Asim Munir, maréchal et homme fort du Pakistan, désormais armé d’une immunité à vie

Déjà parmi les responsables les plus influents du Pakistan, le maréchal Asim Munir s’est vu accorder un nouveau titre et l’immunité à vie par une réforme constitutionnelle controversée, qui le propulse au rang d’”homme le plus puissant du pays”, selon des analystes.L’amendement adopté jeudi consolide son pouvoir militaire sous un seul et même titre, “chef …

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‘They are not us’: Bangladeshis rally against minority sect

Tens of thousands of demonstrators gathered in Bangladesh’s capital on Saturday to demand that followers of a tiny Muslim sect be declared infidels, in a show of force for hardliners ahead of elections.The Ahmadiya community, followers of a branch of Sufism that has its origins in 19th-century India, have long been persecuted in Muslim-majority Bangladesh.Mob attacks targeting sect member were reported across the country when former prime minister Sheikh Hasina’s government fell last year in a student-led revolution. In the months since then, hardline Islamist groups that had been stifled under Hasina’s autocratic rule have returned to the fore, in part hoping to make headway in general elections set for February.The crowd in the heart of Dhaka on Saturday included political leaders and senior Islamic preachers from India, Pakistan, Saudi Arabia and Egypt.Some protestors wore T-shirts that read: “Ahmadiyas must be declared kafirs (infidels).”A banner called for legislation against the sect “now”.Hardline Islamic scholars often denounce them as heretics, describing their belief in a prophet after Mohammed as blasphemy.”Ahmadiyas hold a completely different view from ours, and that’s why they are not us,” protester Mohammad Mamun Sheikh, 50, told AFP.”They can live in our country like followers of other religions, but not as Muslims,” he added.A 15-year-old boy at the rally, whose name has been withheld for safety, said his teacher had encouraged him to attend, arguing that “Ahmadiyas are polluting our religion.”Ahmad Tabshir Choudhury, a spokesman for the Ahmadiya community in Bangladesh, dismissed the theological arguments against them.”Religion is being used as a political tool,” he told AFP.Ahmadiyas make up less than one percent of Bangladesh’s population.”If our community made up even ten percent of the population, things would be different. Ahmadiyas would be treated differently by political parties,” Choudhury said.He added that despite fear of attacks, community members would not abandon their faith.”We will not give in,” he said.

Brazilian ‘Superman’ cheers child cancer patients in GhanaSat, 15 Nov 2025 11:53:18 GMT

The three-storey Child Health Department of the Korle Bu Teaching Hospital in Ghana’s capital Accra is a place with hushed corridors, laboured breathing and parents clutching on to hope.But on Friday, the gloom gave way to shrieks of joy as children with drips taped to their arms sat upright for the first time in days.Others, …

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Verdun: messe à huis clos en hommage à Pétain

L’hommage “au maréchal Pétain et à ses soldats” a démarré samedi à Verdun dans une église strictement réservée aux membres de l’association organisatrice, a indiqué le préfet de la Meuse, tandis qu’une centaine de manifestants protestaient devant le bâtiment religieux.”Un tout petit nombre” de personnes, “une vingtaine au maximum”, assistait à cet office en l’église Saint-Jean-Baptiste, a déclaré à l’AFP le préfet Xavier Delarue.”Les choses sont organisées de façon à ce que l’église soit fermée et réservée aux membres de l’association”, a-t-il expliqué.Le maire de la ville, Samuel Hazard, avait pris un arrêté interdisant cette messe par crainte de “trouble à l’ordre public”, qui a été retoqué vendredi par le tribunal administratif de Nancy.Le préfet a précisé s’être entretenu avant la cérémonie avec le prêtre célébrant la messe, afin de s’assurer que les règles découlant de la loi de 1905 sur la séparation de l’Eglise et de l’Etat soient respectées, à savoir qu’aucune prise de parole ou de distribution de tracts de nature politique n’ait lieu.A l’extérieur, un photographe de l’AFP a dénombré une vingtaine de policiers et gendarmes, tandis qu’une centaine de manifestants protestaient dans le calme, entonnant la Marseillaise.”J’ai mis en place un dispositif visant à éviter les contacts” entre les manifestants et les personnes venues assister à la messe, a indiqué le préfet.Plusieurs élus étaient présents à la manifestation avec leur écharpe tricolore.”Je suis profondément heurté, parce que je pense à toutes les victimes de la barbarie nazie et de la révolution nationale, l’idéologie du maréchal Pétain”, a déclaré à la presse Samuel Hazard (divers gauche).”C’est pas possible qu’on dérive comme cela”, a déclaré une paroissienne, Mariette Descamps, portant une pancarte où l’on pouvait lire “Catho pas facho”. “Je suis désolée de ce qui se passe aujourd’hui”, a-t-elle dit.L’office à l’origine de la polémique était organisé par l’Association pour défendre la mémoire du maréchal Pétain (ADMP).Cette association avait été autorisée par l’archevêque-évêque de Metz, administrateur apostolique de Verdun, à célébrer la messe pour le repos de l’âme du maréchal Pétain et des victimes de toutes les guerres.Philippe Pétain, héros de la Première Guerre mondiale puis chef du régime de Vichy qui collabora avec l’Allemagne nazie, a été frappé d’indignité nationale en 1945.

