Italie: Naples revient provisoirement à la hauteur de l’Inter

Naples est revenu provisoirement à la hauteur de l’Inter Milan après son nul sur le terrain du mal classé Venise (0-0) dimanche lors de la 29e journée du Championnat d’Italie.Le Napoli totalise désormais 61 points comme l’Inter, mais le club lombard a conservé sa première place grâce à sa meilleure différence de buts (+36, contre +22).L’Inter peut reprendre ses aises en tête de la Serie A s’il s’impose en début de soirée (20h45) à Bergame face à l’Atalanta. Si l’Atalanta, 3e avec 58 points, s’impose en revanche, on assisterait à un regroupement inédit dans l’histoire du championnat italien à ce stade de la saison, avec trois équipes à 61 points à neuf journées de la fin.C’est pourquoi les joueurs d’Antonio Conte faisaient grise mine au coup de sifflet final, avec le sentiment d’avoir laissé échapper deux points contre l’avant-dernier du championnat (20 pts).Ils se sont certes créés l’occasion la plus nette, par Romelu Lukaku (45e), mais le ballon, stoppé in extremis par Ionut Radu n’avait pas franchi intégralement la ligne.Le Napoli tourne au ralenti depuis un mois et demi: son nul de dimanche est le cinquième en sept matches pour une défaite et une seule victoire.

Les rebelles au Yémen menacent de riposter aux raids américains meurtriers

Les rebelles houthis au Yémen ont menacé de riposter aux frappes américaines menées contre plusieurs de leurs bastions, dont la capitale Sanaa, et qui ont fait au moins 31 morts, y compris des enfants, selon un bilan des insurgés dimanche.En annonçant les raids samedi, le président américain Donald Trump a promis “l’enfer” aux “terroristes houthis” après leurs menaces contre le commerce maritime et Israël, et a sommé l’Iran de cesser son soutien à ces rebelles. L’Iran a condamné des frappes “barbares” et rejeté les menaces de M. Trump.Les Houthis, qui contrôlent de larges pans du Yémen en guerre, dont Sanaa, ont averti que les frappes américaines lancées samedi soir “ne resteront pas sans réponse”.”Nos forces armées sont prêtes à répondre à l’escalade par l’escalade”, a prévenu le bureau politique des Houthis, qui font partie avec notamment le Hamas palestinien et le Hezbollah libanais de ce que l’Iran appelle l'”axe de la résistance” face à Israël. Le Hamas et le Hezbollah ont condamné les raids américains.Selon le ministère de la Santé des Houthis, les frappes ont touché Sanaa, le gouvernorat de Saada (nord) et la ville de Radaa (centre) et fait au moins 31 morts et 101 blessés, “la plupart des enfants et des femmes”.Des images diffusées par les médias houthis montrent des enfants et une femme parmi des blessés soignés aux urgences d’un hôpital, dont une fillette aux jambes couvertes de bandages.