Les “architectes de l’IA” désignés personnalités de l’année par le magazine Time

Les “architectes” de l’intelligence artificielle (IA), parmi lesquels le patron d’OpenAI Sam Altman, celui de Nvidia Jensen Huang ou celui de xAI Elon Musk, ont été désignés jeudi comme les personnalités de l’année par le magazine américain Time.”L’IA est assurément devenue l’outil le plus influent dans la compétition entre grandes puissances depuis l’avènement des armes …

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Les Game Awards, “cerise sur le gâteau” pour le créateur du jeu vidéo français “Clair Obscur”

Participer la semaine prochaine aux Game Awards, pendant vidéoludique des Oscars, représente “la cerise sur le gâteau” d’une année faste pour le Français Guillaume Broche, créateur du jeu vidéo “Clair Obscur: Expedition 33” qui part grand favori pour remporter le titre de “jeu de l’année”.Quelques jours avant la cérémonie à Los Angeles, le cofondateur du …

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Enquête ouverte sur des menaces visant les serveurs de messagerie du ministère de l’Intérieur

Une enquête a été ouverte après la découverte de “l’existence d’activités suspectes visant des serveurs de messagerie” du ministère de l’Intérieur et des mesures ont été mises en oeuvre afin de “circonscrire la menace”, a indiqué la place Beauvau jeudi à l’AFP, confirmant une information de BFMTV.Beauvau a dit avoir “découvert l’existence d’activités suspectes visant …

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L’Assemblée adopte un texte pour le renouvellement automatique des titres de séjour longue durée

L’Assemblée nationale a adopté jeudi soir, lors de la journée réservée aux propositions du groupe socialiste, un texte visant à permettre le renouvellement automatique des titres de séjour de longue durée, contre l’avis du gouvernement.Examinée en première lecture, la proposition devra désormais être inscrite à l’ordre du jour du Sénat. Elle a été adoptée par 98 voix pour, contre 37, grâce à l’union de la gauche et face à un camp gouvernemental et une extrême droite faiblement mobilisés.Portée par la députée socialiste Colette Capdevielle, la mesure entend répondre à une “injustice criante” liée à l’explosion des délais d’instruction pour les renouvellements de titres de séjour de longue durée et des cartes de résident, alors que plus de 99% des demandes sont accordées.”Nous réussissons l’exploit d’emboliser un système pour moins de 1% des dossiers”, a-t-elle dénoncé, évoquant les files d’attentes, les mois pour obtenir un rendez-vous, les plateformes saturées, et, de ce fait, des ruptures de droits entraînant perte d’emploi, impossibilité de louer un logement ou interruption de couverture maladie. “La machine administrative fabrique elle-même la précarité, nous fabriquons des sans-papiers”, a-t-elle lancé.Le texte prévoit que les cartes pluriannuelles (jusqu’à quatre ans) et les cartes de résident (dix ans) soient renouvelées automatiquement, sauf si l’administration démontre des motifs juridiques pour s’y opposer.- “Illusion de la simplicité” -La ministre déléguée auprès du ministre de l’Intérieur, Marie-Pierre Vedrenne, a reconnu “des délais dégradés”, mais a défendu l’opposition du gouvernement, invoquant les risques juridiques et constitutionnels liés à l’automaticité des renouvellements “sans examen individualisé”.Elle a aussi jugé la mesure “inefficace”, estimant qu’elle “déplacerait la charge de travail” sans réduire les délais et qu’elle ne permettrait pas de traiter certaines “situations problématiques”, citant le cas d’un étranger qui ne remplirait plus les conditions de délivrance, par exemple après “une condamnation pénale” ou “la découverte d’une polygamie”, et qui verrait son titre renouvelé automatiquement si l’information n’était pas “remontée à temps”.Les débats ont été houleux de part et d’autre de l’hémicycle. “Vous êtes en train de créer un grave danger”, a lancé Laurent Jacobelli (Rassemblement national), accusant le Parti socialiste de “vouloir faire croire qu’il est à nouveau de gauche” après avoir voté mardi le budget de la Sécurité sociale grâce à un compromis trouvé avec le gouvernement de Sébastien Lecornu.Colette Capdevielle a répliqué en rappelant que “l’administration conserve la possibilité, notamment en cas d’une condamnation qui trouble gravement l’ordre public, de pouvoir retirer le titre”, avant de lancer: “Pas l’un d’entre vous n’a apporté une once de solution, ni humanisme, ni réalisme. En fait, vous êtes tous simplement très, très racistes.”L’Assemblée a adopté toutes les autres propositions de loi défendues par le groupe socialiste lors de cette journée annuelle réservée à l’examen de leurs textes dans l’hémicycle, là encore en grande partie grâce à l’union des groupes de gauche et à une faible mobilisation de leurs opposants.”En faisant adopter leurs six propositions de loi, les députés socialistes ont de nouveau prouvé leur utilité pour les Français”, s’est félicité auprès de l’AFP le président du groupe Boris Vallaud, saluant des textes “qui amélioreront concrètement la vie des gens”.- Mineurs isolés -Deux de ces propositions entendent mieux protéger les mineurs. La première, votée à l’unanimité, vise à garantir un avocat à chaque enfant placé ou suivi dans sa famille par des services sociaux.Environ 380.000 jeunes sont concernés par des mesures d’assistance éducative en France. Ces enfants sont, sur décision d’un juge généralement, placés en famille d’accueil ou en foyer, ou bien suivis directement dans leur famille.Le plus souvent, ces enfants ne sont pas assistés d’un avocat, même s’ils peuvent en faire la demande ou s’en voir désigner un par un juge, lorsqu’ils sont capables de discernement.La proposition de loi a été votée alors que la révélation d’une vidéo d’un enfant tondu malgré lui par des éducateurs, dans un foyer d’enfants placés à Paris, a suscité une grande émotion.Dans la foulée, l’Assemblée a adopté une proposition de loi permettant à des jeunes isolés, qu’on évalue majeurs, de conserver l’accès à certaines protections, comme l’hébergement d’urgence, lorsqu’ils formulent un recours.Pile avant minuit, heure de fin d’examen de la “niche” du groupe socialiste, les députés ont voté à l’unanimité un texte pour réguler les prix de plusieurs services en Outre-mer, qui propose notamment de plafonner les prix des billets d’avion.

