China’s Xi says to ‘enhance’ ties with Brazil as arrives for G20: state media

Chinese leader Xi Jinping said he was seeking to “further enhance” ties with Brazil as he arrived Sunday for a state visit and a G20 summit, state media said.Xi is due to meet Brazilian President Luiz Inacio Lula da Silva on the visit, which will last until Thursday.State news agency Xinhua said he looked forward to talks “on further enhancing China-Brazil relations, promoting synergy of the two countries’ development strategies, international and regional issues of common interest.”The Chinese leader said “the visit will further strengthen the two countries’ strategic mutual trust, deepen exchanges and cooperation in various fields,” Xinhua said.At the 19th meeting of G20 leaders, Xi said he was “ready to work with all parties to discuss plans and seek development,” state media said, as well as “jointly advocate an equal and orderly multipolar world and a universally beneficial and inclusive economic globalization.”China is Brazil’s top trading partner, exceeding $180 billion in each-way trade in 2023, with semiconductors, phones and pharmaceuticals dominating exports to the South American country.Since returning to power last year, Lula has carried out a delicate balancing act as he seeks to deepen ties with China while improving relations with the United States.Both Brazil and China have sought to position themselves as mediators in the conflict in Ukraine, while declining to sanction Russia for its invasion.A visit this year by Vice President Geraldo Alckmin to Beijing was seen as paving the way for Brazil to join China’s massive Belt and Road Initiative infrastructure project.A number of South American nations, including Peru, have signed up to the initiative which is a central pillar of President Xi’s bid to expand China’s clout overseas.

Senegal ruling party claims ‘large victory’ in electionsSun, 17 Nov 2024 23:55:26 GMT

Senegal’s ruling party claimed it had won a comfortable victory in Sunday’s legislative elections, paving the way for it to deliver an ambitious reform agenda eight months after sweeping to power.Voting took place peacefully across the West African country, where the governing Pastef party said 90 to 95 percent of ballots had already been counted. “I …

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Senegal counts votes as new leaders eye parliamentary winSun, 17 Nov 2024 21:29:50 GMT

Senegal began counting votes Sunday after parliamentary elections in which the new government is aiming for a resounding majority to deliver the ambitious reform agenda that swept it to power eight months ago.Voting took place peacefully across the West African country, and reliable projections of the new parliament’s makeup could be available from Monday morning.Tallying …

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Convoi d’agriculteurs en colère près de la base de Villacoublay

Des agriculteurs se sont rendus en cortège dimanche soir près de la base aérienne de Villacoublay, près de Paris, pour dénoncer le projet d’accord de libre-échange avec les pays du Mercosur, avant de nouvelles mobilisations à partir de lundi.”Macron, si tu vas à Rio, n’oublie pas tes péquenots”: à bord d’une vingtaine de tracteurs et d’une trentaine d’autres véhicules, les manifestants ont bloqué deux des trois voies de circulation sur la nationale 118, qui longe la base militaire des Yvelines, ont constaté des journalistes de l’AFP.C’est de là que le président Emmanuel Macron s’est envolé samedi pour l’Argentine, avant de se rendre au sommet du G20 prévu lundi et mardi au Brésil.Certains des agriculteurs venus en tracteur prévoyaient de passer la nuit sur place. “Je suis principalement contre cet accord de Mercosur qui nous fait peur en tant que producteurs, mais aussi en tant que consommateurs”, a expliqué à l’AFP Romain Garnier, céréalier et producteur de betteraves dans le Val-d’Oise.”Ca va être très dur comme combat”, anticipe cet exploitant de 39 ans, venu en voiture avec une pancarte “Manu, arrête le Mercosur, ça rend sourd”.”L’année dernière on était restés une semaine sur l’autoroute A1, on espère des mobilisations similaires”, dit-il près du cortège encadré par un important dispositif des forces de l’ordre.Avant de s’envoler pour le G20 de Rio, le président Emmanuel Macron a réaffirmé dimanche à Buenos Aires que la France ne “signerait pas en l’état” le traité de libre échange entre l’Union européenne et le Mercosur, disant vouloir “continuer” de s’y opposer.”La politique c’est de tenir ses engagements, il faut que le gouvernement tienne les siens”, a déclaré la présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse, venue soutenir les agriculteurs. Elle a tenté de rassurer ses interlocuteurs en faisant valoir que le Premier ministre “Michel Barnier a été un grand ministre de l’Agriculture”, qui “connaît le sujet par cÅ“ur”.Si les taxes sur le carburant agricole (GNR) avaient été un des ferments de la vague de colère agricole l’an dernier, c’est l’aboutissement du projet d’accord de libre-échange de l’UE avec les pays du Mercosur (Brésil, Argentine, Uruguay, Paraguay) qui pourrait mettre le feu aux poudres cette année.En dépit de l’opposition de la classe politique comme des acteurs agricoles français, l’UE semble déterminée à signer d’ici la fin de l’année cet accord, qui permettra notamment aux pays latino-américains d’écouler plus de bÅ“uf, poulet ou sucre sans droits de douane en Europe.”On nous met dans un monde de libre-échange et il faut qu’on ait les mêmes règles que les autres, sinon on est morts”, déplore Damien Radet, secrétaire général de la FDSEA (fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles) Ile-de-France, présent à Vélizy-Villacoublay. “On court un 100 mètres avec un boulet au pied”, image l’agriculteur de 54 ans, pour qui le mouvement naissant est appelé à “durer”.”Ce soir, c’est le redémarrage de la pression qu’on va exercer sur le gouvernement”, abonde Samuel Vandaele, secrétaire général FDSEA de Seine-et-Marne, qui appelle à ce que “l’agriculture et l’alimentation soient considérées à leur juste valeur”.L’alliance syndicale majoritaire FNSEA-Jeunes agriculteurs doit donner lundi le coup d’envoi officiel de ce nouveau cycle de la mobilisation agricole, avec des rassemblements et actions symboliques.”C’est aussi un combat de société pour que demain tout le monde dans ce pays puisse se nourrir de manière correcte, avec des produits sains, et qu’il y ait plus d’équité dans les normes et les contraintes que ce gouvernement et l’Europe nous imposent à nous, les agriculteurs français”, a déclaré à l’arrivée du cortège le vice-président de la FNSEA Damien Greffin. 

