Cyril Hanouna, un destin qui laisse baba

Après la fin de sa chaîne C8, Cyril Hanouna fera-t-il de la télé ailleurs, voire se lancera-t-il en politique ? Porte-voix d’une France populaire pour certains, figure médiatique de l’extrême droite populiste pour d’autres, l’animateur vedette est au centre de toutes les interrogations.”Ils ont voulu m’éliminer (…), ils risquent de me voir encore plus”, a lancé mercredi le roi de l’audience et du clash, dans son émission sur Europe 1.Il réagissait à la confirmation, par le Conseil d’Etat, du non-renouvellement de la fréquence de C8. Propriété du groupe Canal+, dans le giron du milliardaire conservateur Vincent Bolloré, la chaîne cessera d’émettre le 28 février.Décidé par l’Arcom, le régulateur de l’audiovisuel, ce non-renouvellement est largement motivé par les “manquements réitérés” de C8. La chaîne a cumulé 7,6 millions d’euros d’amende en raison des dérapages de Baba, surnom de Cyril Hanouna.Sur ce total, 3,5 millions d’euros viennent d’une amende record pour des insultes lancées au député LFI Louis Boyard dans l’émission “Touche pas à mon poste” (TPMP) en novembre 2022. Jeudi, l’animateur a pour cela été condamné à 4.000 euros d’amende par le tribunal correctionnel de Paris.Pas de quoi entacher son enthousiasme visiblement. “Aujourd’hui, je suis vraiment de bonne humeur et je suis très heureux”, a-t-il assuré jeudi soir en introduction de son émission sur C8. “Je n’en veux même plus (…) à tous ceux qui ont pu prendre cette décision. Je suis zen. Et c’est pour ça qu’aujourd’hui, en guise d’amour et d’amitié, j’ai décidé d’allumer une bougie pour tous ces gens”, a-t-il expliqué, avant de sortir une bougie en forme de doigt d’honneur.Aujourd’hui, Hanouna a plus de quatre heures quotidiennes de direct: de 16H00 à 18H00 sur Europe 1, également dans l’univers Bolloré, puis de 18H45 à 21H15 sur C8.Et après le 28 février ? “Mon seul objectif est clair, c’est bien entendu continuer: on va faire une autre émission ou la même”, a-t-il assuré.Cela pourrait s’écrire loin du groupe Canal+, même si l’animateur clame son amitié indéfectible pour Vincent Bolloré. Des discussions sont en cours pour qu’il rejoigne le groupe M6.- “Joe Rogan français” -Origines juives tunisiennes, barbe et cheveux noir de jais, l’enfant des Lilas, près de Paris, a connu un parcours sinueux à la télé avant d’en devenir l’un des rois comme animateur et influent patron de la société de production H2O.En 2010, il lance TPMP sur le service public (France 4), puis explose en popularité après son transfert en 2012 sur D8, devenue C8. Energie et bagout inépuisables, Hanouna y dirige les débats d’une bande de chroniqueurs en amusant son public, qu’il appelle “mes chéris”.D’abord consacrée à l’univers des médias, TPMP a évolué vers les sujets de société clivants.Mercredi, en revendiquant une moyenne quotidienne de “deux millions et demi” de téléspectateurs, Hanouna a attribué le décollage d’audience de l’émission à son traitement des “gilets jaunes” en 2018.”A partir de fin 2022, il y a eu un gros changement, avec une orientation nettement politique marquée à l’extrême droite”, analyse pour l’AFP l’expert en communication Philippe Moreau Chevrolet.Il voit en Hanouna le “Joe Rogan français”, en référence à l’animateur américain d’un podcast conservateur à succès.Mercredi, l’extinction de C8 a été critiquée par des politiques de droite et d’extrême droite, de Laurent Wauquiez (LR) à Marine Le Pen (RN) en passant par Eric Ciotti (UDR).”Sa disparition du paysage audiovisuel (…) prive (la chaîne) d’un espace d’expression”, a déploré le ministre de l’Intérieur (LR), Bruno Retailleau.En juin, l’émission radio de Hanouna avait été épinglée par l’Arcom: son traitement des législatives avait été jugé “largement univoque”, avec une surreprésentation de l’extrême droite.- “Tout péter” -Face aux craintes suscitées en interne par l’hypothèse de l’arrivée de Cyril Hanouna, le groupe M6 soulignait fin janvier que les discussions portaient sur un “projet de divertissement” sans rien de “politique”.L’animateur, lui, se défend d’appartenir à un camp et met en avant son auditoire populaire: “A chaque fois qu’on a pris le parti du peuple, on a dérangé. Et on le prend pratiquement tout le temps”.”Il a du charisme, il est sympa et parle de sujets d’actualité qu’on ne voit pas ailleurs”, résume l’un de ses téléspectateurs, Yann Bienaimé, croisé par l’AFP dans le public de TPMP.Début février, le magazine Marianne a affirmé que Baba réfléchissait à se présenter à l’élection présidentielle de 2027. Une hypothèse reprise par d’autres médias, dont TF1 mercredi.”Le prochain président – j’ai jamais dit que j’allais me présenter ou pas – s’il fait pas tout péter, ce sera exactement pareil”, s’est borné à commenter l’intéressé dans TPMP, en identifiant “deux priorités: le pouvoir d’achat -remettre l’argent dans les poches des Français- et la sécurité”.Prémonitoire ? Fin 2020, Philippe Moreau Chevrolet scénarisait la BD “Le président”, qui imaginait un destin politique à Hanouna.Pour autant, le communicant doute que la réalité finisse par dépasser la fiction: “Il a tout à gagner comme supplétif, mais je ne suis pas convaincu qu’il soit un tueur politique.”

