Le procès de la reine des paparazzi de Mimi Marchand s’est ouvert, avec un coup d’éclat de Piotr Pavlenski
Le procès de la papesse de la presse people Mimi Marchand, soupçonnée d’avoir fait chanter l’animatrice Karine Le Marchand, s’est ouvert lundi devant le tribunal correctionnel de Paris avec un coup d’éclat de l’artiste russe Piotr Pavlenski, aussitôt expulsé de la salle d’audience.Piotr Pavlenksi, concerné par un autre volet du dossier, était arrivé devant la salle d’audience en short noir et claquettes en plastique, bracelet électronique bien apparent à la cheville.Alors que la présidente venait de déclarer l’audience ouverte, il s’est levé, au milieu du public.”Mesdames et Monsieur, je dois vous dire une chose”, a lancé l’homme au crâne rasé et visage émacié. “Mimi Marchand doit être complétement relaxée il n’y a pas de préjudice, pas d’infraction dans cette affaire qui concerne du porno politique”, a-t-il lancé pendant que le tribunal ainsi que plusieurs policiers lui ordonnaient de se taire.Ils ont fini par l’attraper par les bras et le traîner hors de de la salle, sous les yeux de son ex-compagne Alexandrea de Taddeo et de Karine Le Marchand sur le banc des parties civiles, et Mimi Marchand du côté des prévenus.A l’extérieur de la salle, des journalistes de l’AFP l’ont vu être plaqué au sol par quatre policiers, puis embarqué.Une scène qui ressemble étrangement à celle qui lui vaut d’être venu ici: dans un volet annexe à celui qui concerne Karine Le Marchand, un paparazzo et des policiers sont jugés parce qu’une photo de lui, plaqué au sol, menotté dans le dos par des policiers, avait fait la Une de Paris Match en février 2020. Dans ce volet, Mimi Marchand avait finalement bénéficié d’un non lieu.C’est par cette affaire que commence le tribunal. Celle concernant Karine Le Marchand et Mimi Marchand sera examinée mardi.Veste noire, courts cheveux cendrés, Mimi Marchand, 78 ans, a quitté la salle rapidement après y avoir été autorisée par la présidente, et reviendra mardi.La communicante de l’ombre pour des stars comme des politiques est jugée pour extorsion, accusée d’avoir fait chanter l’animatrice de “L’amour est dans le pré”.- “Merci Mimi” -L’affaire débute en février 2020, avec le dépôt de plainte de la présentatrice de M6 à l’IGPN, la police des polices.Sa fille, mineure, a été photographiée quelques jours plus tôt, sortant de garde à vue pour acquisition de cannabis. Elle l’a appris grâce à une “source” qui a pu “bloquer” la publication des photos contre rémunération. Mais l’animatrice en est convaincue, les paparazzi ont forcément été informés par des policiers. Elle porte plainte.Elle ne le dit pas encore mais cette source, c’est Mimi Marchand. Elles s’étaient rencontrées en 2016, quand Mimi Marchand avait joué l’intermédiaire pour tenter de convaincre Emmanuel Macron de participer à “Une ambition intime”, l’émission politique de Karine Le Marchand. Après la garde à vue, Mimi Marchand prévient l’animatrice qu’un “jeune photographe” inconnu est venu à son agence Bestimage avec les photos: “Je l’ai pourri, je lui ai dit que c’était débile parce que ta fille était mineure et tu es même pas sur la photo, c’est invendable”, assure-t-elle, disant avoir récupéré les images contre 3.000 euros. “Merci Mimi, je te le revaudrai. Déjà je te dois des sous. Ma fille, c’est ma princesse”, écrit l’animatrice. Un déjeuner est rapidement organisé, Karine Le Marchand “rembourse” la moitié environ et promet de compléter rapidement. Le temps passe. Mimi Marchand prend des nouvelles pendant l’été.Karine Le Marchand: “Comment vas-tu ? Je te dois des sous, je n’oublie pas”.Un an plus tard, l’animatrice rappelle l’IGPN. Elle est “harcelée” par Mimi Marchand qui n’arrête pas de lui demander de la rappeler. L’animatrice dit qu’elle est trop occupée en ce moment et Mimi Marchand écrit: “Ce sera trop tard… c’est dommage pour la petite”. La justice la soupçonne d’avoir œuvré à récupérer les photos pour exercer ce chantage. Elle avaient été prises non pas par un jeune photographe mais par le célèbre paparazzo Sébastien Valiela (lui aussi jugé).Mimi Marchand est par ailleurs mise en examen dans le dossier sur la rétractation, possiblement monnayée, de l’intermédiaire Ziad Takieddine concernant ses accusations de financement libyen contre Nicolas Sarkozy.
