Nepal PM kicks off China visit eyeing investment deals

Nepal’s prime minister was in Beijing on Tuesday to meet Chinese leaders, seeking to expand infrastructure cooperation after breaking with the longstanding tradition of new leaders making their first official visit to neighbouring India.Khadga Prasad Sharma Oli, who returned to power in July after two previous terms in the top job, arrived in Beijing to kick off the trip Monday evening, footage on Chinese state broadcaster CCTV showed.The leader of the Himalayan republic is scheduled to meet with Chinese President Xi Jinping and Premier Li Qiang during his visit, which will last until Thursday.Beijing’s foreign ministry said last week that Xi and Oli would “have in-depth exchanges of views on deepening our traditional friendship”.That includes expanding cooperation under the Belt and Road project — Xi’s flagship international infrastructure initiative — and “exchanges and cooperation in various fields”, ministry spokeswoman Mao Ning said.Pradeep Gyawali, deputy secretary of Oli’s Communist Party of Nepal Unified Marxist-Leninist (CPN-UML), told AFP the visit would centre on prior investment deals — including for the recently finished construction of an international airport in tourist hub Pokhara.Oli has sought to walk a fine line between neighbours China and India, the world’s two most populous nations, but has favoured Beijing in an effort to cut Kathmandu’s historical reliance on New Delhi.Nepali media reported that Oli likely chose Beijing as his first destination due to the absence of a formal invitation from New Delhi.Nepal’s foreign ministry said Oli will “exchange views on matters of mutual interest” with his Chinese counterparts during the trip.He will also deliver a keynote address at China’s prestigious Peking University and speak at a bilateral business forum, the ministry said.India accounted for nearly 65 percent of Nepal’s total trade in the 2023-24 fiscal year, according to customs data.China’s trade share was about 15 percent, though Chinese companies lead in some industries — including a 70 percent share of Nepal’s burgeoning electric vehicle market.India has the highest foreign investment in Nepal, pumping in more than $750 million last year, with China investing more than $250 million, according to Nepal’s central bank.

