Orages: un adolescent tué par la chute d’un arbre, levée de la vigilance orange

Un adolescent de 12 ans a été tué par la chute d’un arbre près de Montauban lors de l’épisode orageux qui a frappé dans la nuit de mercredi à jeudi la France, où la vigilance orange a été levée dans tous les départements concernés.L’adolescent a été tué à Picquebos par un arbre emporté par une rafale de vent, a indiqué à l’AFP la directrice de cabinet du préfet de Tarn-et-Garonne, Bénédicte Martineau, qui n’a pas fourni d’autres détails.Selon le dernier bulletin de Météo France, qui faisait auparavant état de 44 départements en vigilance orages, les “orages violents s’évacuent du Nord-Est du pays”, avec une “baisse notable des températures jeudi” et des fortes chaleurs qui “ne concerneront plus alors que le pourtour méditerranéen”.Météo France avait déclenché ces niveaux d’alerte de la population “compte tenu du risque de phénomènes violents associés (grêle, rafales, fortes pluies et forte activité électrique)”, conséquence du pic de chaleur qui a fait dépasser les 35°C mercredi sur de larges régions de métropole.- “Prudence” -L’organisme de prévisions anticipait de fortes pluies (30 à 50 mm en une à deux heures), localement des chutes de grêle de taille moyenne à grosse (jusqu’à deux à cinq cm, voire plus), et des rafales pouvant dépasser les 100 km/h, “possiblement 100/120 km/h voire localement plus”.”J’appelle à la plus grande prudence dans les déplacements de chacun et remercie les forces de secours mobilisées sur le terrain en ce moment-même et dans les prochaines heures”, a indiqué sur X le Premier ministre François Bayrou.En Mayenne, un homme conduisant un quad est mort après avoir percuté un arbre tombé sur la route lors d’un orage, selon les pompiers.En région parisienne, des vents de 109 km/h ont été enregistrés “sur la station Le Bourget”, selon Météo France.A Paris et dans les Hautes-de-Seine principalement, les pompiers sont intervenus une quarantaine de fois pour dégager des arbres ou des branches tombées sur les routes, a déclaré la Brigade des Sapeurs-Pompiers de Paris (BSPP) à l’AFP, précisant que l’épisode n’a fait “ni victimes ni blessés pour l’instant”.Le trafic a aussi été perturbé sur les RER B et D et les accès à quelques stations de métro ont été fermés en raison d’inondations, selon la SNCF et la RATP.Le débat sur la guerre entre l’Iran et Israël qui se tenait mercredi soir à l’Assemblée a été brièvement suspendu juste après le discours d’ouverture de M. Bayrou, qui a noté “qu’il pleuvait” dans l’hémicycle. “On a eu une petite fuite là-haut”, a confirmé à la reprise quelques minutes plus tard le président de séance, Roland Lescure, alors que de violents orages touchaient Paris.Les orages ont un impact sur le réseau électrique et des pannes de courant peuvent avoir lieu “sporadiquement sur le territoire, dans le tracé de l’orage”, a indiqué à l’AFP un porte-parole du gestionnaire de réseaux électriques Enedis, qui attend toutefois que “la situation soit stabilisée” avant de donner plus de précisions.- “Très chaud” -Mercredi, la barre symbolique des 40°C a été dépassée dans plusieurs villes des Pyrénées-Orientales et frôlée à Clermont-Ferrand (39,8°C). Les 40°C avaient été atteint déjà mardi dans l’Hérault, pour la première fois de l’année en France.Selon Météo France, “les minimales jeudi matin resteront tropicales, de l’ordre de 20 à 22°C sur les agglomérations de Lyon et Grenoble”, synonyme de sommeil difficile et de difficultés de récupération pour les organismes soumis à la canicule.”Toutefois, en journée de jeudi, une baisse très significative des maximales est attendue, avec un retour à des températures voisines des 30°C”, ajoute le service météorologique.La France est traversée depuis le 19 juin par sa 50e vague de chaleur nationale depuis 1947, dont la moitié ont été subies au XXIe siècle, conséquence du réchauffement climatique qui augmente l’intensité et la fréquence des canicules.cca-bl-jpa-gvy/dsa/liu/lpa/cyj

