Transferts: Manchester City recrute le milieu néerlandais Reijnders

Manchester City a mis le grappin sur le milieu axial néerlandais Tijjani Reijnders, dont l’arrivée a été officialisée mercredi en provenance de l’AC Milan contre 55 millions d’euros, selon l’estimation des médias britanniques.Il s’est engagé pour cinq saisons en faveur de l’équipe dirigée par Pep Guardiola, avec laquelle il pourra prochainement disputer la Coupe du monde des clubs (14 juin-13 juillet) aux Etats-Unis, a précisé le club.Le joueur de 26 ans sort d’une saison très aboutie chez les Rossoneri, pour lesquels il a marqué 15 buts toutes compétitions confondues, le plus haut total pour un milieu central dans l’élite européenne.Il s’était notamment distingué en novembre au Santiago-Bernabéu contre le Real Madrid (3-1) en Ligue des champions. Sa régularité sur le terrain a tranché avec l’instabilité chronique de l’AC Milan, huitième de Serie A privé de compétition européenne l’an prochain.Capable d’évoluer dans un milieu à deux ou à trois, Reijnders est un joueur tourné vers l’attaque, doué pour déjouer le pressing adverse grâce à un jeu de passes rapides dans les petits espaces.”Tijjani apporte un supplément d’énergie, de calme et de créativité à notre milieu de terrain et, en travaillant avec Pep (Guardiola) et nos entraîneurs, il ne fera que monter en puissance”, a commenté le directeur du football, Hugo Viana.Il est la quatrième recrue estivale de Manchester City après le gardien Marcus Bettinelli, le défenseur Rayan Aït-Nouri et l’attaquant Rayan Cherki.

VivaTech: Nvidia en tête d’affiche et Macron en défense de la “souveraineté technologique”

