Militants struggle to hold back crowds during chaotic Gaza hostage handover

Islamic Jihad and Hamas fighters struggled to hold back a crowd of hundreds in a chaotic handover of two Israeli and five Thai hostages in Khan Yunis in southern Gaza on Thursday.Spectators surged forwards, some trying to take pictures, as 80-year-old Gadi Moses and 29-year-old Arbel Yehud, both Israeli-German, were transferred to Red Cross vehicles along with five Thai hostages. In images broadcast briefly before Yehud’s family asked for them not to be shown, masked fighters wearing body armour and carrying automatic weapons were seen struggling to clear a path through the crowd for her.Wearing an overcoat and a pink hoodie, she was visibly distressed among the sea of people. She was later seen in a Red Cross vehicle along with Moses.The Israeli prime minister’s office named the five Thais released as Watchara Sriaoun, Pongsak Tanna, Sathian Suwannakham, Surasak Lamnau and Bannawat Saethao.Prime Minister Benjamin Netanyahu slammed what he described as the “shocking scenes” during the handover.”This is yet another proof of the unimaginable cruelty of the Hamas terrorist organisation,” Netanyahu said in a statement.”Whoever dares to harm our hostages will pay the price.”Later, the Israeli military released images of Moses’s emotional reunion with his family at a reception centre in southern Israel.In footage, he is seen being embraced by his three children on all sides, their faces breaking into tearful smiles. Hundreds of Palestinians had gathered in Khan Yunis in southern Gaza near the childhood home of slain Hamas leader Yahya Sinwar on Thursday in anticipation of the hostages being released.Curious onlookers clambered over smashed concrete on the upper floors of buildings, devastated in more than 15 months of war with Israel in Gaza, hoping to catch a glimpse of Moses and Yehud.”We came to witness these historic moments of handing over the prisoners. We feel proud of the resistance — they preserved the lives of the prisoners throughout the days of the occupation’s war of extermination,” Mohammed Al-Astal, 32, told AFP.”The resistance’s choice of the home of the martyred leader Yahya Sinwar for the handover encouraged thousands of citizens to participate and celebrate the ceremony. Everyone is eager for moments of joy,” he added.Hamas and Islamic Jihad sources said that more than 100 Islamic Jihad fighters were deployed to Khan Yunis for the exchange.- Certificate and gift bag -Earlier, Israeli soldier Agam Berger was freed amid the gutted buildings of Jabalia in northern Gaza in a more organised handover. Wearing green, military-style fatigues, she was handed over to the International Committee of the Red Cross after being led briefly onto a makeshift stage flanked by Hamas fighters, only their eyes visible through their masks.The 20-year-old, who was handed a gift bag and a golden-framed certificate to mark the end of her ordeal, kept a steady gaze on the platform, breaking it only when she was urged by a Hamas cameraman to wave to the crowd.She complied without enthusiasm.In Tel Aviv, crowds shouted with joy as Berger’s release was broadcast.At Bellinson Hospital in central Israel, former hostages Liri Albag, Naama Levy, Daniella Gilboa and Karina Ariev, who were released last week, celebrated their friend’s release.Dozens of fighters from Hamas’s Ezzedine Al-Qassam Brigades brandishing assault rifles and conspicuous in their bright-green headbands climbed into pickups as they escorted the Red Cross vehicles out of Jabalia refugee camp.Hamas put on a display of strength in the north of the Palestinian territory, which sustained huge damage during an Israeli operation that continued right up to the eve of the January 19 ceasefire.Fighters stood guard on mounds of sand piled high by Israeli bulldozers and surrounded by gutted buildings.On the concrete skeleton of one building, its top floors pancaked by strikes, a huge Palestinian flag had been draped down five floors.