Comeback hero Shami says wicket-taking mindset alive

India’s pace spearhead Mohammed Shami on Thursday said he came into the Champions Trophy with an eye on taking regular wickets after he returned to international cricket from a career-threatening injury.Shami claimed impressive figures of 5-53 to set up India’s six-wicket win over Bangladesh in their opening match of the 50-over tournament in Dubai.The 34-year-old stepped up in the absence of fast bowler Jasprit Bumrah, who was forced to miss the event due to a back injury.Shami himself only returned to competitive cricket late last year after a string of injuries including ankle, heel and knee which delayed his recovery since his last match in the 2023 ODI World Cup final.Shami was India’s star bowler in the 50-over World Cup at home with 24 wickets in seven matches but the team lost the final to Australia in Ahmedabad.”It was difficult to get injured and go down from the form that you had in the World Cup,” Shami told reporters.”Those 14 months were very difficult as I had to repeat all the things and that pinches you and you feel the pain. But I got those domestic matches and four international games (against England) to get my confidence back.”On his performance in ICC tournaments, Shami said, “I always try, especially in ICC events, that even if I leak plenty of runs, I should at least get some wickets.”Shami has always been key for India in top tournaments and has snow surpassed former quick Zaheer Khan in ICC ODI tournaments as the leading bowler with 60 wickets. Zaheer took 59.Shami was missed in India’s recent 3-1 Test defeat in Australia as often Bumrah felt the absence of solid support form the other end.Shami said it was equally tough for him watching from the sidelines.”You always miss your bowling unit and the ones you’re usually with,” said Shami.”You always think ‘I wish I could contribute as well’. You always miss that when you’re injured then you can’t do anything apart from watching games, ball by ball.”Life, though, has come a full circle for Shami in Dubai, a city where he was trolled with ugly social media abuse after India lost to Pakistan in the 2021 T20 World Cup.Shami was attacked for being a Muslim and the then skipper Virat Kohli and many former players stood up for the veteran bowler.”Social media is such these days that it can lead to some unwanted things in your mind,” said Shami when asked about the incident.”I don’t like to think about such things. People will remind you about the poor performances and it will pinch you too but I feel as a cricketer and sportsman one shouldn’t look back too much and just stay in the present, and plan for the future.”India next take on arch-rivals Pakistan in a Sunday blockbuster.