Orages: un adolescent tué par la chute d’un arbre, levée de la vigilance orange

Un adolescent de 12 ans a été tué par la chute d’un arbre près de Montauban lors de l’épisode orageux qui a frappé dans la nuit de mercredi à jeudi la France, où la vigilance orange a été levée dans tous les départements concernés.L’adolescent a été tué à Picquebos par un arbre emporté par une rafale de vent, a indiqué à l’AFP la directrice de cabinet du préfet de Tarn-et-Garonne, Bénédicte Martineau, qui n’a pas fourni d’autres détails.Selon le dernier bulletin de Météo France, qui faisait auparavant état de 44 départements en vigilance orages, les “orages violents s’évacuent du Nord-Est du pays”, avec une “baisse notable des températures jeudi” et des fortes chaleurs qui “ne concerneront plus alors que le pourtour méditerranéen”.Météo France avait déclenché ces niveaux d’alerte de la population “compte tenu du risque de phénomènes violents associés (grêle, rafales, fortes pluies et forte activité électrique)”, conséquence du pic de chaleur qui a fait dépasser les 35°C mercredi sur de larges régions de métropole.- “Prudence” -L’organisme de prévisions anticipait de fortes pluies (30 à 50 mm en une à deux heures), localement des chutes de grêle de taille moyenne à grosse (jusqu’à deux à cinq cm, voire plus), et des rafales pouvant dépasser les 100 km/h, “possiblement 100/120 km/h voire localement plus”.”J’appelle à la plus grande prudence dans les déplacements de chacun et remercie les forces de secours mobilisées sur le terrain en ce moment-même et dans les prochaines heures”, a indiqué sur X le Premier ministre François Bayrou.En Mayenne, un homme conduisant un quad est mort après avoir percuté un arbre tombé sur la route lors d’un orage, selon les pompiers.En région parisienne, des vents de 109 km/h ont été enregistrés “sur la station Le Bourget”, selon Météo France.A Paris et dans les Hautes-de-Seine principalement, les pompiers sont intervenus une quarantaine de fois pour dégager des arbres ou des branches tombées sur les routes, a déclaré la Brigade des Sapeurs-Pompiers de Paris (BSPP) à l’AFP, précisant que l’épisode n’a fait “ni victimes ni blessés pour l’instant”.Le trafic a aussi été perturbé sur les RER B et D et les accès à quelques stations de métro ont été fermés en raison d’inondations, selon la SNCF et la RATP.Le débat sur la guerre entre l’Iran et Israël qui se tenait mercredi soir à l’Assemblée a été brièvement suspendu juste après le discours d’ouverture de M. Bayrou, qui a noté “qu’il pleuvait” dans l’hémicycle. “On a eu une petite fuite là-haut”, a confirmé à la reprise quelques minutes plus tard le président de séance, Roland Lescure, alors que de violents orages touchaient Paris.Les orages ont un impact sur le réseau électrique et des pannes de courant peuvent avoir lieu “sporadiquement sur le territoire, dans le tracé de l’orage”, a indiqué à l’AFP un porte-parole du gestionnaire de réseaux électriques Enedis, qui attend toutefois que “la situation soit stabilisée” avant de donner plus de précisions.- “Très chaud” -Mercredi, la barre symbolique des 40°C a été dépassée dans plusieurs villes des Pyrénées-Orientales et frôlée à Clermont-Ferrand (39,8°C). Les 40°C avaient été atteint déjà mardi dans l’Hérault, pour la première fois de l’année en France.Selon Météo France, “les minimales jeudi matin resteront tropicales, de l’ordre de 20 à 22°C sur les agglomérations de Lyon et Grenoble”, synonyme de sommeil difficile et de difficultés de récupération pour les organismes soumis à la canicule.”Toutefois, en journée de jeudi, une baisse très significative des maximales est attendue, avec un retour à des températures voisines des 30°C”, ajoute le service météorologique.La France est traversée depuis le 19 juin par sa 50e vague de chaleur nationale depuis 1947, dont la moitié ont été subies au XXIe siècle, conséquence du réchauffement climatique qui augmente l’intensité et la fréquence des canicules.cca-bl-jpa-gvy/dsa/liu/lpa/cyj