Ligue des champions: nouveau format, nouveaux frissons

Des affiches à la pelle, des buts et du suspense jusqu’au bout: la nouvelle formule de la Ligue des champions, dont la première phase s’est conclue mercredi, a tenu les promesses de ses concepteurs, en dépit de critiques sur sa complexité et l’accumulation des matches.Le scepticisme était général avant le début de saison, à propos des changements majeurs apportés par l’UEFA à sa compétition inter-clubs phare. En introduisant une poule unique à 36 équipes, avec au menu pour chaque formation huit rencontres contre autant d’adversaires différents, l’instance européenne a cassé les codes et totalement bouleversé les habitudes des principaux acteurs (joueurs, entraîneurs) mais aussi des fans.Dans son souci de damer le pion à la Superligue, l’UEFA a multiplié les confrontations entre grosses cylindrées tout en maintenant l’incertitude le plus longtemps possible, puisque seuls les 8 premiers se sont qualifiés directement pour les 8e de finale (Liverpool, FC Barcelone, Arsenal, Inter Milan, Atlético Madrid, Bayer Leverkusen, Lille, Aston Villa), les clubs classés de la 9e à la 24e place devant disputer des barrages. Résultat: seules deux équipes avaient composté leur ticket pour le prochain tour avant la dernière journée, ce qui a offert une soirée assez folle mercredi avec 18 rencontres disputées au même moment et des enjeux dans quasiment tous les stades. De quoi booster les attaques puisque 64 buts ont été inscrits, soit plus de 3,5 par match en moyenne. – “Un format imprévisible” -Illustration du caractère imprévisible de cette Ligue des champions “new look”: joueurs et membres du staff de Bruges sont restés une dizaine de minutes sur la pelouse de l’Etihad Stadium après leur défaite contre Manchester City (3-1), téléphone à la main, pour attendre la fin des autres parties, avant d’exploser de joie et de célébrer leur 24e position, synonyme de barrage, avec leurs supporters.”Les changements respectent notre engagement d’offrir une plus grande équité et une plus grande variété d’adversaires, une compétition plus dynamique, un meilleur équilibre, de l’incertitude et des matches avec un intérêt sportif, ainsi que davantage d’affrontements entre les meilleures équipes”, s’est félicitée l’UEFA.”Tous les matches disputés en une seule soirée ont créé de l’excitation”, a témoigné Andy Robertson, défenseur de Liverpool.Même son de cloche de la part de l’entraîneur du Feyenoord Rotterdam. “J’étais un peu sceptique, mais je dois admettre que c’est un format incroyable, vraiment imprévisible”, a déclaré Brian Priske.L’enchaînement des rencontres rend toutefois la tâche “plus compliquée”, selon Simone Inzaghi, le coach de l’Inter Milan. “Avant tu devais te préparer à seulement affronter trois équipes en phase de groupes, c’était plus simple. L’équipe trouve ce format peut-être plus amusant, mais en même temps plus stressant. Il y a plus de spectacle, mais cela demande plus d’efforts.”    – “Trop de matches” -Même le syndicat des joueurs, au départ très critique et qui a fait de la question des cadences infernales son cheval de bataille, semble finalement plutôt conquis.”On n’était pas favorables puisque cette nouvelle formule ajoutait encore des dates à un calendrier dont on ne cesse de dire qu’il est surchargé. Mais sur le plan strictement sportif, oui elle est très positive. Il y a eu du spectacle, du suspense et elle a rempli son cahier des charges en permettant à des clubs moyens de se qualifier pour les barrages”, a indiqué à l’AFP David Terrier, le président de l’Union nationale des footballeurs professionnels (UNFP).   Du côté des diffuseurs, les chiffres parlent d’eux-mêmes. En France, la soirée de mercredi a attiré 2,28 millions de téléspectateurs sur Canal+, son record cette saison. La chaîne cryptée peut d’autant plus se frotter les mains que, en attendant les 8e de finale (4-5 et 11-12 mars), les barrages (11-12 février, 18-19 février) risquent d’offrir un énorme choc entre Manchester City et le Real Madrid ou le Bayern Munich, et qu’une confrontation franco-française mettra aux prises le PSG à Monaco ou Brest.Si critiques négatives il y a, elles portent essentiellement sur l’encombrement du calendrier. “Le nouveau format ne me plaît pas. Il y a trop de matches. Mon idée du football c’est que nous devons en réduire le nombre pour diminuer l’impact sur les joueurs”, a estimé Carlo Ancelotti, l’entraîneur du Real dont le président, Florentino Perez, n’est autre que le principal promoteur… de la Superligue. 