Bond franchise shifts to Amazon as Broccoli family steps back

Amazon MGM Studios will take creative control of the James Bond franchise following a landmark joint venture agreement with longtime producers Michael Wilson and Barbara Broccoli, the parties announced Thursday.The deal is a major shift in the governance of one of cinema’s most valuable properties, though Wilson and Broccoli’s company will remain co-owners of the franchise through the new venture, a statement said.It also comes four years after the last Bond film, in which Daniel Craig’s secret agent bowed out, with fans left to speculate about who will replace him.Now with Amazon at the helm, the audience may not have to wait too long, with company founder Jeff Bezos taking to social media to solicit opinions.”Who’d you pick as the next Bond?” Bezos asked followers on X.The agreement coincides with the retirement of Wilson and Broccoli from active production of the Bond films. Wilson, whose career with 007 spans nearly 60 years, said he would focus on “art and charitable projects,” while Broccoli announced plans to pursue other ventures following the conclusion of “No Time to Die.””We are honoured to continue this treasured heritage,” said Mike Hopkins, head of Prime Video and Amazon MGM Studios, noting the franchise’s six-decade impact on filmed entertainment.The deal builds on Amazon’s 2022 acquisition of MGM, which included distribution rights to Bond’s extensive back catalog.The new arrangement gives Amazon MGM Studios creative authority over future productions of the franchise, which has been closely guarded by the Broccoli family since Albert “Cubby” Broccoli and Harry Saltzman first brought Ian Fleming’s character to theaters.Barbara Broccoli, who has worked with four different actors in the role of 007 — Roger Moore, Timothy Dalton, Pierce Brosnan, and Craig — described her tenure as “dedicated to maintaining and building upon the extraordinary legacy” inherited from Cubby, her producer father.The pair were steadfast in preserving the integrity of the James Bond character and brand and resisted spin-offs and licensing that they felt might have tarnished the franchise.The financial terms of the joint venture were not disclosed.”No Time to Die” — the 25th James Bond film — was released in 2021 and earned $775 million.There have been no announcements regarding the timeline for production of the next film or Craig’s replacement.

L’état clinique du pape en “légère amélioration” au 7e jour de son hospitalisation

