Stocks rally on hopes of US government shutdown ending

Stock markets charged higher Monday as investors cheered prospects that the US government shutdown could be nearing an end, after lawmakers reached a deal likely to break the record 40-day impasse.The prospect of operations resuming in the world’s biggest economy helped temper lingering worries about extended tech valuations amid talk of an AI bubble.”Everyone’s now anticipating we’ll see the government reopen in the next couple of days,” said Jack Ablin from Cresset Capital. That’s “good for the consumer, good for investors, really good for anyone who travels,” Ablin said.A group of Democrats in the Senate sided with Republicans in a procedural vote on the deal Sunday evening, clearing the way for a formal debate after reaching a bipartisan agreement to fund government operations through January.A government re-opening could also provide clarity on US inflation and on the soft labor market, which will determine whether the Federal Reserve cuts interest rates again, as is widely expected next month.”If all goes well, some federal agencies could reopen as soon as Friday,” said David Morrison, senior analyst at Trade Nation. He noted that both investors and the Fed had been “flying blind since the beginning of October, with a near-complete absence of data”.”Fed Chair Jerome Powell has played down the prospect of another rate cut in December, as it is far from obvious that inflation has peaked,” Morrison added. But as the shutdown entered its 41st day on Monday, investors focused on the US government reopening. They had grown increasingly concerned about the impact of severe disruptions of food benefits to low-income households, and of air travel heading into the Thanksgiving holiday.”Shutdowns haven’t typically had a big bearing on the economy or on financial markets. But, this one…looked as though it might start to cause some trouble,” said analysts at Capital Economics.- Rebound after tech worries -Wall Street opened higher across the board following turbulent losses last week on fears that AI optimism might have pushed tech stocks such as chip heavyweight Nvidia to unsustainable highs.European indices also rose sharply, following similar gains across Asia, with investors also taking heart from a further easing of China-US tensions.Beijing on Monday said it would suspend for one year “special port fees” on US vessels, “simultaneously” with Washington’s pause on levies targeting Chinese ships.The dollar, which steadied versus the euro and the pound, rose against the yen, while oil prices gained slightly after losses last week over concerns of hefty supply amid uncertainty over global demand.”Risk is back on, and last week’s sell-off seems like a distant memory,” said Kathleen Brooks, research director at trading platform XTB.”There are some risks ahead, but unless we see a meaningful decline in Fed rate cut expectations, or a weak earnings report from (major computer chip-maker) Nvidia next week, then stocks could be poised to rally into year end,” she said.- Key figures at 2110 GMT -New York – Nasdaq: up 2.3 percent at 23,527.17 (close)New York – S&P 500: up 1.5 percent at 6,832.43 (close)New York – Dow:  UP 0.8 percent at 47,368.63 (close)London – FTSE 100: UP 1.1 percent at 9,787.15 (close)Paris – CAC 40: UP 1.3 percent at 8,055.51 (close)Frankfurt – DAX: UP 1.7 percent at 23,959.99 (close)Tokyo – Nikkei 225: UP 1.3 percent at 50,911.76 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 1.6 percent at 26,649.06 (close)Shanghai – Composite: UP 0.5 percent at 4,018.60 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.1563 from $1.1566 on FridayPound/dollar: UP at $1.3182 from $1.3162Dollar/yen: UP at 154.03 yen from 153.42 yenEuro/pound: UP at 88.00 pence from 87.88 penceBrent North Sea Crude: UP 0.4 percent at $64.06 per barrelWest Texas Intermediate: UP 0.7 percent at $60.13 per barrel