Verdun: messe à huis clos en hommage à Pétain

L’hommage “au maréchal Pétain et à ses soldats” a démarré samedi à Verdun dans une église strictement réservée aux membres de l’association organisatrice, a indiqué le préfet de la Meuse, tandis qu’une centaine de manifestants protestaient devant le bâtiment religieux.”Un tout petit nombre” de personnes, “une vingtaine au maximum”, assistait à cet office en l’église Saint-Jean-Baptiste, a déclaré à l’AFP le préfet Xavier Delarue.”Les choses sont organisées de façon à ce que l’église soit fermée et réservée aux membres de l’association”, a-t-il expliqué.Le maire de la ville, Samuel Hazard, avait pris un arrêté interdisant cette messe par crainte de “trouble à l’ordre public”, qui a été retoqué vendredi par le tribunal administratif de Nancy.Le préfet a précisé s’être entretenu avant la cérémonie avec le prêtre célébrant la messe, afin de s’assurer que les règles découlant de la loi de 1905 sur la séparation de l’Eglise et de l’Etat soient respectées, à savoir qu’aucune prise de parole ou de distribution de tracts de nature politique n’ait lieu.A l’extérieur, un photographe de l’AFP a dénombré une vingtaine de policiers et gendarmes, tandis qu’une centaine de manifestants protestaient dans le calme, entonnant la Marseillaise.”J’ai mis en place un dispositif visant à éviter les contacts” entre les manifestants et les personnes venues assister à la messe, a indiqué le préfet.Plusieurs élus étaient présents à la manifestation avec leur écharpe tricolore.”Je suis profondément heurté, parce que je pense à toutes les victimes de la barbarie nazie et de la révolution nationale, l’idéologie du maréchal Pétain”, a déclaré à la presse Samuel Hazard (divers gauche).”C’est pas possible qu’on dérive comme cela”, a déclaré une paroissienne, Mariette Descamps, portant une pancarte où l’on pouvait lire “Catho pas facho”. “Je suis désolée de ce qui se passe aujourd’hui”, a-t-elle dit.L’office à l’origine de la polémique était organisé par l’Association pour défendre la mémoire du maréchal Pétain (ADMP).Cette association avait été autorisée par l’archevêque-évêque de Metz, administrateur apostolique de Verdun, à célébrer la messe pour le repos de l’âme du maréchal Pétain et des victimes de toutes les guerres.Philippe Pétain, héros de la Première Guerre mondiale puis chef du régime de Vichy qui collabora avec l’Allemagne nazie, a été frappé d’indignité nationale en 1945.

