Gaza: au moins 44 morts dans de nouvelles attaques israéliennes selon les secours

Au moins 44 personnes ont été tuées jeudi dans des frappes israéliennes dans la bande de Gaza dévastée par la guerre où des milliers de Palestiniens affamés se sont rués la veille sur un entrepôt du Programme alimentaire mondial (PAM) pour s’emparer de vivres.Israël a intensifié son offensive à Gaza le 17 mai, dans le but affiché de libérer les derniers otages, de prendre le contrôle de la totalité du territoire palestinien et d’anéantir le mouvement islamiste Hamas, dont l’attaque sans précédent sur le sol israélien le 7 octobre 2023 a déclenché la guerre.Jeudi, “quarante-quatre personnes ont été tuées dans des raids israéliens sur la bande de Gaza” depuis minuit, a déclaré à l’AFP Mohammed Al-Moughayir, l’un des responsables de la Défense civile de la bande de Gaza, un organisme de secours.”Vingt-trois personnes ont été tuées, d’autres blessées et plusieurs sont portées disparues à la suite d’une frappe israélienne ayant visé une habitation” dans la zone du camp de réfugiés de Bureij, dans le centre du territoire, a-t-il ajouté. Il a également fait état de “deux personnes tuées et plusieurs blessées par des tirs des forces israéliennes ce matin près du centre d’aide américain” dans le sud de la bande de Gaza”.Interrogée par l’AFP sur la frappe à Al-Bureij et les tirs près du centre d’aide, l’armée israélienne a déclaré qu’elle examinait ces incidents. Dans un communiqué, elle a déclaré avoir frappé “des dizaines de cibles terroristes dans toute la bande de Gaza” au cours de la journée écoulée.En pleine intensification de sa campagne dans le territoire palestinien assiégé,Israël a partiellement levé la semaine dernière le blocus total de l’aide à Gaza imposé depuis le 2 mars.Mercredi soir, “des hordes de gens affamés ont fait irruption dans l’entrepôt (…) à la recherche de produits alimentaires qui avaient été prépositionnés en vue d’être distribués”, a déploré le PAM dans un communiqué appelant à un “accès humanitaire sûr et sans entraves”.Le communiqué indique que le PAM essaie de confirmer des informations faisant état de deux morts et plusieurs blessés au cours de l’incident.”Le PAM n’a cessé de mettre en garde sur la détérioration de la situation, (…) et les risques que font peser la limitation de l’aide humanitaire à des gens affamés ayant un besoin désespéré d’assistance”, ajoute le texte.Selon des images tournées par l’AFP, la foule n’a rien laissé, emportant sacs de nourriture, palettes de bois ou encore madriers alors que des tirs retentissaient.- “Humiliant” -Une distribution chaotique avait fait mardi – selon le Bureau du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’Homme dans les Territoires palestiniens occupés- 47 blessés dans un centre de la Fondation humanitaire de Gaza (GHF). Cette nouvelle organisation créée avec le soutien d’Israël et des Etats-Unis a mis en place un système de distribution vivement critiqué par le responsable de l’agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (Unrwa), Philippe Lazzarini.L’armée israélienne a reconnu des “tirs de sommation en l’air” de ses soldats, “à l’extérieur” du centre de la GHF, mais “en aucun cas vers les gens”. La GHF a aussi démenti tout tir vers la foule.Jeudi, des foules de Gazaouis se sont pressées vers un point de distribution de l’aide de la GHF à Rafah, dans le sud du territoire palestinien. “Ils ont apporté deux cents boîtes pour vingt mille personnes, voire deux cent mille. Je suis arrivé ici à quatre heures du matin, il n’y avait personne. Vers quatre heures et demie, toute cette foule était là”, témoigne Saleh al-Chaer, un habitant.”Ce qui nous arrive est humiliant. (…) Nous allons là-bas et risquons notre vie juste pour obtenir de quoi nourrir nos enfants”, lance de son côté Sobhi Arif, un sac de farine sur l’épaule.Sur le terrain militaire, le Premier ministre Benjamin Netanyahu a affirmé mercredi qu’Israël avait tué Mohammed Sinouar, considéré comme le chef du Hamas à Gaza. Selon des médias israéliens, il a été visé par une frappe israélienne le 13 mai à Khan Younès, dans le sud de Gaza.L’attaque du 7 octobre a entraîné la mort de 1.218 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP établi à partir de données officielles. Sur 251 personnes alors enlevées, 57 restent retenues à Gaza, dont au moins 34 mortes, selon les autorités israéliennes.Plus de 54.249 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués par la campagne de représailles israéliennes, selon des données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l’ONU.