Macron et le prince héritier saoudien concluent un partenariat stratégique

Le président français Emmanuel Macron et le prince héritier d’Arabie saoudite Mohammed ben Salmane ont conclu lundi à Ryad un partenariat stratégique visant à renforcer les liens entre leurs deux pays et appelé à l’élection d’un président au Liban, plongé dans la tourmente.Le dirigeant français a entamé en fin d’après-midi une visite d’Etat de trois jours dans le royaume, au moment même où la crise politique rebondissait en France avec une probable censure du gouvernement.”Transition énergétique, défense, mobilités, culture et bien plus : nous allons multiplier nos coopérations dans tous les domaines”, s’est-il félicité sur le réseau X à l’issue d’un dîner avec le dirigeant de facto de cette puissance régionale, surnommé “MBS”.Les deux dirigeants sont notamment “convenus de travailler de concert” à la préparation du Sommet sur l’Intelligence artificielle qui aura lieu en février à Paris, a précisé l’Elysée dans un communiqué.Ils sont aussi “convenus de fournir tous les efforts pour contribuer à la désescalade dans la région” du Moyen-Orient, secouée par plusieurs conflits.”Ils ont ensemble appelé à la tenue d’une élection présidentielle au Liban dans le but de rassembler les Libanais et de mener les réformes nécessaires à la stabilité et à la sécurité”, a souligné l’Elysée.Emmanuel Macron et MBS ont aussi indiqué qu’ils allaient “poursuivre les efforts diplomatiques” pour consolider le cessez-le-feu entre Israël et le mouvement chiite libanais Hezbollah, coparrainé par les Etats-Unis et la France.- Gaza -Emmanuel Macron espère un soutien saoudien à l’armée libanaise, qui se redéploie à la frontière avec Israël mais manque de moyens, et au règlement de la crise politique qui secoue le Liban, sans président depuis plus de deux ans.Mais le royaume, longtemps influent au Liban, s’en est désengagé ces dernières années face au chaos politique et au poids grandissant du Hezbollah et pourrait mettre du temps à y revenir.Le président et le prince héritier ont aussi insisté sur une “priorité”, “la mise en place d’un cessez-le-feu sans plus attendre à Gaza”, après la trêve décrétée au Liban.L’Arabie saoudite, qui abrite les lieux les plus saints de l’islam, est engagée dans des discussions avec Washington pour normaliser ses relations avec Israël et l’octroi de garanties de sécurité américaines.Mais mi-septembre, le prince héritier a exclu une reconnaissance d’Israël avant la “création d’un Etat palestinien”, au coté de celui d’Israël. Paris comme Ryad poussent pour la “solution des deux Etats”, rejetée par le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.Emmanuel Macron, fort de son rôle dans le cessez-le-feu au Liban, entend de son côté renforcer l’influence de la France dans la région avant le retour du républicain Donald Trump à la Maison Blanche. Il espère aussi regagner à l’international la marge de manÅ“uvre qu’il a perdue sur la scène intérieure depuis la dissolution de juin.Il s’agit de son troisième déplacement en Arabie saoudite depuis 2017, une “relation très dense” à laquelle l’homme fort du pays, un temps paria après l’assassinat du journaliste Jamal Khashoggi en Turquie, a répondu par trois visites officielles en France. – IA et défense -La visite présidentielle aura aussi un important volet économique mardi alors que le royaume, premier exportateur mondial de brut, s’est engagé dans une diversification accélérée pour faire face à un potentiel après-pétrole.Les deux pays ambitionnent de “renforcer de manière très importante” leurs échanges économiques qui ne sont pas “à la hauteur des ambitions communes”, souligne l’Elysée.Le chef de l’Etat sera accompagné d’une cinquantaine de patrons de grands groupes français (TotalEnergies, EDF, Veolia, …) et de start-up (Pasqal, Alan, Mistral…).Les deux pays veulent engager des coopérations dans tous les secteurs d’avenir, de la transition énergétique à l’intelligence artificielle, en phase avec le vaste programme de modernisation de la société et de l’économie saoudiennes (Vision 2030) du prince héritier. Les dirigeants des groupes de défense Dassault, Thalès et Naval Group seront également présents.Des discussions sont en cours pour l’acquisition d’avions de chasse Rafale par l’Arabie. “La visite du président pourrait permettre d’emporter une décision, pas forcément une annonce”, selon une source proche du dossier.La France est aussi un partenaire clé de Ryad en matière culturelle et touristique, avec le développement d’un mégaprojet de 20 milliards de dollars autour de l’oasis et du site archéologique d’Al-Ula, au nord de Médine (nord-ouest).Emmanuel Macron assistera au One Water Summit sur la gestion de l’eau à Ryad avant de rejoindre mercredi Al-Ula avec notamment la ministre de la Culture Rachida Dati.

Assemblée: la journée réservée aux textes du groupe macroniste s’achève sans vote

La proposition de loi de Gabriel Attal sur la justice des mineurs n’a finalement pas été examinée lundi dans l’hémicycle, la journée réservée au groupe macroniste à l’Assemblée s’étant achevée à minuit avant que les débats sur ce texte n’aient même pu débuter.Durant plus de six heures, les députés ont, en effet, examiné le premier des trois textes présentés au cours de cette journée d’initiative parlementaire réservée au groupe Ensemble pour la République (EPR) – une proposition de loi visant à autoriser l’épandage de produits phytosanitaires par drone pour certaines cultures.Mais après plus de six heures de discussions, et une cinquantaine d’amendements examinés, l’horloge a sonné minuit, et la vice-présidente de l’Assemblée Clémence Guetté, chargée de diriger la séance, a mis fin au débat, comme le veut le règlement de ces journées réservées aux groupes.L’examen du texte sur l’épandage par drone avait débuté en milieu d’après-midi dans une atmosphère particulière: quelques minutes plus tôt, le Premier ministre Michel Barnier venait juste de faire adopter le budget de la Sécurité sociale par l’article 49.3, exposant ainsi le gouvernement au risque de censure.Aucun des trois textes n’a pu être voté. Et les deux derniers, celui du chef des députés macronistes, Gabriel Attal, visant à durcir la justice à l’égard des “mineurs délinquants” et leurs parents, et un autre, porté par le député Thomas Cazenave, pour lutter contre les fraudes aux aides publiques, n’ont même pas commencé à être examinés. Pour espérer l’examen et le vote de ces mesures, les textes devront être de nouveau inscrits à l’ordre du jour de l’hémicycle, mais rien de moins sûr en ces temps parlementaires agités, et alors que le gouvernement Barnier ne semble désormais plus tenir qu’à un fil, le Rassemblement national et la gauche ayant annoncé qu’ils voteraient la censure.