L’état clinique du pape François “s’améliore légèrement”, a annoncé jeudi soir le Vatican au septième jour de l’hospitalisation du pontife de 88 ans, qui souffre d’une pneumonie.Dans la journée déjà, des cardinaux s’étaient montrés encourageants sur l’état de santé du pape argentin, assurant que ce dernier était “sur la bonne voie”.”L’état clinique du Saint-Père s’améliore légèrement. Il est apyrétique (sans fièvre, ndlr) et ses paramètres hémodynamiques restent stables”, a annoncé le Vatican dans un bulletin de santé en début de soirée.”Ce matin, il a reçu l’Eucharistie et s’est ensuite consacré à ses activités professionnelles”, ajoute-t-on de même source.Selon une source vaticane, ces dernières comprennent des contacts avec ses plus proches collaborateurs, la lecture et la signature de documents et des appels téléphoniques.”Nous sommes tous inquiets pour le pape, mais (…) le fait qu’il ait pris son petit déjeuner, lu les journaux et reçu des gens signifie que nous sommes sur la bonne voie vers une guérison complète”, a assuré le cardinal italien Matteo Zuppi, président de la conférence épiscopale italienne (CEI). – “De l’espoir” -François a été admis à l’hôpital Gemelli de Rome vendredi dernier pour une bronchite, mais le Saint-Siège a révélé mardi qu’il avait développé une pneumonie dans ses deux poumons, une infection du tissu pulmonaire potentiellement mortelle. “Bien sûr, il y a de l’inquiétude, c’est normal, c’est comme quelqu’un de la famille”, a pour sa part déclaré le cardinal français Jean-Marc Aveline en marge d’une conférence de presse à Rome.Mais le pape – qui n’a officiellement reçu aucun cardinal à l’hôpital – est “un combattant dans tous les domaines” et “quelqu’un qui prie beaucoup”, a ajouté l’archevêque de Marseille.Cette hospitalisation, la quatrième depuis 2021, suscite de vives inquiétudes alors que le pape a déjà été affaibli par une série de problèmes ces dernières années, allant d’opérations du côlon et de l’abdomen à des difficultés à marcher.Ces préoccupations sont renforcées par la diffusion de fausses informations sur les réseaux sociaux, notamment sur X, rapportant la mort du pape en plusieurs langues.”Quelle perte de temps”, a déploré le cardinal espagnol Juan José Omella, qui assure que le pape va “beaucoup mieux”. “L’important est de savoir comment il réagit aux médicaments. Mais je pense qu’il y a de l’espoir”, a-t-il affirmé aux journalistes.- Messages de soutien – Mercredi, François a reçu pendant 20 minutes la visite de la Première ministre italienne Giorgia Meloni qui a dit l’avoir “trouvé alerte et réactif” et avoir même “plaisanté” avec lui.Aucune indication n’a toutefois été fournie sur la durée de ce séjour et le Vatican n’a pas précisé si François, qui n’est plus apparu en public depuis le 14 février, pourrait présider dimanche la prière hebdomadaire de l’Angélus.L’hospitalisation du pape, à la fois leader spirituel de 1,3 milliard de catholiques et chef de l’Etat de la Cité du Vatican, a relancé les spéculations autour de sa capacité à assurer sa charge, alors que le droit canonique ne prévoit rien en cas de problème grave qui altèrerait sa lucidité.Selon François Mabille, chercheur à l’IRIS et directeur de l’Observatoire géopolitique du religieux, le Vatican se retrouve désormais dans “une sorte d’entre-deux”. “On a un pape qui est à la fois malade, souffrant, mais qui est vivant, qui peut parler. Il y a une incertitude qui fragilise le pape et le Saint-Siège, qui est de savoir ce que va devenir son état de santé”, a-t-il confié à l’AFP.Jeudi, sur une place Saint-Pierre ensoleillée, les groupes de fidèles poursuivaient leur pèlerinage à l’occasion du Jubilé 2025, “Année sainte” de l’Eglise catholique qui a lieu tous les 25 ans.”J’aime beaucoup ce pape, Padre Bergoglio, il m’est très cher, surtout parce qu’il se soucie des pauvres, et j’espère qu’il se rétablira très bientôt”, a confié à l’AFP Suzanna Munteanu, une Roumaine orthodoxe originaire de Bucarest.L’évêque de Rome a reçu de nombreux messages de sympathie du monde entier, de la part de responsables politiques et religieux en passant par des fidèles ou des dessins d’enfants.Malgré des alertes de santé à répétition ces dernières années, Jorge Bergoglio, connu pour sa force de caractère, a maintenu un rythme effréné, au grand dam de ses médecins qui ne cessent de lui répéter de ralentir la cadence.

L’état clinique du pape en “légère amélioration” au 7e jour de son hospitalisation

