US says trade row with China could ease after Trump-Xi talks

A logjam in the trade talks between the United States and China could be broken once Presidents Donald Trump and Xi Jinping speak, US officials said Sunday — a conversation they said could happen soon.Trump on Friday accused Beijing of violating a deal reached last month in Geneva to temporarily lower staggeringly high tariffs the world’s two biggest economies had imposed on each other, in a pause to last 90 days.China’s slow-walking on export license approvals for rare earths and other elements needed to make cars and chips have fueled US frustration, The Wall Street Journal reported Friday — a concern since confirmed by US officials. But US Treasury Secretary Scott Bessent seemed to take the pressure down a notch on Sunday, telling CBS’s “Face the Nation” that the gaps could soon be bridged.”I’m confident that when President Trump and Party Chairman Xi have a call that this will be ironed out,” Bessent said, however noting that China was “withholding some of the products that they agreed to release during our agreement.”When asked if rare earths were one of those products, Bessent said, “Yes.””Maybe it’s a glitch in the Chinese system. Maybe it’s intentional. We’ll see after the president speaks with” Xi, he said.On when a Trump-Xi call could take place, Bessent said: “I believe we will see something very soon.”Kevin Hassett, director of the White House’s National Economic Council told ABC that the call could happen “this week” but that he had no confirmation of a scheduled time.Since Trump returned to the presidency, he has slapped sweeping tariffs on most US trading partners, with especially high rates on Chinese imports.New tit-for-tat levies on both sides reached three digits before the de-escalation this month, where Washington agreed to temporarily reduce additional tariffs on Chinese imports from 145 percent to 30 percent.China, meanwhile, lowered its added duties from 125 percent to 10 percent.Commerce Secretary Howard Lutnick told “Fox News Sunday” that China was “slow-rolling the deal,” adding: “We are taking certain actions to show them what it feels like on the other side of that equation.””Our president understands what to do. He’s going to go work it out,” Lutnick said.Lutnick also said that a US court battle over Trump’s tariff strategy — one court’s ruling to block the tariffs has been stayed pending an appeal — would ultimately end with a win for the president. “Tariffs are not going away,” Lutnick said.- ‘We’ve got to be ready’ -Separate from the China deal, Trump said Friday he would double sector-specific tariffs on steel and aluminum to 50 percent starting June 4 — sparking ire from the European Union, which said it would retaliate.Hassett said China’s dumping of low-cost steel was hurting US industry — which in turn was hindering US military preparedness.”The bottom line is that we’ve got to be ready in case things don’t happen the way we want, because if we have cannons but not cannonballs, then we can’t fight a war,” Hassett told “This Week.” “And if we don’t have steel, then the US isn’t ready, and we’re not preparing ourselves for something,” he added. “We have to have a steel industry that’s ready for American defense.”

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Pluies de mousson en Inde: au moins 30 morts, selon un nouveau bilan

Des inondations et des glissements de terrain, survenus après des pluies de mousson ces deux derniers jours, ont tué au moins 30 personnes dans le nord-est de l’Inde, selon un nouveau bilan officiel dimanche.Des responsables des services de gestion des catastrophes ont précisé que huit personnes étaient décédées dans l’Etat d’Assam, et neuf dans celui d’Arunachal Pradesh, essentiellement dans des glissements de terrain.Cinq autres ont trouvé la mort dans l’État voisin de Mizoram, ont déclaré les autorités de l’État. Six personnes ont perdu la vie dans l’Etat de Meghalaya et au moins deux autres dans ceux de Nagaland et de Tripura.Le précédent bilan des pluies torrentielles dans le nord-est de l’Inde, donné samedi, faisait état de cinq morts dans l’Etat d’Assam.Les inondations et les glissements de terrain meurtriers liés à la pluie sont fréquents en Asie du Sud pendant la période de la mousson, mais les experts affirment que le changement climatique en accroît la fréquence et la gravité. Des dizaines de personnes meurent chaque année pendant la saison des pluies en Inde, pays de 1,4 milliard d’habitants.Une alerte rouge a été émise pour plusieurs zones de la région Nord-Est après les pluies incessantes des derniers jours. Les rivières gonflées par les pluies diluviennes — y compris le puissant Brahmapoutre, qui prend sa source dans l’Himalaya et traverse le nord-est de l’Inde avant de se jeter dans son delta au Bangladesh — ont débordé dans toute la région.L’armée indienne a déclaré avoir sauvé des centaines de personnes “lors d’une opération massive” dans l’État de Manipur. “Des personnes ont été déplacées vers des endroits plus sûrs”, a précisé l’armée samedi. “De la nourriture, de l’eau et des médicaments essentiels ont été fournis”, selon elle.

