Paris exhorte Bruxelles à “sévir” contre Shein

La France, qui veut suspendre Shein si la plateforme ne se conforme pas à ses lois, presse l’Union européenne (UE) d’aller “plus loin” pour “sévir” contre les infractions aux règles du géant asiatique du commerce en ligne.La Commission européenne “doit sévir” et sanctionner Shein, qui est “de toute évidence en infraction avec les règles européennes”, …

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US B-52 bombers fly off coast of Venezuela: flight tracking data

A pair of US B-52 bombers flew over the Caribbean Sea along the coast of Venezuela on Thursday, flight tracking data showed, in the fourth such show of force by American military aircraft in recent weeks.The flight comes as Washington carries out a military campaign against alleged drug smugglers in the region, deploying naval and air forces it says are aimed at curbing trafficking but which have sparked fears in Caracas that regime change is the goal.Data from tracking website Flightradar24 showed the two bombers flying parallel to the Venezuelan coast, then circling northeast of Caracas before heading back along the coast and turning north and flying further out to sea.It is at least the fourth time that US military aircraft have flown near Venezuela since mid-October: B-52s have done so on one previous occasion, and B-1B bombers on two others.The United States has also ordered the USS Gerald R. Ford carrier strike group to Latin America, has deployed F-35 stealth warplanes to Puerto Rico and currently has six US Navy ships in the Caribbean as part of what it calls counter-narcotics efforts.Washington’s forces have carried out strikes on at least 17 alleged drug-smuggling vessels — 16 boats and a semi-submersible — since early September, killing at least 67 people, according to US figures.But the United States has yet to release evidence that the vessels it has targeted were used to smuggle drugs or posed a threat to the country.Regional tensions have flared as a result of the campaign and the accompanying military buildup, with Venezuela accusing Washington of plotting to overthrow President Nicolas Maduro.

Zuckerbergs put AI at heart of pledge to cure diseases

The Chan Zuckerberg Initiative, a nonprofit launched by Mark Zuckerberg and his wife aimed at curing all disease, on Thursday announced it was restructuring to focus on using artificial intelligence to achieve that goal.The move narrows the focus of the philanthropic organization founded in 2015 with a vow to devote most of the couple’s significant wealth to charitable causes, including social justice and voter rights.Zuckerberg is among the high-profile tech figures who has backed away from diversity, equality and fact-checking initiatives after US President Donald Trump took office in January.The organizaiton this year ended its diversity efforts, curbed support of nonprofits that provide housing and stopped funding a primary school that gave education and health care to underserved children, according to media reports.The philanthropic mission created by the Meta co-founder and his spouse, Priscilla Chan, said that its current priority invovles scientific teams centralized in a facility called Biohub.”This is a pivotal moment in science, and the future of AI-powered scientific discovery is starting to come into view,” Biohub said in a blog post.”We believe that it will be possible in the next few years to create powerful AI systems that can reason about and represent biology to accelerate science.”Biohub envisions AI helping advance ways to detect, prevent and cure diseases, according to the post.The mission includes trying to model the human immune system, potentially opening a door to “engineering human health.””We believe we’re on the cusp of a scientific revolution in biology — as frontier artificial intelligence and virtual biology give scientists new tools to understand life at a fundamental level,” Biohub said in the post.The first investment announced by the Zuckerbergs when the initiative debuted nearly a decade ago was for the creation of a Biohub in Silicon Valley where researchers, scientists and others could work to build tools to better study and understand diseases.Shortly after it was established, the initiative bought a Canadian startup which uses AI to quickly read and comprehend scientific papers and then provide insights to researchers.”Our multidisciplinary teams of scientists and engineers have built incredible technologies to observe, measure and program biology,” Biohub said of its progress.Meta is among the big tech firms that have been pouring billions of dollars into data centers and more in a race to lead the field of AI.