L’état clinique du pape François “s’améliore légèrement”, a annoncé jeudi soir le Vatican au septième jour de l’hospitalisation du pontife de 88 ans, qui souffre d’une pneumonie.Dans la journée déjà, des cardinaux s’étaient montrés encourageants sur l’état de santé du pape argentin, assurant que ce dernier était “sur la bonne voie”.”L’état clinique du Saint-Père s’améliore légèrement. Il est apyrétique (sans fièvre, ndlr) et ses paramètres hémodynamiques restent stables”, a annoncé le Vatican dans un bulletin de santé en début de soirée.”Ce matin, il a reçu l’Eucharistie et s’est ensuite consacré à ses activités professionnelles”, ajoute-t-on de même source.Selon une source vaticane, ces dernières comprennent des contacts avec ses plus proches collaborateurs, la lecture et la signature de documents et des appels téléphoniques.”Nous sommes tous inquiets pour le pape, mais (…) le fait qu’il ait pris son petit déjeuner, lu les journaux et reçu des gens signifie que nous sommes sur la bonne voie vers une guérison complète”, a assuré le cardinal italien Matteo Zuppi, président de la conférence épiscopale italienne (CEI). – “De l’espoir” -François a été admis à l’hôpital Gemelli de Rome vendredi dernier pour une bronchite, mais le Saint-Siège a révélé mardi qu’il avait développé une pneumonie dans ses deux poumons, une infection du tissu pulmonaire potentiellement mortelle. “Bien sûr, il y a de l’inquiétude, c’est normal, c’est comme quelqu’un de la famille”, a pour sa part déclaré le cardinal français Jean-Marc Aveline en marge d’une conférence de presse à Rome.Mais le pape – qui n’a officiellement reçu aucun cardinal à l’hôpital – est “un combattant dans tous les domaines” et “quelqu’un qui prie beaucoup”, a ajouté l’archevêque de Marseille.Cette hospitalisation, la quatrième depuis 2021, suscite de vives inquiétudes alors que le pape a déjà été affaibli par une série de problèmes ces dernières années, allant d’opérations du côlon et de l’abdomen à des difficultés à marcher.Ces préoccupations sont renforcées par la diffusion de fausses informations sur les réseaux sociaux, notamment sur X, rapportant la mort du pape en plusieurs langues.”Quelle perte de temps”, a déploré le cardinal espagnol Juan José Omella, qui assure que le pape va “beaucoup mieux”. “L’important est de savoir comment il réagit aux médicaments. Mais je pense qu’il y a de l’espoir”, a-t-il affirmé aux journalistes.- Messages de soutien – Mercredi, François a reçu pendant 20 minutes la visite de la Première ministre italienne Giorgia Meloni qui a dit l’avoir “trouvé alerte et réactif” et avoir même “plaisanté” avec lui.Aucune indication n’a toutefois été fournie sur la durée de ce séjour et le Vatican n’a pas précisé si François, qui n’est plus apparu en public depuis le 14 février, pourrait présider dimanche la prière hebdomadaire de l’Angélus.L’hospitalisation du pape, à la fois leader spirituel de 1,3 milliard de catholiques et chef de l’Etat de la Cité du Vatican, a relancé les spéculations autour de sa capacité à assurer sa charge, alors que le droit canonique ne prévoit rien en cas de problème grave qui altèrerait sa lucidité.Selon François Mabille, chercheur à l’IRIS et directeur de l’Observatoire géopolitique du religieux, le Vatican se retrouve désormais dans “une sorte d’entre-deux”. “On a un pape qui est à la fois malade, souffrant, mais qui est vivant, qui peut parler. Il y a une incertitude qui fragilise le pape et le Saint-Siège, qui est de savoir ce que va devenir son état de santé”, a-t-il confié à l’AFP.Jeudi, sur une place Saint-Pierre ensoleillée, les groupes de fidèles poursuivaient leur pèlerinage à l’occasion du Jubilé 2025, “Année sainte” de l’Eglise catholique qui a lieu tous les 25 ans.”J’aime beaucoup ce pape, Padre Bergoglio, il m’est très cher, surtout parce qu’il se soucie des pauvres, et j’espère qu’il se rétablira très bientôt”, a confié à l’AFP Suzanna Munteanu, une Roumaine orthodoxe originaire de Bucarest.L’évêque de Rome a reçu de nombreux messages de sympathie du monde entier, de la part de responsables politiques et religieux en passant par des fidèles ou des dessins d’enfants.Malgré des alertes de santé à répétition ces dernières années, Jorge Bergoglio, connu pour sa force de caractère, a maintenu un rythme effréné, au grand dam de ses médecins qui ne cessent de lui répéter de ralentir la cadence.