Paris stocks wobble, euro falls on France budget standoff

Paris stocks wobbled and the euro fell Monday as a budget standoff in France fueled concern about the eurozone’s second-biggest economy.Positive data from China helped boost equity markets elsewhere, with Germany’s DAX index hitting a record above 19,900 points.Oil prices rose on hopes of higher Chinese demand, while on Wall Street, the S&P 500 and Nasdaq logged fresh records too.The euro sat near 14-month lows as opposition to France’s belt-tightening draft budget threatens to topple the government.Prime Minister Michel Barnier faces the risk of being deposed by a hostile parliament as his government presents a social security financing plan Monday that has the opposition up in arms.Lacking a majority, Barnier used executive powers to force through the legislation without a vote.The move exposes him to a no-confidence vote, likely on Wednesday, with the left wing and the far-right National Rally of Marine Le Pen saying they will back a motion bringing down the government.Le Pen “has the power to destroy Barnier and his mission to get France on a sustainable fiscal track,” said Kathleen Brooks, research director at traders XTB.The yield on French government debt rose in another sign of investor concern. France must now pay as much to borrow for 10 years as Greece.Paris stocks, which wobbled in afternoon trading, ended the day flat.They were also weighed down by Stellantis, the multi-brand auto giant, whose shares fell more than six percent after chief executive Carlos Tavares abruptly resigned.US stocks closed mostly higher, with Jack Ablin of Cresset Capital noting the market remains in good shape.Among individual companies, Super Micro Computer surged 28.7 percent after a committee found “no evidence” of misconduct at the firm. Shares in Intel slipped 0.5 percent after the chipmaker, which has struggled to tap into the growth of artificial intelligence that has fueled the rise of rival Nvidia, announced that chief executive Pat Gelsinger had retired.Asian traders began the month on the front foot after a rollercoaster ride since Donald Trump’s reelection warning that he would hit China, Canada and Mexico with hefty tariffs on his first day in office as US president.Hong Kong and Shanghai were among the best performers after data showed that Chinese manufacturing activity expanded at a faster clip than expected in November.The figures provided some hope that the world’s number-two economy was turning a corner after a lengthy slowdown, with analysts pointing to a raft of support measures unveiled at the end of September.”The big unknown is whether the stimulus efforts will have a long-lasting effect or just a short-term boost,” said Dan Coatsworth, investment analyst at AJ Bell.Tokyo rose and the yen held recent gains at around 150 per dollar on increasing bets of another Bank of Japan interest rate increase, after last week’s forecast-topping Tokyo inflation report.BoJ Governor Kazuo Ueda said in an interview with the Nikkei business daily published Sunday that increases were “nearing in the sense that economic data are on track.”- Key figures around 2130 GMT -New York – Dow: DOWN 0.3 percent at 44,782.00 points (close)New York – S&P 500: UP 0.2 percent at 6,047.15 (close)New York – Nasdaq Composite: UP 0.8 percent at 19,403.95 (close) London – FTSE 100: UP 0.3 at 8,312.89 (close)Paris – CAC 40: FLAT at 7,236.89 (close) Frankfurt – DAX: UP 1.6 percent at 19,933.62 (close)Tokyo – Nikkei 225: UP 0.8 percent at 38,513.02 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.7 percent at 19,550.29 (close)Shanghai – Composite: UP 1.1 percent at 3,363.98 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.0499 from $1.0580Pound/dollar: DOWN at $1.2654 from $1.2739Dollar/yen: DOWN at 149.54 yen from 149.60 yen on FridayEuro/pound: DOWN at 82.97 from 83.04 penceBrent North Sea Crude: FLAT at $71.83 per barrelWest Texas Intermediate: UP 0.2 percent at $68.10 per barrelburs-rl/rlp/bys/

