Main doctor charged in actor Matthew Perry overdose to plead guilty

The main doctor charged in connection with the drug overdose of American-Canadian actor and “Friends” star Matthew Perry is expected to enter a guilty plea in the coming weeks, the US Justice Department said Monday. Salvador Plasencia “has agreed to plead guilty to four counts of distribution of ketamine, which carries a statutory maximum sentence of 40 years in federal prison,” the department said in a statement.The second doctor in the case, Mark Chavez, pleaded guilty last October to conspiring to distribute ketamine in the weeks before the actor was found dead in the hot tub of his Los Angeles home in 2023.Perry’s lengthy struggles with substance addiction were well-documented, but his death at age 54 sent shockwaves through the global legions of “Friends” fans.A criminal investigation was launched soon after an autopsy discovered the actor had high levels of ketamine — an anesthetic — in his system.Plasencia allegedly bought ketamine off Chavez and sold it to the desperate star at hugely inflated prices.Jasveen Sangha, the alleged “Ketamine Queen” who supplied drugs to high-end clients and celebrities, is charged with selling Perry the dose that killed him. She has pleaded not guilty. Comedic television series “Friends,” which followed the lives of six New Yorkers navigating adulthood, dating and careers, drew a massive global following and made megastars of previously unknown actors.Perry’s role as the sarcastic man-child Chandler brought him fabulous wealth, but hid a dark struggle with addiction to painkillers and alcohol.In 2018, he suffered a drug-related burst colon and underwent multiple surgeries.In his 2022 memoir “Friends, Lovers and the Big Terrible Thing,” Perry described going through detox dozens of times.”I have mostly been sober since 2001,” he wrote, “save for about sixty or seventy little mishaps.”

Le meurtrier présumé d’une députée du Minnesota s’est rendu chez quatre élus la nuit du crime

Le meurtrier présumé d’une élue du Minnesota et de son mari s’est rendu la nuit du crime aux domiciles de quatre élus différents, tous démocrates, pour les tuer, a révélé lundi le procureur fédéral de cet Etat américain.Vance Boelter, 57 ans, arrêté dimanche soir au terme de presque deux jours de chasse à l’homme, est visé par six chefs d’accusation au niveau fédéral, dont deux de meurtre par arme à feu, “passibles de la prison à perpétuité, voire de la peine capitale”, a précisé Joe Thompson.Le suspect est accusé de s’être déguisé en policier pour tuer dans la banlieue de Minneapolis, Melissa Hortman et son époux Mark Hortman. Il avait auparavant grièvement blessé John Hoffman, ainsi que sa femme, dont la vie n’était plus en danger, selon les autorités.Cette double attaque contre deux responsables démocrates, élus respectivement à la Chambre des représentants et au Sénat de cet Etat plutôt tranquille frontalier du Canada, a choqué la classe politique, déjà plombée par des tensions partisanes extrêmement pesantes.”C’était un assassinat politique”, a souligné Joe Thompson. “J’espère que cela sera une piqûre de rappel pour tout le monde. Les gens peuvent ne pas être d’accord avec vous sans qu’il faille pour autant les tuer ou leur faire du mal”.Aux toutes premières heures du 14 juin, Vance Boelter s’est rendu aux domiciles des quatre élus “avec l’intention de les tuer”, a-t-il poursuivi.Deux de ces tentatives ont échoué, l’une parce que l’élue visée était en vacances avec sa famille et l’autre grâce à la présence sur les lieux d’une voiture de police.Ses agissements “font froid dans le dos”. “Il n’est pas exagéré de dire que ses crimes sont de l’ordre du cauchemar. Boelter a traqué ses victimes comme des proies” avant de les “abattre de sang froid”, a ajouté le procureur fédéral.- Nouvelle audience le 27 juin -“Ces actes de violence ne resteront pas impunis”, a assuré la ministre de la Justice, Pam Bondi, dans un communiqué, s’engageant à “des conséquences sévères” en cas de condamnation.Mais ni la ministre ni le procureur n’ont indiqué s’ils comptaient requérir la peine capitale, dont le président républicain Donald Trump est un fervent partisan.Vance Boelter est également visé au niveau de l’Etat du Minnesota par deux chefs d’accusation de meurtre et deux de tentative de meurtre. Mais la procureure générale du comté de Hennepin, à Minneapolis, Mary Moriarty a annoncé son intention de le poursuivre pour assassinat.La procédure fédérale devrait prendre le pas sur celle du Minnesota qui se poursuivra parallèlement, a dit Joe Thompson. Le suspect a été présenté pour la première fois lundi après-midi à un juge fédéral qui a ordonné son maintien en détention jusqu’à une nouvelle audience le 27 juin et lui a assigné un avocat commis d’office, rapportent les médias américains.Sa cavale a pris fin dimanche soir à plus d’une heure à l’ouest de Minneapolis.La chasse à l’homme, la plus importante de l’histoire du Minnesota, selon les autorités, a mobilisé une centaine de policiers, assistés notamment de drones.Melissa Hortman, 55 ans, mère de deux enfants, ancienne présidente de la Chambre des représentants du Minnesota, avait fait de la protection du droit à l’avortement sa grande priorité.Mais le procureur fédéral a estimé qu’il était encore trop tôt pour se prononcer sur les motivations de sa “virée meurtrière”. Les enquêteurs ont retrouvé sur des carnets appartenant à Vance Boelter une liste de plus de 45 élus, a relevé M. Thompson.Le gouverneur démocrate du Minnesota, Tim Walz, colistier de Kamala Harris à l’élection présidentielle remportée par Donald Trump, a appelé dimanche à ce que “cet acte odieux” ne “devienne pas la norme”.Donald Trump, qui a rapidement condamné l’attaque “terrible” contre les élus du Minnesota, a lui-même échappé à deux tentatives d’assassinat, dont une de justesse le 13 juillet 2024 lors d’un meeting de campagne en Pennsylvanie (nord-est).