Ligue Europa: plombé par Berke Özer, Lille s’incline à Belgrade

Lille a concédé sa deuxième défaite consécutive en Ligue Europa, cette fois à Belgrade contre l’Étoile rouge (1-0), à la suite d’un pénalty concédé par son gardien Berke Özer en fin de match, jeudi soir.En manque d’adresse et d’inspiration avec une équipe remaniée, le Losc se dirigeait vers un match nul décevant quand Özer a fauché le capitaine du club serbe Mirko Ivanic, auteur d’une percée dans la surface. Marko Arnautovic n’a alors laissé aucune chance au Turc de réparer son erreur, d’une frappe puissante et précise (85e).La pire conclusion possible d’une soirée où les joueurs de Bruno Genesio ont semblé manquer d’allant, leur mal récurrent cette saison, en particulier en coupe d’Europe, qui expliquait déjà leur déconvenue à domicile contre le PAOK (4-3).Après deux succès contre Brann Bergen (2-1) et sur le terrain de l’AS Rome (1-0), Lille retombe dans le milieu du classement de la phase de ligue avec six points.Les Dogues ont pourtant, sur le papier, un effectif pour disputer plusieurs compétitions tambour battant. Mais paradoxalement, si le banc lillois a été très performant cette saison pour conclure les matches, il peine à prendre le relais des titulaires lorsqu’il s’agit de les débuter.Ainsi, Calvin Verdonk, Marius Broholm, Tiago Santos, Nabil Bentaleb et Ngal’ayel Mukau ne sont pas parvenus à faire oublier les titulaires habituels. Parmi eux, seul Broholm s’est montré à son avantage, avec une frappe enroulée dangereuse (24e) et une passe en position de N.10 qui aurait dû être décisive pour Hamza Igamane, qui a perdu son duel avec le gardien Matheus Magalhães (63e).Le portier brésilien a été l’artisan majeur du succès de l’Étoile rouge, au Marakana, stoppant une première frappe flottante d’Igamane (44e) et réussissant surtout un arrêt déterminant face à Olivier Giroud (90e), avant qu’Ayyoub Bouaddi ne trouve la barre transversale.Le contraste est clair avec la performance d’Özer, qui avait pourtant bien débuté, repoussant deux tentatives de suite (4e) après un corner des Serbes.Constant dans l’inconstance cette saison, Lille voudra se relancer à Strasbourg dimanche (17h15) en Ligue 1 avant d’envisager, en fin de mois, la venue du Dinamo Zagreb en Ligue Europa.

Ethiopia’s Afar region says attacked by Tigray forcesThu, 06 Nov 2025 20:39:44 GMT

Ethiopia’s Afar region has said it came under attack from the forces of neighbouring Tigray, accusing it of seizing control of villages and bombing civilians, in the latest sign of internal conflict in the fractured nation.Rebels in the northern Tigray region fought a devastating civil war against the central government from 2020 to 2022 in …

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Le Parlement élève Alfred Dreyfus au grade de général de brigade

