Importants feux dans l’Aude, un camping et une abbaye évacués

D’importants feux de forêt se sont déclenchés dimanche dans l’Aude, où un secteur du massif montagneux des Corbières est en proie aux flammes, provoquant l’évacuation préventive de l’abbaye de Fontfroide et d’un camping, a-t-on appris auprès de la préfecture du département et des pompiers.Le feu a sauté l’autoroute A61 Toulouse-Narbonne, qui a dû être coupée dans les deux sens de circulation entre Narbonne et Lezignan-Corbières, selon la préfecture. Une distribution d’eau a été mise en place pour les automobilistes bloqués dans les bouchons par des températures caniculaires de l’épisode d’intense chaleur qui frappe la quasi-totalité du pays.Au moins quatre départs de feux ont été dénombrés vers 16H00 sur une dizaine de kilomètres, dans la zone de Bizanet, selon le centre d’incendies et de secours de l’Aude qui a fait état de 90 hectares parcourus par les flammes.Par mesure de précaution, le camping de Bizanet et l’abbaye de Fontfroide ont été évacués, a déclaré à l’AFP directrice de cabinet du préfet de l’Aude, Amélie Trioux, précisant qu’une cinquantaine de personnes se trouvaient alors au camping et 37 à l’abbaye.Ce sont les étincelles du frein mal desserré d’une roue de remorque qui ont provoqué ces départs de feu, a ajouté Mme Trioux, rappelant les consignes de sécurité dans ce contexte de vigilance orange canicule et risque très sévère d’incendie de forêt dans l’Aude.Plus de 150 soldats du feu ont été déployés sur le terrain, aidés d’une quarantaine de camions, trois Canadair et deux hélicoptères de surveillance, selon la préfecture.Un énorme panache de fumée orange et noir se détachait sur le massif de Fontfroide, site Natura 2000 et zone sensible en raison de sa forêt couloir de migration majeur et de ses accès escarpés difficiles, tandis que deux Canadair puisaient de l’eau de l’étang de Bages, a constaté l’AFP.Le risque d’incendie est très élevé dans l’Aude, en raison des températures caniculaires couplées à la sécheresse des broussailles qui ont poussé en surface à la faveur des pluies importantes au printemps.

Importants feux dans l’Aude, un camping et une abbaye évacués

D’importants feux de forêt se sont déclenchés dimanche dans l’Aude, où un secteur du massif montagneux des Corbières est en proie aux flammes, provoquant l’évacuation préventive de l’abbaye de Fontfroide et d’un camping, a-t-on appris auprès de la préfecture du département et des pompiers.Le feu a sauté l’autoroute A61 Toulouse-Narbonne, qui a dû être coupée dans les deux sens de circulation entre Narbonne et Lezignan-Corbières, selon la préfecture. Une distribution d’eau a été mise en place pour les automobilistes bloqués dans les bouchons par des températures caniculaires de l’épisode d’intense chaleur qui frappe la quasi-totalité du pays.Au moins quatre départs de feux ont été dénombrés vers 16H00 sur une dizaine de kilomètres, dans la zone de Bizanet, selon le centre d’incendies et de secours de l’Aude qui a fait état de 90 hectares parcourus par les flammes.Par mesure de précaution, le camping de Bizanet et l’abbaye de Fontfroide ont été évacués, a déclaré à l’AFP directrice de cabinet du préfet de l’Aude, Amélie Trioux, précisant qu’une cinquantaine de personnes se trouvaient alors au camping et 37 à l’abbaye.Ce sont les étincelles du frein mal desserré d’une roue de remorque qui ont provoqué ces départs de feu, a ajouté Mme Trioux, rappelant les consignes de sécurité dans ce contexte de vigilance orange canicule et risque très sévère d’incendie de forêt dans l’Aude.Plus de 150 soldats du feu ont été déployés sur le terrain, aidés d’une quarantaine de camions, trois Canadair et deux hélicoptères de surveillance, selon la préfecture.Un énorme panache de fumée orange et noir se détachait sur le massif de Fontfroide, site Natura 2000 et zone sensible en raison de sa forêt couloir de migration majeur et de ses accès escarpés difficiles, tandis que deux Canadair puisaient de l’eau de l’étang de Bages, a constaté l’AFP.Le risque d’incendie est très élevé dans l’Aude, en raison des températures caniculaires couplées à la sécheresse des broussailles qui ont poussé en surface à la faveur des pluies importantes au printemps.