Le meurtrier présumé d’une députée du Minnesota s’est rendu chez quatre élus la nuit du crime

Le meurtrier présumé d’une élue du Minnesota et de son mari s’est rendu la nuit du crime aux domiciles de quatre élus différents, tous démocrates, pour les tuer, a révélé lundi le procureur fédéral de cet Etat américain.Vance Boelter, 57 ans, arrêté dimanche soir au terme de presque deux jours de chasse à l’homme, est visé par six chefs d’accusation au niveau fédéral, dont deux de meurtre par arme à feu, “passibles de la prison à perpétuité, voire de la peine capitale”, a précisé Joe Thompson.Le suspect est accusé de s’être déguisé en policier pour tuer dans la banlieue de Minneapolis, Melissa Hortman et son époux Mark Hortman. Il avait auparavant grièvement blessé John Hoffman, ainsi que sa femme, dont la vie n’était plus en danger, selon les autorités.Cette double attaque contre deux responsables démocrates, élus respectivement à la Chambre des représentants et au Sénat de cet Etat plutôt tranquille frontalier du Canada, a choqué la classe politique, déjà plombée par des tensions partisanes extrêmement pesantes.”C’était un assassinat politique”, a souligné Joe Thompson. “J’espère que cela sera une piqûre de rappel pour tout le monde. Les gens peuvent ne pas être d’accord avec vous sans qu’il faille pour autant les tuer ou leur faire du mal”.Aux toutes premières heures du 14 juin, Vance Boelter s’est rendu aux domiciles des quatre élus “avec l’intention de les tuer”, a-t-il poursuivi.Deux de ces tentatives ont échoué, l’une parce que l’élue visée était en vacances avec sa famille et l’autre grâce à la présence sur les lieux d’une voiture de police.Ses agissements “font froid dans le dos”. “Il n’est pas exagéré de dire que ses crimes sont de l’ordre du cauchemar. Boelter a traqué ses victimes comme des proies” avant de les “abattre de sang froid”, a ajouté le procureur fédéral.- Nouvelle audience le 27 juin -“Ces actes de violence ne resteront pas impunis”, a assuré la ministre de la Justice, Pam Bondi, dans un communiqué, s’engageant à “des conséquences sévères” en cas de condamnation.Mais ni la ministre ni le procureur n’ont indiqué s’ils comptaient requérir la peine capitale, dont le président républicain Donald Trump est un fervent partisan.Vance Boelter est également visé au niveau de l’Etat du Minnesota par deux chefs d’accusation de meurtre et deux de tentative de meurtre. Mais la procureure générale du comté de Hennepin, à Minneapolis, Mary Moriarty a annoncé son intention de le poursuivre pour assassinat.La procédure fédérale devrait prendre le pas sur celle du Minnesota qui se poursuivra parallèlement, a dit Joe Thompson. Le suspect a été présenté pour la première fois lundi après-midi à un juge fédéral qui a ordonné son maintien en détention jusqu’à une nouvelle audience le 27 juin et lui a assigné un avocat commis d’office, rapportent les médias américains.Sa cavale a pris fin dimanche soir à plus d’une heure à l’ouest de Minneapolis.La chasse à l’homme, la plus importante de l’histoire du Minnesota, selon les autorités, a mobilisé une centaine de policiers, assistés notamment de drones.Melissa Hortman, 55 ans, mère de deux enfants, ancienne présidente de la Chambre des représentants du Minnesota, avait fait de la protection du droit à l’avortement sa grande priorité.Mais le procureur fédéral a estimé qu’il était encore trop tôt pour se prononcer sur les motivations de sa “virée meurtrière”. Les enquêteurs ont retrouvé sur des carnets appartenant à Vance Boelter une liste de plus de 45 élus, a relevé M. Thompson.Le gouverneur démocrate du Minnesota, Tim Walz, colistier de Kamala Harris à l’élection présidentielle remportée par Donald Trump, a appelé dimanche à ce que “cet acte odieux” ne “devienne pas la norme”.Donald Trump, qui a rapidement condamné l’attaque “terrible” contre les élus du Minnesota, a lui-même échappé à deux tentatives d’assassinat, dont une de justesse le 13 juillet 2024 lors d’un meeting de campagne en Pennsylvanie (nord-est).

