Trois otages du Hamas libérées au premier jour de trêve à Gaza
Trois otages libérées par le Hamas ont retrouvé dimanche leurs familles en Israël, au premier jour du cessez-le-feu entre l’armée israélienne et le mouvement islamiste palestinien dans la bande de Gaza dévastée par plus de 15 mois de guerre.Passé minuit (22H00 GMT dimanche), aucune annonce n’avait été faite concernant les dizaines de prisonniers palestiniens qui devaient être libérés dimanche par Israël en échange des trois otages, selon les termes de l’accord.La trêve est entrée en vigueur à 09H15 GMT avec près de trois heures de retard, le Hamas ayant tardé à fournir la liste des trois otages israéliennes devant être libérées dimanche. Le mouvement a fait état de “complications sur le terrain” et de “la poursuite des bombardements”.En fin d’après-midi, un dirigeant du Hamas à déclaré à l’AFP que “les trois otages” avaient été “remises au Comité international de la Croix-Rouge” à Gaza-ville (nord), puis l’armée israélienne a confirmé leur arrivée en Israël.Il s’agit de l’Israélo-britannique Emily Damari (28 ans) et de l’Israélo-roumaine Doron Steinbrecher (31), capturées au kibboutz Kfar Aza, ainsi que de Romi Gonen (24), enlevée au festival de musique Nova, lors de l’attaque menée par le Hamas le 7 octobre 2023 en Israël qui a déclenché la guerre à Gaza.”C’est un moment de très grande émotion”, a déclaré Daniel Hagari, porte-parole de l’armée, précisant qu'”entre trois et quatre femmes enlevées” seraient “libérées chaque semaine”.Un haut responsable du Hamas a ensuite indiqué à l’AFP que la prochaine libération aurait lieu “samedi prochain”.Pendant ce temps, dans la bande de Gaza, des milliers de déplacés palestiniens ont pris la route au milieu d’un paysage apocalyptique pour rentrer chez eux.”Nous n’avons même pas pu trouver l’emplacement exact de nos maisons” en raison de “l’ampleur des destructions”, s’est désolée à Rafah (nord) Maria Gad El Haq, qui fait partie des 2,4 millions de Palestiniens dont la majorité a été déplacée par la guerre.L’entrée en vigueur de l’accord, qui intervient à la veille du retour à la Maison Blanche de Donald Trump, nourrit l’espoir d’une paix durable dans le territoire palestinien, même si le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a prévenu qu’Israël se réservait “le droit de reprendre la guerre si besoin”.La branche armée du Hamas a dit que la trêve dépendait du “respect des engagements” par Israël.Quelques minutes après l’entrée en vigueur du cessez-le-feu, qui prévoit également une augmentation de l’aide humanitaire à Gaza, l’ONU a annoncé l’arrivée des premiers camions d’aide.- “Douleurs” -Entre le début prévu de la trêve et son entrée en vigueur, Israël a mené des frappes à Gaza qui ont tué huit Palestiniens, selon la Défense civile locale.Annoncé mercredi par les médiateurs –Qatar, Etats-Unis, Egypte–, l’accord ambitionne à terme, selon Doha, de déboucher sur la “fin définitive” de la guerre.Le président américain Joe Biden s’est félicité du cessez-le-feu “après tant de douleurs”.Selon les termes de l’accord, les hostilités doivent cesser et 33 otages israéliens doivent être libérés dans une première phase de six semaines.En échange, les autorités israéliennes ont dit qu’elles libéreraient dans ce délai quelque 1.900 Palestiniens, dont 90 devaient l’être dès dimanche, selon le Hamas.Pendant ce temps, des dizaines de Palestiniens se sont rassemblés devant la prison israélienne d’Ofer, en Cisjordanie occupée, malgré le froid piquant de la nuit.L’accord de trêve précise également que 236 Palestiniens condamnés à perpétuité pour avoir commis ou participé à des attaques ou attentats et devant être libérés dans le cadre de l’échange, seront exilés, essentiellement vers le Qatar ou la Turquie.