Trump s’émeut des “atrocités” au Soudan et promet de s’impliquer

Donald Trump a dit mercredi vouloir mettre fin aux “atrocités” au Soudan, ravagé par plus de deux ans de conflit, après que le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane lui a demandé de s’impliquer.Le Conseil de souveraineté du Soudan, dirigé par le chef de l’armée Abdel Fattah al-Burhane, a réagi en se disant prêt à …

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White House defends Trump’s harsh attacks on reporters

The White House doubled down Wednesday after two incidents in which President Donald Trump angrily confronted female reporters from US news outlets.It called ABC News a “Democrat spin operation masquerading as a broadcast network” after Trump lashed out at TV correspondent Mary Bruce in the Oval Office on Tuesday.And after Trump said “quiet, piggy” to Bloomberg reporter Catherine Lucey on Air Force One on Friday, the White House said that “if you’re going to give it, you have to be able to take.”The verbal assaults were markedly harsh even for Trump, renowned for his confrontational approach to what he calls the “fake news.”He reacted furiously during a White House visit by Saudi Arabia’s Crown Prince Mohammed bin Salman on Tuesday when ABC’s Bruce posed questions about the murder of a dissident Saudi journalist in 2018, the Trump family’s business dealings, and the Jeffrey Epstein scandal.Trump told Bruce in the Oval Office not to “embarrass our guest,” called her a “terrible reporter” and threatened ABC’s broadcast license.The White House followed up on Wednesday, putting out a fact sheet containing examples from the past eight years of what it said was a “a deliberate deception to wage war on President Trump and the millions of Americans who elected him to multiple terms.”It was similarly unrepentant about Bloomberg’s Lucey, who asked Trump why he would not release material on Epstein, accusing the wire service journalist of “unprofessional behavior.”In footage of the incident, Lucey and another reporter could be heard trying to talk at the same time — a common occurrence as journalists in the press corps try to get the president’s attention.A White House official said on condition of anonymity: “This reporter behaved in an inappropriate and unprofessional way towards her colleagues on the plane. If you’re going to give it, you have to be able to take.”The White House Correspondents Association, an independent organization which represents journalists who cover the US president, did not immediately respond to a request for comment.

Ligue des champions féminine: vainqueur du Benfica, le Paris FC se relance dans la course à la qualification

Le Paris FC s’est imposé mercredi à Jean Bouin contre le Benfica (2-0), réduit à dix, et décroche sa première victoire de la saison en Ligue des champions à l’occasion de la quatrième journée.Ni le froid mordant, ni la pluie, ni des visiteurs particulièrement animés dans un stade Jean Bouin dégarni, n’auront eu raison des bonnes intentions parisiennes.En difficulté dans ce début de saison en Europe, les joueuses de Sandrine Soubeyrand se sont montrées mercredi entreprenantes dans le jeu et solides défensivement, mettant d’emblée beaucoup de rythme et de l’agressivité dans leurs duels contre les Portugaises.L’exclusion de la Danoise du Benfica Caroline Moller (32e), sanctionnée de deux cartons jaunes en l’espace de trois minutes pour deux tacles dangereux, a permis au Paris FC de prendre l’ascendant peu avant la pause.- Remonter en place de barragiste -A la faveur d’une interception haute d’Anaelle Le Moguedec, passeuse décisive sur les deux actions de la soirée, Maeline Mendy, 18 ans, a trouvé l’ouverture du pied gauche pour sa première titularisation en ligue des champions de la saison (43e, 1-0).Jusqu’alors, c’est le Benfica qui s’était octroyé la plus grosse occasion (22e) après que Moller ait gratté le ballon à Melween N’Dongala. Dans le dos de la défense, Martin-Prieto avait alors tenté un tir rasant du pied droit, anticipé par la gardienne parisienne Mylène Chavas.Profitant de leur supériorité numérique et d’un coaching gagnant,  Maelle Garbino, entrée cinq minutes auparavant à la place de Mendy, faisait le break (62e) d’une tête au deuxième poteau.La milieu de terrain aurait même pu doubler la mise quelques minutes plus tard, lancée seule dans le couloir droit, sans la bonne sortie de la portière portugaise qui repoussait sa frappe.”On est contentes, on a tout fait pour avoir la victoire, la coach a dit qu’il fallait qu’on ait de l’ambition et du caractère et c’est ce qu’on a fait”, s’est réjouie Anaelle Le Moguédec au micro de L’Equipe TV. “Il ne fallait pas se précipiter ce soir” et “le fait de jeu (le carton rouge, ndlr) a fait qu’on a eu un peu de chance.”Passées tout près de l’exploit contre le redoutable Real Madrid (1-1), qui avait égalisé dans les dernières secondes, les joueuses du Paris FC ont cette fois confirmé à Jean Bouin leurs ambitions et résisté jusque dans les derniers instant au pressing insistant des lisboètes.Les trois points acquis ce mercredi (5 au total) devraient leur permettre de remonter dans les places de barragiste à l’issue de la quatrième journée (de la 5e à la 12e place), à hauteur des Norvégiennes de Valerenga qu’elles affronteront le 10 décembre. Une rencontre qui pourrait déjà s’avérer décisive pour jouer les huitièmes de finales tant la dernière journée de Ligue des champions s’annonce difficile face à l’actuel leader, le FC Barcelone.