Ligue des champions: nouveau format, nouveaux frissons

Des affiches à la pelle, des buts et du suspense jusqu’au bout: la nouvelle formule de la Ligue des champions, dont la première phase s’est conclue mercredi, a tenu les promesses de ses concepteurs, en dépit de critiques sur sa complexité et l’accumulation des matches.Le scepticisme était général avant le début de saison, à propos des changements majeurs apportés par l’UEFA à sa compétition inter-clubs phare. En introduisant une poule unique à 36 équipes, avec au menu pour chaque formation huit rencontres contre autant d’adversaires différents, l’instance européenne a cassé les codes et totalement bouleversé les habitudes des principaux acteurs (joueurs, entraîneurs) mais aussi des fans.Dans son souci de damer le pion à la Superligue, l’UEFA a multiplié les confrontations entre grosses cylindrées tout en maintenant l’incertitude le plus longtemps possible, puisque seuls les 8 premiers se sont qualifiés directement pour les 8e de finale (Liverpool, FC Barcelone, Arsenal, Inter Milan, Atlético Madrid, Bayer Leverkusen, Lille, Aston Villa), les clubs classés de la 9e à la 24e place devant disputer des barrages. Résultat: seules deux équipes avaient composté leur ticket pour le prochain tour avant la dernière journée, ce qui a offert une soirée assez folle mercredi avec 18 rencontres disputées au même moment et des enjeux dans quasiment tous les stades. De quoi booster les attaques puisque 64 buts ont été inscrits, soit plus de 3,5 par match en moyenne. – “Un format imprévisible” -Illustration du caractère imprévisible de cette Ligue des champions “new look”: joueurs et membres du staff de Bruges sont restés une dizaine de minutes sur la pelouse de l’Etihad Stadium après leur défaite contre Manchester City (3-1), téléphone à la main, pour attendre la fin des autres parties, avant d’exploser de joie et de célébrer leur 24e position, synonyme de barrage, avec leurs supporters.”Les changements respectent notre engagement d’offrir une plus grande équité et une plus grande variété d’adversaires, une compétition plus dynamique, un meilleur équilibre, de l’incertitude et des matches avec un intérêt sportif, ainsi que davantage d’affrontements entre les meilleures équipes”, s’est félicitée l’UEFA.”Tous les matches disputés en une seule soirée ont créé de l’excitation”, a témoigné Andy Robertson, défenseur de Liverpool.Même son de cloche de la part de l’entraîneur du Feyenoord Rotterdam. “J’étais un peu sceptique, mais je dois admettre que c’est un format incroyable, vraiment imprévisible”, a déclaré Brian Priske.L’enchaînement des rencontres rend toutefois la tâche “plus compliquée”, selon Simone Inzaghi, le coach de l’Inter Milan. “Avant tu devais te préparer à seulement affronter trois équipes en phase de groupes, c’était plus simple. L’équipe trouve ce format peut-être plus amusant, mais en même temps plus stressant. Il y a plus de spectacle, mais cela demande plus d’efforts.”    – “Trop de matches” -Même le syndicat des joueurs, au départ très critique et qui a fait de la question des cadences infernales son cheval de bataille, semble finalement plutôt conquis.”On n’était pas favorables puisque cette nouvelle formule ajoutait encore des dates à un calendrier dont on ne cesse de dire qu’il est surchargé. Mais sur le plan strictement sportif, oui elle est très positive. Il y a eu du spectacle, du suspense et elle a rempli son cahier des charges en permettant à des clubs moyens de se qualifier pour les barrages”, a indiqué à l’AFP David Terrier, le président de l’Union nationale des footballeurs professionnels (UNFP).   Du côté des diffuseurs, les chiffres parlent d’eux-mêmes. En France, la soirée de mercredi a attiré 2,28 millions de téléspectateurs sur Canal+, son record cette saison. La chaîne cryptée peut d’autant plus se frotter les mains que, en attendant les 8e de finale (4-5 et 11-12 mars), les barrages (11-12 février, 18-19 février) risquent d’offrir un énorme choc entre Manchester City et le Real Madrid ou le Bayern Munich, et qu’une confrontation franco-française mettra aux prises le PSG à Monaco ou Brest.Si critiques négatives il y a, elles portent essentiellement sur l’encombrement du calendrier. “Le nouveau format ne me plaît pas. Il y a trop de matches. Mon idée du football c’est que nous devons en réduire le nombre pour diminuer l’impact sur les joueurs”, a estimé Carlo Ancelotti, l’entraîneur du Real dont le président, Florentino Perez, n’est autre que le principal promoteur… de la Superligue. 