L’Assemblée adopte un texte pour le renouvellement automatique des titres de séjour longue durée

L’Assemblée nationale a adopté jeudi soir, lors de la journée réservée aux propositions du groupe socialiste, un texte visant à permettre le renouvellement automatique des titres de séjour de longue durée, contre l’avis du gouvernement.Examinée en première lecture, la proposition devra désormais être inscrite à l’ordre du jour du Sénat. Elle a été adoptée par 98 voix pour, contre 37, grâce à l’union de la gauche et face à un camp gouvernemental et une extrême droite faiblement mobilisés.Portée par la députée socialiste Colette Capdevielle, la mesure entend répondre à une “injustice criante” liée à l’explosion des délais d’instruction pour les renouvellements de titres de séjour de longue durée et des cartes de résident, alors que plus de 99% des demandes sont accordées.”Nous réussissons l’exploit d’emboliser un système pour moins de 1% des dossiers”, a-t-elle dénoncé, évoquant les files d’attentes, les mois pour obtenir un rendez-vous, les plateformes saturées, et, de ce fait, des ruptures de droits entraînant perte d’emploi, impossibilité de louer un logement ou interruption de couverture maladie. “La machine administrative fabrique elle-même la précarité, nous fabriquons des sans-papiers”, a-t-elle lancé.Le texte prévoit que les cartes pluriannuelles (jusqu’à quatre ans) et les cartes de résident (dix ans) soient renouvelées automatiquement, sauf si l’administration démontre des motifs juridiques pour s’y opposer.- “Illusion de la simplicité” -La ministre déléguée auprès du ministre de l’Intérieur, Marie-Pierre Vedrenne, a reconnu “des délais dégradés”, mais a défendu l’opposition du gouvernement, invoquant les risques juridiques et constitutionnels liés à l’automaticité des renouvellements “sans examen individualisé”.Elle a aussi jugé la mesure “inefficace”, estimant qu’elle “déplacerait la charge de travail” sans réduire les délais et qu’elle ne permettrait pas de traiter certaines “situations problématiques”, citant le cas d’un étranger qui ne remplirait plus les conditions de délivrance, par exemple après “une condamnation pénale” ou “la découverte d’une polygamie”, et qui verrait son titre renouvelé automatiquement si l’information n’était pas “remontée à temps”.Les débats ont été houleux de part et d’autre de l’hémicycle. “Vous êtes en train de créer un grave danger”, a lancé Laurent Jacobelli (Rassemblement national), accusant le Parti socialiste de “vouloir faire croire qu’il est à nouveau de gauche” après avoir voté mardi le budget de la Sécurité sociale grâce à un compromis trouvé avec le gouvernement de Sébastien Lecornu.Colette Capdevielle a répliqué en rappelant que “l’administration conserve la possibilité, notamment en cas d’une condamnation qui trouble gravement l’ordre public, de pouvoir retirer le titre”, avant de lancer: “Pas l’un d’entre vous n’a apporté une once de solution, ni humanisme, ni réalisme. En fait, vous êtes tous simplement très, très racistes.”L’Assemblée a adopté toutes les autres propositions de loi défendues par le groupe socialiste lors de cette journée annuelle réservée à l’examen de leurs textes dans l’hémicycle, là encore en grande partie grâce à l’union des groupes de gauche et à une faible mobilisation de leurs opposants.”En faisant adopter leurs six propositions de loi, les députés socialistes ont de nouveau prouvé leur utilité pour les Français”, s’est félicité auprès de l’AFP le président du groupe Boris Vallaud, saluant des textes “qui amélioreront concrètement la vie des gens”.- Mineurs isolés -Deux de ces propositions entendent mieux protéger les mineurs. La première, votée à l’unanimité, vise à garantir un avocat à chaque enfant placé ou suivi dans sa famille par des services sociaux.Environ 380.000 jeunes sont concernés par des mesures d’assistance éducative en France. Ces enfants sont, sur décision d’un juge généralement, placés en famille d’accueil ou en foyer, ou bien suivis directement dans leur famille.Le plus souvent, ces enfants ne sont pas assistés d’un avocat, même s’ils peuvent en faire la demande ou s’en voir désigner un par un juge, lorsqu’ils sont capables de discernement.La proposition de loi a été votée alors que la révélation d’une vidéo d’un enfant tondu malgré lui par des éducateurs, dans un foyer d’enfants placés à Paris, a suscité une grande émotion.Dans la foulée, l’Assemblée a adopté une proposition de loi permettant à des jeunes isolés, qu’on évalue majeurs, de conserver l’accès à certaines protections, comme l’hébergement d’urgence, lorsqu’ils formulent un recours.Pile avant minuit, heure de fin d’examen de la “niche” du groupe socialiste, les députés ont voté à l’unanimité un texte pour réguler les prix de plusieurs services en Outre-mer, qui propose notamment de plafonner les prix des billets d’avion.