Gaza: au moins 44 morts dans de nouvelles attaques israéliennes selon les secours

Au moins 44 personnes ont été tuées jeudi dans des frappes israéliennes dans la bande de Gaza dévastée par la guerre où des milliers de Palestiniens affamés se sont rués la veille sur un entrepôt du Programme alimentaire mondial (PAM) pour s’emparer de vivres.Israël a intensifié son offensive à Gaza le 17 mai, dans le but affiché de libérer les derniers otages, de prendre le contrôle de la totalité du territoire palestinien et d’anéantir le mouvement islamiste Hamas, dont l’attaque sans précédent sur le sol israélien le 7 octobre 2023 a déclenché la guerre.Jeudi, “quarante-quatre personnes ont été tuées dans des raids israéliens sur la bande de Gaza” depuis minuit, a déclaré à l’AFP Mohammed Al-Moughayir, l’un des responsables de la Défense civile de la bande de Gaza, un organisme de secours.”Vingt-trois personnes ont été tuées, d’autres blessées et plusieurs sont portées disparues à la suite d’une frappe israélienne ayant visé une habitation” dans la zone du camp de réfugiés de Bureij, dans le centre du territoire, a-t-il ajouté. Il a également fait état de “deux personnes tuées et plusieurs blessées par des tirs des forces israéliennes ce matin près du centre d’aide américain” dans le sud de la bande de Gaza”.Interrogée par l’AFP sur la frappe à Al-Bureij et les tirs près du centre d’aide, l’armée israélienne a déclaré qu’elle examinait ces incidents. Dans un communiqué, elle a déclaré avoir frappé “des dizaines de cibles terroristes dans toute la bande de Gaza” au cours de la journée écoulée.En pleine intensification de sa campagne dans le territoire palestinien assiégé,Israël a partiellement levé la semaine dernière le blocus total de l’aide à Gaza imposé depuis le 2 mars.Mercredi soir, “des hordes de gens affamés ont fait irruption dans l’entrepôt (…) à la recherche de produits alimentaires qui avaient été prépositionnés en vue d’être distribués”, a déploré le PAM dans un communiqué appelant à un “accès humanitaire sûr et sans entraves”.Le communiqué indique que le PAM essaie de confirmer des informations faisant état de deux morts et plusieurs blessés au cours de l’incident.”Le PAM n’a cessé de mettre en garde sur la détérioration de la situation, (…) et les risques que font peser la limitation de l’aide humanitaire à des gens affamés ayant un besoin désespéré d’assistance”, ajoute le texte.Selon des images tournées par l’AFP, la foule n’a rien laissé, emportant sacs de nourriture, palettes de bois ou encore madriers alors que des tirs retentissaient.- “Humiliant” -Une distribution chaotique avait fait mardi – selon le Bureau du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’Homme dans les Territoires palestiniens occupés- 47 blessés dans un centre de la Fondation humanitaire de Gaza (GHF). Cette nouvelle organisation créée avec le soutien d’Israël et des Etats-Unis a mis en place un système de distribution vivement critiqué par le responsable de l’agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (Unrwa), Philippe Lazzarini.L’armée israélienne a reconnu des “tirs de sommation en l’air” de ses soldats, “à l’extérieur” du centre de la GHF, mais “en aucun cas vers les gens”. La GHF a aussi démenti tout tir vers la foule.Jeudi, des foules de Gazaouis se sont pressées vers un point de distribution de l’aide de la GHF à Rafah, dans le sud du territoire palestinien. “Ils ont apporté deux cents boîtes pour vingt mille personnes, voire deux cent mille. Je suis arrivé ici à quatre heures du matin, il n’y avait personne. Vers quatre heures et demie, toute cette foule était là”, témoigne Saleh al-Chaer, un habitant.”Ce qui nous arrive est humiliant. (…) Nous allons là-bas et risquons notre vie juste pour obtenir de quoi nourrir nos enfants”, lance de son côté Sobhi Arif, un sac de farine sur l’épaule.Sur le terrain militaire, le Premier ministre Benjamin Netanyahu a affirmé mercredi qu’Israël avait tué Mohammed Sinouar, considéré comme le chef du Hamas à Gaza. Selon des médias israéliens, il a été visé par une frappe israélienne le 13 mai à Khan Younès, dans le sud de Gaza.L’attaque du 7 octobre a entraîné la mort de 1.218 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP établi à partir de données officielles. Sur 251 personnes alors enlevées, 57 restent retenues à Gaza, dont au moins 34 mortes, selon les autorités israéliennes.Plus de 54.249 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués par la campagne de représailles israéliennes, selon des données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l’ONU.