Trump a reçu le président syrien pour une rencontre historique

De la liste noire du FBI à la Maison Blanche: Donald Trump a reçu lundi Ahmad al-Chareh, une première pour un chef d’Etat syrien et une consécration pour l’ancien jihadiste.”Je l’aime bien”, a réagi le président américain après la rencontre, qui s’est déroulée loin des caméras, en ajoutant: “Nous ferons tout ce que nous pouvons pour que la Syrie réussisse.””Il a un passé brutal, et je pense, franchement, que sans passé brutal vous n’avez aucune chance”, a encore dit le milliardaire de 79 ans.Il avait déjà exprimé sa sympathie pour le président intérimaire, dont la coalition islamiste a renversé le dirigeant de longue date Bachar al-Assad en décembre 2024, pendant leur toute première rencontre, en mai dans le Golfe.Le département d’Etat a annoncé à l’occasion de cette visite historique une nouvelle pause des sanctions américaines de la loi César, en attendant que le Congrès ne les lève éventuellement pour de bon.Le président syrien est arrivé discrètement à 11h37 locale (16h37 GMT) à la Maison Blanche.Il est passé par une entrée latérale, sans le protocole habituellement réservé aux chefs d’Etat et de gouvernement étrangers, que le président américain vient presque toujours accueillir sur le perron.- Partisans -Les journalistes n’ont pas non plus été conviés dans le Bureau ovale en présence des deux dirigeants, comme c’est généralement le cas lors de visites officielles.Ahmad al-Chareh a quitté les lieux aux alentours de 13h20 locales (18h20 GMT), et s’est arrêté quelques instants pour saluer des partisans qui l’acclamaient devant la Maison Blanche.La présidence syrienne a publié un communiqué laconique, accompagné de quelques photos, indiquant que les deux dirigeants avaient évoqué “les manières de développer et renforcer” la relation bilatérale, ainsi que “plusieurs sujets régionaux et internationaux”.Ahmad al-Chareh a obtenu une nouvelle pause pour 180 jours de la loi César qui imposait des sanctions américaines drastiques contre le gouvernement de Bachar-al-Assad, et qui avait déjà été suspendue en mai.Le département d’Etat américain est favorable à une levée complète de cette loi adoptée en 2019, qui bannissait la Syrie du système bancaire international et des transactions financières en dollars, mais cela passe par un vote du Congrès.Ni Washington ni Damas n’ont communiqué dans l’immédiat sur une autre annonce qui était attendue lundi.Pendant la visite, la Syrie devait en effet signer un accord pour rejoindre la coalition internationale antijihadiste menée par les Etats-Unis, selon l’émissaire américain pour la Syrie, Tom Barrack. – Base militaire -Les Etats-Unis, eux, prévoient d’établir une base militaire près de Damas, “pour coordonner l’aide humanitaire et observer les développements entre la Syrie et Israël”, selon une autre source diplomatique en Syrie.Vendredi, Washington avait retiré le dirigeant syrien de la liste noire des terroristes. Depuis 2017 et jusqu’à décembre dernier, le FBI offrait une récompense de 10 millions de dollars pour toute information menant à l’arrestation du leader de l’ancienne branche locale d’Al-Qaïda, le groupe Hayat Tahrir al-Sham (HTS).Jeudi, le Conseil de sécurité de l’ONU avait aussi levé les sanctions contre Ahmad al-Chareh, à l’initiative des Etats-Unis.Dès sa prise de pouvoir, le dirigeant syrien a rompu avec son passé, multipliant les ouvertures vers l’Occident et les Etats de la région, dont Israël avec lequel son pays est théoriquement en guerre.Il a toutefois aussi promis de “redéfinir” la relation de son pays avec la Russie de Vladimir Poutine, allié-clé de Bachar al-Assad, qu’il a rencontré à Moscou il y a moins d’un mois. “Trump amène Chareh à la Maison Blanche pour dire qu’il n’est plus un terroriste (…) mais un dirigeant pragmatique et, surtout, flexible qui, sous la direction américaine et saoudienne, fera de la Syrie un pilier régional stratégique”, explique l’analyste Nick Heras.En mai, Donald Trump avait pressé son homologue syrien de rejoindre les accords d’Abraham, qui ont vu plusieurs pays arabes reconnaître Israël en 2020.

