Second officer arrested over Kenya custody deathFri, 13 Jun 2025 18:07:18 GMT

A second officer has been arrested in connection with the death of a teacher in custody in the Kenyan capital Nairobi, the police watchdog said Friday, a case that has sparked nationwide outrage.Albert Ojwang, 31, died in custody last weekend after being arrested for criticising a senior officer online.Police initially said Ojwang had fatally injured …

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Joy and grief for lone India crash survivor’s family

The UK-based family of the lone survivor of the Air India crash were torn on Friday between joy at his miracle escape and grief at the loss of his brother.”We are happy Vishwash has been saved, but on the other hand we are just heartbroken about Ajay,” his cousin told AFP outside the family home in central Leicester.Vishwash Kumar Ramesh, 40, is believed to be the only person to have survived the crash when Air India Flight 171 plummeted from the sky shortly after taking off from the northern Indian city of Ahmedabad.His brother, Ajay Kumar Ramesh, was on the same flight, but is believed to have perished in the disaster. There were 242 passengers and crew on the plane, including 53 British citizens.At least 24 people were killed on the ground, officials said, after the aeroplane landed on a canteen building where students were having lunch.Since Thursday’s tragedy, the small Leicester street where Ramesh’s parents and younger brother lived has been flooded with visitors.Ramesh lives not far away with his wife and son, his cousin Hiren Kantilal, 19, told AFP.Ajay also lived in the town, one of the oldest in England, and the two brothers ran a confectionary business together.”They are wonderful people, and heartful people. They are greatest men I have ever seen in my life, both of them,” said Kantilal.The brothers were returning to the UK after spending a few weeks on holiday in India, and the family had been waiting to go and pick them up at Gatwick airport.- ‘I am totally fine’ -Shortly after the crash, they were shocked when Ramesh, who had reportedly been in seat 11A, called his father to say he was alive. Ajay was seated at the other end of the row.”Our plane has been crashed,” Ramesh told his dad, according to his cousin.”He was bleeding all over him, in the face and everything, and he said: ‘I am just waiting for my brother and I don’t know how I get out of the plane’.”He said: ‘do not worry about me, try to find about Ajay Kumar’ and he said: ‘I am totally fine’.”Kantilal said his cousin had waited for about 10 to 15 minutes seeking his brother, and then was whisked away to hospital by the rescue services.Images which went viral on social media apparently showed Ramesh walking away from the wreckage of the 787-8 Boeing Dreamliner, and have been splashed across the front pages of British media along with a photo of him in his hospital bed.Indian Prime Minister Narendra Modi paid a visit to Ramesh on Friday at the hospital where he is being treated for burns and other injuries, footage on his YouTube channel showed.”Everything happened in front of me, and even I couldn’t believe how I managed to come out alive from that,” Ramesh said from his hospital bed, speaking in Hindi to national broadcaster DD News.His parents had also been desperately trying to contact his brother Ajay on Thursday. “The call was going through, but no-one was answering the call,” Kantilal said.At the family home, relatives were frantically scanning their phones to try to buy a flight to Ahmedabad later on Friday afternoon.Downing Street said that the foreign ministry had been in touch with Ramesh to offer him consular assistance.