Une page se tourne chez Dior avec le départ de Maria Grazia Chiuri

Le bruit courait depuis plusieurs mois: la créatrice Maria Grazia Chiuri quitte ses fonctions de directrice artistique des collections Femme de Dior, laissant ainsi la porte ouverte à Jonathan Anderson, dont le nom revient avec insistance pour lui succéder.Nommée en 2016, Maria Grazia a été la première femme à occuper le poste de directrice artistique dans la maison parisienne, propriété du groupe LVMH.Dans un communiqué, Dior a exprimé sa “plus vive gratitude” à Mme Chiuri après une “formidable collaboration”, précisant que c’est elle qui avait souhaité quitter son poste.”Je suis tout particulièrement reconnaissante du travail accompli par mes équipes et par les Ateliers. (…) Ensemble, nous avons construit un chapitre marquant dont je suis immensément fière”, a souligné Maria Grazia Chiuri, citée dans ce texte.Delphine Arnault, patronne de Christian Dior Couture, a pour sa part salué son “immense travail avec un point de vue féministe inspirant et une créativité exceptionnelle”.Après l’extravagant et provocateur John Galliano et l’acclamé mais éphémère Raf Simons, la styliste de 61 ans a en effet réussi en neuf ans à imposer sa vision de la femme Dior, à travers notamment un style plus “portable” et “confortable” et ses collaborations avec des artistes féministes.Fraîchement débarquée de Valentino, la créatrice avait notamment fait sensation en présentant pour son premier défilé en octobre 2016 un simple t-shirt blanc arborant le message “We should all be feminists” en lettres noires, une phrase empruntée à l’écrivaine nigériane Chimamanda Ngozi Adichie. “Elle a vraiment écrit un chapitre de l’histoire de la maison Dior”, a estimé auprès de l’AFP Serge Carreira, professeur affilié à Sciences Po, spécialiste de l’industrie du luxe.Si certains lui reprochent un manque de créativité, cet expert juge au contraire qu'”elle a réussi à impulser et créer une identité Dior Femme extrêmement cohérente, très authentique aussi par rapport à elle, qu’elle a constamment revigorée et alimentée avec des idées nouvelles”.- Standing ovation – La créatrice a présenté mardi à Rome, sa ville natale, sa dernière collection croisière lors d’un défilé dans les jardins de la Villa Albani, un palais néoclassique du XVIIIe siècle. Cet événement spectaculaire, inspiré par le “Bal Blanc” donné à Paris en 1930 par Mimi Pecci-Blunt, s’est conclu par une standing ovation des invités. Parmi eux figuraient Silvia Venturini Fendi, petite-fille des fondateurs de Fendi et directrice artistique des collections homme de la maison, et Valentino Garavani, fondateur de Valentino. Soit deux grands noms de la mode italienne avec lesquels a collaboré Maria Grazia Chiuri avant de rejoindre Dior. Formée à l’Instituto Europeo di Design de Rome, la styliste a en effet d’abord travaillé chez Fendi dans les années 1990, où, avec son compatriote Pierpaolo Piccioli, elle a imposé les sacs comme des pièces incontournables, à l’image du fameux “baguette”. Elle a ensuite rejoint Valentino, toujours avec son comparse, en 1999. Nommés en 2008 codirecteurs artistiques de la griffe, ils ont contribué pendant huit ans au renouveau de la maison italienne.- L’hypothèse Anderson – Le départ de Maria Grazia Chiuri de Dior est l’un des plus gros événements du vaste mercato qui agite le milieu de la mode ces derniers mois.  Le nom de son successeur n’a pas été officiellement annoncé, même si le nom de Jonathan Anderson circule depuis plusieurs mois. Nommé à la tête de Dior Homme en avril, en remplacement de Kim Jones, le créateur nord-irlandais deviendrait ainsi le premier styliste à diriger à la fois les collections Homme et Femme de la maison parisienne.”Ce serait d’une certaine façon une sorte de nouveau chapitre, avec peut-être l’idée de tisser des liens et d’avoir une plus grande cohérence entre un discours homme et un discours femme, et donc d’avoir quelque chose d’impactant pour les audiences et pour les consommateurs”, a relevé Serge Carreira, alors que LVMH, tout comme l’ensemble du secteur du luxe, traverse un ralentissement de sa croissance. Salué pour avoir propulsé sur le devant de la scène la marque espagnole Loewe, également propriété du groupe LVMH, Jonathan Anderson est considéré à 40 ans comme un des enfants prodiges de la mode.Nul doute que son premier défilé pour Dior en juin sera l’un des plus scrutés de la Fashion Week masculine de Paris, avant celui de Matthieu Blazy chez Chanel en octobre. 