Trump’s contentious US national security picks face Senate grilling

Donald Trump’s picks to lead the US intelligence community and top law enforcement agency were assailed over their lack of experience and past judgment calls Thursday as the Republican president’s most contentious cabinet nominees faced showstopping Senate confirmation hearings.Tulsi Gabbard, tapped for director of national intelligence, sat before the Senate Intelligence Committee for the most consequential confirmation hearing to date, while Kash Patel was questioned on his ambitions to head the FBI. Gabbard, a former Hawaiian congresswoman who ran for president as a Democrat in 2020, is considered Trump’s most vulnerable cabinet-level nominee, and her grilling marked the biggest test of his sway over Senate Republicans since he took office.She is regarded with suspicion over her past support for NSA leaker Edward Snowden, seen on both sides of Congress as having imperiled national security.She also faced questions over her lack of national security experience, her 2017 meeting with now-deposed Syrian strongman Bashar al-Assad and her peddling of Russian propaganda, particularly false conspiracy theories about the Ukraine war.Just one Republican “no” vote would stop Gabbard’s nomination from making it to the Senate floor with a favorable report, and the party’s leadership has indicated that she wouldn’t get a vote without committee support.Tom Cotton, the panel’s Republican chairman, said he was “dismayed” by attacks on Gabbard’s patriotism and loyalty, pointing to her two-decade military career and five FBI background checks that he said showed her to be “clean as a whistle.” But Mark Warner, the top Democrat, argued that foreign allies may not be able to trust Washington with their secrets if Gabbard is put in charge of the constellation of 18 intelligence agencies.- ‘Weaponization’ -In his opening statement he said the US intelligence mission “is all predicated on trust — trust that our allies will protect each other’s secrets.””It appears to me you have repeatedly excused our adversaries’ worst actions and instead often blame them on the United States and those very allies,” he added.But Gabbard hit back, arguing that her critics were upset that “I refuse to be their puppet” and saying that Trump won a clear mandate to end the “weaponization and politicization” of the intelligence community.She acknowledged that Snowden had broken the law by leaking highly classified information in 2013 but repeatedly refused under questioning from both sides to call him a traitor.”I’ll begin by leading by example, checking my own personal views at the door and committing to delivering intelligence that is collected, analyzed and reported without bias, prejudice or political influence,” she told the panel.On a day of drama on Capitol Hill, there were fiery exchanges between Democrats on the Senate Judiciary Committee and FBI director-designate Kash Patel, although he appears to be on a surer footing than Gabbard. Democrats argued that he is an unrepentant conspiracy theorist and brought up a list of 60 supposed “deep state” actors — all critics of Trump — he included in a 2022 book, whom he said should be investigated or “otherwise reviled.”Senator Dick Durbin, the panel’s top Democrat, said Patel had “neither the experience, the temperament nor the judgment to lead” the FBI.Patel has denied that he has an “enemies list,” and told the committee he was merely interested in bringing lawbreakers to book.In one unexpected exchange he distanced himself from at least some of Trump’s pardons of hundreds of criminals convicted of violence over the 2021 US Capitol insurrection.”I do not agree with the commutation of any sentence of any individual who committed violence against law enforcement,” he said.At the same time Robert F Kennedy Jr was appearing for a second hearing on Capitol Hill, a day after coming under attack from Democrats over his promotion of vaccine misinformation, and his sudden embrace of anti-abortion policies.Thursday’s questioning turned to past allegations of sexual assault from a babysitter who received an apology from Kennedy after claiming he groped her in 1999.Kennedy denied sexual misconduct, saying the accusation had been “debunked,” and added that he texted the alleged victim an apology for “something else.”Trump has chosen Kennedy to lead the Department of Health and Human Services.

