Trump threats dominate as Hondurans vote for president
Hondurans cast ballots for their next president on Sunday amid threats by US President Donald Trump to cut aid to the country if his preferred candidate loses.Honduras could be the next country in Latin America, after Argentina and Bolivia, to swing right after years of leftist rule.Polls show three candidates neck-and-neck in the race to succeed leftist President Xiomara Castro, whose husband, Manuel Zelaya, also led the country before being toppled in a 2009 coup.Lawmakers and hundreds of mayors will also be elected in the fiercely polarized nation, which is one of the most violent countries in Latin America, mainly due to drug trafficking and gang activity.Polls opened at 7:00 am (1300 GMT) for 10 hours of voting, with the first results expected late Sunday.Trump has thrown his support behind 67-year-old Nasry “Tito” Asfura of the right-wing National Party — and said continued US support for one of Latin America’s poorest countries will be contingent on Asfura winning.”If he (Asfura) doesn’t win, the United States will not be throwing good money after bad,” he wrote Friday on his Truth Social platform, echoing threats he made in support of Argentine President Javier Milei’s party in that country’s recent midterms.Asfura’s main challengers are 60-year-old lawyer Rixi Moncada from Castro’s ruling Libre party and 72-year-old TV host Salvador Nasralla of the Liberal Party.The 66-year-old Castro, in power since 2022, is barred by the constitution from seeking a second consecutive term.Some Hondurans have welcomed Trump’s interventionism, saying they hope it might mean Honduran migrants will be allowed to remain in the United States.But others have rejected his meddling in the vote.”I vote for whomever I please, not because of what Trump has said, because the truth is I live off my work, not off politicians,” Esmeralda Rodriguez, a 56-year-old fruit seller, told AFP.Nearly 30,000 Honduran migrants have been deported from the United States since Trump returned to office in January.The clampdown has dealt a severe blow to the country of 11 million people, where remittances represented 27 percent of GDP last year.In a stunning move on Friday, Trump also announced he would pardon former Honduran president Juan Orlando Hernandez, of Asfura’s National Party, who is serving a 45-year prison sentence in the United States for cocaine trafficking and other charges.After voting in the capital Tegucigalpa, Asfura denied that the planned pardon would benefit him, saying: “This issue has been circulating for months, and it has nothing to do with the elections.”- Fears of election fraud -Moncada has portrayed the election as a choice between a “coup-plotting oligarchy” — a reference to the right’s backing of the 2009 military ouster of Zelaya — and democratic socialism.Moncada, who has held ministerial portfolios under both Zelaya and Castro, said she will only acknowledge the final results, not preliminary counts.Nasralla also served in Castro’s government but fell out with the ruling party and has since shifted to the right. The 67-year-old Asfura was in the construction business before being elected mayor of Tegucigalpa, serving two terms.Preemptive accusations of election fraud, made both by the ruling party and opposition, have sown mistrust in the vote and sparked fears of post-election unrest.The president of the National Electoral Council, Ana Paola Hall, warned all parties “not to fan the flames of confrontation or violence” at the start of the single-round election.- ‘Escape poverty’ -Long a transit point for cocaine exported from Colombia to the United States, Honduras is now also a producer of the drug.But the candidates barely addressed the fears of Hondurans about drug trafficking, poverty and violence during the campaign. “I hope the new government will have good lines of communication with Trump, and that he will also support us,” said Maria Velasquez, who is 58.”I just want to escape poverty.”