Une page se tourne chez Dior avec le départ de Maria Grazia Chiuri

Le bruit courait depuis plusieurs mois: la créatrice Maria Grazia Chiuri quitte ses fonctions de directrice artistique des collections Femme de Dior, laissant ainsi la porte ouverte à Jonathan Anderson, dont le nom revient avec insistance pour lui succéder.Nommée en 2016, Maria Grazia a été la première femme à occuper le poste de directrice artistique dans la maison parisienne, propriété du groupe LVMH.Dans un communiqué, Dior a exprimé sa “plus vive gratitude” à Mme Chiuri après une “formidable collaboration”, précisant que c’est elle qui avait souhaité quitter son poste.”Je suis tout particulièrement reconnaissante du travail accompli par mes équipes et par les Ateliers. (…) Ensemble, nous avons construit un chapitre marquant dont je suis immensément fière”, a souligné Maria Grazia Chiuri, citée dans ce texte.Delphine Arnault, patronne de Christian Dior Couture, a pour sa part salué son “immense travail avec un point de vue féministe inspirant et une créativité exceptionnelle”.Après l’extravagant et provocateur John Galliano et l’acclamé mais éphémère Raf Simons, la styliste de 61 ans a en effet réussi en neuf ans à imposer sa vision de la femme Dior, à travers notamment un style plus “portable” et “confortable” et ses collaborations avec des artistes féministes.Fraîchement débarquée de Valentino, la créatrice avait notamment fait sensation en présentant pour son premier défilé en octobre 2016 un simple t-shirt blanc arborant le message “We should all be feminists” en lettres noires, une phrase empruntée à l’écrivaine nigériane Chimamanda Ngozi Adichie. “Elle a vraiment écrit un chapitre de l’histoire de la maison Dior”, a estimé auprès de l’AFP Serge Carreira, professeur affilié à Sciences Po, spécialiste de l’industrie du luxe.Si certains lui reprochent un manque de créativité, cet expert juge au contraire qu'”elle a réussi à impulser et créer une identité Dior Femme extrêmement cohérente, très authentique aussi par rapport à elle, qu’elle a constamment revigorée et alimentée avec des idées nouvelles”.- Standing ovation – La créatrice a présenté mardi à Rome, sa ville natale, sa dernière collection croisière lors d’un défilé dans les jardins de la Villa Albani, un palais néoclassique du XVIIIe siècle. Cet événement spectaculaire, inspiré par le “Bal Blanc” donné à Paris en 1930 par Mimi Pecci-Blunt, s’est conclu par une standing ovation des invités. Parmi eux figuraient Silvia Venturini Fendi, petite-fille des fondateurs de Fendi et directrice artistique des collections homme de la maison, et Valentino Garavani, fondateur de Valentino. Soit deux grands noms de la mode italienne avec lesquels a collaboré Maria Grazia Chiuri avant de rejoindre Dior. Formée à l’Instituto Europeo di Design de Rome, la styliste a en effet d’abord travaillé chez Fendi dans les années 1990, où, avec son compatriote Pierpaolo Piccioli, elle a imposé les sacs comme des pièces incontournables, à l’image du fameux “baguette”. Elle a ensuite rejoint Valentino, toujours avec son comparse, en 1999. Nommés en 2008 codirecteurs artistiques de la griffe, ils ont contribué pendant huit ans au renouveau de la maison italienne.- L’hypothèse Anderson – Le départ de Maria Grazia Chiuri de Dior est l’un des plus gros événements du vaste mercato qui agite le milieu de la mode ces derniers mois.  Le nom de son successeur n’a pas été officiellement annoncé, même si le nom de Jonathan Anderson circule depuis plusieurs mois. Nommé à la tête de Dior Homme en avril, en remplacement de Kim Jones, le créateur nord-irlandais deviendrait ainsi le premier styliste à diriger à la fois les collections Homme et Femme de la maison parisienne.”Ce serait d’une certaine façon une sorte de nouveau chapitre, avec peut-être l’idée de tisser des liens et d’avoir une plus grande cohérence entre un discours homme et un discours femme, et donc d’avoir quelque chose d’impactant pour les audiences et pour les consommateurs”, a relevé Serge Carreira, alors que LVMH, tout comme l’ensemble du secteur du luxe, traverse un ralentissement de sa croissance. Salué pour avoir propulsé sur le devant de la scène la marque espagnole Loewe, également propriété du groupe LVMH, Jonathan Anderson est considéré à 40 ans comme un des enfants prodiges de la mode.Nul doute que son premier défilé pour Dior en juin sera l’un des plus scrutés de la Fashion Week masculine de Paris, avant celui de Matthieu Blazy chez Chanel en octobre. 