Brésil: menacé de prison, Bolsonaro mobilise ses partisans pour “la justice”

Quelques milliers de manifestants vêtus pour la plupart en jaune et vert, les couleurs du Brésil, ont répondu dimanche à l’appel de l’ex-président Jair Bolsonaro à descendre dans la rue à Sao Paulo au nom de la “justice”, alors qu’il est menacé de prison pour tentative présumée de coup d’Etat.”Le Brésil a besoin de nous tous, pour la liberté et pour la justice”, a dit ces derniers jours l’ancien dirigeant (2019-2022) sur la plateforme X, convoquant ses sympathisants à un cortège sur l’avenue Paulista, emblématique artère de la plus grande mégalopole d’Amérique latine.Ce mois de juin a été particulièrement chargé pour Jair Bolsonaro sur le plan judiciaire.Lors d’une étape-clé de son procès au long cours à la Cour suprême, il a nié toute velléité putschiste lors de son face-à-face très attendu avec le juge Alexandre de Moraes, puissant magistrat honni du camp Bolsonaro.L’ex-chef d’Etat de 70 ans est accusé d’être le “leader d’une organisation criminelle” ayant conspiré pour son maintien au pouvoir après l’élection présidentielle d’octobre 2022, remportée par le président actuel de gauche Luiz Inacio Lula da Silva.Selon le Parquet, le supposé plan putschiste, qui prévoyait même d’assassiner Lula et d’autres autorités, n’a pas abouti faute de soutien du haut commandement militaire.- “Psychopathe” -Inéligible jusqu’en 2030 dans le cadre d’une autre affaire, il encourt jusqu’à 40 ans de prison, mais se dit victime d’une “persécution politique” visant à l’empêcher de se présenter à la présidentielle l’an prochain.”Il y a une justice pour la gauche et un état d’exception pour la droite. Les juges de la Cour suprême n’ont même pas été élus et ils sont en train de prendre le pouvoir au Brésil”, dit à l’AFP un manifestant qui se fait appeler “Julinho Coeur de lion”.Chauve comme le juge Moraes, ce sexagénaire porte une toge noire de magistrat, avec une simple couche en guise de bermuda et de longues chaussettes blanches.”Alexandre de Moraes est un psychopathe, il a déchiré la Constitution”, insiste-t-il. A la mi-juin, l’étau judiciaire s’est encore resserré contre le camp Bolsonaro: la police fédérale a recommandé l’inculpation d’un des fils de l’ex-président, Carlos, soupçonné d’avoir participé à un réseau présumé d’espionnage illégal durant son mandat.Selon les enquêteurs, Jair Bolsonaro était le “principal destinataire” des informations obtenues, tout en étant “au centre des décisions” concernant le choix des personnalités espionnées par une “structure parallèle” au sein de l’agence de renseignements Abin.- “Pacification” -“Cette manif, c’est n’importe quoi. Ce type (Bolsonaro) qui voulait faire exploser Brasilia et tuer son adversaire politique, il devrait aller en prison. Je ne sais pas comment des gens peuvent encore venir ici pour le défendre”, commente Dionisio Teixeira, vendeur de disques vinyles sur l’avenue Paulista, habituellement transformée le dimanche en grande voie piétonne où les habitants de Sao Paulo viennent se promener.Plusieurs manifestations ont été organisées depuis le début des déboires judiciaires de Jair Bolsonaro, mais l’affluence semble s’être effritée ces derniers mois, y compris ce dimanche.Selon les calculs de l’Université de Sao Paulo, environ 45.000 personnes avaient participé au dernier cortège sur l’avenue Paulista en avril, près de quatre fois moins qu’en février (185.000). Lors de ces dernières manifestations, le mot d’ordre était l'”amnistie” des personnes condamnées pour les évènements du 8 janvier 2023 à Brasilia.Ce jour-là, des milliers de bolsonaristes avaient saccagé les lieux de pouvoir dans la capitale brésilienne, réclamant une intervention militaire pour déloger Lula du pouvoir, une semaine après l’investiture du président de gauche.”Il faut parler de liberté et prôner la pacification”, a déclaré récemment le gouverneur de Sao Paulo, Tarcisio de Freitas, qui s’est rendu au cortège dimanche.Cet ancien ministre de M. Bolsonaro est l’un des principaux noms cités pour représenter le camp conservateur à la présidentielle de 2026. L’ancien président n’a toutefois pour l’heure adoubé personne, espérant encore faire annuler son inéligibilité.