- “Absolument terrifiants” -“Je n’ai jamais eu autant peur depuis le début de la guerre” au Yémen, confie un habitant de Sanaa, Malik, père de trois enfants, évoquant des bombardements “absolument terrifiants”.”Mes enfants hurlaient et pleuraient dans mes bras. C’est la première fois que je prononce la Chahada”, la prière récitée avant la mort, assure cet homme de 43 ans.Les Etats-Unis ont mené “une action militaire décisive et puissante” contre les Houthis, a déclaré Donald Trump en annonçant ces premières frappes américaines au Yémen depuis son retour à la Maison Blanche.”Nous utiliserons une force létale écrasante jusqu’à ce que nous ayons atteint notre objectif”, a-t-il prévenu, à propos des Houthis classés “organisation terroriste étrangère” par les Etats-Unis. Le Commandement central américain, qui a publié des vidéos d’avions de combat décollant et d’une bombe détruisant un complexe, a fait état de “frappes de précision” lancées pour “défendre les intérêts américains, dissuader les ennemis et rétablir la liberté de navigation”.- Avertissement à l’Iran -Après le début de la guerre à Gaza, déclenchée par une attaque du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023, les Houthis ont mené “en solidarité avec les Palestiniens” plusieurs attaques aux missiles contre Israël et des navires accusés de liens avec Israël.Les attaques ont cessé après l’entrée en vigueur le 19 janvier d’une trêve à Gaza après 15 mois de guerre destructrice. Mais après le refus d’Israël de permettre l’entrée de l’aide humanitaire à Gaza, les rebelles ont annoncé le 11 mars leur intention de les reprendre contre des navires de commerce qu’ils estiment liés à Israël, au large du Yémen. “Ne menacez pas le peuple américain, leur président (…) ou les routes maritimes mondiales. Et si vous le faites, attention, parce que l’Amérique vous en tiendra totalement responsable et nous ne vous ferons pas de cadeau!”, a lancé Donald Trump à l’adresse de l’Iran.”Le gouvernement américain n’a aucune autorité et aucun droit de dicter la politique étrangère de l’Iran”, a rétorqué le chef de la diplomatie iranienne Abbas Araghchi. “L’Iran ne cherche pas la guerre, mais si quelqu’un le menace, il donnera des réponses appropriées, résolues et définitives”, a averti le général Hossein Salami, le chef des Gardiens de la Révolution, l’armée idéologique d’Iran.- Entretien Rubio-Lavrov -Lors d’une conversation téléphonique avec son homologue russe Sergueï Lavrov, le secrétaire d’Etat Marco Rubio a affirmé que “la poursuite des attaques houthies contre les navires militaires et commerciaux américains en mer Rouge ne sera pas tolérée”.M. Lavrov, dont le pays est proche de l’Iran, a répondu que toutes les parties devraient s’abstenir de recourir à la force au Yémen.Les attaques des Houthis contre les navires ont perturbé le trafic en mer Rouge et dans le golfe d’Aden, une zone maritime essentielle pour le commerce mondial, poussant les Etats-Unis à mettre en place une coalition navale multinationale et à frapper des cibles rebelles au Yémen, parfois avec l’aide du Royaume-Uni.Selon le Pentagone, les Houthis ont “attaqué des navires de guerre américains 174 fois et des navires commerciaux 145 fois depuis 2023”.Pays pauvre de la péninsule arabique, le Yémen est en proie à une guerre civile depuis 2014 qui a fait des centaines de milliers de morts et provoqué une catastrophe humanitaire. 