Médias: Sophie Gourmelen prend la tête du groupe Ebra

Jusqu’ici directrice générale du Parisien – Aujourd’hui en France, Sophie Gourmelen a été nommée présidente du groupe de presse régionale Ebra à partir de septembre 2025, a annoncé vendredi Crédit Mutuel Alliance Fédérale, son actionnaire unique, six mois après la démission de Philippe Carli.L’ancien président du groupe de presse Est-Bourgogne-Rhône-Alpes (Ebra), Philippe Carli, mis en cause pour avoir “aimé” sur le réseau social LinkedIn des publications de personnalités d’extrême droite, avait annoncé quitter ses fonctions en janvier.Sophie Gourmelen, décrite dans le communiqué comme “professionnelle reconnue des médias” et du numérique, aura pour “mission principale de poursuivre les travaux déjà engagés pour un retour à la rentabilité” du groupe qui compte neuf quotidiens régionaux où travaillent plus de 1.400 journalistes.Elle devra “notamment renforcer la stratégie de transformation numérique en cours, tant sur le plan éditorial que marketing, ainsi que poursuivre la diversification des activités du groupe”, est-il encore indiqué.Sophie Gourmelen sera aussi chargée de “poursuivre les efforts entrepris ces dernières années pour rétablir l’équilibre financier” du groupe, tout en travaillant à “répondre aux nouvelles attentes du public et à rajeunir le lectorat” et à “diversifier son modèle économique”.Ebra édite Le Dauphiné libéré, Le Bien public, Le Journal de Saône-et-Loire, Le Progrès, L’Est républicain, Le Républicain lorrain, Vosges Matin, L’Alsace et Les Dernières nouvelles d’Alsace, des titres qui couvrent au total 23 départements dans l’est de la France.”C’est avec une grande fierté que je rejoins la présidence du Groupe Ebra”, a commenté la nouvelle dirigeante, citée dans le communiqué et disant mesurer “pleinement l’importance de notre mission: garantir une information fiable et ancrée dans la vie des territoires”. Diplômée de l’école de commerce Excelia, Mme Gourmelen a entamé sa carrière chez International Master Publishers en 1990, avant de rejoindre en 2006 Prisma Presse. Elle rejoint en 2008 le Groupe Les Echos où elle devient directrice déléguée marketing digitale et intègre le comité exécutif. Elle était directrice générale et directrice de publication du Parisien – Aujourd’hui en France depuis 2016.Jusqu’à sa démission, Philippe Carli dirigeait le groupe depuis 2017. Il avait été épinglé, mi-janvier, par Mediapart pour avoir “aimé” des messages émanant de personnalités d’extrême droite comme la députée européenne (Reconquête!) Sarah Knafo.L’intérim à la présidence avait été confié à Éric Petitgand, directeur général de Crédit Mutuel Alliance Fédérale.

Neuf ans après sa sortie, Pokémon Go attire les foules à Paris

“C’est la première fois que cet évènement a lieu en France, on ne pouvait pas louper ça!” A l’occasion du Pokémon Go Fest, des milliers de fans du jeu mobile devenu phénomène mondial dès sa sortie à l’été 2016 se réunissent de vendredi à dimanche dans un parc au sud de Paris.Ce jeu en réalité augmentée, qui consiste à attraper grâce à son smartphone des créatures virtuelles cachées dans le monde réel, a été téléchargé plus d’un milliard de fois. Selon le cabinet spécialisé Sensor Tower, les joueurs ont même dépensé plus de 6 milliards de dollars dans l’application sur les six premières années qui ont suivi sa commercialisation.Même si Pokémon Go ne connaît plus le même succès qu’à ses débuts, il rassemblait toujours près de 30 millions de joueurs mensuels en 2024, d’après des chiffres du studio propriétaire du jeu, Scopely. Dans les allées du Parc de Sceaux, métamorphosées pour la première édition française du Pokémon Go Fest (après le Japon, les États-Unis, Berlin, Londres ou Madrid), les chasseurs de Pokémon déambulent entre les arènes aux couleurs des différentes équipes, les chapiteaux accueillant des mascottes à l’effigie de leurs spécimens favoris et l’immense statue de Pikachu, star du jeu, qui trône devant l’entrée du château.Pendant trois jours, les 60.000 fans de la franchise japonaise participant à l’événement peuvent tenter d’attraper pour la première fois le nouveau Pokémon “Volcanion” et profitent surtout d’un “moment en communauté” avec des joueurs venus du monde entier. “Le Pokémon Go Fest est surtout là pour encourager les communautés à se retrouver, parce que nous sommes un jeu mobile mais nous voulons nous assurer que les gens se rencontrent dans la vraie vie, c’est un peu la mission première de ce jeu”, explique à l’AFP Moïse Kabongo, marketing manager de Pokémon Go France.- “Jeu éternel” -Et le pari semble réussi: “on vient surtout pour voir des gens qu’on voit sur YouTube, pour retrouver des copains, pour rencontrer des gens qu’on ne connaît que sur les messageries”, raconte Marc Decausse, un sexagénaire venu de Toulouse pour le festival.  Le retraité converti par son petit-fils a participé à un “safari Pokémon” à Barcelone en 2023. Pour lui, l’aspect social compte avant tout: “c’est un des rares jeux mobiles où il faut autant jouer avec les autres”, en échangeant des cadeaux, des Pokémon ou en participant ensemble à des combats, résume-t-il.Jack, Néo-Zélandais de 25 ans, porte lui une pancarte en carton proposant d’échanger avec les autres participants des “Pokémon régionaux” de son continent (certaines créatures étant uniquement disponibles dans des régions spécifiques).”Le jeu se renouvelle sans cesse, il propose de nouvelles choses chaque saison, c’est pour ça que je ne me lasse pas”, explique celui qui est dresseur sur Pokémon Go depuis près de neuf ans.”Nous essayons de faire évoluer constamment le jeu en ajoutant toujours plus de nouvelles fonctionnalités, parce que nous concevons Pokémon Go comme ce qu’on appelle un +jeu éternel+”, abonde avec fierté le directeur produit Michael Steranka, qui assure que le rachat en mars de la société éditrice Niantic par le géant du divertissement sur mobile Scopely n’a “rien changé”.”Pokémon Trading Card Game Pocket”, jeu en ligne sorti l’année dernière, est le dernier grand succès de la licence. Entre fin octobre et fin décembre 2024, il a généré près de 180 millions de dollars (171 millions d’euros) de recettes.   

