India a voice for Global South at G7, says foreign minister

India, whose leader has been invited to the G7 starting on Sunday, is eager to represent the Global South on the world stage, acting as a “bridge” between different countries, Foreign Minister Subrahmanyam Jaishankar said.India is not a member of the G7 — which comprises Britain, Canada, France, Germany, Italy, Japan and the United States — but the world’s most populous nation and one of its biggest economies has been invited to summits since 2019.”We have been an outreach country in the G7 for many years, and I think it brings benefits to the G7,” he told AFP in Paris.”There are very strong feelings in the Global South about the inequities of the international order, the desire to change it, and we are very much part of that,” he added.”It is important for us to organise ourselves and make our presence felt.”The leaders of the G7 kick off a yearly summit in the Canadian Rockies on Sunday.They have invited Indian Prime Minister Narendra Modi, along with the leaders of Ukraine, Mexico, South Africa and South Korea, to attend at a time of global turmoil and a radical new US approach to world affairs.The member nations are also expected to deliberate on troubled relations with China and Russia.India is a leading member of BRICS — a bloc of leading emerging economies that includes Russia and China, whose leaders are set to meet in early July.BRICS has growing economic clout and is increasingly seen as a G7 rival.Jaishankar said India had “the ability to work with different countries in a way without making any relationship exclusive”.”To the extent that that serves as a bridge, it’s frankly a help that we do to international diplomacy at a time when, mostly what you see are difficult relationships and excessive tensions,” he added.- No need for ‘more tension’ -The foreign minister said his country had been in favour of direct talks between Russia and Ukraine to end the conflict since 2022.But Jaishankar — whose nation is a political ally of Russia and trades with Moscow — said sanctions such as those against President Vladimir Putin’s government did not work.”Where sanctions are concerned, you could argue that it has not actually had much impact on policy behaviour,” he said.Europeans are in favour of a plan for a “secondary” sanctions plan, including a 500-percent tariff on countries that buy Russian oil, gas and raw materials.”The world does not need more tension, more conflict, more hostility, more stresses,” the former Indian ambassador in Washington said.US President Donald Trump is expected at the G7 summit in Kananaskis, Alberta.Modi is expected to meet him to push a trade deal with the United States — India’s largest trading partner — before the July 9 deadline when Washington’s punishing 26 percent tariffs are set to resume.Jaishankar said Trump “clearly, in many ways, represents a discontinuity”.”He is definitely a very nationalistic person who puts his country’s interests very strongly ahead,” he added.- ‘Stable relationship’ with China -As for China, it was a balancing act, said the minister.India and China, the world’s two most populous nations, are intense rivals competing for strategic influence across South Asia, and their 3,500-kilometre (2,200-mile) shared frontier has been a perennial source of tension.Their troops clashed in 2020, killing at least 20 Indian and four Chinese soldiers, and forces from both sides today face off across contested high-altitude borderlands.Despite both country’s differences, “we are also today the major rising powers in the world”, Jaishankar said.”Where we (India) have to be strong and firm, we will be strong and firm. Where we have to forge a stable relationship, we are prepared to do that,” he added.China has also been a staunch partner of India’s arch-enemy Pakistan.Pakistan used Chinese jets against India when the nuclear-armed foes fought an intense four-day conflict last month in which 70 people were killed, their worst standoff since 1999.The fighting was triggered by an April 22 attack on civilians in Indian-administered Kashmir that New Delhi accused Pakistan of backing — a charge Islamabad denies.The territory is claimed in full by both India and Pakistan, which have fought several wars over Kashmir since their 1947 independence from British rule.But Jaishankar dismissed fears at the time of a nuclear escalation.These were “only the concerns of people who were completely uninformed,” he said.

