Trump’s Frankenstein? MAGA meltdown tests its creator

Donald Trump’s “Make America Great Again” movement is showing the first signs of turning on its creator. Could it be a Frankenstein moment for the US president?During the course of one frenetic weekend, Trump disowned former MAGA cheerleader Marjorie Taylor Greene and performed a screeching U-turn on the Jeffrey Epstein files.Trump’s meltdown underscores the cracks that have opened in between the right-wing movement and the billionaire founder who has for years ruled it with an iron fist.The turmoil has also punctured the aura of invincibility that Trump and the White House have sought to cultivate since his return to power — raising questions about whether Trump has created a Frankenstein-like monster he can no longer control.”MAGA was my idea,” he protested in an interview with Fox News last week — itself notable as normally pro-Trump host Laura Ingraham confronted him on whether visas for foreign students were “pro-MAGA.””I know what MAGA wants better than anybody else.” – ‘Not America First’ -Not long ago, Marjorie Taylor Greene was perhaps Trump’s biggest booster.As recently as March, the Republican firebrand from Georgia was pictured sporting a red a “Trump Was Right About Everything” baseball cap as the president addressed Congress.But fast forward eight months, and Trump raged that he was no longer backing his once diehard supporter, dubbing her “Marjorie Traitor Greene.” The split came after Greene distanced herself on a host of issues that she shares with other discontented MAGA faithful: affordability, healthcare, Israel, visas for foreign workers and students, and Trump’s focus on foreign policy.Greene hit back, saying on Sunday that Trump’s words had “put my life in danger” and insisting that “I remain America First and America Only!!!”She also highlighted another key issue. “Unfortunately, it has all come down to the Epstein files, and that is shocking,” she told CNN.- ‘Nothing to hide’ -The scandal over the disgraced financier’s sexual abuse has become a seismic fault line for the MAGA movement.In an astonishing reversal on Sunday, Trump suddenly called on Republicans to support a vote in the US House to release files from the investigation into Epstein, saying “we have nothing to hide.” He had previously called on rebels like Greene and fellow MAGA lawmaker Lauren Boebert not to fall into the “trap” of voting for it.Far from any change of heart, however, Trump’s turnaround appeared to be a way of avoiding what would have been the biggest political defeat of his second term so far.Yet the pressure from the issue — which distracted from Trump’s victory lap in ending a record US government shutdown — is unlikely to go away. Anger had already been brewing in the MAGA ranks for months.Conspiracy-minded MAGA faithful were long told by Trump’s supporters that the scandal was a Democratic cover-up — only for Trump’s Justice Department to say in July that effectively there was nothing new in the files.- 2028 looms -Rumbles of MAGA discontent have been growing on other subjects too. The loudest complaints came after Republicans were hammered on the cost of living in off-year elections earlier this month.Sensing trouble, Trump has responded by planning a series of speeches about the economy, including one to a summit hosted by fast food giant McDonald’s on Monday.MAGA ranks have also been split over US media star Tucker Carlson interviewing open white nationalist Nick Fuentes. Key right-wingers were outraged — even as Trump insisted on Sunday that “you can’t tell him who to interview.”While Trump still commands fierce loyalty among many supporters, the splits are only likely to deepen as he enters the lame duck phase of his final term.Eyes are already turning to 2028 — and the battle to be Trump’s true MAGA political heir.Trump’s vice president JD Vance is widely considered the frontrunner, but is viewed in parts of the US right as insufficiently committed to the movement.Could it leave an opportunity for Greene? She has denied any thought of a presidential run — but stranger things have happened in US politics.