La Bourse de Paris salue la baisse des taux de la BCE

La Bourse de Paris a terminé la séance en hausse jeudi, après la baisse des taux annoncée par la Banque centrale européenne (BCE) à l’issue de sa réunion de politique monétaire.Le CAC 40 a pris 0,88% à 7.941,64 points, en hausse de 69,16 points. La veille, l’indice vedette parisien avait reculé de 0,32%.Sur le marché obligataire, le rendement des obligations françaises à dix ans a reculé à 3,26%, contre 3,32% la veille en clôture. Son équivalent allemand, référence en Europe, était à 2,51%, contre 2,58%.La BCE a abaissé jeudi son principal taux d’intérêt directeur de 0,25 point de pourcentage après sa réunion de politique monétaire. Cette cinquième baisse depuis juin fait passer à 2,75% le taux de dépôt, qui sert de référence, contre 3% auparavant.”Le communiqué et la conférence de presse qui ont suivi ont renforcé l’idée que la BCE est globalement satisfaite de l’évolution de l’inflation et des perspectives de voir l’inflation se rapprocher de son objectif de 2%”, a relevé Raphael Thuin, directeur des stratégies de marchés chez Tikehau Capital.Pour la suite, “les marchés s’attendent à d’autres baisses de taux”, a estimé Bénédicte Kukla, chargée d’investissement chez Indosuez. Il est “trop tôt” pour envisager “à quel moment nous devons arrêter” de baisser les taux, a prévenu Christine Lagarde.La croissance va toutefois “rester faible” dans la zone euro, a-t-elle ajouté, alors que le PIB a fait du surplace au quatrième trimestre, à cause de mauvaises performances en Allemagne et en France, selon des chiffres publiés jeudi.La France a connu une contraction de 0,1% de son PIB au quatrième trimestre, subissant le contrecoup des Jeux olympiques et paralympiques de Paris, a indiqué jeudi l’Insee, mais il a progressé de 1,1% en 2024, conformément à sa prévision. Cette décision entérine la divergence entre la politique de la BCE et celle de la banque centrale américaine (Fed) qui a laissé ses taux inchangés mercredi aux États-Unis, où la croissance est toujours solide.STMicroelectronics sanctionnéLe fabricant franco-italien de composants électroniques STMicroelectronics a vu son titre chuter de 10,68% à 21,24 euros, le marché sanctionnant les anticipations économiques moroses du groupe pour le premier trimestre 2025.Sanofi saluéL’entreprise pharmaceutique Sanofi prenait 1,73% à 103,62 euros après avoir accru ses bénéfices en 2024, année qui a vu son produit phare Dupixent dépasser son objectif de ventes et marquée par le succès commercial de son traitement préventif de la bronchiolite Beyfortus.

Trump blames ‘diversity’ for deadly Washington airliner collision

US President Donald Trump — speaking as the bodies of 67 people were being pulled from Washington’s Potomac River — launched an extraordinary political attack Thursday, blaming diversity hires for the midair collision between an airliner and a military helicopter.The Republican confirmed the deaths of all those aboard both aircraft, and also cited pilot error on the helicopter in the nighttime crash.But he chiefly used a press conference to open fire at what he said were left-wing diversity practices under his predecessors Joe Biden and Barack Obama that he said kept out good employees at the Federal Aviation Administration.”I put safety first. Obama, Biden and the Democrats put policy first,” Trump said. “They actually came out with a directive: ‘too white.’ And we want the people that are competent.”As Trump spoke in the White House, police divers searched for more bodies in the water.Wreckage of the Bombardier jet operated by an American Airlines subsidiary protruded from the surface, surrounded by emergency vessels and diving teams. It had been carrying 64 people.The army Blackhawk helicopter, which had three soldiers aboard, was also in the river.”We are now at a point where we are switching from a rescue operation to a recovery operation,” Washington Fire Chief John Donnelly said. Twenty eight bodies had already been found.The collision — the first major crash in the United States since 2009 when 49 people were killed near Buffalo, New York — occurred late evening on Wednesday as the airliner came into land at Reagan National Airport after a routine flight from Wichita, Kansas.Reagan National is a major airport located only a short distance from downtown Washington, the Pentagon and other major sites in the capital. The airspace is extremely busy, with civilian and military aircraft a constant presence.Dramatic audio from air traffic controllers showed them repeatedly asking the helicopter if it had the passenger jet “in sight,” and then just before the crash telling it to “pass behind” the plane.- Trump politicizes crash -Trump opened his press conference by speaking of the nation’s “anguish” and said that the investigation would take time.However, he then launched into an extended broadside against so-called diversity, equity and inclusion policies.Trump — who began his presidency a week ago with an onslaught against decades-old measures aimed at preventing sexism and racism in the United States — singled out Biden’s openly gay transport secretary Pete Buttigieg.”He’s run it right into the ground with his diversity,” Trump said.The message was hammered home as Trump’s vice president, JD Vance, and new defense secretary, Pete Hegseth, took turns at the podium to repeat that diversity measures kept capable Americans out of responsible jobs.Asked again by reporters whether he was blaming workplace diversity for the crash, Trump answered: “It could have been.”- Skaters among victims -Hundreds of rescuers were rapidly at the scene, but found themselves battling darkness and floating ice through the night. Some of the debris was found a mile downriver.Among those on the airliner were several US skaters and coaches, US Figure Skating said. Officials in Moscow also confirmed the presence of Russian couple Evgenia Shishkova and Vadim Naumov, who won the 1994 world pairs title.The violence of the collision soon made it clear that survivors were unlikely.”I just saw a fireball and it was gone,” one air traffic controller was heard telling a colleague after communication with the helicopter was cut.- What happened? -Transport officials said both aircraft were on standard flight patterns on a clear night with good visibility.Hegseth said the Black Hawk chopper had “a fairly experienced crew that was doing a required annual night evaluation.””Do I think this was preventable? Absolutely,” Transportation Secretary Sean Duffy said.Trump, in addition to blaming racial and other kinds of diversity policies, offered extended remarks on the flight paths.The helicopter was “going at an angle that was unbelievably bad,” Trump said.”The air traffic controller said, ‘Do you see… Do you see him?’ But there was very little time left when that was stated,” the president added, blaming a “confluence of bad decisions.”