Israël multiplie les frappes, de l’ouest à l’est de l’Iran

Israël a multiplié dimanche les frappes à travers l’Iran, visant la capitale Téhéran, la ville de Machhad à l’extrémité nord-est du pays ainsi que des installations de missiles dans l’ouest, au troisième jour de son offensive aérienne.Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a menacé de faire payer à l’Iran “un prix très lourd” après la mort de civils provoquée par les salves de missiles balistiques iraniens tirées en représailles depuis vendredi sur Israël, qui ont touché des zones habitées et détruit des immeubles.En Iran, une frappe israélienne a visé dimanche un immeuble d’habitation dans le centre de Téhéran, faisant au moins cinq morts selon la télévision.  Un journaliste de l’AFP sur les lieux a fait état de “deux explosions” à quelques minutes d’intervalle, à proximité du ministère iranien des Communications. Un épais nuage noir de fumée s’est élevé dans le ciel tandis que des badauds “figés par la stupeur, demeuraient sans voix”, selon son témoignage.Pour protéger la population, le gouvernement iranien a décidé que les mosquées, les stations de métro et les écoles allaient servir d’abris dès dimanche soir.En Israël, les sirènes ont retenti dans l’après-midi puis dans la soirée et la population a été appelée à descendre dans les abris, à l’approche de nouvelles attaques de missiles iraniens. A Jérusalem, des journalistes de l’AFP ont vu passer dimanche soir au moins une dizaine de missiles dans le ciel noir, avant d’entendre au loin de violentes explosions. Plusieurs zones ont été touchées, selon l’armée, tandis que les pompiers ont fait état d’un immeuble d’habitation frappé sur la côte méditerranéenne.Ces attaques ont fait dix morts et plus de 200 blessés dans le pays depuis samedi soir, selon les secours et la police, 13 morts au total et 380 blessés depuis vendredi.En Iran, au moins 128 personnes, dont des femmes et des enfants, ont été tuées et environ 900 blessées vendredi et samedi dans les frappes israéliennes, selon un média local.Israël a lancé vendredi cette attaque d’une ampleur sans précédent avec l’objectif affiché d’empêcher l’Iran de se doter de l’arme nucléaire.Après des décennies de guerre par procuration et d’opérations ponctuelles, c’est la première fois que les deux pays ennemis s’affrontent militairement avec une telle intensité.- A 2.300 kilomètres d’Israël -Dimanche, l’armée israélienne a annoncé avoir frappé l’aéroport de Machhad, la troisième ville d’Iran, située dans le nord-est du pays à environ 2.300 kilomètres d’Israël.  Il s’agit, selon l’armée, de la frappe la plus lointaine en territoire iranien menée depuis vendredi.Des médias iraniens ont signalé notamment des détonations près de l’aéroport. L’armée israélienne a également annoncé avoir commencé à frapper “des dizaines” d’installations de missiles sol-sol dans l’ouest de l’Iran.M. Netanyahu a par ailleurs déclaré sur la chaîne américaine Fox News qu’Israël avait “détruit la principale installation” du site d’enrichissement d’uranium de Natanz, dans le centre de l’Iran.Il a également indiqué que le chef du renseignement iranien et son adjoint avaient été tués dimanche dans une frappe à Téhéran, après la mort vendredi des deux plus hauts gradés du pays et de neuf scientifiques du programme nucléaire.Des dizaines de cibles ont été visées dans la capitale, notamment des sites liés au nucléaire et deux dépôts de carburant.La majorité des commerces étaient fermés dimanche tandis que de longues files de voitures se dirigeaient vers les sorties de Téhéran.”Nous n’avons pas pu dormir depuis vendredi à cause du bruit terrible des explosions. Aujourd’hui, ils ont frappé une maison dans notre ruelle et nous avons eu très peur. Nous avons donc décidé de quitter Téhéran”, a raconté Farzaneh, une femme au foyer de 56 ans qui prenait le chemin du nord de l’Iran.Shokouh Razzazi, une femme de 31 ans, a au contraire décidé de rester. “J’ai confiance en mon pays et je ne crois pas qu’il arrivera quelque chose de mauvais”, assure-t-elle.- “Plus rien” -A plus de 1.500 kilomètres de là, des salves de missiles iraniens ont provoqué des destructions la nuit précédente à Bat Yam, au sud de Tel-Aviv, et à Tamra, dans le nord.”Il ne reste plus rien, plus de maison, c’est fini!”, a confié Evguenia Doudka, une habitante de Bat Yam. “L’alerte a retenti et nous sommes allés dans l’abri. Soudain, tout l’abri s’est rempli de poussière, et c’est là que nous avons réalisé qu’une catastrophe venait de se produire”.”L’Iran paiera un prix très lourd pour le meurtre prémédité de civils, femmes et enfants”, a déclaré M. Netanyahu en visite à Bat Yam.Une grande partie des missiles et des drones iraniens a été interceptée, selon l’armée israélienne. Les Etats-Unis ont aidé Israël à les abattre, avait indiqué vendredi un responsable américain.Le président américain Donald Trump, allié d’Israël, a appelé dimanche les deux pays à “trouver un accord”. Il a ajouté qu’il est “possible” que les Etats-Unis s’impliquent dans le conflit mais qu’ils ne sont “à cet instant pas impliqués”.Affirmant que l’Iran s’approchait du “point de non-retour” vers la bombe atomique, Israël a lancé vendredi une campagne aérienne massive contre la République islamique en ciblant des centaines de sites militaires et nucléaires.L’Iran est soupçonné par les Occidentaux et par Israël de vouloir se doter de l’arme atomique. Téhéran dément et défend son droit à développer un programme nucléaire civil.”Si l’agression cesse, notre riposte cessera”, a déclaré le chef de la diplomatie iranienne, Abbas Araghchi. Il a accusé Israël de chercher à “faire dérailler” les négociations indirectes sur le nucléaire qui ont commencé en avril entre son pays et les Etats-Unis.