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

COP30: Lula reçoit le monde en Amazonie, bataille en vue entre pays

La 30e conférence sur le climat de l’ONU s’est ouverte lundi à Belém en Amazonie brésilienne, avec déjà une bataille en vue entre pays sur l’urgence et les moyens de contenir le réchauffement climatique.”Il est temps d’infliger une nouvelle défaite aux négationnistes”, a déclaré Luiz Inacio Lula da Silva en entamant deux semaines de conférence, sans les Etats-Unis, par une vigoureuse défense de l’action multilatérale.Le président brésilien a répété qu’investir pour le climat – point éternel de dispute dans cette enceinte – coûtait “beaucoup moins cher” que les guerres. Avec une volonté d’éviter le fatalisme: “Nous allons dans la bonne direction, mais à la mauvaise vitesse.”Les Etats-Unis, premier producteur mondial de pétrole et deuxième émetteur de gaz à effet de serre, sont absents pour la première fois de l’histoire de ces réunions.”C’est mieux que d’envoyer des gens tout bloquer, non?”, dit à l’AFP la cheffe de Greenpeace au Brésil, Carolina Pasquali.Cette COP, la première en Amazonie, rassemble moins que lors des éditions précédentes, avec 42.000 personnes accréditées. Au premier jour, les délégués présents ont pu entendre la pluie tropicale cogner violemment contre le toit du centre de conventions, et même sentir des gouttes s’infiltrer dans l’enceinte.”Se lamenter n’est pas une stratégie, nous avons besoin de solutions”, a lancé Simon Stiell, chef de l’ONU Climat, qui coorganise la COP30 avec le pays hôte. Il s’est félicité d’une petite avancée: en incluant les toutes dernières feuilles de route climatiques déposées par certains pays, la baisse des émissions d’ici 2035 sera de 12%. Toujours loin du compte mais un peu mieux que les 10% annoncés dernièrement sur une base plus limitée. “Chaque fraction de degré de réchauffement évitée sauvera des millions de vies et évitera des milliards de dollars en dommages climatiques”, a souligné Simon Stiell. Mais il demande que les tractations produisent plus de concret: davantage d’engagements pour sortir des énergies fossiles, pour développer les renouvelables, et pour envoyer l’argent promis aux pays pauvres pour les aider dans un climat plus violent.Le temps presse, rappellent les scientifiques. Jim Skea, président du Giec, le groupe de chercheurs qui travaille sur le climat sous l’égide de l’ONU, a jugé “presque inévitable” de dépasser à court terme le seuil de 1,5°C de réchauffement, l’objectif le plus ambitieux fixé par l’accord de Paris en 2015.- “Question de survie” -Un groupe de petites îles bataille pour que soit inscrit à l’ordre du jour le besoin de formuler une réponse à cet échec, mais le groupe des pays arabes et d’autres refusent, craignant une nouvelle attaque contre pétrole. La position de l’Arabie saoudite est “toxique”, déplore un diplomate occidental.Un échec à maintenir la limite de 1,5°C “scelle notre perte”, a dit à l’AFP Maina Vakafua Talia, ministre du Tuvalu, petit archipel du Pacifique menacé par la montée des eaux.”Je garde espoir. On doit garder un certain optimisme”, a-t-il toutefois dit.”1,5°C n’est pas qu’un chiffre ou un objectif, c’est une question de survie”, abonde auprès de l’AFP Manjeet Dhakal, conseiller du groupe des pays les moins développés à la COP. “Nous ne pourrons cautionner aucune décision qui n’inclue pas de discussion sur notre échec à éviter 1,5°C.”Mais il n’y aura pas de bras de fer d’emblée sur l’ordre du jour officiel de la conférence: les discussions les plus tendues sur ce sujet ainsi que la taxe carbone européenne et les mesures commerciales unilatérales ont été reportées à mercredi.- “Sujet sensible” -D’ici là, la présidence brésilienne organise des consultations entre pays, après de premiers échanges “assez tendus”, selon un participant. “Personne ne veut bouger de ses positions”, regrette un représentant d’un pays d’Amérique latine.L’un des mystères de ces deux semaines de négociation concerne la “feuille de route” sur les énergies fossiles mise sur la table par Lula lors du sommet de chefs d’Etat, la semaine dernière à Belem.La sortie du pétrole, du gaz et du charbon fera-t-elle l’objet d’une nouvelle décision négociée et contraignante – après une première étape il y a deux ans à Dubaï – ou, plus probablement, d’engagements volontaires de certains pays?”On sait que c’est un sujet sensible pour un certain nombre de nos partenaires, que pour certains, c’est plus simple d’en discuter, pas sous un format de négociation, mais sous un format de coalition”, reconnaît-on dans la délégation française.ffb-lg-app-ico-jmi/liu