- “Etat stable” -Les trois jeunes femmes libérées dimanche ont “traversé l’enfer” après 471 jours de captivité, a réagi M. Netanyahu à leur arrivée en Israël.Réunies, leurs familles criaient, sautaient de joie et pleuraient en voyant leurs proches rentrer au pays, selon des images de l’armée.Les mères des ex-otages ont ensuite été réunies avec leurs filles. L’armée a publié une photo d’Emily Damari, souriant et posant la main bandée avec sa mère.Elles ont ensuite été transférées à l’hôpital Sheba, près de Tel-Aviv, qui a indiqué qu’elles étaient “dans un état stable”.”Voir les otages retrouver leurs familles remplit nos coeurs d’espoir”, a commenté la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen.Sur la “place des Otages” à Tel-Aviv, des milliers de personnes ont accueilli leur retour avec larmes, chants, applaudissements et étreintes.- “Obstacles” -Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a lui déclaré qu’il était “impératif” que la trêve “lève les importants obstacles sécuritaires et politiques à l’acheminement de l’aide”.Selon l’Egypte, l’accord prévoit “l’entrée de 600 camions d’aide par jour”. D’après un responsable égyptien, “260 camions d’aide et 16 de carburant” étaient entrés en fin de journée dimanche.”Nous essayons d’atteindre un million de personnes dans les plus brefs délais”, a déclaré à l’AFP Carl Skau, directeur exécutif adjoint du Programme alimentaire mondial.Pendant la première phase de la trêve seront négociées les modalités de la deuxième, qui doit permettre la libération des derniers otages, avant la dernière étape portant sur la reconstruction de Gaza et la restitution des corps des otages morts en captivité.Selon Joe Biden, la première phase comprend aussi un retrait israélien des zones densément peuplées à Gaza.L’attaque du 7-Octobre a entraîné la mort de 1.210 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles. Sur 251 personnes enlevées ce jour-là , 91 restent otages à Gaza, dont 34 mortes selon l’armée israélienne.Au moins 46.913 morts personnes, majoritairement des civils, ont été tuées dans l’offensive israélienne de représailles à Gaza, selon les données du ministère de la Santé du Hamas jugées fiables par l’ONU.
Trois otages du Hamas libérées au premier jour de trêve à Gaza
Trois otages libérées par le Hamas ont retrouvé dimanche leurs familles en Israël, au premier jour du cessez-le-feu entre l’armée israélienne et le mouvement islamiste palestinien dans la bande de Gaza dévastée par plus de 15 mois de guerre.Passé minuit (22H00 GMT dimanche), aucune annonce n’avait été faite concernant les dizaines de prisonniers palestiniens qui devaient être libérés dimanche par Israël en échange des trois otages, selon les termes de l’accord.La trêve est entrée en vigueur à 09H15 GMT avec près de trois heures de retard, le Hamas ayant tardé à fournir la liste des trois otages israéliennes devant être libérées dimanche. Le mouvement a fait état de “complications sur le terrain” et de “la poursuite des bombardements”.En fin d’après-midi, un dirigeant du Hamas à déclaré à l’AFP que “les trois otages” avaient été “remises au Comité international de la Croix-Rouge” à Gaza-ville (nord), puis l’armée israélienne a confirmé leur arrivée en Israël.Il s’agit de l’Israélo-britannique Emily Damari (28 ans) et de l’Israélo-roumaine Doron Steinbrecher (31), capturées au kibboutz Kfar Aza, ainsi que de Romi Gonen (24), enlevée au festival de musique Nova, lors de l’attaque menée par le Hamas le 7 octobre 2023 en Israël qui a déclenché la guerre à Gaza.”C’est un moment de très grande émotion”, a déclaré Daniel Hagari, porte-parole de l’armée, précisant qu'”entre trois et quatre femmes enlevées” seraient “libérées chaque semaine”.Un haut responsable du Hamas a ensuite indiqué à l’AFP que la prochaine libération aurait lieu “samedi prochain”.Pendant ce temps, dans la bande de Gaza, des milliers de déplacés palestiniens ont pris la route au milieu d’un paysage apocalyptique pour rentrer chez eux.”Nous n’avons même pas pu trouver l’emplacement exact de nos maisons” en raison de “l’ampleur des destructions”, s’est désolée à Rafah (nord) Maria Gad El Haq, qui fait partie des 2,4 millions de Palestiniens