Tchèques et Slovaques dans la rue par milliers pour la démocratie

Les Tchèques et les Slovaques se sont rassemblés par milliers lundi à l’occasion des commémorations de la Révolution de Velours, accusant les dirigeants Andrej Babis et Robert Fico de trahir l’héritage de la transition vers la démocratie.Le 17 novembre 1989, les communistes tchécoslovaques avaient réprimé une marche pacifique, déclenchant une riposte qui a renversé le …

Tchèques et Slovaques dans la rue par milliers pour la démocratie Read More »

Aide étrangère: les coupes occidentales pourraient provoquer 22,6 millions de décès, selon une étude

Plus de 22 millions de personnes, dont beaucoup d’enfants, pourraient mourir de causes évitables d’ici 2030 en raison des coupes budgétaires dans l’aide étrangère des Etats-Unis et de pays européens, selon une étude internationale obtenue lundi en exclusivité par l’AFP.Ces conclusions sont une mise à jour d’une étude réalisée plus tôt cette année, qui se …

Aide étrangère: les coupes occidentales pourraient provoquer 22,6 millions de décès, selon une étude Read More »

Des milliers de personnes commémorent en Grèce le soulèvement contre la junte

Plusieurs milliers de personnes ont défilé lundi en Grèce pour commémorer le soulèvement étudiant de 1973 contre la junte alors au pouvoir, brutalement réprimé.L’anniversaire du 17 novembre symbolise pour les Grecs la chute de la dictature des colonels soutenue par les Etats-Unis (1967-1974), et le retour à la démocratie.Plus de 15.000 personnes, selon la police, …

Des milliers de personnes commémorent en Grèce le soulèvement contre la junte Read More »

Bangladesh: l’ex-Première ministre Sheikh Hasina condamnée à mort pour la répression des émeutes de 2024

L’ex-Première ministre du Bangladesh Sheikh Hasina, 78 ans, a été condamnée à mort en son absence lundi pour avoir ordonné la répression meurtrière des manifestations qui ont causé sa chute pendant l’été 2024, un verdict qualifié de “politiquement motivé” par l’intéressée, depuis son exil en Inde.Au terme de cinq mois de procès, un tribunal de …

Bangladesh: l’ex-Première ministre Sheikh Hasina condamnée à mort pour la répression des émeutes de 2024 Read More »

Le Royaume-Uni durcit sa politique d’asile avec une réforme d’ampleur

Le gouvernement travailliste britannique a présenté lundi une réforme d’ampleur pour durcir sa politique d’asile, espérant décourager les arrivées irrégulières de migrants sur de petits bateaux qu’il peine à endiguer et qui alimentent la montée de l’extrême droite.”Si nous nous ne parvenons pas à gérer cette crise, nous entraînerons davantage de personnes sur un chemin …

Le Royaume-Uni durcit sa politique d’asile avec une réforme d’ampleur Read More »

Varsovie dénonce le “sabotage” d’une voie ferrée menant vers l’Ukraine

Varsovie a dénoncé lundi un “acte de sabotage sans précédent”, après la destruction à l’explosif dans le centre de la Pologne d’une portion de voie ferrée sur une ligne cruciale pour le transport de passagers, d’armes et de marchandises vers l’Ukraine.Depuis le début de l’invasion de l’Ukraine par la Russie en février 2022, la Pologne, …

Varsovie dénonce le “sabotage” d’une voie ferrée menant vers l’Ukraine Read More »

