Colombie: une femme arrêtée en lien avec la tentative d’homicide du candidat Uribe

Une femme soupçonnée d’être impliquée dans la tentative d’homicide du candidat d’opposition à la présidentielle en Colombie Miguel Uribe a été arrêtée samedi dans le sud du pays, a indiqué la police. Elle a été capturée dans la région amazonienne du Caquetá et devait être transférée à Bogota “dans les prochaines heures”, a précisé à l’AFP une source policière, sans fournir plus de détails sur son implication. Le sénateur conservateur de 39 ans a été atteint de trois balles, dont deux dans la tête, le 8 juin lors d’un rassemblement avec ses partisans à Bogota. Opéré en urgence, il reste en soins intensifs dans une clinique de la capitale dans un état critique.Le tireur présumé, un garçon de 15 ans qui nie les accusations, et un homme soupçonné d’avoir participé à l’organisation logistique de l’attaque ont déjà été inculpés pour tentative d’homicide.L’adolescent, étroitement surveillé dans un lieu sécurisé appartenant au parquet, est soupçonné de faire partie d’un réseau de tueurs à gage et d’avoir reçu de l’argent pour tirer sur Miguel Uribe.Selon le magazine Semana paru samedi, il aurait déclaré qu’on lui avait offert 20 millions de pesos (plus de 4.800 dollars) pour tuer le candidat du parti colombien d’opposition Centre démocratique.Le service d’enquête du journal El Tiempo a également affirmé que l’un des accusés avait désigné comme cerveau présumé un criminel résidant en Équateur et contrôlant une zone de trafic de drogue à Bogota.L’attaque ravive les craintes d’un retour aux pires périodes de violence en Colombie. Dans les années 1980 et 1990, à l’apogée du baron de la drogue Pablo Escobar, quatre candidats à la présidence avaient été assassinés. Le Centre démocratique de l’influent ex-président Alvaro Uribe (2002-2010), a temporairement suspendu vendredi ses activités pour les élections présidentielles de 2026. Le président de gauche Gustavo Petro a déclaré ce samedi que l’état de santé de Miguel Uribe, qui n’a aucun lien de parenté avec l’ex-président, ne pouvait pas “être expliquée par la science”. “Il devrait être mort (…) et ce qui se passe, c’est qu’il se rétablit”, a ajouté M. Petro, qui ne peut pas briguer un nouveau mandat.