Dans la Sarthe, quatre morts dans un accident de car transportant des adolescents ukrainiens

Quatre personnes sont mortes et neuf autres ont été grièvement blessées vendredi dans un accident impliquant un autocar qui transportait des adultes et adolescents ukrainiens sur l’autoroute A81 près du Mans dans la Sarthe.Vers midi, un “bus (qui) transportait des adolescents et des adultes de nationalité ukrainienne dans le cadre d’un échange scolaire” a eu un accident sur l’autoroute A81, a indiqué la ministre chargée du Travail, Astrid Panosyan-Bouvet, en déplacement dans la Sarthe.Le bilan fait état de quatre décès, neuf en urgence absolue et 18 blessés légers, a-t-elle affirmé lors d’une conférence de presse à Degré, une commune située non loin des lieux de l’accident.”Les quatre personnes décédées sont majeures”, a précisé le préfet de la Sarthe, Emmanuel Aubry, soulignant que l’autocar est “le seul véhicule impliqué” dans cet accident qui s’est déroulé sur l’autoroute A81, au kilomètre 179, dans le sens Rennes-Le Mans.Une “enquête (en) déterminera les causes”, a-t-il ajouté. Un premier bilan mentionnait 11 personnes en urgence absolue.L’accident a été “très très soudain”, a affirmé aux journalistes sur place l’ambassadeur d’Ukraine en France, Vadym Omelchenko, qui a pu discuter avec des victimes.Les passagers sont principalement des adolescents âgés de 15 à 17 ans qui avaient rencontré des élèves du lycée agricole La Touche de Ploërmel (Morbihan), a indiqué à l’AFP l’ambassade de l’Ukraine en France.L’autocar avait quitté en matinée Ploërmel pour rentrer à Kitsman, dans l’ouest de l’Ukraine, d’où étaient originaires ces adolescents, a-t-elle précisé.”Nous sommes en contact avec les familles des victimes. Des enfants ont réussi à joindre leurs parents”, a-t-elle ajouté.Les adolescents ukrainiens étaient en “séjour” dans la région de Ploërmel (Morbihan) et avaient passé deux nuits dans le lycée agricole La Touche, a indiqué à l’AFP le chef de cet établissement.En visite à Saint-Rémy-de-Provence (Bouches-du-Rhône), le Premier ministre François Bayrou a dit “avoir une pensée pour les victimes du terrible accident de bus qui s’est produit dans la Sarthe”.”Nous allons faire ce qu’il faut pour élucider les circonstances de cet accident”, a-t-il ajouté.Sur le compte Instagram du lycée ukrainien où étaient scolarisés les victimes, des photos les montrent en train de découvrir l’île de Rhuys (Morbihan), Paris, mais aussi dans l’autocar, souriants et insouciants.- Plan blanc au Mans -Dirigé par M. Aubry, un Centre opérationnel départemental (COD) a été ouvert, avec comme point névralgique la salle polyvalente de Degré, a indiqué à l’AFP la mairie de cette commune de quelque 800 habitants.Selon le Service départemental d’incendie et de secours (SDIS) de la Sarthe, 103 sapeurs-pompiers et 58 engins de leur service sont intervenus auprès de l’autobus et ses passagers.Les corps des quatre personnes décédées ont été transportés à l’Institut médicolégal d’Angers, a affirmé à l’AFP une source au sein de la gendarmerie.”Dimanche, sur le circuit des 24H du Mans, une messe sera célébrée à leur intention, ainsi qu’à l’intention des victimes de la course de 1955″, pendant laquelle 82 personnes avaient été tuées lorsqu’une voiture avait heurté une tribune du public, a annoncé Mgr Vuillemin dans un communiqué.Les victimes ont été prises en charge dans quatre hôpitaux de la région, dont celui du Mans qui a déclenché un plan blanc. Au CHU d’Angers, “une cellule de crise hospitalière” a été ouverte “pour coordonner la prise en charge des accidentés” dès 13H00, selon un communiqué de cet établissement.Les personnes blessées “légèrement ou impliquées” dans l’accident sont prises en charge dans la salle communale de Degré.”Il y a de l’eau, des brioches, des fruits” pour les “29 personnes à l’intérieur” de cette salle, a déclaré la première adjointe au maire de Degré, Céline Bouteloup. “On pense aux familles, à l’annonce qui va être faite, à des ados qui ne vont pas revenir chez eux.”Vers 18H00, des adolescents sont sortis de cette salle pour être auditionnés par les enquêteurs par groupes de cinq à six, a précisé la source au sein de la gendarmerie.La circulation, interrompue dans les deux sens sur l’A81 au niveau de l’accident, a repris dans le sens Le Mans-Rennes, mais l’autoroute reste inaccessible dans le sens inverse, selon Bison Futé vers 19H00, qui avait enregistré une dizaine de kilomètres d’embouteillages l’après-midi.