COP30: Lula reçoit le monde en Amazonie, bataille en vue entre pays

La 30e conférence sur le climat de l’ONU s’est ouverte lundi à Belém en Amazonie brésilienne, avec déjà une bataille en vue entre pays sur l’urgence et les moyens de contenir le réchauffement climatique.”Il est temps d’infliger une nouvelle défaite aux négationnistes”, a déclaré Luiz Inacio Lula da Silva en entamant deux semaines de conférence, sans les Etats-Unis, par une vigoureuse défense de l’action multilatérale.Le président brésilien a répété qu’investir pour le climat – point éternel de dispute dans cette enceinte – coûtait “beaucoup moins cher” que les guerres. Avec une volonté d’éviter le fatalisme: “Nous allons dans la bonne direction, mais à la mauvaise vitesse.”Les Etats-Unis, premier producteur mondial de pétrole et deuxième émetteur de gaz à effet de serre, sont absents pour la première fois de l’histoire de ces réunions.”C’est mieux que d’envoyer des gens tout bloquer, non?”, dit à l’AFP la cheffe de Greenpeace au Brésil, Carolina Pasquali.Cette COP, la première en Amazonie, rassemble moins que lors des éditions précédentes, avec 42.000 personnes accréditées. Au premier jour, les délégués présents ont pu entendre la pluie tropicale cogner violemment contre le toit du centre de conventions, et même sentir des gouttes s’infiltrer dans l’enceinte.”Se lamenter n’est pas une stratégie, nous avons besoin de solutions”, a lancé Simon Stiell, chef de l’ONU Climat, qui coorganise la COP30 avec le pays hôte. Il s’est félicité d’une petite avancée: en incluant les toutes dernières feuilles de route climatiques déposées par certains pays, la baisse des émissions d’ici 2035 sera de 12%. Toujours loin du compte mais un peu mieux que les 10% annoncés dernièrement sur une base plus limitée. “Chaque fraction de degré de réchauffement évitée sauvera des millions de vies et évitera des milliards de dollars en dommages climatiques”, a souligné Simon Stiell. Mais il demande que les tractations produisent plus de concret: davantage d’engagements pour sortir des énergies fossiles, pour développer les renouvelables, et pour envoyer l’argent promis aux pays pauvres pour les aider dans un climat plus violent.Le temps presse, rappellent les scientifiques. Jim Skea, président du Giec, le groupe de chercheurs qui travaille sur le climat sous l’égide de l’ONU, a jugé “presque inévitable” de dépasser à court terme le seuil de 1,5°C de réchauffement, l’objectif le plus ambitieux fixé par l’accord de Paris en 2015.- “Question de survie” -Un groupe de petites îles bataille pour que soit inscrit à l’ordre du jour le besoin de formuler une réponse à cet échec, mais le groupe des pays arabes et d’autres refusent, craignant une nouvelle attaque contre pétrole. La position de l’Arabie saoudite est “toxique”, déplore un diplomate occidental.Un échec à maintenir la limite de 1,5°C “scelle notre perte”, a dit à l’AFP Maina Vakafua Talia, ministre du Tuvalu, petit archipel du Pacifique menacé par la montée des eaux.”Je garde espoir. On doit garder un certain optimisme”, a-t-il toutefois dit.”1,5°C n’est pas qu’un chiffre ou un objectif, c’est une question de survie”, abonde auprès de l’AFP Manjeet Dhakal, conseiller du groupe des pays les moins développés à la COP. “Nous ne pourrons cautionner aucune décision qui n’inclue pas de discussion sur notre échec à éviter 1,5°C.”Mais il n’y aura pas de bras de fer d’emblée sur l’ordre du jour officiel de la conférence: les discussions les plus tendues sur ce sujet ainsi que la taxe carbone européenne et les mesures commerciales unilatérales ont été reportées à mercredi.- “Sujet sensible” -D’ici là, la présidence brésilienne organise des consultations entre pays, après de premiers échanges “assez tendus”, selon un participant. “Personne ne veut bouger de ses positions”, regrette un représentant d’un pays d’Amérique latine.L’un des mystères de ces deux semaines de négociation concerne la “feuille de route” sur les énergies fossiles mise sur la table par Lula lors du sommet de chefs d’Etat, la semaine dernière à Belem.La sortie du pétrole, du gaz et du charbon fera-t-elle l’objet d’une nouvelle décision négociée et contraignante – après une première étape il y a deux ans à Dubaï – ou, plus probablement, d’engagements volontaires de certains pays?”On sait que c’est un sujet sensible pour un certain nombre de nos partenaires, que pour certains, c’est plus simple d’en discuter, pas sous un format de négociation, mais sous un format de coalition”, reconnaît-on dans la délégation française.ffb-lg-app-ico-jmi/liu