Orages: un adolescent tué par la chute d’un arbre, levée de la vigilance orange

Un adolescent de 12 ans a été tué par la chute d’un arbre près de Montauban lors de l’épisode orageux qui a frappé dans la nuit de mercredi à jeudi la France, où la vigilance orange a été levée dans tous les départements concernés.L’adolescent a été tué à Picquebos par un arbre emporté par une rafale de vent, a indiqué à l’AFP la directrice de cabinet du préfet de Tarn-et-Garonne, Bénédicte Martineau, qui n’a pas fourni d’autres détails.Selon le dernier bulletin de Météo France, qui faisait auparavant état de 44 départements en vigilance orages, les “orages violents s’évacuent du Nord-Est du pays”, avec une “baisse notable des températures jeudi” et des fortes chaleurs qui “ne concerneront plus alors que le pourtour méditerranéen”.Météo France avait déclenché ces niveaux d’alerte de la population “compte tenu du risque de phénomènes violents associés (grêle, rafales, fortes pluies et forte activité électrique)”, conséquence du pic de chaleur qui a fait dépasser les 35°C mercredi sur de larges régions de métropole.- “Prudence” -L’organisme de prévisions anticipait de fortes pluies (30 à 50 mm en une à deux heures), localement des chutes de grêle de taille moyenne à grosse (jusqu’à deux à cinq cm, voire plus), et des rafales pouvant dépasser les 100 km/h, “possiblement 100/120 km/h voire localement plus”.”J’appelle à la plus grande prudence dans les déplacements de chacun et remercie les forces de secours mobilisées sur le terrain en ce moment-même et dans les prochaines heures”, a indiqué sur X le Premier ministre François Bayrou.En Mayenne, un homme conduisant un quad est mort après avoir percuté un arbre tombé sur la route lors d’un orage, selon les pompiers.En région parisienne, des vents de 109 km/h ont été enregistrés “sur la station Le Bourget”, selon Météo France.A Paris et dans les Hautes-de-Seine principalement, les pompiers sont intervenus une quarantaine de fois pour dégager des arbres ou des branches tombées sur les routes, a déclaré la Brigade des Sapeurs-Pompiers de Paris (BSPP) à l’AFP, précisant que l’épisode n’a fait “ni victimes ni blessés pour l’instant”.Le trafic a aussi été perturbé sur les RER B et D et les accès à quelques stations de métro ont été fermés en raison d’inondations, selon la SNCF et la RATP.Le débat sur la guerre entre l’Iran et Israël qui se tenait mercredi soir à l’Assemblée a été brièvement suspendu juste après le discours d’ouverture de M. Bayrou, qui a noté “qu’il pleuvait” dans l’hémicycle. “On a eu une petite fuite là-haut”, a confirmé à la reprise quelques minutes plus tard le président de séance, Roland Lescure, alors que de violents orages touchaient Paris.Les orages ont un impact sur le réseau électrique et des pannes de courant peuvent avoir lieu “sporadiquement sur le territoire, dans le tracé de l’orage”, a indiqué à l’AFP un porte-parole du gestionnaire de réseaux électriques Enedis, qui attend toutefois que “la situation soit stabilisée” avant de donner plus de précisions.- “Très chaud” -Mercredi, la barre symbolique des 40°C a été dépassée dans plusieurs villes des Pyrénées-Orientales et frôlée à Clermont-Ferrand (39,8°C). Les 40°C avaient été atteint déjà mardi dans l’Hérault, pour la première fois de l’année en France.Selon Météo France, “les minimales jeudi matin resteront tropicales, de l’ordre de 20 à 22°C sur les agglomérations de Lyon et Grenoble”, synonyme de sommeil difficile et de difficultés de récupération pour les organismes soumis à la canicule.”Toutefois, en journée de jeudi, une baisse très significative des maximales est attendue, avec un retour à des températures voisines des 30°C”, ajoute le service météorologique.La France est traversée depuis le 19 juin par sa 50e vague de chaleur nationale depuis 1947, dont la moitié ont été subies au XXIe siècle, conséquence du réchauffement climatique qui augmente l’intensité et la fréquence des canicules.cca-bl-jpa-gvy/dsa/liu/lpa/cyj