Le salon VivaTech s’est ouvert mercredi à Paris en présence de la ministre française chargée du Numérique, avant d’accueillir plusieurs stars de la tech ainsi qu’Emmanuel Macron, dans un contexte de tensions commerciales entre Europe et Etats-Unis.Alors que le développement de l’intelligence artificielle (IA) est dans tous les esprits, “cette technologie n’a jamais été aussi politique qu’aujourd’hui”, a déclaré la ministre Clara Chappaz, qui s’exprimait depuis la scène principale du salon de la porte de Versailles. “La France est une puissance en matière d’innovation et nous allons tout faire, nous avons tout fait et nous allons continuer à tout faire pour en faire le meilleur endroit au monde pour lancer des entreprises, développer des entreprises et construire la technologie dont nous avons besoin”, a-t-elle martelé. Le plus grand évènement européen consacré à la Tech, qui s’achèvera samedi, accueille dans la matinée une conférence du géant américain des semi-conducteurs Nvidia, avec une prise de parole très attendue de son patron Jensen Huang. Habitué du salon, Emmanuel Macron sera présent pendant cette journée inaugurale, a indiqué l’Elysée. Le président déambulera dans les allées et s’entretiendra avec plusieurs start-up européennes, avant d’échanger avec Jensen Huang et le patron de l’entreprise française Mistral AI, Arthur Mensch, sur la scène principale à 17h30. Avec 14.000 start-up et plus de 3.000 investisseurs venus du monde entier, les organisateurs attendent une affluence d’au moins 165.000 visiteurs pour cette neuvième édition. – “Ambitions” -Le ton de cette première journée sera donc donné en fin de matinée par Jensen Huang: le dirigeant de Nvidia, reconnaissable à son éternel blouson de cuir, est attendu pour une conférence inaugurale de plus d’une heure. Pour le patron de VivaTech, “c’est une fierté” d’accueillir le géant des GPU, des microprocesseurs surpuissants considérés comme indispensables au développement de l’IA générative.”Ca prouve bien que le marché européen en général, et le marché français en particulier, est intéressant et, aujourd’hui, ils ont des ambitions pour ce marché”, souligne le directeur général de l’événement, François Bitouzet, auprès de l’AFP.”Il va sûrement y avoir des annonces à destination de l’Europe”, complète Cédric Foray, responsable technologie, médias et télécoms pour l’Europe au sein du cabinet EY.L’activité de Nvidia se trouve au cœur de tensions géopolitiques entre les Etats-Unis et la Chine. Peu avant la prise de fonctions de Donald Trump, son prédécesseur Joe Biden avait annoncé de nouvelles mesures de restrictions sur l’exportation de puces vers la Chine. Annulées par la nouvelle administration, elles ont néanmoins impacté les ventes de la firme américaine, privée de débouchés.- Souveraineté technologique -Tandis que le nouveau président américain souffle le chaud et le froid sur l’économie mondiale au rythme de ses mesures sur les droits de douane, le secteur européen de la tech est secoué par des interrogations sur la souveraineté technologique. “La France et l’Europe doivent (…) aujourd’hui investir, innover. C’est très important, on doit regagner en compétitivité”, a martelé Véronique Torner, présidente du syndicat professionnel des entreprises du numérique Numeum, sur Radio Classique mercredi matin.La question de la dépendance aux outils numériques américains est renforcée par un écart massif de financements entre le Vieux Continent et les États-Unis, qui se maintient depuis les mesures protectionnistes de Donald Trump. “Le sujet de la souveraineté, qui n’était pas aussi important dans les discussions il y a encore un an ou deux ans, est devenu une priorité absolument stratégique”, pointe François Bitouzet. Un mois après le sommet Choose France, destiné à attirer les investissements étrangers dans l’Hexagone, et quatre mois après le sommet sur l’IA qui a réuni plusieurs chefs d’États et de gouvernements à Paris, Emmanuel Macron sera à VivaTech pour vanter “la souveraineté technologique européenne” face aux Etats-Unis et à la Chine, a précisé la présidence française.La journée de mercredi se conclura par un dîner à l’Elysée en présence de plusieurs personnalités dont la liste n’a pas été détaillée. Le Premier ministre François Bayrou fera lui une visite au salon jeudi après-midi.Plus de la moitié des start-up présentes à VivaTech sont françaises, ont fait savoir les organisateurs. 

VivaTech: Nvidia en tête d’affiche et Macron en défense de la “souveraineté technologique”