Les rebelles au Yémen menacent de riposter aux raids américains meurtriers

Les rebelles houthis au Yémen ont menacé de riposter aux frappes américaines menées contre plusieurs de leurs bastions, dont la capitale Sanaa, et qui ont fait au moins 31 morts, y compris des enfants, selon un bilan des insurgés dimanche.En annonçant les raids samedi, le président américain Donald Trump a promis “l’enfer” aux “terroristes houthis” après leurs menaces contre le commerce maritime et Israël, et a sommé l’Iran de cesser son soutien à ces rebelles. L’Iran a condamné des frappes “barbares” et rejeté les menaces de M. Trump.Les Houthis, qui contrôlent de larges pans du Yémen en guerre, dont Sanaa, ont averti que les frappes américaines lancées samedi soir “ne resteront pas sans réponse”.”Nos forces armées sont prêtes à répondre à l’escalade par l’escalade”, a prévenu le bureau politique des Houthis, qui font partie avec notamment le Hamas palestinien et le Hezbollah libanais de ce que l’Iran appelle l'”axe de la résistance” face à Israël. Le Hamas et le Hezbollah ont condamné les raids américains.Selon le ministère de la Santé des Houthis, les frappes ont touché Sanaa, le gouvernorat de Saada (nord) et la ville de Radaa (centre) et fait au moins 31 morts et 101 blessés, “la plupart des enfants et des femmes”.Des images diffusées par les médias houthis montrent des enfants et une femme parmi des blessés soignés aux urgences d’un hôpital, dont une fillette aux jambes couvertes de bandages.- “Absolument terrifiants” -“Je n’ai jamais eu autant peur depuis le début de la guerre” au Yémen, confie un habitant de Sanaa, Malik, père de trois enfants, évoquant des bombardements “absolument terrifiants”.”Mes enfants hurlaient et pleuraient dans mes bras. C’est la première fois que je prononce la Chahada”, la prière récitée avant la mort, assure cet homme de 43 ans.Les Etats-Unis ont mené “une action militaire décisive et puissante” contre les Houthis, a déclaré Donald Trump en annonçant ces premières frappes américaines au Yémen depuis son retour à la Maison Blanche.”Nous utiliserons une force létale écrasante jusqu’à ce que nous ayons atteint notre objectif”, a-t-il prévenu, à propos des Houthis classés “organisation terroriste étrangère” par les Etats-Unis. Le Commandement central américain, qui a publié des vidéos d’avions de combat décollant et d’une bombe détruisant un complexe, a fait état de “frappes de précision” lancées pour “défendre les intérêts américains, dissuader les ennemis et rétablir la liberté de navigation”.- Avertissement à l’Iran -Après le début de la guerre à Gaza, déclenchée par une attaque du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023, les Houthis ont mené “en solidarité avec les Palestiniens” plusieurs attaques aux missiles contre Israël et des navires accusés de liens avec Israël.Les attaques ont cessé après l’entrée en vigueur le 19 janvier d’une trêve à Gaza après 15 mois de guerre destructrice. Mais après le refus d’Israël de permettre l’entrée de l’aide humanitaire à Gaza, les rebelles ont annoncé le 11 mars leur intention de les reprendre contre des navires de commerce qu’ils estiment liés à Israël, au large du Yémen. “Ne menacez pas le peuple américain, leur président (…) ou les routes maritimes mondiales. Et si vous le faites, attention, parce que l’Amérique vous en tiendra totalement responsable et nous ne vous ferons pas de cadeau!”, a lancé Donald Trump à l’adresse de l’Iran.”Le gouvernement américain n’a aucune autorité et aucun droit de dicter la politique étrangère de l’Iran”, a rétorqué le chef de la diplomatie iranienne Abbas Araghchi. “L’Iran ne cherche pas la guerre, mais si quelqu’un le menace, il donnera des réponses appropriées, résolues et définitives”, a averti le général Hossein Salami, le chef des Gardiens de la Révolution, l’armée idéologique d’Iran.- Entretien Rubio-Lavrov -Lors d’une conversation téléphonique avec son homologue russe Sergueï Lavrov, le secrétaire d’Etat Marco Rubio a affirmé que “la poursuite des attaques houthies contre les navires militaires et commerciaux américains en mer Rouge ne sera pas tolérée”.M. Lavrov, dont le pays est proche de l’Iran, a répondu que toutes les parties devraient s’abstenir de recourir à la force au Yémen.Les attaques des Houthis contre les navires ont perturbé le trafic en mer Rouge et dans le golfe d’Aden, une zone maritime essentielle pour le commerce mondial, poussant les Etats-Unis à mettre en place une coalition navale multinationale et à frapper des cibles rebelles au Yémen, parfois avec l’aide du Royaume-Uni.Selon le Pentagone, les Houthis ont “attaqué des navires de guerre américains 174 fois et des navires commerciaux 145 fois depuis 2023”.Pays pauvre de la péninsule arabique, le Yémen est en proie à une guerre civile depuis 2014 qui a fait des centaines de milliers de morts et provoqué une catastrophe humanitaire. 