Autriche: accusé de faux témoignage, l’ex-chancelier Kurz relaxé en appel
L’ancien chancelier conservateur autrichien Sebastian Kurz a été relaxé lundi par la Cour d’appel de Vienne devant laquelle il contestait sa condamnation à huit mois de prison avec sursis pour faux témoignage devant une commission parlementaire.”La relaxe est intervenue car l’élément objectif du délit de faux témoignage n’était pas rempli”, M. Kurz ayant “répondu à la question des députés correctement et complètement”, a expliqué le tribunal.”Dans sa réponse, aucun fait important n’a été caché”, a-t-il ajouté dans un communiqué publié après la décision.Sebastian Kurz, ex-prodige de la politique autrichienne ayant accédé au pouvoir à 31 ans en 2017 avant de démissionner en 2021, avait été reconnu coupable l’an dernier d’avoir menti devant des députés sur son rôle dans la nomination d’un proche à la tête d’une société publique. S’il affirmait n’avoir eu aucun rôle décisionnaire, la justice avait estimé en première instance avoir la preuve du contraire. Sa condamnation était une première en Autriche pour un ancien chancelier depuis plus de 30 ans.Désormais retiré de la politique, il avait rejeté les conclusions du tribunal, accusant la justice de partialité, ce qu’a nié la chambre lundi, disant n’avoir constaté aucun “préjugé” du premier magistrat.”Je n’avais absolument pas l’intention de faire une fausse déclaration”, s’est défendu lundi à la barre l’ex-chancelier, âgé aujourd’hui de 38 ans, avant d’exprimer son soulagement. Disant avoir été confronté à des accusations durant des années, il s’est félicité que “tout ça se soit écroulé tout seul”.- “Les mains libres” -Selon son avocat Otto Dietrich, la justice n’avait pas en première instance “correctement examiné des éléments essentiels”. Une peine de prison avec sursis de six mois a en revanche été confirmée à l’encontre de son ancien chef de cabinet Bernhard Bonelli. Il était également poursuivi pour faux témoignage.Le jugement est définitif.”Il s’est avéré, après une très longue procédure, que les accusations étaient injustifiées. Je me réjouis pour Sebastian Kurz”, a réagi le chancelier Christian Stocker, qui appartient à la même famille politique.Sebastian Kurz pourrait s’appuyer sur cette relaxe pour préparer “un éventuel retour dans le futur”, a estimé auprès de l’AFP le politologue Thomas Hofer. Il a “les mains libres” et ressort “moralement blanchi” jusqu’à nouvel ordre du tribunal.L’ancien chef du gouvernement n’en a cependant pas fini avec la justice.- Cercles proches de Trump -Dans une autre enquête du parquet, toujours en cours, il est soupçonné d’avoir détourné des fonds publics pour commander des enquêtes d’opinions truquées et s’assurer une couverture médiatique favorable dans des tabloïds. Ces affaires découlent du scandale de “l’Ibizagate” qui avait secoué l’Autriche en 2019. Une vidéo réalisée en caméra cachée sur l’île espagnole d’Ibiza à l’occasion de vacances de responsables autrichiens avait révélé des pratiques potentiellement douteuses dans la classe politique.Des révélations qui avaient conduit Sebastian Kurz à la démission à l’automne 2021. Il a depuis rejoint le secteur privé, et collabore avec des cercles proches du président américain Donald Trump. En 2023, il a aussi lancé une entreprise de cybersécurité avec l’ancien chef du groupe israélien NSO, qui fabrique le logiciel espion Pegasus.Il continue de prendre parfois publiquement position sur des sujets politiques.En 2017, il était devenu à 31 ans le plus jeune dirigeant élu de la planète.