Mondial des clubs: l’autre rêve américain de Griezmann

Il n’a pas renoncé à l’idée de terminer sa carrière aux Etats-Unis mais en attendant c’est sous le maillot de l’Atlético Madrid qu’Antoine Griezmann va vivre son rêve américain au Mondial des clubs, avec un premier duel contre le PSG champion d’Europe, dimanche à Los Angeles.Alors que son départ vers la MLS (Major League Soccer) semblait une évidence, “Grizou” (34 ans) a créé la surprise il y a dix jours en étirant jusqu’en 2027 son bail dans la capitale espagnole où il est arrivé une première fois en 2014 avant d’y revenir en 2021 après l’échec de son bref passage à Barcelone (2019-2021).Ce n’est sans doute que partie remise pour le champion du monde 2018, qui n’a absolument pas abandonné son projet de rejoindre un jour la Ligue nord-américaine. Mais avant éventuellement de suivre les pas outre-Atlantique de ses ex-compères en bleu Hugo Lloris et Olivier Giroud, exilés au Los Angeles FC, il a décidé de poursuivre son aventure avec l’Atlético dans l’espoir d’y gagner enfin un trophée majeur (Liga ou Ligue des champions) pour l’ajouter à la Ligue Europa remportée en 2018.La Coupe du monde des clubs n’entre pas forcément dans cette catégorie mais l’attaquant français y sera dans son élément, lui le fana de sports US.”Jouer là-bas va être amusant, mais je n’y vais pas en touriste. Ce que j’aime dans la culture américaine, c’est qu’il n’y a pas de jalousie. Les gens sont solidaires, toujours encourageants, c’est ce qui m’attire vraiment”, a-t-il expliqué sur beIn Sports.Griezmann va d’emblée découvrir un haut-lieu du divertissement et du sport californiens, le Rose Bowl de Pasadena où il défiera le PSG avant d’y croiser les Brésiliens de Botafogo, vainqueurs de la Copa Libertadores, le 23 juin. Entre-temps, le N.7 affrontera les Seattle Sounders, chez eux au Lumen Field le 19 juin.- Revanchard –  L’ambiance y sera sûrement moins électrique qu’au Metropolitano, l’antre de l’Atlético, mais pour le natif de Mâcon, l’objectif sera avant tout de redorer le blason d’une équipe qui a tout raté cette saison. Troisièmes de la Liga derrière le Barça et le Real Madrid, éliminés en 8e de finale de Ligue des champions par les Merengue et sortis en Coupe du Roi par les Catalans, les Colchoneros appréhendent donc ce Mondial des clubs comme une séance de rattrapage. “Je pense que l’atmosphère sera agréable et différente, un peu comme une Coupe du monde avec beaucoup de mélange dans les tribunes, ce qui rend le jeu encore plus beau à voir. Pour nous, il était très important de participer à ce tournoi. Nous voulons vraiment faire une bonne compétition. Nous rêvons de grandes choses et c’est à nous de prouver sur le terrain que nous pouvons rivaliser avec n’importe qui et que nous avons le niveau pour aller en finale”, a-t-il récemment déclaré sur DAZN.Sur un plan plus personnel, le meilleur buteur de l’histoire de l’Atletico (197) a aussi des raisons de vouloir se racheter après avoir connu jusqu’ici un exercice assez mitigé. Avec 16 réalisations et 9 passes décisives, toutes compétitions confondues, il n’a pas à rougir de son bilan comptable et reste l’un des rouages essentiels de la formation de Diego Simeone, mais il a sérieusement marqué le pas lors de la deuxième partie de saison.A l’heure de retrouver le PSG, Griezmann est donc revanchard et compte bien prouver sur la scène internationale qu’il est loin d’être fini malgré sa décision de stopper l’équipe de France en septembre dernier. Il n’a surtout pas oublié la victoire au Parc des Princes lors de la phase de ligue de la Ligue des champions (2-1) et y voit un bon présage avant de se frotter aux Parisiens.”Ils jouent très bien, à un niveau impressionnant, mais je pense que nous sommes une équipe qui peut leur faire mal et nous l’avons vu chez eux où nous avons gagné le match à la dernière seconde”, a-t-il rappelé.