Dans la Sarthe, quatre morts dans un accident de car transportant des adolescents ukrainiens

Quatre personnes sont mortes et neuf autres ont été grièvement blessées vendredi dans un accident impliquant un autocar qui transportait des adultes et adolescents ukrainiens sur l’autoroute A81 près du Mans dans la Sarthe.Vers midi, un “bus (qui) transportait des adolescents et des adultes de nationalité ukrainienne dans le cadre d’un échange scolaire” a eu un accident sur l’autoroute A81, a indiqué la ministre chargée du Travail, Astrid Panosyan-Bouvet, en déplacement dans la Sarthe.Le bilan fait état de quatre décès, neuf en urgence absolue et 18 blessés légers, a-t-elle affirmé lors d’une conférence de presse à Degré, une commune située non loin des lieux de l’accident.”Les quatre personnes décédées sont majeures”, a précisé le préfet de la Sarthe, Emmanuel Aubry, soulignant que l’autocar est “le seul véhicule impliqué” dans cet accident qui s’est déroulé sur l’autoroute A81, au kilomètre 179, dans le sens Rennes-Le Mans.Une “enquête (en) déterminera les causes”, a-t-il ajouté. Un premier bilan mentionnait 11 personnes en urgence absolue.L’accident a été “très très soudain”, a affirmé aux journalistes sur place l’ambassadeur d’Ukraine en France, Vadym Omelchenko, qui a pu discuter avec des victimes.Les passagers sont principalement des adolescents âgés de 15 à 17 ans qui avaient rencontré des élèves du lycée agricole La Touche de Ploërmel (Morbihan), a indiqué à l’AFP l’ambassade de l’Ukraine en France.L’autocar avait quitté en matinée Ploërmel pour rentrer à Kitsman, dans l’ouest de l’Ukraine, d’où étaient originaires ces adolescents, a-t-elle précisé.”Nous sommes en contact avec les familles des victimes. Des enfants ont réussi à joindre leurs parents”, a-t-elle ajouté.Les adolescents ukrainiens étaient en “séjour” dans la région de Ploërmel (Morbihan) et avaient passé deux nuits dans le lycée agricole La Touche, a indiqué à l’AFP le chef de cet établissement.En visite à Saint-Rémy-de-Provence (Bouches-du-Rhône), le Premier ministre François Bayrou a dit “avoir une pensée pour les victimes du terrible accident de bus qui s’est produit dans la Sarthe”.”Nous allons faire ce qu’il faut pour élucider les circonstances de cet accident”, a-t-il ajouté.Sur le compte Instagram du lycée ukrainien où étaient scolarisés les victimes, des photos les montrent en train de découvrir l’île de Rhuys (Morbihan), Paris, mais aussi dans l’autocar, souriants et insouciants.- Plan blanc au Mans -Dirigé par M. Aubry, un Centre opérationnel départemental (COD) a été ouvert, avec comme point névralgique la salle polyvalente de Degré, a indiqué à l’AFP la mairie de cette commune de quelque 800 habitants.Selon le Service départemental d’incendie et de secours (SDIS) de la Sarthe, 103 sapeurs-pompiers et 58 engins de leur service sont intervenus auprès de l’autobus et ses passagers.Les corps des quatre personnes décédées ont été transportés à l’Institut médicolégal d’Angers, a affirmé à l’AFP une source au sein de la gendarmerie.”Dimanche, sur le circuit des 24H du Mans, une messe sera célébrée à leur intention, ainsi qu’à l’intention des victimes de la course de 1955″, pendant laquelle 82 personnes avaient été tuées lorsqu’une voiture avait heurté une tribune du public, a annoncé Mgr Vuillemin dans un communiqué.Les victimes ont été prises en charge dans quatre hôpitaux de la région, dont celui du Mans qui a déclenché un plan blanc. Au CHU d’Angers, “une cellule de crise hospitalière” a été ouverte “pour coordonner la prise en charge des accidentés” dès 13H00, selon un communiqué de cet établissement.Les personnes blessées “légèrement ou impliquées” dans l’accident sont prises en charge dans la salle communale de Degré.”Il y a de l’eau, des brioches, des fruits” pour les “29 personnes à l’intérieur” de cette salle, a déclaré la première adjointe au maire de Degré, Céline Bouteloup. “On pense aux familles, à l’annonce qui va être faite, à des ados qui ne vont pas revenir chez eux.”Vers 18H00, des adolescents sont sortis de cette salle pour être auditionnés par les enquêteurs par groupes de cinq à six, a précisé la source au sein de la gendarmerie.La circulation, interrompue dans les deux sens sur l’A81 au niveau de l’accident, a repris dans le sens Le Mans-Rennes, mais l’autoroute reste inaccessible dans le sens inverse, selon Bison Futé vers 19H00, qui avait enregistré une dizaine de kilomètres d’embouteillages l’après-midi.