Pluies de mousson en Inde: au moins 30 morts, selon un nouveau bilan

Des inondations et des glissements de terrain, survenus après des pluies de mousson ces deux derniers jours, ont tué au moins 30 personnes dans le nord-est de l’Inde, selon un nouveau bilan officiel dimanche.Des responsables des services de gestion des catastrophes ont précisé que huit personnes étaient décédées dans l’Etat d’Assam, et neuf dans celui d’Arunachal Pradesh, essentiellement dans des glissements de terrain.Cinq autres ont trouvé la mort dans l’État voisin de Mizoram, ont déclaré les autorités de l’État. Six personnes ont perdu la vie dans l’Etat de Meghalaya et au moins deux autres dans ceux de Nagaland et de Tripura.Le précédent bilan des pluies torrentielles dans le nord-est de l’Inde, donné samedi, faisait état de cinq morts dans l’Etat d’Assam.Les inondations et les glissements de terrain meurtriers liés à la pluie sont fréquents en Asie du Sud pendant la période de la mousson, mais les experts affirment que le changement climatique en accroît la fréquence et la gravité. Des dizaines de personnes meurent chaque année pendant la saison des pluies en Inde, pays de 1,4 milliard d’habitants.Une alerte rouge a été émise pour plusieurs zones de la région Nord-Est après les pluies incessantes des derniers jours. Les rivières gonflées par les pluies diluviennes — y compris le puissant Brahmapoutre, qui prend sa source dans l’Himalaya et traverse le nord-est de l’Inde avant de se jeter dans son delta au Bangladesh — ont débordé dans toute la région.L’armée indienne a déclaré avoir sauvé des centaines de personnes “lors d’une opération massive” dans l’État de Manipur. “Des personnes ont été déplacées vers des endroits plus sûrs”, a précisé l’armée samedi. “De la nourriture, de l’eau et des médicaments essentiels ont été fournis”, selon elle.

Marche silencieuse en Hongrie contre la loi ciblant médias et ONG

Des milliers de Hongrois ont protesté en silence dimanche à Budapest contre un projet de loi permettant à Viktor Orban de sanctionner les médias et les ONG “financés depuis l’étranger”.Le Premier ministre “veut faire taire tous ceux qui n’écrivent pas ce qu’il souhaite”, a déclaré à l’AFP Zsolt Solyom, un ancien soldat de 49 ans. La majorité nationaliste au pouvoir dans ce pays d’Europe centrale a déposé mi-mai un texte comparé à la loi russe sur les “agents de l’étranger”. La législation permettra la mise sur liste noire d’organismes “menaçant la souveraineté de la Hongrie en utilisant des fonds étrangers pour influencer la vie publique”.Les médias ou les ONG visés devront obtenir une autorisation pour recevoir des fonds de l’étranger et devront s’acquitter d’une amende en cas d’infraction.Les manifestants portaient en nombre un bâillon lors du rassemblement organisé sur le pont de la Liberté, dans la capitale hongroise, et brandissaient des banderoles appelant au retrait du projet. Après la marche, la lecture à haute voix des noms des 115 députés soutenant le texte a été accompagnée de sifflets et de huées. La semaine dernière, des représentants de plus de 80 médias issus de 22 pays, dont le quotidien français Libération, ont exhorté leurs gouvernements et l’Union européenne (UE) à tout faire pour empêcher cette réforme. Elle a été condamnée par le Conseil de l’Europe et la Commission européenne, qui a appelé la Hongrie à retirer le texte, promettant sinon de “prendre les mesures nécessaires”.L’opposition hongroise estime qu’il s’agit de la dernière tentative de Viktor Orban depuis son retour au pouvoir en 2010 pour museler les critiques.Mais son parti, le Fidesz, estime ce nouveau texte nécessaire pour défendre le pays contre les ingérences.Les députés doivent voter à la mi-juin. L’adoption devrait être une formalité, la majorité gouvernementale dominant le parlement.