Stocks climb after US court blocks Trump tariffs

Global stocks and the dollar largely firmed Thursday after a US court blocked most of President Donald Trump’s sweeping tariffs from taking effect.Equities across Europe and Asia climbed on hopes that Trump’s April 2 “Liberation Day” tariffs may not be imposed, easing concerns that had roiled global markets and sparked recession fears. US futures markets rallied almost two percent, signalling at least solid gains when Wall Street reopens Thursday.Tech stocks led the way after US computer chip giant Nvidia beat first-quarter earnings estimates, posting $18.1 billion in profit on revenues of $44.1 billion. Despite warning that export controls could cost billions, Nvidia forecast strong second-quarter sales on still-booming demand for chips to power artificial intelligence. In foreign exchange, the dollar strengthened against the euro and the yen, while safe haven gold retreated.Oil prices built on Wednesday’s rally that came against a backdrop of rising tensions over Russia and Iran, and OPEC meetings this week.”Trump’s tariff knock back by the US Court of International Trade is the main news that traders are digesting,” said Kathleen Brooks, research director at trading group XTB.The three-judge Court of International Trade on Wednesday ruled that Trump had overstepped his authority, barring most of the duties announced since he took office in January.While the White House has appealed against the decision, it marks a significant setback to Trump’s plans to bring governments to the negotiating table through tough new tariffs.The White House slammed the ruling by “unelected judges”.”If the court ruling holds and tariffs are blocked, brace for a global risk rally across major indices, the US dollar, and commodities on improved global growth expectations,” said Ipek Ozkardeskaya, senior analyst at Swissquote Bank.In Europe, the Paris stock market rose 0.6 percent and Frankfurt was up 0.3 percent in midday deals. Outside the eurozone, London flattened. Brooks noted this may reflect that “stock markets in countries (like Britain) who did manage to score trade deals with the US in recent weeks could be at a disadvantage if tariffs are reversed”.”That gains were measured rather than blockbuster reflects a healthy level of scepticism over whether this can truly rein in the Trump administration,” said AJ Bell investment director Russ Mould.Stephen Brown, North America economist at Capital Economics, noted that there are “various other routes through which the Trump administration could impose tariffs”.In Asia, Hong Kong piled on more than one percent, with Shanghai also higher by the close. China — the main target of Trump’s tariffs but recently granted a temporary reprieve — urged Washington to “fully cancel the wrongful unilateral” measures.Markets in Japan and South Korea — major exporters that faced huge tariffs — surged 1.9 percent, buoyed by rallies in tech firms and automakers. Seoul was helped also by a cut to interest rates in South Korea.- Key figures at around 1030 GMT -London – FTSE 100: FLAT at 8,722.69 pointsParis – CAC 40: UP 0.6 percent at 7,837.93Frankfurt – DAX: UP 0.3 percent at 24,155.65Tokyo – Nikkei 225: UP 1.9 percent at 38,432.98 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 1.4 percent at 23,573.38 (close)Shanghai – Composite: UP 0.7 percent at 3,363.45 (close)New York – S&P 500: DOWN 0.6 percent at 5,888.55 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.1289 from $1.1291 on WednesdayPound/dollar: UP at $1.3482 from $1.3468Dollar/yen: UP at 144.95 yen from 144.82 yenEuro/pound: DOWN at 83.73 pence from 83.84 penceBrent North Sea Crude: UP 0.9 percent at $64.91 per barrelWest Texas Intermediate: UP 1.1 percent at $62.51 per barrel 

Amnesty says over 10,000 killed in two years in north, central NigeriaThu, 29 May 2025 11:04:19 GMT

The number of people killed in violence committed by jihadist groups and criminal gangs topped over 10,000 in two years in central and northern Nigeria, Amnesty International said Thursday.In a report, the global rights group blamed the government of President Bola Tinubu for failure to protect people in swathes of the country hit by raids …

Amnesty says over 10,000 killed in two years in north, central NigeriaThu, 29 May 2025 11:04:19 GMT Read More »