A neuf ans, un tatoueur thaï imprime sa marque à Bangkok

A neuf ans, Napat Mitmakorn manie avec habileté le pistolet à tatouer de ses mains d’enfants gantées pour esquisser le motif d’un long serpent devant des visiteurs interloqués d’un salon du tatouage à Bangkok.”Je veux devenir tatoueur et ouvrir mon propre salon”, martèle-t-il à l’AFP depuis son stand où des visiteurs fascinés se sont arrêtés pour filmer son travail. “J’aime l’art, donc j’aime tatouer”.Le tatouage est une tradition ancestrale en Thaïlande, où les salons, omniprésents, proposent toutes sortes de motifs : des traditionnels aux plus modernes et profanes.Le père de Napat Mitmakorn, Nattawut Sangtong, tatoueur amateur, raconte avoir initié son fils à son art pour l’occuper.”Je voulais simplement l’éloigner de son téléphone parce qu’il était accro aux jeux et qu’il n’avait plus une grande capacité de concentration”, relate l’homme de 38 ans.Le duo père-fils s’est formé aux techniques du tatouage grâce à des tutoriels sur le réseau social TikTok et s’est exercé sur du papier avant de passer au cuir artificiel simulant la peau humaine, puis à l’Homme.Déjà à l’école, l’art était la matière préférée du jeune tatoueur. Reconnaissant son talent, son père consacre désormais près de deux heures par jour trois fois par semaine à le former.”Ce n’est pas seulement du tatouage, c’est devenu de la méditation”, assure Nattawut Sangtong.Le père et le fils gèrent ensemble une chaîne TikTok, “Le tatoueur aux dents de lait”, où ils diffusent en direct leurs sessions de tatouage et attirent jusqu’à des centaines de milliers de spectateurs par vidéo.Mais la séance de samedi au salon du tatouage de Bangkok a marqué les débuts publics de Napat Mitmakorn. Devant un public cette fois, il tatoue pour la deuxième fois son oncle, d’un serpent de 20 centimètres.Insensible à la musique techno qui fuse à travers d’énormes haut-parleurs, le jeune tatoueur devrait travailler pendant près de 12 heures avant que la créature ne soit achevée.Pour l’instant, son père insiste sur le fait qu’il ne travaille qu’avec la famille et les amis. Il assure que proposer les dessins de son fils à d’autres clients nécessiterait une formation plus rigoureuse en matière d’hygiène. Mais Naruebet Chonlatachaisit, l’oncle du jeune tatoueur, est détendu tandis que l’oeuvre prend forme sur sa cuisse gauche. “Je lui fais confiance et je pense qu’il ne peut que s’améliorer”, assure-t-il. Napat Muangsawang, un visiteur du salon, s’est arrêté devant le stand du garçon pour admirer son art méticuleux. “C’est tout à fait étonnant. Le tatouage n’est pas facile”, s’étonne-t-il. “Ce n’est pas comme dessiner sur une feuille de papier que l’on peut effacer.”