Lula says if Trump hikes tariffs, Brazil will reciprocate

Brazilian President Luiz Inacio Lula da Silva said Thursday that if US counterpart Donald Trump hiked tariffs on Brazilian products, he would reciprocate — but that he would prefer improved relations over a trade war.The Latin American giant is one of the countries that Trump has threatened with higher tariffs.”It’s very simple: if he taxes Brazilian products, Brazil will reciprocate in taxing products that are exported from the United States,” the 79-year-old Lula told a press conference.Lula, currently in his third term, said he would prefer to “improve our relationship with the United States” and boost trade ties with Brazil’s second-largest trading partner after China.”I want to respect the United States and for Trump to respect Brazil. That’s all,” he said.Citing Trump’s comments that he plans to take back the Panama Canal or get control of Greenland, Lula said “he just has to respect the sovereignty of other countries.”Lula also underscored the global threats facing democracy.”For me, democracy is the most important thing in humanity right now … Either we keep democracy working or we will have states more authoritarian than Hitler and fascism.”Lula, whose country will host the COP30 UN climate talks in the Amazonian city of Belem in November, added that Trump’s decision to withdraw from the Paris climate accord was “a step back for human civilization.”He said he did not want a summit where “measures are approved, everything looks very nice on paper and then no country complies,” slamming wealthy nations for failing to meet previous promises to give billions of dollars to help developing nations deal with the fallout of climate change.”We want something very real so that we can know if we are serious or not about the climate issue.”- Seizing back the narrative -The president held a wide-ranging press conference in the capital Brasilia, urging journalists not to hold back in their questions as his government seeks to reclaim the narrative after battling a wave of disinformation.After undergoing emergency surgery to stop a brain bleed in December linked to an earlier fall, Lula vowed he was fully recovered and had “the energy of a 30-year-old.”With less than two years left of his third presidential term, Lula’s approval rating has sunk to 47 percent, according to a Quaest poll published this week, with a notable drop in support from his key electoral base in the low-income northeast of the country.Lula said he was “not worried” about opinion surveys, and brushed off concerns about high interest rates and public debt.As expected, the central bank on Wednesday hiked the key interest rate by one point to 13.25 percent, despite a new bank president being appointed by Lula — who has in the past criticized interest rate hikes.”The president of the central bank cannot make a U-turn in a stormy sea,” Lula said, adding that he had faith in new bank chief Gabriel Galipolo who would have “autonomy to do whatever is necessary.”Lula also sought to ease concerns over government interventions to lower food prices and vowed his commitment to “fiscal responsibility.”His government is weighing reducing import tariffs on certain goods, and he highlighted the need to provide more financing to ramp up production, saying he was working on a plan with banks for “the largest credit program in the history of this country.”Concerns over Brazil’s ability to curb public spending in December sent its currency, the real, to record lows against the dollar.