Un acte de “réparation” et de “reconnaissance”: le Parlement a entériné une loi élevant Alfred Dreyfus au rang de général de brigade à titre posthume lors d’un ultime vote du Sénat jeudi, malgré quelques réserves à droite et au centre.”La Nation française élève, à titre posthume, Alfred Dreyfus au grade de général de brigade”. Hautement symbolique, la proposition de loi de l’ancien Premier ministre Gabriel Attal tient en une phrase.”Ce texte permet à la République de reconnaître son erreur, de reconnaître qu’un homme a été humilié”, a souligné le patron des sénateurs socialistes Patrick Kanner. Au Sénat, c’est lui qui a porté ce texte en choisissant d’inscrire l’initiative des députés macronistes à l’ordre du jour de l’espace parlementaire réservé au PS.La proposition a été adoptée à l’unanimité par les sénateurs, après son vote, déjà unanime, à l’Assemblée nationale en juin. Ce vote à l’identique des deux chambres vaut donc adoption définitive au Parlement.”Ce geste est symbolique, mais il est plus qu’un symbole. Il répond à une injustice vieille de plus d’un siècle (…) Il s’agit de rendre à Dreyfus ce qui lui fut inaccessible de son vivant”, a salué Alice Rufo, ministre déléguée auprès de la ministre des Armées, au nom du gouvernement.Gabriel Attal a lui évoqué jeudi sur le réseau social X un “geste de réparation et de reconnaissance”. “Nous affirmons une chose simple: la République n’oublie pas. Elle répare et reconnaît ceux qui l’ont servie avec honneur”, a-t-il dit.Cette loi d’élévation, saluée par les descendants du “capitaine Dreyfus”, vient s’ajouter à l’instauration d’une journée nationale de commémoration pour la reconnaissance de son innocence, chaque 12 juillet, annoncée cet été par Emmanuel Macron.- “Double peine” -En 1894, le capitaine Alfred Dreyfus est condamné pour trahison et contraint à l’exil sur l’île du Diable en Guyane, sur la base de fausses accusations alimentées par un antisémitisme très ancré dans la société française de la fin du XIXe siècle.Après une décennie durant laquelle l’affaire connaît un retentissement immense dans le pays et même à l’international, un arrêt de la Cour de cassation l’innocente le 12 juillet 1906, entraînant ipso facto sa réintégration dans l’armée. Dans la foulée, une loi le nomme chef d’escadron, un grade qui omet la prise en compte de ses cinq années d’emprisonnement, qui auraient dû lui permettre de prétendre à un échelon supérieur.Une “injustice” en forme de “double peine”, s’émeut auprès de l’AFP Michel Dreyfus, arrière-petit-fils du “capitaine Dreyfus”, qui souligne le “courage” de son aïeul, qui revint servir pendant la Première Guerre mondiale. Malgré le soutien très large qu’elle a rassemblé, cette proposition de loi a suscité des réserves sur certains bancs, dans un contexte de progression des actes antisémites sur le territoire.Les députés MoDem avaient ainsi craint une “instrumentalisation” de l’affaire à des fins politiques. Ces objections, très minoritaires, ont été partagées au Sénat dans les rangs des Républicains et des centristes.- “Réparer une erreur manifeste” -Le président LR de la commission des Forces armées, Cédric Perrin, s’est notamment dit “profondément gêné” par “l’opportunité” que ce texte représente pour “certaines formations politiques de s’acheter +à bon compte+ une virginité de façade en matière d’antisémitisme”, a-t-il indiqué à l’AFP. Il n’a pas participé au vote jeudi mais avait annoncé vouloir s’abstenir.”On ne répare pas une faute aussi dramatique que celle qui a eu lieu”, a pointé Roger Karoutchi (LR), qui a tout de même voté pour, par “déférence pour la famille”.Emmanuel Macron lui-même avait émis quelques doutes face à l’initiative, en juillet, estimant que “la promotion dans les grades militaires” procédait de “circonstances avérées du temps présent”, et que seul le président de la République était le “garant de l’application de cette règle”. Tout en concédant que le Parlement serait “souverain”.”Nous réparons au contraire une erreur manifeste qu’avait commise le Parlement lui-même en 1906″, rétorque le socialiste Rachid Temal, rapporteur sur ce texte. Pour la famille d’Alfred Dreyfus, cette loi est “une reconnaissance de la valeur du soldat qu’il était, dans la continuité des travaux qui l’ont réhabilité non pas comme victime passive, mais comme héros”, pointe Michel Dreyfus.”C’est un hommage vertueux, nécessaire mais probablement pas suffisant”, appuie Anne-Cécile Lévy, arrière-petite-fille d’Alfred Dreyfus, qui continue d’espérer “une panthéonisation, en reconnaissance de toutes les valeurs qu’il incarne”.Dans la foulée de ce vote, Patrick Kanner et son homologue à l’Assemblée Boris Vallaud ont écrit à Emmanuel Macron pour lui demander de panthéoniser Alfred Dreyfus.