Macron à Borobudur lance “un nouveau partenariat culturel” avec l’Indonésie

Emmanuel Macron a conclu jeudi son déplacement en Indonésie par une visite au temple bouddhiste de Borobudur où il a annoncé “un nouveau partenariat culturel” entre la France et l’Indonésie après avoir élevé son homologue Prabowo Subianto à la plus haute distinction française.”Devant ce temple nous franchissons une étape importante en lançant un nouveau partenariat culturel”, a déclaré le président français au pied de l’imposante construction bouddhiste de Borobudur, édifiée aux VIIIe et IXe siècles. Le premier pilier “c’est la coopération patrimoniale et muséale”, a indiqué M. Macron, annonçant des “études communes sur des sites patrimoniaux” et l’accueil “prochain de jeunes professionnels dans nos musées”.”Le deuxième pilier, ce sont les industries culturelles et créatives (…) La France et l’Indonésie partagent une même ambition : faire de la culture une force économique (…) et un terrain d’émancipation”, a ajouté M. Macron, arrivé le matin à Yogyakarta, berceau de la culture javanaise, depuis Jakarta.L’accent sera mis notamment sur le cinéma “grâce à de nouvelles coopérations avec le Centre national de la cinématographie (CNC), pour la formation, la diffusion et la coproduction”.Pays de 280 millions d’habitants, l’Indonésie possède un marché du cinéma très dynamique, avec pas moins de 126 millions d’entrées en salle en 2024 et 285 films produits en 2024, soit autant qu’en France.Les films d’horreur représentent la moitié de la production et des entrées, tandis que le cinéma d’auteur reste modeste. Jakarta souhaite néanmoins l’encourager, avec l’appui de la France et du Centre national du CNC.M. Macron qui avait déjà mis en avant à Jakarta “une nouvelle vague franco-indonésienne”, a également cité la mode, les métiers d’art, les jeux vidéo, le design, l’art visuel ou encore la gastronomie.”J’ai bon espoir que notre partenariat se poursuivra et pourra servir de pont entre les experts culturels, les artistes et les travailleurs de l’industrie créative”, a déclaré de son côté le président indonésien.Après des discussions la veille au palais présidentiel, les deux dirigeants s’étaient rendus jeudi matin par hélicoptère à l’académie militaire Magelang, depuis l’aéroport de Yogyakarta.M. Macron y a élevé M. Subianto, ancien général, ex-ministre de la Défense et président indonésien depuis octobre dernier, au rang de grand-croix de la Légion d’honneur.M. Prabowo a été accusé de violations des droits de l’Homme sous le régime du dictateur Suharto à la fin des années 1990. Il a été renvoyé de l’armée pour son rôle présumé dans les enlèvements de militants pro-démocratie mais a toujours nié ces accusations et n’a jamais été inculpé.Le président français a quitté jeudi peu après 17h30 locales (10h30 GMT) l’Indonésie pour Singapour où il achèvera sa tournée en Asie du Sud-Est.Vendredi, il y prononcera le discours d’ouverture du Shangri-La Dialogue, plus grand forum asiatique sur la sécurité et la défense.

