Le Vietnam va construire une nouvelle liaison ferroviaire avec la Chine pour huit milliards de dollars

Le Parlement du Vietnam a donné mercredi son feu vert à la construction d’une nouvelle ligne de chemin de fer, attendue pour 2030, qui reliera le grand port d’Haiphong et la capitale Hanoï au sud de la Chine, pour un montant de plus de huit milliards de dollars.Les députés de ce pays communiste ont adopté ce projet de loi à la quasi-unanimité, a constaté un journaliste de l’AFP sur place.Cette voie ferrée entre le Vietnam et la province chinoise du Yunnan doit renforcer les liens entre les deux pays frontaliers et faciliter le commerce.La nouvelle ligne desservira notamment de grands sites manufacturiers du Vietnam, où sont installés Samsung, Foxconn, Pegatron et d’autres géants mondiaux de l’électronique, pour beaucoup dépendants de l’arrivage régulier de composants depuis la Chine.D’une longueur de quelque 390 kilomètres, elle reliera la ville portuaire d’Haiphong à Lao Cai, dans le nord montagneux du Vietnam, à la frontière avec le Yunnan, via Hanoï.Elle remplacera la vieille ligne en activité, construite il y a plus d’un siècle durant la période de l’Indochine française.La Chine va financer une partie du projet à travers des prêts. Le coût total estimé de la construction est de plus de huit milliards de dollars.Ce projet s’inscrit dans le cadre du programme mondial chinois d’infrastructures dit des “Nouvelles Routes de la soie”.Guo Jiakun, un porte-parole du ministère des Affaires étrangères chinois a indiqué que les deux pays “travaillaient à faciliter la construction de la ligne ferroviaire” entre Lao Cai et la ville frontalière chinoise de Hekou.Les deux côtés ont “tenu de multiples discussions pour améliorer la connectivité des rails” a déclaré M. Guo lors d’une conférence de presse, tout en indiquant aux journalistes de se référer aux autorités dédiées pour les détails.A l’occasion d’une visite du président chinois Xi Jinping en décembre 2023 à Hanoï, les deux pays avaient signé plus d’une trentaine d’accords.Le Vietnam se targue de maintenir une diplomatie d’équilibre entre Pékin et Washington.La nouvelle ligne va “dynamiser la coopération sur l’économie, le commerce, l’investissement et le tourisme entre les deux pays, ainsi que dans la région”, a assuré la semaine dernière la porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Pham Thu Hang.- De 50 à 160 km/h -Les vieillissantes infrastructures de transports, de piètre qualité et sous-dimensionnées pour une demande de plus en plus forte, sont considérées comme l’une des freins à la croissance vietnamienne.La nouvelle liaison ferroviaire pourrait aider à aplanir les difficultés des circuits d’approvisionnement internationaux causées par la dépendance actuelle envers des camions lents et coûteux qui sont “sujets à des goulets d’étranglement à la frontière”, a expliqué Dan Martin, expert au cabinet de conseil Dezan Shira & Associates.”La Chine fournit une grande partie des matières premières qui alimentent le secteur manufacturier vietnamien, et il est essentiel de maintenir ce système stable”, a-t-il déclaré à l’AFP. “Une liaison ferroviaire moderne élimine les inefficacités et garantit la fluidité du transport des marchandises, qu’elles soient acheminées vers les usines vietnamiennes ou vers les marchés mondiaux via le port d’Haiphong”, a-t-il ajouté.Le gouvernement vietnamien a déclaré que l’étude de faisabilité pour la ligne Haiphong-Lao Cai devrait commencer en 2025, en vue d’une livraison attendue d’ici 2030. Mais les projets de cette dimension prennent souvent du retard dans ce pays.Les trains, destinés au transport de passagers et de marchandises, circuleront à une vitesse de 160 km/h, contre 50 km/h sur la ligne actuelle, ont précisé les autorités.Une autre ligne vers la Chine, qui n’a pas encore été approuvée par le Parlement, doit à terme relier Hanoï à la province de Lang Son, qui borde la région chinoise de Guangxi, en traversant une autre vaste zone d’implantation d’usines étrangères.Le Vietnam prévoit aussi de bâtir une ligne de train à grande vitesse reliant Hanoï à Ho Chi Minh-Ville, la capitale économique du sud, pour un coût évalué à 67 milliards de dollars, visant à réduire le temps de trajet de 30 heures à environ cinq heures.