Ligue des champions féminine: vainqueur du Benfica, le Paris FC se relance dans la course à la qualification

Le Paris FC s’est imposé mercredi à Jean Bouin contre le Benfica (2-0), réduit à dix, et décroche sa première victoire de la saison en Ligue des champions à l’occasion de la quatrième journée.Ni le froid mordant, ni la pluie, ni des visiteurs particulièrement animés dans un stade Jean Bouin dégarni, n’auront eu raison des bonnes intentions parisiennes.En difficulté dans ce début de saison en Europe, les joueuses de Sandrine Soubeyrand se sont montrées mercredi entreprenantes dans le jeu et solides défensivement, mettant d’emblée beaucoup de rythme et de l’agressivité dans leurs duels contre les Portugaises.L’exclusion de la Danoise du Benfica Caroline Moller (32e), sanctionnée de deux cartons jaunes en l’espace de trois minutes pour deux tacles dangereux, a permis au Paris FC de prendre l’ascendant peu avant la pause.- Remonter en place de barragiste -A la faveur d’une interception haute d’Anaelle Le Moguedec, passeuse décisive sur les deux actions de la soirée, Maeline Mendy, 18 ans, a trouvé l’ouverture du pied gauche pour sa première titularisation en ligue des champions de la saison (43e, 1-0).Jusqu’alors, c’est le Benfica qui s’était octroyé la plus grosse occasion (22e) après que Moller ait gratté le ballon à Melween N’Dongala. Dans le dos de la défense, Martin-Prieto avait alors tenté un tir rasant du pied droit, anticipé par la gardienne parisienne Mylène Chavas.Profitant de leur supériorité numérique et d’un coaching gagnant,  Maelle Garbino, entrée cinq minutes auparavant à la place de Mendy, faisait le break (62e) d’une tête au deuxième poteau.La milieu de terrain aurait même pu doubler la mise quelques minutes plus tard, lancée seule dans le couloir droit, sans la bonne sortie de la portière portugaise qui repoussait sa frappe.”On est contentes, on a tout fait pour avoir la victoire, la coach a dit qu’il fallait qu’on ait de l’ambition et du caractère et c’est ce qu’on a fait”, s’est réjouie Anaelle Le Moguédec au micro de L’Equipe TV. “Il ne fallait pas se précipiter ce soir” et “le fait de jeu (le carton rouge, ndlr) a fait qu’on a eu un peu de chance.”Passées tout près de l’exploit contre le redoutable Real Madrid (1-1), qui avait égalisé dans les dernières secondes, les joueuses du Paris FC ont cette fois confirmé à Jean Bouin leurs ambitions et résisté jusque dans les derniers instant au pressing insistant des lisboètes.Les trois points acquis ce mercredi (5 au total) devraient leur permettre de remonter dans les places de barragiste à l’issue de la quatrième journée (de la 5e à la 12e place), à hauteur des Norvégiennes de Valerenga qu’elles affronteront le 10 décembre. Une rencontre qui pourrait déjà s’avérer décisive pour jouer les huitièmes de finales tant la dernière journée de Ligue des champions s’annonce difficile face à l’actuel leader, le FC Barcelone.