Mondial des clubs: Chelsea trop fort pour le LAFC de Giroud et Lloris

Chelsea a dominé sans trembler le Los Angeles FC des Français Hugo Lloris et Olivier Giroud (2-0) pour leur entrée en lice dans le Mondial des clubs lundi à Atlanta (Géorgie, Etats-Unis).Olivier Giroud (38 ans), ancien attaquant des Blues (2018-2021), savourait avant le tournoi “l’opportunité” offerte à son club et à la MLS de “montrer la qualité du championnat” nord-américain contre des cadors européens.Lors d’une rencontre disputée sur un tout petit rythme et dans un stade qui sonnait creux, un Chelsea en bout de course après une longue saison européenne a tout de même affiché sa supériorité sur le LAFC, en pleine saison américaine.Les Blues ont su faire la différence lors des accélérations de leurs attaquants, trop rapides pour la défense blanche et or du LAFC.Hugo Lloris s’est interposé sur une frappe de Nicolas Jackson (5e) puis une autre de Moises Caicedo (17e) avant de s’incliner face à Pedro Neto (34e).L’ailier portugais a inscrit un joli but: trouvé en profondeur par Jackson, il a réussi un terrible crochet pour éliminer Ryan Hollingshead, condamné à une interminable glissade, avant une frappe croisée du gauche en bas à droite des cages.Neto a manqué un doublé dans le temps additionnel de la première période avec une lourde frappe sur le dessus de la barre transversale.Après la pause, Malo Gusto est entré en jeu pour Chelsea ainsi que Giroud pour Los Angeles, ce dernier ayant toutefois dû attendre l’arrivée de son maillot, de quoi retarder le coup de sifflet de quelques minutes.Les Angelenos se sont montrés un peu plus entreprenants avec Daniel Martinez (51e) puis Denis Bouanga, dont la frappe après un long ballon et un duel gagné contre Neto a été détournée par Robert Sanchez (57e).Cole Palmer, qui s’est souvent baladé entre les joueurs du LAFC, a fini par trouver l’entrant Liam Delap sur le côté: le nouvel attaquant des Blues, pour sa première rencontre, a offert une passe décisive sur un centre à Enzo Fernandez pour le deuxième but inscrit de près (80e).Christopher Nkunku est entré à la 84e minute, mais n’a pas eu le temps de se mettre en évidence pour Chelsea.L’autre match du groupe D, entre les Brésiliens de Flamengo et l’Espérance Tunis, aura lieu plus tard dans la journée (mardi 3h00 françaises).