US Fed set to hold rates steady in the face of Trump pressure

The US central bank is expected to keep interest rates unchanged for a fourth straight policy meeting this week, despite President Donald Trump’s push for rate cuts, as officials contend with uncertainty sparked by the Republican’s tariffs.While the independent Federal Reserve has started lowering rates from recent highs, officials have held the level steady this year as Trump’s tariffs began rippling through the world’s biggest economy.The Fed has kept interest rates between 4.25 percent and 4.50 percent since December, while it monitors the health of the jobs market and inflation.”The hope is to stay below the radar screen at this meeting,” KPMG chief economist Diane Swonk told AFP. “Uncertainty is still very high.””Until they know sufficiently, and convincingly that inflation is not going to pick up” either in response to tariffs or related threats, “they just can’t move,” she said.Since returning to the presidency, Trump has slapped a 10 percent tariff on most US trading partners. Higher rates on dozens of economies are due to take effect in July, unless an existing pause is extended.Trump has also engaged in a tit-for-tat tariff war with China and imposed levies on imports of steel, aluminum and automobiles, rattling financial markets and tanking consumer sentiment.But economists expect it will take three to four months for tariff effects to show up in consumer prices.Although hiring has cooled slightly and there was some shrinking of the labor force according to government data, the unemployment rate has stayed unchanged.Inflation has been muted too, even as analysts noted signs of smaller business margins — meaning companies are bearing the brunt of tariffs for now.At the end of the Fed’s two-day meeting Wednesday, analysts will be parsing through its economic projections for changes to growth and unemployment expectations — and for signs of the number of rate cuts to come.The Fed faces growing pressure from Trump — citing benign inflation data — to lower rates more quickly, a move the president argues will help the country “pay much less interest on debt coming due.”On Wednesday, Trump urged Fed Chair Jerome Powell to slash interest rates by a full percentage point, and on Thursday, he called Powell a “numbskull” for not doing so.He said Powell could raise rates again if inflation picked up then.But Powell has defended US central bank independence over interest rates when engaging with Trump.- ‘Cautious patience’ -For their part, Fed policymakers have signaled “little urgency” to adjust rates, said EY chief economist Gregory Daco.He believes they are unwilling to get ahead of the net effects from Trump’s trade, tax, immigration and regulation policy changes.Powell “will likely strike a tone of cautious patience, reiterating that policy remains data dependent,” Daco said.While economists have warned that Trump’s tariffs would fuel inflation and weigh on economic growth, supporters of Trump’s policies argue the president’s plans for tax cuts next year will boost the economy.On the Fed’s path ahead, HSBC Global Research said: “Weak labor market data could lead to larger cuts, while elevated inflation would tend to imply the opposite.”For now, analysts expect the central bank to slash rates two more times this year, beginning in September.The Fed is likely to be eyeing data over the summer for inflationary pressures from tariffs, said Ryan Sweet, chief US economist at Oxford Economics.”They want to make sure that they’re reading the tea leaves correctly,” he said.Swonk warned the US economy is in a different place than during the Covid-19 pandemic, which could change how consumers react to price increases.During the pandemic, government stimulus payments helped households cushion the blow from higher costs, allowing them to keep spending.It is unclear if consumers, a key driver of the economy, will keep their dollars flowing this time, meaning demand could collapse and complicate the Fed’s calculus.”If this had been a world without tariffs, the Fed would be cutting right now. There’s no question,” Swonk said.