Trial of Sean ‘Diddy’ Combs heads into closing arguments

After weeks of painstaking testimony in the high-profile trial of Sean “Diddy” Combs, legal teams will enter a pivotal moment of the proceedings Thursday as they deliver closing arguments.Both sides have said their climactic summations will last several hours each, as the fate of the once-powerful music mogul hangs in the balance.Prosecutors say Combs, 55, masterminded a decades-long pattern of wrongdoing that saw him and an inner circle of employees carry out crimes including forced labor, arson, bribery and witness tampering.The famed producer coerced two women — the singer Casandra Ventura and later a woman who testified under the pseudonym Jane — into years of drug-addled sex with paid escorts, prosecutors say.The most serious charge of racketeering — which includes the existence of a criminal enterprise that committed a pattern of offenses — could send Combs to prison for life. He also faces two charges of sex trafficking and two more for transportation for purposes of prostitution.But Combs denies it all: his lawyers have argued the artist’s relationships were consensual and have sought to convince jurors that many of the witnesses who testified were doing so for reasons including financial gain or jealousy.Along with alleged victims, government witnesses included former assistants and other employees, as well as escorts, friends and family of Ventura, and a hotel security guard who said he was bribed with $100,000 in a paper bag.Law enforcement officials and a forensic psychologist were also among the 34 individuals to take the stand.Combs opted against testifying on his own behalf, a common strategy of defense teams who are not required to prove innocence, only to cast doubt on government allegations of guilt.The government’s evidence included thousands of pages of phone and text records, and hours of testimony involved meticulous readings of some of the most explicit and wrenching exchanges.Many of those records appear to indicate distress on the part of the alleged victims. But a lot of the messages also show affection and desire — texts the defense underscored again and again.Jurors have seen video evidence of the sex parties prosecutors say were criminal, while the defense has exhibited exchanges they said imply consent.Also in evidence are reams of financial records — including CashApp payments to escorts — as well as flight and hotel records.- Deliberations up next -Since early May the proceedings have gripped the Manhattan federal courthouse where they’re taking place. And though electronics — that includes phones, laptops, and even AirPods — are barred from the building and must be left with security, dozens of influencers and content creators have buzzed around the courthouse’s exterior every day, delivering hot takes to eager social media fans.Combs is incarcerated and does not enter or exit the courthouse publicly. But some of the high-profile attendees and witnesses do, including members of the music mogul’s family and figures like Kid Cudi, the rapper who testified that Combs’s entourage torched his car.The marathon closing arguments are anticipated to wrap up on Friday.There is a slim chance jurors will go into deliberations that afternoon, but legal teams have indicated it’s more likely the panel of citizens will get the case on Monday.Then the world waits, as 12 New Yorkers consider the future of a man whose reputation as a dynamic starmaker is now in tatters.

Mississippi man who spent nearly 50 years on Death Row executed

A Mississippi man who had been on Death Row for nearly 50 years was executed by lethal injection on Wednesday, one of two executions in the United States this week.Richard Jordan, 79, was convicted in 1976 of the murder of Edwina Marter, the wife of a bank executive in the town of Gulfport.Jordan, a shipyard worker, kidnapped Marter from her home and demanded a $25,000 ransom.He was apprehended when he went to pick up the money.Jordan confessed to murdering Marter and led the authorities to her body, which had been hidden in a forest. She had been shot.Jordan was pronounced dead at 6:16 pm Central Time (2316 GMT) at the Mississippi State Penitentiary in Parchman, according to a statement issued by the Mississippi Department of Corrections.He was Mississippi’s longest-serving and oldest death row inmate at the time of his execution, the statement said.His execution came one day after that of Thomas Gudinas, 51, who was put to death by lethal injection in Florida on Tuesday.Gudinas was sentenced to death in 1995 for the murder of Michelle McGrath, who was last seen leaving a bar in the city of Orlando in the early hours.McGrath’s battered body was found the next day and Gudinas was arrested shortly afterwards.Florida has carried out more executions — seven — than any other US state so far this year.The execution in Mississippi was the first in the southern state since December 2022.There have been 25 executions in the United States this year: 20 by lethal injection, two by firing squad and three by nitrogen hypoxia, which involves pumping nitrogen gas into a face mask, causing the prisoner to suffocate.The use of nitrogen gas as an execution method has been denounced by United Nations experts as cruel and inhumane.The death penalty has been abolished in 23 of the 50 US states, while three others — California, Oregon and Pennsylvania — have moratoriums in place.President Donald Trump is a proponent of capital punishment, and on his first day in office called for an expansion of its use “for the vilest crimes.”