African players in Europe: Salah rescues Reds after special seasonMon, 26 May 2025 12:49:32 GMT
Mohamed Salah completed a memorable season by scoring to salvage a 1-1 Premier League draw for champions Liverpool against Crystal Palace in the final round at the weekend.It was the 29th goal of the season for the Premier League Golden Boot winner and the 32-year-old Egypt captain also claimed 18 assists.Apart from a record-equalling fourth …
Contre les pucerons de la betterave, pas de pesticides: Agriodor parfume les champs
“Toute la différence avec les pesticides, c’est que les odeurs, ça ne tue pas”: dans son laboratoire de Rennes, Ené Leppik, cofondatrice de la jeune pousse française Agriodor, invente avec son équipe des parfums qui chassent les insectes ravageurs des cultures.En trois ans, l’entreprise a mis au point un produit de biocontrôle baptisé Insior qui donne des résultats très prometteurs contre le puceron vert, vecteur de la jaunisse de la betterave sucrière qui peut entraîner jusqu’à 30% de perte de récolte.Dans les champs traités, “les populations de pucerons sont réduites de moitié: ils sont perturbés, ils s’alimentent moins et se reproduisent moins (…), on a cassé la reproduction exponentielle dans la parcelle”, explique la chercheuse, directrice scientifique d’Agriodor.L’équipe, qui regroupe éthologues, entomologistes, agronomes et chimistes, a élaboré une “stratégie olfactive”: étudier le comportement du puceron vert pour déterminer les odeurs qu’il n’aime pas, avant de fabriquer le cocktail qui le fera fuir.- “Vin chaud” -Mais comment capturer une odeur ? Tout se passe au laboratoire analytique d’Agriodor à Rennes. Les plantes émettent des odeurs “à l’état de traces”. Pour les prélever, la technicienne Marie Gresle crée un espace fermé autour de la plante: une sorte de petite cage entourée de plastique transparent.L’air de la cage est pompé et dirigé sur une cartouche de résine, où les odeurs vont se fixer. Un solvant permet de les récupérer et de les analyser, notamment à l’aide d’un spectromètre de masse.C’est là que les effluves se transforment en chiffres. On peut identifier et quantifier les molécules composant les odeurs: “L’idée est de déterminer combien de molécules dans un certain volume d’air créent un comportement de fuite chez l’insecte”, explique Ené Leppik.Pour tester ses découvertes, Agriodor élève pucerons verts, mouches et autres ravageurs des cultures. Des travaux ont ainsi été lancés sur la Drosophila suzukii, qui s’attaque aux cerises, ou sur les thrips, présentes sur les cultures maraichères et tropicales. Diverses expériences permettent d’étudier leur appétence ou dégoût pour chacune des molécules.Le répulsif Insior qui éloigne Myzus persicae, le puceron de la betterave, est un concentré de différentes molécules synthétisées dans de minis granulés, à épandre à raison de quatre kilogrammes par hectare.La recette, secrète, contient des molécules olfactives présentes dans plus de 30 plantes communes, dont le romarin. Cela sent le clou de girofle, un agriculteur y reconnaît “l’odeur du vin chaud”.Autorisé en 2024 par dérogation sur 500 hectares, essentiellement en France mais aussi au Royaume-Uni et en Allemagne, ce répulsif est distribué depuis quelques mois par Syngenta: le géant mondial des pesticides, qui cherche à élargir sa palette de produits de biocontrôle, vante “l’approche innovante” d’Agriodor.L’enjeu est de taille pour les cultures industrielles: la France est deuxième producteur européen de sucre de betterave, derrière l’Allemagne, et exporte annuellement environ 2,4 millions de tonnes de sucre, soit près de la moitié de sa production.C’est notamment pour préserver cette filière sucrière que certains syndicats agricoles réclament la réautorisation en France d’un insecticide néonicotinoïde, très toxique pour les pollinisateurs. Cette réintroduction est prévue par une proposition de loi qui arrive lundi à l’Assemblée nationale.- “Approche holistique” -Mais pour l’agriculteur Benoit Ambeza, qui teste Insior dans ses champs de betteraves du Pas-de-Calais, il n’est pas question de “revenir en arrière”. “Il faut trouver des alternatives (aux néonicotinoïdes, NDLR) moins agressives pour la plante et plus acceptables pour le consommateur et pour nous (…), on met notre santé en jeu aussi”, affirme-t-il à l’AFP.Il utilise Insior “en préventif”: en piquant la plante pour se nourrir de sève, l’insecte perturbe la photosynthèse et donc la production de sucre. Le plant est sensible lorsqu’il développe ses premières feuilles. Mais au-delà de 12 feuilles, la culture est “assez forte” pour supporter l’assaut.Ce produit est-il une alternative aux pesticides conventionnels ? “C’est une solution de biocontrôle. On ne peut pas remplacer une solution qui tue 99% ou 100% des insectes”, répond Ené Leppik.”Le problème, c’est que (les néonicotinoïdes) tuent aussi les prédateurs du puceron. Avec notre solution olfactive, on empêche ou on retarde l’invasion des pucerons et cela donne le temps à ses prédateurs naturels, comme la coccinelle ou les syrphes, d’arriver”, explique-elle, défendant une “approche holistique”.