Iran launches missile barrage as Israel strikes Tehran

Iranians and Israelis woke to smoke and rubble on Sunday after the arch-rivals expanded their attacks overnight, with Israel striking Tehran’s defence ministry, and Iran unleashing a deadly barrage of missiles.Air raid sirens and explosions were heard by AFP journalists in Jerusalem and Tel Aviv early Sunday, as Israel’s military said millions of Israelis were “running for shelter” around the country.Israel’s emergency services said at least eight people, including children, were killed in the overnight strikes, and around 200 were wounded.In Iran’s capital, AFP journalists heard a series of blasts at around 2:30 am.The third day of tit-for-tat attacks comes despite global calls for de-escalation, with Iran scrapping its latest nuclear talks with the United States, saying it could not negotiate while under fire from Israel.After decades of enmity and conflict by proxy, it is the first time the arch-enemies have traded fire with such intensity, triggering fears of a prolonged conflict that could engulf the Middle East.Israel’s operation, which began early Friday, has targeted Iranian nuclear and military sites, killing dozens of people including top army commanders and atomic scientists, according to Tehran.Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu has vowed to hit “every target of the ayatollah regime”, while Iranian President Masoud Pezeshkian warned further strikes would draw “a more severe and powerful response”.In Bat Yam, outside of Tel Aviv, Israeli first responders wearing helmets and headlamps combed through the rubble of a building as dawn broke.Two women, aged 69 and 80, a girl and a 10-year-old boy were killed, while about 100 others were wounded, according to a spokesperson for Magen David Adom (MDA).In Shfela region, west of Jerusalem, another 37 people were wounded, the MDA spokesperson added.In the north of Israel, in the Western Galilee, rescuers said a strike late Saturday destroyed a three-storey building, killing three women.A woman in her 20s also died after an Iranian missile hit a home in the Haifa region, leaving about a dozen people wounded, MDA said.An MDA spokesman told Israeli broadcaster Channel 12 that around 200 people were wounded in the overnight missile strikes fired by Iran.Iran’s UN ambassador said 78 people were killed and 320 wounded in Friday’s first wave of Israeli strikes. Iranian authorities have not provided an updated toll as of early Sunday.- ‘Nuclear project’ sites struck -Israel’s military said it had struck Iran’s defence ministry headquarters, “nuclear weapons project” infrastructure sites and other targets, including fuel tankers, just before 2:40 am on Sunday (2340 GMT Saturday).The targeted sites, including the “headquarters of the SPND (Organization of Defensive Innovation and Research) nuclear project”, advanced Iran’s efforts to obtain a nuclear weapon, according to Israel.Iranian news agency Tasnim earlier reported that an Israeli strike had targeted the defence ministry headquarters in Tehran and damaged one of its buildings. The ministry did not comment.Iran’s Revolutionary Guards said Sunday that the country had struck sites used by Israeli warplanes for refuelling, in retaliation for the strikes carried out by Israel.”The Iranian armed forces’ offensive operations will continue more fiercely and more broadly if the depravity and attacks (against Iran) continue,” the Guards said in a statement.Overnight, Israel stuck two fuel depots in Tehran, the Iranian oil ministry said Sunday.According to the ministry, the oil depots at Shahran northwest of Tehran and another reservoir south of the city were hit. An AFP journalist saw a depot at Shahran on fire.- Foreign concern -Netanyahu maintained Israel’s operation had the “clear support” of US President Donald Trump.Trump said he and Russian President Vladimir Putin had agreed in a phone call on Saturday that the conflict between Iran and Israel “should end”.According to a statement from his office, Iranian President Masoud Pezeshkian condemned Washington’s “dishonesty” for supporting Israel while engaged in nuclear talks with Iran — which mediator Oman said would no longer take place on Sunday.Western governments have repeatedly accused Iran of seeking a nuclear weapon, which it denies.Iran’s top nuclear negotiator, Foreign Minister Abbas Araghchi, said the Israeli attacks undermined negotiations and were pushing the region into a “dangerous cycle of violence”.Israeli strikes have hit Iran’s Natanz uranium enrichment plant and killed its highest-ranking military officer, Mohammad Bagheri, as well as the head of the powerful Islamic Revolutionary Guard Corps, Hossein Salami.The Israeli military said its strikes had killed more than 20 Iranian commanders.Iranian media reported five Guards killed Saturday in Israeli strikes, while authorities in one northwestern province said 30 military personnel had been killed there since Friday.Iran’s Red Crescent said an ambulance was hit Saturday in Urmia city, killing two.Iran called on its citizens to unite in the country’s defence, while Netanyahu urged them to rise up against the government.Highlighting the global unease, Turkish President Recep Tayyip Erdogan warned against a “devastating war” with regional consequences, in a call with Saudi Crown Prince Mohammed bin Salman, Ankara said.UK Prime Minister Keir Starmer said Saturday that his country was deploying fighter jets and other “assets” to the Middle East “for contingency support”, while he also urged de-escalation.burs/ser/sco/lb

Trump ravi de sa parade militaire à Washington, importantes manifestations d’opposants ailleurs