Loi Duplomb: des milliers d’opposants au texte mobilisés ce weekend en France

Agriculteurs, ONG, scientifiques … Des milliers d’opposants à la proposition de loi agricole dite Duplomb se sont rassemblés ce weekend partout en France pour demander l’annulation de ce texte qui doit être examiné lundi en commission mixte paritaire.Cette commission, qui réunira 14 sénateurs et députés, aura la charge de trouver un texte de compromis, après un rejet tactique du texte visant à contourner un mur d’amendements des écologistes et des insoumis.”C’est un coup de force antidémocratique pour faire passer cette loi qui est une régression radicale” aussi bien pour l’environnement que pour la santé publique, ainsi qu’une “négation des faits scientifiques sur la dangerosité des pesticides”, a déclaré le comité Scientifiques en rébellion, présent dimanche sur l’esplanade des Invalides à Paris.Selon le collectif Nourrir, qui rassemble des dizaines d’ONG de défense de l’environnement (Greenpeace, WWF, Générations Futures …), à l’origine de l’appel à la mobilisation du weekend avec notamment la Confédération paysanne, la CGT ou Cancer Colère, environ un millier de personnes se sont réunies à Paris et plusieurs centaines d’autres étaient également présentes dans 50 villes, dont Creil (Oise), Cherbourg (Manche) ou encore Strasbourg.La proposition de loi du sénateur LR Laurent Duplomb se présente comme destinée à “lever les contraintes” des agriculteurs. Elle prévoit notamment la réintroduction du pesticide acétamipride (un néonicotinoïde très toxique notamment pour les pollinisateurs et les milieux naturels) mais aussi des mesures facilitant le stockage de l’eau ou l’agrandissement des élevages intensifs, ainsi qu’une redéfinition du travail de l’Anses.”Non, les paysans ne sont pas derrière cette loi qui ne répond en rien aux difficultés du monde agricole” et “va à l’encontre de l’intérêt général”, a scandé à la tribune parisienne Stéphane Galais, porte-parole de la Confédération paysanne et éleveur bovin en Bretagne, au milieu de banderoles affichant “loi Duplomb, loi poison”.”La loi Duplomb est dangereuse et rétrograde”, a également martelé dimanche Xavier Fromont, porte-parole du syndicat pour la région Auvergne-Rhône-Alpes, lors d’un rassemblement de 600 personnes habillées en jaune et noir au Puy-en-Velay, fief du sénateur Duplomb.La veille à Pau, ville du Premier ministre François Bayrou, une centaine de personnes avaient scandé “notre santé, ne sera pas bradée”, en brandissant une grande bâche noire.”C’est une loi irresponsable et coupable”, a jugé dimanche Allain Bougrain-Dubourg, président la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) à Paris.”Mesdames et Messieurs les parlementaires, ressaisissez-vous, votre responsabilité c’est de protéger la population française et pas les intérêts de quelques-uns”, a renchéri la représentante de France Nature environnement (FNE) appelant au “rejet pur et simple du texte”. Les ONG se sont déjà déclarées prêtes à “aller en justice” si cette loi était promulguée.dep-dfa-mer-gi/uh/gvy