Israël multiplie les frappes, de l’ouest à l’est de l’Iran

Israël a multiplié dimanche les frappes à travers l’Iran, visant la capitale Téhéran, la ville de Machhad à l’extrémité nord-est du pays ainsi que des installations de missiles dans l’ouest, au troisième jour de son offensive aérienne.Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a menacé de faire payer à l’Iran “un prix très lourd” après la mort de civils provoquée par les salves de missiles balistiques iraniens tirées en représailles depuis vendredi sur Israël, qui ont touché des zones habitées et détruit des immeubles.En Iran, une frappe israélienne a visé dimanche un immeuble d’habitation dans le centre de Téhéran, faisant au moins cinq morts selon la télévision.  Un journaliste de l’AFP sur les lieux a fait état de “deux explosions” à quelques minutes d’intervalle, à proximité du ministère iranien des Communications. Un épais nuage noir de fumée s’est élevé dans le ciel tandis que des badauds “figés par la stupeur, demeuraient sans voix”, selon son témoignage.Pour protéger la population, le gouvernement iranien a décidé que les mosquées, les stations de métro et les écoles allaient servir d’abris dès dimanche soir.En Israël, les sirènes ont retenti dans l’après-midi puis dans la soirée et la population a été appelée à descendre dans les abris, à l’approche de nouvelles attaques de missiles iraniens. A Jérusalem, des journalistes de l’AFP ont vu passer dimanche soir au moins une dizaine de missiles dans le ciel noir, avant d’entendre au loin de violentes explosions. Plusieurs zones ont été touchées, selon l’armée, tandis que les pompiers ont fait état d’un immeuble d’habitation frappé sur la côte méditerranéenne.Ces attaques ont fait dix morts et plus de 200 blessés dans le pays depuis samedi soir, selon les secours et la police, 13 morts au total et 380 blessés depuis vendredi.En Iran, au moins 128 personnes, dont des femmes et des enfants, ont été tuées et environ 900 blessées vendredi et samedi dans les frappes israéliennes, selon un média local.Israël a lancé vendredi cette attaque d’une ampleur sans précédent avec l’objectif affiché d’empêcher l’Iran de se doter de l’arme nucléaire.Après des décennies de guerre par procuration et d’opérations ponctuelles, c’est la première fois que les deux pays ennemis s’affrontent militairement avec une telle intensité.- A 2.300 kilomètres d’Israël -Dimanche, l’armée israélienne a annoncé avoir frappé l’aéroport de Machhad, la troisième ville d’Iran, située dans le nord-est du pays à environ 2.300 kilomètres d’Israël.  Il s’agit, selon l’armée, de la frappe la plus lointaine en territoire iranien menée depuis vendredi.Des médias iraniens ont signalé notamment des détonations près de l’aéroport. L’armée israélienne a également annoncé avoir commencé à frapper “des dizaines” d’installations de missiles sol-sol dans l’ouest de l’Iran.M. Netanyahu a par ailleurs déclaré sur la chaîne américaine Fox News qu’Israël avait “détruit la principale installation” du site d’enrichissement d’uranium de Natanz, dans le centre de l’Iran.Il a également indiqué que le chef du renseignement iranien et son adjoint avaient été tués dimanche dans une frappe à Téhéran, après la mort vendredi des deux plus hauts gradés du pays et de neuf scientifiques du programme nucléaire.Des dizaines de cibles ont été visées dans la capitale, notamment des sites liés au nucléaire et deux dépôts de carburant.La majorité des commerces étaient fermés dimanche tandis que de longues files de voitures se dirigeaient vers les sorties de Téhéran.”Nous n’avons pas pu dormir depuis vendredi à cause du bruit terrible des explosions. Aujourd’hui, ils ont frappé une maison dans notre ruelle et nous avons eu très peur. Nous avons donc décidé de quitter Téhéran”, a raconté Farzaneh, une femme au foyer de 56 ans qui prenait le chemin du nord de l’Iran.Shokouh Razzazi, une femme de 31 ans, a au contraire décidé de rester. “J’ai confiance en mon pays et je ne crois pas qu’il arrivera quelque chose de mauvais”, assure-t-elle.- “Plus rien” -A plus de 1.500 kilomètres de là, des salves de missiles iraniens ont provoqué des destructions la nuit précédente à Bat Yam, au sud de Tel-Aviv, et à Tamra, dans le nord.”Il ne reste plus rien, plus de maison, c’est fini!”, a confié Evguenia Doudka, une habitante de Bat Yam. “L’alerte a retenti et nous sommes allés dans l’abri. Soudain, tout l’abri s’est rempli de poussière, et c’est là que nous avons réalisé qu’une catastrophe venait de se produire”.”L’Iran paiera un prix très lourd pour le meurtre prémédité de civils, femmes et enfants”, a déclaré M. Netanyahu en visite à Bat Yam.Une grande partie des missiles et des drones iraniens a été interceptée, selon l’armée israélienne. Les Etats-Unis ont aidé Israël à les abattre, avait indiqué vendredi un responsable américain.Le président américain Donald Trump, allié d’Israël, a appelé dimanche les deux pays à “trouver un accord”. Il a ajouté qu’il est “possible” que les Etats-Unis s’impliquent dans le conflit mais qu’ils ne sont “à cet instant pas impliqués”.Affirmant que l’Iran s’approchait du “point de non-retour” vers la bombe atomique, Israël a lancé vendredi une campagne aérienne massive contre la République islamique en ciblant des centaines de sites militaires et nucléaires.L’Iran est soupçonné par les Occidentaux et par Israël de vouloir se doter de l’arme atomique. Téhéran dément et défend son droit à développer un programme nucléaire civil.”Si l’agression cesse, notre riposte cessera”, a déclaré le chef de la diplomatie iranienne, Abbas Araghchi. Il a accusé Israël de chercher à “faire dérailler” les négociations indirectes sur le nucléaire qui ont commencé en avril entre son pays et les Etats-Unis.