Google verse 326 millions d’euros au fisc italien pour clôturer un contentieux (parquet)

Google a versé 326 millions d’euros pour clôturer un contentieux avec le fisc italien a annoncé mercredi le parquet de Milan qui a recommandé au juge des enquêtes préliminaires de classer désormais l’affaire.La justice italienne soupçonnait Google de ne pas avoir payé les impôts dus pendant la période 2015-2019 et “à l’issue d’un accord, la société a procédé au versement de 326 millions d’euros au titre des impôts, sanctions et intérêts” pour mettre un terme à son contentieux avec le fisc, indique un communiqué du parquet.Selon le parquet, Google Ireland Limited, société de droit irlandais, avait “omis de présenter la déclaration annuelle de revenus réalisés en Italie”, pendant cette période, en particulier à travers “la vente d’espaces publicitaires”, selon le communiqué.L’accord auquel sont parvenus les procureurs et Google permet à ce dernier de se mettre en règle et d’éviter la poursuite de l’enquête, même si le dernier mot revient au juge des enquêtes préliminaires.Le gendarme italien de la concurrence italien avait ouvert en juillet dernier une enquête à l’encontre de Google et de sa société mère Alphabet sur l’envoi aux utilisateurs d’une demande de consentement pour lier ses services, qui pourrait, selon lui, constituer une “pratique commerciale trompeuse et agressive.”L’autorité avait déjà infligé en novembre 2021 une amende de 20 millions d’euros à Google et Apple, équitablement répartie entre les deux sociétés, pour des pratiques “agressives” dans l’utilisation des données des consommateurs à des fins commerciales.En mai 2021, l’autorité avait en outre imposé une amende de 102 millions d’euros à Google pour abus de position dominante.

Google verse 326 millions d’euros au fisc italien pour clôturer un contentieux (parquet)

Google a versé 326 millions d’euros pour clôturer un contentieux avec le fisc italien a annoncé mercredi le parquet de Milan qui a recommandé au juge des enquêtes préliminaires de classer désormais l’affaire.La justice italienne soupçonnait Google de ne pas avoir payé les impôts dus pendant la période 2015-2019 et “à l’issue d’un accord, la société a procédé au versement de 326 millions d’euros au titre des impôts, sanctions et intérêts” pour mettre un terme à son contentieux avec le fisc, indique un communiqué du parquet.Selon le parquet, Google Ireland Limited, société de droit irlandais, avait “omis de présenter la déclaration annuelle de revenus réalisés en Italie”, pendant cette période, en particulier à travers “la vente d’espaces publicitaires”, selon le communiqué.L’accord auquel sont parvenus les procureurs et Google permet à ce dernier de se mettre en règle et d’éviter la poursuite de l’enquête, même si le dernier mot revient au juge des enquêtes préliminaires.Le gendarme italien de la concurrence italien avait ouvert en juillet dernier une enquête à l’encontre de Google et de sa société mère Alphabet sur l’envoi aux utilisateurs d’une demande de consentement pour lier ses services, qui pourrait, selon lui, constituer une “pratique commerciale trompeuse et agressive.”L’autorité avait déjà infligé en novembre 2021 une amende de 20 millions d’euros à Google et Apple, équitablement répartie entre les deux sociétés, pour des pratiques “agressives” dans l’utilisation des données des consommateurs à des fins commerciales.En mai 2021, l’autorité avait en outre imposé une amende de 102 millions d’euros à Google pour abus de position dominante.