Le salon VivaTech s’est ouvert mercredi à Paris en présence de la ministre française chargée du Numérique, avant d’accueillir plusieurs stars de la tech ainsi qu’Emmanuel Macron, dans un contexte de tensions commerciales entre Europe et Etats-Unis.Alors que le développement de l’intelligence artificielle (IA) est dans tous les esprits, “cette technologie n’a jamais été aussi politique qu’aujourd’hui”, a déclaré la ministre Clara Chappaz, qui s’exprimait depuis la scène principale du salon de la porte de Versailles. “La France est une puissance en matière d’innovation et nous allons tout faire, nous avons tout fait et nous allons continuer à tout faire pour en faire le meilleur endroit au monde pour lancer des entreprises, développer des entreprises et construire la technologie dont nous avons besoin”, a-t-elle martelé. Le plus grand évènement européen consacré à la Tech, qui s’achèvera samedi, accueille dans la matinée une conférence du géant américain des semi-conducteurs Nvidia, avec une prise de parole très attendue de son patron Jensen Huang. Habitué du salon, Emmanuel Macron sera présent pendant cette journée inaugurale, a indiqué l’Elysée. Le président déambulera dans les allées et s’entretiendra avec plusieurs start-up européennes, avant d’échanger avec Jensen Huang et le patron de l’entreprise française Mistral AI, Arthur Mensch, sur la scène principale à 17h30. Avec 14.000 start-up et plus de 3.000 investisseurs venus du monde entier, les organisateurs attendent une affluence d’au moins 165.000 visiteurs pour cette neuvième édition. – “Ambitions” -Le ton de cette première journée sera donc donné en fin de matinée par Jensen Huang: le dirigeant de Nvidia, reconnaissable à son éternel blouson de cuir, est attendu pour une conférence inaugurale de plus d’une heure. Pour le patron de VivaTech, “c’est une fierté” d’accueillir le géant des GPU, des microprocesseurs surpuissants considérés comme indispensables au développement de l’IA générative.”Ca prouve bien que le marché européen en général, et le marché français en particulier, est intéressant et, aujourd’hui, ils ont des ambitions pour ce marché”, souligne le directeur général de l’événement, François Bitouzet, auprès de l’AFP.”Il va sûrement y avoir des annonces à destination de l’Europe”, complète Cédric Foray, responsable technologie, médias et télécoms pour l’Europe au sein du cabinet EY.L’activité de Nvidia se trouve au cœur de tensions géopolitiques entre les Etats-Unis et la Chine. Peu avant la prise de fonctions de Donald Trump, son prédécesseur Joe Biden avait annoncé de nouvelles mesures de restrictions sur l’exportation de puces vers la Chine. Annulées par la nouvelle administration, elles ont néanmoins impacté les ventes de la firme américaine, privée de débouchés.- Souveraineté technologique -Tandis que le nouveau président américain souffle le chaud et le froid sur l’économie mondiale au rythme de ses mesures sur les droits de douane, le secteur européen de la tech est secoué par des interrogations sur la souveraineté technologique. “La France et l’Europe doivent (…) aujourd’hui investir, innover. C’est très important, on doit regagner en compétitivité”, a martelé Véronique Torner, présidente du syndicat professionnel des entreprises du numérique Numeum, sur Radio Classique mercredi matin.La question de la dépendance aux outils numériques américains est renforcée par un écart massif de financements entre le Vieux Continent et les États-Unis, qui se maintient depuis les mesures protectionnistes de Donald Trump. “Le sujet de la souveraineté, qui n’était pas aussi important dans les discussions il y a encore un an ou deux ans, est devenu une priorité absolument stratégique”, pointe François Bitouzet. Un mois après le sommet Choose France, destiné à attirer les investissements étrangers dans l’Hexagone, et quatre mois après le sommet sur l’IA qui a réuni plusieurs chefs d’États et de gouvernements à Paris, Emmanuel Macron sera à VivaTech pour vanter “la souveraineté technologique européenne” face aux Etats-Unis et à la Chine, a précisé la présidence française.La journée de mercredi se conclura par un dîner à l’Elysée en présence de plusieurs personnalités dont la liste n’a pas été détaillée. Le Premier ministre François Bayrou fera lui une visite au salon jeudi après-midi.Plus de la moitié des start-up présentes à VivaTech sont françaises, ont fait savoir les organisateurs. 

VivaTech: Nvidia en tête d’affiche et Macron en défense de la “souveraineté technologique”