Lingots, voitures et sacs de luxe: l’Etat vend aux enchères des biens saisis aux fraudeurs

Pyramide de lingots d’or, voitures de grand luxe, sacs Vuitton, montres Rolex et Patek, vaisselle Hermès: dans une grande salle du ministère des Finances, l’Etat a vendu aux enchères jeudi plus de 300 biens saisis chez des fraudeurs.La vente a rapporté 3,7 millions d’euros, taxes comprise, pour une mise à prix d’un total de 2,4 millions, a précisé à l’AFP Stéphane Meijer, responsable des ventes des enchères du Domaine (DNID).  Les biens, saisis dans le cadre de 14 enquêtes de l’Onaf, le service anti-fraude des Douanes, étaient exposés depuis jeudi dans une salle de Bercy. Dans la cour, plusieurs voitures haut de gamme, dont une rarissime Porsche GT3 RS vert pomme, star de la vente. Mise à prix à 120.000 euros, elle est partie à 133.000 euros.    “Ce qui est vendu aujourd’hui sont les biens les plus exceptionnels, mais l’Etat procède à des ventes aux enchères presque tous les jours: en 2024, 160 millions d’euros sont ainsi rentrés dans les caisses de l’Etat”, avait précisé Amélie de Montchalin, la ministre des Comptes Publics. “Ce n’est qu’une petite partie des saisies : en 2024, 1,3 milliard d’euros d’actifs ont été saisis”. L’opération a attiré 400 particuliers, venus dans l’espoir d’une bonne affaire, mais aussi 4.000 enchérisseurs en ligne.En pleine disette budgétaire, le ministère a voulu donner une visibilité maximale à cette vente, organisée par les enchères du Domaine (DNID) et l’Agrasc (Agence de gestion et de recouvrement des avoirs saisis et confisqués). “Tous ces objets ont été saisis dans le cadre d’enquêtes menées par l’Onaf, l’Office national anti-fraude. Concrètement, on a des gens qui devaient de l’argent au fisc. Les jugements ne sont pas encore passés, mais l’Agrasc nous confie ces objets pour les vendre”, a expliqué Stéphane Meijer. – “Le crime ne paie pas” -Parmi les lots, 23 lingots d’or, des accessoires pour enfants, de la vaisselle Hermès, des haltères Vuitton, une trentaine de vélos électriques… “Les lingots appartiennent tous à la même personne”, souligne Virginie Gentile, secrétaire générale de l’Agrasc.”C’est la criminalité du haut du spectre, avec des faits d’escroquerie, de contrebande, de fraude fiscale. Celui qui va importer, par exemple, une très grande quantité de véhicules d’Allemagne et ne pas payer de TVA”, précise le directeur de l’Onaf, Christophe Perruaux. “Notre obsession est de saisir, pour montrer que le crime ne paie pas”.Mais parfois, les enquêteurs sont déçus, “car ils tombent sur des contrefaçons”, sourit Mme Gentile.”On a soit des objets qui servent au blanchiment, l’or par exemple, ou achetés par les dirigeants de ces organisations criminelles qui blanchissent l’argent des autres”, explique Christophe Perruaux. Un sac Hermès Birkin s’est vendu plus de 19.000 euros, une paire de diamants 63.000 euros et une montre Patek Nautilus 100.000 euros. “J’ai acheté une voiture, pour moi, je suis un passionné”, a témoigné un acquéreur qui a souhaité garder l’anonymat. “Ils organisent cette vente ici pour énerver les trafiquants. Et puis la médiatiser comme ça, dans le ministère, c’est symbolique”, s’amuse-t-il. Dans la cour de Bercy, Damien découvre avec joie les options de la Porsche électrique qu’il vient d’acheter. “Avec les options, c’est une bonne affaire”, conclut-il. Il n’en était pas sûr au moment où il a remporté l’affaire avec son enchère de 64.500 euros. “On était venu pour les voitures, pour les revendre”, racontent dépités Romain et Simon, deux trentenaires venus de Reims, “mais ça a trop monté, on a renoncé”.  “La robe ? C’est pour la revendre”, reconnaît un couple âgé, qui s’est offert une robe moulante en strass multicolore, siglée Philipp Plein, pour 210 euros. Pour eux, cette tentative est une première. “J’appelle ça l’effet Vinted”, résume Stéphane Meijer.Â