Le maire d’Arcachon entendu dans l’enquête sur la pollution du Bassin

Le maire d’Arcachon et président du syndicat d’assainissement local, Yves Foulon, a été auditionné dans le cadre d’une enquête pour pollution ouverte après des rejets d’eaux usées dans le milieu naturel, a-t-on appris mercredi auprès du parquet et de son avocat.L’élu LR a répondu mardi aux questions des enquêteurs dans le cadre d’une “audition libre”, a indiqué le parquet, confirmant une information du journal Sud Ouest. Elle a duré environ une heure et s’est déroulée “dans un climat tranquille”, selon son avocat, Me Benoît Ducos-Ader.Durant l’hiver 2023-2024, un épisode de pollution aux eaux usées avait engendré une contamination des huîtres du Bassin d’Arcachon et une épidémie de gastroentérite chez les consommateurs durant les fêtes. Leur commercialisation avait été interdite pendant un mois.Des associations environnementales avaient porté plainte, dénonçant des déversements d’eaux usées dans la nature, imputés au syndicat intercommunal responsable de l’assainissement, le Siba, que préside M. Foulon.En janvier 2024, le parquet de Bordeaux avait ouvert une enquête visant des faits de pollution, écocide et mise en danger de la vie d’autrui, menée depuis par les gendarmes de Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique (Oclaesp).Avant M. Foulon, la directrice générale du Siba et la directrice des opérations d’une filiale de Veolia chargée de l’exploitation du réseau d’assainissement, avaient été interrogées sous le régime de la garde à vue.Des fonctionnaires de la Direction départementale des territoires et de la mer et de la Direction départementale de la protection des populations ont également été entendus ces dernières semaines selon Sud Ouest.En avril 2024, le constat de nouveaux déversements d’eaux usées avait conduit la justice à ordonner des mesures d’urgence pour y mettre fin. Le Siba a demandé à la préfecture de Gironde d’autoriser des rejets exceptionnels, quand de fortes pluies font saturer le réseau d’assainissement, mais les services de l’État s’y sont opposés dernièrement.

Le maire d’Arcachon entendu dans l’enquête sur la pollution du Bassin

Le maire d’Arcachon et président du syndicat d’assainissement local, Yves Foulon, a été auditionné dans le cadre d’une enquête pour pollution ouverte après des rejets d’eaux usées dans le milieu naturel, a-t-on appris mercredi auprès du parquet et de son avocat.L’élu LR a répondu mardi aux questions des enquêteurs dans le cadre d’une “audition libre”, a indiqué le parquet, confirmant une information du journal Sud Ouest. Elle a duré environ une heure et s’est déroulée “dans un climat tranquille”, selon son avocat, Me Benoît Ducos-Ader.Durant l’hiver 2023-2024, un épisode de pollution aux eaux usées avait engendré une contamination des huîtres du Bassin d’Arcachon et une épidémie de gastroentérite chez les consommateurs durant les fêtes. Leur commercialisation avait été interdite pendant un mois.Des associations environnementales avaient porté plainte, dénonçant des déversements d’eaux usées dans la nature, imputés au syndicat intercommunal responsable de l’assainissement, le Siba, que préside M. Foulon.En janvier 2024, le parquet de Bordeaux avait ouvert une enquête visant des faits de pollution, écocide et mise en danger de la vie d’autrui, menée depuis par les gendarmes de Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique (Oclaesp).Avant M. Foulon, la directrice générale du Siba et la directrice des opérations d’une filiale de Veolia chargée de l’exploitation du réseau d’assainissement, avaient été interrogées sous le régime de la garde à vue.Des fonctionnaires de la Direction départementale des territoires et de la mer et de la Direction départementale de la protection des populations ont également été entendus ces dernières semaines selon Sud Ouest.En avril 2024, le constat de nouveaux déversements d’eaux usées avait conduit la justice à ordonner des mesures d’urgence pour y mettre fin. Le Siba a demandé à la préfecture de Gironde d’autoriser des rejets exceptionnels, quand de fortes pluies font saturer le réseau d’assainissement, mais les services de l’État s’y sont opposés dernièrement.