Death penalty possible for suspected killer of Minnesota lawmaker

The suspected killer of a Minnesota lawmaker could face the death penalty, US prosecutors said Monday as they revealed chilling details of an alleged murderous nighttime spree targeting local Democrats.Vance Boelter, 57, faces six federal charges, including two counts of murder by firearm, punishable by life imprisonment or the death penalty, acting US Attorney for the District of Minnesota Joe Thompson told a press conference in Minneapolis. Thompson gave a shocking account of Boelter’s alleged activities in the early hours of Saturday, revealing that he went to the homes of four state politicians — all of them Democrats — not only the two previously reported.”It is no exaggeration to say his crimes are the stuff of nightmares. Boelter stalked his victims like prey. He went to their homes, held himself out as a police officer, and shot them in cold blood,” Thompson said.The rampage began with the shooting of state Senator John Hoffman and his wife and ended with the killing of Representative Melissa Hortman and her husband. But it had two other stops in between, Thompson added.After shooting the Hoffmans, clad in a black tactical vest, body armor and a silicon mask, Boelter banged on the door of a politician’s home in the Minneapolis suburb of Maple Grove, but found no one home, Thompson said. He then travelled to a home in the adjacent town of New Hope, but left after he was spotted by a police officer, Thompson said.”The Department of Justice will prosecute this suspect to the fullest extent of the law and if convicted deliver severe consequences for his alleged crimes,” Attorney General Pam Bondi said in a statement.  The 57-year-old appeared in a federal court in Saint Paul, Minnesota on Monday and a federal judge ordered him to remain in custody, US media reported.  – Security camera footage -State Senator Hoffman and his wife were continuing to heal, their family said in a statement cited by ABC News. Both were struck multiple times by bullets.  Citing security camera footage, US attorney Thompson described how the suspect banged on the Hoffmans’ door and shined a flashlight in their faces before forcing himself inside and shooting them. Boelter was taken into custody after a 48-hour manhunt in a rural area about an hour southwest of Minneapolis, police and state officials said.SWAT teams used drones to identify the suspect’s location, and officers crawled through ditches in the area’s farm fields to confine him, the Minnesota Star Tribune reported. – ‘This cannot be the norm’ -A notebook containing the names of other lawmakers and potential targets was found inside a car left by Boelter at the Hortmans’ home.The attacks renewed fears of growing political violence in America.The United States is bitterly divided politically as President Donald Trump embarks on his second term, implementing hardline policies and routinely insulting his opponents. Political violence has become more common.Trump himself survived an assassination attempt last year, with a second attempt foiled by law enforcement. Pennsylvania Governor Josh Shapiro’s home was set on fire this year. An assailant with a hammer attacked the husband of then-US House speaker Nancy Pelosi in 2022. “(This is) a moment in this country where we watch violence erupt,” Minnesota Governor Tim Walz said after the arrest.”This cannot be the norm. It cannot be the way that we deal with our political differences.”Trump has condemned the attacks in Minnesota on the lawmakers and their spouses.The president was asked in an interview with ABC News if he planned to call Walz, who was Kamala Harris’s running mate in the election Trump won last year.”Well, it’s a terrible thing. I think he’s a terrible governor. I think he’s a grossly incompetent person,” Trump said. “But I may, I may call him, I may call other people too.”