Le salon VivaTech s’est ouvert mercredi à Paris en présence de la ministre française chargée du Numérique, avant d’accueillir plusieurs stars de la tech ainsi qu’Emmanuel Macron, dans un contexte de tensions commerciales entre Europe et Etats-Unis.Alors que le développement de l’intelligence artificielle (IA) est dans tous les esprits, “cette technologie n’a jamais été aussi politique qu’aujourd’hui”, a déclaré la ministre Clara Chappaz, qui s’exprimait depuis la scène principale du salon de la porte de Versailles. “La France est une puissance en matière d’innovation et nous allons tout faire, nous avons tout fait et nous allons continuer à tout faire pour en faire le meilleur endroit au monde pour lancer des entreprises, développer des entreprises et construire la technologie dont nous avons besoin”, a-t-elle martelé. Le plus grand évènement européen consacré à la Tech, qui s’achèvera samedi, accueille dans la matinée une conférence du géant américain des semi-conducteurs Nvidia, avec une prise de parole très attendue de son patron Jensen Huang. Habitué du salon, Emmanuel Macron sera présent pendant cette journée inaugurale, a indiqué l’Elysée. Le président déambulera dans les allées et s’entretiendra avec plusieurs start-up européennes, avant d’échanger avec Jensen Huang et le patron de l’entreprise française Mistral AI, Arthur Mensch, sur la scène principale à 17h30. Avec 14.000 start-up et plus de 3.000 investisseurs venus du monde entier, les organisateurs attendent une affluence d’au moins 165.000 visiteurs pour cette neuvième édition. – “Ambitions” -Le ton de cette première journée sera donc donné en fin de matinée par Jensen Huang: le dirigeant de Nvidia, reconnaissable à son éternel blouson de cuir, est attendu pour une conférence inaugurale de plus d’une heure. Pour le patron de VivaTech, “c’est une fierté” d’accueillir le géant des GPU, des microprocesseurs surpuissants considérés comme indispensables au développement de l’IA générative.”Ca prouve bien que le marché européen en général, et le marché français en particulier, est intéressant et, aujourd’hui, ils ont des ambitions pour ce marché”, souligne le directeur général de l’événement, François Bitouzet, auprès de l’AFP.”Il va sûrement y avoir des annonces à destination de l’Europe”, complète Cédric Foray, responsable technologie, médias et télécoms pour l’Europe au sein du cabinet EY.L’activité de Nvidia se trouve au cœur de tensions géopolitiques entre les Etats-Unis et la Chine. Peu avant la prise de fonctions de Donald Trump, son prédécesseur Joe Biden avait annoncé de nouvelles mesures de restrictions sur l’exportation de puces vers la Chine. Annulées par la nouvelle administration, elles ont néanmoins impacté les ventes de la firme américaine, privée de débouchés.- Souveraineté technologique -Tandis que le nouveau président américain souffle le chaud et le froid sur l’économie mondiale au rythme de ses mesures sur les droits de douane, le secteur européen de la tech est secoué par des interrogations sur la souveraineté technologique. “La France et l’Europe doivent (…) aujourd’hui investir, innover. C’est très important, on doit regagner en compétitivité”, a martelé Véronique Torner, présidente du syndicat professionnel des entreprises du numérique Numeum, sur Radio Classique mercredi matin.La question de la dépendance aux outils numériques américains est renforcée par un écart massif de financements entre le Vieux Continent et les États-Unis, qui se maintient depuis les mesures protectionnistes de Donald Trump. “Le sujet de la souveraineté, qui n’était pas aussi important dans les discussions il y a encore un an ou deux ans, est devenu une priorité absolument stratégique”, pointe François Bitouzet. Un mois après le sommet Choose France, destiné à attirer les investissements étrangers dans l’Hexagone, et quatre mois après le sommet sur l’IA qui a réuni plusieurs chefs d’États et de gouvernements à Paris, Emmanuel Macron sera à VivaTech pour vanter “la souveraineté technologique européenne” face aux Etats-Unis et à la Chine, a précisé la présidence française.La journée de mercredi se conclura par un dîner à l’Elysée en présence de plusieurs personnalités dont la liste n’a pas été détaillée. Le Premier ministre François Bayrou fera lui une visite au salon jeudi après-midi.Plus de la moitié des start-up présentes à VivaTech sont françaises, ont fait savoir les organisateurs. 

VivaTech: Nvidia en tête d’affiche et Macron en défense de la “souveraineté technologique”