Ligue 1: Lens prend la tête, Nice n’en finit plus de perdre, l’OL se relance
Grâce à son succès à Angers (2-1), les Lensois ont pris dimanche la tête de la Ligue 1, l’OL s’est relancé, et Nice s’est enfoncé un peu plus dans la crise, enregistrant son 6e revers consécutif, cette fois contre Lorient (3-1).Profitant de la défaite du PSG (30 pts) à Monaco (1-0) samedi et du match nul de l’OM (29 pts) face à Toulouse (2-2), Lens retrouve, 21 ans après l’avoir quitté, le fauteuil de leader de la L1.Sans Jonathan Gradit, gravement blessé cette semaine à l’entraînement, ils enregistrent leur 10e victoire en quatorze matches, grâce à un doublé de Florian Thauvin, en grande forme (2-1). Les joueurs de Pierre Sage, pressés par les Angevins en fin de match, ont bien résisté aux assauts angevins pour tenir ce résultat, avec quelques arrêts déterminant du gardien lensois. – Nice, la crise se poursuit-Les Lillois, eux, grimpent à la 4e place grâce à leur succès au Havre, signé en toute fin de match sur un but d’Hamza Igamane servi par Ethan Mbappé (1-0). Une victoire importante pour le Losc, acquise alors que les Lillois ont joué à dix quasiment la moitié du match après l’exclusion d’Ayyoub Bouaddi à la 51e minute. Sur sa lancée de sa démonstration en Ligue Europa jeudi soir face au Maccabi Tel Aviv (6-0), l’OL est resté au contact du haut de tableau (6e, 24 pts) avec cette large victoire dimanche soir face à Nantes (3-0), réduit à dix juste avant la mi-temps. Pour son retour au Groupama stadium, le gardien nantais Anthony Lopes a empêché une défaite plus sévère pour les Nantais, qui restent barragistes.A égalité de points de Rennes et à deux points des Lillois, les Lyonnais – qui fêtaient les 75 ans du club – se sont relancés, après série de quatre matches sans victoire en championnat depuis fin octobre (trois nuls, une défaite). L’autre bonne nouvelle pour les Rhodaniens est le doublé de l’avant-centre uruguayen Martin Satriano (dix buts cette saison), silencieux depuis début octobre. En revanche, la crise se poursuit à Nice: les hommes de Franck Haise qui pointent à la 10e place avec 17 points enchainent leur 4e défaite en Ligue 1, la 6e toutes compétitions confondues. Cette nouvelle défaite vient conclure un mois de novembre catastrophique, et complique encore un peu plus la situation du coach Franck Haise. Au Moustoir, Lorient a eu la maitrise tout au long du match et les Niçois ont manqué beaucoup de consistance dans le jeu, ne montrant aucun signe de révolte (3-1). Ils ont encaissé 11 buts cette semaine, après Marseille (5-1) et Porto (3-0). En bas de classement, Brest a fait une bonne opération dimanche en renversant Strasbourg (2-1) grâce à un magnifique but d’Hugo Magnetti, une frappe de 25 mètres en pleine lucarne. Chez eux à la Meinau, les Alsaciens enchainent leur deuxième revers consécutif et restent provisoirement à la 7e place, avant le match de l’OL contre Nantes.
Italie: Naples éteint l’AS Rome, embouteillage en tête
La course au titre de champion d’Italie reste inhabituellement indécise avec un seul point séparant les quatre premiers après la victoire de Naples à Rome (1-0) et le réveil de l’Inter Milan à Pise (2-0) dimanche.Après la 13e journée, soit un tiers du championnat, bien malin qui peut prédire le prochain vainqueur de la Serie A: nouveau leader après son succès (1-0) face à la Lazio Rome samedi, l’AC Milan (28 points) ne devance que d’un point l’ancien leader, la Roma, qui a rétrogradé à la 4e place, derrière Naples (2e, 28 pts) et l’Inter (3e, 27 pts).Mal en point avant la trêve internationale de novembre, le champion en titre Naples a repris des couleurs, avec une troisième victoire consécutive, toutes compétitions confondues.Le Napoli, pourtant décimé par les blessures (De Bruyne, Anguissa, Gilmour, Meret), s’est imposé au Stade olympique grâce à un but de David Neres (36e).L’attaquant brésilien, parti de sa surface de réparation et relayé parfaitement par Rasmus Hojlund, a crucifié Mile Svilar et ramené sur terre les tifosi romanistes qui commençaient à rêver à un quatrième scudetto, 24 ans après le dernier.Vanja Milinkovic-Savic a préservé la victoire de son équipe à la 90e minute avec un spectaculaire plongeon pour détourner un tir de Tommaso Baldanzi.