Marines ordered by Trump to LA start deploying

The first US Marines ordered by Donald Trump to Los Angeles will deploy Friday, the Pentagon said, raising the stakes in a standoff that pits the president against protesters claiming growing authoritarianism.The approximately 200 Marines are part of a group of 700 set to join 4,000 National Guard soldiers, while local police conduct a crackdown on unrest over Trump’s sweeps for undocumented migrants.The Marines — normally used as crack troops in foreign conflicts — will be equipped with riot gear to guard a federal building starting from 12:00 pm (1900 GMT), Major General Scott Sherman told reporters.An intense legal battle is underway over Trump’s authority to deploy troops on US soil, as the country braces for widespread protests Saturday, when the Republican will be overseeing a rare large-scale military parade in Washington.The parade celebrates the 250th anniversary of the US Army but also coincides with Trump’s 79th birthday and will be the first time tanks and other heavy weaponry has rolled through the capital city in three decades.A “No Kings” movement has sprung up promising to stage protests in more than 2,000 places across the country in response.Trump dispatched about the California National Guard to Los Angeles last weekend following mostly peaceful, but occasionally violent protests against a surge in immigration raids in the second-largest US city.In a show of political force, Trump overrode the objections of Democratic Governor Gavin Newsom who usually would control the Guard. The president repeatedly exaggerated the scale of violence, claiming that without troops, Los Angeles would be “burning to the ground right now.”Late Thursday, District Judge Charles Breyer ruled that Trump’s actions were “illegal” and ordered that he return control of the guard to Newsom. Breyer said the LA unrest fell “far short” of the “rebellion” that Trump had described.However, a higher court quickly paused the order pending an appeal hearing with the Trump administration next Tuesday.The Department of Justice slammed Breyer’s ruling as “an extraordinary intrusion on the President’s constitutional authority as Commander in Chief.”The dispute mirrors multiple other tussles over Trump’s attempts to expand the limits of presidential power, but is the first to involve troops.The use of Marines is especially controversial, although those deploying Friday will be at a building nowhere near the site of last week’s protests.- ‘Voices for the people’ -Many in Los Angeles are angry about immigration raids carried out as part of Trump’s ambition to deport vast numbers of undocumented migrants around the country.Outrage at Trump’s raids and the use of masked, armed immigration agents backed by uniformed soldiers has already sparked protests in other cities, including San Francisco, New York, Chicago and San Antonio, Texas.”What brings me out here? The people that were taken, people who don’t have voices. We are the voice for the people,” Jasmine, a protester in Los Angeles, told AFP on Thursday.Tensions hiked further Thursday when California Senator Alex Padilla, a Democrat, was handcuffed and forcibly removed from a news conference by Homeland Security Secretary Kristi Noem. The incident “reeks of totalitarianism,” Senate Minority Leader Chuck Schumer said, calling for an investigation.The White House hit back, claiming despite video evidence to the contrary, that Padilla “lunged toward Secretary Noem.”