Marche silencieuse en Hongrie contre la loi ciblant médias et ONG

Des milliers de Hongrois ont protesté en silence dimanche à Budapest contre un projet de loi permettant à Viktor Orban de sanctionner les médias et les ONG “financés depuis l’étranger”.Le Premier ministre “veut faire taire tous ceux qui n’écrivent pas ce qu’il souhaite”, a déclaré à l’AFP Zsolt Solyom, un ancien soldat de 49 ans. La majorité nationaliste au pouvoir dans ce pays d’Europe centrale a déposé mi-mai un texte comparé à la loi russe sur les “agents de l’étranger”. La législation permettra la mise sur liste noire d’organismes “menaçant la souveraineté de la Hongrie en utilisant des fonds étrangers pour influencer la vie publique”.Les médias ou les ONG visés devront obtenir une autorisation pour recevoir des fonds de l’étranger et devront s’acquitter d’une amende en cas d’infraction.Les manifestants portaient en nombre un bâillon lors du rassemblement organisé sur le pont de la Liberté, dans la capitale hongroise, et brandissaient des banderoles appelant au retrait du projet. Après la marche, la lecture à haute voix des noms des 115 députés soutenant le texte a été accompagnée de sifflets et de huées. La semaine dernière, des représentants de plus de 80 médias issus de 22 pays, dont le quotidien français Libération, ont exhorté leurs gouvernements et l’Union européenne (UE) à tout faire pour empêcher cette réforme. Elle a été condamnée par le Conseil de l’Europe et la Commission européenne, qui a appelé la Hongrie à retirer le texte, promettant sinon de “prendre les mesures nécessaires”.L’opposition hongroise estime qu’il s’agit de la dernière tentative de Viktor Orban depuis son retour au pouvoir en 2010 pour museler les critiques.Mais son parti, le Fidesz, estime ce nouveau texte nécessaire pour défendre le pays contre les ingérences.Les députés doivent voter à la mi-juin. L’adoption devrait être une formalité, la majorité gouvernementale dominant le parlement.

Le pur-sang irlandais Camille Pissarro, champion d’Europe sur 2.100 mètres

Le pur-sang irlandais Camille Pissarro, le favori, monté par l’anglais Ryan Moore a remporté avec autorité dimanche à Chantilly (Oise) le 185e Prix du Jockey-Club devenant le meilleur poulain de trois ans d’Europe sur 2.100 mètres.Dans cette course, qui se veut l’équivalent français du Derby d’Epsom anglais, un peloton touffu de dix-huit jeunes pur-sang, déjà aguerris à l’effort en dépit de leur jeune âge, se sont élancés en bon terrain sur le parcours exigeant de l’hippodrome des Princes de Condé qui s’achève par une ligne droite en montée longue de 600 mètres.Vite en bonne place avec son numéro 1 dans les stalles de départ, Camille Pissarro a constamment galopé derrière Bowmark et Trinity College avec dans son dos l’anglais Detain mené par le Belge Christophe Soumillon.Camille Pissarro a changé de vitesse dans la ligne droite finale conservant sa position le long du rail pour s’imposer dans les 50 derniers mètres.”Il avait déjà fait de grandes performances dans les 2.000 Guinées. Je remercie Christophe Soumillon qui aurait pu m’enfermer à la corde”, a déclaré Ryan Moore qui signe son 2e succès dans la course.Un deuxième sacre aussi pour Aidan O’Brien, l’entraîneur du nouveau prince de Chantilly à la robe ébène. La deuxième place est revenue au pur-sang français Cualificar sous la selle du britannique William Buick. “On est dans la joie du podium. On est battu par un très bon cheval. Le notre ne nous déçoit pas”, a commenté Louise Benard, la représentante en France de l’écurie Godolphin, propriétaire de Cualificar.Le pur-sang anglais Detain piloté par le Belge Christophe Soumillon a conclu lui à la troisième place.Grâce à sa victoire, le nouveau prince de Chantilly a rapporté à son entourage, dont ses propriétaires l’écurie Tabor-Smith-Magnier, les 857.100 euros promis au vainqueur sur l’allocation totale de 1,5 million versés par le Qatar.Les turfistes reverront certainement le nouveau prince de Chantilly au départ du Prix de l’Arc de Triomphe, le championnat du monde du galop le premier dimanche d’octobre. Sa carrière d’étalon au haras est elle d’ores et déjà assurée.