Macron à Borobudur lance “un nouveau partenariat culturel” avec l’Indonésie

Emmanuel Macron a conclu jeudi son déplacement en Indonésie par une visite au temple bouddhiste de Borobudur où il a annoncé “un nouveau partenariat culturel” entre la France et l’Indonésie après avoir élevé son homologue Prabowo Subianto à la plus haute distinction française.”Devant ce temple nous franchissons une étape importante en lançant un nouveau partenariat culturel”, a déclaré le président français au pied de l’imposante construction bouddhiste de Borobudur, édifiée aux VIIIe et IXe siècles. Le premier pilier “c’est la coopération patrimoniale et muséale”, a indiqué M. Macron, annonçant des “études communes sur des sites patrimoniaux” et l’accueil “prochain de jeunes professionnels dans nos musées”.”Le deuxième pilier, ce sont les industries culturelles et créatives (…) La France et l’Indonésie partagent une même ambition : faire de la culture une force économique (…) et un terrain d’émancipation”, a ajouté M. Macron, arrivé le matin à Yogyakarta, berceau de la culture javanaise, depuis Jakarta.L’accent sera mis notamment sur le cinéma “grâce à de nouvelles coopérations avec le Centre national de la cinématographie (CNC), pour la formation, la diffusion et la coproduction”.Pays de 280 millions d’habitants, l’Indonésie possède un marché du cinéma très dynamique, avec pas moins de 126 millions d’entrées en salle en 2024 et 285 films produits en 2024, soit autant qu’en France.Les films d’horreur représentent la moitié de la production et des entrées, tandis que le cinéma d’auteur reste modeste. Jakarta souhaite néanmoins l’encourager, avec l’appui de la France et du Centre national du CNC.M. Macron qui avait déjà mis en avant à Jakarta “une nouvelle vague franco-indonésienne”, a également cité la mode, les métiers d’art, les jeux vidéo, le design, l’art visuel ou encore la gastronomie.”J’ai bon espoir que notre partenariat se poursuivra et pourra servir de pont entre les experts culturels, les artistes et les travailleurs de l’industrie créative”, a déclaré de son côté le président indonésien.Après des discussions la veille au palais présidentiel, les deux dirigeants s’étaient rendus jeudi matin par hélicoptère à l’académie militaire Magelang, depuis l’aéroport de Yogyakarta.M. Macron y a élevé M. Subianto, ancien général, ex-ministre de la Défense et président indonésien depuis octobre dernier, au rang de grand-croix de la Légion d’honneur.M. Prabowo a été accusé de violations des droits de l’Homme sous le régime du dictateur Suharto à la fin des années 1990. Il a été renvoyé de l’armée pour son rôle présumé dans les enlèvements de militants pro-démocratie mais a toujours nié ces accusations et n’a jamais été inculpé.Le président français a quitté jeudi peu après 17h30 locales (10h30 GMT) l’Indonésie pour Singapour où il achèvera sa tournée en Asie du Sud-Est.Vendredi, il y prononcera le discours d’ouverture du Shangri-La Dialogue, plus grand forum asiatique sur la sécurité et la défense.