Le Parlement élève Alfred Dreyfus au grade de général de brigade

Un acte de “réparation” et de “reconnaissance”: le Parlement a entériné une loi élevant Alfred Dreyfus au rang de général de brigade à titre posthume lors d’un ultime vote du Sénat jeudi, malgré quelques réserves à droite et au centre.”La Nation française élève, à titre posthume, Alfred Dreyfus au grade de général de brigade”. Hautement symbolique, la proposition de loi de l’ancien Premier ministre Gabriel Attal tient en une phrase.”Ce texte permet à la République de reconnaître son erreur, de reconnaître qu’un homme a été humilié”, a souligné le patron des sénateurs socialistes Patrick Kanner. Au Sénat, c’est lui qui a porté ce texte en choisissant d’inscrire l’initiative des députés macronistes à l’ordre du jour de l’espace parlementaire réservé au PS.La proposition a été adoptée à l’unanimité par les sénateurs, après son vote, déjà unanime, à l’Assemblée nationale en juin. Ce vote à l’identique des deux chambres vaut donc adoption définitive au Parlement.”Ce geste est symbolique, mais il est plus qu’un symbole. Il répond à une injustice vieille de plus d’un siècle (…) Il s’agit de rendre à Dreyfus ce qui lui fut inaccessible de son vivant”, a salué Alice Rufo, ministre déléguée auprès de la ministre des Armées, au nom du gouvernement.Gabriel Attal a lui évoqué jeudi sur le réseau social X un “geste de réparation et de reconnaissance”. “Nous affirmons une chose simple: la République n’oublie pas. Elle répare et reconnaît ceux qui l’ont servie avec honneur”, a-t-il dit.Cette loi d’élévation, saluée par les descendants du “capitaine Dreyfus”, vient s’ajouter à l’instauration d’une journée nationale de commémoration pour la reconnaissance de son innocence, chaque 12 juillet, annoncée cet été par Emmanuel Macron.- “Double peine” -En 1894, le capitaine Alfred Dreyfus est condamné pour trahison et contraint à l’exil sur l’île du Diable en Guyane, sur la base de fausses accusations alimentées par un antisémitisme très ancré dans la société française de la fin du XIXe siècle.Après une décennie durant laquelle l’affaire connaît un retentissement immense dans le pays et même à l’international, un arrêt de la Cour de cassation l’innocente le 12 juillet 1906, entraînant ipso facto sa réintégration dans l’armée. Dans la foulée, une loi le nomme chef d’escadron, un grade qui omet la prise en compte de ses cinq années d’emprisonnement, qui auraient dû lui permettre de prétendre à un échelon supérieur.Une “injustice” en forme de “double peine”, s’émeut auprès de l’AFP Michel Dreyfus, arrière-petit-fils du “capitaine Dreyfus”, qui souligne le “courage” de son aïeul, qui revint servir pendant la Première Guerre mondiale. Malgré le soutien très large qu’elle a rassemblé, cette proposition de loi a suscité des réserves sur certains bancs, dans un contexte de progression des actes antisémites sur le territoire.Les députés MoDem avaient ainsi craint une “instrumentalisation” de l’affaire à des fins politiques. Ces objections, très minoritaires, ont été partagées au Sénat dans les rangs des Républicains et des centristes.- “Réparer une erreur manifeste” -Le président LR de la commission des Forces armées, Cédric Perrin, s’est notamment dit “profondément gêné” par “l’opportunité” que ce texte représente pour “certaines formations politiques de s’acheter +à bon compte+ une virginité de façade en matière d’antisémitisme”, a-t-il indiqué à l’AFP. Il n’a pas participé au vote jeudi mais avait annoncé vouloir s’abstenir.”On ne répare pas une faute aussi dramatique que celle qui a eu lieu”, a pointé Roger Karoutchi (LR), qui a tout de même voté pour, par “déférence pour la famille”.Emmanuel Macron lui-même avait émis quelques doutes face à l’initiative, en juillet, estimant que “la promotion dans les grades militaires” procédait de “circonstances avérées du temps présent”, et que seul le président de la République était le “garant de l’application de cette règle”. Tout en concédant que le Parlement serait “souverain”.”Nous réparons au contraire une erreur manifeste qu’avait commise le Parlement lui-même en 1906″, rétorque le socialiste Rachid Temal, rapporteur sur ce texte. Pour la famille d’Alfred Dreyfus, cette loi est “une reconnaissance de la valeur du soldat qu’il était, dans la continuité des travaux qui l’ont réhabilité non pas comme victime passive, mais comme héros”, pointe Michel Dreyfus.”C’est un hommage vertueux, nécessaire mais probablement pas suffisant”, appuie Anne-Cécile Lévy, arrière-petite-fille d’Alfred Dreyfus, qui continue d’espérer “une panthéonisation, en reconnaissance de toutes les valeurs qu’il incarne”.Dans la foulée de ce vote, Patrick Kanner et son homologue à l’Assemblée Boris Vallaud ont écrit à Emmanuel Macron pour lui demander de panthéoniser Alfred Dreyfus.