Le salon VivaTech s’est ouvert mercredi à Paris en présence de la ministre française chargée du Numérique, avant d’accueillir plusieurs stars de la tech ainsi qu’Emmanuel Macron, dans un contexte de tensions commerciales entre Europe et Etats-Unis.Alors que le développement de l’intelligence artificielle (IA) est dans tous les esprits, “cette technologie n’a jamais été aussi politique qu’aujourd’hui”, a déclaré la ministre Clara Chappaz, qui s’exprimait depuis la scène principale du salon de la porte de Versailles. “La France est une puissance en matière d’innovation et nous allons tout faire, nous avons tout fait et nous allons continuer à tout faire pour en faire le meilleur endroit au monde pour lancer des entreprises, développer des entreprises et construire la technologie dont nous avons besoin”, a-t-elle martelé. Le plus grand évènement européen consacré à la Tech, qui s’achèvera samedi, accueille dans la matinée une conférence du géant américain des semi-conducteurs Nvidia, avec une prise de parole très attendue de son patron Jensen Huang. Habitué du salon, Emmanuel Macron sera présent pendant cette journée inaugurale, a indiqué l’Elysée. Le président déambulera dans les allées et s’entretiendra avec plusieurs start-up européennes, avant d’échanger avec Jensen Huang et le patron de l’entreprise française Mistral AI, Arthur Mensch, sur la scène principale à 17h30. Avec 14.000 start-up et plus de 3.000 investisseurs venus du monde entier, les organisateurs attendent une affluence d’au moins 165.000 visiteurs pour cette neuvième édition. – “Ambitions” -Le ton de cette première journée sera donc donné en fin de matinée par Jensen Huang: le dirigeant de Nvidia, reconnaissable à son éternel blouson de cuir, est attendu pour une conférence inaugurale de plus d’une heure. Pour le patron de VivaTech, “c’est une fierté” d’accueillir le géant des GPU, des microprocesseurs surpuissants considérés comme indispensables au développement de l’IA générative.”Ca prouve bien que le marché européen en général, et le marché français en particulier, est intéressant et, aujourd’hui, ils ont des ambitions pour ce marché”, souligne le directeur général de l’événement, François Bitouzet, auprès de l’AFP.”Il va sûrement y avoir des annonces à destination de l’Europe”, complète Cédric Foray, responsable technologie, médias et télécoms pour l’Europe au sein du cabinet EY.L’activité de Nvidia se trouve au cœur de tensions géopolitiques entre les Etats-Unis et la Chine. Peu avant la prise de fonctions de Donald Trump, son prédécesseur Joe Biden avait annoncé de nouvelles mesures de restrictions sur l’exportation de puces vers la Chine. Annulées par la nouvelle administration, elles ont néanmoins impacté les ventes de la firme américaine, privée de débouchés.- Souveraineté technologique -Tandis que le nouveau président américain souffle le chaud et le froid sur l’économie mondiale au rythme de ses mesures sur les droits de douane, le secteur européen de la tech est secoué par des interrogations sur la souveraineté technologique. “La France et l’Europe doivent (…) aujourd’hui investir, innover. C’est très important, on doit regagner en compétitivité”, a martelé Véronique Torner, présidente du syndicat professionnel des entreprises du numérique Numeum, sur Radio Classique mercredi matin.La question de la dépendance aux outils numériques américains est renforcée par un écart massif de financements entre le Vieux Continent et les États-Unis, qui se maintient depuis les mesures protectionnistes de Donald Trump. “Le sujet de la souveraineté, qui n’était pas aussi important dans les discussions il y a encore un an ou deux ans, est devenu une priorité absolument stratégique”, pointe François Bitouzet. Un mois après le sommet Choose France, destiné à attirer les investissements étrangers dans l’Hexagone, et quatre mois après le sommet sur l’IA qui a réuni plusieurs chefs d’États et de gouvernements à Paris, Emmanuel Macron sera à VivaTech pour vanter “la souveraineté technologique européenne” face aux Etats-Unis et à la Chine, a précisé la présidence française.La journée de mercredi se conclura par un dîner à l’Elysée en présence de plusieurs personnalités dont la liste n’a pas été détaillée. Le Premier ministre François Bayrou fera lui une visite au salon jeudi après-midi.Plus de la moitié des start-up présentes à VivaTech sont françaises, ont fait savoir les organisateurs. 