Senegal PM says will remain head of govt after speculationMon, 02 Dec 2024 21:37:34 GMT

Senegal’s Prime Minister Ousmane Sonko on Monday said he would remain head of the government rather than preside over the parliament, after his party’s landslide election win sparked questions over his political role.The ruling Pastef party of President Bassirou Diomaye Faye and Sonko won 130 seats in the 165-seat national assembly in snap parliamentary elections …

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En sursis, le gouvernement Barnier sur le point de tomber

Le fragile gouvernement de Michel Barnier n’a peut-être plus que quelques jours à vivre. Le Premier ministre a été contraint lundi d’engager sa responsabilité sur le budget de la Sécurité sociale, un premier 49.3 synonyme de motion de censure et sans doute de chute, puisque la gauche et le RN ont annoncé qu’ils la voteraient à l’unisson.L’adoption par l’Assemblée nationale d’une telle motion de censure serait une première depuis le renversement du gouvernement de Georges Pompidou en 1962. Le gouvernement Barnier deviendrait alors le plus court de l’histoire de la Ve République.”Nous sommes parvenus désormais à un moment de vérité qui met chacun devant ses responsabilités”, a déclaré Michel Barnier devant l’Assemblée nationale, mettant en garde contre la possibilité que le pays entre “en territoire inconnu”.Le Premier ministre de 73 ans, nommé par Emmanuel Macron le 5 septembre, venait devant la chambre pour dégainer le fameux article 49 alinéa 3 de la Constitution qui permet l’adoption d’un texte sans vote. Il expose aussi le gouvernement au risque d’une motion de censure.Celle-ci n’a pas tardé, à l’initiative de l’alliance de gauche Nouveau Front populaire.”Il aura à la fois le déshonneur et la censure”, a fustigé la cheffe des députés de La France insoumise, pointant les concessions du gouvernement au Rassemblement national.Le texte, qui sera débattu mercredi au plus tôt, sera défendu par le président de la commission des Finances, l’Insoumis Eric Coquerel. Le groupe RN a déjà fait savoir qu’il le voterait, mais aussi qu’il déposait sa propre motion de censure avec ses alliés ciottistes.Pour faire chuter le gouvernement, 288 députés devront voter la censure, soit un nombre très largement à la portée d’une alliance de circonstances entre la gauche et le RN.”M. Barnier n’a pas souhaité répondre à la demande des 11 millions d’électeurs du Rassemblement national”, “il a dit que chacun assume ses responsabilités, nous assumerons donc les nôtres”, a déclaré Marine Le Pen.Dépourvu de majorité à l’Assemblée, le gouvernement a multiplié au cours de la dernière semaine les concessions au parti d’extrême droite, que ce soit sur les taxes sur l’électricité ou sur l’Aide médicale d’Etat – insuffisamment toutefois sur ce sujet selon Mme Le Pen.Dans la matinée, Michel Barnier s’était entretenu au téléphone avec la députée du Pas-de-Calais, puis avait annoncé dans un communiqué un nouveau geste dans sa direction en s’engageant “à ce qu’il n’y ait pas de déremboursement des médicaments” en 2025, alors que le gouvernement avait prévu une baisse de 5%.Mais pour Marine Le Pen, le compte n’y était toujours pas. En arrivant à l’Assemblée dans l’après-midi, juste avant une séance cruciale, elle a réaffirmé qu’elle demandait au chef du gouvernement de renoncer à la désindexation partielle des retraites s’il voulait échapper à la censure.- “Au bout du dialogue” -Le Premier ministre a fermé la porte à de nouvelles concessions dans son discours: “J’ai été au bout du dialogue avec l’ensemble des groupes politiques”.L’Assemblée était appelée à voter sur le texte issu la semaine dernière des travaux d’une commission mixte paritaire députés-sénateurs, qui prévoit désormais 18,3 milliards d’euros de déficit en 2025, soit 2,3 milliards de plus que l’objectif de 16 milliards fixé au début de l’automne.Si le gouvernement Barnier tombait, la France s’enfoncerait encore plus dans la crise politique créée par la dissolution de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron en juin, avec en outre le risque d’une crise financière liée la capacité de la France à emprunter sur les marchés à de faibles taux.”Sans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale que nous examinons aujourd’hui, le déficit des comptes sociaux atteindrait près de 30 milliards d’euros l’an prochain”, a mis en garde dans l’hémicycle le ministre du Budget Laurent Saint-Martin.L’écart entre les taux d’intérêt d’emprunt de la France et de l’Allemagne (le “spread”) a fortement augmenté après l’annonce de Michel Barnier, signe de l’inquiétude des investisseurs.L’Elysée n’a fait aucun commentaire sur la nouvelle donne politique, alors qu’Emmanuel Macron a atterri à Ryad pour une visite d’Etat de trois jours en Arabie saoudite. Mais c’est bien le chef de l’Etat qui aura rapidement la main car, si le scénario d’une censure se confirme, il devra nommer un Premier ministre.”Cette motion de censure n’est pas une fin en soi, elle n’est pas non plus un outil qui vise à la déstabilisation”, ont assuré dans un communiqué les élus socialistes, appelant le chef de l’Etat à nommer un Premier ministre de gauche.Dos au mur, les neuf chefs de groupes parlementaires composant le “socle gouvernemental” à l’Assemblée et au Sénat – parmi lesquels Gabriel Attal et Laurent Wauquiez – ont lancé une ultime mise en garde. “Voter une motion de censure reviendrait à plonger le pays dans l’inconnu”, ont-ils averti dans un communiqué commun, plaidant au contraire pour “la stabilité et l’apaisement”.