En Argentine, Macron défend auprès de Milei les accords sur le climat et les agriculteurs français

Emmanuel Macron a poursuivi dimanche à Buenos Aires où il s’est entretenu avec le président argentin Javier Milei le double objectif de “défendre” les agriculteurs français mobilisés contre l’accord commercial avec le Mercosur et de convaincre cet ultralibéral de ne pas faire cavalier seul sur le climat.Après un hommage très symbolique aux victimes, notamment françaises, de la dictature militaire argentine, le chef de l’Etat français a rejoint la Casa Rosada, le palais présidentiel, où il a été accueilli par son homologue, accusé de révisionnisme sur cette page sombre de l’histoire de son pays.Commerce, agriculture ou climat : avec Javier Milei, “on ne pense pas toujours la même chose sur beaucoup de sujets”, avait expliqué M. Macron en amont de la rencontre, “mais c’est très utile d’échanger pour préparer” le G20, auquel les deux hommes participeront lundi et mardi à Rio de Janeiro.En France, soutenus par une classe politique réunie dans une rare unanimité, les agriculteurs se mobilisent contre le traité de libre-échange que la Commission européenne, poussée par plusieurs pays comme l’Allemagne et l’Espagne, espère signer d’ici à la fin de l’année avec le Mercosur, le bloc régional qui inclut l’Argentine et le Brésil.Ils redoutent une déferlante de viande latino-américaine et mettent en garde contre une concurrence déloyale de produits n’étant pas soumis aux normes environnementales et sanitaires strictes en vigueur en Europe.- Climatoscepticisme -“J’ai dit de manière très sincère et très claire au président argentin que la France aujourd’hui ne signerait pas en l’état ce traité Mercosur”, a déclaré M. Macron devant la presse sur le tarmac de l’aéroport de Buenos Aires, avant de partir pour le Brésil. Javier Milei “m’a dit lui-même qu’il n’était pas satisfait” de ce texte, a-t-il ajouté.Dans ce dossier, ce sont en fait surtout les autres Européens que la France doit convaincre si elle veut éviter l’entrée en vigueur de l’accord. M. Macron a dit ne pas croire que l’Union européenne puisse passer outre la position française sur ce point. “On va continuer de travailler fermement pour défendre notre modèle”, a-t-il insisté, considérant que “si on est raisonnables tous, il y a un chemin possible, mais il ne se fera pas au détriment de nos agriculteurs”.Outre les normes environnementales sur l’agriculture, M. Macron réclame que l’accord UE-Mercosur intègre les préconisations de l’Accord de Paris sur le climat. Or Javier Milei est un admirateur du président élu américain Donald Trump, dont il partage le climatoscepticisme. L’Argentine vient de retirer sa délégation des négociations concernant le climat de la COP29 à Bakou. Sur ce sujet, “nous avons eu un débat, mais nous ne sommes pas d’accord pour autant”, a commenté M. Macron après sa rencontre avec M. Milei. Toutefois, le président argentin n’a “pas confirmé” qu’il souhaitait, comme Donald Trump sous son premier mandat à la Maison Blanche, retirer son pays de l’Accord de Paris, a-t-il souligné.- “On ne vous oublie pas” -Dimanche, le chef de l’Etat français, accompagné de son épouse Brigitte Macron, avait commencé la journée par un  hommage aux victimes de la dictature militaire argentine (1976-1983), organisé en l’église de la Santa Cruz, lieu de mémoire de la résistance contre le régime.”On ne vous oublie pas”, a-t-il lancé à des proches de victimes. En décembre 1977, plusieurs membres fondateurs du mouvement des Mères de la Place de Mai, qui réclamaient des informations sur leurs proches disparus, ont été arrêtés, torturés et assassinés après s’être réunis dans cette église.Parmi les victimes, figuraient les religieuses françaises Léonie Duquet et Alice Domon, qui furent enlevées puis tuées. En tout, au moins 22 Français ont été recensés parmi les morts ou disparus sous la dictature.Javier Milei, au pouvoir depuis onze mois, et encore plus sa vice-présidente Victoria Villaruel, issue d’une famille de militaires, sont accusés de révisionnisme par les organisations de défense des droits humains. Ils n’hésitent pas à revisiter le bilan de la junte : alors que celui, généralement admis, des organisations de droits humains fait état de 30.000 morts, Javier Milei déclare qu’ils étaient moins de 9.000.En juillet, six députés du parti au pouvoir ont rendu visite en prison à Alfredo Astiz et à d’autres ex-militaires condamnés pour crimes contre l’humanité. Astiz, un ancien capitaine de marine aujourd’hui âgé de 73 ans, a été condamné à deux reprises en Argentine à la perpétuité, notamment pour l’enlèvement et la disparition des religieuses françaises. En France, il a été condamné en son absence à la prison à vie en 1990 dans le même dossier.