Trump faces moment of truth on explosive Epstein files

A bill requiring the release of government records on Jeffrey Epstein headed Wednesday to Donald Trump for his signature, spurring a showdown over whether the US president will allow full disclosure — or return to trying to bury the case.Trump stunned Washington over the weekend, reversing his months-long opposition to the Epstein Files Transparency Act, ensuring that it sailed through Congress on Tuesday in a rare show of bipartisan unity.The spotlight now turns to the Republican president, a former close friend of the late sex offender. Only Trump can stand in the way of the release and he has pledged to sign the bill, despite featuring heavily in the case file.Insiders warn that even with the president’s signature, his administration could lean on redactions, procedural delays or lingering federal investigations to keep explosive details out of the public eye.”Once the president signs the bill, he must apply and execute it faithfully. There must be no funny business from Donald Trump,” top Democrat Chuck Schumer warned in a speech on the Senate floor.”He must not use the excuse of frivolous investigations to release some Epstein documents, while intentionally hiding others that deserve to be seen by the American public.”Epstein, a wealthy financier, moved in elite circles for years, cultivating close ties with business tycoons, politicians, academics and celebrities to whom he was accused of trafficking girls and young women for sex.Trump and his allies spent years pushing theories about powerful Democrats being protected over involvement with Epstein, framing the case as a potent symbol of how powerful men can hide behind lawyers, money and connections.But Trump himself was a longtime associate of Epstein, raising questions over what he knew about the notorious figure.Far beyond Trump’s conspiracy-minded voter base, the saga dented public trust in the US justice system and raised suspicion among voters who believe important pieces of the story were either hidden or ignored.Epstein’s 2019 arrest fueled a storm of outrage and pressure for a full accounting of his network, his finances and the people who helped him evade.Conspiracy theories about a cover-up only deepened after his death — ruled a suicide — in a New York jail soon after.- ‘Smoke screen’? -Passage of the Epstein Files Transparency Act in Congress marked a moment of deep emotional resonance, with abuse survivors filling the House gallery as the vote was called, hugging and cheering when it passed.It was a sharp rebuke of Trump and his ally, House Speaker Mike Johnson, who had led efforts to prevent disclosure.Johnson said he would “cross that bridge” when asked if he’d push Trump to veto the bill.The president had warned House Republicans off the action but reversed course, fearing humiliation as he faced the largest rebellion of his presidency.Once signed, the Justice Department has a month to dump its unclassified files online — in a searchable trove of transcripts, flight logs and communications that could unearth unseen names and connections.The text makes only narrow exceptions for personal data and genuine legal and security concerns.But analysts question whether officials will comply, or argue that sensitive material cannot be released because related probes remain active — including a new investigation ordered by Trump last week into Epstein’s ties with Democrats.”(This) might be a big smoke screen, these investigations, to open a bunch of them as a last ditch effort to prevent the release of the Epstein files,” Thomas Massie, the Kentucky Republican who pushed the House vote, told ABC News. The Justice Department and FBI said in July they had uncovered no evidence in a review of the files that would support further action, and it was not clear if the new probe ordered by Trump on Friday would hamper disclosure.Attorney General Pam Bondi was pressed on the justification for further investigation and said there was “new information, additional information.””If there are any victims, we encourage all victims to come forward,” she told reporters. “And we will continue to provide maximum transparency under the law.”