Oil prices drop, stocks climb as Iran-Israel war fears ease

Stocks rose and oil prices retreated Monday as fears of a wider Middle East conflict eased even as Israel and Iran pounded each other with missiles for a fourth day.The dollar dipped against the euro and pound, while safe-haven gold declined slightly.”As things stand, investors seem less fearful than they were going into the weekend of the possibility that the war between Israel and Iran spreads across the Middle East, and beyond,” said David Morrison, senior market analyst at financial services provider Trade Nation.”It appears that most of the Israeli airstrikes and missile launches avoided the most significant parts of Iran’s energy infrastructure. And so far Iran’s retaliation has done relatively little damage,” he added.Wall Street’s main stock indices pushed higher, with the broad-based S&P 500 finishing up nearly one percent after spending the entire day in positive territory.In Europe, London, Paris and Frankfurt all closed the day with gains.They tracked gains in Asia, where Tokyo closed up 1.3 percent, boosted by a weaker yen, while Hong Kong and Shanghai also advanced.Israel’s surprise strike against Iranian military and nuclear sites on Friday — killing top commanders and scientists — sent crude prices soaring as much as 13 percent at one point on fears about supplies from the region.However, concerns over the conflict spreading appeared to have receded, with both main oil contracts declining on Monday.”Unpleasant as it is to watch two sides trade missiles on a sustained basis, so long as the Straits of Hormuz remain quiescent it is hard to envisage a scenario where Friday’s gains can be sustained,” said Chris Beauchamp, chief market analyst at online trading platform IG.Analysts said the recent decision by the OPEC+ group of crude producing nations, led by Saudi Arabia and Russia, to raise output again in July also played a role.”There may need to be a major escalation in the conflict before we get another sharp upswing in oil and gold prices,” said Kathleen Brooks, research director at trading group XTB.Investors were gearing up for monetary policy decisions this week from the US Federal Reserve, Bank of England and Bank of Japan.All are expected to hold steady but traders will be keeping a close watch on their statements for clues on interest-rate outlooks, with US officials under pressure from President Donald Trump to cut borrowing costs.Also in focus is the G7 summit in the Canadian Rockies, which kicked off Sunday, where the Middle East crisis will be discussed along with trade after Trump’s tariff blitz.In corporate news, shares in Nippon Steel rose more than three percent in Tokyo after Trump on Friday signed an executive order approving its $14.9 billion merger with US Steel, bringing an end to the long-running saga. US Steel advanced 5.1 percent.Shares in Gucci owner Kering climbed almost 12 percent in Parison reports that the outgoing boss of French automaker Renault would take over as chief executive of the struggling luxury group.Kering announced the appointment after European markets closed.Renault shares slumped 8.7 percent, following its announcement on Sunday that Luca de Meo would step down in July. – Key figures at around 2030 GMT -New York – Dow: UP 0.8 percent at 42,515.09 (close)New York – S&P 500: UP 0.9 percent at 6,033.11 (close)New York – Nasdaq: UP 1.5 percent at 19,701.21 (close)London – FTSE 100: UP 0.3 percent at 8,875.22 (close)Paris – CAC 40: UP 0.8 percent at 7,742.24 (close)Frankfurt – DAX: UP 0.8 percent at 23,699.12 (close)Tokyo – Nikkei 225: UP 1.3 percent at 38,311.33 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.7 percent at 24,060.99 (close)Shanghai – Composite: UP 0.4 percent at 3,388.73 (close)Euro/dollar: UP at $1.1562 from $1.1549 on FridayPound/dollar: UP at $1.3579 from $1.3571Dollar/yen: UP at 144.79 yen from 144.07 yenEuro/pound: UP at 85.12 pence from 85.10 penceWest Texas Intermediate: DOWN 1.7 percent at $71.77 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 1.4 percent at $73.23 per barrelburs-jmb/des