Contre les pucerons de la betterave, pas de pesticides: Agriodor parfume les champs
“Toute la différence avec les pesticides, c’est que les odeurs, ça ne tue pas”: dans son laboratoire de Rennes, Ené Leppik, cofondatrice de la jeune pousse française Agriodor, invente avec son équipe des parfums qui chassent les insectes ravageurs des cultures.En trois ans, l’entreprise a mis au point un produit de biocontrôle baptisé Insior qui donne des résultats très prometteurs contre le puceron vert, vecteur de la jaunisse de la betterave sucrière qui peut entraîner jusqu’à 30% de perte de récolte.Dans les champs traités, “les populations de pucerons sont réduites de moitié: ils sont perturbés, ils s’alimentent moins et se reproduisent moins (…), on a cassé la reproduction exponentielle dans la parcelle”, explique la chercheuse, directrice scientifique d’Agriodor.L’équipe, qui regroupe éthologues, entomologistes, agronomes et chimistes, a élaboré une “stratégie olfactive”: étudier le comportement du puceron vert pour déterminer les odeurs qu’il n’aime pas, avant de fabriquer le cocktail qui le fera fuir.- “Vin chaud” -Mais comment capturer une odeur ? Tout se passe au laboratoire analytique d’Agriodor à Rennes. Les plantes émettent des odeurs “à l’état de traces”. Pour les prélever, la technicienne Marie Gresle crée un espace fermé autour de la plante: une sorte de petite cage entourée de plastique transparent.L’air de la cage est pompé et dirigé sur une cartouche de résine, où les odeurs vont se fixer. Un solvant permet de les récupérer et de les analyser, notamment à l’aide d’un spectromètre de masse.C’est là que les effluves se transforment en chiffres. On peut identifier et quantifier les molécules composant les odeurs: “L’idée est de déterminer combien de molécules dans un certain volume d’air créent un comportement de fuite chez l’insecte”, explique Ené Leppik.Pour tester ses découvertes, Agriodor élève pucerons verts, mouches et autres ravageurs des cultures. Des travaux ont ainsi été lancés sur la Drosophila suzukii, qui s’attaque aux cerises, ou sur les thrips, présentes sur les cultures maraichères et tropicales. Diverses expériences permettent d’étudier leur appétence ou dégoût pour chacune des molécules.Le répulsif Insior qui éloigne Myzus persicae, le puceron de la betterave, est un concentré de différentes molécules synthétisées dans de minis granulés, à épandre à raison de quatre kilogrammes par hectare.La recette, secrète, contient des molécules olfactives présentes dans plus de 30 plantes communes, dont le romarin. Cela sent le clou de girofle, un agriculteur y reconnaît “l’odeur du vin chaud”.Autorisé en 2024 par dérogation sur 500 hectares, essentiellement en France mais aussi au Royaume-Uni et en Allemagne, ce répulsif est distribué depuis quelques mois par Syngenta: le géant mondial des pesticides, qui cherche à élargir sa palette de produits de biocontrôle, vante “l’approche innovante” d’Agriodor.L’enjeu est de taille pour les cultures industrielles: la France est deuxième producteur européen de sucre de betterave, derrière l’Allemagne, et exporte annuellement environ 2,4 millions de tonnes de sucre, soit près de la moitié de sa production.C’est notamment pour préserver cette filière sucrière que certains syndicats agricoles réclament la réautorisation en France d’un insecticide néonicotinoïde, très toxique pour les pollinisateurs. Cette réintroduction est prévue par une proposition de loi qui arrive lundi à l’Assemblée nationale.- “Approche holistique” -Mais pour l’agriculteur Benoit Ambeza, qui teste Insior dans ses champs de betteraves du Pas-de-Calais, il n’est pas question de “revenir en arrière”. “Il faut trouver des alternatives (aux néonicotinoïdes, NDLR) moins agressives pour la plante et plus acceptables pour le consommateur et pour nous (…), on met notre santé en jeu aussi”, affirme-t-il à l’AFP.Il utilise Insior “en préventif”: en piquant la plante pour se nourrir de sève, l’insecte perturbe la photosynthèse et donc la production de sucre. Le plant est sensible lorsqu’il développe ses premières feuilles. Mais au-delà de 12 feuilles, la culture est “assez forte” pour supporter l’assaut.Ce produit est-il une alternative aux pesticides conventionnels ? “C’est une solution de biocontrôle. On ne peut pas remplacer une solution qui tue 99% ou 100% des insectes”, répond Ené Leppik.”Le problème, c’est que (les néonicotinoïdes) tuent aussi les prédateurs du puceron. Avec notre solution olfactive, on empêche ou on retarde l’invasion des pucerons et cela donne le temps à ses prédateurs naturels, comme la coccinelle ou les syrphes, d’arriver”, explique-elle, défendant une “approche holistique”.