- Doublé de Martinez -Même si elle a été revigorée par Gian Piero Gasperini, la Roma semble un cran au-dessous des autres cadors: elle a concédé sa troisième défaite en autant de duels face à un autre prétendant après ses revers contre l’AC Milan et l’Inter Milan sur le même score d’1-0.Battu par l’AC Milan (1-0) le week-dernier et par l’Atletico Madrid (2-1) mercredi pour leur premier revers de la saison en Ligue des champions, l’Inter est sorti de sa mauvaise passe grâce à un doublé de Lautaro Martinez.L’Argentin, critiqué avec un seul but en championnat en deux mois, a fini par se réveiller.Le capitaine argentin des vice-champions d’Europe 2025 a libéré son équipe en reprenant instantanément un centre puissant de Francesco Pio Esposito (69e).Il a doublé la mise à la 83e minute en taclant un centre-tir de Nicolo Barella pour porter son total de buts sous le maillot nerazzurro à 163, ce qui en fait le quatrième meilleur buteur de l’histoire du club lombard, devant Sandro Mazzola (161).”Je laisse ceux qui sont en dehors de l’équipe parler et critiquer, moi je travaille pour l’Inter et pour ma famille”, a insisté, le visage fermé, le “Toro” qui n’avait pas apprécié d’être remplacé à la 72e minute contre l’Atletico. Derrière le “Big Four”, un autre groupe est en train de se former avec Bologne, 5e, Côme, 6e, tous les deux à 24 points, juste devant la Juventus Turin, vainqueur de Cagliari (2-1) samedi.
Italie: Naples ramène l’AS Rome sur terre et rejoint l’AC Milan en tête
Le champion d’Italie en titre Naples s’est imposé sur le terrain de l’AS Rome 1 à 0 pour rejoindre en tête de la Serie A l’AC Milan, dimanche lors du choc au sommet de la 13e journée.Le Napoli, pourtant décimé par les blessures (De Bruyne, Anguissa, Gilmour, Meret), s’est imposé sur un but de David Neres, parfaitement lancé par Rasmus Hojlund (36e).L’équipe d’Antonio Conte, mal en point avant la trêve internationale de novembre, a enchaîné une troisième victoire consécutive, toutes compétitions confondues.Elle totalise 28 points, comme l’AC Milan, vainqueur de la Lazio Rome (1-0) samedi mais leader grâce à sa meilleure différence de buts (+10, contre +9).Mais la course au titre reste toujours aussi indécise avec les quatre premiers se tenant en un point. La Roma a rétrogradé à la 4e place, avec 27 points, comme l’Inter Milan (3e) qui s’est imposé plus tôt dans la journée à Pise (2-0).L’AS Rome, leader avant cette 13e journée, a concédé sa troisième défaite en autant de duels face à un autre prétendant au titre, après ses revers contre l’AC Milan et l’Inter Milan.
Commission d’enquête sur les liens entre partis et islamisme: Mélenchon ne doit pas répondre à sa convocation, selon Bompard
Le coordinateur de La France insoumise, Manuel Bompard, a estimé dimanche sur France 3 que les Insoumis, au premier rang desquels Jean-Luc Mélenchon, ne devaient pas répondre aux “invitations” de la commission d’enquête lancée par LR à l’Assemblée, sur des liens supposés entre mouvements politiques et réseaux islamistes, visant implicitement LFI.”Je considère que cette commission d’enquête ne respecte pas les règles et donc ce n’est pas une commission d’enquête. Et donc je considère que les Insoumis ne doivent pas répondre à ses invitations”, a déclaré M. Bompard.La commission d’enquête présidée par Xavier Breton (LR) souhaitait auditionner M. Mélenchon mardi, comme l’a officiellement annoncé l’Assemblée nationale, mais la date restait subordonnée à une réponse de l’intéressé.Les Insoumis s’insurgent notamment contre le fait que le bureau (président, vices-présidents, secrétaires…) de cette commission ne comprenne pas de député issu de groupes de gauche, alors que le règlement dispose que ces nominations doivent se faire en s'”efforçant de reproduire la configuration politique de l’Assemblée”.Interrogé sur le plateau de BFMTV