Zelensky calls for strong US ties after Trump brands him a ‘dictator’

Volodymyr Zelensky called for “strong” ties with Washington on Thursday, as he met US envoy Keith Kellogg in Kyiv a day after Donald Trump branded the Ukrainian leader a “dictator.” Tensions between Zelensky and Trump over the US President’s outreach to Moscow have exploded this week in a series of escalating barbs traded in press conferences and on social media.The United States is Ukraine’s most important financial and military backer, but the US president has rattled Kyiv and its European backers by opening talks with Moscow they fear could end the war on terms that reward Vladimir Putin.The spat has turned personal with Trump falsely stating Zelensky is hugely unpopular among his own people and the Ukrainian leader in turn saying Trump had succumbed to Russian “disinformation”.Amid the war of words, Zelensky said Thursday he had held a “productive meeting” with Kellogg.”We had a detailed conversation about the battlefield situation, how to return our prisoners of war, and effective security guarantees,” Zelensky said on social media after the meeting.”Strong Ukraine-U.S. relations benefit the entire world,” he added.However, there was no joint press conference or statements after the discussions, as would typically be expected be for a visiting foreign envoy.- ‘Unacceptable’ -In the United States, some of Trump’s team doubled down on their attacks on Zelensky.In a post on his X social media site, Elon Musk said Zelensky was “despised by the people of Ukraine.”Trump’s National Security Advisor Mike Waltz told Fox News that Kyiv’s criticism of the US president was “unacceptable” and urged Zelensky to sign a deal giving preferential access to Ukraine’s critical minerals and natural resources.”We’re getting all this pushback… they need to tone it down and take a hard look and sign that deal,” he said.Trump is calling for Kyiv to hand over access to its mineral wealth as compensation for tens of billions of dollars in US aid delivered under his predecessor Joe Biden.Zelensky rejected a deal proposed by Trump as it did not include “security guarantees” — Kyiv’s key demand from its Western backers in any agreement with Russia to halt the fighting.The feud marks a dramatic reversal from US policy under Biden, who lauded Zelensky as a hero, shipped vast supplies of arms to Kyiv and hammered Moscow with sanctions.Trump has instead criticised Zelensky and blamed him for starting the war that began with Russia’s full-scale invasion three years ago.”A Dictator without Elections, Zelensky better move fast or he is not going to have a Country left,” he wrote on his Truth Social platform on Wednesday.Zelensky was elected in 2019 for a five-year term and has remained leader in line with Ukrainian rules under martial law, imposed as his country fights for its survival.While Zelensky’s popularity has fallen, the percentage of Ukrainians who trust him has never dipped below 50 percent since the conflict started, according to the Kyiv International Institute of Sociology (KIIS).- Shock at Trump attack -Trump’s invective drew shock reactions from Europe.German Chancellor Olaf Scholz said it was “wrong and dangerous” to call Zelensky a dictator.The White House said France’s Emmanuel Macron and Britain’s Keir Starmer will visit Trump next week after European leaders held emergency summits in recent days over how to deal with Trump’s threats to overhaul decades of transatlantic security ties.The Kremlin, buoyed by its rapprochement with Washington, has hailed Trump’s comments.Russia, which for years has railed against the US military presence in Europe, wants a reorganisation of the continent’s security framework as part of any deal to end the Ukraine fighting.Putin said Wednesday that US allies “only have themselves to blame for what’s happening,” suggesting they were paying the price for opposing Trump’s return to the White House.Neither Kyiv nor Europe were invited to high-level talks between Russia and US’s top diplomats in Saudi Arabia earlier this week, deepening fears they are being sidelined.burs-jc/oc/gv