Oil prices drop, stocks climb as Iran-Israel war fears ease

Stocks rose and oil prices retreated Monday as fears of a wider Middle East conflict eased even as Israel and Iran pounded each other with missiles for a fourth day.The dollar dipped against the euro and pound, while safe-haven gold declined slightly.”As things stand, investors seem less fearful than they were going into the weekend of the possibility that the war between Israel and Iran spreads across the Middle East, and beyond,” said David Morrison, senior market analyst at financial services provider Trade Nation.”It appears that most of the Israeli airstrikes and missile launches avoided the most significant parts of Iran’s energy infrastructure. And so far Iran’s retaliation has done relatively little damage,” he added.Wall Street’s main stock indices pushed higher, with the broad-based S&P 500 finishing up nearly one percent after spending the entire day in positive territory.In Europe, London, Paris and Frankfurt all closed the day with gains.They tracked gains in Asia, where Tokyo closed up 1.3 percent, boosted by a weaker yen, while Hong Kong and Shanghai also advanced.Israel’s surprise strike against Iranian military and nuclear sites on Friday — killing top commanders and scientists — sent crude prices soaring as much as 13 percent at one point on fears about supplies from the region.However, concerns over the conflict spreading appeared to have receded, with both main oil contracts declining on Monday.”Unpleasant as it is to watch two sides trade missiles on a sustained basis, so long as the Straits of Hormuz remain quiescent it is hard to envisage a scenario where Friday’s gains can be sustained,” said Chris Beauchamp, chief market analyst at online trading platform IG.Analysts said the recent decision by the OPEC+ group of crude producing nations, led by Saudi Arabia and Russia, to raise output again in July also played a role.”There may need to be a major escalation in the conflict before we get another sharp upswing in oil and gold prices,” said Kathleen Brooks, research director at trading group XTB.Investors were gearing up for monetary policy decisions this week from the US Federal Reserve, Bank of England and Bank of Japan.All are expected to hold steady but traders will be keeping a close watch on their statements for clues on interest-rate outlooks, with US officials under pressure from President Donald Trump to cut borrowing costs.Also in focus is the G7 summit in the Canadian Rockies, which kicked off Sunday, where the Middle East crisis will be discussed along with trade after Trump’s tariff blitz.In corporate news, shares in Nippon Steel rose more than three percent in Tokyo after Trump on Friday signed an executive order approving its $14.9 billion merger with US Steel, bringing an end to the long-running saga. US Steel advanced 5.1 percent.Shares in Gucci owner Kering climbed almost 12 percent in Parison reports that the outgoing boss of French automaker Renault would take over as chief executive of the struggling luxury group.Kering announced the appointment after European markets closed.Renault shares slumped 8.7 percent, following its announcement on Sunday that Luca de Meo would step down in July. – Key figures at around 2030 GMT -New York – Dow: UP 0.8 percent at 42,515.09 (close)New York – S&P 500: UP 0.9 percent at 6,033.11 (close)New York – Nasdaq: UP 1.5 percent at 19,701.21 (close)London – FTSE 100: UP 0.3 percent at 8,875.22 (close)Paris – CAC 40: UP 0.8 percent at 7,742.24 (close)Frankfurt – DAX: UP 0.8 percent at 23,699.12 (close)Tokyo – Nikkei 225: UP 1.3 percent at 38,311.33 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.7 percent at 24,060.99 (close)Shanghai – Composite: UP 0.4 percent at 3,388.73 (close)Euro/dollar: UP at $1.1562 from $1.1549 on FridayPound/dollar: UP at $1.3579 from $1.3571Dollar/yen: UP at 144.79 yen from 144.07 yenEuro/pound: UP at 85.12 pence from 85.10 penceWest Texas Intermediate: DOWN 1.7 percent at $71.77 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 1.4 percent at $73.23 per barrelburs-jmb/des