US Supreme Court to hear mail-in ballot case

The US Supreme Court agreed Monday to decide whether mail-in ballots that arrive after Election Day should be counted, a case that could have repercussions for the 2026 midterm vote.The case involves a challenge by the Republican National Committee to a law in the southern state of Mississippi that allows ballots to be counted if they arrive within five business days after Election Day.The ballots must be postmarked by Election Day.Around 30 US states have similar laws.Republican President Donald Trump has been a vocal critic of mail-in ballots and has falsely claimed that they contributed to his 2020 election loss to Democrat Joe Biden. A federal judge ruled in favor of Mississippi but was overturned by an appeals court panel last year which said ballots must arrive by Election Day to be counted.The mail-in ballot case is one of a number of voting rights cases being heard by the conservative-dominated Supreme Court this term.The court, which includes three justices nominated by Trump, heard arguments last month over the use of race to draw electoral districts.The Supreme Court is likely to deliver its rulings in the cases by the end of June, which would provide enough time for them to be applied to the November midterm elections.

Face à l’épidémie persistante, le Canada perd son statut de pays ayant éliminé la rougeole

Le Canada a perdu son statut de pays ayant éradiqué la rougeole en raison d’une épidémie persistante qui dure depuis un an et frappe fortement plusieurs régions et les populations non vaccinées.Le pays avait déclaré cette maladie grave éliminée en 1998. Mais il fait face aujourd’hui à sa plus forte recrudescence depuis cette date, notamment …

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Trump menace la BBC d’une plainte en diffamation après un montage trompeur d’un de ses discours

Donald Trump menace la BBC d’une plainte en diffamation assortie d’une demande d’un milliard de dollars de dommages et intérêts, après un montage trompeur d’un de ses discours pour lequel le président du géant audiovisuel britannique s’est excusé lundi, reconnaissant une “erreur de jugement”.Les avocats du président américain – qui a qualifié dimanche les journalistes …

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COP30: le président du Giec déclare désormais “presque inévitable” de dépasser 1,5°C de réchauffement

Le président du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) a jugé “presque inévitable” de dépasser à court terme le seuil de 1,5°C de réchauffement, un objectif fixé par l’accord de Paris en 2015, tout en estimant qu’il est “peut-être encore possible” de le limiter.”Il est désormais presque inévitable que le réchauffement climatique dépasse …

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