dont la majorité a été déplacée par la guerre.L’entrée en vigueur de l’accord, qui intervient à la veille du retour à la Maison Blanche de Donald Trump, nourrit l’espoir d’une paix durable dans le territoire palestinien, même si le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a prévenu qu’Israël se réservait “le droit de reprendre la guerre si besoin”.La branche armée du Hamas a dit que la trêve dépendait du “respect des engagements” par Israël.Quelques minutes après l’entrée en vigueur du cessez-le-feu, qui prévoit également une augmentation de l’aide humanitaire à Gaza, l’ONU a annoncé l’arrivée des premiers camions d’aide.- “Douleurs” -Entre le début prévu de la trêve et son entrée en vigueur, Israël a mené des frappes à Gaza qui ont tué huit Palestiniens, selon la Défense civile locale.Annoncé mercredi par les médiateurs –Qatar, Etats-Unis, Egypte–, l’accord ambitionne à terme, selon Doha, de déboucher sur la “fin définitive” de la guerre.Le président américain Joe Biden s’est félicité du cessez-le-feu “après tant de douleurs”.Selon les termes de l’accord, les hostilités doivent cesser et 33 otages israéliens doivent être libérés dans une première phase de six semaines.En échange, les autorités israéliennes ont dit qu’elles libéreraient dans ce délai quelque 1.900 Palestiniens, dont 90 devaient l’être dès dimanche, selon le Hamas.Pendant ce temps, des dizaines de Palestiniens se sont rassemblés devant la prison israélienne d’Ofer, en Cisjordanie occupée, malgré le froid piquant de la nuit.L’accord de trêve précise également que 236 Palestiniens condamnés à perpétuité pour avoir commis ou participé à des attaques ou attentats et devant être libérés dans le cadre de l’échange, seront exilés, essentiellement vers le Qatar ou la Turquie.- “Etat stable” -Les trois jeunes femmes libérées dimanche ont “traversé l’enfer” après 471 jours de captivité, a réagi M. Netanyahu à leur arrivée en Israël.Réunies, leurs familles criaient, sautaient de joie et pleuraient en voyant leurs proches rentrer au pays, selon des images de l’armée.Les mères des ex-otages ont ensuite été réunies avec leurs filles. L’armée a publié une photo d’Emily Damari, souriant et posant la main bandée avec sa mère.Elles ont ensuite été transférées à l’hôpital Sheba, près de Tel-Aviv, qui a indiqué qu’elles étaient “dans un état stable”.”Voir les otages retrouver leurs familles remplit nos coeurs d’espoir”, a commenté la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen.Sur la “place des Otages” à Tel-Aviv, des milliers de personnes ont accueilli leur retour avec larmes, chants, applaudissements et étreintes.- “Obstacles” -Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a lui déclaré qu’il était “impératif” que la trêve “lève les importants obstacles sécuritaires et politiques à l’acheminement de l’aide”.Selon l’Egypte, l’accord prévoit “l’entrée de 600 camions d’aide par jour”. D’après un responsable égyptien, “260 camions d’aide et 16 de carburant” étaient entrés en fin de journée dimanche.”Nous essayons d’atteindre un million de personnes dans les plus brefs délais”, a déclaré à l’AFP Carl Skau, directeur exécutif adjoint du Programme alimentaire mondial.Pendant la première phase de la trêve seront négociées les modalités de la deuxième, qui doit permettre la libération des derniers otages, avant la dernière étape portant sur la reconstruction de Gaza et la restitution des corps des otages morts en captivité.Selon Joe Biden, la première phase comprend aussi un retrait israélien des zones densément peuplées à Gaza.L’attaque du 7-Octobre a entraîné la mort de 1.210 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles. Sur 251 personnes enlevées ce jour-là , 91 restent otages à Gaza, dont 34 mortes selon l’armée israélienne.Au moins 46.913 morts personnes, majoritairement des civils, ont été tuées dans l’offensive israélienne de représailles à Gaza, selon les données du ministère de la Santé du Hamas jugées fiables par l’ONU.