Verdun: messe à huis clos en hommage à Pétain

L’hommage “au maréchal Pétain et à ses soldats” a démarré samedi à Verdun dans une église strictement réservée aux membres de l’association organisatrice, a indiqué le préfet de la Meuse, tandis qu’une centaine de manifestants protestaient devant le bâtiment religieux.”Un tout petit nombre” de personnes, “une vingtaine au maximum”, assistait à cet office en l’église Saint-Jean-Baptiste, a déclaré à l’AFP le préfet Xavier Delarue.”Les choses sont organisées de façon à ce que l’église soit fermée et réservée aux membres de l’association”, a-t-il expliqué.Le maire de la ville, Samuel Hazard, avait pris un arrêté interdisant cette messe par crainte de “trouble à l’ordre public”, qui a été retoqué vendredi par le tribunal administratif de Nancy.Le préfet a précisé s’être entretenu avant la cérémonie avec le prêtre célébrant la messe, afin de s’assurer que les règles découlant de la loi de 1905 sur la séparation de l’Eglise et de l’Etat soient respectées, à savoir qu’aucune prise de parole ou de distribution de tracts de nature politique n’ait lieu.A l’extérieur, un photographe de l’AFP a dénombré une vingtaine de policiers et gendarmes, tandis qu’une centaine de manifestants protestaient dans le calme, entonnant la Marseillaise.”J’ai mis en place un dispositif visant à éviter les contacts” entre les manifestants et les personnes venues assister à la messe, a indiqué le préfet.Plusieurs élus étaient présents à la manifestation avec leur écharpe tricolore.”Je suis profondément heurté, parce que je pense à toutes les victimes de la barbarie nazie et de la révolution nationale, l’idéologie du maréchal Pétain”, a déclaré à la presse Samuel Hazard (divers gauche).”C’est pas possible qu’on dérive comme cela”, a déclaré une paroissienne, Mariette Descamps, portant une pancarte où l’on pouvait lire “Catho pas facho”. “Je suis désolée de ce qui se passe aujourd’hui”, a-t-elle dit.L’office à l’origine de la polémique était organisé par l’Association pour défendre la mémoire du maréchal Pétain (ADMP).Cette association avait été autorisée par l’archevêque-évêque de Metz, administrateur apostolique de Verdun, à célébrer la messe pour le repos de l’âme du maréchal Pétain et des victimes de toutes les guerres.Philippe Pétain, héros de la Première Guerre mondiale puis chef du régime de Vichy qui collabora avec l’Allemagne nazie, a été frappé d’indignité nationale en 1945.

Nine killed in accidental explosion at Indian Kashmir police station

Nine people were killed and 31 injured when confiscated explosives accidentally blew up at a police station in Indian-administered Kashmir, police said Saturday, just days after a car blast in Delhi killed a dozen people.The incident happened in Nowgam and the explosives at the police station were recovered from Faridabad in the northern state of Haryana earlier this week, just hours before the powerful blast in Delhi that killed 12 people.Samples from the recovered material were being sent for further forensic examination since Thursday, the region’s director general of police Nalin Prabhat said, and the procedure was being handled with “utmost caution” due to its “unstable and sensitive nature”.”However, unfortunately during this course (on Friday) around 11:20 pm, an accidental explosion has taken place. Any other speculation into the cause of this incident is unnecessary,” he told reporters.The victims included police personnel, forensic team members and two crime photographers and other members from the local administration.”The building of the police station has been severely damaged and the adjacent buildings have been affected,” he added.Local media reported that the militant organisation People’s Anti-Fascist Front (PAFF), said to be close to the Jaish-e-Mohammed (JeM) group, had taken responsibility for the explosion, but the region’s police dismissed the claims.Attacks blamed on JeM include the 2001 assault on India’s parliament, and the 2019 Pulwama suicide bombing, which killed 40 security personnel.”The claim of PAFF or any other Pakistani terrorist group is patently false, baseless and mischievous!” the Jammu and Kashmir police said in a post on X. The explosion comes just days after powerful blast on Monday killed at least 12 people and wounded 30 others in the Indian capital New Delhi.It was the most significant security incident since April 22, when 26 mainly Hindu civilians were killed at the tourist site of Pahalgam in Indian-administered Kashmir, triggering clashes with Pakistan.India’s government on Wednesday vowed to bring the “perpetrators, their collaborators, and their sponsors” of the deadly car blast in the heart of the capital to justice and called it an act of terrorism.