War, trade and Air India crash cast cloud over Paris Air Show

War, tariffs and the Air India crash will cast a shadow over the Paris Air Show as the aerospace industry’s biggest annual gathering opens on Monday.More than 2,400 companies from 48 countries are showing off their hardware at the week-long event at Le Bourget airfield on the outskirts of Paris.The sales rivalry between Airbus and Boeing usually drives the headlines as the world’s top civilian planemakers announce many of their biggest orders at the air show.But this year’s event “is much more complex”, said Airbus chief executive Guillaume Faury, who also chairs the board of the Gifas association of French aerospace firms that organises the biennial event.The list of challenges is growing.Russia’s war in Ukraine is stretching into its fourth year and there are fears of a wider conflict in the Middle East after Israel launched strikes on Iran on Friday, disrupting commercial flights across the region.The world economy is expected to slow sharply after US President Donald Trump launched his tariff blitz in April.And Boeing is facing a new crisis after Thursday’s crash of a 787 Dreamliner operated by Air India in the city of Ahmedabad, which killed at least 265 people on board and on the ground.Boeing chief executive Kelly Ortberg cancelled plans to attend the Paris Air Show to focus on the investigation into the crash.Prior to the tragedy, Boeing had been making progress under a new leadership as the US company sought to restore trust after a series of safety and quality lapses.Boeing and its European rival, Airbus, have also been dealing with delays in delivering aircraft due to supply chain issues.- Trade war -US President Donald Trump’s tariff onslaught has added to the issues facing the industry, which relies on a global supply chain.Trump imposed 10 percent tariffs on US imports of goods from nearly every country in April, and steeper levies on dozens of countries could kick in next month.The Trump administration is also mulling whether to impose sector-specific tariffs of between 10 and 20 percent on civil aircraft and parts.The heads of Airbus and Boeing have both called for tariffs to return to zero as had been the case since a 1979 agreement.”The entire Western aerospace industry considers that would be the best that could happen,” said Faury.In a recent interview with trade journal Aviation Week, Ortberg warned that that tariffs are an added cost for Boeing, which has been financially weakened in recent years by production problems. We’re “not in a position to pass those (costs) along to our customers,” he told Aviation Week. “I’m hopeful that, as each of these country-by-country negotiations resolve, those tariffs will go away in the long run.”The tariff problems come as the industry has yet to fully recover from effects of the Covid pandemic on its supply chain.Airbus is having trouble getting enough fuel-efficient engines for its top-selling A320 family of single-aisle jets, holding back the delivery of around 40 aircraft.The main bottleneck is a lack of toilets for widebody aircraft, said Christian Scherer, the head of Airbus’s commercial aircraft division.- Fighter jets -The Paris Air Show is also about showing off the latest military hardware, at a time of conflicts in Ukraine and the Middle East.European countries are boosting defence budgets in the face of the Ukraine war and fears about Trump’s commitment to the NATO alliance.”The geostrategic environment has led us to bolster this aspect which was in the background in previous years,” said Gifas head Frederic Parisot.Some 75 companies related to weapons production will be participating at the show, with military jets, helicopters and drones to be displayed.Lockheed Martin’s F-35 fifth-generation stealth multirole fighter will be featured, along with the Rafale produced by France’s Dassault Aviation.Nine Israeli companies — fewer than in the past — are expected to have displays after a French court rejected a bid by NGOs to ban them over their alleged role in the Gaza conflict.