Taxes douanières américaines: Macron se dit “confiant”, espère un retour aux “tarifs les plus bas possibles”
Le président Emmanuel Macron s’est dit lundi “confiant” au sujet des discussions commerciales entre l’Union européenne et les Etats-Unis, après que son homologue américain Donald Trump a annoncé la prolongation jusqu’au 9 juillet de la pause dans les droits de douane visant l’UE.”Je suis confiant”, a déclaré aux journalistes le dirigeant français, depuis la capitale du Vietnam, Hanoï. “Les discussions avancent bien, il y a eu un bon échange entre le président Trump et la présidente Von der Leyen, et je souhaite qu’on puisse poursuivre sur ce chemin, qui doit nous conduire à revenir à des tarifs les plus bas possibles”, a-t-il développé.”Nous pensons que les déséquilibres commerciaux, quand ils existent, ne se règlent pas par des tarifs”, a-t-il dit. Donald Trump a affirmé vendredi qu’il ne “cherchait pas d’accord” commercial avec l’Union européenne et a menacé d’imposer des droits de douane de 50% sur les importations en provenance des Vingt-Sept dès le 1er juin.La Commission européenne, qui négocie les accords commerciaux au nom de l’UE, avait aussitôt réagi en réclamant du respect de la part de Washington.La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a annoncé dimanche avoir eu un “bon appel” avec Donald Trump, qui a confirmé dans la foulée une suspension jusqu’au 9 juillet des tarifs visant l’UE.Le Vietnam est également dans le collimateur de l’administration Trump, qui menace d’imposer une surtaxe de 46% sur ses exportations vietnamiennes à destination du marché américain, si un accord n’est pas trouvé dans les prochaines semaines.
Taxes douanières américaines: Macron se dit “confiant”, espère un retour aux “tarifs les plus bas possibles”
Le président Emmanuel Macron s’est dit lundi “confiant” au sujet des discussions commerciales entre l’Union européenne et les Etats-Unis, après que son homologue américain Donald Trump a annoncé la prolongation jusqu’au 9 juillet de la pause dans les droits de douane visant l’UE.”Je suis confiant”, a déclaré aux journalistes le dirigeant français, depuis la capitale du Vietnam, Hanoï. “Les discussions avancent bien, il y a eu un bon échange entre le président Trump et la présidente Von der Leyen, et je souhaite qu’on puisse poursuivre sur ce chemin, qui doit nous conduire à revenir à des tarifs les plus bas possibles”, a-t-il développé.”Nous pensons que les déséquilibres commerciaux, quand ils existent, ne se règlent pas par des tarifs”, a-t-il dit. Donald Trump a affirmé vendredi qu’il ne “cherchait pas d’accord” commercial avec l’Union européenne et a menacé d’imposer des droits de douane de 50% sur les importations en provenance des Vingt-Sept dès le 1er juin.La Commission européenne, qui négocie les accords commerciaux au nom de l’UE, avait aussitôt réagi en réclamant du respect de la part de Washington.La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a annoncé dimanche avoir eu un “bon appel” avec Donald Trump, qui a confirmé dans la foulée une suspension jusqu’au 9 juillet des tarifs visant l’UE.Le Vietnam est également dans le collimateur de l’administration Trump, qui menace d’imposer une surtaxe de 46% sur ses exportations vietnamiennes à destination du marché américain, si un accord n’est pas trouvé dans les prochaines semaines.
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