the US Federal Reserve.The Dow briefly topped 48,000 points as all three of Wall Street’s main indices set record highs when trading started, following fresh peaks set in London and some Asian markets as US President Donald Trump voiced optimism on the eve of crunch talks with China’s President Xi Jinping.Investors are looking ahead to a meeting of the Federal Reserve, which observers expect will unveil a quarter-percentage-point cut to borrowing costs, as well as earnings reports from tech giants Meta, Microsoft and Google-parent Alphabet after trading closes in New York.”Sentiment is as bullish as it can be heading into what could be one of the most consequential two-day periods for markets this quarter,” said City Index and FOREX.com analyst Fawad Razaqzada.The European Central Bank and the Bank of Japan are expected to hold interest rates steady this week. Ahead of meeting Xi, Trump indicated that a trade deal had been reached with South Korea’s President Lee Jae Myung.Ahead of his arrival in South Korea, Trump told reporters he expects “a lot of problems are going to be solved” during his first in-person discussion with Xi since returning to the White House this year.The two leaders are set to meet Thursday in Busan, a southern port city not far from the APEC summit attended by Trump.Geopolitical hopes have added to an already jubilant atmosphere on Wall Street, with artificial intelligence giant Nvidia in particular benefitting from comments by Trump that fuelled speculation it might be allowed to sell chips in China.Trump’s “remarks sent Nvidia soaring to a $5 trillion company and propelled the S&P 500, Nasdaq 100 and Dow Jones to new record levels,” said Razaqzada.”In a market already high on AI-fuelled enthusiasm, that was all investors needed to keep the rally going,” he added.After gaining five percent on Tuesday, Nvidia shares rose further on Wednesday, helping it to become the world’s first company with a market capitalisation of $5 trillion.Benchmark stocks indices in Tokyo and Seoul each reached record highs Wednesday.After Seoul closed, the United States and South Korea reached an agreement to maintain reciprocal tariffs at 15 percent and to reduce levies on automobiles and auto parts.Taipei gained more than one percent on the day and Shanghai tracked moderate gains, while Hong Kong was closed for a public holiday.In company news, shares in UK drugmaker GSK rose more than two percent in London after it raised its full-year guidance on strong sales growth. Shares in Mercedes-Benz rose more than four percent after the company reassured investors it faced no immediate production shutdowns due to microchip shortages, even though third-quarter net profits plunged more than 30 percent due to Trump’s tariff blitz as well as slumping sales in China.The price of copper reached a record high Wednesday, with the metal boosted also by tight supply concerns.- Key figures at around 1630 GMT -New York – Dow: UP 0.6 percent at 47,980.63 pointsNew York – S&P 500: UP 0.3 percent at 6,907.35New York – Nasdaq Composite: UP 0.5 percent at 23,952.23London – FTSE 100: UP 0.6 percent at 9,756.14 (close)Paris – CAC 40: DOWN 0.2 percent at 8,200.88 (close)Frankfurt – DAX: DOWN 0.6 at 24,124.21 (close)Tokyo – Nikkei 225: UP 2.2 percent at 51,307.65 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: Closed for a holidayShanghai – Composite: UP 0.7 percent at 4,016.33 (close)Euro/dollar: UP at $1.1662 from $1.1656 on TuesdayPound/dollar: DOWN at $1.3238 from $1.3336Dollar/yen: UP at 152.07 yen from 152.06 yenEuro/pound: UP at 88.10 from 87.80 penceBrent North Sea Crude: UP 1.2 percent at $64.62 per barrelWest Texas Intermediate: UP 1.3 percent at $60.93 per barrelburs-rl/rlp