Macron à Borobudur lance “un nouveau partenariat culturel” avec l’Indonésie

Emmanuel Macron a conclu jeudi son déplacement en Indonésie par une visite au temple bouddhiste de Borobudur où il a annoncé “un nouveau partenariat culturel” entre la France et l’Indonésie après avoir élevé son homologue Prabowo Subianto à la plus haute distinction française.”Devant ce temple nous franchissons une étape importante en lançant un nouveau partenariat culturel”, a déclaré le président français au pied de l’imposante construction bouddhiste de Borobudur, édifiée aux VIIIe et IXe siècles. Le premier pilier “c’est la coopération patrimoniale et muséale”, a indiqué M. Macron, annonçant des “études communes sur des sites patrimoniaux” et l’accueil “prochain de jeunes professionnels dans nos musées”.”Le deuxième pilier, ce sont les industries culturelles et créatives (…) La France et l’Indonésie partagent une même ambition : faire de la culture une force économique (…) et un terrain d’émancipation”, a ajouté M. Macron, arrivé le matin à Yogyakarta, berceau de la culture javanaise, depuis Jakarta.L’accent sera mis notamment sur le cinéma “grâce à de nouvelles coopérations avec le Centre national de la cinématographie (CNC), pour la formation, la diffusion et la coproduction”.Pays de 280 millions d’habitants, l’Indonésie possède un marché du cinéma très dynamique, avec pas moins de 126 millions d’entrées en salle en 2024 et 285 films produits en 2024, soit autant qu’en France.Les films d’horreur représentent la moitié de la production et des entrées, tandis que le cinéma d’auteur reste modeste. Jakarta souhaite néanmoins l’encourager, avec l’appui de la France et du Centre national du CNC.M. Macron qui avait déjà mis en avant à Jakarta “une nouvelle vague franco-indonésienne”, a également cité la mode, les métiers d’art, les jeux vidéo, le design, l’art visuel ou encore la gastronomie.”J’ai bon espoir que notre partenariat se poursuivra et pourra servir de pont entre les experts culturels, les artistes et les travailleurs de l’industrie créative”, a déclaré de son côté le président indonésien.Après des discussions la veille au palais présidentiel, les deux dirigeants s’étaient rendus jeudi matin par hélicoptère à l’académie militaire Magelang, depuis l’aéroport de Yogyakarta.M. Macron y a élevé M. Subianto, ancien général, ex-ministre de la Défense et président indonésien depuis octobre dernier, au rang de grand-croix de la Légion d’honneur.M. Prabowo a été accusé de violations des droits de l’Homme sous le régime du dictateur Suharto à la fin des années 1990. Il a été renvoyé de l’armée pour son rôle présumé dans les enlèvements de militants pro-démocratie mais a toujours nié ces accusations et n’a jamais été inculpé.Le président français a quitté jeudi peu après 17h30 locales (10h30 GMT) l’Indonésie pour Singapour où il achèvera sa tournée en Asie du Sud-Est.Vendredi, il y prononcera le discours d’ouverture du Shangri-La Dialogue, plus grand forum asiatique sur la sécurité et la défense.