Toll in Tanzania building collapse rises to 13, survivors trappedSun, 17 Nov 2024 18:37:01 GMT

Tanzanian rescue workers dug through the ruins of a collapsed building for a second day on Sunday, hoping to pull survivors from beneath the rubble in a disaster that has claimed 13 lives. The four-storey block came down at around 9:00 am (0600 GMT) on Saturday in the east African country’s busy Kariakoo market, in the …

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Barnier a déjeuné avec Attal, la baisse des allègements de charges au menu

Le Premier ministre Michel Barnier a déjeuné samedi avec son prédécesseur Gabriel Attal, occasion pour les deux hommes d’évoquer la question sensible de la baisse des exonérations de cotisations patronales, sans parvenir à un accord, ont affirmé dimanche des sources concordantes, confirmant une information du Figaro.”Gabriel Attal a réaffirmé la position qui est la sienne et celle du groupe” Ensemble pour la République, hostile à toute augmentation du coût du travail, a affirmé son entourage à l’AFP.Le groupe EPR, présidé par M. Attal, n’avait pas caché cette semaine son intention de monter au créneau sur ce sujet emblématique pour la macronie.Dans son projet initial, le gouvernement entendait réduire de quatre milliards d’euros ces allègements de charges, dont le montant a doublé en dix ans et tutoie aujourd’hui les 80 milliards d’euros. Dimanche, le ministre du Budget Laurent Saint-Martin s’est dit “prêt à ce que seulement la moitié, deux milliards d’euros, puissent être demandés aux entreprises”.Insuffisantes concessions, selon plusieurs élus du groupe EPR interrogés par l’AFP. “Nous on est contre la hausse du coût du travail, on n’est pas à moitié contre la hausse du coût du travail”, a martelé Mathieu Lefèvre, l’un des députés macronistes en pointe sur les questions budgétaires.Alors qu’une commission mixe paritaire, réunissant sept sénateurs et sept députés, devrait accorder les violons des deux chambres sur le projet de loi de financement de la Sécurité sociale, avant une adoption du texte dans chaque hémicycle, M. Lefèvre a affirmé que cette CMP ne pourra être conclusive “s’il y a cette hausse du coût du travail”.Pour le député David Amiel, “le schéma du gouvernement aboutit à concentrer les hausses de charges sur l’industrie: à l’heure de la guerre commerciale déclenchée par les Etats-Unis et par la Chine, c’est une faute économique”.”Il faut tenir compte du contexte international, qui se dégrade, et des conséquences majeures de l’élection de Donald Trump”, a-t-il ajouté. Interrogé par l’AFP, l’entourage du Premier ministre a affirmé que les choses restaient “ouvertes”. Et semblé peu goûter les menaces, lancées par certains élus, de faire dérailler la CMP. “Il faut que la France tienne sa signature, donc on peut faire des menaces ici et là mais je ne suis pas sûr que ce soit la bonne manière de faire”, a commenté cette source.Matignon a par ailleurs confirmé que M. Barnier avait déjeuné cette semaine avec deux autres anciens Premiers ministres d’Emmanuel Macron, Edouard Philippe mardi et Elisabeth Borne jeudi.