Equities rally after China-US framework on trade

Stocks rose Wednesday as investors welcomed a China-US agreement to lower trade tensions that stoked hopes the economic superpowers will eventually reach a broader tariff deal.After two days of high-profile, closely watched talks in London, the two sides said they had set up a framework to move towards a pact, following negotiations in Geneva last month that saw them slash tit-for-tat levies.The news provided some much-needed relief to markets after US President Donald Trump accused Beijing of violating that deal. The latest round of talks followed a phone call between Trump and his Chinese counterpart Xi Jinping on Thursday.As well as tariffs, a key issue in the discussions was China’s export of earth minerals and magnets used in a range of things including smartphones and electric vehicle batteries, while Beijing was keen to see an easing of restrictions on its access to tech goods.US Commerce Secretary Howard Lutnick said he was upbeat that concerns over rare earths “will be resolved” eventually, as the agreement is implemented.Xi and Trump must approve the framework first.”We’re moving as quickly as we can,” US Trade Representative Jamieson Greer told reporters. “We would very much like to find an agreement that makes sense for both countries,” he added.”We feel positive about engaging with the Chinese.”Speaking separately to reporters, China International Trade Representative Li Chenggang expressed hope that progress made in London would help to boost trust on both sides.The deal, which was reached late Tuesday, boosted Asian markets with Hong Kong among the best performers, while Shanghai, Tokyo, Sydney, Seoul, Mumbai, Bangkok, Wellington, Taipei and Manila were also up.London, Paris and Frankfurt enjoyed healthy gains in the morning.However, analysts said investors would be keen to get a closer look at the details of the agreement.”The US-China trade circus wrapped with what can only be described as a diplomatic tautology,” said Stephen Innes at SPI Asset Management.He called it “a late-night announcement that both sides have ‘agreed in principle on a framework to implement the Geneva consensus’ — a consensus that was… already agreed upon weeks ago”.And he warned that markets could run out of steam if nothing concrete came through.”If the next headline doesn’t come with something tangible, such as cargo ships loaded with rare earths or an actual rollback of tariffs, expect risk assets to start demanding more photo opportunities,” he wrote.”Until then, this rally relies on faith.”And Saxo chief investment strategist Charu Chanana said before the deal was announced that while there was some hope for the talks “the era of easy wins — tariff pauses and minor concessions — is over”.”What’s left are deeper, more entrenched challenges: tech restrictions, rare earth supply chains, student visas, and national security-linked concerns. These are strategic disputes, unlikely to be resolved in a few rounds of meetings.”Still, she did say that “trade uncertainty has clearly faded since the peak chaos of early April”, when Trump unleashed a tariff blitz that hammered worldwide stock and bond markets.Tuesday’s news also overshadowed the World Bank’s slashing of its 2025 forecast for global economic growth to 2.3 percent, from the 2.7 percent predicted in January, citing trade tensions and policy uncertainty.It also said the US economy would expand 1.4 percent this year, half of its 2024 growth.- Key figures at around 0810 GMT -Tokyo – Nikkei 225: UP 0.6 percent at 38,421.19 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.8 percent at 24,366.94 (close)Shanghai – Composite: UP 0.5 percent at 3,402.32 (close)London – FTSE 100: UP 0.2 percent at 8,868.90 Euro/dollar: DOWN at $1.1423 from $1.1426 on TuesdayPound/dollar: DOWN at $1.3486 from $1.3501Dollar/yen: UP at 145.12 yen from 144.88 yenEuro/pound: UP 84.70 pence from 84.61 penceWest Texas Intermediate: UP 0.2 percent at $65.12 per barrelBrent North Sea Crude: UP 0.1 percent at $66.94 per barrelNew York – Dow: UP 0.3 percent at 42,866.87 (close)