Mondial des clubs: Mbappé toujours en salle d’attente

Victime d’une gastro-entérite dès son arrivée aux Etats-Unis, Kylian Mbappé est toujours obligé de prendre son mal en patience et a de nouveau été dispensé du match du Real Madrid qui joue sa qualification pour les 8e de finale du Mondial des clubs face à Salzbourg, jeudi à Philadelphie.Le capitaine de l’équipe de France n’effectuera pas son grand retour lors de ce rendez-vous décisif du groupe H. Une semaine après avoir subi des examens à l’hôpital, la superstar des Bleus, qui travaillait en salle jusque-là, a finalement repris l’entraînement collectif mercredi, à la veille de la rencontre-couperet contre la formation autrichienne. Mais il ne figure pas dans le groupe convoqué par l’entraîneur Xabi Alonso, après avoir déjà manqué les deux premières sorties de son équipe face aux Saoudiens d’Al-Hilal (1-1) et aux Mexicains de Pachuca (3-1).Même si le Français a retouché le ballon sur les pelouses du Gardens North County District Park à Palm Beach (Floride) où le Real a pris ses quartiers, il a été jugé trop juste physiquement. L’encadrement ne souhaite prendre aucun risque avec son joueur-vedette dont il aura forcément besoin à partir de la phase à élimination directe.”J’ai été content de le revoir sur un terrain mais il n’est pas totalement rétabli. J’ai discuté avec lui et il n’est pas encore à 100%. On espère le récupérer à partir du prochain tour”, a indiqué Xabi Alonso mercredi en conférence de presse. Une situation très frustrante pour l’attaquant, désireux de se racheter collectivement durant cette Coupe du monde après une saison sans trophée majeur avec son nouveau club, malgré des statistiques personnelles impressionnantes (43 buts, toutes compétitions confondues), récompensées par le Soulier d’or européen et un titre de “pichichi” (meilleur buteur) en Liga. – Objectif première place – Pour le Real, la priorité immédiate est surtout d’obtenir une victoire jeudi au Lincoln Financial Field de Philadelphie pour s’assurer la première place du groupe H. Les deux premières rencontres ont montré qu’il faudrait encore un peu de temps aux Madrilènes avant d’intégrer complètement les préceptes de Xabi Alonso, arrivé en provenance du Bayer Leverkusen et qui a la lourde charge de succéder à Carlo Ancelotti, nommé à la tête du Brésil.”Ce match (contre Salzbourg, ndlr) est l’occasion de peaufiner les attentes de l’entraîneur et de continuer à travailler sur ce qu’il nous demande. Nous devons progresser et continuer à apprendre à nous connaître car de nouveaux joueurs sont arrivés. Nous devons nous préparer au mieux, car ce sera un match très important et exigeant”, a déclaré le milieu Federico Valverde, auteur du troisième but face à Pachuca, une rencontre remportée en infériorité numérique après l’exclusion rapide du défenseur Raul Asencio.Xabi Alonso reconnaît de son côté qu'”il y a encore beaucoup de challenges à relever” avant d’arriver à bâtir un jeu collectif correspondant à ses désirs.”Cela prend du temps. Nous voulons aussi nous adapter au contexte d’une partie. Nous avons besoin de cette intelligence dans notre jeu. Mais la victoire contre Pachuca nous renforce, tant au niveau footballistique que moral”, a estimé l’ancien milieu de Liverpool, du Bayern Munich et du Real Madrid. 