Le directeur général de Renault, Luca de Meo, va quitter l’entreprise (groupe)

Le directeur général du constructeur automobile français Renault, Luca de Meo, va quitter le groupe “afin de relever de nouveaux défis en dehors du secteur automobile”, a indiqué dimanche l’entreprise, confirmant une information du journal Le Figaro. “Après 5 années à la tête de Renault Group, Luca de Meo a fait part de sa décision de quitter ses fonctions”, indique le groupe dans un communiqué, précisant que son départ sera “effectif le 15 juillet”. D’après les informations du Figaro, le dirigeant de 58 ans va prendre la direction générale du groupe de luxe Kering, dont l’actionnaire majoritaire, François-Henri Pinault, a décidé de remanier la direction et ne conserver que la présidence.Interrogé par l’AFP, le groupe de luxe a indiqué ne pas commenter cette information. “Pendant 5 ans, Luca de Meo a oeuvré pour remettre Renault Group, là où est sa place. Sous son leadership, notre entreprise a retrouvé une base saine, elle dispose aujourd’hui d’une magnifique gamme de produits et a renoué avec la croissance”, a affirmé Jean-Dominique Senard, le président du conseil d’administration de Renault, cité dans le communiqué du groupe.Luca de Meo a démarré sa carrière chez Renault. Il est ensuite passé à la direction de Fiat, où il a relancé avec succès la petite 500, avant de redynamiser Seat pour le groupe Volkswagen. Excellent communicant, pro du marketing, cet Italien francophone  est arrivé à la direction générale d’une entreprise traumatisée par plus d’un an de crise, dans le sillage de l’affaire Carlos Ghosn, entre ventes en chute et cadres dépités qui claquaient la porte.Il a accéléré l’électrification de Renault et sa montée en gamme pour tenter de sortir le constructeur de l’ornière.