Bétharram: la Ciivise demande un audit sur les “dispositifs d’alerte” dans les établissements accueillant des enfants

La Commission indépendante sur les violences sexuelles faites aux enfants (Ciivise) a demandé mercredi au gouvernement le lancement d’une “mission d’inspection” de “tous les dispositifs d’alerte existants” dans les établissements accueillant des enfants après les révélations sur Notre-Dame-de-Bétharram. “La situation de Bétharram”, du nom de l’établissement catholique situé dans les Pyrénées-Atlantiques et visé par des accusations de violences commises en son sein entre les années 1970 et 1990, “n’est pas un cas unique”, souligne la Commission dans un communiqué.”Aujourd’hui en France, les violences sexuelles envers les enfants se produisent et aucune politique publique n’est encore instituée pour y faire face”, déplore-t-elle.Le collège-lycée de Notre-Dame-de-Bétharram est au cÅ“ur d’une vaste enquête sur des violences, agressions sexuelles et viols dénoncés par plus d’une centaine de plaignants. Le parquet de Pau enquête depuis un an sur cette affaire remontant aux années 1970 à 1990.”La commission apporte son total soutien aux personnes qui ont subi ces violences et ont rencontré autour d’elles déni, minimisation et silence administratif et judiciaire”, peut-on lire dans le communiqué de la Ciivise.La Commmission indépendante rappelle avoir préconisé “dès 2023 que le dispositif de remontées systématique d’alertes en cas de violences sexuelles dans les établissements sportifs soit étendu pour tous les lieux qui accueillent les enfants.”Elle demande au gouvernement “qu’une mission d’inspection soit lancée pour faire la lumière sur tous les dispositifs d’alerte existants, dans tous les établissements accueillant des enfants, que ce soit dans les structures scolaires et périscolaires, sportives, culturelles, cultuelles”.Il faut, insiste-t-elle, “instaurer les bonnes pratiques garantissant la sécurité des enfants: aucun lieu ne devrait être dispensé de règles spécifiques fermes concernant ces violences ni laissé au bon vouloir de son encadrement professionnel ou bénévole”. Le scandale Bétharram éclabousse le Premier ministre, François Bayrou, dont plusieurs enfants ont été scolarisés dans le passé dans cette institution, et où son épouse a enseigné le catéchisme. Celui qui a été ministre de l’Education de 1993 à 1997 a déclaré n’avoir “jamais été informé” dans le passé des agressions sexuelles et viols dont sont soupçonnés des membres de l’établissement sous contrat entre les années 1970 et 1990. Dans son communiqué, la Ciivise, instance mise en place en mars 2021 dans le sillage de la publication du livre de Camille Kouchner, “La Familia grande”, déplore également que les 82 recommandations remises au gouvernement en novembre 2023 “n’ont pas reçu de réponse à ce jour”.

Conseil constitutionnel: un troisième mandat pour Macron “n’a jamais été ma pensée, ni mon désir”, assure Ferrand