Wall Street en hausse malgré la poursuite du conflit armé Israël-Iran

La Bourse de New York a terminé dans le vert lundi, en dépit de la persistance des affrontements entre Israël et l’Iran, les investisseurs se montrant rassurés par l’absence d’élargissement du conflit au reste du Moyen-Orient.Le Dow Jones a gagné 0,75%, l’indice Nasdaq a pris 1,52% et l’indice élargi S&P 500 a avancé de 0,94%.”La force principale” qui a guidé les acteurs de marché “est simplement le sentiment que le conflit entre Israël et l’Iran est relativement contenu jusqu’à présent”, estime Patrick O’Hare, de Briefing.com.”Le marché est donc conscient que le conflit pourrait encore s’aggraver”, mais pour le moment, il a évolué “autour de l’idée que la situation n’a pas été pire que ce que l’on craignait”, ajoute l’analyste.Israël a bombardé lundi le bâtiment de la télévision d’Etat iranienne, qui a brièvement interrompu sa retransmission depuis Téhéran où des explosions ont retenti dans plusieurs secteurs, au 4e jour d’un conflit inédit entre les deux pays ennemis.L’Iran a pour sa part tiré lundi matin des missiles sur plusieurs grandes villes d’Israël.”Il y a eu un certain soulagement de voir qu’il n’y a pas eu d’attaques vraiment significatives contre les installations de production de pétrole de l’Iran”, souligne Patrick O’Hare.Les échanges commerciaux de pétrole n’ont pas non plus été perturbés et “les prix de l’énergie se sont donc repliés à la suite de cette prise de conscience” ce qui a aidé à pousser Wall Street dans une direction positive, relève l’analyste.Cette actualité géopolitique va être “juxtaposée à de nombreuses décisions des banques centrales cette semaine, y compris la décision du comité monétaire de la Réserve fédérale américaine (FOMC) mercredi”, prévient Patrick O’Hare.Les acteurs de la finance sont presque unanimes: la banque centrale américaine va opter pour le statu quo pour la quatrième fois d’affilée, en maintenant ses taux dans une fourchette comprise entre 4,25% et 4,50%.Le marché “sera très attentif au résumé des projections économiques”, anticipe M. O’Hare.Ce document, qui sera publié aussi mercredi par la Fed, contient des prévisions économiques et une estimation du nombre de baisses de taux qui pourraient intervenir d’ici la fin de l’année.En attendant, les investisseurs scruteront mardi les chiffres des ventes au détail aux Etats-Unis pour le mois de mai, “un élément important qui permettra au marché de valider (ou non) son opinion selon laquelle le consommateur tient toujours raisonnablement bien le coup, malgré tout ce qui se passe autour de lui” au niveau économique, pour Patrick O’Hare.Sur le marché obligataire, vers 13H50 GMT, le rendement des emprunts d’État américains à 10 ans se tendait à 4,45%, contre 4,40% à la clôture vendredi.Au tableau des valeurs, Meta a été recherché (+2,67% à 700,54 dollars) après avoir annoncé l’introduction prochaine de nouveaux espaces publicitaires sur WhatsApp, un tournant important pour la messagerie qui avait jusqu’ici largement échappé à la publicité.Le géant américain des casinos MGM a bondi (+8,10% à 34,30 dollars) après avoir amélioré les prévisions annuelles de BetMGM, co-entreprise de paris qu’il détient avec le groupe britannique Entain, grâce à “une forte croissance du chiffre d’affaires dans les jeux et sports en ligne”.Le géant de la sidérurgie U.S. Steel a grimpé de 5,10% à 54,85 dollars, après que le président américain Donald Trump a signé vendredi un décret portant sur son acquisition par Nippon Steel, la conditionnant au respect d’un “accord de sécurité nationale”.

En attaquant l’Iran, Israël dit changer “la face du Moyen-Orient”