Espagne: Mbappé brille, le Real Madrid reprend la tête
Sous l’impulsion de Kylian Mbappé, étincelant et auteur d’un doublé, le Real Madrid, mené dès la 27e seconde de jeu, a renversé puis corrigé Las Palmas (4-1), et repris dimanche la première place du classement du championnat d’Espagne devant ses rivaux historiques l’Atlético Madrid et le FC Barcelone.Cinq mois après ses débuts avec “le club de ses rêves”, Mbappé tient peut-être son match référence. Avec un coup de rein retrouvé et une grosse implication offensive, l’attaquant français a confirmé son retour en forme en livrant une énorme prestation, récompensée par un doublé (18e s.p, 36e) et permis au Real (1er, 46 points), champion en titre, de récupérer son trône devant l’Atlético (2e, 44 pts) et le Barça (3e, 39 pts), frustrés respectivement par Leganés (1-0) et Getafe (1-1) samedi.”Mbappé était en feu, cela faisait longtemps que je n’avais pas vu un joueur faire autant la différence sur un terrain”, l’a encensé son coéquipier Dani Ceballos en zone mixte après le match.Impliqué sur les deux autres buts de Brahim Diaz (33e) et Rodrygo (57e), le N.9 merengue, déjà décisif en Coupe du Roi face au Celta Vigo (5-2) et présent en finale de Supercoupe d’Espagne face au Barça (défaite 5-2), a même cru inscrire son premier triplé sous le maillot blanc. Mais son troisième but a finalement été refusé pour une position de hors-jeu au départ de l’action (43e) et sa reprise du droit en fin de première mi-temps a heurté le poteau (45e+2).Le capitaine de l’équipe de France, un peu moins en vue en seconde période, a tout de même eu le droit à plusieurs ovations du public du Santiago Bernabéu, de plus en plus sous son charme après ses 17e et 18e réalisations de la saison toutes compétitions confondues.”C’est vraiment un rêve de vivre ces moments-là , je suis très heureux, je me suis bien adapté à l’équipe et je peux jouer comme je le souhaite avec mes coéquipiers et avec personnalité, et je crois que nous en profitons tous en ce moment”, s’est félicité Kylian Mbappé au micro de Real Madrid TV.”C’était un match important, car nous avions tous vu ce qui s’est passé hier pour l’Atlético et le Barça. Nous avons mal démarré mais notre réaction a été top. (…) Désormais, nous avons notre destin entre les mains, car nous sommes premiers”, a-t-il ajouté.De quoi rassurer son entraîneur Carlo Ancelotti sur son positionnement: “C’est le meilleur avant-centre du monde. Les gens doutaient du fait qu’il puisse jouer en tant qu’attaquant central et se demandaient s’il ne fallait pas le mettre sur le côté, mais c’est un grand attaquant, qui est plus à l’aise dans l’axe que sur un côté. La façon dont il se démarque est unique”.- Bilbao revient à hauteur du Barça -Plombé par les blessures, le club madrilène, toujours en quête d’équilibre en l’absence de ses tauliers Dani Carvajal et Eder Militao, a enregistré une autre bonne nouvelle avec le retour sur les terrains du défenseur autrichien David Alaba, après plus d’un an de convalescence pour une grave blessure à un genou.Plus tôt dans l’après-midi, l’Athletic Bilbao (4e, 39 points), a réalisé la bonne opération de cette 20e journée en s’imposant (2-1) face au Celta Vigo (13e, 24 points). Ce succès permet au club basque, invaincu depuis onze matches en Liga, de revenir à hauteur du FC Barcelone, incapable de s’imposer à Getafe pour la cinquième saison consécutive samedi et de creuser l’écart avec ses concurrents dans la course à la Ligue des champions. Battu (1-0) par Valence (19e, 16 pts), la Real Sociedad (7e, 28 pts) a manqué l’opportunité de grimper provisoirement à la cinquième place avant le choc entre Villarreal (5e, 30 pts) et Majorque (6e, 30 points également) lundi (21H00).