Aux Prud’hommes, Mbappé et le PSG se réclament des sommes folles

Une première audience tendue et des sommes folles égrenées en pagaille par deux armées d’avocats: aux Prud’hommes de Paris, Kylian Mbappé et le PSG, en litige depuis deux ans, se sont respectivement réclamé lundi des centaines de millions d’euros pour solder leur séparation houleuse.Le club de la capitale a demandé un total de 440 millions d’euros à son ancien buteur, selon des chiffres précisés par les deux parties à l’issue de l’audience. Dans le même temps, le capitaine des Bleus exigeait par la voix de ses avocats 263 millions d’euros à son ex-club.La décision sera prononcée le 16 décembre.Très attendue, cette audience opposant le club champion d’Europe et la star du Real Madrid a donné lieu à l’énumération de sommes astronomiques dans la salle du conseil de prud’hommes de la capitale, peu habituée à des dossiers aussi médiatiques.Au point que la confusion s’est invitée dans les rangs du public comme de la presse.”C’est bien 440 millions que l’on demande”, a précisé à l’AFP en sortant de l’audience Me Renaud Semerdjian, l’un des sept conseils du PSG, alors que le chiffre de 240 millions était annoncé un peu plus tôt.”Vingt millions de préjudice à l’image, 60 millions pour mauvaise foi dans l’exécution d’un accord daté de août 2023, 180 millions pour la dissimulation de cet accord et 180 millions de perte de chance pour transférer le joueur”, a-t-il détaillé. Me Frédérique Cassereau, l’une des cinq avocats de Kylian Mbappé, a confirmé que le PSG réclamait bien 440 millions d’euros.- Harcèlement moral -Le litige empoisonne depuis longtemps les relations entre les deux parties. L’attaquant avait été mis à l’écart du groupe professionnel au début de la saison 2023-2024 par le PSG car il voulait aller au terme de son contrat – qui arrivait à échéance à l’été 2024 – sans le prolonger. Un choix qui privait le club parisien d’une juteuse indemnité de transfert.Mbappé avait finalement été réintégré après la première journée du championnat. Le PSG assure que cette réintégration s’est faite au terme d’un accord en août 2023 entre les deux parties stipulant que le joueur devait abandonner une partie des sommes dues à la fin de son contrat pour préserver la santé financière du club. Un “fantasme”, selon le camp Mbappé. Le capitaine des Bleus, qui a finalement rejoint libre le Real à l’été 2024, affirme lui qu’aucun accord pour renoncer à ses salaires n’a existé entre lui et le club, selon son entourage. Et voilà plus d’un an que le buteur des Bleus réclame les sommes dues selon lui par le PSG.Un préjudice total que ses conseils ont chiffré lundi à 263 millions d’euros, selon la requête soumise par le joueur, qui demande notamment la requalification de son contrat de CDD en CDI.Pour atteindre cette somme, les conseils du buteur du Real dénoncent entre autres un licenciement sans cause (44,6 millions d’euros), du harcèlement moral (37,5 millions d’euros) et citent encore des rappels de salaires et de congés pour les mois d’avril à juin 2024 (19 millions d’euros)…Compliqué de suivre la longue litanie des millions réclamés de part et d’autre lors de cette audience qui a duré – chose exceptionnelle aux Prud’hommes – un peu plus de deux heures.- “Deux poids, deux mesures” -Signe de l’importance de l’affaire, les Prud’hommes avaient réservé lundi leur plus grande salle à cette affaire, sous les yeux ébahis des avocats venus pour d’autres dossiers.”Nos affaires passent en une demi-heure” tandis que chaque partie a droit à un peu plus d’une heure, s’agace un avocat sous couvert d’anonymat, venu représenter une entreprise publique. “Il y a deux poids, deux mesures !”Une des avocats de Mbappé, Me Delphine Verheyden, a cependant rappelé aux quatre conseillers prud’hommaux – deux représentants de l’employeur et deux des salariés – que “la vocation” de leur juridiction était “de préserver les salariés, la partie faible, et non l’inverse”.Mais sur la requalification des CDD en CDI, les jurisprudences ne sont pas applicables en l’espèce, ont avancé les conseils du PSG, et “le sport professionnel fonctionne avec des contrats à durée déterminée” conformément aux règles établies par la Fifa.Les avocats du PSG balaient par ailleurs les accusations de harcèlement, citant les photos du joueur “tout sourire” à l’entraînement au “loft”, le “tifo” célébrant le joueur pour son dernier match sous les couleurs de Paris ou encore “la soirée privée organisée” pour son départ par le joueur lui-même et en présence “des membres dirigeants et membres du staff” du club.