Donald Trump s’est montré ravi de la grande parade militaire dont il avait rêvé, samedi à Washington lors d’une journée marquée par d’importantes manifestations contre sa politique à travers les Etats-Unis.Dans une atmosphère alourdie par le meurtre d’une élue locale samedi matin et l’affrontement entre Israël et l’Iran, parade militaire d’un côté et défilés protestataires de l’autre ont souligné à quel point les Etats-Unis sont profondément divisés.A travers le pays, des centaines de milliers d’opposants à Donald Trump sont descendus dans les rues sous le mot d’ordre “No Kings” pour dénoncer ce qu’ils considèrent comme des dérives dictatoriales du président et “la militarisation de notre démocratie”, avec quelques incidents.A Salt Lake City (ouest), des tirs lors d’une manifestation rassemblant quelque 10.000 personnes ont fait un blessé grave, selon la police, qui a arrêté un suspect.A Los Angeles, la police a fait usage des gaz lacrymogènes pour disperser des milliers de manifestants qui ont défilé sous le regard des militaires envoyés par Donald Trump pour tenter de juguler les violences lors des protestations contre sa politique migratoire. Les membres de la Garde nationale, qui protègent certains bâtiments, ont été hués par le cortège.- “Fan du président” -Dans la capitale, le président américain, qui fêtait ses 79 ans, a assisté durant environ deux heures depuis une tribune au défilé rassemblant près de 7.000 soldats et quelque 150 véhicules militaires, survolés par des dizaines d’avions et d’hélicoptères.La Maison Blanche a avancé le chiffre de 250.000 spectateurs.Mais la foule faisait preuve d’un enthousiasme mesuré, ont constaté des journalistes de l’AFP.”Je suis là parce que je suis un fan du président et aussi parce que je soutiens l’armée”, a déclaré à l’AFP Oscar Williamson, lycéen de 17 ans originaire de l’Etat de New York, sous sa casquette rouge “Make America Great Again”. Le jeune homme dit soutenir la politique migratoire du républicain: “On a accueilli trop de migrants, ce n’est pas bon pour l’économie et il y a des problèmes de sécurité”, assure-t-il.”Je ne soutiens pas Trump, je n’ai pas voté pour lui et je n’aime pas sa politique, j’ai toujours été démocrate mais j’aime une bonne parade militaire”, estimait de son côté son père, Paul Hagenloch, professeur d’histoire à l’Université de Syracuse.Donald Trump a souvent applaudi les militaires et s’est levé à plusieurs reprises pour faire le salut militaire au passage des troupes.Dans un discours inhabituellement bref à l’issue du défilé, le commandant en chef a rendu hommage à ses soldats, “des héros et des légendes”, rappelant les nombreuses batailles du passé.”Nous sommes actuellement le meilleur pays du monde, et notre pays sera bientôt plus grand et plus fort que jamais”, s’est félicité Donald Trump.La soirée s’est terminée avec un petit concert et des feux d’artifice tirés au pied du Washington monument. Le budget annoncé pour cette parade se montait à 45 millions de dollars.- “Violence politique” -Cette démonstration de force est inhabituelle aux Etats-Unis, où le dernier défilé militaire d’envergure remontait à 1991, après la Guerre du Golfe. Et si officiellement cette manifestation célébrait les 250 ans de l’Armée de Terre, le fait qu’elle se déroule le jour de l’anniversaire du président était particulièrement significatif, alors que le républicain ne cesse de repousser les limites de son pouvoir.La journée avait démarré sous de tristes auspices. L’élue démocrate du Minnesota Melissa Hortman, 55 ans,  et son mari ont été tués à leur domicile au petit matin. Un “acte délibéré de violence politique”, a dénoncé Tim Walz, gouverneur de cet Etat du nord.Un autre élu démocrate et sa femme ont également été gravement blessés chez eux par des tirs.Le suspect, un homme blanc de 57 ans considéré “armé et dangereux”, est activement recherché.A part les incidents signalés à Los Angeles et Salt Lake City, les centaines de manifestations organisées dans la journée se sont dans l’ensemble tenues dans le calme.”Il est essentiel pour nous de montrer que la démocratie est encore forte dans ce pays,”, a déclaré à l’AFP Vikas Mehta, médecin de 45 ans présent parmi les dizaines de milliers de personnes qui ont défilé sous la pluie sur la 5e avenue à New York. “Nous voulons aussi montrer à nos enfants que, lorsque nous penserons à cette période de l’histoire où la démocratie était menacée, nous avons choisi de participer”,Certains manifestants se sont réunis près de la résidence de Donald Trump en Floride tandis que des rassemblements ont eu lieu à Paris et Mexico.