Loi Duplomb: des milliers d’opposants au texte mobilisés ce weekend en France

Agriculteurs, ONG, scientifiques … Des milliers d’opposants à la proposition de loi agricole dite Duplomb se sont rassemblés ce weekend partout en France pour demander l’annulation de ce texte qui doit être examiné lundi en commission mixte paritaire.Cette commission, qui réunira 14 sénateurs et députés, aura la charge de trouver un texte de compromis, après un rejet tactique du texte visant à contourner un mur d’amendements des écologistes et des insoumis.”C’est un coup de force antidémocratique pour faire passer cette loi qui est une régression radicale” aussi bien pour l’environnement que pour la santé publique, ainsi qu’une “négation des faits scientifiques sur la dangerosité des pesticides”, a déclaré le comité Scientifiques en rébellion, présent dimanche sur l’esplanade des Invalides à Paris.Selon le collectif Nourrir, qui rassemble des dizaines d’ONG de défense de l’environnement (Greenpeace, WWF, Générations Futures …), à l’origine de l’appel à la mobilisation du weekend avec notamment la Confédération paysanne, la CGT ou Cancer Colère, environ un millier de personnes se sont réunies à Paris et plusieurs centaines d’autres étaient également présentes dans 50 villes, dont Creil (Oise), Cherbourg (Manche) ou encore Strasbourg.La proposition de loi du sénateur LR Laurent Duplomb se présente comme destinée à “lever les contraintes” des agriculteurs. Elle prévoit notamment la réintroduction du pesticide acétamipride (un néonicotinoïde très toxique notamment pour les pollinisateurs et les milieux naturels) mais aussi des mesures facilitant le stockage de l’eau ou l’agrandissement des élevages intensifs, ainsi qu’une redéfinition du travail de l’Anses.”Non, les paysans ne sont pas derrière cette loi qui ne répond en rien aux difficultés du monde agricole” et “va à l’encontre de l’intérêt général”, a scandé à la tribune parisienne Stéphane Galais, porte-parole de la Confédération paysanne et éleveur bovin en Bretagne, au milieu de banderoles affichant “loi Duplomb, loi poison”.”La loi Duplomb est dangereuse et rétrograde”, a également martelé dimanche Xavier Fromont, porte-parole du syndicat pour la région Auvergne-Rhône-Alpes, lors d’un rassemblement de 600 personnes habillées en jaune et noir au Puy-en-Velay, fief du sénateur Duplomb.La veille à Pau, ville du Premier ministre François Bayrou, une centaine de personnes avaient scandé “notre santé, ne sera pas bradée”, en brandissant une grande bâche noire.”C’est une loi irresponsable et coupable”, a jugé dimanche Allain Bougrain-Dubourg, président la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) à Paris.”Mesdames et Messieurs les parlementaires, ressaisissez-vous, votre responsabilité c’est de protéger la population française et pas les intérêts de quelques-uns”, a renchéri la représentante de France Nature environnement (FNE) appelant au “rejet pur et simple du texte”. Les ONG se sont déjà déclarées prêtes à “aller en justice” si cette loi était promulguée.dep-dfa-mer-gi/uh/gvy