Dermatose: les forces de l’ordre prennent le contrôle d’une ferme ariégeoise après des affrontements

Les forces de l’ordre ont pris dans la soirée de jeudi le contrôle d’une ferme ariégeoise où se trouvaient plusieurs dizaines d’opposants à l’abattage d’un troupeau de vaches, en raison d’un cas de dermatose nodulaire contagieuse (DNC), a constaté un journaliste vidéo de l’AFP.Faisant usage de gaz lacrymogène, les gendarmes mobiles ont investi peu avant 23h00 l’élevage situé dans le village des Bordes-sur-Arize, éloignant les manifestants alors que des affrontements ont ponctué la soirée, les grenades lacrymogènes répondant à des jets de projectiles dans un paysage nocturne éclairé par des feux de bottes de foin ou de palettes.”L’action conjointe des forces de sécurité intérieure a permis de sécuriser l’exploitation agricole. La situation est désormais sous contrôle”, a indiqué la préfecture de l’Ariège, peu avant 00h00.Depuis mercredi matin et l’annonce du cas de DNC, les agriculteurs s’étaient rassemblés sur le site pour bloquer l’accès aux services vétérinaires, chargés d’euthanasier 207 blondes d’Aquitaine. Au plus fort de la mobilisation, ils ont été plusieurs centaines d’agriculteurs, notamment de la Coordination rurale (CR), de la Confédération paysanne ou de simples sympathisants à protester dans le calme.Le préfet de l’Ariège a assuré jeudi en début de soirée que les deux frères propriétaires du troupeau lui avaient donné leur accord pour l’abattage, conformément au protocole sanitaire de lutte contre la DNC.Cette affirmation a été démentie par Pierre-Guillaume Mercadal, dirigeant de la CR du Tarn-et-Garonne, venu sur place. “Ils sont deux frères, un a cédé, l’autre non. Ils sont en train de déchirer cette famille, en plus de l’accabler du deuil de leurs vaches”, a-t-il répondu au préfet.- Vaccinations -L’abattage, seule méthode efficace pour éviter que “la maladie se diffuse dans l’ensemble du cheptel français”, se fera “dès que possible” puis une campagne de vaccination sera lancée dans le département, a annoncé le représentant de l’Etat. Sur les 33.000 bovins d’Ariège, 3.000 ont déjà été vaccinés le mois dernier, dans les zones proches des Pyrénées-Orientales où des foyers ont été détectés.Les syndicats agricoles locaux et la chambre d’agriculture ont proposé en vain un protocole expérimental au ministère de l’Agriculture, demandant notamment que seules les vaches contaminées soient abattues et qu’une campagne de vaccination massive soit lancée.- “Zones réglementées” -Jusqu’ici, la règlementation visant à stopper la propagation de la maladie prévoit que l’ensemble du troupeau concerné soit abattu et l’instauration de “zones règlementées” dans un rayon de 50 km autour du foyer de DNC, périmètre dans lequel les déplacements de bovins sont interdits ou restreints.Dans les Hautes-Pyrénées, un autre troupeau d’une vingtaine de bêtes doit être abattu vendredi, a annoncé le préfet de ce département, Jean Salomon. Dans cette exploitation, située à Luby-Betmont, quelques dizaines d’éleveurs sont aussi mobilisés pour empêcher l’action des services vétérinaires.”Les tentatives de blocage ou les regroupements observés en proximité des exploitations font courir à tous les éleveurs un risque de propagation supplémentaire de la maladie”, s’est inquiété M. Salomon.En Ariège, “c’est