A neuf ans, un tatoueur thaï imprime sa marque à Bangkok

A neuf ans, Napat Mitmakorn manie avec habileté le pistolet à tatouer de ses mains d’enfants gantées pour esquisser le motif d’un long serpent devant des visiteurs interloqués d’un salon du tatouage à Bangkok.”Je veux devenir tatoueur et ouvrir mon propre salon”, martèle-t-il à l’AFP depuis son stand où des visiteurs fascinés se sont arrêtés pour filmer son travail. “J’aime l’art, donc j’aime tatouer”.Le tatouage est une tradition ancestrale en Thaïlande, où les salons, omniprésents, proposent toutes sortes de motifs : des traditionnels aux plus modernes et profanes.Le père de Napat Mitmakorn, Nattawut Sangtong, tatoueur amateur, raconte avoir initié son fils à son art pour l’occuper.”Je voulais simplement l’éloigner de son téléphone parce qu’il était accro aux jeux et qu’il n’avait plus une grande capacité de concentration”, relate l’homme de 38 ans.Le duo père-fils s’est formé aux techniques du tatouage grâce à des tutoriels sur le réseau social TikTok et s’est exercé sur du papier avant de passer au cuir artificiel simulant la peau humaine, puis à l’Homme.Déjà à l’école, l’art était la matière préférée du jeune tatoueur. Reconnaissant son talent, son père consacre désormais près de deux heures par jour trois fois par semaine à le former.”Ce n’est pas seulement du tatouage, c’est devenu de la méditation”, assure Nattawut Sangtong.Le père et le fils gèrent ensemble une chaîne TikTok, “Le tatoueur aux dents de lait”, où ils diffusent en direct leurs sessions de tatouage et attirent jusqu’à des centaines de milliers de spectateurs par vidéo.Mais la séance de samedi au salon du tatouage de Bangkok a marqué les débuts publics de Napat Mitmakorn. Devant un public cette fois, il tatoue pour la deuxième fois son oncle, d’un serpent de 20 centimètres.Insensible à la musique techno qui fuse à travers d’énormes haut-parleurs, le jeune tatoueur devrait travailler pendant près de 12 heures avant que la créature ne soit achevée.Pour l’instant, son père insiste sur le fait qu’il ne travaille qu’avec la famille et les amis. Il assure que proposer les dessins de son fils à d’autres clients nécessiterait une formation plus rigoureuse en matière d’hygiène. Mais Naruebet Chonlatachaisit, l’oncle du jeune tatoueur, est détendu tandis que l’oeuvre prend forme sur sa cuisse gauche. “Je lui fais confiance et je pense qu’il ne peut que s’améliorer”, assure-t-il. Napat Muangsawang, un visiteur du salon, s’est arrêté devant le stand du garçon pour admirer son art méticuleux. “C’est tout à fait étonnant. Le tatouage n’est pas facile”, s’étonne-t-il. “Ce n’est pas comme dessiner sur une feuille de papier que l’on peut effacer.”