Upstart socialist stuns former governor in NYC mayoral primary

Young self-declared socialist Zohran Mamdani was on the cusp of a stunning victory Wednesday in New York City’s Democratic mayoral primary — pummeling his scandal-scarred establishment rival in a race seen as a fight for the future of the Democratic Party.Results were not yet final, but Mamdani — who is just 33 and would become the city’s first Muslim mayor — had such a commanding lead that his biggest rival, former New York governor Andrew Cuomo, conceded defeat overnight.  Mamdani’s success was seen as a rebuke to Democratic centrists who backed the powerful Cuomo, as the party flails nationally in search of a way to counter Republican President Donald Trump’s hard-right movement.The Ugandan-born state assemblyman was behind Cuomo in polls until near the end, surging on a message of lower rents, free daycare and other populist ideas in the notoriously expensive metropolis.Commenting on the primary result in his former hometown, Trump lashed out at Mamdani as “a 100% Communist Lunatic,” adding that Democrats had “crossed the line” by choosing him.The top two Democrats in Congress, Senate Minority Leader Chuck Schumer and House Minority Leader Hakeem Jeffries — both from New York — separately applauded Mamdani’s victory, but did not explicitly endorse him.”Tonight we made history,” Mamdani said in a victory speech to supporters. On Wednesday he suggested his campaign and shock upset could serve as a model for the future for Democrats.”It has been tempting, I think, for some to claim as if the party has gone too left, when in fact what has occurred for far too long is the abandonment of the same working-class voters who then abandoned this party,” he told public radio WNNY.Cuomo, a 67-year-old political veteran vying to rebound from a sexual harassment scandal, said he called his rival to concede.Mamdani had taken 43 percent of the vote with 95 percent of ballots counted, according to city officials. Cuomo was at around 36 percent and appeared to have no chance to catch his rival.However, the contest is ranked-choice, with voters asked to select five candidates in order of preference. When no candidate wins more than 50 percent of the vote outright, election officials start the time-consuming process of eliminating the lowest-ranking candidates and retabulating.For political scientist Lincoln Mitchell, the vote was “a clear referendum on the future of the Democratic Party.”- Prime Trump target? -Cuomo had big money and near universal name recognition in the city, as a former governor and son of another governor.However, he was weighed down by having quit in disgrace four years ago after multiple women accused him of sexual harassment. He was also accused of mismanaging the state’s response to the Covid pandemic.Even so, Mamdani’s success was stunning.The son of Indian-origin immigrants, he is backed by the Democratic Socialists of America party — the kind of niche, leftist affiliation that many Democratic leaders believe their party needs to shed.The fact Mamdani speaks out for Palestinians and has accused Israel of “genocide” also makes him a prime target for Trump.His supporters include two favorite Trump foils — fiery leftist Senator Bernie Sanders and progressive congresswoman Alexandria Ocasio-Cortez.”Billionaires and lobbyists poured millions against you and our public finance system. And you won,” Ocasio-Cortez wrote on X. – Big ideas, low experience -Currently a New York state assemblyman representing the borough of Queens, Mamdani’s eye-catching policy proposals include freezing rent for many New Yorkers, free bus service, and universal childcare.In a city where a three-bedroom apartment can easily cost $6,000 a month, his message struck a chord.Voter Eamon Harkin, 48, said prices were his “number one issue.””What’s at stake is primarily the affordability of New York,” he said.The confirmed winner will face several contenders in November, including current Mayor Eric Adams, who is a Democrat but has vowed to run again as an independent.

For some migrants in US, Florida’s ‘Alligator Alcatraz’ awaits

Florida began construction this week on a detention center surrounded by fierce reptiles and cypress swamps, an “Alligator Alcatraz” in the Everglades wetlands, as part of US President Donald Trump’s expansion of deportations of undocumented migrants.The chosen site, an abandoned airfield in the heart of a sprawling network of mangrove forests, imposing marshes and “rivers of grass” that form the conservation area, will house large tents and beds for 1,000 “criminal aliens,” according to state Attorney General James Uthmeier.The 30-square-mile (78-square-kilometer) area “presents an efficient, low-cost opportunity to build a temporary detention facility, because you don’t need to invest that much in the perimeter,” he said recently in a video on X showing the area and clips of migrant arrests.”If people get out, there’s not much waiting for them, other than alligators and pythons,” he added. “Nowhere to go, nowhere to hide.”Uthmeier described what he is calling Alligator Alcatraz as a “one-stop shop to carry out President Trump’s mass deportation agenda.”Such a project — during searing summer months in an inhospitable and dangerous landscape filled with reptiles and mosquitos — fits into a broader series of harsh optics which officials hope will discourage migrants from coming to the United States.The large southeastern state governed by Republican Ron DeSantis boasts of collaborating closely with the Trump administration on immigration enforcement.Since the billionaire businessman’s return to the White House in January, his administration has enlisted local authorities to help Immigration and Customs Enforcement (ICE) ramp up arrests of undocumented migrants.Uthmeier said the new facility will be up and running within 30 to 60 days after construction begins.It is expected to cost roughly $450 million per year to operate, with the state likely to apply for funding from the federal government, Department of Homeland Security (DHS) spokeswoman Tricia McLaughlin told local media.The plan has already raised hackles among critics of Trump’s immigration crackdown, which recently sparked anti-ICE protests in Los Angeles and other American cities.”Turning the Everglades into a taxpayer-funded detention camp for migrants is a grotesque mix of cruelty and political theater,” former DHS spokesman Alex Howard told the Miami Herald.”You don’t solve immigration by disappearing people into tents guarded by gators,” he added. “You solve it with lawful processing, humane infrastructure, and actual policy — not by staging a $450 million stunt in the middle of hurricane season.”The project is also controversial because of its environmental impact on a subtropical ecosystem that is home to more than 2,000 species of animals and plants and is the site of costly conservation and rehabilitation programs.The Friends of the Everglades, a non-profit group instrumental in helping preserve and protect the wetlands, has criticized the project in a letter to Governor DeSantis, saying construction of the center “poses an unacceptable and unnecessary risk to on-site wetlands.”