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, a affirmé lundi que son pays était en train de changer “la face du Moyen-Orient” avec son attaque sans précédent sur l’Iran, au quatrième jour d’une escalade militaire meurtrière entre les deux pays ennemis.M. Netanyahu s’exprimait au cours d’une conférence de presse, quelques heures après une frappe israélienne contre le bâtiment de la télévision d’Etat iranienne, qui a brièvement interrompu sa retransmission. L’attaque s’est produite alors qu’une présentatrice critiquait vivement Israël à l’antenne. Elle a été vue quittant précipitamment le plateau dans un nuage de poussière, tandis que des débris du plafond tombaient autour d’elle, selon une vidéo diffusée par un média iranien.Téhéran a condamné “un acte ignoble et un crime de guerre”.Les Iraniens voient “que le régime est beaucoup plus faible” qu’ils le pensaient,  a commenté M. Netanyahu.”Ils le comprennent et cela peut produire des résultats”, a-t-il dit, laissant entendre qu’un changement de pouvoir en Iran “pourrait” en être un et rappelant qu’Israël a décapité depuis vendredi la direction sécuritaire iranienne. “Nous les éliminons un par un”.Tuer l’ayatollah Ali Khamenei “mettra fin au conflit” entre Israël et l’Iran, a-t-il dit plus tôt dans une interview accordée à la chaîne de télévision américaine ABC.Le président américain Donald Trump s’est opposé à un plan israélien visant à éliminer le guide suprême iranien, avait révélé dimanche un responsable américain.En marge d’un sommet du G7 au Canada, M. Trump a appelé une nouvelle fois l’Iran à “négocier immédiatement avant qu’il ne soit trop tard”, tout en rappelant que les Etats-Unis avaient “toujours soutenu Israël”.Dans un message sur X, le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi s’est demandé plus tard si M. Trump “prend au sérieux la diplomatie et est intéressé d’arrêter la guerre”.”Il suffit d’un seul coup de téléphone de Washington pour museler quelqu’un comme Netanyahu. Cela peut ouvrir la voie à un retour à la diplomatie”, a-t-il ajouté.”Nous continuerons de pilonner ces lâches aussi longtemps qu’il le faudra pour qu’ils cessent de tirer sur notre peuple”, a indiqué M. Araghchi, en parlant d’Israël. Après l’attaque sur sa télévision d’Etat, l’Iran a appelé dans la soirée deux chaînes israéliennes, N12 et N14, à évacuer leurs locaux.- Nouvelle salve de missiles  – La télévision d’Etat iranienne a annoncé lundi soir une nouvelle salve de missiles sur Israël.L’Iran avait tiré lundi matin des missiles sur plusieurs grandes villes d’Israël, en réponse à des frappes aériennes israéliennes sur le territoire iranien.Les frappes israéliennes, qui ont notamment visé Téhéran, ont fait au moins 224 morts et plus d’un millier de blessés en Iran, selon un bilan officiel établi dimanche.Les salves de missiles iraniens tirées en riposte sur Israël ont fait au moins 24 morts depuis vendredi, selon le bureau du Premier ministre israélien. Ce bilan s’est alourdi lundi de onze morts, dont huit tués pendant la nuit à Petah-Tikva, Bnei-Brak et Haïfa.Une frappe iranienne dimanche sur une raffinerie de pétrole à Haïfa a coûté la vie à trois Israéliens, a-t-on appris de surcroît lundi après une levée de la censure militaire sur cette information.Au petit matin lundi, les habitants de Petah-Tikva en Israël, fatigués et apeurés, ont découvert les destructions. Sur plusieurs étages, le coin d’un grand immeuble blanc a été léché par les flammes et de larges pans de murs étaient calcinés.”Quand nous avons entendu les sirènes, nous sommes allés dans l’abri. Quelques minutes plus tard, nous avons entendu une explosion et quand nous sommes sortis, nous avons vu les dégâts, toutes les maisons détruites”, a raconté Henn, un homme dont l’appartement a été détruit.- Le Grand Bazar de Téhéran fermé -Après des décennies de guerre par procuration et d’opérations ponctuelles, c’est la première fois que les deux pays ennemis s’affrontent militairement avec une telle intensité.Soupçonné par les Occidentaux et par Israël de vouloir fabriquer l’arme nucléaire, l’Iran dément et défend son droit à enrichir de l’uranium afin de développer un programme nucléaire civil.Le Grand Bazar, le principal marché de Téhéran, est resté fermé. Les rues de la capitale étaient pour la plupart désertes, les magasins fermés à l’exception de quelques épiceries et de nombreux automobilistes faisaient la queue aux abords des stations-service. Un vendeur a signalé une augmentation des achats compulsifs, disant que son magasin “était en rupture de stocks d’eau”.Israël a lancé depuis vendredi sur l’Iran une attaque d’une ampleur sans précédent, visant des centaines de cibles militaires et nucléaires, avec l’objectif affiché d’empêcher ce pays de se doter de la bombe atomique.Lundi, Israël a dit avoir frappé à Téhéran des centres de commandement de la Force Qods, l’unité d’élite des Gardiens de la Révolution chargée des opérations extérieures. Depuis vendredi, les frappes israéliennes ont tué les trois plus hauts gradés du pays et neuf scientifiques du programme nucléaire iranien.Selon le Premier ministre Benjamin Netanyahu, Israël a aussi “détruit la principale installation” du site d’enrichissement d’uranium de Natanz, dans le centre de l’Iran.L’AIEA a cependant affirmé lundi qu’il n’y avait “pas d’indication d’attaque” contre la partie souterraine du site, qui abrite la principale usine d’enrichissement. Selon un média iranien, de nouvelles frappes ont aussi visé lundi l’ouest de l’Iran, dont l’une a touché une caserne de pompiers dans la province d’Ilam tandis qu’un hôpital a subi d’importants dégâts à Kermanshah. L’Iran a accusé Israël d’avoir pris pour cible cet hôpital et dénoncé un “crime de guerre”.