Touchée par la crise des médias, l’AFP annonce un “programme d’économies”

L’Agence France-Presse (AFP) va engager un “programme d’économies” de 12 à 14 millions d’euros sur 2025 et 2026, à cause d’une “dégradation durable” de ses perspectives financières liée à la crise mondiale des médias, a annoncé son PDG, Fabrice Fries, vendredi.”Nous engageons sans attendre un programme d’économies de court terme” pour “dégager environ 2 millions d’économies” d’ici fin 2025, a déclaré M. Fries dans un message vidéo diffusé en interne.Pour 2026, “la marche sera bien plus haute” puisqu’il faudra “dégager entre 10 et 12 millions d’euros d’économies”, a-t-il poursuivi. Cela “ne sera possible que si on adapte notre organisation, nos structures, nos modes de fonctionnement (…), sans ralentir nos investissements”.”Ce sont de mauvaises nouvelles que j’annonce (…) mais je sais que l’Agence a du ressort”, a ajouté M. Fries.Selon lui, après sept années de progression continue, les “revenus commerciaux” de l’AFP “vont régresser cette année”, avec près de 8 millions d’euros en moins par rapport à ce qui est prévu dans le budget.Ce “recul” a plusieurs raisons. D’abord, un “attentisme économique mondial lié à la crainte d’une récession”.Ensuite, des annulations de contrats dues à “la pression” mise par des “gouvernements autoritaires ou populistes” sur des clients de l’AFP.A ce titre, il a cité la fin du programme de fact-checking de Meta (Facebook, Instagram, WhatsApp) aux Etats-Unis, auquel participait l’AFP, et “l’arrêt brutal” du contrat avec la radio publique Voice of America, que l’administration Trump veut démanteler.Dernière explication invoquée pour la baisse des revenus: l’AFP a “certainement surestimé” sa “capacité à faire reconnaître et rémunérer” par “les acteurs de la tech” sa “propriété intellectuelle” sur ses contenus.Plus largement, cette “dégradation durable” est, selon M. Fries, une conséquence de la mauvaise santé des médias clients de l’AFP, bouleversés par les nouveaux usages numériques. D’autant que “viennent s’y greffer les progrès stupéfiants de l’intelligence artificielle”.Selon l’intersyndicale CGT-SNJ-Sud-FO et CFE-CGC de l’AFP, des “premières pistes” d’économies seront annoncées lors d’un conseil d’administration, avant un comité social et économique le 11 juillet pour les détailler.Les syndicats “se mobiliseront pour la défense de l’emploi et de conditions de travail permettant de poursuivre la mission de l’AFP pour un journalisme de qualité”, ont-ils promis dans un communiqué.Ils se donnent “pour mission d’aller voir les parlementaires et sensibiliser l’opinion afin que la plus grande agence de presse mondiale non anglo-saxonne n’entame pas un rabougrissement mortifère”, alors qu’elle vient de fêter ses 80 ans.En 2024, l’AFP a réalisé un résultat net de 200.000 euros et un chiffre d’affaires de 326,4 millions d’euros. Outre ses revenus commerciaux, elle reçoit par l’Etat français une compensation des coûts liés à ses missions d’intérêt général (118,9 millions d’euros en 2024).L’AFP est l’une des trois agences mondiales d’information, avec AP et Reuters. Elle emploie 2.600 collaborateurs de 100 nationalités et fournit de l’information en six langues.Elle jouit d’un statut particulier. Elle n’est pas une entreprise publique mais n’a pas d’actionnaires, et ses clients, dont l’Etat français, siègent à son conseil d’administration.