Deuil national en Autriche après une tuerie scolaire sans précédent

Deuil national et minute de silence: l’Autriche se recueille mercredi au lendemain de la mort dans un établissement scolaire de Graz de dix personnes, tuées par balles par un ancien élève qui s’est ensuite suicidé, une épreuve inédite dans ce pays paisible.Devant cette école de niveau secondaire, dans le centre-ville ou dans les églises, les habitants ont allumé des bougies et déposé des fleurs en hommage aux victimes, jeunes pour la plupart. “C’est vraiment choquant, on va vivre avec cela pendant des années”, confie à l’AFP Mariam Fayz, une étudiante de 22 ans qui a craint pour la vie de son petit frère quand elle a appris la nouvelle.Des riverains ont entendu des cris et des coups de feu mardi vers 10H00, à la reprise des cours après le long week-end de Pentecôte.L’auteur présumé, un Autrichien de 21 ans, a agi seul et s’est donné la mort dans les toilettes après son crime, selon la police, qui tente d’y voir plus clair sur son mobile et le déroulé exact des événements.Les enquêteurs ont découvert lors d’une perquisition à son domicile “une bombe artisanale non fonctionnelle” et une lettre d’adieu adressée à ses parents, mais elle n’offre aucun indice sur ce qui l’a poussé à semer la mort.Certains médias affirment qu’il avait été harcelé. Sur les plateaux des télévisions, on s’interroge aussi sur la facilité d’avoir des armes à feu en Autriche et sur leur nombre important en circulation.L’assaillant a utilisé pour commettre l’attaque un fusil et une arme de poing qu’il détenait légalement. Il avait été scolarisé dans cet établissement secondaire accueillant environ 400 jeunes de 14 à 18 ans, mais n’avait pas terminé son cursus. – “Tragédie nationale” -Le chancelier Christian Stocker, venu apporter son soutien, a déploré “une tragédie nationale”, annonçant un deuil national de trois jours. Une minute de silence doit être observée dans tout le pays mercredi à 10H00 (08H00 GMT) en hommage aux victimes.Parmi elles, figure un élève français de 17 ans, a indiqué son père à l’AFP. Les autorités ont par ailleurs fait état d’une dizaine de blessés.L’Autriche s’est réveillée dans la stupeur.”C’est l’horreur”, “Pourquoi?”: le choc fait la une des journaux et l’incompréhension reste très partagée, le quotidien “Kurier” faisant le choix d’une couverture en noir. Une riveraine américaine, mère de deux enfants scolarisés à proximité, se dit “choquée”. “Dans mon pays d’origine, on sait que cela arrive plus souvent, mais que cela se produise ici, c’est du jamais-vu”.”Graz est une ville sûre”, selon Roman Klug, un artiste de 55 ans, qui “habite à deux pas”. Et l’école “est connue pour son ouverture et sa diversité”, a-t-il rappelé.- Précédents en Europe -De la France à l’Ukraine, de nombreux dirigeants européens ont fait part de leur émotion. “Les nouvelles de Graz me touchent au cœur”, a souligné sur X la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.Loin des drames de ce genre qui frappent régulièrement d’autres pays occidentaux, l’Autriche, pays de 9,2 millions d’habitants, n’a pas l’habitude de ce type de criminalité. Elle figure parmi les dix Etats les plus sûrs du monde, d’après l’Indice mondial pour la paix (Global Peace Index).Mais ces dernières années, l’Europe a été secouée par plusieurs attaques en milieu scolaire et universitaire ne relevant pas d’actes de terrorisme.En février, un tireur avait tué dix personnes dans un centre de formation pour adultes d’Örebro, dans le centre de la Suède, avant de se suicider.En France, une assistante d’éducation a été mortellement poignardée mardi par un collégien devant son établissement, suscitant une vive émotion.La Slovaquie et la Croatie ont aussi été endeuillées récemment par des attaques au couteau. La République tchèque a été touchée fin 2023, quand un étudiant a tué 14 personnes.En mars de la même année, neuf élèves ainsi que le gardien d’une école du centre de Belgrade en Serbie avaient été tués par balles par un élève de 13 ans.