On last full day as president, Biden urges Americans to ‘keep the faith’
Joe Biden traveled to South Carolina on Sunday, his last full day as US president, where he urged Americans to “keep the faith in a better day to come” as he marked the national holiday honoring civil rights icon Martin Luther King Jr.A scant day before turning the White House over to Donald Trump, Biden attended services at Royal Missionary Baptist Church, a historically Black church in North Charleston.Promising that he is “not going anywhere,” Biden told the congregants that America “must stay engaged, we must always keep the faith in a better day to come.”He also spoke about the continued fight to make King’s dream of a color-blind nation “a reality.”Racial progress has never moved in a smooth arc in the United States, and some have described the election of Trump — who in 2015 insisted that Barack Obama was not an American — as a step backward.But Biden told the congregants that “every time I spend time in a Black church I think of one thing: the word ‘hope.'”Monday is a US national holiday honoring King, the Nobel Peace Prize winner who advocated for non-violent resistance in the fight for equal rights for Black Americans. He was assassinated in 1968.- ‘What this country needed’ -South Carolina was pivotal in Biden’s path to securing the Democratic Party’s presidential nomination in 2020 — which paved the way for his defeat that year of then-incumbent Donald Trump — and Biden on Sunday thanked South Carolina Representative Jim Clyburn for his key endorsement that year.”I would not be standing — that’s not hyperbole — here at this pulpit were it not for Jim Clyburn,” the president said.Clyburn, who is Black, later choked up when returning the favor. “Joe Biden has been what this country needed,” he said. “People don’t always appreciate it.”Biden won a mostly favorable but slightly mixed reception during his South Carolina visit on Sunday. While crowds waved at his passing motorcade and people held signs saying “Thank You Joe,” one small group chanted “Biden is a war criminal,” blaming him for the high death toll in the fighting in Gaza. He also spoke briefly about the landmark ceasefire agreement for Gaza that took force earlier Sunday, saying, “The road to this deal has not been easy at all.” In brief remarks Sunday about the Mideast, Biden told reporters that the incipient Gaza ceasefire offered hope, but that its continuing success “will depend on the next administration.”He added that Israel’s crushing attacks on militants in southern Lebanon meant that that country now faced “an opportunity for a future free from the grip of Hezbollah.”Charleston is home to the historic Mother Emanuel African Methodist Episcopal Church, where a white shooter killed nine Black worshippers in 2015. While Biden, just before Christmas, commuted the death penalties of 37 people in federal prisons, he made two exceptions: those of Djokhar Tsarnaev, involved in the 2013 bombing of the Boston Marathon, and Dylann Roof, the man behind the Emanuel AME shooting.Early Sunday, the White House announced that, in one of his final official acts, Biden had pardoned Marcus Garvey, a Jamaican-born writer and orator seen by some as a prophet who advocated for a return to Africa.Garvey had been convicted of mail fraud and sentenced to prison, but the sentence was commuted in 1927 by President Calvin Coolidge. Biden’s pardon expunges Garvey’s conviction from the record.
Italie: l’Inter, trop fort pour Empoli, revient à trois point de Naples
L’Inter Milan, laborieux en première période, a surclassé après la pause Empoli (3-1) dimanche, pour revenir à trois points du leader Naples, avec toutefois un match en moins, lors de la 21e journée du Championnat d’Italie.Les champions en titre ont dominé, mais il a fallu attendre la 55e minute pour que Lautaro Martinez libère San Siro d’une frappe limpide des 20 mètres.Denzel Dumfries a doublé la mise de la tête (79) avant que Sebastiano Esposito, prêté à Empoli par l’Inter, ne réduise l’écart (83). Six minutes plus tard, Marcus Thuram a définitivement rassuré les tifosi nerazzurri avec son treizième but de la saison. Grâce à cette quatorzième victoire de l’exercice, l’Inter empêche Naples, qui avait accru provisoirement son avance à six points avec son succès face à l’Atalanta (3-2) samedi, de prendre le large.”Depuis notre défaite dans le derby (la seule de la saison en championnat, NDLR), on a gagné douze matches pour trois nuls et marqué 55 buts. On se concentre seulement sur notre parcours qui est exigeant”, a insisté Massiliano Farris, l’adjoint de Simone Inzaghi, suspendu ce dimanche.Le titre 2025 devrait se jouer entre le Napoli et l’Inter, puisque l’Atalanta, troisième à sept points de la tête, traverse une passe délicate alors que la Juventus (5e) et l’AC Milan (8e) sont déjà distancés.Le calendrier surchargé de l’Inter qui en est déjà à cinq matches depuis le début de l’année, pourrait faire la différence, tandis que Naples n’a qu’à se concentrer sur le championnat.La Lazio s’est elle replacée à la quatrième place en dominant Vérone sur son terrain (3-0) pour le premier match de l’Hellas en position délicate (18e), depuis son rachat cette semaine par un fonds d’investissement américain.