dimanche, le ministre de l’Intérieur Laurent Nuñez a jugé “dommage” que LFI ne souhaite pas répondre à la convocation de la commission d’enquête.”Indirectement, quand vous critiquez le gouvernement français et que vous le traitez d’islamophobe parce qu’il mène des actions pour lutter contre l’entrisme (…), en reprenant un discours de l’islam politique qui dit qu’en fait le gouvernement français est islamophobe, quelque part en condamnant l’action du gouvernement, vous donnez du crédit à cette mouvance”, a jugé le ministre, pour qui ce serait “intéressant d’entendre” LFI à ce sujet.La secrétaire nationale des Ecologies, Marine Tondelier, sera elle auditionnée mardi.”Nous ne sommes évidemment pas dupes de l’instrumentalisation politique qui est faite de cette commission d’enquête par le parti qui l’a initiée, mais nous n’avons rien à cacher, et donc pas de raison de refuser une commission d’enquête validée par le parlement”, a expliqué l’entourage de Mme Tondelier dimanche.”En revanche, nous irons dire aux parlementaires qui en sont à l’origine ce que nous pensons de la suspicion permanente qu’ils font peser sur nos compatriotes musulmans et de la vendetta politique qu’elle sous-tend contre certains partis politiques. Car que doit-on déduire de la convocation des Ecologistes ? L’ensemble des partis politiques vont-ils être auditionnés ?”, s’est interrogé cette source.
Commission d’enquête sur les liens entre partis et islamisme: Mélenchon ne doit pas répondre à sa convocation, selon Bompard
Le coordinateur de La France insoumise, Manuel Bompard, a estimé dimanche sur France 3 que les Insoumis, au premier rang desquels Jean-Luc Mélenchon, ne devaient pas répondre aux “invitations” de la commission d’enquête lancée par LR à l’Assemblée, sur des liens supposés entre mouvements politiques et réseaux islamistes, visant implicitement LFI.”Je considère que cette commission d’enquête ne respecte pas les règles et donc ce n’est pas une commission d’enquête. Et donc je considère que les Insoumis ne doivent pas répondre à ses invitations”, a déclaré M. Bompard.La commission d’enquête présidée par Xavier Breton (LR) souhaitait auditionner M. Mélenchon mardi, comme l’a officiellement annoncé l’Assemblée nationale, mais la date restait subordonnée à une réponse de l’intéressé.Les Insoumis s’insurgent notamment contre le fait que le bureau (président, vices-présidents, secrétaires…) de cette commission ne comprenne pas de député issu de groupes de gauche, alors que le règlement dispose que ces nominations doivent se faire en s'”efforçant de reproduire la configuration politique de l’Assemblée”.Interrogé sur le plateau de BFMTV dimanche, le ministre de l’Intérieur Laurent Nuñez a jugé “dommage” que LFI ne souhaite pas répondre à la convocation de la commission d’enquête.”Indirectement, quand vous critiquez le gouvernement français et que vous le traitez d’islamophobe parce qu’il mène des actions pour lutter contre l’entrisme (…), en reprenant un discours de l’islam politique qui dit qu’en fait le gouvernement français est islamophobe, quelque part en condamnant l’action du gouvernement, vous donnez du crédit à cette mouvance”, a jugé le ministre, pour qui ce serait “intéressant d’entendre” LFI à ce sujet.La secrétaire nationale des Ecologies, Marine Tondelier, sera elle auditionnée mardi.”Nous ne sommes évidemment pas dupes de l’instrumentalisation politique qui est faite de cette commission d’enquête par le parti qui l’a initiée, mais nous n’avons rien à cacher, et donc pas de raison de refuser une commission d’enquête validée par le parlement”, a expliqué l’entourage de Mme Tondelier dimanche.”En revanche, nous irons dire aux parlementaires qui en sont à l’origine ce que nous pensons de la suspicion permanente qu’ils font peser sur nos compatriotes musulmans et de la vendetta politique qu’elle sous-tend contre certains partis politiques. Car que doit-on déduire de la convocation des Ecologistes ? L’ensemble des partis politiques vont-ils être auditionnés ?”, s’est interrogé cette source.