Israel strikes Hezbollah targets in Lebanon

Israel said it struck a series of Hezbollah targets in southern Lebanon on Thursday, with President Joseph Aoun denouncing the new attacks as a “fully-fledged crime” and accusing Israel of rejecting Beirut’s overtures towards diplomacy.The Lebanese military said Israel was preventing the full implementation of a ceasefire deal with Hezbollah, which hours earlier had publicly asserted its right to defend itself and rejected the prospect of direct political talks between Lebanon and Israel.The truce deal was agreed between Israel and Hezbollah in November 2024 after more than a year of hostilities, but Israeli attacks in Lebanon have continued as it accuses the militant group of trying to rebuild its forces.The Israeli military said its strikes on Thursday had targeted “terrorist infrastructure and weapon storage facilities in southern Lebanon”.”We will not allow Hezbollah to rearm themselves, to recover, build back up its strength, to threaten the state of Israel,” Israeli government spokeswoman Shosh Bedrosian told reporters, accusing the group of “continuous terrorist activities”.A strike killed one person earlier in the day, according to the Lebanese health ministry. The Israeli military said it had targeted a Hezbollah construction team.On Thursday evening, Aoun called the latest strikes “a fully-fledged crime, not only according to the provisions of international humanitarian law… but also a heinous political crime”.”Nearly a year has passed since the ceasefire came into effect, and during this period, Israel has spared no effort to demonstrate its rejection of any negotiated settlement between the two countries,” he said. “Your message has been received.”- Persistent ‘aggression’ -Lebanon and Israel are still technically in a state of war, but all the recent armed conflicts with Israel were fought by Hezbollah, not the Lebanese military.The only diplomatic contact between the two countries is through the ceasefire monitoring mechanism, which includes the United States, France and the United Nations.The body meets regularly at the headquarters of the UN force in southern Lebanon, but the Lebanese and Israeli parties do not directly communicate with each other. Lebanese officials have recently voiced openness to direct talks with Israel, which maintains troops in five parts of south Lebanon in spite of the ceasefire’s stipulation that it withdraw.But after Thursday’s strikes, President Aoun said that the more Beirut “expresses its openness to peaceful negotiations to resolve outstanding issues with Israel, the more Israel persists in its aggression against Lebanese sovereignty”.A Lebanese official told AFP on Thursday that Israel had not responded “positively nor negatively” to the offer of talks. Last week, US envoy Tom Barrack had said that dialogue with Israel could be the key to easing tensions.The Lebanese army, meanwhile, accused Israel of seeking to “undermine Lebanon’s stability” with Thursday’s strikes and to “prevent the completion of the army’s deployment in accordance with the cessation of hostilities agreement”.Under the truce deal, the Lebanese military was meant to deploy to the south alongside UN peacekeepers as Hezbollah pulled back.The UNIFIL peacekeeping mission said the latest wave of strikes “undermines the progress being made toward a political and diplomatic solution”.- Disarmament drive -The attacks came hours after Hezbollah lashed out at Lebanon’s leadership, rejecting suggestions that it might be time to begin direct talks with Israel.In an open letter to the Lebanese people and their leaders, Hezbollah said it rejected “any political negotiations” between Lebanon and Israel, and that such talks would “not serve the national interest”.”We reaffirm our legitimate right… to defend ourselves against an enemy that imposes war on our country and does not cease its attacks,” Hezbollah added.It nevertheless said it remained committed to the ceasefire.Hezbollah was the only movement in Lebanon that refused to disarm after the 1975-1990 civil war, first claiming it had a duty to liberate territory occupied by Israel, and then to continue defending the country.The group is backed by Iran, which also fought its own war against Israel earlier this year.Since the ceasefire, the United States has increased pressure on Lebanese authorities to disarm the group, a move opposed by Hezbollah and its allies.Lebanon says it has formulated a plan for imposing a state monopoly on weapons, and the government met Thursday to take stock of the disarmament efforts.Information minister Paul Morcos said afterwards that the cabinet had “commended the progress achieved… despite ongoing obstacles, primarily the continued Israeli hostilities”.Last week, Israel’s Defence Minister Israel Katz accused Aoun of “dragging his feet” on disarmament.Hezbollah has criticised the government’s “hasty decision” to take away its weapons, claiming that Israel has taken advantage of the push.