Le directeur général de Renault, Luca de Meo, va quitter l’entreprise (groupe)

Le directeur général du constructeur automobile français Renault, Luca de Meo, va quitter le groupe “afin de relever de nouveaux défis en dehors du secteur automobile”, a indiqué dimanche l’entreprise, confirmant une information du journal Le Figaro. “Après 5 années à la tête de Renault Group, Luca de Meo a fait part de sa décision de quitter ses fonctions”, indique le groupe dans un communiqué, précisant que son départ sera “effectif le 15 juillet”. D’après les informations du Figaro, le dirigeant de 58 ans va prendre la direction générale du groupe de luxe Kering, dont l’actionnaire majoritaire, François-Henri Pinault, a décidé de remanier la direction et ne conserver que la présidence.Interrogé par l’AFP, le groupe de luxe a indiqué ne pas commenter cette information. “Pendant 5 ans, Luca de Meo a oeuvré pour remettre Renault Group, là où est sa place. Sous son leadership, notre entreprise a retrouvé une base saine, elle dispose aujourd’hui d’une magnifique gamme de produits et a renoué avec la croissance”, a affirmé Jean-Dominique Senard, le président du conseil d’administration de Renault, cité dans le communiqué du groupe.Luca de Meo a démarré sa carrière chez Renault. Il est ensuite passé à la direction de Fiat, où il a relancé avec succès la petite 500, avant de redynamiser Seat pour le groupe Volkswagen. Excellent communicant, pro du marketing, cet Italien francophone  est arrivé à la direction générale d’une entreprise traumatisée par plus d’un an de crise, dans le sillage de l’affaire Carlos Ghosn, entre ventes en chute et cadres dépités qui claquaient la porte.Il a accéléré l’électrification de Renault et sa montée en gamme pour tenter de sortir le constructeur de l’ornière.

Families hold funerals for Air India crash victims

Mourners covered white coffins with flowers in India on Sunday as funerals were held for some of the at least 279 people killed in one of the world’s worst plane crashes in decades.Health officials have begun handing over the first passenger bodies identified through DNA testing, delivering them to grieving relatives in the western city of Ahmedabad, but the wait went on for most families.”They said it would take 48 hours. But it’s been four days and we haven’t received any response,” said Rinal Christian, 23, whose elder brother was a passenger on the jetliner. There was one survivor out of 242 passengers and crew on board the London-bound Air India jet when it crashed Thursday into a residential area of Ahmedabad, killing at least 38 people on the ground as well.”My brother was the sole breadwinner of the family,” Christian told AFP. “So what happens next?” At a crematorium in the city, around 20 to 30 mourners chanted prayers in a funeral ceremony for Megha Mehta, a passenger who had been working in London. As of Sunday evening, 47 crash victims have been identified, according to Rajnish Patel, a doctor at Ahmedabad’s civil hospital. “This is a meticulous and slow process, so it has to be done meticulously only,” Patel said.One victim’s relative who did not want to be named told AFP they had been instructed not to open the coffin when they receive it.Witnesses reported seeing badly burnt bodies and scattered remains.Workers went on clearing debris from the site on Sunday, while police inspected the area.The Boeing 787-8 Dreamliner erupted into a fireball when it went down moments after takeoff, smashing into buildings used by medical staff.The majority of those injured on the ground have been discharged, Patel said, with one or two remaining in critical care.- ‘We need to know’ -Indian authorities have yet to identify the cause of the disaster and have ordered inspections of Air India’s Dreamliners.Authorities announced Sunday that the second black box, the cockpit voice recorder, had been recovered. This may offer investigators more clues about what went wrong.Aviation Minister Ram Mohan Naidu Kinjarapu said Saturday he hoped decoding the first black box, the flight data recorder, would “give an in-depth insight” into the circumstances of the crash.Imtiyaz Ali, who was still waiting for a DNA match to find his brother, said the airline should have supported families faster.”I’m disappointed in them. It is their duty,” said Ali, who was contacted by the airline on Saturday. “Next step is to find out the reason for this accident. We need to know,” he told AFP.One person escaped alive from the wreckage, British citizen Vishwash Kumar Ramesh, whose brother was also on the flight.Air India said there were 169 Indian passengers, 53 British, seven Portuguese and a Canadian on board the flight, as well as 12 crew members.Among the passengers was a father of two young girls, Arjun Patoliya, who had travelled to India to scatter his wife’s ashes following her death weeks earlier.”I really hope that those girls will be looked after by all of us,” said Anjana Patel, the mayor of London’s Harrow borough where some of the victims lived.”We don’t have any words to describe how the families and friends must be feeling,” she added.While communities were in mourning, one woman recounted how she survived by arriving late at the airport.”The airline staff had already closed the check-in,” said 28-year-old Bhoomi Chauhan.”At that moment, I kept thinking that if only we had left a little earlier, we wouldn’t have missed our flight,” she told the Press Trust of India news agency.