Huthis vow ‘escalation’ after US strikes on Yemen kill 31

Yemen’s Iran-backed Huthis vowed to meet “escalation with escalation” after a wave of deadly US air strikes, with witnesses to the bombing saying Sunday they were taken aback by its intensity, even after years of war. US President Donald Trump said he had ordered the strikes and threatened more were to come if the rebels kept up their repeated attacks on shipping vessels in the Red Sea and Gulf of Aden.Attacks on the rebel-held capital Sanaa, as well as on areas in Saada, Al-Bayda and Radaa, killed at least 31 people and wounded 101, “most of whom were children and women”, Huthi health ministry spokesperson Anis Al-Asbahi said.An AFP photographer in Sanaa heard explosions and saw plumes of smoke rising Saturday night.Footage on Huthi media showed children and a woman among those being treated in a hospital emergency room, including a dazed girl with blackened legs wrapped in bandages.One father of two, who gave his name as Ahmed, told AFP his “house shook, the windows shattered, and my family and I were terrified”.”I’ve been living in Sanaa for 10 years, hearing shelling throughout the war. By God, I’ve never experienced anything like this before,” he said.Trump, in a post on social media, vowed to “use overwhelming lethal force” to end the Huthi attacks, which the rebels say are in solidarity with Palestinians amid the Gaza war.”To all Houthi terrorists, YOUR TIME IS UP, AND YOUR ATTACKS MUST STOP, STARTING TODAY. IF THEY DON’T, HELL WILL RAIN DOWN UPON YOU LIKE NOTHING YOU HAVE EVER SEEN BEFORE!” he said.Trump also issued a stern warning to the group’s main backer.”To Iran: Support for the Houthi terrorists must end IMMEDIATELY!” he said, adding it would be held “fully accountable” for any continued threats.The Huthis vowed the strikes “will not pass without response”, while Iran’s top diplomat Abbas Araghchi condemned the deaths and said Washington had “no authority” to dictate Tehran’s foreign policy.The Huthi Ansarullah website slammed what it called Washington’s “criminal brutality”.US Central Command, which posted videos of fighter jets taking off and a bomb demolishing a compound, said “precision strikes” were launched to “defend American interests, deter enemies, and restore freedom of navigation”.- ‘Fully prepared’ -“Yesterday’s shelling in Al-Jiraf (northern Sanaa) was absolutely terrifying: six strikes in a row,” 43-year-old father of three Malik told AFP.”My children were screaming and crying in my arms. It’s the first time I’ve ever said the Shahada,” he added, referring to the prayer that is recited before death.The Huthis’ political bureau said its “forces are fully prepared to confront escalation with escalation”.The rebels, who have controlled much of Yemen for more than a decade, are part of the “axis of resistance” of pro-Iran groups staunchly opposed to Israel and the United States.They have launched scores of drone and missile attacks on ships in the Red Sea and Gulf of Aden.Pentagon spokesman Sean Parnell said the Huthis had “attacked US warships 174 times and commercial vessels 145 times since 2023”.The campaign put a major strain on the vital route, which normally carries about 12 percent of world shipping traffic, forcing many companies to take a costly detour around southern Africa.The Palestinian group Hamas, which has praised the Huthi support, lashed out at the US strikes, branding them “a stark violation of international law and an assault on the country’s sovereignty and stability”.Iran “strongly condemned the brutal air strikes” in a statement, denouncing them as a “gross violation of the principles of the UN Charter”.The head of the country’s Revolutionary Guards, Hossein Salami, said: “Iran will not wage war, but if anyone threatens, it will give appropriate, decisive and conclusive responses.”- ‘Political dialogue’ – The United States has launched several rounds of strikes on Huthi targets.After halting their attacks when a ceasefire took effect in Gaza in January, the Huthis announced on Tuesday that they would resume them until Israel lifted its blockade of aid to the devastated Palestinian territory.Trump’s statement did not reference the dispute over Israel, but focused on previous Huthi attacks on merchant shipping.Earlier this month, the Trump administration reclassified the Huthis as a “foreign terrorist organisation”, banning any US interaction with it.US Secretary of State Marco Rubio also spoke to his Russian counterpart Sergei Lavrov. Moscow is close to Tehran.”Continued Huthi attacks on US military and commercial shipping vessels in the Red Sea will not be tolerated,” Rubio told Lavrov, according to the State Department.Russia’s foreign ministry said that “Lavrov stressed the need for an immediate cessation of the use of force and the importance for all sides to engage in political dialogue… (to) prevent further bloodshed”.The Huthis captured Sanaa in 2014 and were poised to overrun most of the rest of the country before a Saudi-led coalition intervened.The war devastated the already impoverished nation. Fighting has largely been on hold since a 2022 ceasefire, but the promised peace process has stalled in the face of Huthi attacks on Israel and Israel-linked shipping.burs-smw/

Plus de 800 kg de cocaïne saisis par les douanes dans un poids lourd sur l’A7

Plus de 800 kg de cocaïne dissimulés dans un poids lourd ont été saisis samedi dans la Drôme sur l’autoroute A7 par les douanes, a-t-on appris dimanche de source proche du dossier, confirmant une information du Dauphiné libéré.La drogue – 826 kg – a été découverte par les douaniers dans le chargement d’un poids lourd lors d’un contrôle sur une aire de repos de l’A7 en direction de Lyon, a-t-on ajouté. Le chauffeur, de nationalité polonaise, a été interpellé, indique le journal.La valeur estimée de ce chargement est de 24 millions d’euros si l’on se base sur un prix moyen de vente en gros de 30.000 euros le kilo. Au détail, la cocaïne se vend 58 euros le gramme, en moyenne.Les investigations ont été confiées aux enquêteurs de l’office antistupéfiants (Ofast) sous l’égide de la juridiction interrégionale spécialisée (Jirs) de Lyon.Un total de 53,5 tonnes de cocaïne ont été saisies par les autorités françaises en 2024, soit une augmentation de 130% par rapport à l’année précédente.