Vietnam property tycoon on death row faces appeal verdict

A Vietnamese property tycoon sentenced to death for a multi-billion-dollar fraud will learn Tuesday whether her life will be spared, as an appeal court reaches its verdict on one of the biggest corruption cases in history. Property developer Truong My Lan, 68, was convicted earlier this year of embezzling money from Saigon Commercial Bank (SCB) — which prosecutors said she controlled — and condemned to die for fraud totalling $27 billion.In her official handwritten appeal of more than five pages seen by AFP, Lan said that the death sentence was “too severe and harsh”, asking the court to consider a more “lenient and humane approach”.Tens of thousands of people who had invested their savings in SCB lost money, shocking the communist nation and prompting rare protests from the victims.  According to Vietnamese law, Lan could escape the death penalty if she proactively returns three-quarters of the embezzled assets and is judged to have co-operated sufficiently with authorities.But prosecutors have argued that she has not met the conditions, and emphasised her crime’s consequences were “huge and without precedent”.Lan, who founded real estate development group Van Thinh Phat, told the court in Ho Chi Minh City that “the quickest way” to repay the stolen funds would be “to liquidate SCB, and sell our assets to repay SBV and the people”.”I feel pained due to the waste of national resources,” Lan said last week, adding she felt “very embarrassed to be charged with this crime”. Lan owned just five percent of shares in SCB on paper, but at her trial the court concluded that she effectively controlled more than 90 percent through family, friends and staff. The State Bank said in April that it pumped funds into SCB to stabilise it, without revealing how much.Among the assets that Lan and Van Thinh Phat own are a shopping mall, a harbour and luxurious housing complexes in business hub Ho Chi Minh City.During her first trial in April, Lan was found guilty of embezzling $12.5 billion, but prosecutors said the total damages caused by the scam amounted to $27 billion — equivalent to around six percent of the country’s 2023 GDP.Lan and dozens of defendants, including senior central bank officials were arrested as part of a national corruption crackdown dubbed the “burning furnace” that has swept up numerous officials and members of Vietnam’s business elite.A total of 47 other defendants have requested reduced sentences at the appeal.Last month, Lan was convicted of money laundering and jailed for life in a separate case.

Stampede kills at least 56 at Guinea football matchMon, 02 Dec 2024 20:45:18 GMT

A stampede at a football match dedicated to Guinea’s junta chief killed at least 56 people, the government said Monday, as the opposition accused the military-led authorities of being “directly responsible” for the tragedy.Prime Minister Amadou Oury Bah, whom junta leader General Mamadi Doumbouya dispatched to the scene, Monday evening said there would be three …

Stampede kills at least 56 at Guinea football matchMon, 02 Dec 2024 20:45:18 GMT Read More »