Deuil national en Autriche après une tuerie scolaire sans précédent

Deuil national et minute de silence: l’Autriche se recueille mercredi au lendemain de la mort dans un établissement scolaire de Graz de dix personnes, tuées par balles par un ancien élève qui s’est ensuite suicidé, une épreuve inédite dans ce pays paisible.Devant cette école de niveau secondaire, dans le centre-ville ou dans les églises, les habitants ont allumé des bougies et déposé des fleurs en hommage aux victimes, jeunes pour la plupart. “C’est vraiment choquant, on va vivre avec cela pendant des années”, confie à l’AFP Mariam Fayz, une étudiante de 22 ans qui a craint pour la vie de son petit frère quand elle a appris la nouvelle.Des riverains ont entendu des cris et des coups de feu mardi vers 10H00, à la reprise des cours après le long week-end de Pentecôte.L’auteur présumé, un Autrichien de 21 ans, a agi seul et s’est donné la mort dans les toilettes après son crime, selon la police, qui tente d’y voir plus clair sur son mobile et le déroulé exact des événements.Les enquêteurs ont découvert lors d’une perquisition à son domicile “une bombe artisanale non fonctionnelle” et une lettre d’adieu adressée à ses parents, mais elle n’offre aucun indice sur ce qui l’a poussé à semer la mort.Certains médias affirment qu’il avait été harcelé. Sur les plateaux des télévisions, on s’interroge aussi sur la facilité d’avoir des armes à feu en Autriche et sur leur nombre important en circulation.L’assaillant a utilisé pour commettre l’attaque un fusil et une arme de poing qu’il détenait légalement. Il avait été scolarisé dans cet établissement secondaire accueillant environ 400 jeunes de 14 à 18 ans, mais n’avait pas terminé son cursus. – “Tragédie nationale” -Le chancelier Christian Stocker, venu apporter son soutien, a déploré “une tragédie nationale”, annonçant un deuil national de trois jours. Une minute de silence doit être observée dans tout le pays mercredi à 10H00 (08H00 GMT) en hommage aux victimes.Parmi elles, figure un élève français de 17 ans, a indiqué son père à l’AFP. Les autorités ont par ailleurs fait état d’une dizaine de blessés.L’Autriche s’est réveillée dans la stupeur.”C’est l’horreur”, “Pourquoi?”: le choc fait la une des journaux et l’incompréhension reste très partagée, le quotidien “Kurier” faisant le choix d’une couverture en noir. Une riveraine américaine, mère de deux enfants scolarisés à proximité, se dit “choquée”. “Dans mon pays d’origine, on sait que cela arrive plus souvent, mais que cela se produise ici, c’est du jamais-vu”.”Graz est une ville sûre”, selon Roman Klug, un artiste de 55 ans, qui “habite à deux pas”. Et l’école “est connue pour son ouverture et sa diversité”, a-t-il rappelé.- Précédents en Europe -De la France à l’Ukraine, de nombreux dirigeants européens ont fait part de leur émotion. “Les nouvelles de Graz me touchent au cœur”, a souligné sur X la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.Loin des drames de ce genre qui frappent régulièrement d’autres pays occidentaux, l’Autriche, pays de 9,2 millions d’habitants, n’a pas l’habitude de ce type de criminalité. Elle figure parmi les dix Etats les plus sûrs du monde, d’après l’Indice mondial pour la paix (Global Peace Index).Mais ces dernières années, l’Europe a été secouée par plusieurs attaques en milieu scolaire et universitaire ne relevant pas d’actes de terrorisme.En février, un tireur avait tué dix personnes dans un centre de formation pour adultes d’Örebro, dans le centre de la Suède, avant de se suicider.En France, une assistante d’éducation a été mortellement poignardée mardi par un collégien devant son établissement, suscitant une vive émotion.La Slovaquie et la Croatie ont aussi été endeuillées récemment par des attaques au couteau. La République tchèque a été touchée fin 2023, quand un étudiant a tué 14 personnes.En mars de la même année, neuf élèves ainsi que le gardien d’une école du centre de Belgrade en Serbie avaient été tués par balles par un élève de 13 ans.