Aux Prud’hommes, Mbappé et le PSG se réclament des sommes folles

Une première audience tendue et des sommes folles égrenées en pagaille par deux armées d’avocats: aux Prud’hommes de Paris, Kylian Mbappé et le PSG, en litige depuis deux ans, se sont respectivement réclamé lundi des centaines de millions d’euros pour solder leur séparation houleuse.Le club de la capitale a demandé un total de 440 millions d’euros à son ancien buteur, selon des chiffres précisés par les deux parties à l’issue de l’audience. Dans le même temps, le capitaine des Bleus exigeait par la voix de ses avocats 263 millions d’euros à son ex-club.La décision sera prononcée le 16 décembre.Très attendue, cette audience opposant le club champion d’Europe et la star du Real Madrid a donné lieu à l’énumération de sommes astronomiques dans la salle du conseil de prud’hommes de la capitale, peu habituée à des dossiers aussi médiatiques.Au point que la confusion s’est invitée dans les rangs du public comme de la presse.”C’est bien 440 millions que l’on demande”, a précisé à l’AFP en sortant de l’audience Me Renaud Semerdjian, l’un des sept conseils du PSG, alors que le chiffre de 240 millions était annoncé un peu plus tôt.”Vingt millions de préjudice à l’image, 60 millions pour mauvaise foi dans l’exécution d’un accord daté de août 2023, 180 millions pour la dissimulation de cet accord et 180 millions de perte de chance pour transférer le joueur”, a-t-il détaillé. Me Frédérique Cassereau, l’une des cinq avocats de Kylian Mbappé, a confirmé que le PSG réclamait bien 440 millions d’euros.- Harcèlement moral -Le litige empoisonne depuis longtemps les relations entre les deux parties. L’attaquant avait été mis à l’écart du groupe professionnel au début de la saison 2023-2024 par le PSG car il voulait aller au terme de son contrat – qui arrivait à échéance à l’été 2024 – sans le prolonger. Un choix qui privait le club parisien d’une juteuse indemnité de transfert.Mbappé avait finalement été réintégré après la première journée du championnat. Le PSG assure que cette réintégration s’est faite au terme d’un accord en août 2023 entre les deux parties stipulant que le joueur devait abandonner une partie des sommes dues à la fin de son contrat pour préserver la santé financière du club. Un “fantasme”, selon le camp Mbappé. Le capitaine des Bleus, qui a finalement rejoint libre le Real à l’été 2024, affirme lui qu’aucun accord pour renoncer à ses salaires n’a existé entre lui et le club, selon son entourage. Et voilà plus d’un an que le buteur des Bleus réclame les sommes dues selon lui par le PSG.Un préjudice total que ses conseils ont chiffré lundi à 263 millions d’euros, selon la requête soumise par le joueur, qui demande notamment la requalification de son contrat de CDD en CDI.Pour atteindre cette somme, les conseils du buteur du Real dénoncent entre autres un licenciement sans cause (44,6 millions d’euros), du harcèlement moral (37,5 millions d’euros) et citent encore des rappels de salaires et de congés pour les mois d’avril à juin 2024 (19 millions d’euros)…Compliqué de suivre la longue litanie des millions réclamés de part et d’autre lors de cette audience qui a duré – chose exceptionnelle aux Prud’hommes – un peu plus de deux heures.- “Deux poids, deux mesures” -Signe de l’importance de l’affaire, les Prud’hommes avaient réservé lundi leur plus grande salle à cette affaire, sous les yeux ébahis des avocats venus pour d’autres dossiers.”Nos affaires passent en une demi-heure” tandis que chaque partie a droit à un peu plus d’une heure, s’agace un avocat sous couvert d’anonymat, venu représenter une entreprise publique. “Il y a deux poids, deux mesures !”Une des avocats de Mbappé, Me Delphine Verheyden, a cependant rappelé aux quatre conseillers prud’hommaux – deux représentants de l’employeur et deux des salariés – que “la vocation” de leur juridiction était “de préserver les salariés, la partie faible, et non l’inverse”.Mais sur la requalification des CDD en CDI, les jurisprudences ne sont pas applicables en l’espèce, ont avancé les conseils du PSG, et “le sport professionnel fonctionne avec des contrats à durée déterminée” conformément aux règles établies par la Fifa.Les avocats du PSG balaient par ailleurs les accusations de harcèlement, citant les photos du joueur “tout sourire” à l’entraînement au “loft”, le “tifo” célébrant le joueur pour son dernier match sous les couleurs de Paris ou encore “la soirée privée organisée” pour son départ par le joueur lui-même et en présence “des membres dirigeants et membres du staff” du club.