vraiment une place de résistance et j’espère qu’elle va tenir le plus longtemps possible”, avait souhaité dans l’après-midi Bertrand Venteau, président de la CR.”La mobilisation paye, ça a retardé l’échéance”, avait-il jugé, en appelant également à une vaccination massive et à “une grande unité du monde agricole”.La ministre de l’Agriculture “Annie Genevard doit changer sa politique, sinon elle va nous foutre le feu dans les campagnes”, a-t-il poursuivi, estimant que la maladie “n’est pas sous contrôle”. Apparue en juin en France, non transmissible à l’humain mais pouvant entraîner la mort des animaux, la DNC est “sous contrôle”, soutient au contraire le ministère de l’Agriculture qui a ouvert mardi “des réflexions” sur la vaccination préventive du cheptel français.Contrairement à la CR et à la Confédération paysanne, la FNSEA y est plus réticente en raison du “risque d’effondrement des exportations et des prix” qu’elle pourrait entraîner, a expliqué mardi à l’AFP son président, Arnaud Rousseau.Jeudi soir, ce dernier a cependant annoncé dans une vidéo avoir demandé à Mme Genevard une “extension de la zone vaccinale au-delà des zones règlementées”.Les cas détectés de DNC en Ariège et Hautes-Pyrénées sont les premiers recensés dans ces départements depuis la détection du premier foyer en Savoie le 29 juin 2025. 

Charlie Kirk murder suspect appears in US court

The man accused of killing right-wing political activist Charlie Kirk appeared in person in a US court for the first time on Thursday.Tyler Robinson looked on calmly as lawyers discussed procedural issues surrounding what is expected to be one of the most keenly watched trials in modern America.The clean-shaven 22-year-old wore a light shirt and a tie in the Utah court. The judge ruled at an earlier hearing that he did not have to appear in court in prison garb.Kirk was shot dead on a Utah college campus in September, sparking a wave of grief among conservatives, and threats of a clampdown on the “radical left” from President Donald Trump.Following a massive manhunt, Robinson was arrested the day after the September 10 killing when his family persuaded him to hand himself in because they had recognized him in photographs issued by investigators.He faces the death penalty if convicted of aggravated murder.Authorities say Robinson shot Kirk from a rooftop across the campus of Utah Valley University because of the influential activist’s views.They have cited text message exchanges between Robinson and his roommate, whom they described as “a biological male who was transitioning genders.”In one part of the exchange, the roommate, who was not named, asked Robinson why he had killed Kirk.”I had enough of his hatred,” Robinson is alleged to have written. “Some hate can’t be negotiated out.”Kirk, a father of two, used his audiences on TikTok, Instagram and YouTube to build support for conservative talking points, including strong criticism of the transgender rights movement.In the wake of the murder, a number of people lost their jobs after criticism from conservatives over what they posted online or said publicly about Kirk.Comedian Jimmy Kimmel was briefly suspended from his show on the ABC network following government pressure after he said Trump’s MAGA movement was trying to make political capital from the killing.