Loi Duplomb: des milliers d’opposants au texte mobilisés ce weekend en France

Agriculteurs, ONG, scientifiques … Des milliers d’opposants à la proposition de loi agricole dite Duplomb se sont rassemblés ce weekend partout en France pour demander l’annulation de ce texte qui doit être examiné lundi en commission mixte paritaire.Cette commission, qui réunira 14 sénateurs et députés, aura la charge de trouver un texte de compromis, après un rejet tactique du texte visant à contourner un mur d’amendements des écologistes et des insoumis.”C’est un coup de force antidémocratique pour faire passer cette loi qui est une régression radicale” aussi bien pour l’environnement que pour la santé publique, ainsi qu’une “négation des faits scientifiques sur la dangerosité des pesticides”, a déclaré le comité Scientifiques en rébellion, présent dimanche sur l’esplanade des Invalides à Paris.Selon le collectif Nourrir, qui rassemble des dizaines d’ONG de défense de l’environnement (Greenpeace, WWF, Générations Futures …), à l’origine de l’appel à la mobilisation du weekend avec notamment la Confédération paysanne, la CGT ou Cancer Colère, environ un millier de personnes se sont réunies à Paris et plusieurs centaines d’autres étaient également présentes dans 50 villes, dont Creil (Oise), Cherbourg (Manche) ou encore Strasbourg.La proposition de loi du sénateur LR Laurent Duplomb se présente comme destinée à “lever les contraintes” des agriculteurs. Elle prévoit notamment la réintroduction du pesticide acétamipride (un néonicotinoïde très toxique notamment pour les pollinisateurs et les milieux naturels) mais aussi des mesures facilitant le stockage de l’eau ou l’agrandissement des élevages intensifs, ainsi qu’une redéfinition du travail de l’Anses.”Non, les paysans ne sont pas derrière cette loi qui ne répond en rien aux difficultés du monde agricole” et “va à l’encontre de l’intérêt général”, a scandé à la tribune parisienne Stéphane Galais, porte-parole de la Confédération paysanne et éleveur bovin en Bretagne, au milieu de banderoles affichant “loi Duplomb, loi poison”.”La loi Duplomb est dangereuse et rétrograde”, a également martelé dimanche Xavier Fromont, porte-parole du syndicat pour la région Auvergne-Rhône-Alpes, lors d’un rassemblement de 600 personnes habillées en jaune et noir au Puy-en-Velay, fief du sénateur Duplomb.La veille à Pau, ville du Premier ministre François Bayrou, une centaine de personnes avaient scandé “notre santé, ne sera pas bradée”, en brandissant une grande bâche noire.”C’est une loi irresponsable et coupable”, a jugé dimanche Allain Bougrain-Dubourg, président la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) à Paris.”Mesdames et Messieurs les parlementaires, ressaisissez-vous, votre responsabilité c’est de protéger la population française et pas les intérêts de quelques-uns”, a renchéri la représentante de France Nature environnement (FNE) appelant au “rejet pur et simple du texte”. Les ONG se sont déjà déclarées prêtes à “aller en justice” si cette loi était promulguée.dep-dfa-mer-gi/uh/gvy

Pakistan flash floods, heavy rain kill 45 in just days

Heavy rain and flash flooding across Pakistan have killed 45 people in just a few days since the start of the monsoon season, disaster management officials said Sunday.The highest toll was recorded in the province of Khyber Pakhtunkhwa that borders Afghanistan, where 10 children were among 21 killed.The disaster management authority said 14 of those victims died in the Swat Valley, where media reported a flash flood swept away families on a riverbank. In Pakistan’s most populous province of Punjab, along the frontier with India, 13 fatalities have been recorded since Wednesday. Eight of them were children who died when walls or roofs collapsed during heavy rain, while the adults were killed in flash floods.Eleven other deaths related to the monsoon downpours were recorded in Sindh and Balochistan provinces.The national meteorological service warned that the risk of heavy rain and possible flash floods will remain high until at least Saturday.Last month, at least 32 people were killed in severe storms in the South Asian nation, which experienced several extreme weather events in the spring, including strong hailstorms.Pakistan is one of the world’s most vulnerable countries to the effects of climate change, and its 240 million residents are facing extreme weather events with increasing frequency.