Le candidat d’Emmanuel Macron pour présider le Conseil constitutionnel, Richard Ferrand, a déclaré mercredi lors d’une audition qu’il n’avait “jamais été (s)a pensée ni (s)on désir” que M. Macron puisse effectuer un troisième mandat.”Je connais l’article six de notre Constitution et naturellement, il s’appliquera au président actuel comme il s’appliquera à d’autres, sauf modification, si le constituant que vous êtes le décide”, a-t-il déclaré, auditionné par les députés de la commission des lois de l’Assemblée nationale. “Donc je vous remercie madame Panot de m’avoir permis de tordre le cou, en effet, à ce qui n’a jamais été ma pensée ni mon désir”, a-t-il ajouté à l’adresse de la députée de la France Insoumise Mathilde Panot.L’article 6 de la Constitution prévoit que le président “ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs”.Une polémique était partie de propos de M. Ferrand en juin 2023 dans une interview au Figaro. Au journaliste qui lui demandait s’il regrettait qu’Emmanuel Macron ne puisse pas se représenter en 2027, il avait notamment répondu: “Notre Constitution en dispose ainsi. Cependant, à titre personnel, je regrette tout ce qui bride la libre expression de la souveraineté populaire. La limitation du mandat présidentiel dans le temps, le non-cumul des mandats, etc.””Changeons tout cela en préservant le bicamérisme et le Conseil constitutionnel, gardien vigilant des principes républicains et des libertés publiques”, poursuit-il dans cette interview.Mercredi, Richard Ferrand a décrit une polémique qui s’est ensuite “enflammée”. “A partir de là, (…) la paresse intellectuelle du colportage, de la rumeur et de la +fake news+ fait que cela s’est répandu”, a-t-il déploré.A l’adresse de ceux qui affirment qu’il souhaite un troisième mandat pour Emmanuel Macron, il a martelé: “nom d’une pipe, je n’ai jamais affirmé ça”. 

La Bourse de Paris prudente, entre Ukraine et droits de douane

La Bourse de Paris a ouvert dans la prudence mercredi, tiraillée entre les espoirs de cessez-le-feu en Ukraine et la prudence face aux nouvelles annonces douanières de Donald Trump.Le CAC 40 reculait vers 10H00 0,13% à 8.195,79 points, en baisse de 10,81 points. La veille, l’indice vedette avait pris 0,21%, soit un gain de 17,43 points à 8.206,56 points.L’indice parisien s’éloigne pour l’instant de la perspective d’un nouveau record, qui s’était rapproché ces derniers jours, sur fond de bonne dynamique boursière.Les investisseurs se focalisent “sur les espoirs d’un cessez-le-feu en Ukraine”, mais ont des “interrogations concernant les futurs “droits de douane “américains”, a résumé John Plassard, spécialiste de l’investissement pour Mirabaud.Russes et Américains se sont entendus mardi à Ryad pour établir un “mécanisme de consultation” destiné à régler leurs contentieux et vont nommer des négociateurs pour le règlement de la guerre en Ukraine.”Un accord pourrait entraîner plusieurs effets positifs”, entre “une baisse des prix du gaz naturel”, “une hausse de la confiance des consommateurs et des entreprises” et “une amélioration des conditions financières”, a résumé Christopher Dembik, conseiller en stratégie d’investissement chez Pictet AM.D’un autre côté, les marchés digèrent prudemment les dernières annonces commerciales de Donald Trump.Le président américain a annoncé mardi qu’il prévoyait d’appliquer des droits de douane de près de 25% sur les automobiles importées aux États-Unis et d’au moins du même niveau sur les semi-conducteurs ainsi que sur le secteur pharmaceutique.Ces annonces sont “pour l’instant simplement prises en compte sans réaction marquée”, a estimé Andreas Lipkow, analyste indépendant.”Les marchés continuent de considérer ces annonces de taxes douanières avec un Å“il sceptique, s’interrogeant sur le calendrier et l’ampleur véritable des droits effectivement appliqués”, ont détaillé les experts de MUFG.Les investisseurs scruteront aussi la publication à 20H00 du compte rendu de la dernière réunion de la Réserve fédérale américaine (Fed).Des résultats d’entreprisesAutre focus des marchés: la saison des résultats, qui se poursuit en Europe.Le groupe de câbles Nexans, deuxième mondial derrière l’italien Prysmian, prenait 6,09% à 102,00 vers 9H50 après avoir annoncé mercredi une hausse de 27% son bénéfice net en 2024.Sont attendus après Bourse les résultats annuels d’Eramet (+0,45 à 56,35 euros) et de Carrefour (+0,04% à 13,79 euros).STMicroelectronics recommandéLe groupe de semi-conducteurs français STMicroelectronics gagnait 5,34% à 24,37 euros sur le CAC 40 après le relèvement mercredi de son objectif de cours par les analystes de Jefferies de 23 à 34 euros.